| | ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180 TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS :
SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
daisy#1 -- marceline#4 -- spencer#20 -- margot#3.
uas, fbs : spencer - ua slasher -- spencer ua trophy wives -- spencer - ua fwb -- spencer - ua vampires -- spencer fb#19. RPs TERMINÉS : spencer n°1 -- marceline n°1 -- spencer n°3 -- marceline n°2 -- eleonora n°1 -- spencer n°4 -- spencer n°5 -- spencer n°6 -- spencer n°7 -- spencer n°2 (flashback) -- spencer n°8 -- spencer n°9 -- winx club n°1 -- spencer n°10 -- spencer n°11 -- spencer n°12 -- spencer n°13 (fb) spencer n°14 -- margot n°1 -- marceline n°3 -- spencer n°15 -- margot n°2 -- AVATAR : hailee steinfeld CRÉDITS : treasurebox (avatar), harley (crackships) DC : sloane jarecki, eden veliz, juno zhao. PSEUDO : princesse mononoprix/monononucléose/ mononoski INSCRIT LE : 09/01/2022 | (#)Dim 9 Jan 2022 - 20:55 | |
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Mackenzie Sutherland How poorly, how pathetically I confess [my solitude] — and for all that it is no less real. I am a tree that has fled the forest. A tree with pride — a disease which does not kill violently, but attacks patiently from below, at the roots, at the very foundation of life. | Pièce d'identitéNOM ≈ sutherland, qui trahit des origines écossaises qui sont gommées par celles, plus présentes, philippines, ashkénazes et afro-américaines. PRÉNOM(S) ≈ mackenzie, raccourci en mac, c'est moins bourge. ÂGE ≈ 25 ans. LIEU DE NAISSANCE ≈ brendale, pas loin de brisbane. STATUT SOCIAL ≈ en couple depuis cinq ans avec margot. tout le monde lui dit de la jeter, que ça marche plus, que la tromper ça sert à rien. elle s'obstine plus par peur du vide que par amour. MÉTIER ≈ responsable de comm aux o'reilly vineyards, touche à tout qui retape le site et les codes et fantasme discrètement trois fois par jour de s'enfoncer des crayons dans le nez pour en finir. ORIENTATION SEXUELLE ≈ il n'y a que les femmes qui attirent son attention. papa et maman ont encore du mal, non qu'ils ne s'en soient doutés tout le long de son adolescence. GROUPE ≈ au secours j'ai 30 ans AVATAR CHOISI ≈ hailee steinfeld. | Les informations en vrac(01.) maman est un peu baba cool, à la pilate tous les samedis matin et beuh qui pousse dans l'arrière cour ; papa, lui, est un homme patibulaire qui se trimballe sa dépression et ses traumatismes comme un vieux pote qu'on ne lâche plus. dans toute cette ambiance, il y a mac, fille unique qui s'emmerde sèchement dans la petite ville de brendale, mark wahlberg, son chien aveugle et sourd comme un pot, et ses figurines de dinosaure qu'elle entretient mille fois mieux que le reste de sa chambre. (02.) on a là le portrait parfait de la gosse australienne lambda : ramène toujours des bonnes notes, va au baseball les jeudis soirs, au club de lecture les vendredis et à la messe le dimanche matin, sans oublier ses rendez-vous quotidiens avec son journal intime où elle décrit avec force détail son amour sans limite pour lindsay lohan à son époque freaky friday. mac s'emmerde, connaît de manière prématurée le sacro saint métro-boulot-dodo, puis maman devient malade d'un coup, se terre dans sa coquille jusqu'à ce qu'il ne reste rien de la femme puissante aux mains calleuses que sa gamine aimait tant, et y disparaît sans préavis. la terre change un peu d'axe, mac, mark wahlberg et son père déménagent, et elle commence à comprendre un peu mieux ce que ressent son paternel : rien, avec des nuances très légères d'une immense tristesse entrecoupée de rien encore. (03). spencer lui tombe dessus, ou plutôt c’est elle qui tombe sur spencer, façon météore qui écrabouille tout sur son passage : la tristesse, la routine et l’impression d’avoir déjà fait le tour des surprises de la vie. elle se lie à elle comme à une âme jumelle, livre à elle et elle seule tous ses secrets (y compris son débordant crush sur lindsay lohan), s’accroche à elle sans savoir différencier affection profonde et jalousie débordante pour quiconque tenterait de s’immiscer entre elles. elle chérit leur cocon, sort un peu de sa routine et de ses gonds, interprète tout sentiment parasite comme un truc de besties (just girly things!!!) et avale toute toxicité entre elles comme un passage normal et logique de toute relation amicale. (04.) le lycée puis la fac puis le diplôme de communication, mac suit religieusement un parcours aseptisé auquel elle ne prête aucun amour, elle suit les préceptes parentaux de 'trouve un job pour survivre et démerde-toi pour tes loisirs' aveuglément et finit sans trop de mal, et surtout sans trop de passion comme gérante de la communication du vignoble o'reilly, à l'écart de brisbane. le seul truc qui lui plaît, là dedans, à la base, c'est le vin ; manque de pot, elle trouve le leur à chier. (05.) un couple de près de quatre ans qui s'effrite à mesure que le temps passe mais ni margot ni elle n'est prête à y mettre un terme. elles s'engueulent, se réduisent en charpie, se retrouvent et s'aiment plus que la veille, jusqu'à ce que mac arrête d'aimer, si elle a vraiment déjà été amoureuse, et qu'elle trompe. une fois, puis deux, puis l'habitude s'installe comme une manie crasse et ne la quitte plus ; elle se sent sale dans cet exutoire sur lequel elle n'a plus de contrôle, mais toujours mieux qu'avec margot, les mots durs et le vide entre elles. (06.) d'après elle quatre ans ce n'est rien et elle s'obstine à vivre seule, dans un appart à peine assez grand pour qu'elle étende ses jambes ou celles de marlon brando, son corgi de 2 ans. elle se complaît dans son quotidien de quasi-célibataire avec son chien, ses doritos, ses alias sur le dark web et ses conquêtes occasionnelles, rend visite à son père aussi souvent que possible pour lui ramener tous les timbres moches qu'elle trouve et lui, toutes les figurines de dinosaure au monde. (07.) mac s'abreuve depuis l'adolescence de littérature queer, afro féministe et politique, donne l'impression d'un puits à science étendu, sinon vaniteux, elle aime l'idée de sembler cultivée, sûre d'elle même, au contrôle de tout. selon l'interlocuteur, on la donne tantôt franchement détestable, tantôt effrayée par l'introspection ; mac parle beaucoup pour éviter de trop réfléchir, aborde ce qui fâche de front pour se donner une meilleure contenance, éviter de s'attarder sur ses propres faiblesses. d'elle-même, elle mentionne tout ce qui fait peur, se fait passer pour vaillante et prête à faire face à tout ; au fond l'impuissance lui fait peur, son besoin de tout contrôler est ce qui la handicape le plus dans sa vie, et elle est animée d'une profonde horreur du vide. mac ne contrôle réellement que peu de choses et elle est à ça de l'auto-destruction, sans vraiment savoir si elle la désire ou non.Le joueur derrière l'écranSur le net, on m'appelle grand père tortue, mais appelez-moi grand père tortue. J'ai 25, et je viens de france. J'ai découvert 30YSY grâce à PRD OU DDRPGISTES, JE CROIS, et j'ai cédé à m'inscrire parce que LE SCÉNA, LA BEAUTÉ DU FORUM, LES PLUMES. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) QUOTIDIENNEMENT, SAUF LES WEEKENDS. Mon personnage est un SCÉNARIO de @spencer blackwell. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et HÂTE D'ÊTRE DES VÔTRES.
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Dernière édition par Mac Sutherland le Mar 11 Jan 2022 - 7:56, édité 7 fois |
| | | ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180 TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS :
SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
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Il était une fois, mon histoire Like love, I said, being understood creates the fear that you will never be understood again.« Quoi, c'est quoi, le problème, t'as des dettes encore ? T'es dans la merde, quelqu'un te cherche ? » Ma question reste en suspens et en fait je ne m'en étonne même pas ; ça me frustrerait si je n'avais pas l'habitude de me heurter à ton silence et de devoir y tirer des réponses toute seule. Tu restes obstinément muette, renfermée sur ton malheur, les yeux sur tes chaussures trouées et bordel, mais que nous arrive-t-il ? Où est celle à qui je peux tout dire, qui n'a pas peur de m'envoyer chier avec force quand je vais trop loin, qui se laisse prendre dans mes bras quand elle va pas bien ? Tu es un spectre de l'ancienne Spencer, à moins que tu ne sois que la vérité sous la pâle illusion que je m'étais construite. J'ai peur et ton silence me file l'irrépressible envie de chialer. « Dis-moi, Spence, merde. Tu sais que je m'en fous, je t'aiderai, si c'est de l'argent qu'il te faut j'en trouverai, dis-moi que t'as tué quelqu'un même mais me dis pas rien, je t'en supplie. » Cette fois c'est certain, je te baratine pas : je vais m'arracher les yeux et en crever, si tu me laisses monologuer comme les autres fois ; je peux plus prétendre que ce ballet silencieux me convient et j'ai plus la force de faire la discussion pour deux. Toi tu te mures dans ton mutisme et c'est la vague de trop, la vraie cette fois, pas celle qui me passera dans 24h quand je viendrai m'excuser avec des doritos et une copie hackée du film L'attaque des tomates tueuses. Cette fois c'est pour de bon, je le sens sans l'expliquer. « Merde, merde, merde. C'est tes potes, là ? Ils te menacent ? Ils t'ont encore embourbée dans une connerie ? T'es, quoi, t'es enceinte d'un d'eux, t'as rencontré le parrain de la mafia russe, ils ont coupé ta langue ? Ils t'ont rendue accro à quoi cette fois, au tik ou au crack ? » Je sors tout et son contraire, son n'importe quoi, je m'agite et je m'énerve, je te provoque jusqu'à ce que mordes à l'hameçon. Et tu le fais, contre toute attente, rien que pour me foutre encore plus en vrac. « Et les tiennes, de fréquentations ? » C'est un total cheveu sur la soupe et je me retrouve sur le cul ; je n'ai pas de fréquentations, à part toi, et la seule qui me vient est la seule que tu n'aimes pas. « Quoi, Margot ? » Je fronce les sourcils parce que non, ça ne peut pas être elle, pas ça, pas après tout ce que je te reproche, tu as quand même mieux dans le ventre, un peu plus de dignité, Spence, et « on s'en fout, de Margot. Si tu me le demandais je la larguerais. En un battement de cils. » C'est vrai et ça l'a toujours été, comprends là dedans ce que tu souhaites. « C'est ça qu'il faut ? Pour que ça change ? » Ça c'est toi, ça c'est nous, le froid polaire qui s'est installé dans notre amitié toujours chaotique mais toujours soudée. Margot n'y fera aucune différence, on le sait toutes les deux, mais quitte à essayer… « T'as juste à le dire et je la largue. C'est ce que tu veux ? » Elle ne t'est jamais arrivée au genou de toute façon – mais je sais, tu sais que là n'est pas le problème, le problème c'est toi. T'as même pas besoin de répondre, alors tu ne le fais pas, toujours aussi peu dispendieuse et tu me laisses toute la place pour être toujours aussi expressive, sûrement trop à fleur de peau. « Non, j'm'en doutais. Alors quoi, Spence ? T'es sûre que c'est à moi, là, de changer un truc, de sortir les rames pour que t'ailles mieux ? » Tu ne relèves pas, tu relèves à peine et je me demande où est-ce que c'est tant parti en couilles, toi et moi, et à quel moment on a arrêté d'essayer de rattraper les dégâts.
***
La défaite, le néant, même la vague gerbe je la sens plus, l’odeur aseptisée de l’hôpital a pris tout le reste et je flotte au-dessus de mon corps, bouffant mon Kit Kat en automate. Toute la famille s’est ramenée, y a des Européens des Canadiens des Israéliens que je connais pas, mais qui me posent une main amicale sur l’épaule, Tatiana est trop jeune pour ça, ça tombe sur ceux qui le méritent le moins, etc, etc, etc. On forme comme une couronne pour envelopper le lit de la reine et tout le monde a son mot à dire, sa petite larme à verser. Je sens que si je reste, je vais poser une galette sur les pieds de Maman. Je sors dans le couloir comme une furie, j’espère trouver de l’air mais non, j’étouffe toujours ; tout est trop dense, trop présent d’un coup, trop trop et je n’ai jamais appris à gérer tout ça. Je relève la tête, essuie mon nez d’un revers de manche : autour de moi les infirmiers se bousculent et les patients cherchent distraitement leur chemin. C’est fou comme le monde poursuit sa course, plein de vie et indifférent au reste, dos tourné à ma mère sous respirateur qui crève d'un cancer à quarante cinq ans. Peut-être même qu'il n'est pas au courant, que nous ne sommes qu'une merde de mouche sur la toile d'araignée de la vie : périssables, rasoirs, tout sauf uniques. Toute notre famille s'installe dans la chambre, ça sort les tables, la bouffe, les fleurs, on dirait ma bar mitzvah mais avec encore moins d'ambiance, tout me fait l'effet d'un enterrement en avance. Papa a déjà mis ses valises dans la voiture et je me trimballe avec mon sac à dos Shrek de quand j'avais sept ans, il me caresse distraitement l'épaule à l'occasion pour me dire c'est rien, ma chérie, on profite de la famille et on s'en va, comme si c'était ça qui m'inquiétait et pas le fait qu'on s'en aille pour Brisbane en laissant Maman crever ici. Je flotte encore au-dessus de mon corps quand la chambre se vide et que je me penche sur son lit pour embrasser son front et lui dire au revoir. Elle ne sent plus elle, vaguement recouverte d'un parfum de savon au pH neutre, et je frotte mes yeux pour ravaler mes larmes alors que je lui dépose ma peluche babouin sur la poitrine qui n'existe plus.
*** Il m'aura fallu deux secondes pour te repérer, ta tignasse blonde, tes sourcils froncés qui vont à coup sûr te foutre des rides prématurées et ton air de vouloir foutre un coup de poing à tout le monde, moi y compris. Surtout moi, si on veut être honnêtes : je sais que je t'emmerde, à te suivre partout et à me coller à ta table à la cantine, à te poser des questions à la con auxquelles tu penses pas nécessaire de répondre. « Tu t'appelles comment ? » je demande par mégarde, heureux sont les idiots, « moi c'est Mac. Comme les patrons des putes. » Je tente mais même ça, ça te tire pas de sourires, pas plus que le 'tire sur mon doigt' d'hier ou les blagues trash en cours d'espagnol. Bordel, mais qu'est-ce qu'il te faut ? « Ma mère est morte », que je finis par balancer, un jour comme ça alors que tu sors des chiottes et que je me lave les mains. Jour 3, tu me balances un regard surpris, un peu amusé, extrêmement gêné. « Tu veux quoi ? » que tu finiras par me demander, avec ton éternel air renfrogné, quelques heures plus tard. « Qu'on soit potes », je lâche le plus naturellement du monde. Tu me balances un regard en coin de chien battu un peu agressif, mais au moins tu me regardes et là, jour 3, je comprends que tu mords à l'hameçon.
*** Ça gueule, ça court de partout et je pensais être dans mon élément avec toi mais même pas, tes potes sont pour moi des aliens et rien de tout ça, ni leur regard, ni la musique, ni leur façon de te traiter ne me rend à l'aise. J'ai envie de te le dire mais j'ignore comment attirer ton attention alors que la musique crie trop et que rien ne me semble familier. Je fais l'effort parce que je veux te plaire, parce que je veux que ceux avec qui je suis condamnée à te partager m'apprécient. En attendant, j'ai une gueule de six pieds sous terre, je me sens incroyablement gamine dans nos dix-huit ans à peine soufflés, façon premier jour d'école quand maman repart : je suis tout, sauf à ma place, les autres enfants me font peur, les sachets de bonbons qu'ils me tendent sont empoisonnés, j'en suis sûre. Mais je les prends sagement pour ne pas dénoter, ne pas m'opposer à la masse. « Tu vas voir, ils sont sympas », tu me rassures et tu entrelaces mes doigts aux tiens, et j'ignore quand ce geste affectueux qui a toujours été rien qu'à nous est devenu synonyme d'inquiétude dans mon système, mais tout mon corps se raidit. Et ni l'alcool, ni les cachetons ne parviennent à défaire mes inquiétudes. J'embrasse une de tes potes pendant la soirée, et quand j'essaie de revenir te retrouver, tu n'es nulle part. C'est l'une des premières soirées ou je rentre seule, sans toi, sans signe de vie de ta part. J'espère secrètement et vainement que ce sera la dernière.
*** Sur les années, j'ai pu connaître un vrac de tes émotions : la frustration, la colère, le cynisme, le bonheur non chimique ; au fil du temps j'ai appris à comprendre que tout, chez toi, est ressenti en filigrane, parce qu'à la moindre émotion trop forte tu t'écroulerais comme un château de cartes. J'ai appris à ne pas me formaliser de tes silences et de tes réponses bornées, parfois monosyllabiques ; elles signifient parfois plus qu'un long discours. Et si je me targue de t'avoir déchiffrée, c'est aussi parce que ce soir-là, j'en suis fichtrement incapable. T'es roulée au pied de ton lit, joint aux lèvres et maxillaires qui se compriment comme si tu grinçais tes dents ; t'as un regard vide qui pue la détresse et je ressens ton envie de tout foutre en l'air avant même de rentrer dans la pièce mais tu demeures étrangement calme, là. Résignée, presque. C'est cette fatalité, là, qui me fait le plus peur chez toi. « Merde, Spence », je souffle, et je pose mes affaires en vrac pour venir te prendre dans mes bras. Tu rechignes un peu et je m'en fous, c'est surtout moi qui ai besoin de ton contact, de m'assurer que tu ne repars pas dans ce monde où je n'arrive plus à te joindre, de me prouver à moi-même que non, tu n'es pas repartie sur cette pente-là, que mes bras et mon amour de gosse mal grandie suffiront à te garder tout près. « C'est qu'une conne, d't'façon », je le dis sans le penser parce que tu ne m'as dit sur ta mère que le strict minimum et que c'est un coup à se prendre un retour de karma. Ma mère aussi, est partie sans un mot. Faute de mieux, faute de mots je dépose chastement mes lèvres contre ton crâne, je refoule la vague envie de t'attirer plus près de moi encore, et j'en reste à la conclusion la plus simple, la plus douce pour chacune : « Doritos ? »
*** « Tu fais semblant de pas le voir, de pas comprendre alors que ça crève les yeux, mais tu te casses la gueule, Spence, tu deviens un putain de déchet, tu t'enfiles des trucs dans le nez sans te poser de questions, ça pourrait être du talc que t'hésiterais même pas, en fait. Et faut que tu saches, faut que tu comprennes, mais tes pseudo potes ils te ramasseront pas quand tu finiras à la rue, ils t'épauleront pas quand tu finiras aux urgences après une OD, tu le vois bien, ça, non ? » Je rage, j'écume mais si je relève les yeux je sais que c'en est fini. Je suis une colérique qui pleure, c'est plus fort que moi, tu t'es toujours foutue de ma gueule pour ça mais cette fois-ci je sais que si une larme tombe, c'en est fini de ma tirade, de nos faux semblants et de la force que j'arrive enfin à puiser pour mettre un terme à tout ça. « Moi j'étais là, Spence. Je faisais semblant de pas piner que tu volais, que t'avais des traces de poudre sur la gueule à chaque fois que tu te ramenais chez moi, je disais rien mais j'en peux plus, tu vois ? Parce que je fais toujours tout et que tu me regardes faire avec ton air de larve morte, là, ni merci ni merde, et putain ça me brise le cœur mais je peux plus t'aider, Spence. Si tu continues comme ça, je peux plus t'aider. J'ai plus la force. » Je ne le pense pas, bien sûr que je ne le pense pas, je te suivrai au bout du monde s'il le fallait, je m'en fous de te ramasser à la petite cuillère à chaque fois. Tu me tues mais tu me fais du bien, et qu'importe si je verse des litres de larmes à chaque fois que tu me quittes, j'encaisserai. Mais tu réagis pas et elle est là, la vraie rupture, il est juste ici le vrai cœur brisé, je sais même pas si ça te bouleverse ou si ça t'en touche une sans faire bouger l'autre et tu ne te résumes plus qu'à ça, de toute façon : une coquille vide. Je me revois, douze ans et devant ma mère qui n'arrive même plus à me sourire pour me rassurer, et j'ai un putain de pieu dans le cœur. « Mais merde, dis un truc, non ? Je sais pas, ça te touche ce que je te dis là ? Tu t'inquiètes pas ? » Tu ne vois pas que tout part à vau l'eau, Spence ? Tu me dévisages avec ton regard fixe, fermé, celui qui me renvoie à quand on avait treize boules et que tu me traitais comme une étrangère et je comprends en filigrane que je ne suis plus que ça, maintenant. Je pars en claquant la porte et en échappant un sanglot de veau en pleine crise d'appendicite, j'ai honte et je me sens à poil, tes potes me dévisagent et je serre mes bras sur ma poitrine pour toute défense. Je me réfugie dans ma chambre d'étudiante, dans mes paquets de mouchoirs et les poils de Marlon Brando et j'ai envie de dégueuler, de prendre la lampe offerte par Papa et de la foutre contre un mur. Je n'ai aucune conscience que notre dernière discussion s'achève ainsi, jusqu'à ton dernier message, une missive simple et sans détour. Tu pars de Brisbane. Tu pars, et mon monde s'effondre.
Dernière édition par Mac Sutherland le Lun 10 Jan 2022 - 22:26, édité 7 fois |
| | | ÂGE : Trente quatre ans. (20/01/1990) STATUT : Il a épousé son amour de sept ans, Rory, le 2 juin 2023 après l’avoir longtemps aimé en secret. Aujourd’hui il ne pourrait être plus fier ni plus heureux de porter son nom. MÉTIER : Kinésithérapeute, il a un cabinet en ville. LOGEMENT : Une villa à Bayside accueille sa famille, loin du tumulte de la ville et de la curiosité des journalistes de bas-étage. POSTS : 52581 POINTS : 710 TW IN RP : adoption (passé: automutilation, pensées suicidaires) ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Père inconnu, mère absente, sujet tabou › Médiateur par excellence › A fui Londres pour Brisbane en 2016 en pensant y trouver son père: c'était un mensonge › Passionné par son métier › A eu besoin de six ans pour accepter sa bisexualité et son couple › Terrorisé à l'idée d'être différent › Deux tentatives de suicide au compteur › Poignets marqués par les cicatrices, aujourd'hui cachées par deux tatouages floraux › Ecoute beaucoup, se confie peu › Prêt à tout pour sa famille et ceux qu'il aime › Ne dites pas du mal de Doctor Who, il risque de froncer les sourcils › Pur produit anglais CODE COULEUR : mediumpurple (plum pour design sombre) RPs EN COURS : (05) › rory #60 › rory #61 › scarlett #6 › greta #12 › arthur #18
rowann #60 › when i was a ghost inside, you were there for me. legend never lies, we were meant to be. i'm blessed to be alive when i'm in your company. memories we've made could fill a whole book. if we were a movie, we'd be in Hollywood. on my lowest days, you were all it took. you make my demons go away, bleach the sky on rainy days.
arwann #17 › why don't you just take what you want from me? i think you should take what you want and leave. you're changing everyday, you played me, you're taking everything. i let you run the game.
mccraine #7 › straighten up, little soldier. stiffen up that upper lip. what you cryin' about? you got me. i can see you're sad, even when you smile, even when you laugh. i can see it in your eyes, deep inside you wanna cry. we gon' pull together through it, we gon' do it.
bride #5 › uc.
swanta #10 › i learned that there's beauty i can't keep, learned that there's demons in stories. whenever she's calling, she'll call me. promise you'll smile off a memory. some summer night, I hope I see you again. you'll find your way.
RPs EN ATTENTE : ginny #7 › min-kyung #6 › lucas #3 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
cf. fiche de liens
AVATAR : Evan Peters CRÉDITS : showmeyouricons (avatar) › harley (rowann, arwann) › fuckyou (ginny) › margotrobbie (scarlett) › haydenpanettieres (greta) DC : Auden & AmbrosePSEUDO : Kaelice INSCRIT LE : 01/08/2019 | (#)Dim 9 Jan 2022 - 20:56 | |
| Bienvenue Tu fais un super choix de scénario, bon courage pour l'écriture de ta fiche |
| | | | (#)Dim 9 Jan 2022 - 21:02 | |
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| | | ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5590 POINTS : 520 TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
RPs TERMINÉS : liste à jour ici.
AVATAR : angèle van laeken. CRÉDITS : vesna (avatar) harley, ssoveia (gifs) heroïne (illustration) DC : mateo alvarez & romeo stanford. PSEUDO : symphonie. INSCRIT LE : 12/06/2020 | (#)Dim 9 Jan 2022 - 21:02 | |
| bienvenuuue spencer prendra bien soin de toi, tu as fait un super choix | | i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ? |
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| | | | (#)Dim 9 Jan 2022 - 21:03 | |
| c'est le meilleur scénario libre du forum ça, t'as fait un bon choix bienvenue à la maison |
| | | | (#)Dim 9 Jan 2022 - 21:05 | |
| Bienvenue Grand Père Tortue contente de voir la cousine tentée j'ai hate d'en voir plus |
| | | Isaac Jensenle coeur au bout des doigts ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0 TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS : RPs EN ATTENTE : RPs TERMINÉS :
(roa, juin 2020)
grisy (s1) lancement ∆ love #4 ∆ grace #1 ∆ grace, greg, sienna ∆ week-end #1 ∆ grace #2 ∆ grace #3
(s2) grace #4 ∆ grace #5 ∆ grace, elias, kieran ∆ elias ∆ ivy ∆ love #5 ∆ love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4 ∆ grace #6 ∆ martin
(s5) épreuve 1 semaine 5 ∆ épreuve 2 semaine 5 ∆ épreuve 3 semaine 5 ∆ résultats
(finale) grace #7 ∆ rafting ∆ grace #8 ∆ grace #9 AVATAR : Will Higginson CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack) DC : / INSCRIT LE : 08/04/2018 | (#)Dim 9 Jan 2022 - 21:08 | |
| Bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche |
| | | ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440 TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022 CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14) nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21) i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3) step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
TÉLÉPHONE : mac › mac (fb)
RPs EN ATTENTE :
(eli (scénario libre)) you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
RPs TERMINÉS : AVATAR : florence pugh. CRÉDITS : harley (avatar & gif profil & crackships) & phelto, pvris, grandson, dorothy (lyrics) & dessin by mapartche ♥ DC : cassie la wannabe (ft. reneé rapp) & dina la ninja (ft. melissa barrera) PSEUDO : harley. INSCRIT LE : 14/06/2020 | (#)Dim 9 Jan 2022 - 21:08 | |
| voilà on s'absente 5 minutes et on se fait souffler la première place je sais maintenant ce qu'a ressenti @may andrews hier et j'en suis désolée (non ) anywaaaaay j'te l'ai déjà dit mais je suis trop contente de voir mac tentée et tes idées là bref encore bienvenue et merci et j'ai hâte à la bagarre (et tu sais déjà où me trouver pour les détails )
- Spoiler:
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| | | | (#)Dim 9 Jan 2022 - 21:08 | |
| Bienvenue sur le forum |
| | | | (#)Dim 9 Jan 2022 - 21:16 | |
| Bienvenue parmi nous avec ce super choix de scénario Bon courage pour la rédaction de ta fiche et je repasserai sans doute par ici pour y jeter un coup d'œil |
| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34341 POINTS : 3350 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | | | | | (#)Dim 9 Jan 2022 - 21:31 | |
| Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche |
| | | | (#)Dim 9 Jan 2022 - 22:08 | |
| Bienvenue à toi ! C'est cool les scénarios ! Bon courage pour ta fiche ! |
| | | | (#)Dim 9 Jan 2022 - 22:09 | |
| Bienvenue et bonne rédaction hâte d'en lire plus |
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