| (finnley & lara) sorry the midnight hour was a few minutes ago |
| | (#)Mer 20 Avr 2022 - 15:54 | |
| ≈ ≈ ≈ {sorry the midnight hour was a few minutes ago} crédit/(velouriawrites & ssoveia) ✰ w/ @Finnley Coverdale C'est officiel, tu vis la nuit. C'était déjà le cas avant l'ouverture de Paradise City mais c'est encore plus le cas depuis le mois de février et cette Saint-Valentin plus que mouvementée. Si tu te fiches bien de célébrer l'amour, il faut dire que tes nuits sont bien remplies depuis que le club n'est plus un secret entre Izzie et toi, pas juste un murmure au détour d'une conversation, mais quelque chose de bien concret et de réel. Tellement réel que tout ton travail n'est pas fini et que toutes tes nuits ? Elles sont passées au club, de 17h à 07h du matin, tu es au club, sans aucune hésitation, sans vraiment compter les heures et sans te dire que tu en fais trop. C'est ton boulot, c'est l'endroit où tu te sens le plus en sécurité et tu fais de ton mieux pour ignorer le fait que tu n'as pas vraiment envie de rentrer chez toi et de continuer de marcher sur des œufs avec Evelyn. Du tout en réalité, il n'est pas plaisant de planifier tes sorties en dehors de ta chambre ou de te dire que tu ne sauras pas quoi dire devant ta cousine, t'excuser ou continuer de faire la fière, attendre qu'elle vienne vers toi ou mettre fin à tout cela et chercher un autre endroit où vivre ? Tu n'en sais rien, tu n'as pas envie de te pencher sur la question, plus tu repousses le moment et plus ta dernière conversation avec Evelyn parait moins réelle et plus tu peux te concentrer sur le club. Des chorégraphies aux tenues de scènes, aux clients zélés à ceux qui pensent qu'ils vont pouvoir avoir des réductions pour une danse privée, ce n'est pas de tout repos, et vous pouvez avoir une dizaine de clients comme une cinquantaine, il y a toujours quelque chose à faire. Toujours. Et tu repousses encore plus le moment où tu dois rentrer chez toi entre les cours de danse que tu donnes, les déjeuners avec ton père, ou les pauses café avec Finnley. Cela t'étonne que le jeune homme soit venu à la soirée d'ouverture, cela te surprend quand il finit par répondre à un de tes messages, ou même lorsqu'il te regarde froncer les sourcils quand il commande du café et que tu te contentes de boissons chaudes trop sucrées pour le commun des mortels. Et cela te laisse un peu perplexe quand vous discutez et que tu lui parles du club et qu'il partage un peu sur sa vie, qui est presque aussi désorganisée que la tienne. Peut-être que cela te rassure, encore une fois, tu ne sais pas pourquoi tu continues de lui parler et c'est encore plus le cas ce matin. Il est tôt, le centre commercial vient à peine d'ouvrir pour les plus curieux, tu sors tout juste des vestiaires de Paradise City. Tu as un sac sur les épaules, ton maquillage enlevé depuis longtemps, la preuve en est avec les légères cernes que tu as sous les yeux et tu n'es pas dans une tenue de scène mais dans ta veste en cuir et t-shirt à l'effigie de Led Zeppelin qui a connu de meilleurs jours, le vêtement trop grand et te retombant jusqu'au genou, cachant ton short en jean en dessous. Tu ne t'es même pas embarrassée avec des talons pour une fois, tes Doc Martens sont plus confortables et tandis que la queue avance, tu fronces les sourcils, pour te réveiller, jetant un coup d'œil à Finnley. "C'est moi ou tu gagnes un centimètre de cheveux à chaque fois qu'on se voit ? J'espère que tu ne caches pas trop de secrets, Ariel, je crois que je ne suis pas assez réveillée pour les entendre." Oui, c'est ta façon de faire la conversation, tu es mauvaise dans le domaine et cela ressemble plus à une pique qu'autre chose, tu supposes qu'il sait à quoi s'attendre maintenant et que si cela lui déplaisait vraiment, il serait parti. Est-ce qu'il est maso ? Tu n'as pas le temps de lui poser la question, lui demander s'il a des menottes ou un fouet chez lui que c'est votre tour. Votre tour de faire face à l'employée en uniforme et tu poses ton sac sur ton comptoir, te massant les tempes pour chasser la fatigue au loin, avant de répondre. "Bonjour, il va me falloir un grand milkshake à la vanille et la boite de 12 donuts... je me fiche de savoir lesquels, je veux juste 12 donuts." Du sucre, voilà ce qu'il te faut, beaucoup de sucre, peu de question mais du sucre. "Oh et ce qu'il veut." Coup de main dans la direction de Finn avant que tu ne commences à fouiller dans ton sac, à la recherche de quoi payer. Tu ressors une pile de petites coupures assez conséquente, une partie des gains de la nuit précédente. Juste une partie. "Je sais que je l'ai déjà dit mais si tu veux des donuts commande-les maintenant, je n'ai pas l'intention de partager." |
| | | ÂGE : trente-sept ans, outch (huit août). SURNOM : finn. ariel, aussi, par une certaine grande gueule, il ne valide pas. STATUT : marié depuis deux ans à leslie, suite à une soirée trop alcoolisée. pas pressé de divorcer pour autant. MÉTIER : agent d'entretien au paradise city la moitié du temps, agent de sécurité au casino l’octopus l’autre moitié. LOGEMENT : #406 montague road (west end), en colocation avec cecilia. pour le meilleur, mais surtout pour le pire. POSTS : 10142 POINTS : 180 TW IN RP : alcoolisme, parent toxique, parentification adolescente, emprisonnement, deuil (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mère emprisonnée, père décédé, jumelle rejetée, cadette expatriée : beau schéma familial ≈ contraint d’arrêter ses études pour élever sa petite sœur, il regrette encore d’être passé à côté de ses rêves et envies ≈ a un chien, wernicke, âgé de dix-sept ans, borgne et amputé d’une patte, mais pas (encore) à l’article de la mort ≈ a un sérieux penchant pour l’alcool depuis plusieurs années, décide enfin de se reprendre en main fin 2021 ≈ très curieux, a toujours une soif d’apprendre inépuisable ≈ bienveillant et gentil ou distant et franc, il ne fait pas dans la demi-mesure avec les autres. CODE COULEUR : finnley économise ses mots en darkmagenta. RPs EN COURS :
coverdales ⊹ hey brother, there's an endless road to rediscover. hey sister, know the water's sweet but blood is thicker.
sinn #1 ⊹ and there's no remedy for memory, your face is like a melody, it won't leave my head, your soul is haunting me and telling me that everything is fine.
(04/06 - whoops, il a VRAIMENT besoin d'amis) › cecilia #3 › ezra #2 › leslie #1
RPs EN ATTENTE : samuel › RPs TERMINÉS : (2003) evelyn (2005) matt › jill #3 (2014) zoya#1 (2015) zoya #3 (2016) cora #1 (2017) lydia › lou › cynthia › lou #2 › vittorio › cora #2 (2018) bryn #2 › lou #3 › bryn #3 › jack › cora #3 › jameson › jill #1 › lonnie › lou #4 › cora #4 › kane (2019) charlie › romy › jill #2 › cora #5 › jeremiah › danika (2020) lou #5 › lou #8 › jill #4 › raelyn › lou #6 › jill #5 › lou #7 (2021) molly › lara #1 › scarlett #1 › caitriona #1 (2022) scarlett #2 › joseph › edge #1 › paradise city › lara #2 › edge #2 › evelyn #2 › jenna #1 › amos #1 › madison #1 › lara #3 › edge #3 (2023) tessa #1 › raelyn #2 › jules #1 › corey #1 › zoya #2 › adèle #1 › archie #1 › cecilia #1 › madison #2 › jenna #2 › ezra #1 › cecilia #2
RÉALITÉS ALTERNATIVES : event halloween › sujet commun (df) › clément (df) › lucia (ds)
ABANDONNÉS : saul › bryn #1 › jimmy › eve › jill + theo › mercure (dz) › ellie › jean › bryn › ruby › freya › constance › heïana › aaron › bryn › arrow › sianna › trevor › luana › sienna › sienna › lou #9 › poppy #1 › holly › sienna › jules #2 (ua) › jules #2 › cristina #1 › lara #4 › madison #3 › lily #1 › sienna AVATAR : domhnall gleeson. CRÉDITS : (ava) @nairobi ♡ (sign) astra (gifs) @madisonmusing, @gifpacklove, @harley (ub) @loonywaltz. DC : kieran halstead (dan smith) & maisie moriarty (daisy edgar-jones). PSEUDO : leave. INSCRIT LE : 01/01/2017 | (#)Mar 10 Mai 2022 - 21:40 | |
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@LARA PEARSON & FINNLEY COVERDALE ⊹⊹⊹ yeah, well I may not be a sleep walker, but I see you walking asleep. you caught me counting roses, but I see you counting sheep. (FORTITUDE VALLEY, BRUNSWICK STREET MALL). Il n’y a bien que Lara Pearson pour réussir à obtenir autre chose qu’un grognement de sa part avant midi. Qu’on se le dise ; le rythme de vie de Finnley n’a rien à envier aux adolescents en crise – il n’a plus l’âge, mais il a le même état d’esprit, c’est presque un sans-faute. Qu’on se le dise aussi, si on lui avait dit que la stripteaseuse que ses amis lui avaient payée dans un élan de pitié deviendrait une compagne régulière pour partager un café, il n’y aurait pas cru. Si la seule improbabilité de cette rencontre « professionnelle » n’avait pas réussi à les empêcher de se côtoyer au-delà du club dans lequel le rouquin avait été traîné, leurs deux personnalités radicalement opposées auraient dû s’en charger. Et pourtant ; presque un an après, tout ceci n’a pas beaucoup de sens, hormis l’attention particulière de Finnley à arriver à l’heure, lui qui se fait le plus souvent désiré. Avec le recul, il a quelque peu compris les raisons derrière son intérêt pour la jeune femme (et surprise, ça n’a pas rien à voir avec le spectacle qu’elle lui a offert lors de leur première rencontre – comme on pourrait le croire à première vue). C’est justement parce que la personnalité de la pile électrique montée sur talons est à mille lieux de la sienne que Finn s’est surpris à répondre présent à chaque fois qu’elle lui envoie un message. De là, des habitudes sont nées et aujourd’hui il n’est donc pas rare de croiser leur duo improbable dans la file d’un café pour échanger les dernières nouvelles – des conversations qui, souvent, se résument à une Lara qui le chambre et un Finnley qui se contente de grommeler dans une (vaine) tentative d’opposition. Il y a quelque chose de fascinant chez Lara, dans sa spontanéité autant que sa grande gueule qui ne cesse de le bousculer. Et il est bien trop fier pour le dire, le rouquin, mais c’est très exactement ce dont il a besoin à l’heure actuelle ; et le fait d’avoir une compagnie qui ne prend pas de pincettes avec lui, contrairement au reste de son entourage, a le don de l’aider à trouver un semblant de normalité dans un quotidien qui ne ressemble plus à grand-chose.
L’heure est bien trop matinale et il ne réprime pas un bâillement – il a néanmoins la décence de le masquer à l’aide de sa main – l’œil qui lorgne déjà sur un café alors que leur tour n’est pas encore arrivé. Il a passé des années à mettre cette addiction de côté, mais puisque tout n’est qu’un cercle vicieux, la caféine lui apparaît désormais comme une béquille nécessaire pour transitionner vers la sobriété. "C'est moi ou tu gagnes un centimètre de cheveux à chaque fois qu'on se voit ? J'espère que tu ne caches pas trop de secrets, Ariel, je crois que je ne suis pas assez réveillée pour les entendre." Baissant la tête vers elle, Finnley fronce légèrement les sourcils alors qu’elle fait encore l’usage de ce surnom qu’il n’a jamais validé. Mais elle s’en fout et est-ce que ça le surprend ? Pas vraiment. Il n’a jamais été particulièrement créatif, le rouquin, il prend juste note d’accélérer ses recherches pour lui en trouver un à la hauteur. « J’ai envie d’être digne de mon formidable surnom, tu comprends. » Et il doit encore faire quelques efforts pour avoir la crinière qui va avec le nom. C’est ça, oui. Ça et le fait qu’il s’en fiche pas mal de son apparence, autant qu’il décide de s’en ficher quand il voit le prix des coiffeurs (en période de crise, il n’y a pas de petite économie. « Toi, par contre, j’ai l’impression que t’arrêtes pas de rétrécir. » Il souligne, la jaugeant de toute sa hauteur, bien qu’il soit habitué à la côtoyer autant sur des talons de quinze centimètres qu’à plat. Son répondant n’arrive pas à la cheville de la jeune femme, tandis que son format de poche arrive à la sienne (il abuse à peine), autant se vanter du seul avantage qu’il possède. "Bonjour, il va me falloir un grand milkshake à la vanille et la boite de 12 donuts... je me fiche de savoir lesquels, je veux juste 12 donuts." Son regard dévisage la jeune femme, si elle paraît encore étonnamment calme à cet instant, l’accalmie sera de courte durée une fois que les douze donuts auront été dévoré ; est-ce que c’est le moment de fuir ? "Oh et ce qu'il veut." Le rouquin revient à lui, cessant d’écarquiller les yeux en l’observant pour se concentrer sur la personne derrière le comptoir. « Juste un café noir. Un petit, s’il vous plait. » C’est déjà suffisamment gênant d’être invité pour ne pas en plus passer commande pour un régiment comme elle vient de le faire de son côté. Quoi qu’elle en aurait les moyens, comme il le constate alors que ses prunelles ne peuvent qu’être attirées par la liasse qu’elle fouille dans son sac. "Je sais que je l'ai déjà dit mais si tu veux des donuts commande-les maintenant, je n'ai pas l'intention de partager." - « Ça ira, merci. » Oh, ce n’est même pas qu’il attend effectivement qu’elle soit calée pour sauter sur les restes – il l’a vue à l’œuvre, il sait très bien qu’elle n’exagère pas – mais il ne cesse d’être gêné de profiter de la charité. Son portemonnaie à lui ne peut rivaliser avec celui de la jeune femme, ce qui ne manque pas de l’interroger, tandis que son regard se reporte sur le tableau des boissons devant lui pour ne pas sembler trop intrusif. « Il marche bien, le club ? » Et, comme une tentative de s’innocenter encore, il rajoute : « T’as l’air fatiguée. » Elle sort du travail, soit, mais ce n’est pas l’explication universelle.
Dernière édition par Finnley Coverdale le Mar 1 Aoû 2023 - 13:36, édité 1 fois |
| | | | (#)Mer 25 Mai 2022 - 14:25 | |
| ≈ ≈ ≈ {sorry the midnight hour was a few minutes ago} crédit/(velouriawrites & ssoveia) ✰ w/ @Finnley Coverdale Maintenant que tu y penses, vous n’avez pas grand-chose en commun, Ariel et toi, à part peut-être les mèches un peu trop longues que vous avez respectivement et que vous entretenez si bien. Pas grand-chose du tout et il y a très peu d’hommes dans ta vie, à part ceux qui portent le même nom de famille que toi, ceux qui te payent pour que tu danses et ensuite les quelques employés masculins du club… c’est bizarre, tu n’irais très certainement pas dire que vous êtes amis mais il est certain que s’il se passait une semaine ou deux avant qu’il ne réponde à tes messages, tu te demanderais si Finnley est encore en vie et en un seul morceau, et quand on considère votre toute première rencontre, ce n’est pas si dramatique que cela. Tu ne sais pas ce qu’il a de si spécial, peut-être rien, le fait est qu’il est facile de lui parler, qu’il ne sait pas tant de choses que cela sur ta vie en réalité et que tu as beau le charrier dès que tu en as l’occasion, il gère sa vie comme il l’entend, tu ne juges pas vraiment. Tu n’es pas en position d’offrir quoi que ce soit d’autre, même pas des conseils, non tu n’en ferais pas, même si par bien des aspects, ta vie est plus ordonnée que celle de Finn, tu ne te le permettrais pas et tu ne sais vraiment pas ce que tu pourrais lui dire. Quand il s’agit de donner des leçons de danse, tu es une experte dans le domaine, tu peux identifier les problèmes rapidement et voir le potentiel talent de quelqu’un qui est persuadé de tout mal faire, pour le reste ? Pour le reste, tu restes par bien des aspects, l’élément instable de ta famille et tu lui renvoies un regard qui se veut noir quand il mentionne ta taille, parce que c’est de bonne guerre, n’est-ce pas ? "Ha. Ha. Ha. Hilarant, rappelle-moi de te marcher sur le gros orteil avec mon talon la prochaine fois que tu viens au club, ce serait bête que j’oublie." Tu vas oublier, tu le sais, entre l’heure, ton degré de fatigue et toutes les journées qui t’attendent, tu risques d’oublier. Tu ne le ferais même pas exprès et au moins, il est prévenu et tu es certaine qu’il ne va pas mal le prendre, s’il était susceptible, il t’aurait rembarrée depuis longtemps. Personne n’est maso à ce point, que tu te dis pour te conforter et tu roules des yeux quand il prend un café noir. Juste un café, tu le mets en garde encore une fois, par ton regard et la personne à l’autre bout du comptoir s'active devant son écran tactile en vous demandant si ce sera tout. Oui, tu es fatiguée et tu seras fatiguée demain, tu aimerais que Finnley arrête de jouer les modestes ou pire encore. "C’est tout ce que tu prends, sérieusement ?" Pure question de rhétorique, tu le laisses se sentir coupable pendant deux secondes avant de répondre, sur un ton un peu plus assuré. "Il y a sûrement une petite voix dans ta tête qui te dit de ne pas abuser, déjà dis lui que Lara lui dit bonjour, et ne l’écoute pas. Je paye avec l’argent de gens avec des morales encore plus douteuses que les tiennes qui se disent que glisser un billet dans le décolleté d’une fille, ça va les sauver." Et, c’est juste un café et des donuts, il ne risque pas de creuser un trou dans ton portefeuille en se comportant de la sorte, même si ça avait été quelqu’un d’autre, Izzie, Rose, tu te serais occupée de l’addition parce que tu le fais toujours, parce que tu es ce genre de personne, et ça, il va devoir l’accepter. Tu ne l’appelles pas Ariel pour rien, que tu te dis, tu comptes bien le traiter comme une vraie princesse. "Donc, tiens…" Tu lui fourres deux billets de vingt dans la main, sans lui laisser son avis, sans lui laisser le choix et face à son expression, tu ajoutes tout aussi rapidement un : "Commande ce que tu veux, je vais nous chercher une table, rapporte juste le reste, et mon milkshake." et tu t’éloignes comme si l’affaire était réglée. L’établissement vient d’ouvrir alors toutes les tables sont libres, tu quittes la queue de clients pour prendre la table contre la vitre, histoire de voir les passants et Brisbane se réveiller par la même occasion, tu abandonnes ton sac et ta veste en cuir sur la chaise à côté de la tienne et quand tu relèves la tête, Finnley est là avec votre commande. Tu ne lui demandes pas la monnaie ou ce qu’il a commandé pour lui, s'il a osé après tout, non, tout ce qui t’intéresse c’est ton milkshake et tes donuts. Tu prends une longue gorgée de la boisson sucrée et avec le même enthousiasme, tu mords dans un de tes douze donuts, que tu comptes bien tous avaler dans les minutes qui vont suivre. Voilà, que tu penses tandis qu’un sourire se dessine sur ton visage et que tu mâches, faisant déjà disparaitre le premier donut. C’est triste de se dire que cela sûrement l’un des meilleurs moments de ta journée, un peu, tu te rattraperas la nuit à Paradise City. "Et le club est le club, on pourrait avoir de meilleures recettes." Que tu dis, répondant enfin à sa question précédente, et étant honnête. Ce n’est pas une info que tu as partagée avec beaucoup de gens, pas même Evelyn, cela impliquerait de lui parler déjà, mais c’est Finnley… il est dans ta vie sans vraiment l’être, en marge, ce n’est pas comme s’il allait se moquer de toi ou aller partager l’information avec d’autres personnes de ta vie. "C’est un début un peu difficile. Ce qui est normal vu que l’affaire vient juste d’ouvrir au public." Que tu concèdes en hochant la tête, ce n’est pas plus facile à admettre, oui, tu aurais voulu griller les étapes et avoir le succès directement, mais tu réalises que ce n’est pas vraiment réaliste. Du tout même. Le monde réel ne fonctionne pas ainsi. "Mais j’ai quelques gros clients que je dois recontacter." Et quelques gros poissons à appâter, justement, pour assurer la durée du club et des prochains moins un peu difficile. Tu es bien entourée, Izzie et là, et vous n’avez pas l’intention de baisser les bras à la première difficulté, ni l’une ni l’autre et cela doit bien compter pour quelque chose. "Pourquoi tu demandes Ariel ? Tu caches vraiment des coffres remplis d’or dans ta tanière ou… ?"
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| | | ÂGE : trente-sept ans, outch (huit août). SURNOM : finn. ariel, aussi, par une certaine grande gueule, il ne valide pas. STATUT : marié depuis deux ans à leslie, suite à une soirée trop alcoolisée. pas pressé de divorcer pour autant. MÉTIER : agent d'entretien au paradise city la moitié du temps, agent de sécurité au casino l’octopus l’autre moitié. LOGEMENT : #406 montague road (west end), en colocation avec cecilia. pour le meilleur, mais surtout pour le pire. POSTS : 10142 POINTS : 180 TW IN RP : alcoolisme, parent toxique, parentification adolescente, emprisonnement, deuil (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mère emprisonnée, père décédé, jumelle rejetée, cadette expatriée : beau schéma familial ≈ contraint d’arrêter ses études pour élever sa petite sœur, il regrette encore d’être passé à côté de ses rêves et envies ≈ a un chien, wernicke, âgé de dix-sept ans, borgne et amputé d’une patte, mais pas (encore) à l’article de la mort ≈ a un sérieux penchant pour l’alcool depuis plusieurs années, décide enfin de se reprendre en main fin 2021 ≈ très curieux, a toujours une soif d’apprendre inépuisable ≈ bienveillant et gentil ou distant et franc, il ne fait pas dans la demi-mesure avec les autres. CODE COULEUR : finnley économise ses mots en darkmagenta. RPs EN COURS :
coverdales ⊹ hey brother, there's an endless road to rediscover. hey sister, know the water's sweet but blood is thicker.
sinn #1 ⊹ and there's no remedy for memory, your face is like a melody, it won't leave my head, your soul is haunting me and telling me that everything is fine.
(04/06 - whoops, il a VRAIMENT besoin d'amis) › cecilia #3 › ezra #2 › leslie #1
RPs EN ATTENTE : samuel › RPs TERMINÉS : (2003) evelyn (2005) matt › jill #3 (2014) zoya#1 (2015) zoya #3 (2016) cora #1 (2017) lydia › lou › cynthia › lou #2 › vittorio › cora #2 (2018) bryn #2 › lou #3 › bryn #3 › jack › cora #3 › jameson › jill #1 › lonnie › lou #4 › cora #4 › kane (2019) charlie › romy › jill #2 › cora #5 › jeremiah › danika (2020) lou #5 › lou #8 › jill #4 › raelyn › lou #6 › jill #5 › lou #7 (2021) molly › lara #1 › scarlett #1 › caitriona #1 (2022) scarlett #2 › joseph › edge #1 › paradise city › lara #2 › edge #2 › evelyn #2 › jenna #1 › amos #1 › madison #1 › lara #3 › edge #3 (2023) tessa #1 › raelyn #2 › jules #1 › corey #1 › zoya #2 › adèle #1 › archie #1 › cecilia #1 › madison #2 › jenna #2 › ezra #1 › cecilia #2
RÉALITÉS ALTERNATIVES : event halloween › sujet commun (df) › clément (df) › lucia (ds)
ABANDONNÉS : saul › bryn #1 › jimmy › eve › jill + theo › mercure (dz) › ellie › jean › bryn › ruby › freya › constance › heïana › aaron › bryn › arrow › sianna › trevor › luana › sienna › sienna › lou #9 › poppy #1 › holly › sienna › jules #2 (ua) › jules #2 › cristina #1 › lara #4 › madison #3 › lily #1 › sienna AVATAR : domhnall gleeson. CRÉDITS : (ava) @nairobi ♡ (sign) astra (gifs) @madisonmusing, @gifpacklove, @harley (ub) @loonywaltz. DC : kieran halstead (dan smith) & maisie moriarty (daisy edgar-jones). PSEUDO : leave. INSCRIT LE : 01/01/2017 | (#)Jeu 9 Juin 2022 - 0:08 | |
| Elle commence un peu trop à prendre ses aises, Lara, entre ce surnom qu’il n’a jamais validé et les piques sur sa chevelure qu’il n’entretient pas comme il le devrait. Sa masse capillaire prend du volume, il ne peut pas le nier, mais il n’a aucune envie d’en changer pour l’heure. Ce n’est même pas qu’il essaie de se donner un certain style, c’est le manque de moyens autant qu’un certain je m’en foutisme concernant son apparence qui dictent cette manière qu’il a de repousser constamment le rendez-vous chez le coiffeur. Mais ce n’est pas parce qu’il n’est pas particulièrement vexé qu’elle va s’en tirer sans conséquences, au contraire ; Lara prend trop de liberté et il est temps de lui rappeler qu’il peut aussi avoir du répondant quand il le veut. C’est sûr qu’ils ne se sont pas rencontrés dans des circonstances où celui-ci se faisait entendre, mais ce n’est pas pour autant qu’il compte l’épargner indéfiniment, encore moins quand il n’a pas besoin de chercher très loin pour avoir un élément à sa charge. Sa taille de naine est le parfait exemple d’une revanche amplement méritée. Elle lui arrive à l’épaule, il peut bien se vanter de la dominer d’une bonne tête – c’est bien son seul avantage alors qu’elle l’humilie (toujours gentiment, c’est vrai) avec son franc parler qui ne laisse jamais de répit à Finn. "Ha. Ha. Ha. Hilarant, rappelle-moi de te marcher sur le gros orteil avec mon talon la prochaine fois que tu viens au club, ce serait bête que j’oublie." - « Ce sera toujours pas suffisant pour me regarder dans les yeux. » Qu’il souligne avec un haussement d’épaules et un air neutre alors qu’il se marre presque intérieurement. Il provoque ? À peine. Oui, elle pourra bien lui écraser le pied par pure vengeance, perchée sur des talons de douze centimètres, elle ne sera toujours pas en mesure de rivaliser et elle restera un petit insecte qu’il peut envoyer balader d’une pichenette (oui bon, peut-être pas, mais dans les circonstances actuelles, ça lui plaît de l’imaginer).
"C’est tout ce que tu prends, sérieusement ?" - « Oui ? » Elle semble s’offusquer après sa commande et Finn glisse le regard sur elle pour lui confirmer que c’est bien le cas, qu’il se contentera d’un café noir et qu’il n’a pas besoin de plus – qu’il ne veut pas plus dans les circonstances, surtout. "Il y a sûrement une petite voix dans ta tête qui te dit de ne pas abuser, déjà dis lui que Lara lui dit bonjour, et ne l’écoute pas. Je paye avec l’argent de gens avec des morales encore plus douteuses que les tiennes qui se disent que glisser un billet dans le décolleté d’une fille, ça va les sauver." Oh, si elle savait, Lara, que cette petite voix lui dit de ne pas abuser sur la commande du jour, mais n’a pas la même retenue quand il s’agit des commandes nocturnes, de celles qu’il passe quand il est seul, accoudé à un bar. La retenue n’est pas la même, c’est certain, mais pour l’heure il ne veut effectivement pas abuser, pas alors qu’il ne peut même pas se vanter de lui rendre la pareille lors de leur prochaine entrevue matinale. Ça le gêne terriblement, ce sentiment d’être entretenu par les autres, même pour un café et un doute. « T’es en train de me dire que ça fonctionne pas ? Parce que j’avais beaucoup d’économies et d’espoirs quant à ma situation... » Il lance, presque déçu, alors qu’en réalité il n’a pas souvenir d’avoir glissé le moindre billet dans le moindre décolleté– pour une question de finances, autant de que de gêne. "Donc, tiens…" - « Lara... » Il s’apprête à s’y opposer, à riposter, mais comme toujours, la danseuse est bien plus vive que lui. "Commande ce que tu veux, je vais nous chercher une table, rapporte juste le reste, et mon milkshake." Et encore une fois, il entrouvre la bouche, prêt à s’affirmer, mais c’est peine perdue alors qu’elle tourne les talons. Et si l’envie de lui rendre ses billets sans en avoir profité est grande, il sait aussi que ce sera la porte ouverte à d’autres réprimandes de sa part, alors il coupe la poire en deux en commandant deux donuts à la vanille.
Le rouquin revient à la table occupée par Lara après l’avoir brièvement cherchée dans la foule, les bras chargés de leur commande qu’il dépose sur la table tout en lui glissant la monnaie en sa direction. « La petite voix te dit merci. » Même si cette sensation d’abuser des ressources des autres le dérange toujours autant, il n’oublie pas la politesse pour autant. Politesse qu’il oublie un instant quand son regard passe brièvement de la jeune femme à la boîte de douze donuts qu’elle entame et il se demande, une fois encore, comment elle est capable d’engloutir tout ça quand on voit sa silhouette. "Et le club est le club, on pourrait avoir de meilleures recettes." Il pince les lèvres, déçu de cette annonce alors qu’il met lui-aussi beaucoup d’espoirs en ce club. Il ne sait même pas pourquoi, à vrai dire, parce que ce n’est pas comme s’il en était le propriétaire ou qu’il avait participé à l’ouverture de celui-ci, mais le fait est qu’il a suivi le développement de celui-ci jusqu’à son lancement et il a l’impression d’y être plus investi que comme un simple client. "C’est un début un peu difficile. Ce qui est normal vu que l’affaire vient juste d’ouvrir au public." Il hoche doucement la tête avec un maigre sourire qui se veut bienveillant. « Oui, il faut lui laisser le temps de démarrer. » À vrai dire, il n’a aucune idée de comment un club du genre fait sa pub, mais il imagine que c’est comme tout business ; il faut se faire une clientèle avant d’espérer fonctionner – sauf que la publicité est plus difficile à faire que pour un restaurant, c’est certain. « De ce que j’ai pu constater, il a tout pour fonctionner. » Il n’est pas un client régulier, c’est vrai, mais son rapide passage le soir de l’inauguration lui a confirmé que l’endroit cochait toutes les cases pour plaire à la clientèle. "Mais j’ai quelques gros clients que je dois recontacter." Son sourire s’élargit légèrement à cette idée. Finn aime cette perspective et il s’en veut presque de n’avoir quasiment aucun contact avec sa célèbre jumelle, sans quoi il aurait potentiellement pu l’adresser à quelques gros clients. « J’espère qu’ils mordront à l’hameçon. » Pour la réussite du club, la sienne et puis parce qu’il n’est pas contre l’idée que des gens fortunés dilapident un peu de leur argent dans des caisses qui ont en besoin – sa manière de vouloir une certaine justice, on dira. « Non, j'en suis même persuadé, tu sais te montrer très convaincante. » Ou du moins, il a l'impression qu'il est bien difficile de faire dévier Lara d'un objectif qu'elle s'est fixé. "Pourquoi tu demandes Ariel ? Tu caches vraiment des coffres remplis d’or dans ta tanière ou… ?" Manquant de recracher la bouchée du donut dans lequel il vient de croquer, Finn s’étouffe un instant avant de reprendre la parole. « J’aimerais bien. » Oh, oui, ce serait mentir que d’affirmer que ça ne l’arrangerait pas – il adorerait avoir plus d’argent qu’il n’en possède actuellement. « Si c’était le cas, tu peux être sûr que je serais un client régulier. » Un client un peu particulier, certes, qui dépenserait plus d’argent en consommations qu’en danses privées, mais un client quand même. « Mais mes coffres me permettent à peine de payer un cocktail, alors, bon, ça me frustre de ne pas pouvoir te soutenir plus. » C’est bizarre, d’ailleurs, comme sentiment, parce qu’il ne lui doit rien, parce qu’il n’est pas de ses amis proches qui auraient une obligation envers elle ; non, mais toujours est-il qu’il aimerait lui apporter plus qu’une visite de temps à autre où il se contente d’un cocktail au bar avant de filer à l’anglaise. « Simple curiosité de la part d’une optimiste qui aurait espéré une autre réponse. » Il souligne pour terminer, sincère, parce qu’il est vrai qu’il aurait préféré une autre réponse ; celle qui impliquerait un succès conséquent de l’affaire et non pas celle qui le fait se sentir encore plus honteux d’avoir profité de son invitation.
@Lara Pearson
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| | | | (#)Sam 18 Juin 2022 - 15:23 | |
| ≈ ≈ ≈ {sorry the midnight hour was a few minutes ago} crédit/(velouriawrites & ssoveia) ✰ w/ @Finnley Coverdale "Hmm..." Que tu répliques, avec un regard qui en dit long quand Finnley te remercie à sa manière. S'il était revenu les mains vides, tu l'aurais rabroué de la même façon, tu l'aurais trainé toi-même jusqu'au comptoir pour qu'il arrête de jouer les personnes trop humbles et prenne ce qu'il veut. Ce n'est pas un problème vraiment, ce n'est pas à cause des circonstances de votre rencontre, tu es ce genre de personne, sincèrement, sortir ta carte de crédit ou des billets de ton sac c'est devenu un peu naturel et c'est comme cela que tu prends soin des personnes de ton entourage. Depuis longtemps, et puis, il faut le dire, tu n'es pas douée pour le reste, que personne ne te demande d'avoir une conversation à cœur ouvert ou d'échanger vraiment, parce que tu risques de grimacer et changer de sujet de conversation. Quoi que, tu deviens de plus en plus douée dans le domaine depuis peu, il faut vraiment dire merci à Evelyn pour cela, ta cousine est toujours là pour te faire remarquer ton manque de tact flagrant et tu tentes de corriger ton comportement en fonction. Ce qui est plutôt difficile avec le rouquin, oui, se moquer de lui et tout critiquer de ses mèches couleur feu à sa posture c'est facile, répondre à ses questions avec honnêteté, c'est une autre pire de manche. Tu aurais pu répondre un simple why do you care, dumbass, cependant, tu es fatiguée, il ne mérite sûrement pas autant alors qu'il demande et semble même s'intéresser de la réponse. Oui, de l'autre côté de la table, l'autre homme parait drôlement sincère et ta paille trouve ta bouche et tu prends une longue gorgée de ton milkshake en l'observant. C'est une énigme Finnley tout de même, pourquoi est-ce qu'il répond à tes invitations, il n'a pas mieux à faire ? "Est-ce que c'est un compliment ? Non, ne me dis pas, je veux garder la surprise jusqu'au bout." Que tu lances quand il te dit que le club a tout pour fonctionner, tu le sais, que tu pourrais dire, vous y avez veillé avec Izzie mais tu préfères te dire qu'il te complimente et hocher la tête à ses mots à lui. Tu as des solutions, des gens à contacter, si tu veux voler de tes propres ailes, tu sais que tu ne vas pas pouvoir le faire toute seule, rien ne fonctionne comme cela dans le monde des grands et tu n'es pas assez idiote pour ne pas le voir. "Oh très convaincante, les hommes aiment se croire supérieurs et très intelligents, mais c'est fou comment qu'un décolleté et une mini-jupe réussissent à faire partir vos capacités de réflexions... c'est fou." Que tu fais remarquer, laissant échapper un petit rire, tu pourrais lui demander des explications mais étant toi-même attirée par les femmes, dans un sens, tu comprends pourquoi. Une jolie fille n'a jamais impacté ton jugement, ce que tu voulais ou ta capacité à négocier cependant, quand il s'agit des affaires, tu apprends de nuits en nuits que non seulement, tu as ta place aux commandes de Paradise City, mais que tu es prête à tout pour le bien-être de tes employées, quitte à refuser certains à la porte. Finnley ? Lui, il sera toujours le bienvenu, cela va sans dire à tes yeux, du moment qu'il se tient loin de l'alcool, tu estimes qu'il n'est pas un risque. Pour qui ? Pour lui-même bien évidemment, cela impacte son jugement, tu le sais, tu l'as vu. "La limonade ça ne coûte pas cher au club. Okay, là je te mens et ça ne va aider personne." Que tu dis dans un autre rire, tu fais disparaitre un autre donut, de la façon la moins glamour possible, mais franchement, tu te fous de son opinion et de l'air que tu renvoies, c'est toi qui payes, tu as bien mérité de t'empiffrer si c'est ce que tu souhaites faire. C'est ce que tu veux et prenant une autre gorgée de ton milkshake, tu hausses les épaules avant de le rassurer. "On ne va pas mettre la clef sous la porte de sitôt si c'est ce que tu crains et mes finances personnelles se portent très bien alors arrête de culpabiliser pour un café et des donuts, s'il te plait." Parce c'est ce qu'il est en train de faire pas vrai ? De se dire qu'il n'aurait rien dû accepter parce que cette pauvre Lara est patronne, qu'elle a un business à gérer et mieux à faire que de la charité. Déjà, tu ne considères même pas que c'est ce que tu fais, tu fais ce que tu veux de ton argent et ensuite il faut vraiment qu'il arrête d'être aussi transparent. "Je t'entends culpabiliser d'ici Ariel, c'est fatiguant, je ne veux pas finir avec une migraine et toi non plus." Le ton se veut accusateur, mais, cela ne dure pas longtemps, encore une fois, tu as dit ce que tu avais à dire, tu n'as pas le temps de t'arrêter sur tes propres mots et de tout décortiquer dans ton propre discours. Ce n'est pas comme cela que tu vis dans vie et encore heureux, sinon, tu ne ferais rien de conséquent dans ton existence et tu serais encore en train de te demander si ouvrir ton club est une bonne idée ou pas. Il n'y a pas eu beaucoup d'hésitation une fois la décision prise et qu'on se le dise, tu ne comptes pas laisser le club s'éteindre comme cela, quand vous venez juste d'ouvrir vos portes. Il y a des mois de cela, ce n'était qu'un établissement en pleine rénovation, maintenant il s'agit d'une affaire qui attire et qui est une source de revenus pour beaucoup, il ne s'agit pas juste d'une conversation entre Izzie et toi. "Mais. Si tu veux te faire des sous en plus, je suis certaine que je peux te trouver quelque chose à faire au club." Que tu offres alors, l'idée te traversant alors l'esprit, l'équipe n'est pas si grande que cela, si bien que cela se ressent un peu lors des jours de repos et les petits aléas du quotidien. "Si tu es intéressé, bien entendu." Tu dis tout simplement cela, ton regard dérivant sur Finnley, tandis que tu retrouves ta paille et fais un haussement des sourcils qui se veut dramatique. L'offre est là, il en fait ce qu'il veut. |
| | | ÂGE : trente-sept ans, outch (huit août). SURNOM : finn. ariel, aussi, par une certaine grande gueule, il ne valide pas. STATUT : marié depuis deux ans à leslie, suite à une soirée trop alcoolisée. pas pressé de divorcer pour autant. MÉTIER : agent d'entretien au paradise city la moitié du temps, agent de sécurité au casino l’octopus l’autre moitié. LOGEMENT : #406 montague road (west end), en colocation avec cecilia. pour le meilleur, mais surtout pour le pire. POSTS : 10142 POINTS : 180 TW IN RP : alcoolisme, parent toxique, parentification adolescente, emprisonnement, deuil (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mère emprisonnée, père décédé, jumelle rejetée, cadette expatriée : beau schéma familial ≈ contraint d’arrêter ses études pour élever sa petite sœur, il regrette encore d’être passé à côté de ses rêves et envies ≈ a un chien, wernicke, âgé de dix-sept ans, borgne et amputé d’une patte, mais pas (encore) à l’article de la mort ≈ a un sérieux penchant pour l’alcool depuis plusieurs années, décide enfin de se reprendre en main fin 2021 ≈ très curieux, a toujours une soif d’apprendre inépuisable ≈ bienveillant et gentil ou distant et franc, il ne fait pas dans la demi-mesure avec les autres. CODE COULEUR : finnley économise ses mots en darkmagenta. RPs EN COURS :
coverdales ⊹ hey brother, there's an endless road to rediscover. hey sister, know the water's sweet but blood is thicker.
sinn #1 ⊹ and there's no remedy for memory, your face is like a melody, it won't leave my head, your soul is haunting me and telling me that everything is fine.
(04/06 - whoops, il a VRAIMENT besoin d'amis) › cecilia #3 › ezra #2 › leslie #1
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| "Hmm..." Même en une intonation Lara arrive à être intimidante et il n’est pas mécontent de la côtoyer depuis quelques temps, sans quoi elle aurait sûrement réussi à lui faire baisser la tête sous le poids du malaise, capable de se gaver lui-aussi d’une demi-douzaine de donuts seulement pour ne pas attiser ses foudres. Non pas qu’il est dénué de répondant, seulement Lara a cette capacité à avoir le dernier mot et à savoir le faire d’un taire d’un seul regard – capacité qu’il n’est pas vraiment sûr d’approuver puisqu’elle s’exerce à son détriment. Quoi qu’il en soit, il n’aurait jamais cru qu’il serait aussi mal à l’aise à l’idée de renoncer à des cochonneries, tiens, alors le voilà revenu avec deux donuts à la vanille qu’il savourera exagérément, ne serait-ce que pour lui faire comprendre que les frais sont largement amortis, hm. Ce ne sont que deux pâtisseries, mais pour Finnley c’est bien plus que ça, une énième démonstration de son incapacité à se gérer seul, y compris financièrement alors qu’il s’agit bien-là de dépenses qu’il pourrait encore se permettre, mais qu’il tient compte d’éviter pour ne pas creuser un peu plus la maigre somme qui stagne sur son compte en banque. Au-delà de ça, loin d’être une simple invitation, c’est une forme de charité qu’il perçoit et là-aussi il n’est pas particulièrement à l’aise avec l’idée, quand il a l’impression d’en avoir bénéficié bien trop souvent ces derniers mois tant sa situation va de pair avec une forme de pitié qu’il a mis toute sa vie à ignorer, y compris quand il en aurait réellement eu besoin.
Le silence dont elle fait preuve – brisé par le bruit du liquide aspiré à travers la paille – lui fait comprendre que l’heure est peut-être trop matinale (ou pas assez, c’est selon) pour justifier du sérieux de ses interrogations quand il évoque le lancement du Paradise. Lancement qui semble être en demi-teinte s’il se fie aux mots employés par Lara ; un fait qu’il aurait peut-être dû se contenter de passer sous silence. "Est-ce que c'est un compliment ? Non, ne me dis pas, je veux garder la surprise jusqu'au bout." Ses yeux se lèvent machinalement au ciel pendant un instant, avant de se reposer sur la petite (il l’a assez rappelé, hm) brune. « Tu viens de t’assurer qu’il n’y en aura pas d’autres. » Des fois qu’il aurait tenté par une vague de gentillesse gratuite, il s’abstiendra d’y noyer Lara, hein. "Oh très convaincante, les hommes aiment se croire supérieurs et très intelligents, mais c'est fou comment qu'un décolleté et une mini-jupe réussissent à faire partir vos capacités de réflexions... c'est fou." – « Hé, pour ma défense si c’était mon cas, c’est avec toi que je me serais marié. » Il précise, rappel pas si innocent à leur première rencontre qui, même si elle a tendance à le gêner, est utilisée à bon escient dans un tel contexte, avant qu’il n’ajoute : « mais permets-moi de m’excuser pour la faiblesse de mes semblables, même si ça fait tes affaires. » Le concernant, il pourrait très bien s’opposer face à cette affirmation ; de son côté c’est plus un verre d’alcool qu’une belle femme qui a tendance à lui faire perdre ses capacités de réflexion. Pas sûr que ce soit plus glorieux, néanmoins, si on prend en compte ce mariage pas encore annulé qui en résulté.
Au-delà de cet aspect, quand bien même il serait du genre à se rincer l’œil et à en profiter, il n’a pas la fortune qui lui permet d’avoir le droit à sa carte de fidélité. C’est à peine s’il parvient à payer ses factures (oopsie, ce n’est pas le cas), alors, des visites régulières pour démontrer de son soutien, ça fait encore une fois partie de ces dépenses dont il doit s’abstenir. "La limonade ça ne coûte pas cher au club. Okay, là je te mens et ça ne va aider personne." Effectivement, pas sûr qu’il remplisse les caisses ainsi et à défaut de pouvoir le faire, c’est bien son estomac qu’il commence à remplir en croquant à son tour dans son donut. "On ne va pas mettre la clef sous la porte de sitôt si c'est ce que tu crains et mes finances personnelles se portent très bien alors arrête de culpabiliser pour un café et des donuts, s'il te plait." - « Je culpabilise pas, regarde. » Il articule péniblement la bouche pleine – ça va, il l’a vue à moitié nue, elle ne va pas s’offusquer pour la vision peu glamour qu’il représente à cet instant. Oh, bon, il culpabilise peut-être un peu, mais pas forcément à cause du club, mais plus quant à cette charité de manière générale. "Je t'entends culpabiliser d'ici Ariel, c'est fatiguant, je ne veux pas finir avec une migraine et toi non plus." - « T’inquiète pas pour moi, j’ai l’habitude. Toi, par contre... » Pas sûr qu’elle fasse le poids face aux habituels migraines de Finnley qu’il est bien le seul à se provoquer, bien qu’il puisse se vanter de les avoir diminuées depuis peu – reste à savoir combien de temps il tiendra le cap. « Ceci dit, si tu continues, je vais peut-être me laisser tenter par une boîte moi-aussi, histoire de te faire taire. » On passera le fait qu’il lui a rendu la monnaie et que son coup d’éclat est donc logistiquement mis à l’épreuve, mais bon, c’est l’intention qui compte, n’est-ce pas ?
Elle a néanmoins mis le doigt sur quelque chose d’essentiel concernant le rouquin – et son incapacité à accepter une main tendue, même si c’est pour un déjeuner, même si c’est pour deux donuts et un café. Il a toujours eu l’habitude de se débrouiller tout seul, alors ne pas parvenir à s’y tenir aujourd’hui, même pour des détails aussi insignifiants qu’une pâtisserie offerte, oui, ça touche grandement son égo et ce n’est pas facile à vivre, encore moins quand il prend conscience que ce n’est pas une première fois et certainement pas une dernière non plus. À situation délicate réponse simple ; il devrait se trouver un travail, mais son C.V. et ce qu’il est et sa dégaine aussi – difficile de justifier d’un licenciement quand on avait un employeur aussi réputé que l’hôpital de la ville. Difficile d’être un coursier sans permis de voiture, un vendeur sans le moindre intérêt pour les interactions sociales ou un serveur avec l’entrain d’un escargot – oui, il sait très bien se vendre. "Mais. Si tu veux te faire des sous en plus, je suis certaine que je peux te trouver quelque chose à faire au club." Son attention est happée par la proposition, autant parce qu’il continue de penser que la charité n’a pas lieu d’être que parce que l’endroit ne lui semble pas particulièrement adapté pour lui. "Si tu es intéressé, bien entendu." Finnley esquisse un sourire face à son air de parrain qui vient de lui faire une offre qu’il ne peut pas refuser, à laquelle il réfléchit quelques instants, s’en traduit le silence dont il fait preuve avant de reprendre la parole. « Je te remercie, mais je suis pas certain que ce soit une bonne idée. » Il admet finalement après un temps, avant de préciser : « je suis pas le genre employé du mois. » Et pourtant, il ne faisait pas de remous quand il bossait à l’hôpital, avant que son addiction prenne le dessus et que la dernière année soit une catastrophe ; effaçant totalement les années précédentes où jamais personne n’avait eu à sa plaindre de lui. « Et puis, je te rappelle qu’un décolleté et une mini-jupe peuvent me faire perdre mes capacités de réflexion, imagine ce qu’il se passerait en bossant au Paradise. » C’est l’assurance d’aller droit dans le mur, hein. « Je pense que ça impacterait mes capacités de... videur, c’est bien ça que t’allais me proposer ? » Évidemment, un seul coup d’œil suffit à le deviner, hm.
@Lara Pearson
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| | | | (#)Mar 19 Juil 2022 - 22:35 | |
| ≈ ≈ ≈ {sorry the midnight hour was a few minutes ago} crédit/(velouriawrites & ssoveia) ✰ w/ @Finnley Coverdale Finn continue tout seul dans ses contradictions, tu le réalises, et ce n'est pas parce que tu manques cruellement de sommeil que tu t'impatientes un peu et que tu dis ce que tu penses de toute son attitude, tu es tout le temps comme cela. Pourquoi être d'accord pour se retrouver ici si c'est pour ne rien accepter de ta part, est-ce qu'il allait se contenter d'un verre d'eau avant que tu n’interviennes et il t'aurait regardé manger en passant pour le mec le plus bizarre du monde ? Il aurait pu dire non, la logique aurait voulu qu'il dise non d'ailleurs, mais il est là, face à toi et te fait remarquer que si tu continues sur ta lancée, il va aller repasser une commande. Tu mâches avec un nouveau sourire sur le visage, levant tes deux mains l'instant suivant et prétendant être complètement effrayée, comme le ferait une actrice amatrice d'un très mauvais film d'horreur, mais si, ceux qui passent après minuit et qu'on finit par regarder parce que c'est toujours mieux qu'un film pour adultes un peu trop bruyant. "Non, tu vas finir par faire ce que je t'avais dit depuis le début. Quelle horreur, vraiment, je vais faire de mon mieux pour le supporter, mais c'est juste parce que c'est toi hein, okay ?" Le rire arrive ensuite et oui, tu te moques de lui ouvertement, tu ne vas pas t'excuser pour cela, tu viens de lui dire, qu'il se détende, tu ne tiens pas les comptes dans ta tête, tu t'en fiches, tu t'en moques, qu'il respire deux secondes. Et tu n'es pas non plus là pour trouver la solution à tous ses problèmes, tu fais la conversation, il peut t'envoyer sur la touche, Ariel, tu comprendrais totalement. C'est juste que tu pourrais le dépanner et il serait encore plus idiot de prétendre tout le contraire. Il décide d'être encore raisonnable et tu roules un peu des yeux, parce qu'il ne sait pas se vendre. "Tu vas à tout tes entretiens d'embauche avec une attitude aussi motivée ou c'est juste pour moi ?" Comme lors de votre première rencontre, il s'apitoie sur son sort le rouquin, tu pourrais lui dire qu'il est en relativement bonne santé et sans vrais problèmes, alors il peut s'estimer être heureux, cependant, ça ne changerait rien, tu supposes que c'est comme cela qu'il est. Entre son ex mentionnée il y a des lunes, sa nouvelle femme et tout un tas de chose qu'il ne dit pas, Finnley doit être persuadé que la vie ne sera jamais clémente avec lui. Peut-être qu'il a raison, peut-être qu'il devrait réaliser qu'en tant qu'homme avec sa complexion de peau et son orientation sexuelle, tout est fait pour lui en réalité... il te semble qu'on ne lui a jamais appris à se tenir droit. Est-ce que c'est ton boulot de le faire ? Non, mais c'est cela ne veut pas dire que tu vas le regarder foncer droit dans un mur. Finnley connait ses faiblesses au moins et il ne devrait vraiment pas essayer de deviner ce que tu allais dire. Surtout pas quand tu éclates de rire la seconde suivante, vraiment, ce n'est pas si drôle, mais entre ta fatigue et l'idée de l'imaginer devant les portes de Paradise City, avec ses dix grammes au compteur, à repousser les clients trop motivés... tu ne peux pas ne pas rire en réalité. "... Oh baby girl, Ariel, non..." Que tu articules enfin, tu prends une profonde inspiration, tu aspires une autre gorgée de ton milkshake la seconde suivante, avant de décider de remettre les choses à plat. "Tu m'excuseras mais pour être videur ou faire partie de la sécurité en règle générale, il faut en imposer, il faut être intimidant et savoir se débarrasser des indésirables, et à moins que tu ne caches une ceinture noire dans ton placard... tu ne corresponds pas au rôle." Cela te semblait même évident, rien que d'imaginer Finnley à côté de Duran... non, et tu sais déjà que l'autre agent de sécurité mettrait immédiatement son veto pour qu'il rejoigne l'équipe, ce que tu peux comprendre. "Donc pas videur non, et certainement pas derrière un bar. Je pense qu'on sera d'accord pour dire que ce sera plus prudent." Haussement de tes sourcils plus qu'évident alors que tu mords dans un autre donut, tu n'as pas besoin que Finnley te dise que l'alcool et lui ça fait trois, voire même plus. Autant passer tout cela sous silence, tu es peut-être l'enquiquineuse qui lui file des surnoms débiles, mais tu ne seras pas celle qui le fait regretter ses choix passés. Cette soirée-là est bien derrière vous, tu t'en fiches, il n'entre même pas dans ton top 5 des pires clients que tu as eu à dire vrai. "Et sauf si tu me fais plus de cachoteries, pas sur scène avec moi et le reste des danseuses donc il reste juste..." Pause dramatique pour ton effet mais tu finis par hausser les épaules et terminer ta phrase. "La maintenance ? Ouais, je sais, ce n'est pas joli, mais il faut bien des gens pour nettoyer le club la journée et faire en sorte que tout soit propre et rangé pour la prochaine soirée. Ce ne serait que le salaire minimum pour commencer mais c'est un boulot, payé et sans prise de tête." Carrément sans prise de tête que tu penses, en matinée le club est quasiment vide, juste un agent de sécurité et c'est tout, l'après-midi, tu donnes parfois des cours sur la scène, tu organises des répétitions aussi tandis qu'Izzie fait l'inventaire du bar et prépare tout pour la soirée qui arrive... l'une comme l'autre, tu estimes que vous êtes des patronnes plutôt arrangeantes. "Donc tu fais ce que tu veux de l'info !"
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| | | ÂGE : trente-sept ans, outch (huit août). SURNOM : finn. ariel, aussi, par une certaine grande gueule, il ne valide pas. STATUT : marié depuis deux ans à leslie, suite à une soirée trop alcoolisée. pas pressé de divorcer pour autant. MÉTIER : agent d'entretien au paradise city la moitié du temps, agent de sécurité au casino l’octopus l’autre moitié. LOGEMENT : #406 montague road (west end), en colocation avec cecilia. pour le meilleur, mais surtout pour le pire. POSTS : 10142 POINTS : 180 TW IN RP : alcoolisme, parent toxique, parentification adolescente, emprisonnement, deuil (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mère emprisonnée, père décédé, jumelle rejetée, cadette expatriée : beau schéma familial ≈ contraint d’arrêter ses études pour élever sa petite sœur, il regrette encore d’être passé à côté de ses rêves et envies ≈ a un chien, wernicke, âgé de dix-sept ans, borgne et amputé d’une patte, mais pas (encore) à l’article de la mort ≈ a un sérieux penchant pour l’alcool depuis plusieurs années, décide enfin de se reprendre en main fin 2021 ≈ très curieux, a toujours une soif d’apprendre inépuisable ≈ bienveillant et gentil ou distant et franc, il ne fait pas dans la demi-mesure avec les autres. CODE COULEUR : finnley économise ses mots en darkmagenta. RPs EN COURS :
coverdales ⊹ hey brother, there's an endless road to rediscover. hey sister, know the water's sweet but blood is thicker.
sinn #1 ⊹ and there's no remedy for memory, your face is like a melody, it won't leave my head, your soul is haunting me and telling me that everything is fine.
(04/06 - whoops, il a VRAIMENT besoin d'amis) › cecilia #3 › ezra #2 › leslie #1
RPs EN ATTENTE : samuel › RPs TERMINÉS : (2003) evelyn (2005) matt › jill #3 (2014) zoya#1 (2015) zoya #3 (2016) cora #1 (2017) lydia › lou › cynthia › lou #2 › vittorio › cora #2 (2018) bryn #2 › lou #3 › bryn #3 › jack › cora #3 › jameson › jill #1 › lonnie › lou #4 › cora #4 › kane (2019) charlie › romy › jill #2 › cora #5 › jeremiah › danika (2020) lou #5 › lou #8 › jill #4 › raelyn › lou #6 › jill #5 › lou #7 (2021) molly › lara #1 › scarlett #1 › caitriona #1 (2022) scarlett #2 › joseph › edge #1 › paradise city › lara #2 › edge #2 › evelyn #2 › jenna #1 › amos #1 › madison #1 › lara #3 › edge #3 (2023) tessa #1 › raelyn #2 › jules #1 › corey #1 › zoya #2 › adèle #1 › archie #1 › cecilia #1 › madison #2 › jenna #2 › ezra #1 › cecilia #2
RÉALITÉS ALTERNATIVES : event halloween › sujet commun (df) › clément (df) › lucia (ds)
ABANDONNÉS : saul › bryn #1 › jimmy › eve › jill + theo › mercure (dz) › ellie › jean › bryn › ruby › freya › constance › heïana › aaron › bryn › arrow › sianna › trevor › luana › sienna › sienna › lou #9 › poppy #1 › holly › sienna › jules #2 (ua) › jules #2 › cristina #1 › lara #4 › madison #3 › lily #1 › sienna AVATAR : domhnall gleeson. CRÉDITS : (ava) @nairobi ♡ (sign) astra (gifs) @madisonmusing, @gifpacklove, @harley (ub) @loonywaltz. DC : kieran halstead (dan smith) & maisie moriarty (daisy edgar-jones). PSEUDO : leave. INSCRIT LE : 01/01/2017 | (#)Jeu 18 Aoû 2022 - 20:14 | |
| "Non, tu vas finir par faire ce que je t'avais dit depuis le début. Quelle horreur, vraiment, je vais faire de mon mieux pour le supporter, mais c'est juste parce que c'est toi hein, okay ?" Ses yeux roulent en direction du ciel pour bien accentuer sa lassitude face aux piques de Lara qui sont aussi gratuites qu’elles ne sont justes. Lassitude qui est bien évidemment feinte car s’il était réellement atteint par ses paroles, il ne serait sans doute pas là aujourd’hui et il se trahit par un rictus qu’il n’arrive pas à contenir bien longtemps. Elle peut définitivement se considérer comme privilégiée, rares sont ceux à pouvoir se moquer aussi ouvertement de lui sans subir son courroux et encore aujourd’hui, il n’arrive pas vraiment à déterminer pourquoi cette teigne (ça, c’est pour tous les Ariel) fait office d’exception à la règle. Dans tous les cas, il ne va pas jouer au plus fier encore longtemps, ayant accepté l’offre de la jeune femme – avec un certain décalage, oui, bon – croquant déjà dans un des donuts offert par ses soins.
Elle a plus à lui offrir, Lara, pourtant, et il ne s’agit même pas d’une blague déplacée liée à son métier, alors qu’elle lui propose de rejoindre les rangs de Paradise City. Le silence dont il fait preuve par la suite traduit autant de son étonnement à la proposition qu’à sa réflexion quant à celle-ci. Ce n’est pas qu’il ne veut pas travailler et qu’il se complaît dans ce rôle de chômeur (oh, non), c’est qu’il n’est pas certain d’être en mesure de travailler. Finn se décarcasse pour payer son loyer lui-même depuis qu’il a seize ans, ayant arrêté ses études pour de telles raisons, alors le fait d’être actif n’est assurément pas ce qui l’inquiète. Le fait d’être d’une fiabilité toute relative, par contre, a raison de lui faire réfléchir à deux fois à l’offre. "Tu vas à tout tes entretiens d'embauche avec une attitude aussi motivée ou c'est juste pour moi ?" - « Pourquoi tu crois que je suis toujours sans emploi ? » Il sait se vendre, évidemment, particulièrement auprès d’elle. La réalité c’est que Finn ne se souvient même pas de son dernier entretien d’embauche et s’il peut considérer qu’il l’avait réussi puisqu’il avait rejoint les rangs de l’hôpital pendant cinq ans, le trou sur son CV qui a suivi son licenciement n’est pas facile à expliquer en faisant abstraction de toutes les raisons pour lesquelles les recruteurs devraient se tourner vers un autre candidat. Il ne veut pas brûler les étapes en se considérant comme guéri alors qu’il n’est qu’au début du chemin, il ne veut pas se retrouver sur le carreau par sa faute et devoir assumer un échec qui s’ajouterait aux autres pas encore digérés. Un pas après l’autre.
Pourtant, il n’est pas totalement catégorique alors qu’il se permet de plaisanter sur le rôle qu’elle veut lui offrir – car un coup d’œil suffit à déterminer qu’il ferait un excellent videur (non, mais il en a conscience, c’est un bon début n’est-ce pas ?). Il la bénit silencieusement de ne pas avoir été en train de boire son milkshake au moment d’éclater de rire, alors que son regard l’interroge (faussement) pour l’inciter à justifier les raisons de ses doutes. "... Oh baby girl, Ariel, non..." Ah, baby girl en plus d’Ariel, là, elle va vraiment provoquer sa colère. "Tu m'excuseras mais pour être videur ou faire partie de la sécurité en règle générale, il faut en imposer, il faut être intimidant et savoir se débarrasser des indésirables, et à moins que tu ne caches une ceinture noire dans ton placard... tu ne corresponds pas au rôle." Il tape légèrement du poing sur la table pour illustrer sa peine à cette idée. « Moi qui pensais avoir le profil. » Fichtre, hm. Rien que pour la peine il est tenté de supplier Lara de lui laisser une chance ne serait-ce que pour effacer ce sourire moqueur de ses lèvres, mais il sait aussi bien qu’elle que ce serait un cruel échec en plus d’une terrible humiliation. "Donc pas videur non, et certainement pas derrière un bar. Je pense qu'on sera d'accord pour dire que ce sera plus prudent." Sa mine redevient sérieuse alors qu’il acquiesce silencieusement. Il y a quelque chose d’aussi désagréable que réconfortant que l’évidence soit ainsi pointée du doigt. Désagréable, parce que Finn aimerait autant que cet aspect-là de sa vie soit mis sous silence bien qu’il ait conscience d’avoir à composer avec ses failles-là. Réconfortant, parce qu’il n’a pas besoin d’expliciter par lui-même les raisons qui le font douter de la proposition de Lara, qui les comprend très bien toute seule. Il n’a aucune envie de se retrouver au contact de l’alcool, parce qu’il n’en est pas encore là dans ses efforts et qu’il sait pertinemment qu’il ne saurait résister. "Et sauf si tu me fais plus de cachoteries, pas sur scène avec moi et le reste des danseuses donc il reste juste..." Un roulement de tambour serait le bienvenu pour parfaire l’effet. "La maintenance ? Ouais, je sais, ce n'est pas joli, mais il faut bien des gens pour nettoyer le club la journée et faire en sorte que tout soit propre et rangé pour la prochaine soirée. Ce ne serait que le salaire minimum pour commencer mais c'est un boulot, payé et sans prise de tête." En journée, loin des clients, de l’alcool qui coule à flot (les filles ne sont même pas une raison suffisante pour l’empêcher de faire son travail correctement). Et depuis quand il en parle comme si c’était déjà acté ? "Donc tu fais ce que tu veux de l'info !" Mais l’info n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd et Finn y songe un instant de plus, alors qu’il serait stupide de ne pas saisir l’occasion qui lui est présentée. Oui, il la perçoit peut-être comme un danger, mais c’est également une chance : les employeurs ne vont pas se bousculer au portillon quand il se décidera à envoyer son C.V. Vu l’état de ses finances, il ne peut pas non plus repousser ce moment indéfiniment et peut-être que Lara aura retiré son offre d’ici-là. Lara qui a bien conscience de la personne qu’il peut être et même si elle ignore encore beaucoup de choses, a eu un aperçu de ses faiblesses et qui le considère quand même – quand bien même le poste n’est pas bien glorieux. « J’ai quelques notions en travaux manuels, aussi, si ça peut étoffer mon C.V. » Il souligne, par nécessité de se montrer plus utile qu’elle ne peut le croire. Il sait nettoyer derrière lui, ce ne sera donc pas un souci, mais il peut aussi se transformer en homme à tout fait en cas de besoin ; ça ne fait toujours pas de lui l’employé du mois, mais c’est un début. « Si tu ne regrettes pas ta proposition vu le portrait que vient de faire ton nouvel employé, eh bien... » Qu’il en soit ainsi, vu qu’il se désigne déjà comme son nouveau employé et qu’elle peut donc considérer qu’il accepte l’offre. « J’imagine qu’il est temps de remplacer le demi-portion par patronne ? » Elle n’était pas au courant du premier surnom ? Tant pis. « C’est bon, tu peux sourire et te vanter qu’encore une fois, je fais ce que tu dis. » Il souligne alors que lui-même affiche un léger rictus. « Et promis, je vais essayer de ne pas marier une de tes danseuses sitôt divorcé. » Mais puisqu’il ne sera pas en contact avec l’alcool (il n’osera pas fouiller les tiroirs en pleine journée, conscience professionnelle oblige – du moins il l’espère), il n’y a pas de risque, hm ? « T’as pas à faire ça, mais merci. » Il ne sait pas s’il s’agit d’un service ou juste d’un hasard qui veut qu’il se présente avant qu’elle n’embauche, toujours est-il que bien que peu valorisé, ça reste un travail et c’est déjà bien plus que tout ce à quoi il a pu prétendre ces derniers mois. « Tu veux quand même que je passe un entretien pour vraiment savoir si mon attitude motivée est générale ou juste pour toi ? » Et peut-être que c’est à son tour de se moquer, en fin de compte. Toutefois, pour quelqu’un qui se voulait plutôt réfractaire il y a deux minutes, le voilà déjà bien engagé (littéralement) à l’idée d’avoir trouvé de quoi occuper ses journées. Et reconnaissant, aussi.
@Lara Pearson
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| | | | (#)Jeu 1 Sep 2022 - 19:05 | |
| ≈ ≈ ≈ {sorry the midnight hour was a few minutes ago} crédit/(velouriawrites & ssoveia) ✰ w/ @Finnley Coverdale Il est plus que clair que tu ne lui dois absolument rien au rouquin, non, pas ton temps, pas ton énergie et même pas cette offre de boulot. Et pourtant vous êtes là, pourtant tu n'as aucun mal à converser avec lui, lui dire sincèrement ce que tu penses, avec ta franchise et ton honnêteté habituelle et tu n'as aucun mal à lui faire comprendre le fond de ta pensée. Avec certains, tu t'arrêtes seulement au sarcasme, tu les regardes s'énerver, s'offusquer et te catégoriser de tout simplement intolérable. Tu roules des yeux dans ces cas-là et tu finis par passer à autre chose, parce que n'importe quelle personne qui s'offusque pour si peu n'est vraiment pas taillée pour te côtoyer ou pour être exposée à la vie que tu mènes. C'est une réalité, Finnley est toujours là, tu ne sais toujours pas pourquoi et c'est vrai que tu es à la tête de ta propre affaire et que tu peux engager qui tu le souhaites d'un simple claquement de doigts, ce serait dommage de ne pas en profiter, pas vrai ? Tu vois les choses de cette manière-là et pas autrement, il n'y a pas de favoritisme ou un vrai désir de lui tendre la main, il n'est pas spécial, tu aurais fait la même chose avec n'importe qui dans sa position. Tu hoches la tête quand il essaye de rebondir sur tes mots et de se mettre en valeur et de te dire qu'il sait faire quelque chose de ses dix doigts, tant mieux, tu allais commencer à penser qu'il n'était bon qu'à se morfondre. Et oui, tu le lui aurais fait remarquer, à la place, tu termines ton milkshake dans un hochement de tête, que tu regrettes presque quand il se descend déjà en flèche. La boisson finie, tu tires la langue dans sa direction, vraiment parce que la demie-portion pourrait lui faire regretter de s'être levé le matin et même de parler si elle s'y mettait vraiment... Il a de la chance que tu sois fatiguée en réalité, ou que tu considères le sérieux de la deuxième partie de sa phrase. "Alors déjà c'est Lara et ce sera toujours Lara, tu n'as pas besoin de me donner un titre pour me donner un titre, genre, vraiment, et là je suis tout à fait sérieuse." Tu préfères faire les choses simplement au club, les gens peuvent t'appeler par ton prénom ou ton nom de famille, oui tu es sûre de toi, oui il en faut beaucoup pour te faire douter ou pour te donner l'impression de ne pas être ta place ou de trop, cependant rappeler aux gens ton titre en permanence serait arrogant au possible. Plutôt que d'exiger le titre de patronne, tu l'es, tu agis en tant que telle et tu t'efforces de toujours être là pour tes employés et de résoudre les problèmes chaque jour quand ils arrivent. A tes yeux, c'est ça être le boss et pas juste le titre pompeux. "Un entretien carrément ? Non, je pense que je sais déjà tout ce que j'ai besoin de savoir sur toi pour t'embaucher." Parce que c'est déjà une affaire réglée à tes yeux et tu fais disparaitre un autre donut avec un regard légèrement pensif, tes yeux perdus dans le vide avant de retomber sur Ariel et sa chevelure flamboyante. "Du moment que t'arrive à l'heure, que tu n'embêtes pas les danseuses et que tu ne possèdes pas de questions débiles aux clients et oh... que tu fais ton boulot, tout devrait bien se passer." Cela devrait être évident, mais encore une fois, autant jouer cartes sur table, tu ne prends jamais de pincettes et avec lui, tu n'en as jamais vraiment pris. Il revient toujours, okay, tu le soupçonnes un peu d'être maso mais même lui se demanderait si tu n'as pas attrapé quelque chose si tu te perdais en formule de politesses ou que soudainement tu étais pleine de considération. Non, au diable tout cela, autant lui faire savoir tout de suite tes exigences et tes attentes, pour éviter les mauvaises surprises ou que tu doives le mettre à la porte dans quelques semaines. "Il y a toujours quelqu'un de la sécurité au club, au moins une personne, t'auras surtout des horaires de jours, ce sera plus simple pour tout ce qui est entretien et autre." Lui donner une clef est absolument exclus, la liste des gens à qui tu fais confiance avec ce genre de choses est tellement réduite et malgré son charme (complètement absent mais shhh), Finnley n'a pas encore gagné ce droit-là et tu sais que cela ne l'étonnera pas vraiment non plus. Tu lui feras faire un petit tour des locaux de jour également, quand il n'y a pas autant de monde, quand les lumières ne sont pas changeantes et brillantes et quand il n'y a pas de musique. C'est tout de suite moins pesant et moins effrayant, aucun de doute à tes yeux. Tu le fixes une seconde de plus avant de reprendre. "Oh et je pense que, pour éviter tout autre problème, que c'est mieux que tu te tiennes le plus loin possible de n'importe quelle boisson alcoolisée, hmm ?" La phrase est tournée comme une question, cependant, ce n'en est pas une, c'est un fait, il peut se taper toutes les cuites du monde mais certainement pas dans ton club et son nouveau lieu de travail, là encore tu préfères le dire maintenant pour qu'il sache exactement à quoi s'attendre. "Et non, il n'y a aucun jugement de ma part, mais je me souviens de notre rencontre et quelque chose me dit que ce n'est pas quelque chose tu veux répéter." Entre cela et son mariage raté, et puis le rouquin vient plus au moins d'admettre qu'il cherchait à se reprendre en main, ne pas répéter les mêmes erreurs est décidément sur la liste dans ce cas précis. "Deal ?" Que tu demandes finalement, laissant la balle dans le camp de Finn.
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| | | ÂGE : trente-sept ans, outch (huit août). SURNOM : finn. ariel, aussi, par une certaine grande gueule, il ne valide pas. STATUT : marié depuis deux ans à leslie, suite à une soirée trop alcoolisée. pas pressé de divorcer pour autant. MÉTIER : agent d'entretien au paradise city la moitié du temps, agent de sécurité au casino l’octopus l’autre moitié. LOGEMENT : #406 montague road (west end), en colocation avec cecilia. pour le meilleur, mais surtout pour le pire. POSTS : 10142 POINTS : 180 TW IN RP : alcoolisme, parent toxique, parentification adolescente, emprisonnement, deuil (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mère emprisonnée, père décédé, jumelle rejetée, cadette expatriée : beau schéma familial ≈ contraint d’arrêter ses études pour élever sa petite sœur, il regrette encore d’être passé à côté de ses rêves et envies ≈ a un chien, wernicke, âgé de dix-sept ans, borgne et amputé d’une patte, mais pas (encore) à l’article de la mort ≈ a un sérieux penchant pour l’alcool depuis plusieurs années, décide enfin de se reprendre en main fin 2021 ≈ très curieux, a toujours une soif d’apprendre inépuisable ≈ bienveillant et gentil ou distant et franc, il ne fait pas dans la demi-mesure avec les autres. CODE COULEUR : finnley économise ses mots en darkmagenta. RPs EN COURS :
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(04/06 - whoops, il a VRAIMENT besoin d'amis) › cecilia #3 › ezra #2 › leslie #1
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| Ce n’est certainement pas aujourd’hui, ou dans ces conditions, qu’il pensait retrouver du travail. Il ne pensait même pas à cette perspective pour dire vrai, tant ses recherches se sont avérées limitées au cours des derniers mois (c’est la version politiquement correct pour dire qu’il n’a tout simplement pas cherché). Ce n’était pas sa priorité, conscient qu’il faudrait d’abord remettre de l’ordre dans sa vie avant de remettre celle-ci en marche ; toujours est-il qu’après un refus qui est plus proche du réflexe qu’autre chose, Finn commence à considérer la proposition. Disons ce qu’il en est ; l’offre n’est pas alléchante et on ne peut pas dire que récurer les toilettes et passer la serpillère soient ce qu’il s’imaginait faire quand il était plus jeune. Ce n’est pas parce qu’il a des jugements, seulement parce qu’il avait d’autres ambitions – parce que ce genre de petits boulots, Finn les a déjà exercés avant de devenir coursier pour l’hôpital. Alors ça ne lui fait pas peur, non, mais tant qu’à remettre sa vie en ordre, il envisageait la possibilité de prendre le temps de chercher ce qui l’intéresse vraiment, et passé l’instant où sa fierté reprend le dessus et l’empêche d’accepter cette main tendue, il y voit finalement la parfaite opportunité de prendre ce temps-là tout en faisant quelque chose. D’avoir un objectif, de se lever le matin, d’avoir une routine qui lui permettrait d’éviter de s’ennuyer et de glisser à nouveau dans de vieux excès qu’il essaie difficilement de maîtriser. Et, au-delà de ça, il ne peut pas nier que vu l’allure de son compte en banque, toute activité est bonne à prendre. Ce qui le dissuade, au-delà de sa fierté, reste la perspective de travailler pour Lara. Non pas qu’il prenne mal le fait qu’elle soit sa patronne, ça lui importe peu puisqu’il n’a jamais eu de soucis à faire ce qu’on lui dit et à respecter l’autorité, seulement il n’a aucune envie qu’elle regrette sa proposition si les choses s’avèrent, en pratique, beaucoup plus difficiles à gérer qu’il ne l’imagine en théorie. Il a déçu beaucoup de monde et il est vrai qu’elle n’est pas le premier nom de sa liste auprès de ceux dont il doit se faire pardonner si les choses tournent mal, mais elle ne serait pas non plus à la dernière place, c’est certain. Le rouquin l’apprécie plus qu’il ne l’aurait cru et il se sentirait mal à l’aise de la décevoir en se pointant éméché sur son lieu de travail parce qu’il n’a pas su résister à l’appel d’un verre la veille au soir. Si pour l’instant il se pense en mesure de tenir ses démons éloignés, il n’arrive pas à faire d’estimation sur le long terme. "Alors déjà c'est Lara et ce sera toujours Lara, tu n'as pas besoin de me donner un titre pour me donner un titre, genre, vraiment, et là je suis tout à fait sérieuse." Ce qui contraste avec sa langue tirée quelques minutes plus tôt qui lui a tiré un rictus amusé. « J’en doute pas. » Il se contente de souligner, autant parce que le regard de la jeune femme ne laisse pas de place au doute, mais également parce qu’il ne l’imagine pas comme la patronne qui fanfaronne et rappelle à tout le monde son statut. Alors oui, il n’a aucune peine à la croire.
"Un entretien carrément ? Non, je pense que je sais déjà tout ce que j'ai besoin de savoir sur toi pour t'embaucher." Il penche légèrement la tête avec une légère grimace, fair enough. Elle ait beaucoup de choses sur lui, certaines dont elle avait connaissance avant même certains de ses proches, autant dire qu’elle a effectivement eu l’occasion de dresser un portrait de lui assez cohérent, bien qu’il soit peu représentatif de celui qu’il est réellement dans d’autres circonstances. Si Lara enchaîne les donuts à un rythme régulier, de son côté il joue avec sa seconde pâtisserie qu’il émiette entre ses mains "Du moment que t'arrive à l'heure, que tu n'embêtes pas les danseuses et que tu ne possèdes pas de questions débiles aux clients et oh... que tu fais ton boulot, tout devrait bien se passer." Il hoche la tête, écoutant ses conditions qui sont, à vrai dire, parfaitement normales. « C’est dans mes cordes. Ne t’inquiète pas pour tes danseuses et tes clients, je préfère rester dans mon coin, de toute façon. » Outre sa conscience professionnelle qui est la sienne peu importe l’occupation qu’il exerce, il est vrai qu’il n’est pas de ceux qui ressentent le besoin de se mêler de tout ou d’être constamment stimulé par les présences des autres. Au contraire, il a toujours apprécié la solitude et le calme et quand bien même les danseuses seraient jolies et les clients fortunés qu’il s’en tiendra éloigné sans grande difficulté. "Il y a toujours quelqu'un de la sécurité au club, au moins une personne, t'auras surtout des horaires de jours, ce sera plus simple pour tout ce qui est entretien et autre." Il note qu’il n’aura pas un pass lui permettant d’aller et venir à sa guise, mais de toute évidence, ce n’est pas vraiment ce dont il a besoin. Il préfère que ce soit ainsi, pour tout dire, car le seul fait de travailler sur un lieu susceptible d’avoir une réserve d’alcool conséquente est déjà une tentation en soit sans qu’il ne puisse y accéder à n’importe quelle heure. Qu’il y ait une surveillance, même si elle ne lui est pas adressée, est aussi perçu comme une sécurité qui n’est pas négligeable, et ce qui aurait pu en offusquer d’autres sont autant d’arguments qui le séduisent de plus en plus. « Ça me va. Tu me donneras les horaires précis avant que je commence. Et si t’as besoin de moi en dehors de ceux-là, tu peux toujours m’appeler, c’est pas comme si j’étais très occupé. » Pour les travaux de manutention qu’il a évoqués plus haut, ou si réellement le club est dans un sale état à sa fermeture et que ça ne peut pas attendre pour une quelconque raison. Il ne doute pas que Lara sait évaluer ce qui est urgent et ce qui nécessite de le déranger, mais il veut déjà lui assurer qu’elle peut compter sur elle, une façon d’apprécier cette offre.
"Oh et je pense que, pour éviter tout autre problème, que c'est mieux que tu te tiennes le plus loin possible de n'importe quelle boisson alcoolisée, hmm ?" Les y voilà. Il attendait ce moment, n’est pas surpris et affiche même un sourire pincé bien qu’il soit légèrement honteux que cette précision soit nécessaire. "Et non, il n'y a aucun jugement de ma part, mais je me souviens de notre rencontre et quelque chose me dit que ce n'est pas quelque chose tu veux répéter." Il hoche la tête, d’abord silencieux, avant de préciser : « En effet. » Que ce soit auprès d’elle – désormais son employeur, ce qui serait foutrement humiliant – ou de manière générale. Ce ne sont pas des moments dont il est fier. « Je sais que tu peux en douter vu notre rencontre, mais je sais me tenir. En principe. » Il a envie d’y croire, du moins. « Ça n’arrivera pas. » Et si lui l’assurer est le meilleur moyen de s’ajouter une pression supplémentaire sur les épaules, c’est aussi l’occasion d’avoir un objectif concret qui consiste à ne pas merder sur tous les plans, cette fois-ci. "Deal ?" - « Deal. » L’opportunité que vient de lui offrir Lara est plus qu’il ne peut espérer actuellement et il aura au moins la satisfaction d’avoir un travail – pour quelqu’un qui bosse depuis ses seize ans, ce n’est pas anodin d’être ainsi occupé. « Merci, Lara. » Pas de demi-portion ni de Boss à l’horizon, juste Lara, celle qui mérite sa gratitude.
@Lara Pearson
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| | | | | | | | (finnley & lara) sorry the midnight hour was a few minutes ago |
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