ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
Je viens de quitter Bailey et je me dis que c’était la meilleure décision que j’ai prise depuis un moment. Enfin quitter, le mot est un peu fort je ne sais pas vraiment où on en était. On a jamais mis de mots là-dessus, j’ai jamais aimé les étiquettes et je crois que c’est pareil pour elle. Mais je crois qu’on avait pas été assez clairs sur les intentions de l’autre et c’est bien là qu’est tout le problème. Au début tout n’était qu’une blague, je n’étais là que pour être son +1, un mec à présenter à sa famille. C’est quand même assez ironique qu’elle m’ait choisi moi pour jouer le petit ami parfait, je n’ai absolument rien d’un prince charmant et on vient de milieux complètement différents. J’avais été clair dès le début je ne voulais rien de trop profond, j’avais accepté sa proposition parce qu’elle me plaisait bien et j’avais en tête de me rapprocher d’elle. Dans ma tête c’était purement physique, je n’ai jamais voulu tomber amoureux ou qu’elle s’attache autant à moi. Bien sûr je l’aime bien, je la trouve géniale mais depuis Riley je n’ai pas été en couple et je n’ai pas envie de ça. J’ai pas envie de donner mon cœur à quelqu’un pour qu’il soit réduit en miettes encore une fois. J’ai peur de tomber amoureux et quand je vois toutes les relations foireuses de mon entourage -celle de mes parents en particulier- je me dis que je fais bien de me protéger et qu’une relation ne m’apporterait que des problèmes. La décision n’a pas été facile à prendre, j’ai hésité pendant plus d’une semaine. J’ai pesé le pour, le contre et ce qui a été le déclencheur c’est cette foutue Saint Valentin. Cela doit faire au moins deux semaines que je reçois des pubs par mail, des notifications sur les réseaux qui me rappellent cette fête. Je ne comprends pas l’intérêt de cette fête, pour moi si on aime quelqu’un il n’y a pas besoin d’une journée spéciale pour le prouver ou alors c’est qu’il y a un gros problème dans la relation. De mon point de vue y a pas de notice de l’amour, faut juste en faire un petit peu tous les jours. Concernant Bailey c’est un peu plus compliqué, je l’aime bien, je tiens à elle mais je sais pas si j’ai envie de plus avec elle. J’ai jamais voulu me mettre en couple, c’est quelque chose qui m’a toujours fait flipper et là avec la Saint valentin j’ai un peu paniqué. J’avais pas envie de devoir l’inviter dans un rendez-vous pour qu’on passe la saint valentin ensemble ou qu’elle se vexe si on ne fait rien. Je commençais à me prendre la tête, à trop réfléchir parce que ça devenait trop sérieux pour moi et je n’ai jamais voulu tout ça. Je suis parti, je lui ai dit que je voulais qu’on prenne nos distances et même si ça m’embête de ne plus lui parler c’est peut-être mieux comme ça.
Si j’ai quitté Bailey ce n’est pas seulement parce qu’on devenait trop proches à mon goût mais c’est aussi à cause d’Emery. On s’est rencontrés il y a quelques temps sur instagram et depuis on se parle tous les jours. Elle fait partie des rares personnes qui ont été compatissantes avec moi après mon bad buzz. Elle m’a rassuré et m’a même confié qu’elle avait été dans la même situation il y a quelques années et qu’elle comprenait. Et ça m’a fait du bien de me sentir compris, ça contrastait beaucoup avec les réactions immatures et humiliantes que Rudy et surtout Sergio avaient eu. On s’est rencontrés physiquement un peu par hasard, au club de boxe. C’était l’une de mes résolutions de l’année de me mettre au sport et je me suis dit que la boxe ça pouvait être un bon moyen pour d’évacuer tout mon stress et les émotions négatives que j’accumule. Alma était d’accord avec moi, surtout après l’épisode de l'atelier d'Auden où j’ai pété le nez de ce mec aux allures de Karen hystérique, ou après ma dispute avec Rudy. Je me suis un peu senti comme un mouton en commençant la boxe au début du mois de janvier mais contrairement à la grande majorité des gens je ne compte pas laisser tomber. Boxer ça me fait du bien -même si ça ne résout pas tous mes problèmes- mais j’avoue que ce n’est pas juste l’amour du sport qui me fait venir chaque semaine aux entrainements. Je m’entends bien avec Emery, même très bien. C’est une femme exceptionnelle, magnifique, rayonnante et d’une force mentale incroyable. On est devenus amis au fil des entraînements et dernièrement on est devenus plutôt proches. On s’est rapprochés physiquement et c’est aussi pour ça que j’ai quitté Bailey. Je me trompe peut-être en interprétant ce rapprochement mais mon intuition me dit que je dois lui plaire aussi. J’avais pas envie d’être un connard en trompant Bailey alors j’ai préféré arrêter avant qu’il se passe quelque chose entre Em et moi.
Ce soir on se voit en dehors du dojo, elle m’a invité à venir chez elle, je sais pas s’il se passera quelque chose ou non mais je sais que dans tous les cas je vais passer une bonne soirée parce qu’Em est le genre de personnes avec qui on ne s’ennuie pas. J’arrive devant l’adresse qu’elle m’a donnée, une bouteille de vin à la main et je suis impatient d’enfin passer une soirée sans tensions où je vais pouvoir laisser tous mes problèmes sur le pas de la porte pour simplement profiter du moment présent. Je toque et la porte s’ouvre peu de temps après et la première chose qui me frappe quand elle ouvre la porte c’est qu’elle est sublime, encore plus que d’habitude. Je cache ma surprise mais je ne peux pas retenir mon petit sourire. « Salut ! » Je suis de bonne humeur, pour la première fois depuis un moment et ça doit se sentir. Elle me laisse entrer et je lève la main qui tient la bouteille en disant « Je nous ai pris ça, j’espère que t’aimes le vin. » Je dis ça comme si j’étais un grand connaisseur et je me sens obligé d’ajouter avec un petit rire. « Bon j’y connais pas grand-chose mais elle m’inspirait bien celle-là. ». Dans tous les cas même si le vin n’est pas bon, je me dis que c’est pas grave et qu’on s’en fout un peu, la soirée s’annonce agréable dans tous les cas.
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Oh I don't know where we're gonna go, where we're gonna when you look at me like that. I don't know whatcha gonna say if I say that I want you so bad. Here comes that electric spark in your eyes turning me into flames
Le nez au-dessus de son wok, le regard d’Emery alternait entre le repas qui cuisait et le livre de recettes. Elle n’avait aucune idée de quand elle était supposée couper la cuisson, de si elle avait fait les choses correctement, des doses d’assaisonnement. Ce serait au petit bonheur la chance et maintenant, sa cuisine ouverte était dans un état déplorable et son appartement sentait la sauce soja et le gingembre. Dans un soupir, elle fit glisser la vaisselle dans l’évier et se dépêcha de nettoyer son bazar. Il restait encore un peu de temps avant que Cesar n’arrive, et elle se mettait probablement la pression pour rien. C’était une soirée entre amis, ni plus ni moins. Elle avait profité que l’appartement soit désert ce soir pour lancer l’invitation. Cela les changerait du dojo où certaines paires d’yeux étaient toujours rivées sur eux, ou des sorties. Ils auraient un cadre un peu plus intime, cette fois. Et malgré l’envie de bien faire qui générait une énorme appréhension, la blonde avait juste hâte d’y être. Cela faisait un petit moment qu’ils se connaissaient désormais, depuis le début de leurs discussions sur instagram. Une plateforme sur laquelle elle passait un temps exorbitant pout les mauvaises raisons. Ce n’était pas habituel de sa part de s’intéresser à un artiste au point d’engager la discussion, encore moins que le hasard fasse qu’ils habitent dans un périmètre proche. Puis les coïncidences et les coups de chance s’étaient enchaînés, ils s’étaient découverts de nombreux points communs et avaient fini par se rapprocher. Cesar était le genre de personne dont Em avait besoin dans sa vie ; il n’y avait rien de compliqué avec lui, rien de simulé ou de forcé. Elle n’avait pas à sans arrêt réfléchir à comment se comporter ou quoi dire. Cela lui faisait du bien d’avoir ce genre de relations sincères, de temps à autre. Mais ces derniers temps, elle avait eu l’impression que leur rapprochement n’était pas uniquement amical. Les confidences dans un premier temps, puis les gestes, les sourires, les regards. Quelques fois, elle s’était laissé aller à se poser la question de ce que ça ferait si elle essayait de l’embrasser. S’il répondrait ou s’il la laisserait en plan. Elle s’était demandé à quelques reprises s’il la trouvait à son goût. Elle avait cru comprendre qu’il voyait une fille, mais le sujet avait fini par s’évaporer de lui-même au point que Emery ne savait plus exactement sur quoi se baser. C’était ce qui rendait cette soirée si particulière, finalement. Ce serait l’occasion de vérifier si elle se faisait des idées depuis le début ou s’il y avait effectivement quelque chose qui se tramait entre eux. Elle n’était même pas certaine de savoir ce qu’elle désirait vraiment ; mais puisque tout venait naturellement avec Cesar, peut-être que ce serait aussi le cas du lâcher-prise.
A force de tourner en rond dans son appartement à faire en sorte que tout soit prêt, Em ne vit pas l’heure passer et sauta sur la porte dès qu’elle entendit cogner contre. « Hey Cesar ! Viens, entre. » Elle se poussa de l’entrée avec un large sourire aux lèvres. Elle l’aurait bien accueilli d’un hug mais la bouteille leur fit obstacle ici, un obstacle qu’elle acceptait volontiers. « La bouteille est élégante, c’est tout ce que je peux dire vu mes connaissances. Tu as bien fait en tout cas, merci beaucoup ! » Elle s’avança jusque dans le salon, invitant le jeune homme à la suivre. « Je suis contente que tu sois là. Vas-y, installe-toi ! Fais juste attention, je sais que Hobbs se balade quelque part, essaye de ne pas l’écraser… » Quand ses colocataires n’étaient pas là, elle laissait généralement son cochon d’inde vivre sa vie dans le salon. Personne ne voulait un quelconque accident. « Tu veux qu’on entame la bouteille de vin à l’apéritif ? Ou on la garde pour le repas ? J’ai eu… l’équivalent d’un mini-bar. Je suppose que je peux te proposer tout ce que tu désires. » Elle eut un léger rire en fouillant le tiroir de la cuisine pour dégainer le tire-bouchon qui finirait par être utile, à un moment donné.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
La porte s’ouvre et dévoile la silhouette d’Emery. J’essaie de cacher ma surprise mais c’est pas évident : elle est encore plus belle que d’habitude. « Hey Cesar ! Viens, entre. » Elle ouvre la porte et je passe la porte en la saluant. Je lui montre la bouteille mais je lui avoue que je suis pas œnologue et ce qu’elle n’a pas forcément besoin de savoir c’est que j’ai pas non plus le budget pour ramener un grand cru même si je la trouve géniale. Alors j’ai fait comme d’habitude, j’ai choisi une bouteille pas chère mais avec une belle étiquette, j’espère que ça ira. « La bouteille est élégante, c’est tout ce que je peux dire vu mes connaissances. Tu as bien fait en tout cas, merci beaucoup ! » Je souris parce que je me dis qu’on a le même raisonnement, et quelque chose me dit qu’elle se fiche un peu de la qualité du vin. De mon côté c’est pas important, ça ne changera rien à la qualité de la soirée. « C’est exactement ce que je suis dit dans le rayon. » Elle prend la bouteille et j’en profite pour jeter un coup d’œil rapide à son appart et elle a l’air d’avoir tout préparé. Une bonne odeur se dégage de la cuisine et l’ambiance du salon est très chaleureuse. Je m’approche du canapé quand elle m’arrête un peu dans mon élan. « Je suis contente que tu sois là. Vas-y, installe-toi ! Fais juste attention, je sais que Hobbs se balade quelque part, essaye de ne pas l’écraser… » J’ai un petit sourire quand elle parle de son cochon d’Inde, elle m’a beaucoup parlé de lui pendant les entrainements au dojo. Elle me parle souvent de ses bêtises et me montre des photos de lui. « J’ai hâte d’enfin pouvoir le rencontrer. » Je m’assieds sur le canapé avec beaucoup de précautions, je n’ai aucune envie d’écraser son pauvre animal. C’est petit en général ces machins là alors je n’ai pas envie de créer un drame ce soir. Hobbs ne se montre pas mais j’entends le bruit de ses pattes et de ses petites griffes sur le parquet. Effectivement il est en train de se balader et de courir quelque part. « Ah il doit pas être loin, je l’entends courir. » Je la vois se diriger avec la bouteille dans la cuisine et je l’entends fouiller dans son tiroir. « Tu veux qu’on entame la bouteille de vin à l’apéritif ? Ou on la garde pour le repas ? J’ai eu… l’équivalent d’un mini-bar. Je suppose que je peux te proposer tout ce que tu désires. » Je profite qu’elle soit de dos pour la regarder. Mon regard s’attarde sur ses cheveux, sur sa silhouette et je me fais la même réflexion que la première fois que je l’ai vue : elle est sublime. Quand je suis arrivé au dojo pour la première fois je me souviens qu’elle était en train de s’entraîner et la première pensée qui m’est venue c’est « wow », je n’avais pas d’autres mots. Je l’ai tout de suite remarquée, elle sortait du lot c’est évident, bien plus que Bailey quand je l’ai rencontrée dans le café. C’est en apprenant à la connaître que je me suis rendu compte qu’en plus d’être incroyablement belle on était sur la même longueur d’ondes pour beaucoup de choses. On a le même humour, on se comprend et on partage la même vision des choses. Entre nous c’est simple, on ne parle pas de sujets qui fâchent ou trop douloureux comme ça pouvait être le cas avec Bailey qui me posait des questions sur ma famille. Avec Em on est amis, on se remonte le moral quand on sent que l’autre est un peu triste sans prises de tête inutiles. Je sais que je peux compter sur elle et qu’elle peut compter sur moi en retour. Je l’apprécie beaucoup et ça me fait extrêmement plaisir d’être là. Se voir au dojo c’est bien mais se voir dans un cadre plus intime c’est quand même plus agréable. Je réfléchis quelques secondes à sa question avant de lui dire. « Je pense qu’on peut garder la bouteille pour le repas. » On a toute la soirée alors j’ai envie qu’on prenne le temps. En parlant de repas, les effluves de ce qui est en train de cuire dans la casserole sont plus qu’appétissantes. « ça sent super bon, qu’est-ce que c’est ? » Je suis curieux mais j’ai l’impression qu’elle a passé pas mal de temps en cuisine. « Et pour l’apéritif hmmm… » Je ne sais pas quoi lui répondre, je ne suis pas très difficile en alcool. « Tout ce que tu désires » c’est le genre de phrases que j’aime beaucoup. Je dois être un peu excessif mais dans un coin de ma tête j’interprète cette phrase un peu différemment. Je suis joueur alors j’ai envie de la laisser. « A toi de choisir, je te laisse me surprendre. » Avec Em on est jamais au bout de ses surprises. Le premier jour au dojo j’avais été très surpris par sa force et par le fait qu’elle était aussi douée en boxe. Je suis parti beaucoup trop confiant au moment de l’affronter et je suis revenu chez moi avec un œil au beurre noir. Maintenant que je suis assis je prends le temps de regarder plus en détail la décoration de l’appartement. L’appartement est décoré avec soin, on se sent bien ici. J’aime beaucoup c’est très chaleureux et accueillant. Je sais qu’elle est en colocation alors je me demande si nous sommes seuls ce soir ou si l’on devra parler moins fort pour ne pas les déranger. « C’est sympa chez toi. Tes colocs ne sont pas là ?»
***:
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Oh I don't know where we're gonna go, where we're gonna when you look at me like that. I don't know whatcha gonna say if I say that I want you so bad. Here comes that electric spark in your eyes turning me into flames
Quand bien même elle savait se montrer de bonne compagnie, Em n’avait pas vraiment l’habitude de recevoir qui que ce soit chez elle. Elle préférait de loin les sorties dans des lieux neutres, là où elle pouvait prétendre ce qu’elle voulait. C’était une énorme marque de confiance qu’elle accordait à Cesar, de le faire entrer dans son petit nid. Et d’un autre côté, elle avait attendu cette soirée avec une certaine impatience. Elle appréciait énormément le temps qu’ils passaient ensemble, mais ils semblaient toujours occupés. Un peu d’intimité et de temps rien que pour eux ne leur ferait vraiment pas de mal. De sa cuisine, la blonde pouvait garder le regard sur le jeune homme, rire face à la précaution excessive qu’il eut lorsqu’il tenta de s’asseoir sur le canapé. Elle n’avait aucune idée d’où était le cochon d’inde, aurait peut-être dû le laisser dans sa chambre pour éviter le moindre incident… évidemment, quand il avait de l’espace, il en profitait pour se défouler les pattes. « Il va probablement te bondir sur les tibias d’un moment à l’autre, ne sois pas surpris. » Ce rongeur lui faisait penser à ce Disney qu’elle avait vu bien des années plus tôt, Mission G. parfois, elle aimait se dire que Hobbs aussi avait une vie secrète, aussi improbable que cela puisse être. En tout cas, le brun aurait tout le loisir de le rencontrer. Mais pour l’heure, penchée sur le comptoir, elle observait Cesar avec un sourire en coin, attendant de savoir ce qui lui ferait plaisir. Tant qu’à avoir voulu l’inviter, elle tenait à bien faire les choses. Qui plus est, elle devait bien admettre apprécier poser le regard sur lui, l’observer longuement. Parfois, ils se faisaient prendre au piège mutuellement et leurs prunelles s’accrochaient plus longtemps qu’il ne le faudrait. A chaque fois, elle se demandait à quoi il pouvait bien penser durant ces moments-là. Elle hocha la tête en signe d’assentiment ; le vin irait parfaitement sur le plat, ce serait parfait pour la suite. Son sourire se transforma néanmoins en une moue sceptique. « J’ai tenté un wok, c’est une recette asiatique… et approximative. J’espère que ça te plaira. » Car si c’était raté, elle n’aurait que les plats surgelés du congélateur pour essayer de les secourir. Ou la commande du plat qui ferait plaisir au mexicain. Elle n’était pas une pro en la matière. Tout comme pour les mélanges d’alcool, ce qui la fit légèrement pouffer puis hésiter face à son placard à alcool. Le surprendre, elle saurait faire. Mais avec le contenu d’un verre ? Elle n’avait pour connaissances que ce qu’elle avait appris durant ses quelques mois à bosser dans un bar, ce qui la força à réfléchir vite et à faire la liste de ce qui pourrait en effet être surprenant. « A tes risques et périls. » Elle finit par capituler, sa main s’avançant vers les bouteilles qui l’intéressaient. Elle se souvenait approximativement du dosage mais n’ayant pas de shaker ou de verre doseur sous la main, tout se fit un peu à vue d’œil… Un à peu près qui la fit froncer des sourcils sous la concentration pendant qu’elle remplissait les verres précautionneusement. Une attention qui ne tenait à rien, et relever les yeux sur Cesar manqua de totalement la déconcentrer. « Non, ils sont absents et ne devraient pas rentrer ce soir. C’est pour ça que j’en ai profité. » Et de toutes les compagnies au monde, c’était le brun qu’elle avait choisi sans même y réfléchir à deux fois. C’était dire à quel point elle aimait ce qu’ils avaient. Devant elle, les verres tournèrent au bleu vif. Un mélange de vodka, nectar de citron, curaçao bleu, sirop de canne, et beaucoup de glaçons. Et les breuvages prêts, elle revint vers son ami, venant déposer la boisson juste devant lui. « Tu m’as demandé de te surprendre, alors je vais te raconter l’anecdote qui vient avec la boisson… c’est celle qui m’a fait virer de mon ancien boulot. » S’installant sur le canapé à côté du brun, elle se tourna de sorte à pouvoir l’observer, ses genoux inclinés vers les siens. « J’avais un client imbuvable, irrespectueux, et vraiment lourd en face de moi. J’ai bien essayé de demander à mon patron de m’en débarrasser, mais il ne l’a pas fait. Alors j’ai pris le parti de trouver la recette la plus colorée qui soit pour pouvoir allègrement lui renverser sur la chemise. Il n’était pas très heureux. » Sourire mutin aux lèvres, elle leva son verre pour venir trinquer avec Cesar. « Promis, ce n’est pas une mise en garde. Si je te renverse quoique ce soit dessus, ce serait VRAIMENT un accident. » Qui collerait avec sa maladresse selon les moments. « Voilà, maintenant que j’ai partagé un de mes moments peu glorieux, c’est à ton tour. » Une question d’égalité, alors qu’elle le dévisageait en espérant que le cocktail lui conviendrait.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
« Il va probablement te bondir sur les tibias d’un moment à l’autre, ne sois pas surpris. » Heureusement qu’on parle d’un petit cochon d’inde et pas d’un serpent, ça aurait été inquiétant dans ce cas là. J’imagine la scène et ça me fait sourire d’imaginer Hobbes me saute dessus. Je suis bien content et rassuré que Hobbes soit aussi inoffensif et qu’Emery ne soit pas le genre de fille qui a des animaux de compagnie improbable. Je me souviens d’une fille de ma classe qui se vantait d’avoir un serpent de compagnie. J’avais dû aller chez elle pour préparer un exposé et je n’étais pas rassuré de devoir travailler juste à côté du vivarium. Je pense que je ne dois pas être le seul qui aurait eu des problèmes de concentration avec le regard d’un reptile bloqué sur moi. Elle n’avait pas un anaconda mais tout de même. J’ai oublié le nom exact de l’espèce qu’elle avait, mais dans tous les cas il ne m’inspirait pas confiance et je n’avais pas envie de lui servir d’amuse bouche. “Oh t’en fais pas ça me dérange pas.” J’y connais rien aux rongeurs mais j’imagine que ce sont plutôt des animaux craintifs donc il ne devrait pas trop se montrer. Ce qu’elle cuisine sent divinement bon et je suis curieux de savoir ce qu’elle a préparé. « J’ai tenté un wok, c’est une recette asiatique… et approximative. J’espère que ça te plaira. » J’ai hâte de pouvoir goûter, j’adore la nourriture asiatique et je suis persuadé qu’Em est une excellente cuisinière. “J’adore les woks, très bon choix.” Je fais une petite pause avant d’ajouter. “Ne te dévalorise pas je suis sûr que tu cuisines très bien.” Elle me demande ensuite ce que j’ai envie de boire et quand elle me parle de son mini bar et de sa possibilité de réaliser n’importe quel cocktail qui me donnerait envie, je réponds que je lui laisse carte blanche. « A tes risques et périls. » Je suis pas difficile pour l’alcool, je ne suis opposé à rien et si je me souviens bien de ce qu’elle m’a dit elle a déjà bossé dans un bar donc je lui fais confiance sans soucis. “Je suis joueur, je prends le risque.” Je m’interroge ensuite sur la présence de ses colocataires parce que même si c’est juste un repas je n’ai pas envie de parler à voix basse pour éviter de les déranger. « Non, ils sont absents et ne devraient pas rentrer ce soir. C’est pour ça que j’en ai profité. » Excellente nouvelle. On devrait être tranquilles et je suis ravi de cette nouvelle. “C’est super ça, t’as bien fait. On pourra parler sans les déranger comme ça.” Même si j’avoue qu’au fond de moi j’aimerais bien que cette soirée soit plus qu’un repas entre amis. Elle revient avec une boisson et ce qui m’attire le regard en premier c’est sa couleur. J’ai rarement vu un cocktail aussi…bleu. Elle pose la boisson devant moi et je dois avoir l’air un peu surpris. Je ne doute pas que ce soit très bon mais je me demande ce qu’elle a bien pu mettre pour qu’il ait cette couleur. « Tu m’as demandé de te surprendre, alors je vais te raconter l’anecdote qui vient avec la boisson… c’est celle qui m’a fait virer de mon ancien boulot.” Alors là elle pique ma curiosité. “Mais non ?!” Elle s’installe à côté de moi et je me tourne un peu plus vers elle, prêt à écouter son histoire. « J’avais un client imbuvable, irrespectueux, et vraiment lourd en face de moi. J’ai bien essayé de demander à mon patron de m’en débarrasser, mais il ne l’a pas fait. Alors j’ai pris le parti de trouver la recette la plus colorée qui soit pour pouvoir allègrement lui renverser sur la chemise. Il n’était pas très heureux. » C’est ça que j’aime avec elle, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et c’est une grande qualité. Elle me fait rire parce que j’imagine très bien la scène : elle en train de préparer le cocktail et puis prenant un air faussement désolé après avoir accompli sa vengeance. “T’as bien fait, il le méritait. Les clients irrespectueux c’est vraiment les pires.” Je critique beaucoup mon boulot de maçon mais l’avantage c’est qu’au moins je n’ai pas à subir les humeurs et les mauvaises manières de clients imbuvables. “Mais j’aurais aimé voir sa tête quand t’as fait ça.” J’imagine un genre de Karen au masculin. Un gars tout rouge en train de hurler sur Em en demandant de voir son manager. Un client qui se prend pour un coq au milieu d’une basse-cour, persuadé qu’il a raison et ne voulant pas lâcher le morceau devant le patron alors qu’il est en tort. Je le visualise en train de se pavaner au milieu du bar en hurlant à qui veut l’entendre que c’est un scandale. J’imagine sa voix partir dans les aigus et ressembler davantage au cri d’un vieux coq -ce qui met un sacré coup à sa crédibilité-. « Promis, ce n’est pas une mise en garde. Si je te renverse quoique ce soit dessus, ce serait VRAIMENT un accident. » J’ai un petit rire parce que je n’ai pas vraiment envie que mon t-shirt blanc connaisse le même sort que la chemise de ce type. “J’espère bien, vu la couleur du cocktail je pense que mon t-shirt serait foutu.” Il ne faut pas chercher Em, c’est une chose que j’ai appris au dojo aussi et j’aime beaucoup son tempérament dans lequel je me reconnais énormément. « Voilà, maintenant que j’ai partagé un de mes moments peu glorieux, c’est à ton tour. » “Mmmh laisse moi réfléchir.” Je réfléchis pendant quelques secondes avant d’avoir un petit rire : j’ai trouvé l’histoire parfaite. “Dans le même genre que ton histoire de cocktail j’ai fini en retenue au lycée après un cours d’arts plastiques qui a mal tourné.” Je bois une petite gorgée de cocktail avant de me lancer dans le récit d’une de mes premières heures de retenue, les premières d’une longue liste. “En fait la prof était vraiment horrible, elle n’avait aucun talent et en plus elle n’était pas faite pour être prof, la totale quoi. Elle n’arrêtait pas de me critiquer et de me rabaisser devant tout le monde alors je ne me suis pas laissé faire. Quand elle est passée dans la rangée à côté de moi j’ai mis un coup dans le petit pot de peinture rouge qui était posé sur le bord de ma table.” Je me souviens qu’en plus c’était une des professeures que tout le monde craignait. Les autres l’avaient surnommé “le tigre”. Elle avait le pouvoir de terroriser un peu tout le monde, je me souviens de son regard d’un bleu si clair qu’il nous glaçait le sang. En général tout le monde se tenait tranquille et les élèves préféraient subir en silence ses remarques acerbes. Je la revois en train de passer entre les rangées, comme un tigre à la recherche d’une proie, d’un élève à aller critiquer. Et quand “le tigre” avait trouvé sa proie ou que quelqu’un osait se rebeller contre elle, elle n’hésitait pas à lui crier dessus, à la manière d’un félin qui rugissait. Au début j’avais peur d’elle et puis je me suis dit “qu’est-ce que je risque ?” Une des choses que Rudy nous a appris c’est de ne pas laisser quelqu’un nous marcher sur les pieds. Alors ce jour-là je n’ai pas hésité à lui renverser ce pot de peinture. Quand j’avais raconté ça à Rudy il m’avait dit “bien joué” et on en était restés là. “T’aurais dû voir sa tête quand le pot s’est renversé sur son pantalon et sur ses chaussures. Elle en avait partout. Bon c’est pas très glorieux non plus comme vengeance mais bon je voulais pas me laisser marcher sur les pieds. Ca nous fait un point commun.” Je lui souris et je reprends une gorgée de cocktail. “Il est super bon ce cocktail, j’ai bien fait de te laisser choisir.”
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Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Oh I don't know where we're gonna go, where we're gonna when you look at me like that. I don't know whatcha gonna say if I say that I want you so bad. Here comes that electric spark in your eyes turning me into flames
Elle s’en faisait certainement trop. Emery avait tellement envie de bien faire ce soir qu’elle en oubliait un peu qu’elle n’avait pas à prétendre, avec Cesar. Ils s’adaptaient parfaitement à la simplicité et avaient déjà ce qu’ils désiraient ce soir ; un moment tranquille entre eux. La blonde se mit à secouer la tête dans un sourire. Parce que même si son plat était mauvais, elle ne le saurait certainement jamais. Ce ne serait pas le jeune homme qui lui signalerait. Elle le voyait bien être le genre à ne rien dire et à faire des compliments qui n’étaient pas mérités. Le fait est qu’elle ne prenait pas tant de risques ici, faire à manger n’était juste pas une grande passion dans la vie. Elle avait tendance à peu manger et à aller à l’essentiel. « Dans le pire des cas, la prochaine fois je te ferai venir avant et tu feras le commis de cuisine pour me surveiller. » suggéra-t-elle sur un ton malicieux. Ils auraient pu bien s’amuser à faire ça, elle aurait dû y penser. En tout cas, elle savait déjà qu’elle maîtrisait mieux les alcools que les assaisonnements. Et il avait de la chance, elle préférait miser sur quelque chose d’agréable au goût que sur de l’exotisme pur et dur qui ferait grimacer. L’idée n’était pas de les mettre au tapis après deux verres, après tout. Em pouvait promettre des aventures, mais sur celle-ci, les risques et périls étaient plus que limités. La réflexion de Cesar la fit rire, et en se réinstallant à ses côtés sur le canapé, elle plongea ses yeux dans les siens avec un léger sourire entendu. « Je ne pense pas que c’est la discussion qui aurait pu les gêner. » Une allusion qu’elle laissait libre d’interprétation, tendant la perche s’il souhaitait la saisir. Elle ne pouvait pas savoir comment se terminerait la soirée, mais elle ne se cachait pas qu’elle aimerait en profiter pour découvrir des nouvelles facettes du brun.
Le fait qu’ils ne se connaissent encore que peu jouait en leur faveur. Emery était du genre à préférer user d’anecdotes de vie pour apprendre à se connaître plutôt que de raconter son histoire, devoir faire la liste de ses goûts. Elle trouvait cela bien plus spontané et ainsi, elle n’avait pas la sensation de devoir éviter des sujets. Elle gardait le contrôle, en quelque sorte. Comme ce soir-là où le cocktail avait ruiné à jamais la chemise de ce client, lui avait donné une raison plus que satisfaisante de se faire virer. Elle n’avait même pas protesté, même pas tenté de faire comme si le geste n’avait pas été prémédité. Le job ne lui tenait pas assez à cœur pour qu’elle se sente obligée de mentir. « Je trouve aussi que j’ai bien fait. Les gens irrespectueux méritent d’être remis à leur place, de temps à autre. Il était… rougi et bouffi, à force de hurler. Imagine une tomate pourrie sur le point d’exploser. » Ah ça, il avait su faire un départ remarqué du bar, non sans avoir appelé le manager avant. Et elle s’en fichait parfaitement. Les accidents arrivaient, après tout. Mais en réalisant la couleur du tee-shirt de Cesar, elle pouffa de rire. Ce n’était pas le moment de commettre une maladresse. « Surtout que je n’aurais rien à te prêter, t’aurais le choix entre le tee-shirt alcoolisé ou… rien ? » Il était musclé, elle était toute menue. Il y aurait certainement un problème de taille.
Les lèvres trempées dans son verre, elle écoutait le mexicain avec attention, curieuse de savoir quelle anecdote lui viendrait à l’esprit. Mais le fait qu’il reste dans le thème des rebelles qui refusent de se laisser faire fit naître un rictus de plus en plus large sur les lèvres de la blonde. Cesar racontait la scène avec une précision qui lui laissait parfaitement imaginer la scène, et elle se mit à rire franchement en voyant une scène à la Carrie, la peinture rouge venant tout détruire sur son passage. Une catastrophe à grande ampleur et là encore, elle doutait qu’un passage à la machine ait suffi pour faire disparaître le désastre. « Si tu t’en es sorti juste avec une retenue, je dirais que ce n’est pas trop cher payé. Et puis les maladresses, ça arrive à tout le monde… » Elle laissa planer cette réflexion avec un sourire joueur. C’est qu’ils étaient revanchards, dans leur genre. « On ne se laisse pas marcher sur les pieds, et on est hauts en couleur. Que de points communs. » Les signes de deux forts caractères. Ce qui aurait pu leur jouer des tours mais finalement, cela semblait plutôt bien fonctionner entre eux. « Je suis contente qu’il te plaise. » Elle n’était pas très originale comme personne quand il s’agissait de cocktails, allait rapidement vers les mojitos et margaritas si elle avait le choix dans un bar. Mais à faire, celui-ci l’amusait bien. Et en parlant de bleus… Elle remarqua les avant-bras du brun, les traces qui y étaient. Discrètes, mais présentes. Pile là où quelques jours plus tôt, ils s’étaient entraînés à la défense au dojo. Il s’était bien défendu, mais elle n’avait pas faibli sur les coups dans les bras apparemment. « On va penser que je te malmène, après. » lança-t-elle avec amusement en laissant ses doigts se promener sur les traces laissées.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
Emery me parle de ce qu’elle a cuisiné mais bon ce n’est pas vraiment le truc qui me passionne le plus ce soir. Son plat sent très bon et je suis sûr qu’elle cuisine très bien. Et dans l’éventualité où il serait raté ce ne serait pas très grave, je ne suis pas venu pour manger ou juger ses compétences. J’essaie de la rassurer et je lui dis que le wok est une excellente idée. « Dans le pire des cas, la prochaine fois je te ferai venir avant et tu feras le commis de cuisine pour me surveiller. » Quand elle parle de la prochaine fois ça me fait sourire parce que ça me confirme qu’elle a envie qu’on se revoit et c’est réciproque. J’aime beaucoup sa compagnie et même si je suis un cuisinier pitoyable contrairement à Rudy je viendrai lui filer un coup de main sans hésiter. “Avec grand plaisir.” Je me demande si ses colocataires sont présents ou pas, histoire de savoir si on pourra passer la soirée sans être interrompus et pouvoir parler sans devoir baisser le volume sonore. « Je ne pense pas que c’est la discussion qui aurait pu les gêner. » Elle est assise à côté de moi et la distance entre nous deux est plutôt réduite. Elle me regarde avec un petit sourire et là je me dis est-ce que j’ai bien compris ou j’hallucine ? Je me contente d’un petit sourire amusé avant de prendre une nouvelle gorgée de mon cocktail. Emery change de sujet et me raconte l’anecdote qui accompagne ce cocktail. « Je trouve aussi que j’ai bien fait. Les gens irrespectueux méritent d’être remis à leur place, de temps à autre. Il était… rougi et bouffi, à force de hurler. Imagine une tomate pourrie sur le point d’exploser. » Je ris beaucoup en imaginant la scène, je n’imaginais pas Em être ce genre de personnes mais j’aime beaucoup ça. Elle a du caractère et on se ressemble sur ce point. “J’imagine bien oui, t’as bien raison, faut pas se laisser marcher sur les pieds.” Elle promet que si la scène se reproduit ce soir ce sera un pur accident et que je ne dois pas y voir une forme de vengeance. Ca me fait rire et je lui réponds que si elle me renversait son cocktail dessus mon t-shirt blanc serait foutu, même un très bon détachant n’en viendrait pas à bout. « Surtout que je n’aurais rien à te prêter, t’aurais le choix entre le tee-shirt alcoolisé ou… rien ? » Avant qu’elle ajoute le “rien” je la regarde avec curiosité. Et le fait qu’elle parle de me voir sans t-shirt ça me confirme ce que je me disais un peu plus tôt, elle me tend une perche que je saisis cette fois. “Mmmh je pense que j’aurais enlevé mon t-shirt, un t-shirt mouillé qui empeste l’alcool c’est pas très agréable.” Le tout accompagné d’un petit sourire. Et c’est à mon tour de raconter une anecdote. Je décide de lui parler de ma prof d’arts plastiques tyrannique à qui j’ai donné une bonne leçon à base de peinture rouge. L’histoire a l’air de bien la faire rire et je ris aussi en repensant à ce moment. « Si tu t’en es sorti juste avec une retenue, je dirais que ce n’est pas trop cher payé. Et puis les maladresses, ça arrive à tout le monde… » Elle a raison, j’aurais pu me faire virer du lycée, heureusement que mon grand jeu d’acteur a convaincu la prof sur le fait que je n’avais pas fait exprès. Je n’imagine pas la tête qu’aurait fait ma mère si j’avais été exclu du lycée pour une connerie comme ça. “Franchement j’ai eu du bol. J’ai sorti mon petit regard de chat botté en m’excusant, ça a dû aider.” Et je lui montre la tête de chien battu que j’avais sorti à la directrice du lycée quand elle m’a convoqué dans son lycée après cet incident. Je souligne qu’on se ressemble et c’est assez drôle de savoir qu’on a eu la même idée de vengeance dans des contextes très différents. « On ne se laisse pas marcher sur les pieds, et on est hauts en couleur. Que de points communs. » C’est ce qui fait qu’on s’entend bien et que le courant passe aussi facilement entre nous. Je ne pourrais pas être proche de quelqu’un de trop timide et calme. C’est d’ailleurs pour ça que je ne suis pas très proche de Diego, on a rien en commun -à part une famille complètement à l’ouest- et souvent on trouve rien à se dire. Avec Em c’est différent, on a toujours quelque chose à se raconter et le contact est facile. Avec elle je me sens bien, en confiance et je ne m’ennuie jamais. “ça fait une belle liste déjà pour commencer.” J’ai envie d’apprendre à la connaître. Elle est parfaite : pétillante, drôle, sûre d’elle, avec un caractère bien trempé et surtout elle est canon. Elle me plait beaucoup et plus le temps passe et plus que je me dis que cette soirée est en train de prendre une tournure très agréable. Je la complimente sur son cocktail, celui pour lequel je lui ai donné carte blanche. « Je suis contente qu’il te plaise. » Son regard se pose sur les bleus qui ornent mes bras. J’en ai un peu partout sur le corps depuis que je m’entraîne avec elle, elle est beaucoup trop forte pour moi et c’est toujours elle qui gagne. Je ne fais même plus attention aux bleus, ça devient une habitude. « On va penser que je te malmène, après. » Ses doigts effleurent mes bras. Ils font le tour de mes hématomes et de sentir son contact ça me fait quelque chose. Mon regard fait quelques allers retours entre ses doigts et son regard et plus je la regarde et plus je la trouve sublime. Je me dis qu’elle m’envoie trop de signaux pour que je me plante. Je ne sais pas jusqu’où elle veut aller mais une chose est sûre elle n’a pas l’air contre un contact physique. C’est elle qui s’est rapprochée de moi, je n’attendais que ça mais je n’avais pas voulu faire le premier pas par peur qu’elle se sente oppressée ou que ça la bloque. Tant pis, je décide de tenter une approche plus ou moins subtile, si jamais je fais fausse route je ferai passer ça pour de la maladresse.. “Ah non mais ça c’est rien, j’en ai aussi sur les côtes. Ca c’est que la partie émergée de l’iceberg, t’es beaucoup trop forte.” Je la jauge du regard quand j’attrape le bas de mon t-shirt, prêt à l’enlever. Je sens qu’elle n’est pas opposée à cette idée alors je retire mon t-shirt que je pose sur le canapé à côté de moi. “Regarde.” Je lui dis avec un petit sourire amusé avant de me tourner légèrement pour lui montrer les marques de nos entraînements. Puis je remets face à elle, torse nu je sonde son regard, à elle de choisir l’évolution du cours de la soirée, de mon côté j'essaie de résister à l'envie folle qui me prend de l'embrasser.
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Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Oh I don't know where we're gonna go, where we're gonna when you look at me like that. I don't know whatcha gonna say if I say that I want you so bad. Here comes that electric spark in your eyes turning me into flames
Cesar et Em étaient différents sur un tas de points et pourtant, il y avait ce quelque chose qui faisait que ça collait entre eux. Ce n’était probablement pas grâce à leur caractère emporté, ceci dit. L’artiste faisait partie de ces gens que la blonde n’aimerait jamais se mettre à dos. De peur de subir son courroux d’une part, et parce qu’elle s’en voudrait que leur relation en prenne un coup de l’autre. Mais ce n’était pas à l’ordre du jour, bien au contraire. Elle aimait ce qu’elle découvrait de lui, morceau par morceaux. C’était toujours excitant de faire connaissance. Em avait tendance à voir les gens comme un puzzle, où le moindre indice aidait à remettre les pièces dans l’ordre. Plus c’était complexe, mieux c’était. Mais pour l’instant, la jeune femme n’était pas vraiment d’humeur à avoir une conversation profonde, préférant sauter d’une anecdote à une autre avec un sourire amusé face à ces scènes de vie. Ou face à ce regard de chat botté qui pour le coup avait le mérite d’être convainquant. « Je ne sais pas comment on aurait pu te reprocher quoique ce soit avec un regard pareil. » Parfaitement innocent, le genre auquel on donnerait le bon dieu sans confessions. Elle notait intérieurement que c’était à quoi ressemblait sa stratégie d’amadouement, pour le jour où ce serait utile. Dire que leur rencontre ne tenait vraiment à pas grand-chose. Elle était contente d’avoir envoyé ce message sur instagram, un jour d’ennui. Contente aussi qu’il ait répondu, que leurs messages ne se soient pas perdus au fond d’une messagerie trop pleine. Elle n’était pourtant pas amatrice d’art en temps normal, n’avait aucune idée de ce qui lui avait pris. Il fallait croire que c’était le destin. Ils se retrouvaient surtout sur le sport depuis, sur la boxe et les activités d’extérieur. Tout ce qui les faisait échapper à leurs responsabilités quotidiennes. « Dans tous les cas, je n’ai pas besoin d’une liste pour savoir qu’on s’entend bien. » C’était le plus important. Et puis elle n’aimerait pas fréquenter son sosie ; elle appréciait Cesar pour tout ce qui le faisait sortir du lot. Tout ce qui lui donnait envie de passer du temps avec lui, de sauter sur la première occasion de se retrouver en tête à tête. Ils ne rataient déjà pas une occasion de se retrouver sur le tatami et de pratiquer ensemble, mais ce n’était juste pas pareil quand ils étaient entourés. Ils savaient très bien se couper du monde, rester dans leurs coins et prétendre qu’ils étaient, cela ne permettait juste pas la même intimité comme ce qu’ils avaient ici.
Et à propos de boxe, elle pouvait constater qu’elle ne lui avait pas vraiment laissé de répit durant le dernier entraînement, à en juger par l’état de ses bras. Les gants de boxe étaient pourtant rembourrés dans le but de limiter les dégâts, mais cela ne suffisait pas selon la force des coups. Si cela lui faisait une bonne excuse de promener ses doigts sur sa peau, la culpabilité n’était pas vraiment feinte. D’accord, c’était bien les risques à pratiquer ce genre de sport, mais tout de même. Cesar ne réagit pas immédiatement, et capter son regard eut le don de faire légèrement sourire la blonde. Une réaction devenue automatique chaque fois qu’il la regardait de la sorte. A quoi est-ce qu’il pouvait bien penser ? A part au fait qu’elle le malmenait effectivement, parce que lui parler de ses côtes meurtries aussi renforça la sensation d’Em d’y être allée un peu fort. Elle était partie du principe qu’ils en étaient au même niveau. Elle n’avait pas trop d’avance sur lui, et quand il aurait progressé un peu, elle ne serait définitivement plus dans sa catégorie pour les combats. Ce à quoi elle ne s’attendait pas en revanche, c’était à ce qu’il retire son tee-shirt. Elle avait plaisanté sur le sujet un peu plus tôt mais ne s’attendait pas à ce que cela se réalise. Et si elle savait que c’était pour constater les bleus, elle se perdit un peu dans sa contemplation. Il était plus musclé qu’elle ne l’avait imaginé. Ce n’était plus par les hématomes que ses doigts étaient intéressés. Tourné vers elle de la sorte, ils étaient plus proches qu’ils ne l’avaient jamais été probablement. Ce serait parfait pour tenter quelque chose, et la simple perspective de prendre les devants fit battre son cœur un peu plus vite. « Je pensais que tu me laissais gagner et que ne t’osais pas me frapper, moi. Ou alors, que tu étais juste vraiment distrait… » Par elle. Une option qu’elle aimait plus qu’elle ne l’admettrait. Une hypothèse qu’elle pourrait vérifier si facilement. Il suffirait de combler l’espace entre eux, jusqu’à ce que leurs cuisses se touche. Ce qu’elle fit, délicatement. Rapprocher son visage du sien, déposer les lèvres sur les siennes. Pourtant, elle n’osa pas combler les derniers centimètres qui restaient entre eux. Si elle se plantait sur toute la ligne, ce serait vraiment étrange par la suite. « Dis… je me fais peut-être des idées, mais on se tourne autour, non ? Parce que j’ai très, très envie de tenter quelque chose, là tout de suite. Et je veux être sûre que je ne risque pas de me prendre un râteau… » Si elle devait être honnête, c’était en partie ce qu’elle avait espéré de leur soirée. Elle aurait pu attendre mais l’opportunité ici était juste trop belle pour y résister.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
Je lui parle de cette heure de retenue que j’ai eue après avoir renversé le pot de peinture sur la prof d’arts plastiques qui était aussi rouge de colère que l’était son jean taché. Je lui mime mon air faussement désolé et je lui sors mon plus beau regard attendrissant pour appuyer mes propos. « Je ne sais pas comment on aurait pu te reprocher quoique ce soit avec un regard pareil. » Sa remarque me fait rire, parce que si je m’en suis bien sorti cette fois-là avec juste une heure de retenue je n’ai pas toujours eu cette chance. Mon regard de chien battu ne fonctionnait pas avec tout le monde, il n’y a qu’une personne en dehors de ma prof d’arts qui y était sensible c’était ma mère -une technique inutile désormais-. “T’as vu ça marche plutôt bien.” Je fais remarquer à Em qu’on a une belle liste de points en communs et j’aime découvrir petit à petit qu’on se ressemble beaucoup. « Dans tous les cas, je n’ai pas besoin d’une liste pour savoir qu’on s’entend bien. » Bien s’entendre est un excellent résumé, j’aurais même dit qu’on s’entend plus que bien. Avec elle tout est simple, sans prise de tête inutile. On aime passer du temps ensemble, on se comprend sans se parler par moments, un simple regard suffit et j’aime énormément notre complicité. J’ai toujours été du genre plutôt solitaire, j’avais du mal à me faire des amis. Je n’ai jamais trop su pourquoi, sûrement parce que j’étais différent des gens de mon âge. Je n’ai jamais rêvé d’enchainer les soirées, les sorties ou de faire des trucs débiles comme ceux qui étaient au lycée avec moi. Je préférais bosser dans mon coin, voir quelques amis pour de petites soirées mais tout ce qui n’a jamais compté c’est le dessin. Je me suis toujours entendu avec des personnes qui étaient plus âgées que moi, c’est beaucoup plus agréable de discuter avec des personnes matures et qui ont des sujets beaucoup plus intéressants que des potins de lycéens. C’est ce qui explique que j’aime beaucoup Maddy et Em. Je la complimente sur ses cocktails mais je vois rapidement que son regard semble se porter ailleurs que sur mon verre. Elle fixe mes bras et les bleus qui ornent ma peau, légèrement meurtrie par notre dernier entraînement qui était plus qu’intense. Je souris à sa remarque, c’est vrai qu’on pourrait penser qu’elle y va bien trop fort avec moi mais je ne lui ai jamais demandé de me ménager. J’ai envie d’apprendre, de devenir meilleur en boxe et ça passe par se prendre des coups. Je suis aussi un peu mauvais perdant sur les bords, je ne tirerais aucune satisfaction d’une victoire contre elle si je savais qu’elle avait retenu ses coups. Mes bras ne sont pas les seuls qui portent des bleus, mes côtes ont aussi souffert. Je sens ses doigts se promener légèrement en faisant le tour des marques et je retiens un frisson. Je me dis que je me fais peut-être des films mais ça fait quand même beaucoup de signaux qu’elle me renvoie. Pour avoir une preuve supplémentaire de ce qui tourne dans ma tête depuis déjà un moment, j'enlève mon t-shirt pour lui montrer les autres bleus. Je me tourne légèrement pour lui montrer et j’appréhende un peu sa réaction. Je n’ai pas envie de créer un malaise entre nous si jamais j’ai mal interprété son attitude mais il fallait que je prenne le risque. « Je pensais que tu me laissais gagner et que ne t’osais pas me frapper, moi. Ou alors, que tu étais juste vraiment distrait… » Je prends un faux air assuré et je lui réponds. “Non mais bien sûr je te laissais gagner.” Elle n’a pas l’air franchement convaincue et j’ai un petit rire avant d’ajouter. “Bon ok t’es trop forte. Je crois que t’as beaucoup à m’apprendre…” Je me plonge dans son regard et elle me regarde aussi avec beaucoup d’intensité. D’être à moitié nu comme ça devant elle, tout proche sur le canapé et de la voir me regarder comme ça c’est en train de me rendre fou. L'atmosphère est très particulière et à chaque instant qui passe je trouve qu’il se passe quelque chose et que l’alchimie qu’il y a entre nous est trop belle pour qu’elle n’existe que dans mon imagination. J’aimerais me lancer, l’embrasser là comme ça, glisser ma main dans son dos et réduire cet espace qui est entre nous. On se regarde comme ça sans rien dire, je n’ai plus trop la tête à discuter, c’est finalement elle qui rompt le silence. « Dis… je me fais peut-être des idées, mais on se tourne autour, non ? Parce que j’ai très, très envie de tenter quelque chose, là tout de suite. Et je veux être sûre que je ne risque pas de me prendre un râteau… » Elle dit tout ce que j’espérais entendre. Elle vient de dissiper tous mes doutes et en guise de réponse je pose ma main sur son visage et je l’embrasse. Nous basculons sur le canapé et cette petite perte d’équilibre me fait rire. A ce moment-là c'est un peu comme un feu d’artifice dans ma tête. Em est sublime, elle m’attire comme un aimant alors qu’elle ressente la même chose et qu’elle ait envie de tenter quelque chose c’est au-dessus de toutes mes espérances. Au-dessus d’elle, je l’embrasse avec passion, ses lèvres sont encore plus douces que ce que j’imaginais. Je m’appuie sur mon avant bras droit pendant que ma main gauche se perd dans ses cheveux et caresse son visage. Je fais une petite pause dans mon baiser, je m’éloigne juste assez pour pouvoir la regarder dans les yeux. La situation me fait sourire, la soirée a dérapé très vite et même si je l’espérais énormément je ne pensais pas que je lui plaisais aussi. Elle me regarde avec un petit sourire aussi et je dois retenir un nouveau frisson. Elle est en train de me rendre dingue.
***:
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Oh I don't know where we're gonna go, where we're gonna when you look at me like that. I don't know whatcha gonna say if I say that I want you so bad. Here comes that electric spark in your eyes turning me into flames
Em ne savait pas trop comment ils en étaient arrivés là, ce qui avait rendu leur rencontre particulière par rapport à d’autres. Elle était habituée à être un caméléon social, à adapter son caractère et comportement pour s’entendre avec le monde entier en apparence. Mais il fallait bien admettre qu’elle manquait cruellement de connexions profondes, de gens sur qui vraiment compter. Elle était une habituée des relations toxiques, des dramas en tout genre, des mauvais choix de personnes. Et le pire était probablement qu’elle en était pleinement responsable. A vouloir se protéger et garder son indépendance, elle avait sabordé beaucoup d’amitiés avec brio. Tout cela pour dire qu’elle était heureuse d’être tombée sur Cesar, sa simplicité, son côté passionné, son caractère à la fois prononcé mais doux. Elle avait la sensation d’avoir du répit quand elle était en sa présence, de ne pas avoir à réfléchir à comment se comporter. Elle était elle-même. Pas au point de dévoiler tous ses secrets, mais assez pour les oublier. La tournure qu’était en train de prendre cette soirée n’était que la cerise sur le gâteau. Il y avait bien évidemment des idées derrière la tête quand elle avait lancé l’invitation, l’espoir que quelque chose se passe. Mais en réalité, si elle l’avait désiré, elle avait aussi beaucoup hésité à tendre cette perche, de peur de ce que cela pourrait leur faire. Pourtant, vu la manière dont le brun semblait réceptif, elle oubliait de plus en plus le chemin glissant vers lequel ils s’aventuraient, se contentant de rire et de secouer la tête, son regard glissant toujours sur le torse dessiné et les bleus qui le tâchaient. Elle faillit le croire quand il lui avoua la laisser gagner, mais il se trahit aussitôt, lui arrachant un nouveau sourire amusé. « C’est qu’une question de semaines avant que tu ne me mettes au tapis. » Elle avait la technique, l’agilité. Mais une fois qu’il aurait développé ses réflexes, elle ne donnait pas bien cher de sa peau face à lui. Elle lui trouverait d’autres adversaires pour les combats et en resterait aux exercices pratiques, moins dangereux. Elle ne se priverait tout de même pas de le charrier au prochain entraînement à ce sujet, mais ferait un peu plus attention. Elle ne le voulait pas en pièces détachées.
Mais elle ne pouvait pas nier que cela lui faisait une excuse toute trouvée pour établir un rapprochement, l’un de ceux qui ne fit que renforcer le trouble. Elle ne pensait pas que les choses iraient si vite, qu’elle se trahirait dès l’apéritif, mais tous les indices étaient là, et c’était le cœur battant et une fausse assurance collée sur le visage qu’elle lui avoua ce à quoi elle pensait. Un quitte ou double dont elle observa la réaction avec une légère appréhension. Elle n’eut pas à attendre longtemps pour que Cesar la rassure, sa main venant trouver sa joue et sa bouche la sienne. Un premier baiser fougueux, celui qui marquait la fin de l’attente. Instinctivement, Em vint glisser ses doigts dans la chevelure brune, approfondir ce baiser avec envie, goûtant à ces lippes qu’elle avait observé plus d’une fois avec une certaine curiosité. Elle était encore accrochée à lui quand ils basculèrent dans le canapé, que son dos heurta les coussins. Un changement de position dont elle était loin de se plaindre, ses bras venant naturellement s’entourer autour du mexicain, tous ses sens s’abandonnant à lui. La chaleur de sa peau, son parfum, l’empressement de ses baisers. Elle aurait été bien incapable de regretter quoique ce soit, avec un rapprochement pareil. Son sourire ne la quittait plus, ses joues probablement rougies par la situation. Il avait cette manière de la regarder qui la rendait vraiment toute chose. Il était vraiment séduisant. Elle savait depuis la première fois qu’elle l’avait vu qu’il lui plaisait, mais c’était d’autant plus flagrant alors qu’ils étaient si proches et qu’elle n’avait qu’à tendre les lèvres pour cueillir les siennes. Ses mains glissèrent, l’une contre son dos, l’autre dans sa nuque. Elle avait envie de lui ici, maintenant. Son bas-ventre bouillonnait sous l’envie, son corps entier désireux de découvrir le sien, de pouvoir l’explorer un peu plus. « Je t’ai pas fait visiter ma chambre. » souffla-t-elle en guise d’invitation, s’appuyant sur ses avant-bras pour se redresser. Il y avait quelque chose de fébrile dans la manière qu’elle eut de lui échapper doucement, ses doigts s’enroulant aux siens pour le guider jusque dans le couloir. Ils auraient pu inaugurer le canapé, mais elle ne voulait pas prendre de risques au cas où quelqu’un rentre. Et puis elle aimait la perspective d’avoir plus d’espace, aimait la manière qu’eurent leurs corps d’instinctivement revenir se coller l’un à l’autre une fois la porte refermée pour s’embrasser avec passion contre le mur. « Déshabille-moi. » ordonna-t-elle le souffle court, son regard trouble plongé dans le sien. Une invitation pure et dure à ce qu’il vienne la découvrir, qu’il la touche. Elle avait envie de ça, besoin de ça.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
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