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 NOM D'UN CUL...te - Deborah

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Message(#)NOM D'UN CUL...te - Deborah EmptySam 5 Fév 2022 - 13:23

Nom d'un CUL...te !
harold ft. deborah

Debout au milieu de son salon, Harold regarde le sac de croquette et regarde la gamelle posée sur la table. Ses yeux sont presque en train de loucher à force de faire du va et vient entre les deux. Puis il regarde Newton en plissant doucement le regard et s’agenouille doucement en s’approchant de lui. Le chat, incertains, fait quelques pas de reculons avant de s’asseoir. Harold songea dans sa tête « Mais comment c’est possible ». Il se releva d’un coup avant d’aller fouiller les tiroirs de sa commode. Il balança des cravates, un vieux livre sur le savoir de parler aux femmes et trois VHS de Star Wars avant de trouver ce qu’il cherchait. Ledit ruban à mesurer, celui qui ne lui avait jamais servi, qu’il était sur le point de se servir ! Il emboîta le pas vers la cuisine avec sa trouvaille et choppa Newton au passage qui miaula de surprise par la vitesse de son maître. Il le déposa sur le comptoir de cuisine et entoura le ventre du chat en haussant lentement les sourcils.

-Mon vieux, je ne sais pas comment te dire ça… Mais t’es devenu gros ma parole… Mais, heureusement pour moi…

Il lui retira son collier et le remua doucement, laissant le bruit de la clochette faire un tintement.

-… J’ai pris mes dispositions !

Précisément pour une remise en contexte, Harold avait planqué une micro-caméra, ainsi qu’une puce GPS dans son collier pour comprendre ce que pouvait bien foutre son chat durant la journée ! Pourquoi ? Oui il y a un peu de la folie de Harold qui joue dans la balance, mais surtout une grosse portion au sujet d’une certaine prise de poids inquiétante. Pour quelqu’un qui jour avec des chiffres toute la journée, il est fortement conseiller de lire ses manuels et de se coller aux plans prescrit, mais dans le cas de Newton, monsieur avait décider d’y aller roue libre avec son poids en espérant survivre d’eau fraîche et d’amour avec un extra croquette. Il attrapa donc l’ordinateur portable et s’installa à la chaise de la cuisine.

-Voyons voir… Est-ce que je souhaite souscrire à un abonnement pour utiliser les services… Mais je ne veux pas m’abonner moi ! Barre toi la pub ! Je veux juste les images !!

À force de clics par-ci et par là, il réussit à démarrer le logiciel pour voir ce que la caméra avait bien pût capter. Il se frotta d’ailleurs les mains en ricanant, fier de sa chandelle. Pour l’instant rien de bien fameux, juste des vidéos durant laquelle le chat monte sur le comptoir, sur la table sur le canapé, puis sur une chaise de cuisine… Mais Harold remarqua, ce n’est pas sa chaise de cuisine ? Il tourna lentement la tête vers le chat, puis de retour à l’écran ou son regard se figea. Pour rester bien polit au sens de la neutralité, il venait de tomber sur la collection privée d’Aladdin en personne ou bien…

-Ce cul…

Oui, Harold avait totalement manqué de neutralité, mais si vous aviez vu ce qu’il était en train de voir, vous auriez bien eu envie de visiter l’appartement 151. Harold glissa sa tête dans son visage en soupirant et réalisa que sur la vidéo un second chat passa en coup de vent, qui ressemblait exactement à Newton.

-Mais… Tu es allé ou exactement !

Il n’avait pas capté exactement les images qu’il aurait souhaité cependant, il comprit comment le chat avait pris autant de poids. Il fit une petite recherche GPS pour en savoir l’adresse et aller dire deux mots à ses occupants ou du moins… Son occupante aux vues de ce qu’il venait de voir malgré lui. Fortitude Valley… Il attrapa les clés de la Bentley et soupira en marchant vers la sortie. Il avait hésité à emmener son chat, mais il se disait que c’était inutile. Il prit donc la route vers la dîtes demeure et y arriva au bout de quelques minutes de conduite.

-Et je dis quoi exactement… Bonsoir madame, mon chat obèse vous à piquer votre bouffe…

Il regarda le ciel et soupira longuement en ayant une envie de meurtre sur chat à ce moment précis. Il sortit et arriva près de l’intercom en appelant le 151. De base, Harold ne s’attendait pas à recevoir la moindre réponse, mais ont lui répondit.

-Euh oui bonjour ! Pardon du dérangement, mais je pense que votre chat et le mien se sont mélanger… Je peux vous parler vite fais ?

Au pire à ce stade-ci, il s’attendait à se faire refuser et repartir d’où il était venu, bredouille.  
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Message(#)NOM D'UN CUL...te - Deborah EmptyMer 16 Fév 2022 - 23:33

Ranger. Habituellement c’était un des trucs préférés de Deborah – Joseph lui avait même reproché de foutre son nez dans ses affaires plus d’une fois tellement elle aimait ça. Elle n’était pas du genre bordélique mais une fois par semaine, elle mettait la musique à fond et faisait le grand ménage, chaque chose devait retrouver sa place. Un petit bonheur simple parce qu’elle avait toujours eu la sensation qu’un appartement – ou une maison peu importe – bien rangé, c’était aussi le signe d’être bien dans sa tête, bien dans ses baskets. Il pouvait rester un peu de poussière sur les meubles et le sol ne pas être tout à fait clean – bien qu’elle s’évertuait à faire les deux ensuite, ça faisait partie du rituel – ce n’était pas grave. Le rangement était la voûte de son bien-être lorsqu’elle était dans son appartement et si elle tardait à le faire, le plaisir devenait besoin au point où elle devenait parfois obsédée quitte à ranger en pleine nuit. Il fallait croire qu’elle avait un petit à la Monica dans F.R.I.E.N.D.S.

Pourtant, depuis quelques mois, cet aspect-là avait totalement disparu. Son appartement n’était pas sale mais il manquait furieusement de rangement. Elle laissait ses chaussures trainer dans le couloir, elle peinait à faire sa vaisselle, elle laissait des boites de pizza vides sur le comptoir de la cuisine, des cadavres de bouteilles d’alcool sur la table basse du salon accompagnées d’un cendrier rarement vidé alors qu’elle s’était toujours interdite de fumer à l’intérieur – elle qui était pourtant qu’une fumeuse occasionnelle jusqu’ici. Son lit n’était plus bordé tous les jours, c’était à peine si elle revissait correctement le tube de dentifrice après l’avoir utilisé. Les fringues dans son dressing n’étaient même plus pliées et celles encore humides d’un lavage tardif pendouillaient de façon nonchalante sur l’étendoir. Le bordel de son appartement était le reflet du bordel qu’elle trainait dans sa vie et dans sa tête. Parfois elle essayait de ranger mais abandonnait très vite, assaillit par des « à quoi bon » et des « ça ne servira à rien. » La brune n’avait plus envie de rien et rien ne la forçait à ranger puisqu’elle était dorénavant seule ici et qu’elle s’évertuait à ne recevoir personne, quitte à se forcer à sortir pour éviter toute visite ici.

Il allait donc de soi que cette sonnerie à l’interphone, elle ne l’attendait pas ! Enroulée dans sa couette, la mine renfrognée, elle grognait à l’idée de se lever quand bien même la journée avait commencé depuis longtemps. Soupirant, elle se redressait et trainait sa carcasse en pensant que c’était peut-être Camil qui avait besoin d’elle. Prise au dépourvu par une voix qu’elle ne connaissait pas, son regard se tournait vers Stéphan, le chat que Joseph avait laissé ici : « Pardon ? Mélanger vous dites... Stéphan putain ! Me dit pas que tu as fait des petits à un autre chat du quartier bon sang ! » Est-ce qu’il venait d’y avoir un gros quiproquo et qu’elle engueulait littéralement le chat sans se soucier du pauvre homme au bout de l’interphone ? Oui, bien qu’elle se reprenait rapidement. « Pardon, oui, vous pouvez monter, je suis désolée. » Puis elle regardait un instant autour d’elle, comme si son regard se rendait enfin compte du foutoir dans son appartement, comme si une visite avait fini par lui ouvrir les yeux sur le bordel dans lequel elle vivait ces derniers temps. « Un quart d’heure… Je... » Comment dire à un mec qu’on ne connait pas qu’on a besoin d’un quart d’heure pour faire bonne figure ? « J’étais dans la douche en fait, si ça vous dérange pas que je finisse et que je vous ouvre quand j’ai enfilé un truc, ça m’arrangerait. » Mensonge, mais c’est tout ce qu’elle avait trouvé sur le moment. « Sauf si vous êtes pressés, on peut se donner un rendez-vous et vous repassez, comme vous voulez. »

Mais il n’allait pas repasser… Alors dès lors qu’elle savait qu’il allait resonner dans un quart d’heure pour monter, elle trottinait dans son appartement pour le rendre le plus clair possible. Armée d’un grand sac poubelle, elle balayait comptoir et table de son bras – quitte à balancer le cendrier avec – pour tout mettre à la poubelle. Rapidement, elle nettoyait les quelques verres et mugs qui trainaient encore avant de courir à la salle de bain. Elle savait que cet inconnu n’irait pas plus loin que la pièce principale mais c’était sa propre personne qui devait maintenant être présentable. Coup de brosses – à cheveux comme à dents – changement rapide de fringues après nettoyage express des zones sensiblement odorantes, un peu de déo, un peu de parfum et le tour était joué, elle pourrait aisément faker la douche rapide. En revanche, ce qu’elle aurait du mal à cacher, c’était son essoufflement lié à sa rapidité alors que, déjà, il sonnait de nouveau. Automatiquement, sans rien dire, elle appuyait sur le bouton pour lui ouvrir en bas tandis qu’elle s’évertuait ensuite à passer un coup d’éponge sur le comptoir de la cuisine. Autant dire que du point de vue de Deborah, il arrivait bien trop rapidement à sa porte. « J’arrive, une minute. » Celle nécessaire pour fourrer ses chaussures n’importe comment dans le meuble de l’entrée juste avant de lui ouvrir et d’afficher un sourire de façade. « Bonsoir. Entrez, je vous en pries. » disait-elle en poussant discrètement avec son pied, une chaussure restée là, pour la camoufler sous le meuble. « Je suis sincèrement désolée de vous avoir fait attendre et je vous promet d’ores et déjà de prendre à mes frais les soins vétérinaires. » Oui, la brune était toujours persuadé et que ce nœud-nœud de chat avait engrossé la chatte de ce monsieur, bien peu consciente de la réalité.
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Message(#)NOM D'UN CUL...te - Deborah EmptyJeu 17 Fév 2022 - 3:33

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harold ft. deborah

Harold qui ne connaissait pas véritablement les alentours ne savait pas même si cette personne allait même lui ouvrir et très honnêtement était prêt pour un simple moment d’ignorance où il retournait bredouille chez lui. Cependant, contre toute attente l’intercom communiqua avec lui. Croyez-le, ou non, il n’avait jamais discuté avec ce genre de machine et s’attendait simplement à ce qu’on lui ouvre, pas véritablement qu’on l’entraîne dans un monologue au bas de la porte. Il aurait voulu répondre, mais alors répondre quoi « Non mademoiselle, vous allez m’ouvrir tout de suite cette porte! Je dois m’entretenir au sujet de chats et c’est urgent! »… Il ne fit que soupirer en haussant les épaules, ne comprenant rien à rien. Déjà il se fit la réflexion « qui est Stéphan » et surtout « Stéphan engrosse des chats? C’est pas un peu dégueu ».

Il tira la langue avant de penser que peut-être Stéphan était l’autre chat qu’il avait vu sur la vidéo. Tout de suite c’était certainement plus logique. Cependant il fit face à la pire chose à faire. Attendre un quart d’heure, seul, alors qu’on se retrouve dans un quartier complètement inconnu. Il enfila ses mains dans ses poches et s’appuya contre le pare-chocs de sa voiture en sifflotant. Il s’amusait à verrouiller et déverrouiller les portes de sa Bentley et hésita même à appeler Axel pour lui raconter la bonne blague. Cependant, le temps de le dire ce quart d’heure passa rapidement, beaucoup plus rapidement qu’il ne l’avait vu venir et il verrouilla les portières de la voiture, se dirigea de nouveau vers le dit intercom et sonna après exactement le quart d’heure demandé. Il se demanda à lui-même « Et si elle était en train de faire autre chose qu’une douche… » Puis il plissa un sourire relativement trop exciter pour l’occasion et emboîta le pas pour monter lui rendre visite.

Harold entra dans l’appartement en observant un peu autour et bien qu’il reconnût les murs, les meubles et surtout la demoiselle, il ne reconnaissait pas l’habituel bordel qu’il y avait constater par le passer sur les images de la vidéo. Cependant, il n’allait quand même pas lui faire un commentaire du genre « Aaaah c’est vachement ranger contrairement à d’habitude, sinon vous avez fait quoi du cendrier plein ». Bonjour le malaise entre les deux, s’il allait en ce sens. Il préféra donc rester silencieux et s’en tenir au tapis d’entrée en refermant la porte derrière lui d’une manière calme et ne sachant pas réellement comment débuter cette phrase, vu qu’elle parlait déjà de vétérinaire. À croire que son chat avait une vie sexuellement plus active que Harold, c’était presque déroutant. Bref il chercha le regard de la jeune demoiselle et enfila ses mains dans ses poches.

-Je me présente Harold et je vous rassure, votre playboy félin n’as pas engrossé mon chat. Quoi que je ne puisse pas affirmer qu’ils ne se sont pas… Fait la chose.

Oh mon dieu, un regret immédiat de la blague sexuelle entre deux chats mâles qu’il venait de faire. C’est officiel, Harold ne lui en voudrait pas, si elle lui demander de quitter. Cependant, il continua la raison pour laquelle il était venu. Il prit son portable pour montrer la photo de Newton à la jeune demoiselle, en espérant qu’elle ferait peut-être le lien qu’ils avaient le même chat ou qu’il était juste un genre de malade qui photographiais les animaux des autres.

-Voyez, ça c’est Newton, mon chat et j’imagine que Stéphan, soit votre chat.

Après avoir parlé d’engrosser, il n’imaginait pas, il espérait surtout. Bon dieu qu’il le souhaiter au plus haut de son âme, sinon que dieu vienne en aide à Stéphan. Sinon Harold scruta rapidement le logement en se questionnant sur le ménage qui avait été fait et surtout aussi rapidement que ça, sachant que les vidéos dataient de quelques jours, voir au maximum une semaine de ça. Est-ce qu’elle avait fait de la magie noire pour tout faire disparaître?

-Je penses que vous nourrissez mon chat sans même le savoir et que votre chat viens chez moi sans le savoir et à vrai dire je m’inquiète un peu en remarquant qu’il a pris relativement du poids… Comme il a des allergies, des besoins nutritionnels précis et tout un genre de suivit particulier… Ce serait bon de m’assurer qu’il ne mange rien qui soit… Mauvais pour lui.

Harold se fit la réflexion « c’est vexant ? » parce que dit comme ça il eut peur un court instant qu’il ne l’accuse de littéralement donner de la merde à son chat, chose qu’il n’avait pas l’intention d’insinuer, à moins du contraire bien évidemment. Cependant, un court instant Harold plissa le regard vers une lampe dans le coin d’une des pièces en pensant tout haut.

-Tiens cette lampe-là je n’ai pas souvenir de l’avoir vue. Vous avez changé le mobilier récemment?

Il fit de gros yeux en réalisant la boulette qu’il venait de commettre, puisqu’il venait de dire indirectement qu’il avait vu cet appartement avant, chose qu’elle n’était pas au courant et il sentit d’ailleurs un petit stress remonter en lui.
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Message(#)NOM D'UN CUL...te - Deborah EmptyMer 2 Mar 2022 - 3:59

Comme si la jeune femme n’avait déjà pas assez de problème comme ça, il fallait en plus qu’elle se coltine les problèmes liés à un chat qui n’était même pas le sien. Persuadée qu’elle allait faire face à un propriétaire fâché que sa chatte soit enceinte, la brune ouvrait la porte avec un sourire de façade au visage, comme pour tenter de calmer des tensions qui n’existaient pas. Si elle était bien loin de s’imaginer que c’était l’autre chat qui posait un problème en réalité – sa gourmandise en tout cas – Harold, comme il venait de le dire, la rassurer d’une bien drôle de manière. Est-ce qu’il venait sérieusement de dire « faire la chose » ? De quoi réellement amuser Deborah, elle qui avait tendance à parler de sexe sans passer par aucune image, d’autant plus entre adultes. « D’accord... C’est déjà une bonne nouvelle. Vous pouvez m’appeler Debbie. » disait-elle en entrant davantage dans l’appartement, l’invitant en silence à la suivre dans la pièce principale, ils n’allaient tout de même pas rester dans l’entrée comme deux idiots.

Face au frigo, elle s’arrêtait un instant pour regarder le téléphone que l’homme lui tendait, perplexe pendant un instant jusqu’à ce qu’il s’explique. Newton, portrait craché de Stéphan. Les voilà dans une drôle de situation. « C’est pas vraiment mon chat. » disait-elle en ouvrant le réfrigérateur pour en sortir une bouteille d’eau ainsi qu’une bouteille de multifruits. « C’est celui de mon ami et colocataire et sincèrement, à part faire attention à ce qu’il ait toujours à manger et à boire à porter de pattes et lui faire des papouilles le soir venu, je m’en occupe pas vraiment. » lançait-elle à l’encontre de son interlocuteur alors qu’elle était déjà en train de fouiller dans son placard pour en sortir des verres propres. « Un verre ? Pour vous remercier d’être venu. » proposait-elle en se retournant pour poser les verres sur le comptoir de la cuisine, près des bouteilles.

L’oreille attentive à ce que l’homme lui disait, Deborah essayait de comprendre la situation. Son chat venait chez elle et Stéphan allait chez lui. Stéphan était un chat des rues, de base, et se baladant toujours dehors, la jeune femme n’avait pas spécialement remarqué une prise de poids autre que celle liée à un animal abandonné qui trouve enfin une maison où la nourriture ne manque pas. Il fallait néanmoins avouer qu’elle ne le regardait pas non plus sous toutes les coutures alors forcément, quand Harold lui exposait la situation, elle ne pouvait que le croire. « Je suis désolée, je pensais vraiment pas que ça pourrait arriver. Les probabilités sont tellement minces que deux chats se ressemblant fortement trouvent le même spot de nourriture. J’espère que ça ira pour le vôtre. Attendez, je vous montre les croquettes de Stéphan, histoire de s’assurer qu’il n’y a rien de trop mauvais pour Newton. » annonçait-elle alors qu’elle s’accroupissait et ouvrait déjà le placard sous l’évier pour pousser quelques produits qui étaient devant le sac en question. Même si ce n’était ni la faute de l’un comme de l’autre, pour sûr que Deborah s’en voudrait si l’animal se retrouvait mal à cause de son inattention.

Néanmoins, elle suspendait son geste quand Harold lui parlait d’une lampe en lui demandant si elle avait changé de mobilier. Comment ça « il n’avait pas le souvenir de l’avoir vu » ? Pendant un court instant, l’Irlandaise sentait un mauvais présentiment venir se loger entre ses reins, un véritable malaise. Devait-elle le confronter directement à ses dires ? Non. Elle notait ses paroles dans un coin de sa tête comptant bien y remédier plus tard. La raison ? Récolter assez d’informations sur lui si jamais ça devait mal tourner, si jamais ça devenait trop étrange. Elle faisait alors semblant de ne pas avoir compris les sous-entendus que ses paroles impliquaient. « C’est normal de ne pas la connaitre, elle n’existe pas en Australie. Je l’ai ramené de chez mes parents qui habitent en Irlande et c’est une lampe relativement ancienne donc forcément, on ne peut pas l’avoir vu ailleurs qu’ici. » Disait-elle en sortant le sac du placard et en présentant la liste d’ingrédients à son interlocuteur, lui mentant comme une arracheuse de dents. Alors qu’elle imaginait qu’il lisait la liste, son regard ne pouvait pas s’empêcher de remonter vers lui. Elle imprimait les traits de son visage, ses spécificités, estimait sa taille, sa corpulence. Tout ce qui pourrait servir à l’identifier à vrai dire. « Mais dites-moi, vous habitez loin ? Ça serait étonnant que les deux chats fassent beaucoup de kilomètres pour quelques croquettes et friandises. » l'interrogeait-elle en ouvrant la bouteille de mulfruits pour s’en servir un verre.
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Message(#)NOM D'UN CUL...te - Deborah EmptyMer 2 Mar 2022 - 6:00

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Debbie donc, cette jeune femme qui passait devant lui, s’exprima au niveau du chat, qui en plus n’était pas à elle, mais à son colocataire ? C’est fou comment il n’avait pas dû porter attention aux images… Il y avait quelqu’un d’autres qui habitait ici ? Vraiment là, Harold se sentait comme-ci son regard s’était arrêté à une seule et même chose. Il accepta par un mouvement de la tête, lorsqu’elle lui offrit n verre, puisque ça lui éviterait de dire quoi que ce soit d’autres comme gaffe s’il avait la bouche occupée. Alors qu’il allait se concentrer sur le verre, son regard détourna lentement vers quelque chose qu’il avait déjà remarqué auparavant. Ses voluptueuses courbes qui défilait doucement vers l’armoire sous l’évier. Elle n’allait quand même pas se pencher ? Harold se mordit la langue pour ne rien dire, mais intérieurement il ne pût s’empêcher de dire « sainte marie mère de dieu… » devant ses courbes qui encore une fois se dessinait devant lui. Il s’empressa donc de prendre une grande gorgée en essayant de regarder la décoration dans l’appartement. Cependant ses yeux c’était comme des aimants qui retournait vers le cœur du problème et il ne put s’empêcher de dire.

-Debbie... Debbie... C'est un diminutif ? C’est tellement invitant…

Il réalisa qu’il parlait à haute voix du postérieur de son interlocutrice quand même. Il devait vite se reprendre

-Chez vous ! C’est coquet, invitant, chaud et très… bien agencé.

Sans rire, c’était la première fois qu’il utilisait le mot coquet et agencé dans une phrase, à cet instant, il ne savait même pas si c’était employés correctement. Est-ce qu’il avait même l’impression qu’il allait encore être la bienvenue, ça il ne le savait pas du tout. Cependant, il s’amusait à scruter l’intérieur avec soin et se disait qu’il ne se trompait pas d’endroit vue tout le meublier qui était exactement le même. En revanche son souffle commença lentement à ralentir alors qu’elle dicta les mots « elle… n’existe… Pas… En… Australie. » La lampe qui n’existe pas en Australie… Un peu de stress augmentait dans la tête de Harold au point d’en perdre le fil de toute logique. C’est bon, elle était un agent secret et sortirait un flingue de sous le comptoir. Harold comptait 3 points de sortie et une fenêtre pour sauter, mais il n’allait quand même pas sauter par la fenêtre… Il se ferait tellement mal.

-C’est vrai que c’est cool la décoration exotique. Du coup quand vous allumer la lampe, elle vous offre une bière ? Elle est déjà complètement beurrée ??

Essayer une blague stéréotype sur le pays de ses parents. Là c’est officiel, Harold pouvait réellement dire qu’il allait vécut une belle vie et qu’il méritait une horrible mort. Elle était déjà assez sympa de pas lui avoir mis sous la gorge qu’elle n’avait pas de curiosité sur le fait qu’il connaissait déjà sa décoration. Cependant il fût vite tiré de sa réflexion alors qu’elle lui demanda s’il habitait loin. Il se dit « tiens est-ce que j’habite loin ? » en ce sens que Harold est une pourriture en termes de géographie. Pour lui proche ce n’est pas si proche.

-Alors euh, j’ai beau vivre ici depuis déjà quelques années, c’est le genre de question qui demande quand même réflexion… Alors je suis dans le quartier de Spring Hills… Une villa sur Water Street. D’ailleurs vous pourriez venir visiter une bonne fois… Je suis toujours seul donc bon… Ça changerait d’avoir quelqu’un qui pourrait venir…

Il se posa la question « je dis vraiment ça pour avoir de la compagnie ou pour voir cette compagnie… » Ça se trouve cette femme est un agent fédéral qui va le coffrer dans l’heure et il n’allait rien comprendre ce qui était en train de lui arriver.

-Vous faîtes quoi dans la vie Debbie ? Pardon je demande… C’est pas mes affaires, mais je suis curieux.

Il avait analysé, la fenêtre serait finalement la meilleur sortie, si jamais il était obligé.
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Message(#)NOM D'UN CUL...te - Deborah EmptyMer 2 Mar 2022 - 15:35

Occupée dans le placard, Deborah ne se rendait pas bien compte que l’homme était littéralement en train de la reluquer, obnubilé par son arrière-train mis en valeur dans un simple jean. Soucieuse du chat avant tout, elle extirpait le sac de croquettes du placard et ne s’attardait pas vraiment sur le comportement de son interlocuteur. Ce mec était un vrai coq en réalité. Ces animaux, on avait tendance à les décrire comme des êtres fiers, plein d’assurance et parfois même avec une certaine grâce, élégance. Une blague ! Ces bestioles avaient cette tendance à être occupés à faire quelque chose et tout d’un coup, un truc va les perturber, ils vont s’arrêter et rester scotchés sur cette chose qui les a dérangés dans leur tâche de base. De vraies têtes de linottes, aisément discrètes par tout et n’importe quoi ! Harold était exactement comme ça. Il était venu pour le chat et il l’oubliait carrément, plus soucieux de Deborah et de son intérieur… ou son postérieur. Au regard de la brune il devenait de plus en plus suspect, pas de quoi la mettre franchement à l’aise pour le coup. « Oui, c’est le diminutif de Deborah mais tout le monde m’appelle Deb ou Debbie alors je perds un peu l’habitude de me présenter avec mon prénom entier. » disait-elle en haussant les épaules.

« Merci, c’est gentil. » disait-elle sans grande conviction concernant son appartement, obnubilée elle aussi par le bonhomme mais certainement pas de la même façon. Ses questions, sa façon qu’il avait de regarder l’intérieur de chez elle, la façon aussi qu’il avait de se tenir et de parler. Elle ne le sentait pas à l’aise et ça ne la mettait pas à l’aise non plus. Comme s’il avait quelque chose à se reprocher finalement. « Si seulement, ça serait vachement pratique. » tentait-elle pour se détendre un peu mais il fallait se rendre à l’évidence, elle le voyait un peu comme un serpent. Ce genre de reptile où on est jamais certain de ce qu’il va faire, où il risque de nous surprendre à tout moment, généralement de la mauvaise façon. Vicieux et imprévisible, ça serait les mots pour le définir. Prêt à mordre à tout moment pour sa défense et vite se faufiler pour échapper au danger potentiel alors que finalement, c’était lui le danger.

Alors forcément, ça rendait la brune méfiante et lui faisait poser des questions. Tel un tigre en chasse, elle se montrait maline, espiègle et surtout rusée. Etablir un plan avant d’attaquer, se faire le plus discret possible pour mieux piéger sa proie et n’en faire qu’une bouchée. Parce qu’il est souvent question de vie ou de mort dans ces cas-là, le tigre n’a pas intérêt à se rater, surtout quand l’ennemi est plus gros et plus fort que lui, physiquement parlant. Alors il avance à petit pas, se fait le plus petit possible avant de montrer toute sa superbe dans sa puissance de frappe et d’attaque. Un animal aussi beau et majestueux que dangereux. Insoupçonnable. Comme Deborah finalement qui posait les bonnes questions pour en savoir davantage sur le bonhomme, au cas où. La réponse ne lui plaisait qu’à moitié à vrai dire. Elle imprimait son adresse – ou presque – mais elle trouvait ça curieux qu’il ne soit pas capable d’estimer la distance. Heureusement que Camil habitait lui-même Spring Hill et que la jeune femme connaissait à peu près le coin dont parlait Harold mais disait-il la vérité finalement ? « Spring Hill... J’imagine que vous êtes pas venu à pieds. Je ne demande pas les kilomètres exacts mais je me demandais en combien de temps on arrive ici en voiture ou en transport en commun… enfin pour les chats quoi, pour estimer combien de temps de marche ils sont capables de faire pour des croquettes ces gourmands. » Ouais, ouais, pour les chats, bien entendu…

Est-ce qu’elle évitait soigneusement de lui répondre alors qu’il l’invitait littéralement chez lui ? Oui, parce qu’elle trouvait ça étrange que ça arrive si vite dans la conversation alors que l’homme ne la connaissait que depuis littéralement trois minutes. Est-ce qu’il tentait de l’attirer chez lui pour des bailles chelou ? Elle en venait même à se demander si tout ceci n’était pas un stratagème étrange pour entrer chez elle… depuis qu’elle savait que Connor – s’il s’appelait ainsi, allez savoir – était venu récupérer son carnet en pleine nuit, elle était persuadée, elle n’était plus très à l’aise avec les inconnus et encore moins quand ils étaient chez elle et qu’ils lui proposaient si rapidement de les suivre dans un endroit qu’elle ne connaissait pas. A moins qu’il lui disait simplement la vérité : il était seul et c’était ainsi que les personnes seules avaient tendance à se comporter. Absence totale de codes sociaux. « Rien de très intéressant, je fais des designs pour des sites et vous ? » C’est ce qu’elle faisait en tout cas avant son contrat avec Camil mais il n’était pas question de lui en parler et encore moins de lui dire trop de vérités à son sujet. On ne sait jamais, il pourrait utiliser ça contre elle, exactement comme elle s’apprêtait à le faire avec lui. « Est-ce que vous pouvez juste vérifier les croquettes, histoire qu’on soit sûrs que tout ira bien pour Newton. S’il vous plait… Harold comment déjà ? » Petite maline…
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Message(#)NOM D'UN CUL...te - Deborah EmptyJeu 3 Mar 2022 - 2:15

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Harold eu un sourire et se mit à analyser dans sa tête « Deb… Debbie… Deborah…. » il aimait bien ce petit surnom, elle avait l’air gentille finalement et c’était rassurant, ça lui éviterait de briser sa fenêtre. Elle emmena quand même un bon point lorsqu’elle parlait de Spring Hills et de Fortitude Valley, peut-être finalement que Newton avait effectivement perdu un peu de poids alors qu’il marchait jusqu’ici, mais ça n’empêchait pas que Harold fût inquiet que même les chats se soient mélangés. Et si chez lui c’était l’autre chat qui était là en ce moment et qu’ils s’étaient mélangés de félins.

-Ce qui est cool avec les félins, du moins Newton est comme ça, c’est qu’il est extrêmement paresseux donc quand même bien il marche de grands kilomètres, il ne veut pas bouger, donc ça explique pourquoi il prend un bon gros poids.

Harold trouvait qu’il ressemblait à un petit ballon de football. Un genre de pochette à croquette sur patte qui arrivait de moins en moins à courir. D’ailleurs, une question qu’il ne pouvait pas s’empêcher de se demander « et si le chat de la demoiselle avait juste disparu ». Par exemple, si le chat qu’elle pensait être le chat de son coloc était le même chat et qu’au final l’autre chat était simplement parti… Du coup il y avait un chat en moins dans l’équation et donc ça faisait en sorte que ce chat-là n’avait jamais exister! Un vrai compte de folie cette histoire. Cependant Harold fût freiner dans son élan de psychose lorsqu’elle lui dit ce qu’elle faisait dans la vie.

-Des design pour des sites ? Sans blague ! Genre le tigre sur la boîte de céréales ? J’en ai aussi connu des graphistes, mais c’était pour des trucs relativement populaire… Vous avez des ébauches ??

Bon ça n’intéressait pas spécialement Harold, mais c’était cool de voir le talent des autres que lui il n’avait évidemment pas. Elle lui retourna la question au sujet de son métier! Harold hésita à répondre, attendez, il pouvait choisir ce qu’il voulait comme travail ! Il pouvait être astronaute ou même pompier! Pourquoi pas perchiste pour des films porno ! Après tout ils devaient se faire quand même un bon paquet de frics ! Mine de rien, il préféra rester tout simplement sincère.

-Sinon moi je suis dans la finance, rien de foufou, le genre de trucs qui fait ronfler les insomniaques…

Il fit mine de s’endormir et de sursauter en rigolant tout seul, mais il remarqua qu’elle avait mis le sac de croquettes depuis un moment sur le comptoir. Il était allé légèrement à l’Ouest avec ses… attributs. D’ailleurs elle lui rappela gentiment si elle pouvait vérifier les croquettes et il se sentit un peu hésitant en se demandant intérieurement « elle a vu que je l’ai regardée? Impossible, elle a des yeux tout le tour du corps ? » bref il prit son portable en s’approchant du sac de croquette et le compara à ce qui était devant lui en répondant à la question de Debbie.

-Harold votre dieu… Vous comprenez parce que vous avez demandé comment…

Il eut un rire comme-ci c’était la blague de l’année.

-Oh mon dieu… Je n’avais jamais réussi à la placer celle-là… Harold Elis… Bref sinon les croquettes on l’air en ordre, mais je remarque que la félicule et l’orge sont en grosse hausse par rapport aux croquettes que Newton reçoit…

Il continua de lire l’étiquette du paquet de croquette comme-ci c’était de la littérature.
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Message(#)NOM D'UN CUL...te - Deborah EmptySam 19 Mar 2022 - 8:33

« Je veux bien vous croire. » concernant l’activité inactive des chats, selon lui. A vrai dire, elle ne pouvait pas vraiment confirmer ou infirmer ses dires, Stéphane n’était pas vraiment son chat, elle n’avait aucune idée de ce qu’il pouvait faire quand Joseph le récupérait. Est-ce que Joseph le fourrait dans son sac à dos avec juste sa petite tête qui dépasse ou est-ce qu’il le laissait marcher à ses côtés ? Elle n’en avait aucune idée et les échanges avec Joseph étaient trop brefs à présent pour qu’elle ait envie de parler du chat. Elle préférait s’attarder sur plus important – selon elle – et juste s’assurer que le chat avait ce dont il avait besoin, rien de plus.

« A vrai dire, c’est un peu plus compliqué que ça. Je résume par design de site parce que c’est plus facile de se faire comprendre par les gens qui ne sont pas dans le milieu mais en réalité je suis webdesigner. Ça m’arrive de faire des designs de A à Z mais la majorité du temps, c’est plus le projet dans son entièreté que je gère, main dans la main avec un graphiste qui, lui, gère l’aspect visuel. Disons que pour reprendre l’exemple du tigre des céréales, le graphiste va dessiner le tigre, le webdesigner va réfléchir à l’utilisation de ce tigre pour que tout soit cohérent sur le site et incite les visiteurs à rester. Je crois que mon meilleur exemple est le site de la mairie. » qu’elle avait fait refaire dans le cadre de son travail de community manager… une véritable multitâche pour ce coup-là. « Quel domaine dans la finance ? Si ce n’est pas indiscret. » demandait-elle, à son tour curieuse. Même s’il ne la mettait pas bien à l’aise, plus elle en savait sur lui, mieux ça serait.

C’était pour cette raison d’ailleurs qu’elle lui avait demandé son nom, le sommant par la même occasion de vérifier les ingrédients des croquettes. Si le maître était chelou, elle n’avait aucune raison de vouloir empoissonner son chat. Bref. Pendant un court instant, elle se pinçait les lèvres, ne comprenant absolument pas sa blague quand lui riait de bon cœur. Elle était idiote ou elle n’avait juste aucun sens ? Par politesse, elle lui octroyait un léger rire de convention, rassurée tout de même qu’il lui donne son vrai nom – elle l’espérait en tout cas – et qu’il se penche enfin sur les croquettes. « Puisque Stéphane est pas vraiment mon chat, je peux rien imposer et rien garantir qu’il puisse garder sur lui un signe distinctif mais peut-être que vous, de votre côté, vous pouvez mettre un collier à votre chat avec une couleur un peu pétante. Je saurais que c’est le vôtre comme ça et je ne le laisserais pas entrer. » Elle pensait sincèrement que c’était la solution la plus simple pour régler le problème, et la plus rapide également parce qu’elle ne souhaitait pas non plus s’attarder en sa présence.
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Message(#)NOM D'UN CUL...te - Deborah EmptyDim 20 Mar 2022 - 4:35

Nom d'un CUL...te !
harold ft. deborah

Sans le vouloir, la jeune demoiselle, Deborah, de son nom l’avait questionné sur son métier. C’était une chose difficile à laquelle Harold détestait se consacrer à répondre puisque le monde de la finance est un peu comme ce manuel IKEA. Il suffit de dessin pour comprendre, mais l’expliquer sans support visuel parfois c’est chaud. Il prit donc une tête un peu ridicule pendant qu’il réfléchissait à comment il allait tout simplement lui répondre et trouva les bons mots.

-Disons que j’enrichi les gens de manière générale. Les gens me paient, pour les aider à les rendre plus riche en jetant un coup d’œil sur leur finance, leur investissement ou même tout simplement des moyens de les enrichir… Gestionnaire des portefeuilles. C’est le nom de mon métier. D’ailleurs vous me faîtes penser…

Il sortit de sa poche une carte d’affaire qu’il lui donna avec un petit sourire.

-Si jamais vous apercevez Newton dans le coin, vous pourrez m’appeler, ce serait gentil ! Ou alors qui sait pour des conseils financiers pour vous aider à enrichir ce que vous avez déjà dans vos poches… Il me ferait plaisir d’aller prendre un café avec vous.

Il se rendit compte aussitôt ses mots sortis de sa bouche qu’il avait fort probablement donnés une très mauvaise image de lui-même, voir que sa phrase aurait un sens tourné ou détraqué. Cependant il garda le sourire en lui donnant sa carte et observa un peu dans le logement une dernière fois. De toute évidence, quoi qu’elle puisse dire, il était plus qu’évident que cet échange tirait à sa fin, puisqu’il était venu pour la prévenir de ce drôle d’incident et qu’elle était maintenant prévenue… À quoi bon rester plus longtemps. Il écouta sa suggestion au sujet du collier de Newton et ne pût s’empêcher de dire.

-Ohh c’est rigolo parce que j’en ai acheter un dernièrement avec une couleur jaune et une cammmm… Bref. Oui l’idée paraît parfaite !

Dans un élan de panique il ajouta

-Au fait les cheveux bouclés ça vous va largement mieux… Bref je fais mieux d’y aller moi, si vous voyez quoi que ce soit, vous m’appelez et euh je me sauve, parce que je dois attraper mon train…

Dans un élan de panique, il ouvrit très doucement la porte d’entrée en ressentant la goutte de sueur qui glissait le long de sa colonne et franchit la porte avant de regarder une dernière fois Deborah.

-Comprenez que je l’ai fait pour l’amour de mon ch… Ouais non, c’est inacceptable en fait… Je suis tellement désolé…

Honteux de ce qu’il venait de commettre, il prit la route presque aussi rapidement qu’un voleur et s’enfuit le plus rapidement possible vers sa voiture. Il échappa même ses clés de voiture, qu’il s’empressa de retrouver avant de grimper à bord de sa voiture et de sortir du stationnement en route vers chez lui. Il réalisa qu’il n’était pas dans la merde surtout qu’elle avait son numéro personnel pour la rejoindre.

-J’ai tellement merdé…
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