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 In order to succeed, we must first believe that we can • Liv

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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyMar 8 Sep 2015 - 22:07

Tout a commencé le jour où Gabriella est venu me rendre visite. Nous avons discuter, je me suis excuser de ne pas avoir donner de mes nouvelles, elle a comprit que les circonstances n'étaient pas les appropriés et ne m'en a pas tenu rigueur. Mais, le plus important est arrivé au moment où je voulais le transférer dans mon fauteuil, dans le but de changer de position et éventuellement sortir avec Gaby. En attrapant ma jambe droite, j'ai sentit comment des fourmillement dans ma cuisse droite et qui s'étendaient jusqu'à mon genou. Sur le coup, j'ai paniqué. J'ai pensé que mon corps me jouait encore un tour, ce qui ne m'aurait vraiment pas étonné. Mais, lorsque Gabriella est partie et que je me suis retrouvé seul dans ma chambre, j'ai passé 2h à observer mes jambes avec attention. Et a force de concentration et de patience, j'ai sentis que j'avais de plus en plus de sensation dans ma jambe droite. Je pensais que c'était seulement psychologique.

Mais en me réveillant le lendemain, les sensations n'avaient pas disparue. Et, lors de la toilette du matin avec l'infirmière, mon pied à bouger. Sur le coup je pensais que ce n'était qu'un reflex nerveux, mais au courant de la mâtiné j'ai à nouveau tenter la même chose et j'ai finalement réussi de moi-même à lever le bout du pied. Très légèrement. Le mouvement était presque imperceptible, mais l'émotion m'a submergé d'un coup. Mon cœur a accéléré ses battement et lorsque Nina est entré dans la chambre, elle a paniqué en me voyant en larme. Mais ce n'était que des larmes de joie. J'ai passé encore deux jours dans cette chambre, jusqu'à ce que le médecin du service de psychiatrie accepte de me transférer en neurologie.

C'est donc là que je me trouve présentement, assit sur mon fauteuil au bureau entrain de lire mon livre. Je n'arrive pourtant pas à me concentrer sur ce que je lis, étant donné que mon esprit est totalement prit par l'attente des résultats des derniers tests que j'ai passé. En deux jours, j'ai enchaîné les scanners du dos, des cervicales et même du cerveau, les radios de ma colonne vertébrale, les échographies et les tests nerveux. Les reflex à mes jambes étaient minimes, mais j'ai bien sentit mon quadriceps se contracter. N'est-ce pas un bon signe ? Pourtant, les médecins n'ont pas encore voulut me dire quoique ce soit, préférant sans doute être sûr à cent pour cent de ce qu'ils peuvent avancer. Et normalement, ils devraient m'annoncer les résultats aujourd'hui lors de leur tour quotidien. Et c'est justement ce que j'attends, là, en ce moment même.
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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyMer 9 Sep 2015 - 19:38


Je viens à peine d’arriver à l’hôpital que je laisse échapper un bâillement, heureusement pour moi je suis toujours dans la petite pièce réservé aux infirmières. Je prends mon thé, puis je bois quelques gorgé de celui-ci. Je remarque que je ne suis pas la seule à être dans cette état l’une de mes collègue était bien plus fatigué que moi. Sur son visage se voit qu’elle a fait la fête mais surtout je pouvais entendre les non défilé dans la pièce. Elle s’approche de moi, « Liv s’il te plait, dit moi que tu peux m’aider... » elle me regarde avec des yeux de chien battus. « Dit moi tout. » j’esquisse un petit sourire. Elle montre son planning, radio, échographie toute la journée. « Est-ce qu’on peut échanger nos plannings… ? » Je rigole doucement est sort le mien un peut chiffonner et lui donne. Elle comprend très vite que j’accepte avec plaisir. Elle allait vite comprendre que la paperasse, les visites et les jeux avec les gamins sont le plus fatiguant que ce qu’elle a. Elle commence aussi bien plus tard que prévu. Ca me fait sourire, je hausse doucement les épaules. Je tire alors une chaise pour boire tranquillement mon thé alors que la plus part commence leur service.

Les premiers enfants, je les emmène tranquillement. Surtout les plus petits. Mais ils défilent les uns derrière les autres. Les plus grands qui sont en fauteuil on se permet de faire les imbéciles, lui conduit et moi je dirige du moins je cours presque dans les couloirs avec eux en riants aux éclats. C’était assez amusant et ça leur fait oublier qu’ils sont dans un fauteuil. Jusqu’au moment où je me souviens d’avoir oublier quelques choses en salle, je redescends assez rapidement. Une personne passe des examens donc je me permets d’attendre, se que je ne sais pas c’est qui tu es mais surtout la nouvelle annoncer. Une infirmière sort du bureau j’entre juste après elle, le médecin me regarde et me tend les résultats à annoncer au patient. Un peut perdu je lui explique je suis qu’une infirmière en pédiatrie et que je ne suis pas apte a dire ce genre de nouvelle, c’était plus a lui de le faire. Il me regarde méchamment et me sorte juste « t’es infirmière, vas y. » Je lève doucement les yeux au ciel, lui je n’ai pas envie d’avoir à nouveau affaire à lui. Désagréable comme il est. Je sors alors de la pièce, je prends alors le temps de lire les résultats, j’ai un petit soupire mais un immense soulagement en voyant les résultats. J’avais peur que ça soit une mauvais nouvelle l’énième de la journée. Mais là, non. Je lui ton nom et ton prénom « Nathan Potter », Nathan, Nathan ton prénom me tourne dans la tête  j’étais entrain de cherche ou, mais surtout qui m’avait parlé d’un Nathan. Je fronce les sourcils, puis je secoue la tête, je préfère ne pas trop me prendre la tête surtout que je viens de reprendre le boulot. Une fois devant ta porte, je relis une dernière fois tes résultats, j’ai un petit sourire qui s’affiche sur mes lèvres en même temps. Comment égayer la journée de quelqu’un part ses nouvelles. Nouvelle qui ne peut que redonner du courage. Je frappe doucement a ta porte et quand j’ai la permission d’entré je le fais. Toujours un doux sourire aux lèvres, mon prénom/nom coller sur ma blouse, rose. Ma chevelure flamboyante rousse est attacher une queue de cheval assez haute. Je dépose mon regard sur toi « Monsieur Nathan Potter ? » En disant ton nom de famille mon accent Écossait pouvait clairement ressortir. J’ai ton dossier entre mes mains, tu pouvais alors savoir que je suis là pour te donner des nouvelles, des bonnes.

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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyMer 9 Sep 2015 - 20:56

Cette attente est horrible. N'est-ce pas inhumain de faire ainsi attendre un patient ? J'en ai marre. Je n'en peu plus. J'ai l'impression que je ne vais pas tarder à pêter un plomb tant je ne tien plus sur place. Les résultats sont positifs. Ils sont obligé de l'être. Le fait que je puisse bouger mes pieds, c'set un bon signe, non ? Ça ne peut que signifier quelque chose de bien. Ça ne peut tout simplement pas être quelque chose de négatif. Je déglutis. Et si c'était simplement un acte éphémère ? Et si dès le lendemain toute sensation dans mes jambes étaient reparties ? Je soupire et me prends le visage entre les mains, refermant le livre. Je ne supporterais pas qu'une mauvaise nouvelle ne tombe. Ça me déprimerais encore plus et je ne pense pas que je survivrais au fait qu'on ne me confirme à nouveau que je ne pourrais plus jamais remarcher.

Lorsqu'on toque à la porte, je m'effraye brusquement. Me tournant avec mon fauteuil, je fixe la porte, sentant le stresse monter d'un coup.M'efforçant à respirer calmement, je déglutis puis autorise la personne à entrer. Il s'agit là d'une infirmière. Je soupire légèrement, déçu que ce ne soit pas un médecin qui entre dans la chambre. Mais en voyant le dossier qu'elle tient en main, je me doute fortement que le médecin lui à refourguer le travail qui lui revenait initialement à lui. Je souris donc doucement lorsqu'elle prononce mon nom et hoche la tête pour lui confirmer que c'est bien moi.

 «C'est ça, oui  » soufflais-je en passant mes mains mointes sur mon jeans. Mon regard passe des yeux bleux de l'infirmière à son dossier avant que je ne pince les lèvres  « Tu … enfin, vous … c'est pour quoi … ?» demandais-je naïvement. Je pense bien qu'elle est là pour m'annoncer les résultats et je ne sais d'ailleurs pas pourquoi je lui pose la question.
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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyMer 9 Sep 2015 - 22:14


Lorsque je rentre dans la pièce et que je t’observe doucement, gardant mon sourire aux lèvres. Je pouvais voir que tu es assez stresser mais surtout assez angoisser. Je m’approche un peut plus de toi, mes t’es paroles, ton baiguement et que tu me tutoie sans le faire exprès élargis mon sourire. En vrai nous ne sommes pas si loin niveau âge l’un de l’autre donc je ne vais pas t’en vouloir. Je reste alors face à toi, gardant mon regard sur ton visage. « Oui je viens pour vous. Je suis désoler le médecin n’as pas pu venir. » Je m’approche encore un peut plus puis je m’arrête quand je suis face a toi, c’est là que tu peux voir comment je m’appelle. « Détendez vous Nathan, je sais que c’est très stressant mais je pense que tu as compris que ça ne peux qu’être positif ? » Je dire en quelque sorte que c’est positif. C’est vrai que c’est assez rare de voir des personnes remarcher un jour, mais une nouvelle comme celle là ne peut que donner du courage. Puis tu seras bien entouré malgré tout. Me connaissant je pense venir régulièrement te voir pour prendre de t’es nouvelles. Je viens désigne la chaise a t’es coter du doigt « Tu… Vous me permettez ? » Je garde mon sourire aux lèvres, c’est assez dur de tutoyer une personne qui a quelques années d’écart que moi. Puis je suis tout le temps avec les enfants donc le tue est tellement facile.

Quand tu accepte que je m’assois, je tire doucement la chaise puis je m’assois sur celle-ci, je reste malgré tout face a toi. J’ouvre alors ton dossier, passant doucement l’une de mes mèches derrière mon oreille. « Alors, tu as passé plusieurs radios, échographies, scanners aussi ainsi que des tests nerveux… » Je viens doucement retrousser mon nez, je souris en relevant alors mon visage. « Bon je ne vais pas te parler comme un médecin pourrait le faire sinon je vais te perdre. » j’avais ton dossier sur mes jambes et je bouge un peut mes mains, je ne me rends pas compte que je te tutoie. Je garde mon sourire aux lèvres « Tu vas pouvoir remarcher Nathan. » mon sourire assez doux et sincère à la fois. Je n’allais pas mentir sur des choses comme ça. Puis je ne vois pas pourquoi on mentira sur des choses comme ça. « Je ne sais pas se que tu as eu comme accident pour être en fauteuil. Mais, c’est un énorme progrès mais aussi tu vas devoir fournis un travaille assez grand et ne pas te laisse abattre. » Je prends toujours un peut de temps entre mes explications mais je les dis avec tranquillité « Je sais qu’à un moment donner on a envie de baisser les bras car les progrès ne sont pas si rapide ou je ne sais des raisons que toi seul peut savoir. » Je passe doucement mes mains les unes dans les autres. « Les médecins pensaient que tes nerfs étaient totalement détruit, qu’en réalité non, ils leurs fallait juste le temps que se refaire. » Je viens alors te montré l’échographie de ta colonne vertébrale. Je mon index je te montre les nerfs dont je te parle, c’est vrai qu’on ne voit pas grand-chose puis de ma seconde main je te donne la feuille des tests nerveux que tu as fais. « Tu vois les piques verts ? C’est le progrès qui commence Nathan. Tu en feras beaucoup en file du temps, mais tu y arriveras. » Mon sourire se place a nouveau sur mes lèvres, je tiens bien mon rôle de l’infirmière douce et gentille mais surtout que tout le monde voudrait avoir dans tout les services. Je te laisse alors prendre le temps de réalisé, en me replaçant droite sur mon siège tout en t’observant.

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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyMer 9 Sep 2015 - 22:48

Depuis quand laisse-t-on les infirmières annoncer les résultats ? Depuis quand les médecins se défilent-ils ? Sans doute le font-il lorsque les nouvelles sont mauvaises. C'est ce qui me stresse le plus. Mais au final, je n'ai aucune raison de stresser de cette manière, non ? Non, effectivement. L'infirmière ne sourirait pas de cette façon si elle devait m'annoncer une mauvaise nouvelle. Je la laisse s'approcher et hoche la tête lorsqu'elle me demande si elle peut s’asseoir sur la chaise à mes côtés. Je pousse un peu sur mes roues pour me décaler légèrement puis l'observe.

Lorsqu'elle commence à parler, c'est sur un ton calme et doux mais tout de même très enjoué. Elle fini par m'annoncer directement la nouvelle : je vais pouvoir remarcher. Mon cœur se sert brusquement et ma gorge se noue sous l'émotion. Je pince les lèvres alors que je tente de contrôler ma respiration et les battements de mon cœur qui augmentent crescendo. Au final je plaque mes mains dans ma bouche pour masquer un sanglot.  «C'est pas vrai ... » soufflais-je d'une voix étranglée en secouant la tête.

Mais si, c'est vrai. Totalement vrai. J'ai beau scruté le jolie visage de l'infirmière, je ne vois pas une seule once de faux. Elle n'aurait aucune raison de me mentir aussi, non ? Je remarque que son nom est Liv ce qui rouvre une histoire que je voulais à tout prix garder cachée au fond de moi, mais l'ignore. Avant, je lui aurais sans doute cracher plus d'une vérité en face. Je lui aurais sans doute fait morale et lui aurait demandé des explications par rapport à Daniel, mais je n'en ressens pas le besoin et encore moins l'envie en ce moment même. Alors que je m'étais un jour promis de ne pas laisser passer une seule occasion de, je ne peux tout simplement pas lui en vouloir. Elle est tellement gentille et je pense bien que ce ne soit pas elle qui ait dit à Daniel de faire ce qu'il fait. Mais tout cela m'importe peu. Je secoue légèrement la tête afin de me focaliser à nouveau sur les paroles de Liv.

Ainsi donc, la rééducation sera longue et souvent j'aurais envie de baisser les bras. J'hoche doucement la tête  «ça va pas le faire à la Kill bill où elle remarche en 10 minutes après 10 ans de coma, c'est ça ? » demandais-je avec ironie, sourire sur les lèvres avant de reprendre mon sérieux lorsqu'elle continue de parler.

Apparemment mes nerfs avaient juste besoin d'un certain temps pour se remettre. Je vais donc progresser encore d'avantage ? Sans doute. J'hoche doucement la tête  « Ouais mais comment est-ce que ...» je ne peux en dire d'avantage car je sens mes larmes couler sur mes joues. Déviant le regard, je m'empresse de les essuyer  « Dé... désolé. Je ...» je pose le dos de ma main contre ma bouche lorsque je ne peux pas retenir le premier sanglot. Celui-ci est bien rapidement suivit par d'autre. Je secoue la tête et essuie mes larmes au fur et à mesure qu'elles coulent.  «Désolé, vraiment. Ce … c'est juste que … putain » je me détourne et regarde autour de moi à la recherche d'un mouchoir. N'en trouvant pas, je prends plusieurs profondes inspirations  « C'est … c'est génial.... merde quoi ! Je vais pouvoir remarcher ? Vraiment .. ? » demandais-je à nouveau. Juste pour avoir confirmation, à nouveau.
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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyMer 9 Sep 2015 - 23:16


Les nouvelles comme celle-ci j’aime bien les donner car faut avouer voir la personne se réjouir d’un mal qu’il supporte depuis plusieurs ne peut que faire plaisir. Ce n’était pas la première fois que je faisais ça mais surtout pour des mauvaises, je ne comprends pas pourquoi les médecins ne viennent pas d’eux même. Surement par peur qu’on leur pose bien trop de question dont ils n’arriveront pas a répondre. Je ne sais pas, j’ai toujours cherché à savoir mais ils ne m’ont jamais clairement répondus. J’espère juste qu’il passe a un moment donner pour prendre de t’es nouvelles. Je garde alors mes mains l’une dans l’autre en te regardant. J’ai cette air sur le visage, un air assez doux mais mon sourire ne pouvait pas me trahir, un large sourire assez contente pour toi, contente que tu puisses enfin remarcher, que ce calvaire finisse et qu’un combat commence.

Mais tout me remonte à l’esprit. Nathan je sais qui tu es maintenant, je vais bien vite le rapprochement avec Daniel. Il m’avait parlé de toi durant notre séjour, mais je pense qu’il a du te parler de moi. Puis des rouquines qui s’appellent Liv il n’y en a pas cinquante en ville. A un moment donner on allait bien se croiser, mais je ne préfère pas en parler maintenant je me doute bien que tu voudras des explications par rapport a ça et si je suis apte de te les donnés je le ferais. Je ne vois pas pourquoi tu devrais rester avec des questions sans réponses. Passons cette petite parenthèse, quand tu me réponds par rapport au film « Kill Bill », la référence de beaucoup de personne. J'ai l'image quand elle est dans le pick up jaune ou c'est marquer derrière « Pussy Wagon » en rose, c'est pour ça qu'un petit rire m'échappe « Non c’est pas possible ça. C’est très bien jouer je l’avoue mais ce n’est pas possible. » Mais je garde quand même mon sourire sur mes lèvres, ton émotion, ta joie qui s’exprime par des larmes était tout a fait normale et tu n’as pas a t’en cacher. Je te regarde en t’écoutant quand tu t’excuse je secoue la tête négativement tu n’as pas a t’excuser surtout pour ça c’était normal. Quand je vois que tu es entrain de chercher des mouchoirs je passe ma main dans ma poche et de ma main gauche, ou se trouve mon alliance je te tends mon paquet avec douceur. Tout chez moi était fait avec douceur, c’était pour ça que je suis devenu infirmière. Quand tu me repose cette question Lorsque je rentre dans la pièce et que je t’observe doucement, « Bien sur que oui, tu vas même pouvoir courir. » mon rictus ne quitte pas mes lèvres « Mais comme je t’es dis, tu as avoir un chemin assez difficile a passer. Mais je suis que tu vas t’en sortir. On va déjà tous t’entouré, t’encourager pour ça. » Une personne jeune comme toi qui va réapprendre a marcher on ne peut que l’encourager et l’aider. L’aider à se battre. « Tu as d’autre question à me poser ? Je suis là et je t’écoute bien évidemment. » Infirmière n’est pas qu’un métier ou nous donnons des cachets, prenons la tension et faisons des piqûres nous sommes aussi a l’écoute des patients on réponds a leur question et leur envie aussi. C’est pour ça que je te pose cette question.

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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyJeu 10 Sep 2015 - 7:30

Je pleurs et je ne peux tout simplement pas me retenir. Mais ce n'est pas par douleur ou par trisstesse, mais bel et bien par joie. Une joie énorme qui soulève mon cœur et qui m'oblige à montrer mes émotions. Je ne peux pas faire autrement et fort heureusement Liv me comprends totalement. Elle est douce. Dans son ton, ses faits et ses gestes. Une vraie infirmière qu'on a envie d'aimer. Dans le fond, ça ne m'étonne même pas que Daniel soit tombé sous son charme. Elle a tout pour plaire, cette jeune femme, je dois dire. Mais je ne laisse pas ces pensées négatives se mettre en travers ma joie.

Lorsque je redemande confirmation à la jeune femme sur le fait que je pourrais un jour remarcher ou non, elle me redit que oui, que je pourrais même courir un jour. J'avoue que sur le coup, je ne la crois que partiellement mais je préfère croire au miracle.  « Ce serait tellement bien» disais-je avec un large sourire en attrapant le mouchoir qu'elle me tend. Du coin de l'oeil j'apperçois l'alliance qui orne sa main me dit que je suis bien con d'avoir pu penser que Daniel et elle aient couché ensemble. Bien que pour beaucoup de gens le fait d'être marié n'empêche pas cela. Mais peu importe.

Elle reprends et dit que, même si ce sera difficile ils -le staff de l'hôpital, sans doute- seront là pour m'encadré et m'aider. J'hoche la tête, ne perdant pas mon sourire  «Merci. Je sais que je peux compter sur le staff d'ici. Vous faites un travail merveilleux  » je ne dis pas ça seulement parce qu'ils m'ont annoncé cette nouvelle. Je crois que même si la nouvelle n'avait pas été bonne, j'aurais pensé ça. Peut-être pas aussi fortement, ne nous faisons pas d'illusion et je ne l'aurais peut-être pas dit, mais je l'aurais pensé, pour sûr.

Lorsque Liv me demande si j'ai des questions, je pose mon regard sur elle. Des questions à elle, j'en aurais de nombreuses. Mais je ne peux pas me permettre d'être aussi personnel, non ? Pas tout de suite, en tout cas. Je secoue doucement la tête.  « la seule question que j'aurais c'est … comment est-ce possible ? Je veux dire, on m'a clairement dit y a deux ans que ma moelle épinière était totalement détruite. » je regarder les radios qu'elle tiens en main  « mais je penses qu'un médecin serait plus apte à me répondre » je lance un coup d'oeil à Liv  « Non pas que je doute de tes compétences, bien au contraire hein, mais je ne penses pas que tu ais des explications. » j'hausse les épaules  «D'ailleurs, je penses que personne n'auraient des explications » je rigole doucement et me passe une main sur ma paupière gauche pour en essuyer le vestige des larmes.

Je lui redonne la radio et me recule contre mon dossier en soupirant doucement.  «Tu connais Daniel Rainey, non ? » demandais-je finalement, sans réfléchir d'avantage. Mon ton n'est pas agressif ni même accusatoir. Je veux juste mettre cette partie de ma vie au clair, que Liv me prouve que j'ai eu tort sur toute la ligne étant donné que Danny ne m'a jamais parlé d'elle.
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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyJeu 1 Oct 2015 - 12:00

Quand je vois ton état je ne peux qu’avoir un sourire aux lèvres, ce n’était pas des larmes de tristesse mais tout simplement de joie. De la joie que je peux lire sur ton visage malgré tout. Je te donne mon paquet de mouchoir puis tourne un instant le regard, par respect puis je viens à nouveau te regarder. C’était agréable d’annoncé des bonnes nouvelles comme celle-ci. Je connais le système de rééducation car j’en vois tout les jours et des enfants voir adolescents qui tombent dans mon service. C’est pour ça que je viens te rassuré en te disant que le staff seront là pour toi, pour t’aider. « On ne fait que notre travaille tu sais. Il y a des personnes qui sont là par obligation et d’autre parce qu’ils adorent ça. Mais rassure toi en rééducation les personnes sont formidable, il y a plus d’hommes que de femmes mais ils sont toujours super ! » Je garde mon sourire aux lèvres, je sais que les hommes sont sollicités pour ça il faut souvent porté les personnes et eux sont bien plus fort que nous les femmes.

Bien sur, je te demande si tu as d’autre question. T’es paroles ne m’offense en rien je laisse un sourire amusé sur mes lèvres « Pour dire vrai, le médecin ma envoyer te voir car il se trouvaient bien trop occupé. Mais si tu veux plus de renseignement demande lui, ça sera plus simple. » Puis tu m’expliques qu’on t’avait que c’était impossible que tu remarche un jour je pince doucement mes lèvres en reprenant la radio que tu me tends « Il y a des adolescents dans le service qui eux aussi sont dans ton cas. Accident de voiture, moto ou même une chute tu vois ? Et un jour un adolescent ma regarder et ma dit : Tu sais Liv, tout les soirs je me répète dans ma tête que je veux marcher mais aussi je n’arrête pas de rêver que je marche. Alors j’ai la volonté ! » Je m’arrête un instant puis je reprends « Et maintenant il vient une fois par semaine a la kiné et la rééducation car il marche avec une béquille pour le moment mais il a réussit. Donc si tu as l’envie et la volonté tout est possible ! » Je hausse doucement les épaules « Sinon la deuxième solution c’est qu’on a vraiment quelqu’un qui vieille sur nous et … Bah ça me ferais limite peur moi ! » Je grimace un peut en disant ça. Bien sur, je ne te compare en rien avec les enfants que je m’occupe mais c’était surement une façon pour te montré que tout le monde peut y arriver et que des choses peuvent t’arrives.

Je viens doucement croiser mes jambes l’une sur l’autre puis, je te vois te coller a ton siège. Ca me faisait plaisir de voir une personne heureuse. Mais se que je ne m’attends pas du tout c’était a ta question. Un peut surprise mais je pouvais voir que c’était comme une question banale alors je ne la prends pas mal, puis après tout, t’as compagnie n’étais pas désagréable « En effet oui, toi aussi tu le connais ? » Je garde ma façon d’être, calme et douce à la fois. Je ne vois pas pourquoi je prendrais la mouche, surtout que je ne sais pas si tu le connais bien ou non. Après tout c’est un sujet de conversation banale.
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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyDim 4 Oct 2015 - 16:08

Et dire que le médecin avait, il y a une semaine de cela, détruit et piétiné mes espoirs naissant, je ne peux m'empêcher de lui en vouloir amèrement maintenant. Il n'avait pas le droit de me dire que je ne me faisait que des illusions, que le fait de pouvoir bouger mon pied ne signifiait rien et que de toute manière je ne pourrais sans doute jamais marcher. Là, les test me prouvent le contraire le plus total. Peut-être est-ce pour ça qu'il a envoyé cette infirmière ? Parce qu'il a peur de me faire face ? Je n'en sais rien. Tout ce que je sais c'est qu'il fait bien de rester loin de moi. Sans doute que la réaction de Gabriella l'a bien refroidie. Enfin, peu importe. Je décide de mettre ces pensées négatives de côtés et me concentrer sur ce que Liv est entrain de me dire.

Elle me dit qu'ils ne font que leur travail, qu'il y en a qui sont ici par obligation d'autre parce qu'ils aiment ce qu'ils font et qu'en rééducation il y a plus d'homme que de femme. J'hoche doucement la tête  « Ouais, normal» disais-je doucement. Je crois qu'en rééducation la force masculine peut être un sacré atout … tout comme la douceur féminine.

Elle me contes ensuite l'histoire d'un adolescent dans son service qui était en fauteuil roulant et qui, grâce à la volonté, a réussi à marcher. Je ne suis pas totalement persuadé de ça, je dois dire.  « Ouais, mais a quoi sert la volonté si le corps ne suis pas ?» demandais-je  « Et on a beau avoir toute la volonté du monde, quand deux médecins et même un kiné piétine tes rêves et tes espoirs … voilà » je me passe une main sur la nuque et soupire  « Y a encore une semaine, quand ça a commencé avec mon pied qui bouge, le médecin du service de psychologie m'a bien fait comprendre que je me faisais des illusions et … enfin voilà. Faux espoirs, quoi » je grimace légèrement puis soupire un peu et me recule contre le dossier.

Je pose ensuite une question qui me brule les lèvres depuis avant. Est-ce qu'elle connait Daniel ? Et effectivement, elle le connait. C'est donc elle la Liv avec qui il est partit pendant trois jours en me laissant seul chez lui. J'hoche doucement la tête lorsqu'elle me retourne la question.  «Oui, je ne le connais que trop bien  » avouais-je en baissant le regard  «je … il … s'est … enfin c'était mon copain » je ferme un instant les yeux et souffle doucement  « Mon ex copain, quoi » je relève furtivement mon regard sur l'infirmière.  «On était ensemble pendant 2 mois mais ça fait bien 3 semaines qu'on ne l'est plus » je lui offre un petit sourire, triste. Car ouais, le fait que Daniel et moi ne sommes plus en couple m'affecte bien plus que je ne voudrais le montrer. Je commence a apprendre à faire la part des choses, à réussir à vivre avec et à aller de l'avant. Il n'empêche que ces deux mois je ne suis pas près de les oublier.
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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptySam 24 Oct 2015 - 11:01

Il était vrai que les médecins ont le chic pour ne pas venir voir leur patient pour leur expliquer tout se qu’il se passe et comment expliquer en mieux se qu’il se passe. Mais c’est vrai qu’ils se défilent régulièrement pour ne pas affronté les regards des personnes, de leur patient et même de ceux qui ont en face. J’ai déjà vu beaucoup d’accompagnateur de patient leur hurlé dessus de toute leur force et les insulté d’incapable. Je rigole, souvent, car quand tu es à coter toi, infirmière tu pouvais faire bien mieux qu’eux. Mais, là c’était moi et j’avais fait de mon mieux pour t’expliquer les raisons. Mais je t’explique rapidement se que j’ai vue lors de la rééducation de plusieurs patients, enfants ou adolescents que j’ai. Mais quand j’entre dans la pièce la plus part des personnes que je vois c’est des hommes. Mais je garde un sourire aux lèvres « Je viendrais te voir, savoir comme tu évolues et puis au pire ont pourra parler. Ont s’en fou ils vont nous engueulés mais ce n’est pas grave ! » je ris doucement a mes paroles.

Après c’est vrai que je voulais te montré qu’on pouvait avoir de l’espoir malgré tout, de l’espoir en nous et croire en nos rêves. Mais quand tu m’expliques le fais que les médecins et kiné ont piétiné ton envie d’avancer. Je laisse un petit soupire m’échapper quand tu me dis ça et secoue doucement ma tête de droit à gauche. « Ils n’ont pas à faire ça. Ils savent très bien que toutes personnes peuvent remarcher un jour ou l’autre et ils ont souvent eux des cas comme ça. Après je ne sais pas se qui t’es arrivés et si tu veux me le dire je suis a ton écoute. Mais je ne comprends pas, ils devraient t’écouté et t’expliquer que, malgré tout c’est possible ! » ça me met hors de moi leur comportement et tu pouvais clairement le voir. Je bouge mes mains un peut dans tout les sens en expliquant mais aussi, je hausse doucement les épaules. « Je ne les comprendrai jamais ses médecins ! Ils font le même coup a des enfants malades tu sais… Des enfants qui sont remplis d’espoir pour que leur maladie guérisse et eux ils arrivent avec leur grand sabots et brise tout ! » je soupire doucement colle a mon tour mon dos sur le dossier de la chaise en te regardant. Je viens de pousser un coup de gueule, mais je secoue la doucement « Désolée je me suis emporté… » Dis-je en souriant doucement, c’est vrai que je pouvais m’emporté un peut vite puis je devais malgré tout rester professionnelle.

Lorsque tu m’as posé la question pour Daniel, certes ça ma surprise sur le coup mais quand tu m’explique que vous étiez ensemble depuis plus de deux mois je reste alors surprise. C’est a ce moment là que mon cœur se serre, vraiment, que je me rends compte que l’homme qu’il me parlait c’était toi. Gêner, je me mets à bafouiller « Je … Je suis désoler Nathan… » je baisse un instant la tête me sentant totalement coupable, coupable d’avoir briser votre couple. Je relève mon regard sur ta personne, étant totalement sincère. Je me redresse rapidement « Je ne savais même pas qu’il n’était plus en couple, puis… En putain j’me sens mal ! » Je passe doucement ma main devant ma bouche, ouais je me sens tellement mal a ce moment présent. Si nous ne serrions pas partir prendre ses vacances, il ne t’aura pas quitté par a cause de moi et sa aurez surement duré bien plus longtemps ! J’étais mal à présent j’avais envie de fuir et non d’un coup de rester car je voulais quand même savoir. « C’est peut-être indiscret mais… Comment ça se fait ? Je … Enfin, quand il m’a parlé de toi il parlait de toi en bien et j’avais l’impression qu’il était heureux… » C’était peut-être indiscret mais je suis choquer…
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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyDim 1 Nov 2015 - 17:35

Au final, je suis bien content que ce soit Liv qui soit venu ici pour me donner ces bonnes nouvelles. Un médecin aurait peut-être été plus apte à m'expliquer le pourquoi du comment mes nerfs se remettent maintenant, d'un coup, alors que pendant deux ans rien de ça n'était possible. Mais Liv, elle, au moins se prends le temps de parler avec moi. Un médecin ne l'aurait surement jamais fait. Le médecin, lui, serait venu là, dans ma chambre, m'aurait parler pendant deux voire cinq minutes puis serait reparti comme si de rien n'était. Il n'aurait surement pas attendu mes questions. Liv, au contraire, s'est carrément assise en face de moi.

Nous parlons tranquillement, je lui avoue que les médecins ont piétiné mes rêves et que seul mon kiné a encore longtemps cru en moi. Mais au bout d'un moment il a, lui-même, perdu espoir de me remettre debout. Je me rappelle encore très bien à quel point il était désolé à ce moment là, comme s'il avait échoué dans l'acte le plus important de sa vie. Enfin,peu importe. Liv est exaspéré, elle ne comprends pas comment on a put me traiter de la sorte. Car d'après elle il ya toujours un espoir quelque part. Je soupire doucement, las, et hausse les épaules  « Non Liv ...» soufflais-je  «Les gens qui peuvent remarcher après un tel traumatisme son rare. Très rare. Voire carrément inexistant. » je soupire doucement  « Une moëlle épinière détruite ne se reconstruit pas. Je suppose que la mienne n'a été que partiellement sectionné et que les nerfs ont put se remettre, donc. » j'hausse les épaules  « Enfin, je n'en sais rien, je poserais la question au médecin quand je le verrais »

Au final, nous changeons de sujet : Daniel. Mon ex copain et un très bon ami à Liv. Du moins, est-ce que je pense. Je lui avoue que nous étions en couple, lui et moi. Cette nouvelle semble réellement chambouler Liv. Pourquoi ? Lorsqu'elle commence à s'excuser, je fronce légèrement les sourcils. Elle dit ne pas avoir été au courant qu'il n'était plus en couple puis me demande pourquoi, m'avouant en même temps qu'il lui a déjà parlé de moi et qu'il semblait heureux. J'esquisse un léger sourire avant qui disparaît assez rapidement lorsque je lui répond.  « Il m'a trompé » disais-je en un haussement de sourcil  « Avec un autre homme et … enfin voilà. J'ai mis un terme à notre relation qui me bouffait de l'intérieur » je baisse le regard en soupirant doucement et lie mes mains  « Le problème, en fait, c'est qu'il n'a pas choisi le bon moment pour me l'avouer. J'étais parti m'isoler à l'église pour le deuxième anniversaire de la mort de mon père, la deuxième année que je n'ai plus marcher. En plus d'une agression dans le métro et puis ensuite Daniel qui me dit ça, déjà que notre relation n'étais pas au beau fixe … voilà. J'ai simplement péter les plombs et je … j'ai voulu en finir avec la vie » je baisse le regard, complètement honteux de cette partie de mon existence.
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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyMer 11 Nov 2015 - 18:06

Je n’aurais pas lâché une personne qui a besoin d’aider et bien même d’explication je pense que c’est a force de travailler avec les enfants. Les enfants qui eux ont t’en besoin d’explication mais surtout d’avoir quelqu’un qui l’épaule en plus de leur parent. Les médecins ne savent pas faire ça, se que je trouve ça complètement débile. Enfin bon je pense que tu en as compris le fait car je me suis exprimer et même un peut trop emporter. Quand tu prends la parole, je dépose alors mon regard sur ta personne en t’écoutant. Je hausse doucement les épaules. « Je ne perds jamais espoir pour les personnes qui sont fassent a moi. Tout le monde a le droit d’avoir de bonne nouvelle… » puis je fais un petit signe de la tête de haut en bas de la tête quand tu me dis que tu veux en parler a un médecin. « Pas de soucis et si a ce moment tu veux que je sois présente n’hésite pas a le demander d’accord ? » je t’esquisse un sourire. Ca ne me dérange pas si tu veux que je sois là, bien au contraire.

Le sujet change rapidement sur Daniel. C’est vrai que je n’ai pas l’habitude de parler de lui mais, je suis totalement bouleverser pour toi quand tu m’apprends que vous n’êtes plus ensemble. Comme je réagirais moi si mon mari m’annonce ce genre de chose. J’avais un instant baisser la tête, mais je l’ai rapidement relevé pour t’écouter, écouter se qui c’est passer en un si court instant. Je fronce doucement les sourcils et c’est là que je me rends compte qu’il n’a pas eu de tact en t’annonçant. Je secoue doucement la tête en te regardant. « Je suis désoler, je n’aurais pas penser qu’il aurait été brutale surtout a un moment de ta vie qui n’était pas joyeux. » Je me penche doucement pour m’approcher de toi. « C’est tout a fait normale que tu aies pété les plombs tu sais. Bien trop de chose t’es tomber sur le coin du nez d’un seul coup. Mais, regarde tu as été fort et tu as réussi a surmonté tout ça. » Je viens tout a coup me relever en ayant une petite idée, d’abord je regarde ma montre pour regarder l’heure qu’il est. Quand je vois que je ne vais pas tarder a débaucher je te souris en te regardant. « Dit moi, ça te dis qu’on bouge de cette pièce ou même de l’hôpital ? Je finis dans cinq minutes et si je la ratte ce n’est pas bien grave. Donc si tu veux que je te raccompagne ou qu’on aille ailleurs ça serait avec plaisir. » Je te regarde en te proposant ça, c’est vrai que j’aimerais bien en savoir un peut plus sur toi a part de se qui est écrit sur les papiers. « On peut aussi aller boire un verre je t’invite. Ca te tente ? » Je garde un sourire sur mes lèvres, un doux et tendre sourire, je voulais aussi te faire oublier tout ça, tout ce mal et même si tu as envie de m’en parler plus je serais a ton écoute comme je viens le faire. Ce n’est pas parce que je suis une amie de Daniel que je ne suis pas obliger d’écouter tout se que tu as sur le cœur. Par moment ça fait un bien fou. Puis je ne suis pas la personne méchante avec qui Daniel a passer ses trois jours. Si j’aurais su qu’il avait fait ça quand il est rentré je pense qu’il m’aurait vue débarquer sur le champ. Je trouve ça inacceptable en faite.
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Message(#)In order to succeed, we must first believe that we can • Liv EmptyJeu 12 Nov 2015 - 18:11

Parler avec Liv est très agréable. Ne serait-ce que parce qu'elle vient de m'annoncer une bonne nouvelle. Je ne peux donc que l'en remercier, finalement. Elle me dit qu'elle ne perd jamais espoir pour les personnes qui lui font face, qu'elle croit toujours au mieux. Une personne des plus positives, au final. Et je pense que c'est vraiment ce qu'il me faut en ce moment même. Un peu de tendresse et d'optimisme est réellement agréable. Je lui offre un sourire et hoche doucement la tête  «Eh bien, si tu le dis, je ne devrais pas douter de moi, pas vrai ? demandais-je en rigolant doucement avant d'hausser les épaules.  « Mais Merci Liv, vraiment, tu peux pas savoir à quel point ça me fait du bien d'entendre qu'au moins une personne dans ce monde croit encore en moi » je lui fait un petit sourire puis me passe une main dans les cheveux lorsque nous changeons de sujet.

Le sujet tabou que je n'ai plus évoqué depuis longtemps : Daniel. C'est, assez naturellement, que je raconte à Liv ce qui s'est passé après ma séparation de cet homme. Je ne sais pas pourquoi je le lui dit, peut-être est-ce simplement parce qu'elle à ce petit quelque chose qui fait que je lui accorde ma confiance la plus totale ? Sans doute, sinon je ne lui aurait jamais raconter ça. Elle semble réellement choqué. Mais c'est normal, non ? Qui ne serait pas choqué d'entendre quelqu'un parlé plus ou moins ouvertement d'une tentative de suicide ? Enfin, peu importe. Je garde le regard baissé tandis qu'elle me dit qu'elle n'approuve pas la rudesse de Daniel. J'hausse simplement les épaules et hoche doucement la tête lorsqu'elle me dit que c'est totalement compréhensible que j'ai pété les plombs car il y a eu tant de choses qui me sont tombé dessus d'un coup.  « Ouais, si on veut ...» soufflais-je.

Liv décide ensuite de changer à nouveau de sujet. Elle se lève, regarde sa montre puis me dit que son service ne va pas tarder à finir. Elle me propose de carrément m'embarquer pour que nous allons boir un coup ensemble. Je l'observe, puis hoche doucement la tête et souris  « Avec plaisir » je regarde autour de moi  «Mais … j'ai le droit de sortir ? » c'est une bonne question. Ce n'est que maintenant que je me rappelle que Liv est infirmière, donc elle peut m'y autoriser sans problème.

D'un commun accord, nous nous séparons le temps pour elle de se changer et de s'habiller en civil. J'en profite pour me rendre moi-même plus présentable et l'attends devant ma chambre. Ensemble, nous descendons dans la cafétéria où nous passons encore plusieurs heures à discuter de tout et de rien, avant que je ne sois obligé de remonter dans ma chambre. Nous nous jurons de garder contact, Liv me promet de venir me voir le plus souvent possible tant que je serais encore là.
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