ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180
TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS : SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
Sans toi les jours se suivaient sans se ressembler, Lundi j’avais envie de chialer et de rester sous la couette devant les redifs de H2o et Mardi je m’éclatais comme si tu n’avais jamais existé ; voilà à quoi ressemble ma vie, maintenant, à un épais patias inconsistant d’humeurs éparses et trop violentes, j’essaie de me détacher de toi mais je t’en veux encore. Cependant, une chose est certaine, stable, et extrêmement claire à mes yeux : j’ai arrêté de te chercher à tous les coins de rues et de penser t’apercevoir à l’arrêt de bus, parce que tu ne reparaîtras jamais. Sauf que, bien sûr, même cette certitude, t’as réussi à te torcher avec. Je me tiens debout au milieu de la pièce à m’ambiancer dans ma petite robe noire, le ventre rentré et les seins quasi en promenade, à amuser l’assistance avec des conneries diverses du boulot, Margot tantôt comme trophée à mon bras tantôt comme reine de la soirée, avec ses yeux accrocheurs et d’un noir profond, d’une façon que je ne saurais jamais imiter. Tout va bien, j’enquille les cocktails comme un forain pour célébrer la nouvelle année à venir, je salis l’appart de luxe de l’hôte avec mes talons dégueulasses avec lesquels je me suis vautrée dans la boue avant d’arriver, mais pour une fois, t’es pas là, pas dans le coin de mes pensées, cette année j’ai carrément zappé l’idée de t’envoyer un SMS à minuit pile et je commence à me dire que peut-être je pourrais m’en passer. Puis t’arrives, l’air d’un loup dans une bergerie, les mains qui s’agitent et le regard pas tranquille, et je jure que mon coeur s’arrête une demi-seconde avant de repartir. Pas assez pour crever, mais largement suffisamment pour que je m’étouffe en plein dans une gorgée de moscow mule et voilà que je me mets à trembler au milieu de la foule, recrachant mon poison par le nez et surplombant la musique avec ma toux envahissante. Ni une, ni deux, je me précipite aux toilettes pour rendre un coup, cavités nasales brûlant du passage de la vodka bien dosée, haletant pour retrouver mon souffle, encore perdue entre choc et colère. Deux ans bientôt trois, j’arrive enfin à me faire à l’idée de ton départ, à arrêter de te harceler de messages, et tu décides gratuitement de revenir comme si de rien n’était, sans me prévenir, sans rien. Deux ans bientôt trois, j’arrive presque à tout effacer et tu reviens me darder d’un nouveau regard vide, comme si on n’avait rien été du tout, jamais ; je te connais pourtant, mais là, j’ai rien vu venir. J’essuie mon nez et les larmes acides dues à la toux et je reviens dans la salle comme un chiot perdu, maxillaires comprimées et regard déterminé vissé en ta direction. T’as de la chance : je ne suis pas femme à faire des esclandres, alors je me poste simplement à côté de toi et je te tends le verre dans lequel j’ai à moitié recraché ma gorgée avant de m’enfuir aux chiottes comme si c’en était un neuf. « C'était bien Sydney ? » que je demande, l’air de rien, sourire poli aux lèvres, si ce n’était pour ma voix qui tremble je serais presque crédible.
ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440
TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14)nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21)i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3)step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
RPs EN ATTENTE : (eli (scénario libre))you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
this girl’s a different girl today Spencer Blackwell & @Mac Sutherland
Y a tous les messages des gros lourds et dans le lot, y a Oliver. Garçon bien propre sur lui, beaucoup d’humour et surtout les poches tellement pleines d’argent qu’il sait plus quoi en foutre. Et ça tombe bien, parce que Spencer a plein de plans pour le trop plein de thunes qu’il possède. Si ses faux comptes Tinder sont souvent pris d’assaut par des gens sans intérêts, il en faut bien qui sortent du lot. Le pigeon parfait pour clôturer cette affaire là. Des jours qu’elle le travaille au corps, Oliver. Des messages enthousiastes, une innocence feinte et ça a l’air de le faire vibrer, le boug. Il a même été jusqu’à l’inviter à une soirée pour le nouvel an, sans doute certains qu’il pourra conclure son affaire en fin de soirée et qu’ils deviendront quelque chose par la suite. Il est naïf et un peu trop sûr de lui, c’est bien, ça l’arrange. Margaret l’est aussi et accepte la proposition bien volontier, ravie à l’idée de rencontrer ses amis. Et dès qu’ils seront tous un peu trop bourrés au champagne hors de prix, elle n’hésitera pas longtemps à fouiller les vestes et à les délester de quelques affaires qu’ils s’empresseront de toute façon d’aller racheter avec l’argent de papa-maman. Si à la base ils étaient supposés s’y rendre ensemble, Spencer a feint un empêchement de dernière minute au boulot, promettant d’arriver dès que possible. Le plan c’est qu’elle reste loin de l’alcool le plus longtemps possible et qu’elle arrive lorsqu’ils seront tous bien attaqués. Personne ne se méfiera de la gentille Margaret et elle pourra circuler et fouiller sans être trop dérangée.
Minuit passé d’environ dix minutes et la voilà en en bas de l’immeuble. Dans toute la rue, on peut entendre des clameurs provenant des différents logements pour célébrer la nouvelle année. D’un message, elle informe son date de sa présence et il descend la chercher, bien trop heureux d’enfin pouvoir exhiber sa nouvelle conquête aux yeux de tous ses copains bourges. Elle affiche son plus beau sourire timide, s’excuse encore et encore de son retard et l’autre l’embrasse juste, visiblement juste content qu’elle soit enfin arrivée. Il goûte un mélange d’alcool et de weed, mais elle ne relève pas. Parce que ça arrange grandement ses affaires ça. Ils entrent et le garçon commence à présenter Margaret à son entourage. Faux sourires aux lèvres, elle entame la discussion avec eux, fait semblant de s’intéresser à ce qu’ils racontent quand vraiment, elle n’en a rien à faire.
C’est un fantôme qu’elle croit apercevoir. Une ombre qu’elle a tenté tant bien que mal d’effacer de sa mémoire parce que le souvenir était trop douloureux à affronter. Depuis le temps, Spencer a appris à ne plus faire confiance à ses yeux et surtout à son esprit. A la fois un vœu silencieux et sa pire crainte, elle finit par détourner le regard, tentant vainement de s’accrocher à la conversation animée d’Oliver et ses potes. Mais elle n’écoute pas, elle jette un nouveau regard dans la direction du spectre et plus rien. Et elle ne sait pas si c’est de la déception ou du soulagement qu’elle ressent. Sans doute un mélange des deux. Elle ne sourit plus, Spencer. Cette simple vision a suffi à lui foutre le cafard et elle n’a plus envie de prétendre s’intéresser à tous ces cons. Le regard dans le vague, elle n’écoute plus rien et même la musique pourtant entrainante ne suffit à la sortir de sa torpeur. « C'était bien Sydney ? » elle se fige et tourne la tête lentement. Cette voix, elle ne la connaît que trop bien. La bouche légèrement entrouverte, elle reste sans mots face à cette silhouette à la fois si familière et si étrangère. « Mac ? » qu’elle croasse pour toute réponse. Merde. Comme hébétée, elle l’observe en détail quelques instants. Ce visage qu’elle connaît par cœur et ce sourire qui sonne faux, puis ce verre qu’elle lui tend. Machinalement et sans savoir pourquoi, Spencer le prend. Leurs doigts se frôlent et ce bref contact semble suffisant pour la ramener sur terre au moins une paire de secondes. « Je- Non. Non c’était à chier. » Elle se racle la gorge, tourne le regard vers Oliver et force un rictus à son égard. « Je sors fumer. » une nouvelle oeillade vers Mac et elle n’attend pas de réponse pour filer. Des années en arrière, elle aurait embarqué Sutherland par la main juste pour être seule avec elle un moment. Là, c’est une tentative de fuite désespérée qui se soldera forcément par un échec. Du grand Spencer, toujours lâche, jamais fiable. Non sans difficulté, elle se fraye un chemin parmi la foule de gens ivres, ne doutant pas un seul instant d’être suivie. Si elles doivent parler ou s’engueuler, ça ne sera pas devant tous ces inconnus. La porte passée, elle se stoppe et prend le temps de respirer, puisque visiblement elle a oublié comment faire lors de la dernière minute. Désemparée, elle regarde ce foutu verre qu’elle tient toujours et le vide d’une traite. Elle déteste le goût de ce foutu cocktail, elle déteste cet endroit et pire que tout, elle déteste l’idée de devoir affronter Mac alors qu’elle a passé des années à essayer de l’oublier.
Spoiler:
Dernière édition par Spencer Blackwell le Mar 11 Jan - 19:23, édité 1 fois
Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180
TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS : SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
Tu me réponds que non, Sydney c’était à chier, et moi je ne sais pas si je dois rire ou pleurer de l’incongruité de la situation ; peut-être que je devrais vomir sur tes chaussures bien apprêtées, ça te ferait les pieds. Pour le moment, je désire être partout, sauf ici, et simultanément je suis consciente qu’il me faut saisir ma chance de te parler maintenant sinon je n’en aurai plus jamais l’occasion. Tu as toujours été un spectre dans ta vie, Spence, avec tes proches, ta famille d’accueil, nos potes en commun qui me demandaient bêtement pourquoi tu leur répondais plus, mais je n’aurais jamais pensé que ta désertion viendrait s’étendre jusqu’à moi. Nous y voilà, pourtant : t’es pas du tout à Sydney, t’as plus tes chaussures trouées et tu adresses un sourire crispé mais aimable à Oliver et d’un coup ça fait clic. La ‘Mags’ dont il a parlé, ça ne peut qu’être toi. La terre se met à tourner autour de moi et je n’ai pas besoin d’alcool pour que tu me foutes complètement à l’envers ; voilà une chose qui n’a pas changé. Tu t’excuses à peine avant de t’éclipser, pieds lourds contre le parquet et totalement inaperçue dans la foule trop alcoolisée, et sans un battement de cils accordé à la réflexion, je te trace jusqu’au balcon. L’espace de quelques secondes, je reste en arrière, à côté d’un couple qui se pécho sans vergogne sur le pouf en pilou-pilou de notre hôte, et je laisse à mes yeux la possibilité de se refamiliariser avec ta silhouette. Tu es toujours penchée en avant, comme prête à parer au premier coup ; l’habituelle clope rejoint tes lèvres dans un geste expert qui trahit l’habitude. Tes trois ans à Sydney n’ont rien changé sur toi, comme si le temps et la distance t’avaient glissé dessus alors qu’ils m’ont passée régulièrement à tabac. Je t’envie. « Et du coup, tu préviens même pas quand t’es de retour ? » Je m’installe à côté de toi dans un lourd bump contre la barrière du balcon et, sans ménagement, je te fouille la poche pour voler une cigarette. Le paquet retrouve prestement ta poche, tout contact me brûle et m’obsède, je suis à ça de pleurer ou de te faire grimper la rambarde jusqu’au rez-de-chaussée mais je tiens bon. « Enfin, j’imagine que c’était peut-être trop demander, vu que répondre à un SMS à la con pour ton anniversaire c’était pas possible. » Je joue la meuf sympa, la bonne pote bien potache à qui tu peux la mettre à l’envers et qui te laissera t’excuser placidement avant que tout revienne à la normale ; j’ai été cette meuf avant qu’elle s’étouffe dans sa morve et ses larmes y a deux-trois ans, à peu près. « Y a si peu de réseau que ça à Sydney ? Je pensais pas, tu vois. Vu qu’au 21ème siècle on est quand même plutôt bien calés niveau satellites, et qu’en plus on passe à la 5G… » Mon ton est maîtrisé, sous contrôle, je gère, mes mains tremblent pas, je suis pas à ça de lancer mon portable sur la façade de l’immeuble en face à défaut d’avoir le culot de t’en foutre une. Le monde ne vient pas de rechanger d’orbite et je ne viens pas de m’éclater vivement contre le mur de mes sentiments refoulés à l’égard de ton abandon.
don't you wanna take time and get to love me? we could build a perfect world, i got tricks i really want to show you. i could be your perfect girl, and when we grow older we'll still be friends, we'll still be lovers and won't fear the end. (c)flotsam.
Spencer Blackwell
l'hymne à la nuit
ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440
TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14)nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21)i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3)step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
RPs EN ATTENTE : (eli (scénario libre))you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
this girl’s a different girl today Spencer Blackwell & @Mac Sutherland
Gestes presque précipités, elle pose le foutu verre à même le sol. A tous les coups, il va finir sur la tête d’un pauvre malheureux qui passera en bas au mauvais moment, mais c’est pas son problème. Et elle ne tarde pas à allumer sa clope, seul exutoire qu’elle ait sous la main à l’instant T. Sans surprise, la voix de Mac résonne et elle ne tarde pas à venir s’installer aux côtés de son ancienne amie. Spencer plisse le nez et ose à peine lui adresser un regard alors même qu’elle n’a qu’à tourner la tête. Si elle le fait, c’est plus de deux ans de résolutions qui vont voler en éclats. « J’ai changé de numéro, j’ai plus aucun contact. » c’est vrai, mais pas tout à fait. Elle a toujours le même, de numéro. Mais elle a bien supprimé son ancien répertoire. A l’exception d’une entrée, parce que malgré tout, elle n’a pas réussi à s’y résoudre. Alors chaque fois qu’elle voit une notif avec ce nom là apparaître, elle se met dans des états pas possibles, faisant tout pour ne pas répondre et pour combler le vide qu’elle a elle-même créé en s’enfuyant. Elle fouille sans gêne, Mac. Presque comme si elles s’étaient quittées hier. Comme si elles étaient toujours plus que des étrangères à cet exact instant. Pour n’importe qui d’autre, Spencer aurait râlé. Ca coûte cher les clopes putain, elle a pas les moyens des les partager avec le premier venu. Mais là c’est différent. Ce n’est pas n’importe qui à ses côtés et c’est bien là le problème parce que ça rend absolument tout bien plus compliqué. Alors elle ne dit rien, l’observe faire du coin de l’oeil et l’écoute en essayant de ne pas craquer. Ça la fait presque sourire, de savoir que Mac a cru dur comme fer qu’elle s’était vraiment barrée à Sydney. Ca lui fait mal, de savoir qu’elles étaient si proches tout ce temps et qu’il aurait suffit d’un tout petit peu de courage pour mettre un terme à cette mascarade. Mais elle n’est pas brave, Blackwell. Elle est même tout l’inverse. « J’avais des affaires à régler en ville, j’suis pas venue pour rester. » elle tire sur son poison, souffle la fumée par le nez et s’humecte les lèvres en tournant la tête vers la brune. Forcément qu’elle a des excuses toutes trouvées pour sa présence ici. Elle ne pensait juste pas avoir à s’en servir avec elle. « C’est ton pote, Oliver ? » elle fait au mieux pour prendre un air détaché. Elle s’en fout de savoir ça en vérité. Ca lui fait juste penser à quel point l’univers lui a chié dessus deux fois d'affilée en la mettant sur la route d’une connaissance de Seth et maintenant Mac… C’est quel genre de malchance, ça ? Brisbane est bien assez grande pour qu’elle date des personnes n’étant pas en lien avec son ancien entourage. Merde quoi. La clope qui pend au bout de ses lèvres fait bien peu pour calmer ses nerfs. Là, tout de suite, elle rêve d’un truc plus fort et ça la démange presque. Elle a besoin d’oublier à quel point elle se sent coupable d’être partie sans même un regard en arrière. Elle a presque hâte de rentrer et de se défoncer pour ne plus avoir à ressentir tout ça. Le Vide, c’est bien mieux que de devoir faire face à ses fautes. Mac méritait pas ça. Spencer méritait pas Sutherland. Les lèvres pincées, elle se demande à quel moment ça va péter. La brune est bien trop conciliante pour le moment et ça la fait craindre le moment où elle n’aura plus la patience pour les petits jeux. La camée déteste le pseudo-calme dont fait preuve l’autre, ça l’angoisse et ça la met mal à l’aise comme jamais. C'est sans doute le but recherché. « Tu veux quoi exactement ? Un mot d’excuse ou un truc du genre ? » elle souffle, sans conviction aucune. Peut-être que si Mackenzie la déteste assez, elle comprendra que la situation… Leur situation, est mieux comme ça.
Spoiler:
Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180
TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS : SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
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Tu ne restes pas. Je me demande combien de fois mon cœur peut se briser avant d'en avoir marre et de complètement lâcher l'affaire avec toi, et quelque part, je n'attends que ça. Mais « ah », je lâche, ma voix teintée de déception sans que je n'arrive à l'en empêcher. Peut-être que tu vas repartir à Sydney, ou Ouagadougou, pour ce que j'en ai à foutre. « C'est rigolo mais je t'aurais plus vue à Perth. Plus joli, plus vaste, moins de flics… Ouais, bizarre. » C'est pour la pique que je lâche ça et absolument pour rien d'autre ; mon seul but est de te faire réagir, que tu sors de tes gonds avant moi. Mais tu gardes ton calme, ton implacable dehors tranquille pendant que je tire sur la clope comme une forcenée. « C'est un pote de Margot, elle a dû t'en parler à l'époque mais tu l'écoutais sûrement pas, mh ? » J'ignore pourquoi j'éprouve le besoin de la mettre en avant, ou de la défendre. Tu as toujours été profondément indifférente à son encontre, sinon hostile ; je n'ai jamais pris la peine de te demander quoi que ce soit d'autre que l'effort minimum parce que, quoi qu'il en coûtait, tu passais toujours bien avant elle. « C'est marrant, d'ailleurs, il t'a appelée Mags. Tu devrais faire gaffe, peut-être qu'il te trompe » Je lâche ça sur un ton à l'indifférence probante, je me doute que tu t'en fous, et surtout que tu as senti mon scepticisme à des kilomètres, les mises en garde inaudibles que j'avais l'habitude de te faire. Et puis, comme par rebond, je me demande soudain si c'est ça qui t'a fait fuir, ma personnalité trop chiante, trop envahissante, trop contrôleuse, trop tout. Puis enfin ça te pique, ça te démange, t'as besoin de te justifier ou de prétendre pour toi-même qu'on ne se doit rien, je ne sais pas quelle est la démarche et je m'en fous, j'espère juste qu'elle te plante un pieu en plein dans la poitrine à toi aussi, que tu ressentes rien qu'un peu ce que je vis depuis trois ans. Et tant qu'à faire creves-en, toi aussi, et épargne moi les discours de rien-fait-rien-vu réchauffés que t'as appris par cœur pour toutes ces confrontations qui te font tellement peur. « J'te connais suffisamment pour revoir mes exigences à la baisse », craché-je, et je suis dure et je m'en veux mais tu le mérites, tu mérites de te sentir un infime peu aussi mal que je me suis sentie tout ce temps, et qu'importe le moyen qu'il faudra, je suis prête à tout employer. Alors je poursuis, sans relâche, le ton mordant et le regard fixe : « Non, une explication pour commencer, ça aurait été pas mal. » Je le dis et à peine ça sort que j'ai déjà la gorge qui se serre et c'est reparti, les larmes grimpent, je suis obligée de me gratter l'arête du nez en un geste désinvolte pour me donner de quoi les ravaler mais mon désarroi reste, ma faiblesse s'offre entièrement à toi et il ne me reste qu'un tout petit peu de patience avant de tout déballer, tout dégueuler sous tes yeux, et tant mieux si ça te fait fuir, si ça te fait peur. Vois ce que ça fait, d'être lâchée en plein vol pour y exploser sans aucun soutien, sans savoir où tu vas retomber et si on t'y attend, sans personne pour recoller les morceaux. Parce que ça aussi, j'en suis sûre, et tiens, laisse-moi noter cette seconde affirmation pour que je m'en souvienne la prochaine fois que je pleurerais sur toi : toi, t'as toujours su que tu pouvais revenir et que t'aurais un pied-à-terre, une amie pour t'attendre. Moi, sans toi, j'ai toujours été à poil. « J'ai fait quoi, Spence ? À quel moment ça a déraillé pour que tu te dises que, tiens, ruiner une amitié de dix boules, après tout pourquoi pas ? »
@Spencer Blackwell (dis moi de me calmer avant qu'on réécrive la bible en 3j stp)
don't you wanna take time and get to love me? we could build a perfect world, i got tricks i really want to show you. i could be your perfect girl, and when we grow older we'll still be friends, we'll still be lovers and won't fear the end. (c)flotsam.
Spencer Blackwell
l'hymne à la nuit
ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440
TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14)nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21)i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3)step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
RPs EN ATTENTE : (eli (scénario libre))you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
this girl’s a different girl today Spencer Blackwell & @Mac Sutherland
Elle grince des dents, la blonde. Ça la tue de devoir se comporter comme ça avec Mac, surtout quand elle crève juste d’envie de la prendre dans ses bras et de s’excuser jusqu’à ne plus avoir de voix. Si elle ne peut pas effacer ses mauvais choix, elle peut en revanche continuer d’en prendre et enfoncer le poignard encore un peu plus. « J’y penserai en repartant. » pourquoi pas s’inventer une vie à Perth, tiens. Elle aura l’impression de changer de paysage et de découvrir de nouveaux horizons. Une échappatoire comme une autre pas chère, pour une fois. Forcément, il faut que l’autre soit toujours dans le tableau. « T’es toujours avec elle ? » sa grimace méprisante est difficile à cacher, tout comme l’octave plus aigu que prend sa voix. Savoir Margot dans le paysage, ça l’a toujours rendue dingue et la simple évocation de son prénom suffit à raviver toute l’animosité qu’elle porte à la jeune femme. Elle n’a pourtant rien fait de mal. Le jour où elles avaient été présentées, elle arborait la même expression mauvaise qu’à l’instant. Si à l’époque, elle avait fait l’effort de prendre sur elle, ce n’est clairement plus le cas depuis bien longtemps. Blackwell tourne la tête pour regarder brièvement vers l’appart où tout le monde continue à boire et danser, scannant les environs à la recherche de celle qu’elle a décidé de détester sans même la connaître. « Je comptais pas l’épouser, j’te rassure. » elle ne prend pas la peine d’expliquer pourquoi il a pu l’appeler comme ça, Mac connaît assez l’énergumène à ses côtés pour deviner qu’il y a forcément une combine. « Surtout pas maintenant que je sais qu’ils sont potes. » même maintenant qu’elle n’a techniquement plus de raison de cracher son venin sur la pauvre fille, elle ne se fait pas prier. Son ressenti est sans doute pire aujourd’hui qu’elle ne fréquente plus Sutherland. Parce que Margot continue de partager sa vie et toutes ces choses que Spencer n’a jamais osé réclamer et que ça lui fout la haine malgré tout. Elle n’a pas le droit d’être aussi véhémente envers la copine de Mac et pourtant c’est plus fort qu’elle. C’est viscéral, elle contrôle pas. Rageusement, Spencer lâche un souffle du nez avant d’écraser sa clope tout juste finie sur la rambarde et d’aussitôt en rallumer une. Le briquet semble refuser de coopérer et ça ne fait qu’ajouter à sa frustration montante. Décidément, son calme apparent n’aura pas duré bien longtemps. Blackwell lève les yeux au ciel, lâche un ricanement sec qui trahit clairement son amertume face à toute cette situation. Si elle savait, Mac. Si elle savait à quel point ça l’a démangée de ne pas venir la trouver. A quel point ça l’a tuée à petit feu à mesure qu’elle continuait à s’enterrer dans tous ses vices. Aujourd’hui il ne reste plus rien à sauver, elle n’est plus qu’une carcasse qui se traîne et qui parfois, fonctionne assez pour ressentir tout un panel d’émotions qu’elle déteste plus que tout. Elle a honte, putain. De ce qu’elle a fait, de ce qu’elle est devenue. Et la seule personne qui se soit montrée patiente, qui a subi sans broncher toutes ces années, celle qui a continué à lui tendre la main quand elle grattait le fond… Elle lui a juste craché à la gueule avant d’enterrer son souvenir. Spencer pourrait dire qu’elle l’a fait pour protéger Mac, mais ça serait un énième mensonge. La vérité, c’est qu’elle ne supportait plus de voir son reflet au travers des yeux de Sutherland. Ses air constamment déçus ou tristes dès que leurs regards se croisaient, c’était trop. Alors en bonne lâche qu’elle est, Blackwell a préféré prendre la fuite. Elle secoue la tête en faisant rouler sa nouvelle clope entre ses doigts. Elle est pas assez saoule pour ça. Pas assez défoncée. Trop lucide. Putain. La mâchoire toujours serrée, elle se tourne complètement vers Sutherland. « Tu t’es jamais dit que peut-être, juste peut-être, tu m’étouffais à constamment être sur mon dos ? » le mensonge siffle, bien trop facile à sortir. Ça lui donne la gerbe de lui parler comme ça. Elle mérite le monde Mackenzie, pas de se faire traîter comme la dernière des merdes. Mais tant qu’elle s’accroche, c’est sans espoir et elle finira consumée par l’aura destructrice que semble laisser Blackwell partout où elle passe. « J’avais besoin d’autre chose que ça, Mac. » elle n’a aucune idée de comment sa voix fait pour ne pas se briser là, maintenant. Elle a le cœur tellement serré qu’elle se demande s’il bat encore où s’il s’est juste arrêté pour mieux se briser. C’en est douloureux physiquement. « Nous deux ça pouvait pas fonctionner, c’était pas fait pour durer tu le sais comme moi. » pourtant toutes les promesses faites dans leur jeunesse, elle les pensait et y croyait. Nous contre le monde, c'est tout ce qu'elle voulait.
(ptdr moi ça me va on fait le nouveau testament avec si tu veux )
Spoiler:
Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180
TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS : SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
« Ouais, toujours. Comme quoi, quand les gens restent, y a de belles choses qui se construisent, parfois. » J’ignore si on pourrait qualifier de belle notre relation qui tient par un poil de cul, et je ne sais pas non plus ce que je cherche avec cette pique gratuite. Mais ça sort, c’est plus fort que moi ; peut-être que je cherche à attiser ta jalousie, rien que pour voir si elle existe toujours et notre possessivité qui nous étouffait mutuellement à l’époque me devient presque enviable. « Ouf. » C’est une interjection moqueuse à la remarque de ta non-union avec Oliver. Moi je m’en fous, d’Oliver, des potes de Margot en général, je les apprécie le temps d’une soirée quand il le faut mais leur avenir, leurs amours, ça me passe dessus comme l’avenir du bucardo pyrénéen ; ta remarque sur Margot, en revanche, me touche davantage encore, je capte sans mal ton ton grinçant, ton inimitié pour sa personne et je m’accroche à ça comme une damnée à sa salvation vaine. Certaines choses n’ont pas changé, après tout, et si je peux partir de ce principe vis-à-vis de cette femme que tu n’aimes pas, c’est que je peux sûrement en trouver d’autres qui nous rapprochent davantage. Et au fond, ça m’arracherait de l’avouer face à toi, mais au diable Margot - je me délecte de ta jalousie latente et elle me tire un maigre sourire de victoire sans que je puisse m’en empêcher. Puis on y vient, sans prévenir, et je sais pas si je préférais ton mutisme buté ou cette version de toi qui crache tes vérités desquelles je ne me doutais pas, sans filtre ni joli emballage pour me préserver. Je sens ma gorge se nouer comme on essore un torchon pour en sortir les larmes et tout le calme serein et contrôlé que je m’acharne à dégager depuis tout à l’heure est en train de m’échapper, je le sens. Tu parles, tu débites et moi, je me défais sur le balcon, je m’accroche à mon mégot qui menace de chuter du cinquième étage, je ne sais pas si c’est lui qui va l’emporter ou si c’est moi, si on va se casser tous les deux la gueule ou si je vais réussir à nous ramasser au bon moment. Toi tu parles de nous, de mon besoin de tout contrôler, du fait que tu mérites mieux et j’acquiesce presque, tu as raison, tu mérites mieux que mes jérémiades et mon besoin de t’enfermer tout près de mon coeur pour mieux te protéger. Peut-être que tu parles trop vite ou peut-être que mon cerveau ralentit et coule alors qu’en moi tout s’effondre, mais je ne sais pas combien de temps il me faut pour répondre, pour me ressaisir, pour trouver la force. Je le fais sans savoir de quoi je parle. « ‘Nous’ ? Mais de quel nous tu parles, Spence, y a pas de nous, tu me lâches pendant trois ans sans bonjour ni merde et tu viens me parler d’un nous, merde, t’as rien compris. » Je réfléchis à voix haute, ou je crie mentalement, je ne suis plus sûre de rien, je balance rageusement le mégot qui me retenait sur le balcon et je passe un revers de main rageur sur ma joue pour y découvrir des larmes. « Y a jamais eu de nous deux, Spence, fais pas des boniments juste pour te donner bonne conscience. Et même si y avait pu y avoir un nous t’aurais fui, comme à chaque fois parce que tu fais que ça, moi j’attends que ça, le ‘nous’, mais j’ai arrêté de poireauter quand j’ai compris que t’étais infoutue de voir plus loin que tes chaussures et quand t’as décidé de tout plaquer pour Sydney, ou je sais même pas où. » Voilà, dix ans d’amitié qui se résument à des insultes et des vieilles rancoeurs balancées un premier janvier sur le balcon d’un pauvre mec qui se titille le poireau sur la richesse de papa, ça nous va bien, je crois, ça nous ressemble. Je déteste arriver à ce constat. « Y avait toi, et y avait la meuf derrière qui t’empêchait de trébucher, qui attendait que tu te ressaisisses et que tu te sortes les doigts du cul. T’as eu dix ans pour te faire à l’idée, et t’en as pris trois pour tout niquer. Je sais même pas pourquoi j’étais contente de te revoir, en fait. » Je ne suis pas sûre d’aimer cette Mac-là, celle que je suis lorsque tu me blesses.
don't you wanna take time and get to love me? we could build a perfect world, i got tricks i really want to show you. i could be your perfect girl, and when we grow older we'll still be friends, we'll still be lovers and won't fear the end. (c)flotsam.
Spencer Blackwell
l'hymne à la nuit
ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440
TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14)nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21)i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3)step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
RPs EN ATTENTE : (eli (scénario libre))you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
this girl’s a different girl today Spencer Blackwell & @Mac Sutherland
Spencer ricane de nouveau, plus pour cacher son agacement que par véritable envie de rire. Margot a toujours été une épine dans son pied, mais elle se disait qu’au moins, Mac avait quelqu’un d’autre si le pire devait arriver. Et tant pis si cette autre était une connasse qu’elle ne pouvait supporter. « D’belles choses ? T’es sûre de toi ? » qu’elle râle sans prendre le temps de réfléchir. « Un mot et j’la largue, Spencer. » elle prend une voix volontairement haut perchée et nasillarde, imitant bien pauvrement Sutherland et déformant probablement les véritables propos qu’elle avait tenu des années auparavant. « Elle est au courant qu’elle vaut si peu que ça à tes yeux ? Ou tu veux que j’aille lui dire ? » d’un geste de main, elle désigne l’intérieur de l’appartement, mimant presque de s’y rendre sur le champ pour aller trouver la concernée. C’est petit et très mesquin de l’attaquer sur ce point là. Parce qu’elle en crevait d’envie, de lui dire oui à ce moment-là et de prendre sa place, celle qui lui revenait de droit. Ça la rend dingue de parler de cette fille. Ça la rend dingue parce qu’elle est consciente que Margot vaut mille fois mieux qu’elle et ce sur tous les plans. Et ça fait ressortir le pire en elle. Il est bien laid, le visage de la jalousie. Quel sentiment d'hypocrite, bordel. Dès l’instant où elle a déballé ses fausses vérités, elle est assaillie par le regret et elle a juste envie de tout retirer. Elle ne réfléchit plus mais ne peut pas s’en empêcher. Si elle laisse Mac entrer de nouveau dans sa vie, ça va mal se terminer pour elles. Pire que maintenant, pire que quand elle a claqué la porte. Mac pleure et c’est le genre de vision que Spencer ne sait supporter. Ça lui retourne l’estomac et c’est encore pire de savoir qu’elle est la cause de tout ça. Elle a juste envie de chasser ces larmes d’un geste de main, de demander pardon encore et encore et encore. Sa résolution est à ça de se briser, alors elle détourne les yeux, refusant d’affronter cette vision plus longtemps. Chaque mot que Sutherland prononce est un coup de poignard en plein cœur. C’est franchement mérité, mais ça n’en reste pas moins extrêmement brutal et difficile à entendre. Parce que putain, Mac a raison sur toute la ligne, et c’est bien là le problème. Le ton est monté rapidement, trop rapidement et elles parlent sans doute assez fort pour attirer l’attention de quelques curieux à l’intérieur. Spencer encaisse, redresse le dos et s’approche d’un pas, une expression indéchiffrable vissée sur le visage. Un mélange de colère et de frustration, de peine et de regret. Y a tellement de choses qu’elle aimerait dire, qu’elle voudrait faire. Pourtant elle s’obstine toujours à repousser Mac. « Me fais pas croire que ça t’étonne que ça ait fini comme ça. Tu pouvais pas indéfiniment trimballer un déchet comme moi, hein ? Pourquoi t’as continué à t’obstiner si c’était si terrible à supporter ? » Blackwell relève la tête et toise son amie un poil plus grande qu’elle. La mâchoire tremblante, elle continue. « Y avait rien à sauver à l’époque, y a rien à sauver maintenant, tourne la page et oublie moi, tu veux ? Ça vaudra mieux pour tout le monde. » y avait rien à sauver de cette relation qui les bouffait toutes les deux, y avait rien à sauver de Spencer. Quelle conne, putain, quelle conne. C’est pire que tout, ce qui est en train de se passer. C’est exactement pour ce genre de raison qu’elle est partie la première fois. Parce qu’affronter ses erreurs, elle sait pas faire. Spencer se mord l’intérieur de la joue, fort. Et lorsque le goût ferreux de son sang vient envahir sa bouche, elle lâche un soupir et secoue la tête, puis recule finalement, son talon venant malencontreusement bousculer le verre de tout à l’heure qui se met à dégringoler jusqu’en bas. Il s’éclate au sol et se brise, le son parvenant à peine jusqu’à leurs oreilles. Dans d’autres circonstances, elle aurait pas hésité à pousser du balcon quiconque s'adresse à Mac de cette façon. « Ça vaudra mieux pour toi. » qu’elle ajoute dans un marmonnement intelligible.
(allez ça part)
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Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180
TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS : SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
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MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
Je sais pas pourquoi on ramène Margot au centre de la conversation ; peut-être parce que ça semble approprié, de jeter le blâme sur quelqu’un d’absent, d’éviter de faire face à nos propres torts à chacune, ou peut-être encore parce qu’elle a toujours été là, un peu entre nous deux, une ombre qui plane sans que je ne m’en rende compte à moins que j’ai feint la cécité pour mieux me délecter de tes réactions. Ca n’a jamais été sain, entre nous, jamais clair, Spence, et sur ça au moins tu as raison ; que tu coures le dire à Margot ne changera rien, parce qu’elle a toujours dû apprendre à composer avec le statut de seconde et que si tu me le demandais, encore aujourd’hui, sur ce balcon où on s’engueule, je te répondrais la même chose sans la moindre hésitation. Ma dévotion envers toi m’a toujours fait peur. « N’essaie même pas », je préviens, le ton sterne et sombre, j’essaie de me rendre menaçante mais ma voix tremble trop pour porter une quelconque crédibilité. Parce que malgré tout j’y tiens, à Margot, elle est restée, c’est à peu près la seule stabilité que j’ai dans ma vie où je me retrouve jamais. Ce qui me blesse, surtout, c’est que tu ressortes ça, maintenant, des années après avoir fait semblant de rien avoir entendu. « C’était vrai quand je te l’ai dit, quand t’avais encore la présence et l’importance dans ma vie pour que je prenne cette décision. T’es partie et elle est restée, Spence. T’as plus le droit de brandir ça comme menace à la con. » Ça y est, ça tombe, je vous mets directement en parallèle parce que je sais que tu vas détester ça, te rebeller de tout ton être et peut-être que je le cherche, finalement. Peut-être, au fond, que j’ai qu’une envie, et c’est que tu déboules dans le salon comme une furie pour dire à ma copine que j’étais prête à la plaquer pour toi, que tu foutes tout en l’air, purement par jalousie et cupidité, parce que ça te foutra le nez dans ta propre merde et que tu seras bien obligée de te rendre compte que toi aussi, t’en avais envie, qu’importe combien de siècles t’as passé à t’en cacher. Je me dis que si je te pousse à l’erreur alors tu reviendras vers moi par toi-même. J’oublie que t’as jamais fonctionné autrement que par la fuite. Le simple constat m’énerve et c’est à moi, de sortir les grands mots, de déblatérer tout ce que je retiens depuis trois ans : le vrai, le faux, l’exagéré par la tristesse, tout y est et je ne me contrôle sur rien. Oui, t’étais terrible à supporter, mais je le referais un million de fois et je préfère encore cette guerre ouverte à ton absence. « Mais merde, ça t’arrive jamais d’arrêter de t’apitoyer et d’essayer d’aller mieux ? De faire des trucs bien, des trucs pour toi ? » Je me fais froidement l’effet de ceux qui veulent te faire combattre la dépression en te disant de sourire à la vie. Tu me frustres, Spence, avant tout parce que je suis infoutue de savoir comment t’aider, je me sens inutile face à ton malheur et je désespère de t’y voir plonger sans savoir comment te récupérer. Et à force d’essayer de te préserver de toi-même, j’ai fini par te convaincre que tu ne valais pas mieux. Au lieu de rester malgré tout, je me suis échinée à te sauver jusqu’à complètement lâcher prise. Je t’ai laissé tout l’espace pour couler au lieu de tenter de te parvenir à flot, et tu as fini par en croire qu’on est mieux l’une sans l’autre. Parfois, je me demande si c’est vraiment faux. Mon premier réflexe c’est de te dire ouais, t’as raison, mais cette fois mon cerveau m’en empêche, la conscience froide et implacable me vient que si je fais ça, ce sera certainement la dernière fois que je te verrai, point barre, et cette fois le doute et l’espoir ne seront plus permis. Au lieu de ça, je plante mes yeux brouillés dans les tiens, je ravale les sanglots, la morve qui va très bientôt couler façon dessin animé, les poings qui tremblent je les carre soigneusement sous mes bras en les croisant sur ma poitrine. Je m’achète une contenance parce que je suis infoutue de savoir ce que tu penses, comment te lire, comment te ramener près de moi sans risquer de nous brûler toutes les deux. « C'est c’que tu veux ? » je demande simplement, à travers le rideau de larme et un reniflement perdu. Et je décide que quoi que tu dises, cette fois, j’obéirai quoi qu’il en coûte.
don't you wanna take time and get to love me? we could build a perfect world, i got tricks i really want to show you. i could be your perfect girl, and when we grow older we'll still be friends, we'll still be lovers and won't fear the end. (c)flotsam.
Spencer Blackwell
l'hymne à la nuit
ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440
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(mac#21)i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
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this girl’s a different girl today Spencer Blackwell & @Mac Sutherland
C’est une gamine, Blackwell. Une enfant qui n’a jamais mûri et qui se laisse submerger par ses désirs les plus profonds, qui vit de façon trop intense et qui détruit tout ce qu’elle touche. La liste est bien trop longue et elle aurait souhaité ne jamais y ajouter le nom de Mac. En partant lâchement, elle pouvait facilement prétendre que tout serait plus simple pour la jeune femme. En s’enfuyant, elle pouvait choisir d’ignorer les conséquences de ses actes et au diable si ça faisait du mal. Mais là… Là, elle est mise devant ses erreurs. Elle n’a rien accompli, Mac est en colère et c’est bien normal. Sans doute même que Sutherland ne lui en veut pas autant qu’elle s’en veut elle-même. Petite nerveuse et rageuse, elle se laisse toujours dépasser par ses émotions et ça fout la merde partout où elle passe. La fausse menace sort toute seule, mauvaise plaisanterie pourtant presque sérieuse. Si on la pousse assez, elle ne va pas se faire prier pour aller trouver Margot et lui balancer la vérité brûlante au visage. Ça serait particulièrement déloyal et bas, même pour Spencer. « Sinon quoi ? Qu’est-ce qui m’en empêche ? Tu crois pas qu’elle vaut mieux que ça ? Que tu vaux mieux que ça ? » wow, okay. C’est sans doute la chose la plus sympa qu’elle ait jamais dite à propos de Margot. Une grande première mais surtout une grande dernière. Qu’elle aille se faire foutre, sa copine. Et tous leurs potes aussi. Elle a essayé d’aller mieux, de faire les choses bien. Et peut-être que si elle n’avait pas tourné le dos aux personnes prêtes à lui tendre la main, peut-être que si elle avait fait l’effort d’assumer ses problèmes, ses addictions et d’en parler à Mac, elle aurait réussi. Au lieu de ça, elle clamait tout avoir sous contrôle. Au lieu de ça, elle prétendait pouvoir s’en sortir et continuait à faire la sourde oreille aux messages d’alertes qu’on lui envoyait sans cesse. Mais cette condition de vie, tous ces problèmes qu’elle a, c’est tout ce qu’elle connaît désormais. Un quotidien ingrat et merdique qu’elle ne souhaiterait même pas à son pire ennemi. Elle n’a jamais eu trop d’ambition, elle a toujours été trop concentrée sur ses malheurs pour ne pas sombrer. La présence de Mac a toujours été comme une bouée de sauvetage, mais même cette chance, elle n’a pas su en profiter pleinement. « Lâche moi avec ta morale à deux balles. » elle siffle d’un air presque mauvais. « J’ai pas besoin que tu recommences à me dire ce que j’ai le droit de faire ou pas. » elle essaye de s’en convaincre en tout cas. L’état dans lequel se trouve Mac, c’est sa faute. Elle a causé ça de façon parfaitement consciente. Elle est responsable et ça lui fait bien plus mal que d’avoir à accuser ses reproches. Doucement mais sûrement, Spencer se ferme. Elle n’a plus la force ou l’envie de se battre, parce que non, ce n’est pas ce qu’elle veut. Son regard se détache et va se poser sur un point lumineux dans la rue le temps de quelques instants. Sa mâchoire se serre et elle commence à secouer la tête en ravalant ses propres larmes qu’elle refuse de laisser couler. « Tu sais quoi, laisse tomber. » qu’elle souffle, la voix légèrement tremblante à cause des nœuds dans sa gorge. La blonde jette son mégot écrasé entre ses doigts et inspire difficilement sans plus jamais croiser le regard de Mackenzie. « J’vais rentrer. » elle sort ça comme un simple constat en se tournant vers la porte du balcon, essayant tant bien que mal d’essuyer ses yeux brûlants sans que ça se remarque. Mais Sutherland est juste à côté, forcément que c’est difficile à manquer. C’était prévisible, comme dénouement. Lâche qu’elle est, Blackwell opte une nouvelle fois pour la fuite parce que c’est la seule chose pour laquelle elle est un tant soit peu douée. Et avec tout ça, elle ne prend même pas la peine de donner une réponse claire à Mac avant de rentrer. Elle ignore les yeux braqués sur elle, fusille du regard ceux qui ont le malheur d’être sur sa route et se fraye un chemin jusqu’à la sortie de l’appartement qui semble soudainement bien trop grand. Tant pis pour son plan, tant pis pour Oliver, elle a besoin de sortir d’ici et vite. Une chose est sûre, elle sait comment elle va célébrer la nouvelle année. Avec une aiguille dans le bras et une bouteille de vodka premier prix dans la main.