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 Even - Count on me

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Message(#)Even - Count on me EmptyMar 22 Fév - 18:45

Si l’idée de prendre des nouvelles d’Evie étaient venues régulièrement en tête du Galloway, il n’avait jamais vraiment franchi le pas. Son dernier message, resté sans réponses depuis presque deux ans, la conversation avec la brune avait fini par disparaitre au fin fond de son téléphone, ayant eu quelques longues secondes à scroller sur son écran pour la retrouver. Evie, la voilà… S’il s’était décidé à lui écrire ce jour-là, c’est pour la seule raison qu’il s’inquiétait à son propos.
En effet, la veille, il avait croisé Dominic Perry à proximité de sa paroisse à Redcliff. Celui-ci avait réalisé une démonstration un peu trop effrayante quant à la joie que lui procurait cette rencontre fortuite. S’il n’avait pas tout de suite compris les sous-entendus (qui n’en étaient pas vraiment), c’est avec du recul qu’il avait pensé à Evie. Les expressions employées telles que rendre justice, ou les illusions à Marie Madeleine qui avait tenté de détourner Jesus de sa mission principale, de punition pour les traitres… des mots bien forts qui avaient laissés l’ancien prêtre bouche bé et dans l’incompréhension, jusqu’à ce qu’il se décide d’écarte tout soupçon en contactant Evelyn. Et après quelques échanges, rien n’était réellement écarté, bien au contraire.
Il n’allait pas faire comme s’il ne se souvenait pas d’où habitait Evelyn. Cette rue, il ne l’avait parcouru que bien trop de fois et ce chemin, il était capable de le reproduire les yeux fermés. Il pourrait même dire combien de temps durent chaque feu rouge tant il s’était toujours montré impatient d’arriver à destination. Aujourd’hui, il n’était pas sûre de vouloir cette confrontation. Il avait habilement évité le quartier depuis qu’il était de nouveau dans les parages, habilement évité de fréquenter les endroits où il pourrait croiser Evie. Mais il ne pouvait pas fuir bien longtemps. Il n’était pas si impatient car il n’avait pas réellement envie d’entendre ce qu’elle pourrait dire, il n’avait pas envie d’assumer qu’elle aurait pu être en danger pour leur histoire passée. Il n’avait pas envie d’être impliqué de près ou de loin à ça et pourtant, plus il s’approchait, plus l’évidence était sous son nez. Il espérait encore mais il était de plus en plus faible, cet espoir. Evie se serait contenté de lui dire qu’elle ne voyait pas du tout de quoi il parlait, mieux, elle ne lui aurait pas proposé de la retrouver ce soir-là.
Pouvait-il s’en excuser ? Devait-il le faire ? Il n’en avait aucune idée, il n’avait aucune idée de ce qu’il allait réellement apprendre ce soir. Que s’était-il passé ? Maintenant que sa moto était garée dans la rue, juste devant l’immeuble où elle habitait. 70 st. Pauls terrace, nous y voilà de nouveau. Alors qu’il était tout juste en train de frapper à la porte, il se reteint dans sa lancée, évitant de justesse l’impacte avec le bois, sa main dévia sur la sonnette. Aujourd’hui, les codes avaient changés…



@Evelyn Pearson juste à temps Even - Count on me 3217047551 Even - Count on me 873483867
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Alma Barton
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le bonheur illusoire
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Even - Count on me FQgUS3L Présent
ÂGE : 35 ans (03.09.1989)
SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes
STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore
MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède
LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut
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POSTS : 10419 POINTS : 620

TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas.
PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #7AA1D2
RPs EN COURS :
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GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
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MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly

lewis#2micah#1natalia#1 (fb 2020)mabel#1atlas#2malone#1

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JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : ana de armas
CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©keetika (gifs profil, sign), ©crackshipandcrap (gif greede), ©katmcnamaragifs (gif malone), @macherierps (gif jake) ◦ ©astra (code)
DC : jo carter & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 12/02/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t55943-i-struck-a-match-and-blew-your-mind-alma
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Message(#)Even - Count on me EmptySam 26 Fév - 12:10

Si on lui avait demandé d’anticiper son bingo de l’année, Evie n’aurait pas été en mesure d’y caser l’entrée avoir des nouvelles d’Owen. Avoir des nouvelles, c’était une trop belle formule, aussi son optimisme était de la taille des œillères qu’elle se mettait depuis la fin de l’année passée; énorme, et encore, elle tachait de paraître plus en forme qu’elle ne l’était réellement. Toujours est-il que depuis qu’elle avait lu les textos du prêtre — l’était-il encore d’ailleurs, elle préféra éluder cette question-ci — elle sentait son coeur battre la chamade, et ce n’était sûrement pas l’effet de la perspective imminente de replonger ses grands yeux bruns dans les siens. Même au travers de l’écran, Evelyn avait senti quelque chose, comme si le vent tournait, mais pas vraiment de la bonne façon, et son anxiété latente s’était réveillée pour mieux la rendre agitée quand elle avait pris conscience que l’horaire qu’elle avait donné au jeune homme pour passer la voir approchait.
Elle était nerveuse. Mais ce n’était pas un fait exceptionnel depuis son agression. Pour autant, elle faisait bonne figure Evie, elle tachait de garder sa ligne de conduite. Mais le fait était que le traumatisme était bel et bien disposé à s’implanter, et qu’à part le faire passer en abusant franchement sur sa consommation de rosé — ou de tout vin qui traînait, tant que ça la rendait vaseuse à un moment donné —, c’était à peu près tout ce qu’elle était capable de faire pour prouver que ça allait, merci de demander. Mentir était devenu sa seule vraie option pour qu’on ne la questionne pas davantage sur ce qui lui était arrivé en décembre, et quand bien même le temps avait passé depuis, elle sentait le regard de son entourage se poser bien trop souvent sur elle pour qu’elle ne s’en aperçoive pas, et que ça ne fasse pas naître une espèce de paranoïa malvenue qui la rendait un peu agressive au demeurant. Sa chute, comme elle s’obstinait à l’appeler en public, restait un sujet de conversation à la limite du tendance, que ce soit dans les couloirs de La Fondation Pearson, qu’à la maison, où elle préférait se terrer quand elle n’avait pas à mettre le pied dehors. Même à l’agence, elle sentait que Maze avait tendance à lui accorder beaucoup trop d’attention.
Elle prit une profonde inspiration. Les reins délicatement plaqués contre le meuble de cuisine qui supportait son poids-plume, elle attrapa son verre à pied en espérant que la gorgée qu’elle prendrait l’aiderait à envisager les choses plus sereinement, et tandis qu’elle faisait danser le liquide d’un rouge bordeaux, presque noir, tout contre son palais, elle récupéra son téléphone portable posé sur le comptoir du petit-déjeuner pour relire les quelques mots échangés avec Owen. Les circonstances de leurs retrouvailles étaient étranges, et ça aussi, ça la mettait dans un drôle d’état. Elle ne put relever l’ironie de la répétition puisque la scène qui se jouerait bientôt ressemblerait peut-être un peu trop à la dernière fois qu’ils s’étaient vus. Elle avait été idiote, elle aurait dû lui proposer un autre endroit pour discuter de ce qu’il avait à lui dire à propos de ce type dont elle évitait de se répéter le nom. Elle pouvait encore le faire, il n’était pas encore 21 heures, et Owen était charmant, mais il n’était pas l’homme le plus ponctuel qu’elle connaissait. Reprenant une nouvelle gorgée, le nez frôlant le bord de son verre, elle fit glisser l’interface de veille de son portable pour commencer à rédiger un nouveau message au jeune homme, quand elle entendit la sonnette retentir, et que dans un sursaut, elle releva brusquement la tête.

Elle prit une autre profonde inspiration, les yeux fermés cette fois. Elle posa précautionneusement son verre et son téléphone sur le meuble de la cuisine, puis elle rassembla ses cheveux sur son épaule, celle dont elle avait souffert pendant près de deux mois sans interruption, et quitta la cuisine pour se diriger vers le vestibule, la tête aussi haute que le permettait sa volonté à sauver les apparences. Elle arrangea succinctement le tombée du pull en mailles grossièrement tricotées qu’elle avait sur le dos, ne voulut pas se demander si elle donnait bien le change, si elle ne paraissait pas différente depuis la dernière fois qu’ils s’étaient vus, et dans une volonté de ne pas le faire patienter plus longtemps, elle lui ouvrit la porte "Bonsoir. Entre." l’invita-t-elle sans délais, le laissant passer devant elle sans chercher à le garder à distance.
Les codes avaient changés, le temps était passé aussi, et quand bien même il y avait toujours eu de la tension entre eux, celle qu’elle redoutait un peu n’avait rien à voir avec la nostalgie de moments passés à se regarder dans le blanc des yeux. Elle referma la porte, la verrouillant dans une démonstration involontaire du sentiment d’insécurité qu’elle avait gagné après son agression, et s’avança d’abord vers Owen avant d’opérer un léger changement de trajectoire pour rejoindre le salon sans donner l’impression d’avoir eu un moment d’hésitation. Elle qui savait toujours quoi dire, elle devait avouer que pour le coup, elle était à cours de civilité, alors dans une tentative un peu maladroite de ne pas laisser le silence s’installer, elle lui demanda en lui montrant le canapé pour qu’il s’y assoit "Tu veux boire quelque chose ? Je viens d’entamer une bouteille." Elle ne voulait pas lui laisser croire qu’elle ne pouvait pas mener cette discussion en étant sobre; mais elle ne pouvait pas mener cette discussion en étant sobre.

@Owen Galloway Even - Count on me 873483867


    they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.



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Message(#)Even - Count on me EmptyMer 23 Mar - 18:02

Dès lors que son  doigt quitta la sonnette, le Galloway se demandait s’il avait bien fait de venir ici et s’il n’aurait pas été plus judicieux de revoir la Pearson dans un endroit bien plus neutre, moins rempli de certains souvenir, des flashback qui pourraient lui revenir en pleine figure. Absolument, ce qu’il cherchait à repousser, ce qu’il préférait ne pas avoir à vivre. Si on lui avait posé la question, il aurait surement répété haut et fort que ce ne serait pas une bonne idée de revoir Evie et qu’il n’avait pas envie de s’infliger ça. Mais il aurait pu avoir ce discours seulement s’il n’avait pas croisé Dominic Perry et s’il n’avait pas eu des échanges quelques peu troublants avec lui. Là, la donne avait changé et le blond ne pouvait pas garder pour lui ses soupçons.
Comme s’il s’était senti poussé des ailes, ce besoin de jouer le super héros avec un tout petit soupçon d’humilité, il ne voulait pas arriver sur ses grands chevaux et se poser en sauveur. Il avait simplement un besoin, peut être mal placé, de prendre des nouvelles d’Evie après ces révélations.
La porte s’ouvrit, quelques secondes qui avaient semblées trop longues, quelques secondes qui avaient suffit à revoir ces fameux flashbacks et qui avaient suffit à faire accélérer son pouls et rendre ses mains moites. La brune qu’il n’avait plus revu depuis de nombreux mois était aujourd’hui de nouveau face à lui et toujours aussi ravissante, avec peut être une étincelle en moins dans le regard. « Bonsoir. Entre. »il hoche la tête, docilement et fit un pas en avant, la suivant quelques instant sans rien dire, avant de finalement répondre. « Salut… » il la suivait du regard avec ce sentiment étrange de ne pas savoir où se mettre, ni comment se comporter. Oh, garde une distance Owen, ce sera sans doute mieux pour vous deux. Mais maintenant qu’il était chez elle, il devait tout de même faire l’effort de s’ouvrir un peu plus. Comme un animal de compagnie qui découvrait un nouvel environnement, il se faisait timide, observateur tout en la suivant tout de même avec mètre et demi de sécurité. « Tu veux boire quelque chose ? Je viens d’entamer une bouteille. » son regard se posa sur le canapé qu’elle lui désignait puis sur la bouteille de vin, posée sur le meuble à côté. Il allait s’installer sur le sofa tout en répondant dans sa lancée. « J’te suis. » jamais contre un verre de vin, n’est-ce pas ? « Comment-ce que tu te sens ? » qu’il osait enfin demander, bien qu’il avait ressentie à la fois dans son attitude et dans son regard qu’il avait forcément pointé quelques chose avec ses sms. Malheureusement, ses soupçons s’avéraient de plus en plus proches de la réalité, bien qu’il savait qu’elle les avait déjà confirmé en lui proposant de la rejoindre ce soir. Mais il voulait sans doute plus que ça encore. Qu’avait-elle bien pu vivre par sa faute ? L’ex prêtre ressentait-il une forme de culpabilité ? Possible…
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Message(#)Even - Count on me EmptyDim 3 Avr - 7:13

De la gêne planait, ça se ressentait tellement que la première idée qui vint à l’esprit d’Evie, c’était de prendre un peu de distance pour laisser le temps à Owen de s’installer là où il le voudrait. Sur le canapé ou ailleurs, elle ne lui tiendrait pas rigueur de ne pas suivre ses directives, et de chercher l’endroit le plus solide pour supporter la tension qui régnait déjà entre eux. De manière générale, ne pas rentrer dans le cliché, c’était quelque chose qu’Evie avait à cœur, peu encline à répondre aux stéréotypes de base et en suivant une ligne de conduite induite par la société et ses mœurs. Mais elle devait avouer que dans cette conjoncture, elle n’en menait pas large; et sans le vouloir vraiment, ils s’insérèrent dans le cliché de l’ex-couple, l’ex-amourette, l’ex-elle ne le savait même pas elle-même, qu’ils avaient été à un moment donné, et qui après plusieurs mois de séparation, ne savait pas comment réagir l’un envers l’autre.
C’était encore plus délicat quand on connaissait les raisons de ce qui les avait pousser à ne plus se voir, mais quelque chose disait à la jeune femme que ce serait une bonne chose de ne pas trop y penser. Owen était venu pour rien d’autre que faire le point sur les questions qu’il se posait à propos de cet homme dont il lui avait parlé, alors tout bien considéré, s’éloignant du salon pour retourner un instant dans la cuisine chercher un verre pour Owen en même temps que le sien qu’elle avait délaissé pour aller lui répondre, elle tacha de prendre sur elle pour ne pas donner l’impression que tout ça, cette proximité qu’ils partageraient le temps d’une conversation, ça la mettait autant mal à l’aise que ça ne lui faisait de la peine dans le fond.

Elle s’attarda un peu plus que nécessaire dans la cuisine. C’est seulement parce qu’elle ne pouvait pas fuir qu’elle se somma de rejoindre le jeune homme à qui elle versa une bonne rasade de vin dans un verre qu’elle poussa vers lui sans faire plus de cérémonie. Elle resta debout quelques instants, prenant une ou deux gorgée de courage liquide en se demandant comment entamer le plus gros de leur conversation lorsqu’Owen s’en chargea. Sans véritablement y penser, elle lui répondit dans un haussement d’épaules accentué par la manière qu’elle avait de tenir son verre à ce moment-là, lui donnant des airs de grandes dame qu’il savait très bien qu’elle n’était pas, et pas seulement parce qu’il l’avait connue jeune et intrépide "Mieux. J’ai plutôt bien récupéré après ma chute." Elle opina du chef pour appuyer ce qu’elle lui racontait sans ciller, donnant assez bien le change pour ne pas que les battements accélérés de son cœur ne vienne gâcher sa volonté de prendre tout ça avec désinvolture.
Pendant une fraction de secondes, elle se demanda si elle devait lui retourner la question, si elle devait s’inquiéter qu’il soit de retour en ville; elle se souvenait quand ils s’étaient revus dès son propre retour à Brisbane et de la manière dont les choses s’étaient déroulées tandis qu’elle lui réservait toujours une affection sincère que leur rupture n’avait pas entachée. C’était tellement différent maintenant qu’elle avait même du mal à le regarder "Tu es ici pour le travail?" osa-t-elle lui demander, le regard perdu dans les tréfonds d’un verre pas tout à fait vide, qu’elle se pencha pour remplir de nouveau pourtant en se répétant inlassablement qu’il valait mieux se donner bonne contenance que de faire tapisserie, postée à plusieurs mètres de lui sans savoir quoi lui dire; elle savait quoi lui dire, elle ne savait juste pas comment entreprendre les choses sans paraître trop inquiète… et finalement, elle choisit de s’asseoir elle aussi — mais pas à côté de lui, plutôt en face, sur l’un des sièges confortables et individuels qui, agencés de cette façon, formait un cocon douillet pour ses rares soirées avec Lara "Tu…" commença-t-elle, les genoux serrés autant que ses mains autour de son verre qu’elle gardait à proximité, son pied posé sur ses cuisses, et le regard toujours obstinément plongé dans son verre de vin "Tu parlais de quelqu’un dans tes messages, qu’est-ce qu’il t’a dit exactement, c’est quelqu’un que tu connais bien?" le questionna-t-elle en ayant un peu de mal à paraître détachée cette fois. Se résignant après une inspiration profonde, Evelyn finit par relever la tête pour opposer son regard à celui d’Owen.

@Owen Galloway Even - Count on me 873483867


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Dernière édition par Evelyn Pearson le Ven 6 Mai - 7:46, édité 1 fois
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Message(#)Even - Count on me EmptyVen 29 Avr - 7:27

Le blond resta seul quelques longues secondes dans le salon lorsqu’Evie disparue dans sa cuisine pour aller sans doute chercher le verre de vin qu’elle avait proposé. Lui, ne bougea pas d’un poil, sur le canapé. Il regardait le sol, craignait que ses yeux ne se baladent un peu trop. Il avait bien l’impression que rien n’avait changé dans cet appartement depuis son départ, mais pour autant, il n’avait pas pris la peine de s’attarder sur les détails ici et là. Surement que quelques objets avaient changés de places, que la décoration avait évoluer aussi et peut être que le simple constat de voir que tout n’était pas resté figé conforterait le grand gaillard à se dire que les choses avaient changés depuis son départ. Bien sûre, que tout avait changé et ce n’est pas simplement l’état d’un appartement qui pourrait en témoigner. Se focaliser sur un vase ou quelques photos qui pourraient être disposés autrement – ou pas – n’avait au final aucune valeur significative. Le plus important restait de savoir où en était Evie dans sa vie – ou plutôt, de savoir si ces révélations soudaines étaient avérées ou non. Rien de plus. Le Galloway devait s’en tenir à ça et rien qu’à ça. Les nouvelles plus intimes ne le regardaient plus tellement à présent.
Alors qu’Evelyn était de retour dans cette pièce, il releva les yeux pour les poser sur elle un court instant, il hocha la tête, signe d’un remerciement en voyant le verre se glisser aussi sous son nez. La brune restant debout et à distance, n’importe qui qui verrait cette scène depuis la fenêtre de l’immeuble en face trouverait que ni l’un ni l’autre ne se sentait vraiment à sa place ici. Pas ensemble en tout cas. Briser la glace permettrait sans doute de détendre l’atmosphère, mais comment s’y prendre ? La raison de la présence d’Owen chez Evie était tout sauf naturelle et encore moins plaisante, ils le savaient l’un et l’autre. "Mieux. J’ai plutôt bien récupéré après ma chute." La chute… le blond resta un moment suspendu dans un espace-temps en pause, se demandant de quelle chute elle parlait réellement, sens propre ou figuré. Il balaya ses questionnements, préférant ne pas apporter de réponse précipitée. Il serait sans doute présomptueux de penser qu’il avait mené sa chute, mais en même temps, pourquoi pas ? Lui-même n’avait pas encore atteint totalement le sol et se laissait encore surprendre par le vide qu’il avait sous les pieds. Et il savait bien pourquoi on l’avait précipité dans ce ravin sans fond. "Tu es ici pour le travail?" immédiatement, la question avait mené le jeune homme à se frotter l’arrière du crâne, comme mis à mal et au pied du mur. Le secret qui n’en était pas un au final, Owen n’avait plus de travail et il était plutôt ici par ce que plus rien ne l’obligeait réellement à rester à distance à présent. Il finit par secouer discrètement la tête et par admettre « j’ai été remercié. » il se réfugia dans ce verre qui l’appelait depuis quelques longues secondes à présent. « Je suis ici parce que c’est ma place et que j’m’y sens bien mieux qu’à Toowomba. » la silhouette fine d’Evie s’installa enfin en face d’Owen, son regard la suivait, cherchant à savoir si elle avait bien saisi le sens de ses propos. Elle était si intelligente Evie, sans doute la femme qui comprenait plus vite que personne, elle avait sans doute sa réponse avant même qu’il n’ose y répondre.
"Tu… Tu parlais de quelqu’un dans tes messages, qu’est-ce qu’il t’a dit exactement, c’est quelqu’un que tu connais bien?" les yeux dans les yeux, elle avait raison d’aborder le sujet en premier, bien que c’était ce qui avait mené l’ex prêtre à être ici, s’il avait réfléchit à comment aborder le sujet, il n’aurait sans doute pas su comment mettre les pieds réellement dans le plat. « c’est quelqu’un de la paroisse. Que j’ai souvent côtoyé. » de là à dire qu’il le connaissait bien. « Parce qu’il est fidèle. » sans doute trop, sans doute pas de la bonne manière, sans doute un peu extrémiste même. « Il a utilisé des termes qui m’ont alerté. Il a parlé de rendre justice, de vengeance… pour mon honneur… ma dignité. » sans jamais prononcer le nom d’Evie pour autant ou faire d’allusion directe envers la jeune femme. « qu’est ce qu’il s’est passé ? » demanda-t-il avec une réellement inquiétude dans la voix et dans son regard.
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SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes
STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore
MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède
LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut
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TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas.
PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni
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AVATAR : ana de armas
CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©keetika (gifs profil, sign), ©crackshipandcrap (gif greede), ©katmcnamaragifs (gif malone), @macherierps (gif jake) ◦ ©astra (code)
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Message(#)Even - Count on me EmptyVen 6 Mai - 8:57

A quoi s’attendait-elle en posant sa première question à Owen, Evie ne le savait pas elle-même. Elle ne réussissait pas tellement à anticiper ce qui se dirait ici, ce qui se ferait ici… et c’était d’autant plus désarmant qu’elle avait ce don d’habitude, de pouvoir contrôler un minimum son univers pour ne pas avoir de surprise, pour ne pas être déçue. Mais avec Owen, ça avait toujours été différent. Il annihilait toutes ses certitudes, il annihilait une bonne partie de ces choses qu’elle avait réussi mettre en place pour ne pas être blessée, creusant dans sa carapace à grands coups de souvenirs partagés, bons comme mauvais. Je suis désolée, cette phrase lui traversa l’esprit quand il lui avoua avoir été remercié, mais elle la retint pour ne pas paraître présomptueuse, pour ne pas lui laisser croire qu’elle était assez imbue d’elle-même pour penser que leur histoire était l’unique raison de sa déroute professionnelle. Alors que c’était le cas: il était l’unique raison de la sienne après tout.
Elle posa de nouveau son regard dans le fond de son verre, le laissant en équilibre sur ses genoux pendant qu’il explicitait ses paroles et qu’elle eut l’occasion de se dire qu’on revenait toujours à Brisbane. Elle entendait ce qu’il voulait dire, elle ne pouvait pas prétendre qu’elle le comprenait cependant parce que dans son univers, Brisbane ne représentait rien d’autre qu’un enfer auquel elle se contraignait pour absoudre les erreurs qu’elle avait commise. Et voilà, elle en revenait à une vision des choses farouchement biblique, et ça la fit sourire intérieurement de songer à ce raisonnement en présence du jeune homme ; qu’elle questionna encore, toujours avec une délicatesse réelle, mais une désinvolture feinte, tandis que ses yeux rencontrèrent les siens pour de bon. C’était une première depuis des mois, et elle ne sut pas ce que ça lui faisait vraiment d’oser s’y confronter. Elle se sentait sans doute un peu honteuse, mais ce qu’elle ressentait pour le jeune homme, ce qu’elle avait alimenté pour lui alors qu’ils étaient tous les deux empêtrés dans cette histoire, leur histoire, elle savait que c’était de la rancœur — de s’être échappé en la laissant au cœur de la tourmente, sans même hésiter un instant entre elle et son travail. Mais ce n’était qu’un retour de bâton bien mérité, non ? Ne lui avait-elle pas dit qu’elle ferait la même chose si les rôles avaient été inversés ?

Evie prit une gorgée de son verre, remisant toutes ces pensées dans un coin reculé de sa psyché, ses yeux clignant pour faire le point sur autre chose que sur le visage d’Owen dont la voix arriva jusqu’à elle — et ce ton qu’elle lui connaissait, aussi compatissant qu’il était doux, le rendant digne de la fonction qu’il avait occupée à un moment donné, c’est ce qui la toucha le plus dans le fond.
Elle prit une inspiration, décala le bord du verre de ses lèvres contrites, puis elle s’inclina légèrement pour enfin le poser sur la table-basse. Quand elle se redressa, elle joignit ses mains l’une dans l’autre, ses doigts formant un aggloméra noueux qui lui donnait des airs de gamine prise sur le fait d’une grosse bêtise qu’elle avait pourtant commise en toute connaissance de cause. Elle le savait, qu’à lui, elle lui devait la vérité. D’autant qu’il avait en sa possession des informations capitales pour mettre le doigt sur le fond de toute cette histoire, de cette chute factice, de cette agression bien réelle ; elle entendait les mots qu’il prononçait, mais elle ne réussissait pas à les placer dans le bon ordre pour comprendre que ce qu’elle avait subi n’était pas le fruit du hasard, que ses soupçons étaient justes et que les mois qu’elle avait passé à recevoir des coups de téléphones anonymes, ça n’avait été que le début de l’apothéose qui l’avait rendue victime d’un homme aux idées bien arrêtées.
Elle avait retenu sa respiration, elle s’en rendit compte une fois seulement qu’Owen lui posa ouvertement la question, tenant à savoir ce qui s’était réellement passé. Elle ne le regarda pas, mais elle leva la tête en dénouant ses doigts pour poser ses mains à plat sur ses genoux "Je ne sais pas si je peux t’en parler." lui avoua-t-elle d’abord, sentant son cœur cogner dans sa poitrine et ses yeux se remplir de quelque chose entre la détresse et la colère ; l’homme en question était dangereux, elle avait eu un aperçu de ce qu’il était capable de faire et elle ne voulait pas mettre Owen plus dans l’embarras encore. Elle marqua une pause, seulement pour expulser une légère colonne d’air quand elle reprit, consentant enfin à le regarder de nouveau "Si je le fais, tu dois me promettre de n’en parler à personne." A personne, pas même aux autorités, sous-entendait-elle. Et puis même si elle s’en voulut immédiatement après, pas très à l’aise à l’idée de jouer sur la corde sensible, elle lui dit toutefois , reprenant sur le même ton "Si j’ai un jour eu de l’importance pour toi, si ce qu’on a vécu toi et moi a vraiment compté pour toi, tu dois me promettre de n’en parler à personne." Tu me dois bien ça faillit-elle ajouter en campant sur ses positions et en ne quittant pas son regard du sien. Même à distance, elle sentait le courant électrique qui passait entre ces deux paires yeux qui se jaugeaient, et bien qu’elle se retint de le laisser lui échapper, elle eut un léger frisson.

@Owen Galloway Even - Count on me 873483867


    they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.



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Message(#)Even - Count on me EmptyVen 20 Mai - 6:42

Regardez-le, ce grand blond du haut de son mètre quatre ving cinq et sa carrure de bloc de glace. Il respire l’assurance, Owen, celui qui est porté par la Grace de Dieu, par la foi et pourtant, face à Evelyn Pearson, il n’est qu’un amas de chair et d’os empli de vulnérabilité. Assis sur le canapé, presque fébrile et surtout coupable. Il aurait aimé n’être que la seule victime de ses agissements et devoir l’assumer de ses seules épaules – et admettre cela serait refuser qu’Evie aie subit autant les dommages une fois qu’il avait quitté la ville, mais il ne parlait pas de peine de cœur ou de sentiment, il parlait de conséquences et de condamnation qui venaient des personnes extérieures à leur relation. Sous les projecteurs, l’ex prêtre avait accepté son sort, jouant avec le feu, il s’était brûlé les ailes. Il assumait ça – en partie – mais ce qu’il n’assumait plus à présent, c’est que ces conséquences touchent également Evelyn de plein fouet. Fébrile et vulnérable mais surtout coupable.
Et en même temps, rien n’était très clair. Seulement des suspicions qui le mettaient terriblement mal à l’aise. Cette curiosité mal placée qui le poussait à demander des éclaircissements à la demoiselle. En même temps, il était là pour en parler, elle l’attendait surement au tournant. Elle lui avait proposé de venir la voir chez elle, c’est sans doute qu’elle était prête à avoir cette discussion ? C’est ce qu’il préférait penser, en tout cas. Avec toute sa maladresse, il ne faisait aucun détour, bien qu’il reste prudent, mais il mettait les pieds dans le plat. "Je ne sais pas si je peux t’en parler." Il eut un mouvement de recul, surpris dans un premier temps, presque vexé ? Possible, mais il ne le dira pas ainsi. Peut-être pouvait –il comprendre et en même temps, il serait frustré de n’avoir que des brises d’informations sans en connaitre la véritable issue. "Si je le fais, tu dois me promettre de n’en parler à personne." Il restait sans réaction, son verre entre les mains, il se pencha à son tour pour le poser sur la table, comme si tout était bien trop sérieux pour avoir envie d’avaler une goutte de vin. Il fronçait les sourcils, voulant lui dire qu’elle pouvait vraiment lui faire confiance, mais il avait l’impression que c’était déplacé, sans savoir expliquer pourquoi. Il se contentait de glisser son regard sur le sien et d’essayer de lui dire avec ses yeux. "Si j’ai un jour eu de l’importance pour toi, si ce qu’on a vécu toi et moi a vraiment compté pour toi, tu dois me promettre de n’en parler à personne." Un silence. Promettre de n’en parler à personne, comment faire une telle promesse alors qu’il n’a aucune idée de quoi il en ressort également et pour autant, il comprend bien la gravité de cette situation et la détresse qui jaillit dans les yeux d’Evie. Le blond finit par se lever, un pas de côté, un regard vers l’extérieur, sans trop savoir ce qu’il cherchait à y voir. Puis après un demi-tour, il posa à nouveau ses yeux sur la brune qu’il surplombait. Se rendant compte de sa position, étant bien plus grand qu’elle, alors assise sur le canapé. Il vint s’asseoir à ses côtés, cette fois, pas à l’opposé. Il posa ses mains sur ses propres genoux et respira, sentant sa poitrine se bloquer. « tu as toujours vraiment compté pour moi. » il baissa le regard, lui confirmant alors qu’il tiendrait sa promesse, mais pour la rassurer, il devait de le dire clairement. « J’vais rien dire, Evie… » si c’est ce qu’elle voulait, si c’est ce qu’elle lui demandait. « tu peux me faire confiance… » si bien qu’elle en avait envie, qu’elle voulait y croire elle-même. La rancœur qu’elle pouvait éprouver pour lui ne devait pas entacher cette confiance qu’elle pouvait avoir envers lui, qu’elle pourra toujours avoir envers lui.
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Alma Barton
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Message(#)Even - Count on me EmptyVen 10 Juin - 5:49

Déjà, Evie savait que ce serait difficile. Elle eut du mal à hiérarchiser ses émotions quand, sous son espèce de supplication, Owen se leva de son siège pour se rapprocher d’elle. Elle aurait aimé qu’il ne le fasse pas, qu’il reste à sa place et qu’il continue de marquer la distance qu’il y avait entre eux depuis de longs mois maintenant. Mais en même temps, sa présence était une garantie de réconfort qu’elle ne bouda pas en restant assise telle quelle l’était déjà, son regard cherchant le sien pendant qu’il s’approchait. La surplombant quelques instants seulement, l’impression de ne pas être grand-chose la frappa comme toutes ces fois où elle avait aimé qu’il la prenne dans ses bras. Il n’était pas question de ça à ce moment-là, l’idée ne lui traversa même pas l’esprit, trop occupée à se préparer à passer aux aveux après avoir reçu l’assurance de la part du jeune homme que leur histoire n’avait pas chamboulé leur vie pour rien.
Malgré elle, cette confession qu’elle lui avait arraché par les circonstances lui donna un coup au cœur et ses lèvres se serrèrent un peu, sa tête se baissant pour statuer sur un dénouement qui ne lui plaisait pas : tout ça, ce n’était que du gâchis, malaxé par la volonté des autres d’en faire quelque chose de sale et d’interdit. Pour elle, ce n’était pas moins beau cependant, et si elle garda ses mots pour elle à cet instant précis, trop consciente de ce qui l’attendait, de sa part du marché qu’elle devait maintenant respecter, elle lui aurait renvoyé la pareille sans se sentir gênée d’accorder autant d’importance à ce qu’avait été leur histoire.

En revanche, elle hésita un instant quand, Owen près d’elle, elle prit conscience qu’il était temps de parler. Dans sa gorge, une boule se forma. L’empêchant de déglutir à son aise, quand sa voix perça au milieu du tumulte de ses émotions qu’elle retenait toutefois, aussi courageusement que difficilement, elle l’entendit être plus fluette que jamais. Evelyn avait perdu son assurance des grands jours, celle qu’elle avait glâné à force de constance, maîtresse de sa propre destinée.
Elle releva la tête, ne la tournant pas tout de suite vers Owen, fixant plutôt un point devant elle qui lui permit de se concentrer sur la marche à suivre. Entrecoupée de soupirs, sa première salve de confidences s’écoula lentement, péniblement, ses doigts continuant de se triturer entre eux, et ses genoux si serrés qu’elle les sentit presque fusionner "Pas très longtemps après que tu quittes la ville, j’ai commencé à recevoir des coups de fil anonymes à l’agence." commença-t-elle, tachant de remettre les choses dans l’ordre. Tout était assez clair pour qu’elle aille directement aux faits, même si ça lui tordait le ventre de le faire alors qu’elle sentait le monde tanguer alors qu’elle était assise là, sur son propre canapé "Rien de bien méchant, je ne m’en suis pas inquiétée. Mais ça a duré un bout de temps, assez pour que ça inquiète ma collaboratrice avec qui j’ai décidé de couper la ligne pendant un temps pour dissuader la personne qui perdait son temps à appeler plusieurs fois par jour." Un très léger mouvement de tête lui échappa, de droite à gauche pour marquer l’incongruité de la chose, et un sourire remonta l’une de ses joues ; un sourire sardonique, sans aucune joie, qui altéra la finesse de ses traits "Il fredonnait la marche nuptiale, c’est tout ce qu’il faisait. Je n’en étais pas à mon premier canular, ça m’a paru inutile d’alarmer qui que ce soit." avoua-t-elle, tournant enfin la tête vers Owen comme pour chercher son assentiment et lui assurer qu’elle n’avait pas été inconsciente de songer de cette manière. Durant toute sa vie à Brisbane, elle avait été victime de rumeurs, de farces et d’attaques, il n’était pas sans le savoir. On s’habituait à ce genre de choses. C’était triste, mais c’était la vérité.
"Ça a fonctionné, de couper la ligne. C’est ce que je croyais, du moins." reprit-elle, et la pause qu’elle marqua tout de suite après, elle était là pour mieux préparer le jeune homme à la suite qu’elle lui révéla de longues secondes après, détournant de nouveau le visage pour arrêter ses yeux sur ce point indistinct qui lui permettait, cette fois, de ne pas craquer "J’étais seule ce soir-là, et un homme est entré dans l’agence. Il était tard, j’étais fatiguée, je n’ai pas eu le temps de trouver ça étrange et de paniquer." Elle disait vrai. Elle ne s’était rendu compte de rien. Une profonde inspiration plus tard, son corps se ranimant, confronté à ce trop-plein d’oxygène et d’émotions, et ses doigts se séparant pour permettre à ses bras de s’enlacer elle-même par la taille, elle lui dit enfin "Je suis tombée sur la table-basse en verre de l’agence, c’est vrai. Mais je ne suis pas tombée toute seule et je crois avoir reçu quelques coups à en juger par l’état de mon visage quand j’ai appelé les secours." Elle se souvenait des douleurs ressenties, de la lueur d’inquiétude dans les yeux de Rhett qu’elle avait appelé à la rescousses, et c’est peut-être ce souvenir-ci qui lui fit monter les larmes aux yeux finalement "Je n’ai pas vu le sien, de visage." murmura-t-elle pour elle-même, se sentant au prise de son propre ressenti qu’elle en agrippa finalement ses  propres genoux avec ses deux mains, le haut de son corps se redressant pour faire le point sur ce qui lui tournait dans la tête en même temps et qu’elle partagea avec le jeune homme. De nouveau, elle lui lança un regard baigné de larmes "J’ai eu le temps d’y réfléchir depuis, et je crois que tout est lié. Je ne sais pas comment l’expliquer… je le sens, c’est tout." Elle cligna des yeux pour les forcer à faire la focale sur le visage d’Owen dont elle ne réussissait pas à lire les émotions sur le moment ; c’est cette incapacité qui la força à ajouter, tenant à lui rappeler qu’il avait explicitement accepté la seule chose qu’elle lui avait demandée avant de se lancer dans son récit "Tu m’as promis de ne rien dire à personne."

@Owen Galloway Even - Count on me 873483867


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Message(#)Even - Count on me EmptyLun 4 Juil - 14:42

Le Galloway avait cette impression que les secondes étaient d’interminables minutes. Il avait donné sa parole, à présent à côté d’elle, elle pouvait lui faire confiance, comme il venait de lui dire. Mais il voyait bien qu’elle avait du mal à se lancer et il n’osait pas bouger ni même respirer trop fort pour ne pas la brusquer. Après tout, le pouvoir de se livrer à lui lui revenait entièrement et si elle décidait qu’elle ne le pouvait pas, il ne l’obligerait pas. Il avait des doutes, il avait des craintes et de la voir ainsi fébrile ne le rassurait pas mais il ne pouvait la mettre dans une situation davantage inconfortable. Puis, lorsqu’elle redressa son menton, fixant un point devant elle, prenant soin de ne pas croiser le regard du blond, il senti qu’elle allait s’ouvrir. Les appels anonyme, l’inquiétude de sa collègue et à juste raison… le prêtre écoutait attentivement les confidences, presque comme s’il écoutait les confessions de ses fidèles derrières son confessionnal. Il eut un frisson quand la marche nuptiale raisonnait jusqu’à son esprit, en boucle dans sa tête. Parce que si Evelyn avait pensé à un canular sur le coup, aujourd’hui, il savait qu’il ne s’était pas arrêté à ça et que ça n’en était pas un, si non, ils ne seraient pas ici à en parler.
Le regard du Galloway croisait enfin celui de la Pearson et il tentait de lui transmettre toute son empathie et son soutien, d’un simple échange avec les yeux. Il ne voulait pas lui couper la parole et se montrer trop intrusif, laissant la jeune femme poursuivre son récit si elle le désirait ou s’arrêter là si la suite lui était trop pénible. Il pouvait ressentir ce que la jeune femme avait pu vivre dans le timbre de sa voix.  Elle continuait, abordant l’intrusion dans son cabinet. Le visage de l’ex prêtre se voulait être plus fermé, plus dur, intransigeant. Son regard se posa sur les bras de la jeune femme qui enlaçait sa propre taille, comme pour se protéger elle-même de toute agression extérieure. Il aimerait pouvoir la prendre dans ses bras pour lui montrer qu’il pouvait être celui qui la protégerait, mais la vérité était qu’à ce moment-là, il n’avait pas pu le faire et qu’il était la source de ses ennuis. L’aveux presque ultime, une agression physique, une chute, des coups au visage. Le sang glacé, le Galloway grinçait des dents, sa mâchoire serrée et crispée. Il sentait même ses membres de tendre, ses poings se serrer sur eux même. Sentiment de rage et de colère qu’il maîtrisait parfois avec justesse, mais dont quelques signes pouvaient lui échapper aussi.
"Je n’ai pas vu le sien, de visage." Elle ne savait donc pas de qui il s’agissait et Owen semblait alors detenir cette information capitale. L’identité de l’homme qui l’avait agressé, sans pour autant en avoir la preuve formelle, mais les indices et son pressentiment semblait mener sur le chemin de la réponse.  "J’ai eu le temps d’y réfléchir depuis, et je crois que tout est lié. Je ne sais pas comment l’expliquer… je le sens, c’est tout." Voyant les larmes qui jonchaient les yeux de la jeune brune, cette fois ci, décrispant ses doigts, il osait s’approcher un peu plus d’elle pour la prendre dans ses bras, lui laissant le droit de le repousser si elle jugeait bon, si elle n’avait pas envie de ce contact avec lui. Ce n’était en aucun cas une opportunité pour lui de se rapprocher d’elle, mais une manière de pouvoir compatir et lui offrir un peu de réconfort, pour le peu de valeur que ça en avait. "Tu m’as promis de ne rien dire à personne." Il hocha à nouveau la tête. « Je dirai rien Evie… » il garderait sous silence ces informations tant qu’elle lui sommera de le faire. « mais si je peux t’aider d’une seule manière, tu peux me demander tout c’que tu veux. » comme un sentiment d’être redevable, de vouloir partager cette responsabilité et de porter sur ses épaules la culpabilité de cet acte dont elle a été victime. « Je suis persuadé que tout est lié et si tu veux mon soutien, maintenant, ou plus tard, tu sais qu’à chaque instant tu pourras compter sur moi. » il avait les yeux remplis de rage, ce qu'il essayait de dissimuler tant bien que mal, ayant des difficultés à prendre de la distance sur l'instant présent. Accuser le coup, prendre les informations en vrac et avec cette telle violence qu'il pouvait ressentir à travers les mots d'Evie... « tu penses qu'en le voyant, tu pourrais affirmer de qui il s'agit? » bien qu'une telle confrontation pourrait être difficile à vivre et supporter. Si même, elle disait n'avoir pas vu son visage, peut être y a t il un autre signe distinctif qui pourrait le prouver ?
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Alma Barton
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LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut
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TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas.
PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #7AA1D2
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GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
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MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly

lewis#2micah#1natalia#1 (fb 2020)mabel#1atlas#2malone#1

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JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : ana de armas
CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©keetika (gifs profil, sign), ©crackshipandcrap (gif greede), ©katmcnamaragifs (gif malone), @macherierps (gif jake) ◦ ©astra (code)
DC : jo carter & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 12/02/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t55943-i-struck-a-match-and-blew-your-mind-alma
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Message(#)Even - Count on me EmptyMer 13 Juil - 6:05

Parler, ça ne la soulageait pas. Ca ne faisait que mettre en exergue les détails de ce qu’elle avait vécu, de les rendre plus réels quand elle tentait de passer au travers sans donner l’impression d’être trop atteinte par les répercussions d’un épisode de violence pareille, qu’elle sentait gravé dans sa chair, dans ses os encore plus. Elle accusait bien le coup, avec ses bouteilles de vin et son isolation partielle. C’était en tout cas ce qu’elle croyait, sentant pourtant qu’elle se refermait de jour en jour, en en venant même à entrer en conflit avec des membres de son entourage proche dans le simple but se protéger, de protéger ses secrets.

Elle ne devait rien à Owen et Owen ne lui devait rien non plus. Elle se sentit tout de même redevable de sa délicatesse à l’instant où elle termina son récit et qu’elle le sentit se rapprocher pour l’étreindre comme le ferait un ami. Seulement, il ne l’était pas, il ne l’avait jamais été ; alors ça avait quelque chose d’un peu étrange de se laisser faire sans repenser à ce qu’ils avaient avant que tout ne soit détruit… mais la vérité, c’était qu’elle n’avait pas la force de le repousser. Elle se contenta de le laisser l’entourer de ses bras, retenant les larmes qui bordaient ses yeux, parce que si elle pouvait se raccrocher à quelque chose autre que ce qu’elle avait toujours ressenti pour lui, encore plus quand il était le seul à pouvoir la faire s’ouvrir de cette manière, c’était sa dignité.
Elle ferma brièvement les yeux, posant tout aussi brièvement son front sur son épaule pour enfin lâcher prise et retrouver le flegme nécessaire pour chasser la larme qui roula discrètement sur sa joue et que le sourire qu’elle laissa filer rendit moins cryptique. Elle dit au jeune homme, le regardant enfin, avec cette tendresse mal dissimulée qui la fit hocher la tête "Je crois que tu en as assez fait." Ce n’était pas agressif, ce n’était même pas prononcé dans le but de lui faire du mal ou de le blesser, c’était seulement une constatation qu’elle basait sur le pas qu’il avait fait vers elle pour prendre de ses nouvelle et savoir ce qui s’était passé ; à part lui, personne n’avait vraiment insisté. Elle se leva alors, ayant soudain besoin de contrôler son espace pour ne pas se laisser le temps d’apprécier ce qu’il dégageait et marcha jusqu’à la fenêtre du salon pour jeter un œil à l’extérieur tandis qu’il continuait à parler, la faisant un instant plonger dans ses propres pensées pour en sortir assez brutalement, sa voix s’élevant doucement quand, la tête marquant sa dénégation, elle lui dit de nouveau "Je ne sais pas. Et pour être honnête avec toi, je ne sais même pas si j’ai vraiment envie de me lancer dans ce genre de choses. La seule chose qui m’obsède depuis que c’est arrivé, c’est d’oublier que c’est arrivé." lui confia-t-elle, et pour la énième fois depuis leurs retrouvailles, il y avait quatre ans de ça, elle ne se demanda pas pourquoi il avait été si bon prêtre — c’était tellement aisé de lui parler, de laisser tomber les barrières que ça lui fit du mal au fond.
Elle détourna les yeux pour les reposer sur l’extérieur, laissant ses lèvres se pincer quand elle réfléchit à ce qu’elle ajouta quelques minutes après, laissant ses doigts trouver l’ourlet de sa lèvre inférieure qu’elle tritura, aussi angoissée que déterminée à faire valoir son point "Confronter cette personne, ce serait devoir faire quelque chose pour le punir ensuite… tu connais ma famille, tu connais ma mère — elle va le détruire à la seconde où elle prendra connaissance de son identité, et je n’ai pas les épaules assez larges pour supporter d’être la responsable de ce genre de vendetta." Elle était honnête, sans doute un peu trop, ce qui lui fit ajouter dans un nouveau semblant de sourire, sa tête se tournant en direction du jeune homme "Tu dois me prendre pour une folle." Elle qui conseillait tout en douceur aux femmes maltraitées de prendre des mesures et de faire entendre leurs voix quand elles étaient abusées, elle se retrouvait dans la position contraire et ce n’était pas agréable.

@Owen Galloway Even - Count on me 873483867


    they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.



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Message(#)Even - Count on me EmptyMar 23 Aoû - 11:16

Owen, aussi prudent qu’il pouvait l’être, avait refermé ses bras autour d’Evie, pensant pouvoir lui apporter une once de réconfort, sans prétention. Un geste un peu maladroit, peu délicat, mais empli de bonnes intentions. Il avait pensé un instant qu’elle aurait pu le repousser, mais elle n’avait pas bronché. Si elle n’avait pas manifesté non plus que cela pouvait lui apporter un peu de chaleur, elle semblait être de marbre et c’était pour déstabiliser un peu plus l’ex prêtre qui n’avait pas la notice pour agir. Alors qu’il allait se défaire de cette étreinte, la jeune femme semblait se décontracter en posant son front sur l’épaule du blond. Le confortant dans son intention première, il resta alors un instant, sans bouger davantage, laissant à la jeune femme la liberté d’y mettre fin quand elle le voudrait.  "Je crois que tu en as assez fait." Voilà peut-être le signal, il retira ses bras et eut un petit recul, marquant à nouveau une distance entre eux, un air empathique sur le visage prenait place pour chasser la colère qu’il pouvait toujours ressentir. Il comprenait bien qu’elle n’attendait pas grand-chose de lui et que peut-être il n’était pas le mieux placé pour lui venir en aide. Il devait rester à la place qu’il avait à présent, celle qu’il avait gagnée en rompant tous les liens qui les unissaient avec brutalité. Il avait sans doute perdu la confiance qu’Evie pouvait lui avoir accordé et pour autant, elle ne s’était pas retenue de se confier à lui. Il savait tout de même qu’il n’avait rien à prendre pour acquis et qu’une fois qu’il aura de nouveau passé le pas de la porte de cet appartement, il ne sera qu’Owen Galloway simple commun des mortels.
La jeune femme se leva, se dirigeant vers la fenêtre alors que le regard du blond ne la quittait plus alors qu’il attendait une réponse de sa part. N’étant pas certain qu’elle veuille réellement être confronté à cet homme à nouveau. « Je ne sais pas. Et pour être honnête avec toi, je ne sais même pas si j’ai vraiment envie de me lancer dans ce genre de choses. La seule chose qui m’obsède depuis que c’est arrivé, c’est d’oublier que c’est arrivé. » il hocha simplement la tête, n’ayant pas réellement de réponse constructive à lui apporter à ce moment précis. Il ignorait la marche à suivre, n’avait aucune connaissance sur l’aspect psychologique que pouvait produire des agressions de ce type, bien qu’il avait une petite idée intime. Il ne connaissait en rien les rouages des impacts sur les victimes et du processus de guérison, il ne faisait qu’émettre des hypothèses et pensait à ce qu’il aurait fait s’il pouvait se mettre à sa place. Mais se mettre à sa place n’était sans doute pas suffisant voir même déplacé. « Confronter cette personne, ce serait devoir faire quelque chose pour le punir ensuite… tu connais ma famille, tu connais ma mère — elle va le détruire à la seconde où elle prendra connaissance de son identité, et je n’ai pas les épaules assez larges pour supporter d’être la responsable de ce genre de vendetta. » Owen ne pu s’empêcher d’exprimer sa surprise en fronçant les sourcils et se redressant sur le canapé. « T’es prête à assumer qu’il t’ai fais du mal, sans avoir envie qu’il soit puni en retour ? » le ton employé était sans doute un peu trop culpabilisateur envers la jeune femme. « Tu dois me prendre pour une folle. » folle n’était sans doute pas le mot qu’il aurait employé, mais il devait avouer ne pas comprendre. Il soufflait, inspirant grandement avant de se lancer dans un discours qu’il ne maîtrisait pas. « Je comprends pas non… » que pouvait-il bien comprendre et lui demandait-on de comprendre, au fond ? « Enfin, j’comprends que tu n’ai pas l’impression d’avoir cette force là… mais tu as aussi la chance d’avoir une famille qui a les moyens de faire appel à la justice pour qu’il n’ait pas à recommencer. » et on passera le discours sur le pardon et la miséricorde. « Laisse faire les autres pour toi, si tu n’as pas les épaules, d’autres les auront à ta place. » c’est ainsi qu’il voyait la famille Pearson, des bulldozers qui pouvaient tout défoncer sur leur passage, sans forcément à avoir à bouger le petit doigt et faire trop d’effort, tant il avait les moyens qu’on le fasse pour eux.
Il se leva de son canapé et fit un pas en arrière. « t’as les cartes en main, il te manque un atout pour gagner la partie, il est dans mon jeu. » et elle pouvait s’en saisir à l’instant où elle le désirait. « Tu placera tes cartes quand tu sentiras que tu seras prête. »
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Alma Barton
Alma Barton
le bonheur illusoire
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Even - Count on me FQgUS3L Présent
ÂGE : 35 ans (03.09.1989)
SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes
STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore
MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède
LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut
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Message(#)Even - Count on me EmptyJeu 25 Aoû - 5:46

Est-ce qu’elle était prête à assumer que cet homme lui ait fait du mal sans avoir envie qu’il soit puni en retour ? Evie ne se laissa pas tellement le temps de la réflexion, et elle fronça les sourcils, son regard toujours dirigé vers l’extérieur de l’appartement qu’elle partageait avec Lara. Doucement, elle se tourna vers Owen pour le regarder admettre qu’il ne la comprenait pas. Elle pouvait l’entendre, néanmoins elle lui dit sur le ton qui était le sien, aussi neutre qu’il était doux, sa voix naturellement éraillée se joignant au silence de la pièce qu’elle perturba, presque timidement "Je ne te demande pas de me comprendre." Ce serait trop, et elle ne le lui imposerait pas, pas après ce qu’ils avaient vécu tous les deux, pas après que leur monde ce soit effondré sous leurs yeux "C’est moi qui l’ai vécu, je suis la seule à pouvoir décider de quoi faire de mon traumatisme et comment le gérer." Et elle ne prétendait pas avoir la meilleure méthode, seulement c’était la plus viable à ses yeux pour le moment.

C’était une rebuffade justifiée, qu’elle n’autoriserait pas Owen à relever cependant, quand bien même elle le voyait chercher à saisir les subtilités du raisonnement qu’elle avait mûri depuis son agression. Il était le seul à qui elle en parlait, et il essayait de la rendre coupable de ne pas vouloir faire intervenir la justice. Si elle en avait eu la force, elle en aurait peut-être souri "Je savais que je n’aurais rien dû te dire." fit-elle, plus pour elle-même que pour lui, fronçant le nez en l’entendant mentionner sa famille, et remettre son pouvoir en jeu comme s’il s’agissait d’une solution à tous ses problèmes ; c’était la source de tous ses problèmes, lui qui avait été placé au centre d’une histoire salie par les médias, il réussissait à se dire que c’était le meilleur moyen de se sortir d’une issue pareille, d’aller pleurer dans le bureau de maman pour qu’elle fasse intervenir son équipe et lui sauver la mise en ruinant la vie de quelqu’un  d’autre au passage ? Les répercutions ne seraient pas simples à gérer pour elle, elle lui donnerait aussi l’impression de devoir quelque chose à Celie, et ce n’était pas envisageable à ses yeux, elle qui lui devait déjà d’avoir tenté d’étouffer leur affaire, il y avait quelques années de ça maintenant. Elle n’expliquerait pas tout ça à Owen, Evie. Elle avait déjà la sensation de se plaindre beaucoup trop, et de donner l’image de problèmes qui n’en étaient pas vraiment au demeurant, pauvre petite fille riche qu’elle était.
Alors, elle secoua la tête, le laissant se lever sans chercher à suivre son mouvement, recluse dans le coin qu’elle avait investi en choisissant de mettre un peu d’espace entre eux pour se remettre de la manière dont il l’avait consolé, et de celle avec laquelle il la fustigeait maintenant. Elle ne savait pas si c’était leur histoire qui le permettait de se montrer aussi rude dans le fond, mais elle ne lui en voulait pas. Elle lui en voulait pour d’autres choses, mais le débat s’arrêtait là. Roulant ses lèvres l’une sur l’autre, choisissant ses mots pour ne pas lui donner l’impression de le chasser, elle finit par lui conseiller "Tu devrais rentrer chez toi." Encore une fois sans agressivité, ce fût sans aucune agressivité qu’elle lui imposa son impulsion, elle laissa juste poindre un léger sourire qu’elle finit par faire disparaître pour mieux lui dire, avec sincérité et douceur, toujours "Merci d’être passé prendre de mes nouvelles. Je suis contente de t’avoir vu. Tu as l’air en forme." Plus qu’elle ne l’était en tout cas. Pour ce que ça valait vraiment, elle était prête à lui accorder au moins ça ; tout en redoutant l’idée que ce serait, sans aucun doute, la toute dernière fois qu'ils se verraient.

rp terminé.

@Owen Galloway Even - Count on me 873483867


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