Tout est fait pour me désorienté mais surtout pour passer une nuit des plus inoubliable. Une nuit rien qu'à nous. Je t'ai promis en début de soirée que tu n'allais pas être déçu mais surtout que c'était ta soirée. Soirée que j'allais faire des plus parfaite, enfin parfaite est un mot bien trop grand pour ça. Mais ne je ne voyais pas pourquoi c'était toujours les soirées de ton meilleur ami et toi qui rentre souvent seul ou a le faire tenir debout. Cette fois, c'est toi qui le laisse en plan pour une jolie jeune femme, c'est toi qui a tout la nuit a te consacré. On se rend compte que l'un comme l'autre nous voulons la même chose a l'instant même ou nous avions quitté le bar. Bras dessus dessous, nous sommes arrivé jusqu'à mon appartement. Appartement qui devient vite un terrain de jeu adulte. Les baisers, les caresses, ses soupires de plaisir qui se font entendre. Nos corps qui se colle l'un a l'autre. Puis cette petite pointe d'humour que tu mets a chaque fois. Tout ça est que plaisir. Nos vêtements volent, et le plaisir charnelle ne se fait tarder. T'es mains sur mon corps, t'es baisers sur ma peau mais aussi contre mes lèvres. A ce moment précis je ne pense plus à rien, plus qu'à notre relation purement sexuelle. Une relation qui nous fait un plaisir fou. L'un comme l'autre sommes malgré tout belle et bien conscient de cette nuit. Nous avons quand même de l'alcool dans le sang mais nous sommes des adultes consentent. Adulte qui ne regarde pas l'âge, ni même les problèmes. Adultes qui ne pensent juste a se libéré l'esprit...

Après cette nuit folle, nous nous sommes l'un et l'autre endormi. J'ai, par réflexe, passer la nuit contre toi, par autour de moi tête sur ton torse. C'est seulement au petite matin en ouvrant les yeux que je me suis surprise a avoir une migraine tellement forte qui est peut supportable. En m'allongeant sur le dos je me suis rendu compte que tu ne t'es pas enfuis. Sa aurait pu être le cas mais je me suis réveiller avant toi. Me levant du lit le plus discrètement possible, prenant ta chemise que je mets sur mon dos puis je nous fais un petit cocktail d'aspirine, pensant que toi aussi tu te lèverais une migraine. Ce qui n'est pas louper vue que tu me rejoints peut de temps après.

Inconnu nous deux ? Je ne dirais pas ça. Ce n'était pas la première fois que l'on ce voyait mais c'est surtout la première fois qu'on se laissait aller l'un a l'autre. Première fois qu'on n'hésite pas a se moquer de nos troches mutuelles. De nos maux de tête, de dire clairement qu'on a trop picoler mais aussi d'avouer que la nuit n'était désagréable l'un comme pour l'autre. Ce revoir ? Je pense oui, ce n'est pas parce qu'on a passer une nuit ensemble qu'on ne se reverrait pas. Je suis bien capable de pointé mon nez a ta galerie et de rester moi-même.

Fin du sujet