“friendship doesn't exist without gossip” & La journée n’avait pas été de tout repos, Ysis avait courru à droite à gauche depuis dix heures du matin. Elle avait d’abord dû se rendre à la poste de Brisbane afin de récupérer des colis personnels ainsi que professionnels. En ce moment, elle s’occupait de réaliser un réassort des nouvelles collections de maillot de bain, des marques avec lesquelles elle travaillait. Cela l’obligeait à se rendre presque tous les jours récupérer un nouveau colis puisqu’évidemment, les marques n’envoyaient pas forcément tout en même temps. Après cela, elle s’était engagée à venir soutenir l’une de ses employées, dans un concept-store de la ville. Ysis avait booké cela afin de faire connaître un peu plus Sun’Ys. Enfin, elle était retournée à la boutique en fin de journée et avait terminé sa journée de travail tranquillement. La fin de journée avait été moins fatigante puisqu’elle avait pu avoir un peu de temps pour faire des choses moins fatigantes que de courir dans toute la ville. Elle rentra enfin chez elle vers 19h. La première chose qu’elle fit, c’est se faire couler un bain brûlant. Non pas qu’elle avait froid, elle était juste une fan des bains qui fument avant d’y pénétrer. Ysis positionna son ordinateur dans un coin stratégique, elle lança sa série et s’installa dans le bain. Et alors qu’elle se prélassait à peine, son téléphone sonna. C’était un message de Marceline, sa meilleure amie. La blonde lui donnait rendez-vous ce soir à 21h, devant le grand hôtel de luxe de Fortitude Valley. Ysis se laissa glisser dans le bain pour mettre la tête sous l’eau. Elle avait effectivement complètement oublié que Marceline lui avait fait promettre de l’accompagner à une soirée où elle se devait d’être présente. La célébrité montante de Marceline l’obligeait à se présenter à énormément d'événements et de soirées mondaines. Ysis, c’était vraiment pas son truc, elle n’avait jamais été trop fan des strass et des paillettes, même quand elle aurait pu l’être, elle n’en avait jamais été friande. Ysis répondait donc à Marceline que c'était ok, qu’elle y serait. La brune se pressa de prendre son bain et de se préparer. Il était 20H50, lorsqu’elle arrivait devant le building. Ysis avait revêtue unerobe noire, longue et en velours pour la plus part du tissu. Elle avait agrémenté sa tenue avec une pochette brillante et de hauts escarpins vernis. Au loin, elle vit Marceline sortir d’une voiture. Ysis alla donc à la rencontre de sa meilleure amie en hurlant. « J’espère que cette soirée va en valoir le coup ! ». Ysis prit Marceline dans ses bras pour la saluer. La relation des des deux jeunes femmes avait toujours été ambigu. Elles pouvaient passer de je t'adore à je te déteste en deux secondes et revenir à je t'adore en un clin d'oeil. Elles adoraient se balancer des vacheries et étaient surtout très honnête l'une envers l'autre. C'était surement ce qui faisait la force de leur amitié. Cela faisait un moment d'ailleurs qu'elles se connaissaient, et elles ne s'étaient jamais réellement perdue de vue. Depuis qu'Ysis s'était installée à Brisbane en 2018, leur lien n'avait fait que se renforcer. « En plus, je suis sur que le jour où tu seras casée, j'aurais plus l'occasion d'être ton invitée d'honneur! » Ysis affichait un grand sourire à son amie. Toutes deux se dirigeaient vers le lieu de la soirée. Ysis ne savait pas vraiment où elle mettait les pieds, mais tant qu'elle était avec Marceline, ça lui importait peu finalement. Elle savait que la soirée serait forcément bonne.
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
We were something, don't you think so? Rosé flowing with your chosen family
C'était incroyable combien tout pouvait bouger d'un instant à l'autre, à quelle point la normalité pouvait devenir.... Eh bien, normale, et à la fois complètement irréelle. Sam, mon assistante, m'avait parlé de cette soirée comme si elle me demandait d'aller à un barbecue avec ses cousins le dimanche suivant. Heureusement que mon oncle travaillait dans ce milieu, et que j'avais grandi en entendant le nom de ces gens à dîner, ça me préparait un peu au fait de me retrouver dans des salles où ils se trouvaient : ce n'était pas juste des célébrités, c'était des gens dont j'admirais le travail, des réalisateurs, des scénaristes, des producteurs, des directeurs de casting, bref, la crème de la crème. J'avais enfin réussi à passer de l'autre côté, à faire partie de ce milieu, mais j'étais aussi consciente que j'étais la petite nouvelle qui débarquait ; et des nouvelles ingénues, ils étaient habitués à en voir passer. Il faudrait jouer mes cartes avec intelligence. Heureusement, j'avais un avantage de taille : j'étais peut-être la nouvelle ingénue, mais j'étais aussi le talent du moment, le nom sur toutes les lèvres, y compris de l'académie des Golden Globes. J'avais peut-être vraiment ma chance d'être nominée, alors que je venais du monde du théâtre et que je n'avais quasiment jamais joué pour la caméra. Alors ce soir, il était bien question de briller, de me faire remarquer : j’arrivais parfaitement à l’heure, avec une tenue dont le tissu reflétait la lumière et attirait l’oeil, et me jettai dans les bras d’Ysis en riant.
« J’espère que cette soirée va en valoir le coup ! » « Mais bien sûr ! » Je lui pris la main et la fit tourner sur elle pour admirer sa tenue. « Ohlala, qué linda ! » M’exclamai-je avec mon mauvais accent espagnol.
« En plus, je suis sur que le jour où tu seras casée, j'aurais plus l'occasion d'être ton invitée d'honneur! » « Vu comment je suis partie, je pense que tu as encore l'exclusivité pour un moment, » plaisantai-je avec un petit rire jaune. Ce n'était pas une surprise, je n'avais pas beaucoup de chance en amour, et chaque fille que je croyais être la bonne me filait entre les doigts. « Faudra que je te raconte mon dernier date. La fille est partie en plein milieu parce que son ex venait de lui envoyer une déclaration d'amour par texto. »
Je grimaçai, et haussai les épaules pour oublier cette mauvaise soirée. On se dirigea vers l’hotel, pénétrant dans la grande salle de réception déjà remplie de monde et de coupes de champagne qui trinquait. Le buffet débordait de nourriture, de bouteilles…
« Wow, ça nous change des buffets après mes représentations de théâtre, hein... » Même si j’avais fini par me faire une place dans le théâtre, le vrai, celui qui avait des moyens et où les représentations avaient lieu dans de grandes salles, ça n’avait rien à voir avec le budget de ce soir. Je souris à Ysis. Elle m'avait accompagnée à plus d'une soirée, y compris lorsque je vivais à New-York et elle à LA. Il faut dire que malgré nos relations tumultueuses, elle était toujours partante pour l'aventure, et elle faisait une parfaite compagnonne de soirée. Mes moments préférés étaient souvent ceux où l'on rentrait ensemble, un peu ivre, et qu'on s'achetait un énorme burger dans un fast food encore ouvert, pour le manger et discuter, assises sur le premier banc qu'on avait trouvé. J'avais beaucoup de souvenirs heureux, avec elle.
« Bon, en gros, tu vois ce mec là ? » Dis-je en pointant un grand homme noir d'une trentaine d'années. « C'est Will Madoff. Il est réalisateur, et il cherche un lead pour son prochain film, c'est une petite production indépendante, mais tous les critiques adorent son travail, et je n'ai pas envie de signer le premier block-buster que je trouve juste pour la célébrité. Je veux être une actrice crédible... Mon agente est en discussion avec lui, c'est en bonne voie. Donc ce soir c'est ma chance de me vendre... Sauf que... » Je souris, amusée, et pointai discrètement un homme au front dégarni et la mine joviale. « Ça, c'est Boris Bynes. Il veut que je joue dans son prochain film, et comme je n’ai pas encore décroché l’autre rôle, j’essaie de ne pas le froisser… Donc il va falloir que je sois futée. Séduire l’un sans vexer l’autre, en quelque sorte. » J’inspirai. « Il va surtout me falloir du champagne ! »
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
“friendship doesn't exist without gossip” & Ysis avait rejoins sa meilleure amie afin de l’accompagner dans une de ces soirées prestigieuses qui allait rythmer le quotidien de Marceline. Ysis ne connaissait pas ce monde de paillettes, de luxe et de faux semblants. Elle était à mille lieues de cela et depuis toujours. Même lorsqu’elle était danseuse, les soirées auxquelles elles avaient été conviées ne ressemblaient pas aux soirées mondaines du cinéma. Elle avait même un peu de mal à comprendre les gens qui voulaient évoluer dans ce milieu, ce qui était souvent sujet de grandes discussions avec Marceline.
« Mais bien sûr ! » dit la blonde en attrapant la main d’Ysis pour la faire tourner. « Ohlala, qué linda ! » Ysis s’amusa de la réflexion de Marceline. « T’es éblouissante aussi! » répondit-elle en lui lançant en même temps un clin d'œil.
« Vu comment je suis partie, je pense que tu as encore l'exclusivité pour un moment, » Ces paroles était à double tranchant pour Ysis: d’un côté elle était rassurée, et d’un autre, elle était peinée d’entendre ça de la bouche de son amie. « Faudra que je te raconte mon dernier date. La fille est partie en plein milieu parce que son ex venait de lui envoyer une déclaration d'amour par texto. » D’autant plus quand elle lui racontait les dates désastreux qu’elle pouvait parfois enchaîner. « T’as le don pour trouver des nanas… chelou! » Ysis avait toujours souhaité tout le bonheur possible pour Marceline, et, notamment en amour, ce qui était assez compliqué en général. Les deux jeunes femmes se dirigeaient vers la salle de réception, bondée.« Wow, ça nous change des buffets après mes représentations de théâtre, hein... » Les tables étaient remplies de nourriture et de boisson, à volonté, ce qui enchantait Marceline mais Ysis également! Ysis souriait à son amie. « Alors là, heureusement que j’ai pas mis un pantalon, j’aurai dû l'ouvrir à la fin de la soirée! » chuchota Ysis.
Ysis balaya la salle du regard: elle était pleine de gens célèbres. La présence d’acteur du petit comme du grand écran impressionnait l’espagnole. Comment autant de gens connus pouvait être réunis là, au même endroit, au même moment? Ysis sorti de ses pensées lorsque Marceline lui fit un topo de deux des personnalités présentes. « Bon, en gros, tu vois ce mec là ? » Elle regarda là où Marceline pointait son doigt. Un homme grand, noir, d’une trentaine d’année, extrêmement bien apprété. « C'est Will Madoff. Il est réalisateur, et il cherche un lead pour son prochain film, c'est une petite production indépendante, mais tous les critiques adorent son travail, et je n'ai pas envie de signer le premier block-buster que je trouve juste pour la célébrité. Je veux être une actrice crédible... Mon agente est en discussion avec lui, c'est en bonne voie. Donc ce soir c'est ma chance de me vendre... Sauf que... » Ysis hocha la tête, elle écoutait avec attention chaque élément que lui apportait Marceline. Puis, elle pointa son doigt sur un second homme. Plus vieux cette fois, rien qu’à en croire sa chevelure peu fournie et grisonnante. « Ça, c'est Boris Bynes. Il veut que je joue dans son prochain film, et comme je n’ai pas encore décroché l’autre rôle, j’essaie de ne pas le froisser… Donc il va falloir que je sois futée. Séduire l’un sans vexer l’autre, en quelque sorte. » Ysis fronça les sourcils et se tourna de nouveau vers Marceline, elle tenta de répondre à son amie, mais elle ajouta « Il va surtout me falloir du champagne ! » ce qui n’était pas une si mauvaise idée avant toute chose. Les deux amis se dirigèrent vers le bar et récupérèrent une coupe de champagne chacune. Ysis leva son verre pour trinquer « Alors du coup, à toi, à Will mais pas trop à Boris ! » Ysis sourit à son amie et approcha délicatement les deux flûtes de champagne afin de trinquer. « Bon et du coup, comment tu vas t’y prendre? » interrogea-t-elle. Elle n’avait aucune idée de ce que Marceline avait comme idée derrière la tête pour en séduire un sans froisser l’autre. « Mais hey regardes qui s’est là bas! » elle fit des signes de tête pour ne pas pointer la personne en question. « C’est le mec super sexy qui joue dans la dernière série que j’ai vu ! Tu sais, La Chronique des Bridgerton! » dit-elle plus discrètement. Ysis avait récemment terminé cette série, en très peu de temps tellement elle avait été prise dans l’histoire. Une série assez fleur bleue mais plutôt audacieuse. Saupoudrée d’un soupçon d’ordre social, et d’histoire de famille. On y mêle également la royauté anglaise, des beaux costumes et des demeures incroyables. Et enfin, beaucoup de débauche (et de sexe). Une histoire d’amour vient pimenter le tout, tout au long des épisodes un peu plus hot les uns des autres. Un peu à la sauce de la Gossip Girl des années 2000, la “chronique” révèle les commérages de la haute société, signée par une certaine Lady Whistledown que personne ne sait identifier. Tout cela en une seule saison, qui évidemment se termine de façon à ce que les téléspectateurs se hâte de voir une seconde saison, et Ysis la première. Alors d’apercevoir l’acteur qu’elle avait connu dans cette série, rendait Ysis un peu hystérique. Elle chuchota mais moins discrètement cette fois ci, tellement l’excitation était présente « J’espère bien qu’il veut pas séduire Wil et Boris celui-là, mais qu’il est plus… Ysis et Marceline, si tu vois ce que j’veux dire! »
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
We were something, don't you think so? Rosé flowing with your chosen family
On s’approcha du buffet qui débordait de petits fours et de coupes de champagne, de bouteilles de vin ; toute cette opulence aurait dû me mettre mal à l’aise, mais j’avais été élevé à la mauvaise école, gamine de parents trop riches pour vraiment apprendre à leur fille la valeur des choses. Quand je repensais à ma vie, j’avais parfois un peu honte de réaliser à quel point je m’étais habituée à un standard de vie que tous mes privilèges m’avaient acheté. C’était plus que les beaux habits et les voyages, c’était l’appartement à New-York alors que je vivotais de théâtre en théâtre, c’était la certitude silencieuse que je n’aurais jamais aucun problème d’argent, que je ne serais jamais à la rue, en manque de nourriture, des certitudes qui m’avaient paru évidentes toute ma vie. Puis, j’avais grandi, j’avais rencontré des gens d’ailleurs, surtout dans le milieu du théâtre, ces passionnés qui bossaient trois jobs pour payer leur loyer et qui rêvaient un jour de vivre de leur passion. Je n’avais même pas besoin de vivre de ma passion - et pourtant, ce soir, c’était moi qui me retrouvait dans cette position-là, à nouveau entouré de gens riches et déconnectés, à boire du champagne comme de l’eau du robinet. On trinqua avec Ysis, et je chassai mes pensées.
« Alors du coup, à toi, à Will mais pas trop à Boris ! » J’éclatai de rire. « Tu as tout compris ! » Même si Ysis ne venait pas de ce milieu-là, elle comprenait très vite les codes. « Bon et du coup, comment tu vas t’y prendre? » Je pinçais les lèvres, réfléchissant un instant. Le charme n’avait jamais été un problème de mon côté, ni même le mensonge ; je savais très bien embellir ce qui m’arrangeait pour obtenir ce que je désirais. Je n’étais actrice pour rien, après tout, c’était presque innée… Mais l'authenticité aussi, ou du moins, j’essayais, et j’avais toujours du mal à cacher mon excitation et mon intensité devant des gens qui m’intéressaient - comme Will, et son incroyable travail de réalisateur. « Être polie et charmante avec Boris, mais ne pas trop le complimenter et éviter les discussions sur le travail, pour éviter de parler de mon implication dans ses futurs projets… Pour Will, au contraire, montrer que je m’intéresse à son travail. Oh, et éviter à tout prix de me retrouver dans une conversation avec les deux en même temps. Trop risqué, » expliquai-je avec un petit clin d’oeil.
« Mais hey regardes qui s’est là bas! C’est le mec super sexy qui joue dans la dernière série que j’ai vu ! Tu sais, La Chronique des Bridgerton! »
J’essayai de jeter un coup d'œil sans trop me faire remarquer. Ah, oui, je me souvenais très clairement d’Ysis me montrer son compte instagram en bavant à moitié sur son écran - j’avais concédé avec un air entendu que oui, il était plutôt séduisante, même si je n’aimais pas les hommes, je pouvais bien voir que celui-là était un spécimen pas mal.
« J’espère bien qu’il veut pas séduire Wil et Boris celui-là, mais qu’il est plus… Ysis et Marceline, si tu vois ce que j’veux dire ! »
J’étouffai un rire dans ma coupe de champagne, manquant d’en renverser sur ma robe. J’adorais Ysis, mais elle était comme moi : un peu trop d’excitation et elle en oubliait toute discrétion.
« Je crois qu’il vient de se séparer de sa copine, c’était une assistante de production, » expliquai-je. « C’est toujours un bon signe de ne pas sortir avec quelqu’un de connu : les célébrités qui veulent cacher leur homosexualité se mette toujours en couple avec quelqu’un qui fera la une des tabloids… » Je pinçai les lèvres. J’étais toujours triste de voir que même en 2022, être queer était loin d’être facile. Les acteurs qui voulaient devenir des tombeurs préféraient être perçus comme hétéro - dur de vendre un sex symbol aux femmes si elles ne peuvent pas s’imaginer avec lui. « Si tu savais le nombre de secrets dans ce secteur, mon dieu, je n’y suis que depuis quelques mois et c’est déjà épuisant… »
Je secouai la tête, chassant mes pensées un peu noires. Le beau gosse d’Ysis était en pleine avec Moira, une scénariste qui bossait à Netflix et que je connaissais très bien : elle avait travaillé sur le set de Together, la série qui m’avait propulsé sur le devant de la scène, et, in fine, devant ce buffet. Je pris la main d’Ysis avec un air malicieux.
« C’est ton heure de gloire, » murmurai-je, et la tirai avant même qu’elle ne puisse protester. « Moira ! » Lançai-je joyeusement en levant ma coupe de champagne pour lui faire signe. Quelques pas plus tard et j’étais devant elle et le fameux crush d’Ysis. « Ça me fait plaisir de te voir, tu vas bien ? Sam m’a dit que tu bossais sur un nouveau projet, ça se passe bien ? » Je me tournai vers le beau jeune homme et lui adressai mon plus beau sourire. « Marceline, enchantée ! Oh, et je vous présente Ysis, ma meilleure amie, qui a accepté d’être mon invitée pour la soirée. Il va s’en dire que nous sommes toutes les deux des fans de Bridgerton ! On espère que la saison deux sortira bientôt, » ajoutai-je avec un clin d'œil. C’était un mensonge pour ma part : je n’avais jamais vu un seul épisode. Mais le milieu du cinéma, c’était beaucoup de faux semblants, et après tout, j’étais une très bonne actrice.
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
“friendship doesn't exist without gossip” & Cette soirée était probablement l’une des soirées les plus bling-bling auxquelles Ysis avait pu participer. Et pourtant, elle avait pas mal de soirée en vogue à son actif mais depuis que Marceline avait gravi les échelons de la sphère cinématographique, cela avait battu des records. Le champagne coulait à flot, les alcools, tous plus chers les uns que les autres également. Ysis voyait les serveurs remplir les bacs de glaçons et renflouer les plateaux de petits fours sans cesse. D’ailleurs, Marceline et elle s’étaient postées à un endroit stratégique pour pouvoir en profiter. C’était plutôt agréable de savoir qu’on pouvait boire et manger gratuitement, sans que personne ne se soucie de qui mange ou bois trop. Oui, parce que des soirées où on se scrute les uns les autres, Ysis en avait écumé.
« Tu as tout compris! » disait Marceline. Ce n’était pas très compliqué à comprendre, c’était un jeu d’expert pour la blonde, et ça Ysis n’en doutait pas, elle savait à quel point Marceline pouvait jouer le jeu pour en ravir certains et pas d’autre. « Être polie et charmante avec Boris, mais ne pas trop le complimenter et éviter les discussions sur le travail, pour éviter de parler de mon implication dans ses futurs projets… Pour Will, au contraire, montrer que je m’intéresse à son travail. Oh, et éviter à tout prix de me retrouver dans une conversation avec les deux en même temps. Trop risqué. » Ysis hocha la tête. « Ok chef, j’observerais tes talents quand l’heure sera venue » répondit-elle de manière taquine.
L’avantage d’avoir sa meilleure amie dans ce milieu là, c’était que les rencontres pouvaient être facilitées. On ne va pas se mentir, personne ne cracherait sur un bel et célèbre acteur sur lequel un grand nombre de nana fantasment. Ysis ne fantasmait pas particulièrement sur l’acteur principal des Bridgerton, mais elle ne disait pas non. Evidemment, cela n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde. «Je crois qu’il vient de se séparer de sa copine, c’était une assistante de production, » disait Marceline « C’est toujours un bon signe de ne pas sortir avec quelqu’un de connu : les célébrités qui veulent cacher leur homosexualité se mette toujours en couple avec quelqu’un qui fera la une des tabloids… » Ysis acquiesa. Elle savait que Marceline était touchée par ce genre de sujet et elle le comprenait. Elle trouvait particulièrement affreux que chacun ne puisse pas vivre leur vie amoureuse comme ils l’entendaient. « Si tu savais le nombre de secrets dans ce secteur, mon dieu, je n’y suis que depuis quelques mois et c’est déjà épuisant… » L’espagnol, étonnée des dires de son amie, la regardait, surprise. « Hum, ça fait bien longtemps qu’on s’est pas vu pour pas que tu m’aies raconté les potins intéressants là! » Les deux amies avaient pour habitude de se raconter les ragots croustillants de leur vie respective, mais pas que.. Ysis adorait quand Marceline lui faisait un récap des nouvelles peoples. C’était un peu comme avoir un tabloïd gratuit.
« C’est ton heure de gloire, » Marceline attrapait la main d’Ysis pour la trainer jusqu’à une jeune femme qu’elle semblait connaitre plutôt bien et surtout, vers le fameux acteur. Ysis se laissa entraîner, mais perdait alors complètement ses moyens. « Moira ! » Ysis se sentit immédiatement ridicule face à tant de beau monde et elle, l’inconnue de passage.« Ça me fait plaisir de te voir, tu vas bien ? Sam m’a dit que tu bossais sur un nouveau projet, ça se passe bien ? » Elle se concentrait sur la facilité de son amie à être si à l’aise avec autrui. Ysis n’était pas socialement coincée, elle avait d’ailleurs des facultés sociales plutôt bonnes, mais dans ce milieu, elle se sentait dépourvue de toutes ses compétences naturelles et habituelles. « Marceline, enchantée ! Oh, et je vous présente Ysis, ma meilleure amie, qui a accepté d’être mon invitée pour la soirée. Il va s’en dire que nous sommes toutes les deux des fans de Bridgerton ! On espère que la saison deux sortira bientôt, » Ce qu’Ysis appréhendait arriva. Bien trop vite pour qu’Ysis ne puisse s’y préparer, elle se retrouva sans voix face à ce bel acteur, dont le nom lui échappait. La situation était cocasse. Ysis n’aurait pas imaginé que Marceline puisse faire ça, la lâcher dans la gueule du loup. Elle lui donna un coup de coude discret mais sec, pour lui faire comprendre qu’elle se vengerait. En plus de cela, elle détestait l’aisance dont Marceline avait fait preuve, cela la rendait forcément ridicule à côté. « Enchantée! » c’était la seule chose qu’elle avait pu lâcher, entre son grand sourire hypocrite et gênée. Il fallait qu’elle trouve une solution pour se sortir de ce pétrin, immédiatement.
« Je suis vraiment désolée, je crois que quelqu’un là-bas nous fait signe, on va devoir s’éclipser! » Ysis sourit, faussement encore. « Peut-être qu’on se recroisera dans la soirée. Ce fut un plaisir! » Elle attrapa vigoureusement la main de Marceline et s'extirpa de la situation. Ysis se dirigea un peu plus loin dans la pièce, à l'abri des regards de ces deux protagonistes, sûrement affligés par ce qu’il venait de se passer. « Mais ?? Est-ce que t’es devenue folle! Plus jamais tu me refais ce coup! J’ai l’air d’une dinde maintenant! » pouffa-t-elle. Elle était partagée entre le rire et l’agacement. « Bon écoute, c’est pas parce que je dis qu’un mec est beau, qu’il faut que tu me le présente! Sinon.. » elle n’avait pas de menace à vociférer, elle s’arrêta net. « Sinon, rien. Mais plus jamais ce plan, ok?» Un serveur qui passait par là leur proposa une nouvelle coupe de champagne, ce qui ne fut pas de refus, Ysis la porta directement à ses lèvres. « La prochaine fois que tu me parles d'une fille, fais gaffe que j'ai pas trop d'alcool dans le sang » dit-elle en riant. Ce n'était pas vraiment une menace, plutôt une manière de désamorcer la situation.
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Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
We were something, don't you think so? Rosé flowing with your chosen family
Ysis était sociale, mais peut-être un peu moins habituée à ces numéros de séduction dont j’avais le secret. Mais je savais qu’elle acceptait toujours d’être trainée dans mes idées farfelues, parfois malgré elle. Autour de moi, la plupart des gens de mon entourage avait ce petit piquant extraverti ; ma bande d’amis se composait de gens haut en couleur, parce qu’il fallait toujours avoir de la personnalité pour s’imposer au milieu des débats et des discussions. Parfois, je me faisais la réflexion que ces batailles pour être dans les spotlights nous empêchaient peut-être d’être un peu plus vulnérable, et, in fine, réellement liés, mais je devais bien avouer à contre-coeur que beaucoup d’entre nous avait pour instinct de se protéger, d’être un peu secret, par fierté peut-être. Même avec Ysis, que j’aimais de tout mon cœur, je sentais que parfois, nos égos prenaient trop de place et compliquaient notre amitié. C’était sûrement l’effet secondaire habituel des gens intenses comme nous savions l’être.
« Je suis vraiment désolée, je crois que quelqu’un là-bas nous fait signe, on va devoir s’éclipser! Peut-être qu’on se recroisera dans la soirée. Ce fut un plaisir! » Je retins un éclat de rire tandis qu’Ysis attrapait ma main pour me tirer et fuir, pouffant comme une adolescente qui essayait de ne pas se faire repérer. « Bah, quoi, je croyais que tu l’adoraaaais… » Je murmurais en retenant encore un rire, taquinant Ysis.
« Mais ?? Est-ce que t’es devenue folle! Plus jamais tu me refais ce coup! J’ai l’air d’une dinde maintenant ! » « Mais pas du tout, t’es trop belle pour être une dinde, » répliquai-je avec un sourire.
« Bon écoute, c’est pas parce que je dis qu’un mec est beau, qu’il faut que tu me le présente! Sinon.. Sinon, rien. Mais plus jamais ce plan, ok ? La prochaine fois que tu me parles d'une fille, fais gaffe que j'ai pas trop d'alcool dans le sang. »
J’hochai la tête et levai mes mains, l’air de dire “je me rends”. « Eh, parfois les coups de foudre ça doit se provoquer ! » Expliquai-je - oui, ça devait se provoquer, ou peut-être s’inventer, comme j’avais tendance à le faire à chaque fois qu’une fille me plaisait. « Tu me remercieras quand il te suivra sur instagram après être tombé sous le charme en trente secondes d’interaction… »
Je sirotai ma coupe de champagne, pas peu fière de mon petit manège. Comme prévu, la présence d’Ysis éclairait ma soirée, et avoir une alliée comme elle dans ce monde si guindé n’était vraiment pas de refus. C’était étrange de me dire que pour elle, c’était une soirée hors du commun, tandis que pour moi, ces gens allaient devenir mon quotidien. Un poids s’installa dans mon estomac. Je n’étais pas tout à fait sûre d’apprécier cette tournure de ma vie, du moins, pas toujours.
« Argh, non, pas elle… » Murmurai-je dans ma barbe. Au loin, une photographe, une petite fille blonde aux yeux en amande, volait quelques clichés des gens qui discutaient. Je la reconnaissais très bien : elle était particulièrement agressive quand il s’agissait d’interpeller sur un tapis rouge ou lors d’un événement, et l’une de mes co-stars pensait qu’elle donnait peut-être quelques ragots à des sites de gossip. « Je déteste cette meuf. Elle est toujours tapie dans l’ombre, et d’après le bruit qui court, elle serait du genre à aller révéler tout ce qu’elle entend dans la presse. Je ne comprends même pas comment elle a pu être accréditée pour cet évènement. » Je pinçai les lèvres. « Je sais que les gossips, c’est censé être une partie du métier d’actrice, mais franchement… C’est vraiment cool d’être anonyme, en fait… » Lâchai-je, surprise de l’honnêteté de ma propre confession.
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
“friendship doesn't exist without gossip” & Je n’avais jamais compris cet intérêt pour la “fame”. Ce désir ardent d’être connu et reconnu, d’être le meilleur, d’être idolâtré. Je n’avais jamais été comme ça du plus loin que je me souvienne. Alors, quand j’avais rencontré Marceline qui rêvait d’une vie de star, je m’étais tout de suite dit qu’il serait impossible pour que notre amitié soit belle et bien importante. Finalement, si j’avais parié, j’aurais perdu. Nous étions toutes deux aux antipodes, mais un lien fort nous unissait malgré tout. Ces soirées pleines de paillettes et de riches et beaux hommes ne me font pas rêver, sûrement car j’aspire à une autre vie, plus simple. Cependant, je ne refusais jamais d’accompagner ma meilleure amie à ces événements. Et puis, il y a pire que de sortir une belle tenue et de pouvoir manger et boire gratuitement!
« Bah, quoi, je croyais que tu l’adoraaaais… » Je levais les yeux au ciel. Je trouvais Marceline détestable lorsqu’elle se fichait de moi de la sorte. Et j’avais beau lui répéter, elle continuait toujours de plus belle. « Mais pas du tout, t’es trop belle pour être une dinde, » Heureusement, elle avait les mots qui finissaient toujours par me faire rire ou me réconforter. « Eh, parfois les coups de foudre ça doit se provoquer ! » Je lui donnais une tape douce, sur une des deux mains qu’elle venait de lever. « Tu me remercieras quand il te suivra sur instagram après être tombé sous le charme en trente secondes d’interaction… » elle poursuivait dans sa taquineries, et je ne pouvais me résoudre à l’arrêter. « Bah bien sûr ! » lui dis-je alors pour ne pas la contrarier et qu’elle finisse par lâcher l’affaire.
Je finissais le fond de ma coupe de champagne. J’étais prête à en attraper une autre dès le prochain passage d’un serveur dans le coin. « Argh, non, pas elle… » J’étais alors rattrapée par les aléas de la soirée. Les invités allaient et venaient et visiblement, vous n’aviez pas encore eu à faire à tout le monde. « Je déteste cette meuf. Elle est toujours tapie dans l’ombre, et d’après le bruit qui court, elle serait du genre à aller révéler tout ce qu’elle entend dans la presse. Je ne comprends même pas comment elle a pu être accréditée pour cet évènement. » Je plissais les yeux pour voir correctement la dite photographe. Elle ne me disait absolument rien. Encore une preuve que je n'étais vraiment pas de ce monde. « Je sais que les gossips, c’est censé être une partie du métier d’actrice, mais franchement… C’est vraiment cool d’être anonyme, en fait… » Je fronce alors les sourcils à cette remarque et je repose mon regard sur Marceline. « Tu te fous de moi là j’espère ? » Je n’étais ni énervée, ni agressive, mais elle avait le chic pour te titiller sur les sujets qui vous divisait. « Tout à l’heure tu voulais décrocher un nouveau rôle et là, tu regrettes ton anonymat? » Je secouais la tête. Un serveur passait par là au bon moment, j’attrapais une nouvelle coupe de champagne. « Et puis au pire, t’as quoi à cacher à celle-là ? » Il était plus intelligent de revenir sur le sujet précédent, je n’avais pas envie d’énerver Marceline pour l’instant, ce n’était ni le lieu ni le moment. Le but de cette soirée n’était pas de nuire à votre amitié ou même à sa carrière en vous disputant publiquement comme du poisson pourri, comme vous pouviez parfois si bien le faire.
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Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
We were something, don't you think so? Rosé flowing with your chosen family
J’aurais dû savoir que cette conversation était un terrain risqué - j’avais parlé sans réfléchir, comme je le faisais souvent, contente de pouvoir me confier à Ysis, elle à qui je racontais quasiment tout. Mais j’avais presque oublié que depuis quelque temps, ma vie avait complètement basculé, et que ce train de vie de célébrité me différenciait des autres, que je le veuille ou non ; j’avais surtout l’impression qu’Ysis ne comprenait pas bien ce que je voulais dire la plupart du temps. Comment la blamer : depuis des années, elle me voyait rêver de percée, d’être reconnue, animée par ma passion dévorante d’être actrice, au théâtre d’abord, puis ce milieu du cinéma dont je rêvais sans trop y croire, terrifiée de ne pas percer comme les autres membres de ma famille, de finir comme Mabel, à enchainer les petits rôles sous le regard lourd de jugement de ses parents. Mais depuis que tout avait changé, du jour au lendemain, j’avais la désagréable impression que j’avais été peut-être un peu trop idéaliste sur la réalité de cette vie-là.
« Tu te fous de moi là j’espère ? » Je levai un sourcil, sentant venir la confrontation - il faut dire que ni Ysis ni moi n’avions beaucoup de patience. « Tout à l’heure tu voulais décrocher un nouveau rôle et là, tu regrettes ton anonymat ? Et puis au pire, t’as quoi à cacher à celle-là ? »
Et voilà, nous étions : elle ne me comprenait pas. Et c’était malheureusement quelque chose que je ne supportais pas, il me prenait l’envie maladive de me justifier - je me sentais piquée, et tout à coup je campais sur mes gardes, complètement sur la défensive. Je pinçai les lèvres, retenant un soupir de frustration. Si j’avais été raisonnable, j’aurais coupé court à la discussion - mais ça n’avait jamais été mon fort.
« Ce n’est pas parce que je n’ai rien à cacher que j’ai envie que tout le monde soit au courant des détails de ma vie personnelle… » Oui, je postais beaucoup sur instagram, mais c’était différent : je contrôlais ce que je disais, ce que je partageais. La presse people, les gens sur twitter qui décortiquent vos moindres faits et gestes, c’était autre chose… C’était trop. Plus le temps passait et plus je regrettais ma présence en ligne, d’avoir donné accès à moi à des millions d’inconnus, pas toujours très bienveillants. Pourtant, il y avait quelque chose de toujours tellement grisant à voir les commentaires de fans, les likes qui montaient… « A la base mon rêve c’est d’être actrice, pas d’être arrêtée dans la rue pour prendre un selfie alors que je vais chercher mon café quand je suis en gueule de bois, » expliquai-je, consciente que cet exemple ne suffisait pas à totalement expliquer la réalité. « C’est quand même particulier d’avoir autant d’inconnus qui se permettent d’avoir des opinions sur moi, mon corps, mes goûts. La dernière fois j’ai dit que je n’aimais pas Star Wars, et j’ai eu des centaines de messages de fans qui me disaient que j’étais une grosse conne. Les gens sont bizarres sur internet. Ils oublient qu’on est des vrais gens. » J’haussai les épaules. « Franchement, ces derniers temps, je trouve ça vraiment difficile à gérer. » Avouai-je, prétendant être légère alors que je confiais quelque chose qui me pesait depuis des semaines.
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but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
“friendship doesn't exist without gossip” & Marceline et moi avions des vies bien différentes. J'étais loin de la popularité, du monde people et des requins de ce milieu. Je menais ma petite barque tranquillement, loin d'avoir envie d'être reconnue par tout le monde. Ne plus pouvoir me sentir libre était presque synonyme d'angoisse pour moi. Pour autant, lorsque j'étais danseuse, j'avais l'habitude d'être sous le feu des projecteurs. Mais, personne ne s'intéresse jamais autant à une danseuse qu'à une célébrité comme Marceline. Elle avait crevé les écrans et intéressait la presse people et les paparazzis enragées. Alors quand elle me disait qu'elle en avait marre d'être persécutée de la sorte, c'était un peu incroyable pour moi. Elle l'avait voulu, d'être connue, de se hisser au sommet. Et elle le voulait encore. « Ce n’est pas parce que je n’ai rien à cacher que j’ai envie que tout le monde soit au courant des détails de ma vie personnelle… » dit-elle. Je l'écoutais d'une oreille. Je connaissais déjà un peu la chanson, n'étant pas à notre première discussion à ce sujet. « A la base mon rêve c’est d’être actrice, pas d’être arrêtée dans la rue pour prendre un selfie alors que je vais chercher mon café quand je suis en gueule de bois » Certes, la comédie était sa passion mais elle ne pouvait pas nier que ce petit côté pouvait lui plaire de temps à autre. Je hochais la tête et m'imaginais à sa place. Cauchemardesque. Je faisais vite fuir cette idée de mon esprit car cela m'oppressait simplement d'imaginer qu'on puisse me poursuivre comme ça. « Hm.. » retorquais-je parce que je ne voulais pas la contredire.
« C’est quand même particulier d’avoir autant d’inconnus qui se permettent d’avoir des opinions sur moi, mon corps, mes goûts. La dernière fois j’ai dit que je n’aimais pas Star Wars, et j’ai eu des centaines de messages de fans qui me disaient que j’étais une grosse conne. Les gens sont bizarres sur internet. Ils oublient qu’on est des vrais gens. » Mon attention se fixait sur elle. Je fronçais un peu les sourcils. Etrangement, cette discussion ne venait plus à m'énerver. Même si je ne comprenais pas vraiment mon amie car je ne vivais pas la situation comme elle, je ressentais son mal être face à ce genre d'évènements. « Franchement, ces derniers temps, je trouve ça vraiment difficile à gérer. » Je déposais ma main sur son bras que je serrais entre mes doigts. Petit geste d'affection qui j'accompagnait d'une réponse qui pour une fois, allait dans son sens. « Mais tu sais ce que tu vaux, pas besoin d'écouter ces merdeux ! En tout cas, moi je sais qui t'es et je serais toujours là » Je souriais à Marceline quelques instants.
J'étais vite ramener à la préoccupation qui nous en avait fait venir à cette discussion: la photographe en question. Je balayais la pièce du regard pour retomber sur elle. « Alors qu'est ce qu'on va faire d'.. » je m'arrêtais net. « Regarde » dis-je à Marceline en faisait un signe avec ma tête pour lui montrer celle qu'elle craignait. « Elle a jeté sur dévolu sur.. ? C'est qui celui là? » Ma voix laisser paraitre un léger dégout. Définitivement, ce monde n'était pas le mien.
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Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
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Au fur et à mesure que je parlais, je sentais qu'Ysis se radoucissait et m'écoutait avec un plus de patience. Nous étions pareilles, elle et moi, toujours un peu trop vives dans nos émotions, et nous risquions souvent de nous brûler dans nos emportements. C'était à double tranchant, car si j'appréciais qu'Ysis ne me juge jamais pour mon intensité, je faisais les frais de la sienne, et nous faisions bien souvent des étincelles. Mais pourtant, notre amitié avait tenu des années, de la distance, et les soirs où nous nous retrouvions sur mon canapé, à regarder des vieux épisodes de nos séries préférées en buvant du rosé, je savais que j'avais trouvé en elle une amie loyale et fidèle, une seconde famille.
C'était peut-être pour cela que je vivais si mal le fossé que je sentais se creuser entre nous. J'en avais pourtant entendu parlé, ce changement de vie qu'entrainait la célébrité, les risques du métier en quelque sorte : celui de se sentir différent des gens qui nous entouraient et avec qui nous avions grandi. Je n'avais pas envie de me renfermer dans ma petite bulle, mais je devais bien avouer que certaines célébrités que j'avais rencontrées pouvaient plus facilement comprendre certaines de mes problématiques... Mais j'étais bien trop fière, pour l'instant, pour admettre facilement mes difficultés aux autres gens du milieu. Je venais juste d'arriver, je voulais me faire une place dans l'industrie, et si je laissais percevoir la moindre faiblesse, je n'allais jamais réussir à m'imposer.
« Mais tu sais ce que tu vaux, pas besoin d'écouter ces merdeux ! En tout cas, moi je sais qui t'es et je serais toujours là »
Je lui fis un petit sourire, mon estomac serré. Bien sûr que j'appréciais ce que me disait Ysis, mais en réalité, ce n'était pas exactement la réponse qu'il me fallait - je ne savais même pas vraiment ce que je voulais entendre, mais je sentis avec tristesse que l'amour d'Ysis ne suffirait pas à me protéger de la scrutinité grandissante que je subissais.
« Alors qu'est ce qu'on va faire d'.. Regarde. » Je tournai la tête, fronçant les sourcils. « Elle a jeté son dévolu sur.. ? C'est qui celui-là? » Je grimaçai. « Anthon Smith.. Roh, le pauvre, surtout avec son dernier scandale… Je ne t’ai pas raconté ? » Je jetai un regard pétillant à Ysis. Puisqu’ici tout n’était qu’apparences et ragots, je n’avais plus qu’à tomber dans mes propres travers ; je me penchai à l’oreille d’Ysis et commençai à lui raconter en chuchotant les derniers secrets bien cachés de cette énième célébrité, essayant d’ignorer le malaise qui grandissait en moi lorsque je songeais que j’étais devenue moi aussi la cible de messes basses.
(Terminé)
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