ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180
TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS : SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
J’ai le coeur pris en étau dans mon stress, il bat et se débat pour sortir de la cage trop fine qui le retient et moi je suis en vrac, les mains moites et quand je pense que j’étais à ça de t’acheter des fleurs, je me dis que j’aurais dû parce que ça m’aurait au moins fait un support pour m’essuyer les mains. Aucune idée de pourquoi je stresse autant, c’est la énième fois qu’on se voit depuis qu’on se connaît et ça doit faire une demi-minute depuis la dernière, limite si je t’ai pas laissé foutre une brosse à dents chez moi, et ça pourrait être tout comme : quand t’es pas là je pense à toi, quand t’es là ta présence m’enivre et y a pas un moment où tu disparais tout à fait. Je suis devenue accro en moins de deux, sans une once de réflexion ou de moment de calme pour me raisonner. Tu me fais peur et pourtant, je te cède tout le terrain. Ca risque bien de me perdre, un jour, cette naïveté ; et peut-être que tu seras celle qui maniera l’épée au moment fatidique, mais pour l’instant ça me semble si lointain, si irréaliste que me laisser porter est beaucoup plus simple. Le seul stress que je ressens, il me vient de toi, de tes grands yeux qui avalent le monde et me couvent comme si j’étais unique, jolie, considérablement plus spéciale que je ne le suis vraiment. Ce regard-là, j’ai trop peur de le décevoir. J’arrive devant ta porte la nausée au bord des lèvres, la hâte de revoir ton visage, de retrouver tes bras, tes lèvres qui pétille jusqu’au bout de mes doigts pour les rendre quasiment insensibles. Un milliard de pensées me traverse simultanément l’esprit ; comme par exemple je ressemble à rien, ou encore que j’étais en soirée hier et je me suis foutue à l’envers et c’est très certainement visible, que toi tu seras sûrement sur ton trente-et-un, irréprochable, parfaite. Je repense au je crois que je suis amoureuse que j’ai envoyé et supprimé en deux minutes sans savoir si tu l’avais lu et en préférant imaginer que non. C’est plus safe, c’est surtout tout ce qui me retient de la syncope sur ton palier. Alors je toque à ta porte, je balance mon poids d’un pied sur l’autre, j’ai la bouche sèche, c’est peut-être l’alcool ou le mauvais pressentiment qui commence à poindre. Reine des illusions, je me dis que c’est le trop-plein de la veille. Je repousse les suspicions, ton silence depuis plusieurs jours, ma gorge que je sens se nouer comme si mon reptilien prenait le dessus et m’intimait de me casser, là, maintenant, tant qu’il en est encore temps. Il n’est peut-être pas trop tard pour arrêter, au fond - tout dire à Margot, puis à toi, espérer que tu me pardonnes, que tu passes au-dessus, parce que je suis certaine de jamais avoir vécu quelque chose d’aussi vrai et j’ai le mince espoir que ce soit ton cas, à toi aussi. J’entends que ça bouge derrière la cloison en bois et ça me prend toutes les fibres de mon être pour m’ancrer dans le sol et dans le moment, pas relâcher mes entrailles sur ton paillasson ou m’échapper dans la rue pour ne jamais plus te voir. Je crois bien qu’en ving-cinq ans, j’ai jamais rien fait d’aussi difficile.
don't you wanna take time and get to love me? we could build a perfect world, i got tricks i really want to show you. i could be your perfect girl, and when we grow older we'll still be friends, we'll still be lovers and won't fear the end. (c)flotsam.
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Back when we were still changin' for the better Wanting was enough For me, it was enough To live for the hope of it all Cancel plans just in case you'd call And say, "Meet me behind the mall" So much for summer love and saying "us" 'Cause you weren't mine to lose You weren't mine to lose, no
La notification avait brillé dans le noir de la pièce - ce message a été supprimé - j’avais été trop lente, je ne saurais jamais les mots qu’elle avait laissé échappé. J’avais tapé sur Google comme une furie “comment récupérer un message supprimé”, mais c’était impossible, il ne me restait plus que l’incertitude, un sentiment que je connaissais bien et que je ne supportais que très mal. Plus tard, quand j’avais fait cette soirée et que j’avais parlé avec cette petite blonde aux nombreux piercings qui brillaient dans la lumière du bar, et que la réalité était venue s’écrouler sur moi et ouvrir le sol sous mes pieds, je m’étais dit : c’était de ça dont son message parlait, pas vrai ? Elle comptait me l’annoncer et elle avait été trop lâche ? Comment était-ce possible ?
Ce n’est pas possible, me répétai-je, pas possible, pas possible, pas possible. J’avais appelé Ysis en pleurant, mes sanglots dilués dans les trop nombreux verres que j’avais bu pour supporter une telle nouvelle. J’avais dû rêver. Ce n’était pas possible.
« Oh, tu la connais ? » J’avais demandé à ma voisine de table avec qui je venais de faire connaissance, pointant du bout des doigts une silhouette sur le fond d’écran de son téléphone qui montrait une photo de groupe d’une dizaine de jeunes femmes en soirée. J’avais reconnu de suite les cheveux de Mac, son sourire - elle était appuyée contre une autre jeune femme qui souriait et la tenait par les épaules. « Qui, Mac ? Oui, bien sûr, c’est la petite-amie de ma pote Margot. Tu la connais aussi ? »
“La petite-amie de ma pote Margot.” La petite-amie.
Les rires sous la couette, ses cheveux qui se prennent dans mes lèvres, les burgers que l’on mange devant la télé, les longues balades la nuit, les étreintes qui ne s’arrêtent jamais, l’impression de flotter en l’air quand je tenais sa main.
“La petite-amie de ma pote Margot.” La petite-amie.
Le monde entier s’était mis en pause, les jours disparaissaient les uns dans les autres, je perdais la notion du temps, j’essayais de rester occupée, de faire sens d’une équation qui me paraissait impossible. Je retardais l’échéance, l’explication, la dispute, la rupture - pouvait-on rompre avec quelqu’un qui ne sortait visiblement pas avec nous ? - et la fin, toujours la fin, encore la putain de fin. Après ces cailloux jetés, ces confessions que l’on s’était faites, la vulnérabilité à vif qui piquait qu’on s’était montré. Et elle était ”la petite amie de ma pote Margot.”
Deux coups contre la porte. Je ne pouvais plus reculer. J’avais envie de fondre en larme, encore, parce que ce n’est pas possible, pas encore, pas une nouvelle fois, j’avais envie de me couper un bout du cœur tellement il était nécrosé de cet énième échec amoureux.
Elle était aussi intense que moi, pour une fois. Je croyais que… ”La petite amie de ma pote Margot.”
J’ouvris la pote et la regardai. Elle avait une tête affreuse - ou est-ce que tout à coup je ne la trouvais plus belle, maintenant que je savais ?
Je m’écartai et la laissai rentrer sans rien dire, récupérant mon verre de table sur la table, continuant de le boire, faisant quelques pas dans la pièce. J’avais envie qu’elle se sente mal, qu’elle se sente coupable, qu’elle sente la vague monter, prête à l’happer. J’avais mis une de mes robes préférées, je m’étais bien coiffée, comme pour me donner consistance, une armure qui ne tiendrait pas très longtemps. Je me connaissais. J’allais encore être ridicule, pleurer, hurler. Je voulais tellement être différente, être forte, ne pas avoir mal. Je m’installai sur mon canapé.
« Je crois que tu as quelque chose à me dire, non ? » Je lâchai en la fixant droit dans les yeux, essayant de la foudroyer sur place d’un seul regard.
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
:
Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180
TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS : SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
Je sais même pas comment j’ai fait pour retenir ma bile et pas tout vider sur ton perron. Je ne suis que boule de stress et d’appréhension, mes mains moites tremblent alors que je viens taper à la porte, je suis sur mon trente-et-un mais mon envie la plus primaire est de retourner dans un pyjama devant les Razmockets pour faire une bonne session de régression en solo sur mon canap. Je sais même pas pourquoi je suis assaillie à ce point par les doutes : à tous les coups t’es tranquille à te préparer dans ta salle de bains en m’attendant, tu soupçonnes même pas que je t’aie envoyé un message, ou alors t’as juste eu la notification de suppression et, au fond, ça veut tout et rien dire. T’as pensé que j’étais bourrée, que je m’étais trompée de destinataire peut-être, c’est des choses qui arrivent et de toutes les manières tu t’en fous sûrement, parce que tu peux pas être aussi prise de tête que moi, tu peux pas t’accrocher à des chimères ou à des smileys coeurs autant que je le fais quitte à te monter le bourrichon pendant trois jours. C’est certain : tout va bien, je me fais défoncer les boyaux par mon stress mais le reste du monde est à sa marche habituelle et rien ne dépasse, rien ne cloche. Puis t’ouvres la porte et le reste du monde m’envoie chier, le reste du monde s’effondre. Je remarque même pas les cernes sous tes yeux rougis ni ton air tendu, je capte juste qu’il faut absolument que je m’accroche à ta veste sur le porte-manteau si je veux pas valser comme si je glissais sur une serpillière ; mes jambes sont en coton mauvaise qualité et le reste de mon corps est secoué de trémolos d’alcoolique que je ne contrôle pas. « Ah ouais, tu bois avant même le rencard ? » La voilà, ma voix mal assurée qui ressort des limbes, ma voix de petite meuf qui fait genre tout va bien t’inquiète, qui masque ma détresse comme je peux parce que je commence à capter ton silence et à me sentir si petite, trop petite dans celui-ci. J’étouffe et je m’attends à ce que tes prochaines paroles me fassent respirer, enfin, même si c’est douloureux ; mais c’est tout l’inverse, elles me prennent de court et me font l’effet d’un poing dans le ventre. Je me doute de la fin, même si je n’ai aucune idée de quoi tu parles : je pense qu’on le sait toutes les deux et qu’on retarde l’échéance. « Je– » Rien d’autre ne sort, échec, abort mission, je m’humecte les lèvres et je me passe une main sur le front, l’air pensif : « Oh. Le message ? » Je me sens complètement conne, les pensées sont embrumées et putain, regarde-moi, pourquoi tu me regardes pas, impossible de lire quoi que ce soit dans ces yeux baissés sur ton verre, j’ai envie de me foutre le feu si ça veut dire que tu me regarderas enfin. Elles me manquent, nos étreintes qui pensent à rien mais qui signifient tout ; et elles non plus, je comprends pas où elles sont passées. J’en pleurerais de fatigue. « Je suis désolée. T'as raison, je me suis emballée, c'était nul comme truc à faire et tu méritais que je te le dise en face, mais je sais pas, j'ai été lâche, ça m'a fait peur et je suis pas douée pour gérer ça, ou en fait j’aurais rien du te dire du tout, je sais même pas. » Tu refuses toujours de me regarder et j’ai envie de prendre ton visage dans mes mains pour le relever, pour te forcer à croiser ton regard, pour toucher tes joues et t’embrasser, tout doucement, rien que pour sentir ton contact. « J’aurais rien dû dire ? » j’insiste, je te lâche pas du regard pendant que tu fuis le mien, le désespoir commence à poindre dans ma voix mais je m’en fous, je suis plus à ça près. Je suis à ça de chialer parce que j’ai l’impression que te confier mes sentiments t’a fait fuir, je me dis que c’est ma volubilité qui te fout dans cet état et qui te repousse loin de moi, et je comprends que j’ai merdé royalement. Sur plus d’un chef d’accusation. « Mais j’le pensais, tu sais. » Foutue pour foutue, je décide de venir me poser à côté de toi et c’est à mon tour de baisser les yeux, de fixer mes rétines sur mes mains pâles qui tremblent, à chercher des pigments là où il n’y en a pas avec un intérêt soudain démesuré - tout pour ne pas te voir toi. « Je crois même pas, en fait. Je sais. Je suis amoureuse. » Mes yeux se sont plissés sans que je le remarque mais quand je les rouvre, les fenêtres n’ont pas explosé, un raz-de-marée géant n’a pas emporté les tours à l’extérieur, la faucheuse n’est pas dans ton encadrement pour venir me récupérer. « Putain, c’est complètement nul à chier. J’suis désolée. » Pour tout. Pour ça, et mille autres choses encore.
don't you wanna take time and get to love me? we could build a perfect world, i got tricks i really want to show you. i could be your perfect girl, and when we grow older we'll still be friends, we'll still be lovers and won't fear the end. (c)flotsam.
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
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MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Back when we were still changin' for the better Wanting was enough For me, it was enough To live for the hope of it all Cancel plans just in case you'd call And say, "Meet me behind the mall" So much for summer love and saying "us" 'Cause you weren't mine to lose You weren't mine to lose, no
Mac avait l’air fébrile, mal à l’aise, et je jubilais presque d’avoir l’ascendant, pour une fois. Pourtant, au fond, je sentais que l’on pulvérisait mes entrailles, il y avait des morceaux de coeur explosés jusque dans mes poumons ; j’inspirai et ça me faisait mal de sentir ma poitrine se gonfler.
« Je– Oh. Le message ? » Mes yeux se perdaient dans le fond de mon verre, et je m’entends avoir un petit rire sec. Le message ? Très bien, puisqu’elle voulait être lâche jusqu’au bout, on pouvait continuer à tourner autour du pot. Le message ? Non, Mac, pas le message. Ta putain de meuf. « Je suis désolée. T'as raison, je me suis emballée, c'était nul comme truc à faire et tu méritais que je te le dise en face, mais je sais pas, j'ai été lâche, ça m'a fait peur et je suis pas douée pour gérer ça, ou en fait j’aurais rien du te dire du tout, je sais même pas. » J’avais l’impression de flotter hors de moi, tellement bouillante de colère que j’en devenais glaciale, déconnectée. Non mais… C’était les excuses les plus confuses et les plus pitoyables que j’ai jamais entendues, tellement que j’avais même du mal à me dire que cette conversation était relle.« J’aurais rien dû dire ? »
Cette fois-ci, je relevai la tête, comme piquée par un insecte. Non mais ? Elle se foutait de moi ou quoi ?
« Non mais t’es sérieuse ? Bien sûr qu’il fallait le dire ! » Je ne comprenais pas sa réaction, comme si nous étions toutes les deux dans deux réalités très différentes. Pire encore, elle s’installa à côté de moi sur le canapé. « Mais j’le pensais, tu sais. Je crois même pas, en fait. Je sais. Je suis amoureuse. »
Le sol s’effaça sous mes pieds. Elle m’avait envoyé un message pour me dire qu’elle était amoureuse d’une autre meuf ? Quoi ?! Mais qui faisait ce genre de move ?! Mac n’était pas simplement lâche, elle était carrément cruelle, ce n’était pas possible, comment avais-je pu me tromper autant sur toute la ligne ?...
« Putain, c’est complètement nul à chier. J’suis désolée. »
Et tout à coup, quelque chose cliqua en moi, et je compris. Je compris pourquoi Mac avait l’air plus gênée que coupable, pourquoi ses mots paraissaient étranges, qui ne collaient pas à la réalité, pourquoi le son et l’image semblaient décalés depuis le début de la conversation : ce n’était pas de sa copine dont elle me parlait. C’était de moi.
Elle m’avait envoyé un message pour me dire qu’elle m’aimait. Moi.
J’éclatai de rire sous le coup de la surprise, l’incongrue de la situation.
« Mais tu te fous de ma gueule ? » J’avais l’impression d’être dans un mauvais épisode de sitcom. Je me tournai vers Mac, mon visage fermé, dur. « Tu m’as envoyé un message pour me dire que tu étais amoureuse de moi ? » Je me levai du canapé, agitée, mes mains virevoltant comme des oiseaux. « Tu n’es pas amoureuse de Margot, plutôt ? » Le voilà le déclic : son regard s’éteignit, je sentis que quelque chose s’écroulait dans son estomac. Je la regardai, inquisitrice. « Ah oui, tu avais oublié de me le préciser ça ? Et en plus tu as l’audace de m’envoyer des déclarations d’amour ? De les supprimer ? Et tu viens chez moi et tu t’assoies sur mon canapé et tu me dis que tu es amoureuse de moi alors que tu as une copine ? Je te jure Mac, dis moi que c’est un malentendu ? »
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Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180
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MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
Back when we were still changin' for the better Wanting was enough For me, it was enough To live for the hope of it all Cancel plans just in case you'd call And say, "Meet me behind the mall" So much for summer love and saying "us" 'Cause you weren't mine to lose You weren't mine to lose, no
Peu à peu ça me vient : t'as l'air en colère, enragée même, je sors ma logorrhée et tu poursuis avec ce même air furax. Je pensais jamais te voir comme ça, mais j'ai une envie brûlante de te saisir les épaules et de te secouer, de claquer des doigts sous ton nez, juste pour avoir une réaction ; je suis à ça de me foutre à genoux, genre pitié dis-moi un truc, pitié me laisse pas me noyer dans ma peur, pitié sauve moi même en m'envoyant gentiment me faire foutre histoire que je passe à autre chose. Mais j'étouffe, je me sens oppressée et je continue mon laïus diarrhéique, m'enfonçant un peu plus à chaque fois que je cherche la rédemption. Je suis amoureuse : ça tombe comme un cheveu sur la soupe, une fiente de pigeon au milieu d’un met délicat, je m’imagine déjà tout gâcher avec ma révélation mais même là je suis trop loin du vrai. Le nom de Margot arrive à traverser l'épais brouillard qui forme un rempart autour de mon cerveau et il me baigne d'un coup, me sort de mon anxiété latente comme une douche froide. Puis le rêve s'arrête, d'un coup. Je me prends la réalité en plein dans les chicots. Je la mérite. « Comment tu – » Je démarre, puis je m'arrête, ça tourne trop vite trop fort y a trop de choses d'un coup, et puis je réalise que savoir comment tu l'as su ou qui m'a trahie m'importe peu. Tu allais finir par le savoir, à un moment ou un autre. Notre idylle arrivait à la fin de sa folle course. Mais ça rend pas la réalisation moins brutale, moins percutante, j'ai l'impression de passer sous un bus, d'être mâchée puis recrachée. La nausée grimpe. Le vertige prend. Je me prends tout en pleine gueule et je n’ai rien à dire pour ma défense, parce que c’est indéfendable. « Je… » T’agites tes mains et tu poursuis puis d’un coup tu t’interromps. A mon tour, je comprends : à mon tour, et rien ne vient. Alors, je sors le mensonge le plus pitoyable que je peux trouver : « C’est pas un malentendu », j’admets. Je déglutis plus fort que je pensais possible de déglutir. « J’allais la quitter. » J’ai toujours compté la quitter et je l’ai jamais fait. Dans quel monde ça peut valoir ? Aucun, même moi j’y crois pas. « Je- je pensais pas que ça arriverait, Marceline. » Je peux pas prétendre que toutes ces meufs Tinder d’un soir étaient une totale surprise - j’ai toujours été comme ça, avec Margot ; dès l’instant où j’ai vu le regard déçu et défait de Spencer quand je lui ai dit que j’avais quelqu’un de sérieux. Ca a brisé la relation avant même qu’elle commence, et moi je me suis engouffrée dans la brèche. « T’es arrivée, puis y a eu tout ça. » Tu m’as complètement foutue en l’air, Marceline, et j’ai fait semblant de rien voir venir. Jusqu’à plus pouvoir. « Et je te jure, je te jure que je voulais pas que ça se passe comme ça, je voulais pas te cacher un truc aussi important, et encore moins te donner l’idée que je me fous de ta gueule. » Ca me gratte la gorge de façon caractéristique, ça y est, je vais me remettre à chialer, c’est insupportable. « Parce que je te jure que je le pense. »
don't you wanna take time and get to love me? we could build a perfect world, i got tricks i really want to show you. i could be your perfect girl, and when we grow older we'll still be friends, we'll still be lovers and won't fear the end. (c)flotsam.
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Back when we were still changin' for the better Wanting was enough For me, it was enough To live for the hope of it all Cancel plans just in case you'd call And say, "Meet me behind the mall" So much for summer love and saying "us" 'Cause you weren't mine to lose You weren't mine to lose, no
J’aurais du être habituée. Les remarques glaciales, la colère, les pleurs, ces émotions si fortes et si dramatiques qui nous prenaient et nous rejetaient comme le ressac de l’océan - l’océan, celui dans lequel on avait lancé des cailloux, ce premier soir où j’avais cru rencontrer une personne différente, une petite perle brillante au milieu du sable. Ce n’était pas la première fois que je vivais ces moments, ces déceptions, je les collections comme des mauvais trophés, et pourtant, à chaque fois, c’était dur, plus dur même que la fois d’avant car je ne cessais de me dire que je n’en pouvais plus, que c’était la fois de trop.
J’avais déjà été trompé, mais je n’avais jamais été l’autre femme, celle avec qui l’on trompe, celle qui ignore qu’elle n’est pas la relation principale.
« Comment tu – » J’avais envie d’hurler. Comment je sais ? Ah, évidemment, c’est la première question, la surprise. Elle ne se défendait même pas. « La moitié des lesbiennes de Brisbane se connaissent entre elles, tu pensais vraiment que ça m’échapperait ?! » Je balançai, acide.
C’était donc vrai - j’avais le vertige, mes derniers espoirs pulvérisés.
« C’est pas un malentendu. J’allais la quitter. Je- je pensais pas que ça arriverait, Marceline. »
Eh voilà. Bien sûr. Elle allait la quitter pour moi. Mes poumons se remplissaient d’eau, je me noyais, serrant la machoire pour empêcher la moindre larme de couler. Je ne voulais pas craquer, je voulais oublier tout cet incident affreux, que Mac n’ait jamais existé, que je ne m’en sois pas entichée avec autant de force.
« La quitter pour moi ? Et espérer que je ne l’apprenne jamais ? Super, notre relation aurait commencé sur une base solide et saine, » ironisai-je.
J’étais toujours debout, et je me resservis un verre de vin que je bus quasiment d’une traite. J’avais envie d’être ivre, de ne pas ressentir l’énorme trou dans ma poitrine ; je détestai la position dans laquelle me mettait Mac, quoi, j’allais devoir être celle qui décidait si elle plaquait sa copine pour moi ou si je voulais que l’on arrête ? Evidemment Mac voulait se débarasser du mauvais rôle…
«T’es arrivée, puis y a eu tout ça. Et je te jure, je te jure que je voulais pas que ça se passe comme ça, je voulais pas te cacher un truc aussi important, et encore moins te donner l’idée que je me fous de ta gueule. Parce que je te jure que je le pense. »
« Et je fais quoi avec ça moi, Mac ?! » explosai-je. C’était trop, trop d’émotions, trop de colère, trop de chagrin ; je n’arrivais plus à me retenir et je sentais que je me mettais à pleurer, stupidement, avec rage. « Tu m’aimes ? Tu ne voulais pas me cacher ça ? Eh bien tu l’as fait ! C’est trop tard maintenant ! Je suis censée faire quoi, tout pardonner, te dire vas-y, plaque la, pars avec moi ? » J’hoquetai, tentant vainement de reprendre contenance.
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
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Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180
TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS : SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
Back when we were still changin' for the better Wanting was enough For me, it was enough To live for the hope of it all Cancel plans just in case you'd call And say, "Meet me behind the mall" So much for summer love and saying "us" 'Cause you weren't mine to lose You weren't mine to lose, no
Tu m’en veux, ton regard me cible et tes mots m’arrivent en plein coeur ; tout ça, je le mérite, et tout me tombe dessus parce que jusqu’à présent, j’ai refoulé la culpabilité au plus profond de moi-même jusqu’à ne plus y penser. « Je te l’aurais dit, Marceline, j’suis pas complètement conne non plus. » Mais on pourrait croire, quand on regarde le bilan. On pourrait croire parce que je fais rien pour détromper l’idée : j’ai eu mille et une occasions de te le dire, tout autant de façons de le faire ; j’aurais pu me montrer honnête, peut-être que ça aurait aidé à réparer la chose. J’aurais pu t’en parler dès le début. Mais je trouvais toujours une excuse : c’était pas le bon moment, t’étais déjà fatiguée et attristée par une semaine à la con, moi j’avais trop à faire et j’avais juste envie de profiter de ta présence. « Merde, j’te demande rien, c’est moi qui ai fait une connerie ! » Je sais même pas pourquoi je m'énerve. Parce que j'ai rien fait pour éviter tout ça, sans doute, et que je vois dans tes yeux qu'un truc s'est irrémédiablement brisé et que c'est de ma faute à moi. Faut que tu comprennes, Marceline, personne dans ma vie ne compte sur moi au point d'être déçu. « Tu penses que c’est à toi de choisir ? Ouais, c’est à toi de choisir. C’est de la merde, j’suis désolée, mais c’est comme ça. Tu peux pardonner ou pas, j’peux pas décider ça pour toi. » Mes épaules se courbent encore plus parce que le poids de ma connerie y pèse. Le sol se dérobe sous mes pieds et j’ai rien à quoi me retenir sinon ton regard qui me transperce. « Mais je vais la quitter, quoi que tu décides de faire, parce que ça a jamais - » Ca a jamais été rien, elle et moi. Margot, ça aura été une distraction pour l’une comme l’autre avant qu’on ne s’enfonce dans un quotidien confortable duquel on n’a plus su sortir. Je saurais même pas dire si on s’aime vraiment, ou si on aime l’idée de pas avoir à galérer seules. Et pourtant, quand je m’imagine sa réaction à l’aveu de ma tromperie, je ne la vois qu’effondrée, détruite dans son estime, et j’ai envie de me plonger dans une marmite bouillante pour m’en punir. « Ca a jamais marché avec elle. » Pas comme avec toi, je sous-entends sans jamais le dire, parce que je sais que tu serais pas d’accord ; non, ça marche pas entre nous non plus parce que tout était pourri et biaisé d’entrée de jeu. « Ça a commencé pour toutes les pires raisons, même. » Pour rendre Spencer jalouse, pour essayer de la faire réagir d’abord, puis pour l’oublier ensuite, après son départ pour Sydney. Et si je fais une rétrospective sur ces quatre ans, ma relation a toujours été centrée autour de ce même fantôme. Je ne suis pas sûre qu’avec toi, ce soit différent. Un ange passe et je le laisse tourner, incapable de trouver mes mots ou même de mettre de l’ordre dans mes pensées. « J’sais pas quoi te dire », je lâche enfin. Je sais que toi non plus. Et t’as peut-être raison, quand tu me dis que je me dédouane. C’est à moi d’éclaircir la situation, de l’arranger ou d’y mettre un terme. Je vais vomir par terre. « J’ai merdé. J’aurais dû mieux m’y prendre. » Je t’ai pas vue venir et j’ai rien géré du tout, et pourtant l’excuse ne se vaut que jusqu’à un certain point : t’es pas la première avec qui je trompe Margot, t’es juste la première qui compte. « J’peux partir, si tu veux que j’parte. »
don't you wanna take time and get to love me? we could build a perfect world, i got tricks i really want to show you. i could be your perfect girl, and when we grow older we'll still be friends, we'll still be lovers and won't fear the end. (c)flotsam.
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Back when we were still changin' for the better Wanting was enough For me, it was enough To live for the hope of it all Cancel plans just in case you'd call And say, "Meet me behind the mall" So much for summer love and saying "us" 'Cause you weren't mine to lose You weren't mine to lose, no
Bien que mon cœur batte à 100% à l'heure, le temps autour de moi s'était ralenti et je sentais sa consistance contre ma peau, douloureuse consciente de chaque seconde qui passait. C'était toujours ainsi lorsqu'une de mes relations explosait, quelque chose compressait les grains de l'immense sablier du temps et je les regardais tomber à l'infini ; devant moi, les différents chemins se traçaient. Je savais que chaque décision que je prenais, dans ces instants critiques, pouvait changer radicalement la suite de ma vie. Pendant longtemps, j'avais refusé catégoriquement les ruptures, j'avais ridiculement dit "non" lorsqu'une petite-amie m'annonçait qu'elle souhaitait que l'on se sépare. C'était impensable, pour moi, d'effacer un futur que j'aurais pu vivre avec quelqu'un que j'aimais. Avec du recul, j'avais presque envie de rire de ma naïveté, de mon insolence à croire que je pouvais tout simplement refuser que l'on me quitte, comme s'il s'agissait d'une question ouverte. J'avais honte, aussi, des supplications que j'avais pu faire, demandant à ce que l'on reste avec moi, comme un enfant qui faisait un caprice, suppliant d'être aimée. Il n'y avait pas pire sentiment.
Alors je regardais Mac, ses longs cheveux bruns, son regard que j'adorais, et dans lequel je voulais me perdre jusqu'à que les années défilent sans fin. Et je voyais, dans ce regard, les chemins qui s'offraient à moi, avec elle, sans elle, ce que notre relation pourrait devenir. La façon dont nous pourrions nous tenir la main, et le rire absent de ma mère lorsque je lui aurais présenté Mac lors d'un dîner, et le blanc lumineux d'une robe de mariée qu'elle aurait porté tandis que je remontais l'allée aux bras de mon père. C'était peut-être ridicule, mais je voyais sincèrement tout cela, tout ce que je désirais construire avec quelqu'un, enfin cette connivence incroyable, appartenir à l'autre, faire sa vie avec quelqu'un.
« Je te déteste de me faire faire ça, » murmurai-je d'une voix étranglée.
La colère s'était atténuée, laissant place à une tristesse qui prenait toute la place dans mes poumons, parce qu'en voyant notre futur, je voyais cette immense tâche que laisserait la trahison de Mac, l'impossibilité que j'aurais à la croire à présent. Cette confiance, si vitale pour moi, brisée en mille morceaux alors qu'elle se construisait à peine. Comment pouvais-je imaginer former une unité avec quelqu'un qui avait commencé notre relation en formant une unité avec quelqu'un d'autre ? Je me connaissais trop bien, ma possessivité, ma jalousie et ma fierté, c'était incompatible avec le reste, bien sûr. Je ne pourrais pas rester avec Mac. Je le savais.
Je retenais mes sanglots, partagée entre l'envie de rester fière, et celle de montrer à Mac combien elle me blessait, juste pour qu'elle se sente mal, par pure vengeance.
« Je ne te pardonnerais jamais. C'est toi qui a brisé ton propre cœur, pas moi, » ajoutai-je, amère. Je sanglotais malgré moi. « Je veux que tu partes. C'est fini. Tu as tout gâché. »
Je repensais à ces cailloux que nous avions jeté en hurlant dans la baie, ce soir-là où nous nous étions embrassés pour la première fois. À présent, mon coeur s'était chargé d'un nouveau poids, et je rêvais de jeter dans l'eau un énorme rocher en hurlant : « pourquoi tu m'as demandé de te briser le cœur alors que tu as brisé le mien et le tien en premier ? »
Mais cette fois-ci, je serais seule.
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