| (penisy #15) picture perfect family |
| ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0 TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only (03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)
AVATAR : elizabeth bb olsen. CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz) DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart) PSEUDO : vlastuin › marie. INSCRIT LE : 27/10/2020 | (#)Lun 4 Juil - 21:26 | |
| picture perfect family Tu ne savais pas de quelle sorte de magie Rory avait usé sur Maia, mais depuis sa visite, la petite fille s’était profondément endormie, sans doute mieux qu’elle n’avait dormi depuis sa naissance quelques jours plus tôt à peine, et elle n’avait même pas chigner lorsque tu l’avais déposé dans le petit couffin lui appartenant, celui qui trônait dans le salon encore inutilisé jusqu’à maintenant. Après t’être longuement réjouie sur la nouvelle annoncée par ton meilleur ami, après l’avoir vu s’extasier sans fin devant ta petite merveille, c’est le cœur léger et le sourire aux lèvres que vous vous étiez quittés, promettant comme toujours de ne pas attendre trop longtemps avant de remettre ça. Il y aurait bientôt un mariage à préparer et à célébrer et c’est bien par cent fois que tu avais assuré au Craine que tu serais là pour l’aider et l’épauler, dans la mesure qu’il le désirerait. Cette visite ne t’avait pas semblé être assez longue, mais elle t’avait fait grandement du bien et rien ne t’emplissait de bonheur comme de savoir que ceux près de toi, ceux que tu chérissais par-dessus tout étaient aussi heureux que tu ne pouvais l’être présentement, alors que tu te perdais encore une fois dans une contemplation des traits de ta petite fille si sagement endormie. C’est avec difficulté que tu résistas à l’envie de passer tes doigts sur le visage de Maia, de peur de la réveiller, préférant plutôt utiliser les quelques minutes de liberté qui semblaient t’être nouvellement offertes pour prendre une douche bien méritée et avaler un morceau avant le retour d’Isaac avec Jude.
C’est avec excitation et nervosité que tu appréhendes l’arrivée du petit blond, qui ne s’attend certainement pas à voir sa petite sœur déjà née à son arrivée. Vous aviez pris le temps Isaac et toi, lors des dernières visites de Jude, de lui expliquer avec des termes simples que bientôt, elle serait avec vous, elle si petite et fragile et pourtant déjà si aimée, autant par vous que par son grand frère. Il avait posé pleins de questions Jude, allumé comme bien peu de gamin de son âge, et si tu avais eu l’impression qu’il avait plutôt bien saisit tous les changements à venir, tu demeurais consciente que la marge était encore bien grande entre ce qu’il croyait comprendre d’un concept complètement abstrait, et ce qui serait quand il lui faudrait partager l’attention de son papa avec un bébé tout neuf qui ne fait rien d’autre que boire, pleurer et manger sur une base régulière. Malgré ton appréhension et ton inquiétude, tu savais au fond de toi, qu’une fois le choc passé et l’adaptation faite, Jude serait un très bon grand frère pour Maia et tu étais impatiente de voir leurs interactions progressées sous tes yeux ébahis.
Maia dort toujours lorsque tu entends la porte d’entrée s’ouvrir. Tu venais à peine de t’asseoir sur le canapé, livre – de maternité, évidemment – entre les mains alors que tu entends la petite voix de Jude qui résonne dans le couloir de l’entrée. Tu te demandes ce qu’Isaac lui a dit, s’il lui a expliqué que sa petite sœur était arrivée, pour le préparer. Tu imaginais que oui, tu espérais que oui. Tout s’était fait tellement vite, Jude n’étant pas censé arriver chez vous avant la fin du mois que vous n’aviez pas vraiment pris le temps de discuter de ce que vous feriez, pour préparer le garçonnet au mieux. Tu déposes l’ouvrage sur le canapé et te lève doucement et silencieusement, dans l’espoir que la petite continue de dormir encore un peu, et puis tu viens rejoindre les deux Jensen qui sont encore occupés à enlever leurs chaussures. Dès que Jude lève la tête et t’aperçoit, un énorme sourire se place sur son visage enfantin. « Penny! » qu’il s’exclame en courant dans ta direction, avant de s’arrêter juste avant d’enlacer ton ventre, comme on lui avait souvent dit de faire attention. « Allô mon grand. » que tu le salues à ton tour, te penchant à son nouveau. Son regard était émerveillé, curieux, à analyser d’abord ton ventre et regarder partout autour ensuite, comme s’il était à la recherche de quelque chose, ou plutôt de quelqu’un. « Est-ce que tu aimerais voir ta petite sœur? » La réponse est instantanée quand il hoche vivement la tête, sautillant pratiquement sur place alors que tu te relèves pour venir saluer rapidement ton amoureux d’un baiser sur sa joue, te disant que tu lui laisserais plaisir de guider son fils jusqu’à votre fille. « Elle dort dans son couffin, au salon. » que tu murmures à l’intention d’Isaac, ta main se glissant dans la sienne naturellement. |
| | | Isaac Jensenle coeur au bout des doigts ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0 TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS : RPs EN ATTENTE : RPs TERMINÉS :
(roa, juin 2020)
grisy (s1) lancement ∆ love #4 ∆ grace #1 ∆ grace, greg, sienna ∆ week-end #1 ∆ grace #2 ∆ grace #3
(s2) grace #4 ∆ grace #5 ∆ grace, elias, kieran ∆ elias ∆ ivy ∆ love #5 ∆ love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4 ∆ grace #6 ∆ martin
(s5) épreuve 1 semaine 5 ∆ épreuve 2 semaine 5 ∆ épreuve 3 semaine 5 ∆ résultats
(finale) grace #7 ∆ rafting ∆ grace #8 ∆ grace #9 AVATAR : Will Higginson CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack) DC : / INSCRIT LE : 08/04/2018 | (#)Mar 5 Juil - 1:51 | |
| C'était non sans vérifier à de multiples reprises que Penny et Maia ne manqueraient de rien pendant ton imminente courte absence de la maison que tu t'étais résolu à passer le pas de ta porte, profondément rassuré que la visite de Rory tombe exactement quand tu devais aller chercher ton fils à l'aéroport. Cela faisait que quelques jours, une poignée d'heures, que le poupon avait pointé le bout de son nez. Une arrivée fulgurante, surprenante, qui te paraissait toute à l'image de cette merveille ainsi qu'à celle de votre histoire époustouflante. Durant ces dizaines d'heures, vous aviez savouré ce cocon à trois. Tu t'étais évertué à adapter la maison et déployant quelques nouvelles techniques et stratégies, à l'écoute de Penny et de ses besoins, pour que la maman comme le bébé se sentent au mieux le plus longtemps et rapidement possible. Si vous aviez reçu quelques promptes visites, celles-ci étaient assez espacées pour que le repos soit favorisé pour les deux femmes de la maison, quand bien même l'exercice n'était pas des plus aisés considérant l'amour de Maia pour le contact avec l'un de vous deux et son petit appétit sollicitant le lait de sa mère à intervalle régulier.
Tu déposais un délicat baiser sur la petite main de ta fille puis embrassais tendrement Penny sur son front avant de quitter réellement le domicile, risquant fortement d'arriver en retard. Il s'avérait rapidement être un réel avantage que tu connaisses le trajet jusqu'à l'aéroport plutôt bien, ton esprit s'égarant incessamment dans tes réflexions portant sur la naissance de Maia, la rencontre entre tes deux enfants, le climat énigmatique entourant Lucy, la suite globale des événements vous entourant. Souvent, un rush d'anxiété te serrait si fort le cœur que ton souffle se coupait et ton corps se glaçait ; tu craignais ne pas être à la hauteur, enchaîner les erreurs, causer du malheur. Parfois, il t'arrivait de redouter que les parents de Penny pense que tu n'étais pas quelqu'un d'assez bien pour leur fille, et honnêtement, tu ne leur en voudrais pas de songer ainsi, ne te considérant toi-même pas arriver à la cheville de ton amoureuse. Néanmoins, tu t'appliquais à faire de ton mieux et cette histoire sensationnelle, ce couple solide, cette famille formidable que tu formais avec ta petite amie t'étaient inestimables. Ils étaient tout ce dont tu rêvais et bien plus encore.
Tu presses le pas une fois à l'aéroport et soupires de soulagement en constatant que tu arrivais pile quand Jude débarquais. Tu accueilles chaleureusement le garçonnet qui se rue dans tes bras. « Salut toi ! » Tu le hisses dans ces derniers pour le couvrir de baisers sur sa joue, ton cœur explose d'amour comme à chaque fois que tu le retrouves. « Tu m'as manqué mon grand, » l'enfant noue ses bras autour de mon cou, large sourire aux lèvres, regardant avec curiosité les gens autour de lui. Tu l'installes dans le siège auto et pendant la première partie du trajet, Jude te relate son voyage. Tu l'écoutes d'une oreille, tout en réfléchissant à comment tu allais lui annoncer qu'il était officiellement grand-frère. Vous n'aviez pas réellement discuté de cette déclaration avec Penny, mais tu soupçonnais qu'il était préférable que Jude l'apprenne maintenant plutôt qu'il ne soit placé devant cette toute nouvelle réalité. « J'ai quelque chose à t'annoncer, mon cœur. On a eu une surprise, mardi dernier, » tu commences, le petit jouant avec ses doigts comme s'il remontait le fil de la semaine dont il maîtrisait désormais les jours. « Une surpriiiiise ?! C'est quoiiii ?! » Ses pieds se balançaient du siège auto, ton regard passe de la route à son visage illuminé. « Tu veux pas essayer de deviner ? » La malice apparaît sur les traits du garçon, enthousiaste. « Mhhhhh, je préfère que tu me le dises ! » l'enfant opte avec sa tête coquine qui te fait largement sourire. « Ta petite sœur est arrivée, elle n'est plus dans le ventre de Penny, » tu transmets sur une intonation calme et douce, guettant la réaction de Jude qui relève de la pure surprise. « Est-ce que tu veux la rencontrer ? » Tu demandes, attendri. Jude loge un doigt dans sa bouche, à la fois nerveux et enthousiaste, et hoche la tête à l'affirmative.
L'enfant sautille presque sur le passage menant de la voiture stationnée à la maisonnée, attendant impatiemment que tu ouvres la porte. Dans l'entrée, tu déchausses le garçonnet qui balaie déjà les alentours du regard, à l'affût. Penny vous rejoint quelques minutes plus tard, interrompant Jude dans sa recherche qui vient saluer avec affection la jeune maman. Tu souris doucement devant l'attitude de ton fils qui observe tous les éléments et trépigne assurément dès que ta conjointe lui propose d'enfin rencontrer sa petite sœur. « Elle dort dans son couffin, au salon. » Les doigts de Penny s'entremêlent aux tiens, Jude vous considère, à la fois impatient de voir le nouveau-né mais aussi incertain de ce qu'il trouvera. Tu poses ta main dans son dos pour l'encourager dans la direction du salon puis t'assis à côté du couffin, de sorte à être à la fois à la hauteur de Maia et de Jude. « Tu viens ? » tu l'invites posément dans un murmure à franchir les quelques pas qui vous séparent, tentant de ne pas réveiller le bébé dans le processus ni de brusquer ton fils qui paraît tout impressionné. Jude s'approche finalement à pas de loup, sa langue passant autour de ses lèvres, témoin de sa nervosité, et se colle à ton torse avant de porter toute sa concentration sur sa sœur. Délicatement, tu éloignes un peu le haut de son couffin de sorte à ce que Jude puisse bien voir l'entier de son visage et ton geste rassure l'enfant qui s'approche de plus en plus du petit être. « C'est ta petite sœur, Maia, » tu présentes en articulant bien le prénom. Jude t'adresse un rapide coup d'œil avant de se concentrer de nouveau sur le nourrisson, totalement émerveillé. Puis, sans crier garde, il vient déposer un baiser sur sa petite tête ronde, dans un geste premièrement rapide mais qui ne traduit que délicatesse une fois que sa bouche eût entré en contact avec la peau du bébé. Tu ris doucement, à la fois surpris et touché, avant de commenter : « Ca, c'est un gentil bisou, » tu valorises. « Il faut être tout doux avec elle, comme tu as fait. Elle est encore toute petite. » Tu ne doutais pas que Jude s'appliquait à être délicat autant que vous lui aviez expliqué l'être avec le ventre de Penny avant qu'elle ne donne naissance. « Elle fait dodo mais bientôt tu vas la voir réveillée, » tu promets. Tu aides Jude à s'installer sur le canapé, à côté du couffin, le garçonnet manifestement décidé à admirer sa sœur pour au moins les prochaines minutes.
« Ca s'est bien passé ? » Tu demandes à Penny avec attention. Vu le bonheur sur ses traits, tu soupçonnais que son temps passé avec Rory lui avait fait beaucoup de bien. « Rory va bien ? » Tu t'enquérais. Tu n'avais malheureusement pas encore eu l'occasion de rencontrer le meilleur ami de la femme qui faisait battre ton cœur, mais tu avais hâte de le voir en chair et en os et d'échanger avec lui. |
| | | ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0 TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only (03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)
AVATAR : elizabeth bb olsen. CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz) DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart) PSEUDO : vlastuin › marie. INSCRIT LE : 27/10/2020 | (#)Mar 5 Juil - 4:05 | |
| picture perfect family Ton regard alterne à de nombreuses reprises entre Isaac et Jude alors que ce dernier semble toujours en train d’analyser ce qui est sur le point de se produire. Tu sais qu’il a compris, son regard ne s’est pas attardé longtemps sur ton ventre qui a perdu sa rondeur, son attention se trouve ailleurs alors qu’il ne semble pas encore complètement certain de ce qu’il s’apprête à découvrir. La nervosité et l’excitation du garçon sont palpables, similaires à tes propres émotions alors que tu serres les doigts de ton amoureux, qui encourage de son autre main son fils à s’avancer vers le salon, là où dort encore votre fille. C’est naturellement que tu laisses Isaac gérer le moment, alors que tu te détaches du Jensen pour venir t’asseoir sur le canapé, de l’autre côté du couffin de Maia. Spectatrice, tu regardes attentivement les moindres mouvements de Jude, qui se fait tout discret, incertain alors qu’il découvre sa petite sœur qui dort encore à poings fermés. Isaac est si beau à voir, alors qu’il présente d’une douce voix le grand-frère à sa petite-sœur, le moment si particulier, si intense et si doux à la fois et tu ne peux que remercier silencieusement l’univers pour ce chemin emprunté. Ce chemin que tu n’aurais sans doute jamais volontairement choisi, celui que tu n'aurais certainement jamais imaginé, mais qui faisait tellement sens maintenant que tu le marchais aux côtés d’un homme dont tu tombais toujours un peu plus amoureuse avec chaque jour qui passe. Tu sens les larmes qui te montent aux yeux, bien malgré toi, l’émotion du moment si puissant que tu te laisses complètement bercée par le flot d’hormones qui se veut encore maître de la plupart de tes comportements. Maia étant encore toute nouvelle dans votre vie, tu savais que chaque nouvelle rencontre avec vos proches risquaient de te rendre tout aussi émotive, bien que le portrait de ta famille, aussi atypique et pressé pouvait-il sembler à l’œil inconnu, te semblait si parfait dans l’immédiat que tu imaginais bien mal vivre un moment plus beau que celui-là.
Dans un geste inattendu, Jude vient déposer un baiser rapide sur la tête de sa petite sœur. Un gigantesque habite ses lèvres alors qu’il relève les yeux vers son père, un éclair de fierté transperçant son regard. « Ça c’est un gentil bisou. » que commentes doucement Isaac, ce qui éclaircie encore davantage le regard du petit blond toujours collé contre son père. « Il faut être tout doux avec elle, comme tu as fait. Elle est encore toute petite. » Jude acquiesce d’un signe de la tête alors qu’il continue d’admirer les traits endormis de Maia. « Elle fait dodo, mais bientôt tu vas la voir réveillée. » « Ça se peut que tu l’entendes pleurer beaucoup, mais c’est normal pour les bébés de son âge. » que tu ajoutes sur le même ton que celui employé par Isaac, et Jude fait signe qu’il comprend une fois de plus alors qu’il vient prendre place à tes côtés sur le canapé, son regard toujours rivé sur le couffin, comme s’il craignait manquer le moment où elle ouvrirait enfin ses yeux pour lui. Tu viens passer une main dans les cheveux de Jude, qui réagit à peine à ta caresse, si ce n’est qu’il se colle un peu plus contre toi, sa tête se posant contre ta poitrine, de cette manière tendre et rassurante qu’il avait l’habitude de faire avec son père. Ton cœur se serre un peu, constamment estomaquée de la vitesse à laquelle il vous avait laissé entrer dans sa vie, prêt à vous donner autant d’amour que vous ne lui offriez depuis cette toute première journée, au parc. Ça ne faisait que six mois, à peine, et pourtant, tout autour de vous avait changé de manière drastique depuis cette énorme découverte. « Ça s’est bien passé? » Tu relèves la tête vers ton amoureux, et c’est ton tour de hocher doucement la tête en signe d’affirmation positive. « Rory a été complètement surpris, mais tout autant charmé de pouvoir la rencontrer. » Tu relates, te souvenant avec un léger rire de la réaction initiale de ton meilleur ami, qui croyait que tu tenais le bébé d’une autre pendant quelques secondes. « Il a vraiment le tour avec les bébés, c’est lui qui l’a endormi et elle a pas fait un son depuis qu’elle a été déposé. » que tu relates, un large sourire toujours présent sur tes lèvres. Tu ne doutais pas que le moment venu, Rory ferait un très bon père. Autant qu’il ferait un excellent mari pour Swann. « Rory va bien? » « Merveilleusement bien. » que tu réponds sans hésitation, la nouvelle des fiançailles de tes amis encore toute fraîche dans ton esprit et créant un sentiment d’euphorie, sans doute un peu aider par la fatigue accumulée des derniers jours, voire des dernières semaines vu les nuits peu reposantes que tu avais avant la naissance de Maia. « Je n’étais pas la seule à avoir de bonnes nouvelles à partager. » que tu commences, avec l’idée de laisser planer le mystère, sans toutefois être capable de résister au besoin de tout lui dire d’un coup. « Swann l’a demandé en mariage! » que tu partages avec un léger cri d’excitation, cri qui fait sursauter Jude et qui fait bouger légèrement Maia dans son couffin, assez pour que Jude vous le fasse remarquer. « Elle bouge papa, regarde! » Tu échappes un petit rire, réalisant que ton enthousiasme a bien faillit réveiller ta fille, bien que la nouvelle en valait bien la peine à tes yeux. |
| | | Isaac Jensenle coeur au bout des doigts ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0 TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS : RPs EN ATTENTE : RPs TERMINÉS :
(roa, juin 2020)
grisy (s1) lancement ∆ love #4 ∆ grace #1 ∆ grace, greg, sienna ∆ week-end #1 ∆ grace #2 ∆ grace #3
(s2) grace #4 ∆ grace #5 ∆ grace, elias, kieran ∆ elias ∆ ivy ∆ love #5 ∆ love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4 ∆ grace #6 ∆ martin
(s5) épreuve 1 semaine 5 ∆ épreuve 2 semaine 5 ∆ épreuve 3 semaine 5 ∆ résultats
(finale) grace #7 ∆ rafting ∆ grace #8 ∆ grace #9 AVATAR : Will Higginson CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack) DC : / INSCRIT LE : 08/04/2018 | (#)Sam 20 Aoû - 23:29 | |
| L'impression que ton coeur menace d'exploser, tant il est comblé d'amour, t'envahit chaleureusement tandis que tu accompagnes Jude auprès du canapé où Maia dort paisiblement dans son couffin. Ton regard s'attarde quelques secondes sur le poupon, merveille qui te procure encore l'impression d'être issue d'un rêve, tant son arrivée fut inopinée du début à la fin. Un large sourire sur les lèvres, les traits tirés par la fatigue mais par lesquels se lisent majoritairement ce bonheur complet que tu ressens depuis la naissance de la petite, tu présentes doucement ton fils à sa cadette. L'incertitude qui rendait les gestes de l'enfant précautionneux est remplacée par une timide curiosité et frottant délicatement le dos du garçonnet, tu le laisses emmagasiner cette nouvelle d'envergure. Tu es soulagé de ne pas lire le moindre soupçon de jalousie ou de colère sur le visage du blond, bien que connaissant son caractère très conciliant et avenant, tu soupçonnais qu'il accueille sa sœur dont il vous parlait déjà chèrement avec fraternité. Tu te souviens de toutes les petites attentions de Jude vis-à-vis de Penny, ses réflexions et gestes qui parfois vous faisaient sourire car ils reflétaient sa logique de jeune bonhomme de trois ans. Propulsé par l'affection, tu es surpris quand il s'approche si rapidement du nouveau-né que tu ne peux le retenir, déposant un baiser sur sa tête avec une douceur néanmoins qui lui ressemble. Tu laisses échapper un léger rire, amusé de plus par le regard fier et le large rictus qu'arbore ton fils.
Il est calmement expliqué à l'enfant de poursuivre dans son attitude douce avec le bébé encore fragile, qui fera indéniablement entendre sa voix déterminée dans quelques temps. Tu lèves le regard vers Penny qui s'est installée à côté du couffin, les yeux gorgés d'émotions, et tu caresses tendrement son genou et y déposes un baiser, l'interrogeant précautionneusement du regard si elle allait bien, bien que te doutant que le tableau devait l'attendrir. Jude s'anime pour s'installer sur le canapé, ne voulant manifestement pas louper une miette des mouvements de sa petite sœur, et tu l'aides à se glisser entre Penny et le couffin. Sa tête se pose naturellement contre la poitrine de ton amoureuse qui lui caresse les cheveux ; tu te sens si bien au sein de ce concon empli d'amour, de bienveillance et de solidarité que vous avez créé, Penny et toi, au gré des surprises, malgré les tourmentes. Votre photo de famille est atypique, mais tu en es incommensurablement fier et pour rien au monde ne voudrais-tu changer le moindre élément. Pour la première fois de ta vie, depuis que tu es en couple avec Penny et grâce à cette dernière, tu en viens même à accepter ton passé et le juger comme l'impératif allié qui te permet de savourer cette plénitude inestimable auprès des tiens, de ces trois personnes que tu aimes le plus au monde, que tu aimes inconditionnellement et infiniment.
Tu demeures agenouillé sur le plancher, à hauteur des assises du canapé, juste en face de Penny, Jude et Maia. Curieux, tu l'interroges sur Rory, dont la visite se déroulait pendant que tu faisais le trajet pour récupérer Jude à l'aéroport et le ramener à votre maison. « Rory a été complètement surpris, mais tout autant charmé de pouvoir la rencontrer. » Ton sourire s'élargit, t'imaginant la scène. « Il a vraiment le tour avec les bébés, c’est lui qui l’a endormie et elle a pas fait un son depuis qu’elle a été déposée. » « Une qualité de plus à ton meilleur ami, » tu commentes, avant de t'enquérir sur comment ce dernier se portait. « Merveilleusement bien. » Tu reportes ton attention sur Penny, intrigué par sa réponse présageant un événement hors norme. « Je n’étais pas la seule à avoir de bonnes nouvelles à partager. » « Ha non ? » Tu fais, curiosité piquée. « Swann l’a demandé en mariage! » Jude sursaute, Maia s'anime dans son sommeil, tu restes en suspens quelques secondes, les yeux écarquillés.
« Swann l’a demandé en mariage! » La nouvelle est excellente, réjouissante, ravissante. Même si tu ne connais que Rory par le regard de Penny, tu ne doutes pas que ton ami et son amant forment un couple aimant et tu es sincèrement heureux d'entendre qu'ils vont s'unir. Dans ce monde bourré d'incertitude, tu valorises profondément cette alliance qui souligne à quel point Swann et Rory se portent évidence l'un de l'autre. Ca te fait chaud au cœur, ça te fait sourire en toute franchise, tu te promets de féliciter ton ami dès que tu en as l'occasion, mais tu ne trouves derechef les mots pour exprimer ce que tu ressens vis-à-vis de cette merveilleuse nouvelle.
« Elle bouge papa, regarde! » Penny rit doucement, Jude se redresse pour admirer sa sœur, attendant avec impatience qu'elle pose ses yeux sur lui. Tu conserves le même sourire, tu as l'impression d'être transformé en statue de marbre quelques instants, figé dans le moment. La satisfaction que tu ressens à l'adresse de Swann et Rory et leur décision de se marier est pure mais il y a cette partie de toi, cette noirceur que tu abhorres tant qui gangrène ton esprit si tu la laisses, qui te cloue prodigieusement le bec. Ce n'est pas Rory qui a mis le genou à terre, c'est Swann et tu connais en partie le passé du blond. Tu as conscience qu'il mène un combat ressemblant au tien et tu ne peux pas t'empêcher de te demander, admiratif, où il a puisé sa force pour prendre ce pari d'éternité avec Rory. Quand bien même tu désires ardemment vivre toute ta vie aux côtés de Penny, quand bien même tu rêves d'éternel avec elle sans aucune équivoque, tu es terriblement terrifié à l'idée de lui demander sa main. Au-delà de la peur qu'elle te rejette, tu es pétrifié de lui causer du mal par la suite à cause de ta santé mentale. Tu as peur qu'en l'épousant, tu deviennes ce fardeau dans sa vie qu'elle se doit de traîner parce qu'elle a accepté être tienne "dans la santé comme dans la maladie et jusque la mort vous sépare". Tu n'es pas capable de produire ce pas, pour l'instant, parce que tu ne te fais pas assez confiance, tu ne t'aimes pas assez, tu ne te juges pas assez solide, pour risquer de mettre en danger la femme que tu aimes plus que tout au monde. C'est la protéger de ne pas l'épouser, de ton point de vue, la meilleure manière que tu as de l'aimer en garantissant sa liberté totale légalement de te fuir si tu devenais trop pesant malgré toi.
« C'est une excellente nouvelle, » tu formules enfin, franc mais intrinsèquement envieux, même si tu étouffes ce second sentiment que tu détestes mais qui te mord l'âme au fin fond de ton être. Tu fuis quelques instants le regard de ton amoureuse, craignant qu'elle y lise ce que tu n'oses assumer et tu inspires profondément, comme si l'oxygène pouvait chasser les effets contradictoires émanant de ta santé mentale qui n'ont pas lieu d'être pour cette promesse d'union jubilatoire. Oui, t'admires Swann pour son courage et les moyens qu'il a trouvé de poser ce pas, et secrètement, tu aimerais être dotés des mêmes. « Est-ce que tu sais quand ils ont prévu s'épouser ? Ils vont se marier à Brisbane ? » Tu questionnes, sincèrement intéressé, en grande partie par ce sublime événement à venir et légèrement par le pouvoir de distraction que ces questions invoquent. |
| | | ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0 TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only (03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)
AVATAR : elizabeth bb olsen. CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz) DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart) PSEUDO : vlastuin › marie. INSCRIT LE : 27/10/2020 | (#)Dim 18 Sep - 14:48 | |
| picture perfect family Ton cœur est gonflé de bonheur, d’amour et de fierté alors que ton regard se pose pour la toute première fois sur le portrait complet de votre famille atypique. Tu suis avec attention les moindres mouvements que Jude effectue à l’égard de sa petite sœur, petite nouveauté qui est venue remplir vos vies avec précipitation. Elle n’est là que depuis quelques jours et pourtant, la vie sans elle te semble soudainement floue, comme si cet univers appartenait à une autre qu’à toi. C’est difficile de l’expliquer, mais tu sais qu’avec Isaac, tu n’as pas besoin de le faire. Il y a ces regards que vous échangez, qui parlent bien plus fort que n’importe quel mot. L’émotion remplit le salon, c’est un moment qui se vit majoritairement dans le silence, mais qui est si symbolique pour votre famille atypique. La première fois que vous vous retrouvez tous les quatre, cette première rencontre entre Jude et Maia, le premier chérissant déjà la deuxième avec une douceur et une attention qui reflète parfaitement la personnalité du garçonnet. Tu pourrais passer des heures à juste être, ici. À regarder Maia dormir, à t’émerveiller devant le moindre des gestes de Jude, à frissonner chaque fois qu’Isaac t’embrasse tendrement, à chaque fois que sa main serre la tienne, que vos corps se frôlent simplement parce que vous en avez envie. La vie est belle, la vie est bonne, juste là, maintenant, tout de suite, et si c’est fou de penser à tout ce que vous avez dû traverser chacun de votre côté pour vous retrouver ici, tu ne peux qu’apprécier que tout ça, le beau, le bon, le mauvais et même le laid vous est mené jusqu’à ce moment bien précis.
« Une qualité de plus à ton meilleur ami. » Tu acquiesces d’un simple hochement de la tête, tes pensées s’éparpillant ici et là alors que tu te remémores cette grande nouvelle que le Craine t’a annoncé un peu plus tôt. Une nouvelle qui ne te surprend pas tant que ça, mais qui te remplis d’une joie immense. À tes yeux, Rory et Swann méritent amplement d’être heureux et rien ne te fait plus plaisir que de savoir qu’ils se sentent tous les deux prêts à prendre ce nouveau tournant. Tu connais assez bien Rory pour savoir l’importance qu’il accorde au mariage, et tu ne doutes pas un seul instant qu’en se promettant éternité, les deux hommes le veulent sincèrement. Tu contiens difficilement la joie qui t’habite alors que tu relates le tout à ton amoureux, avec un petit cri de joie qui ne manque pas de faire sursauter Maia et qui fait rire Jude, qui s’emballe devant les mouvements nouveaux de sa petite sœur. Il n’y a qu’Isaac qui ne réagit pas, son regard semble se perdre sur ton visage et tu clignes des yeux quelques fois, te demandant si tout va bien. Ton sourire perdure sur ton portrait, mais tu viens poser une main sur l’épaule d’Isaac. « Isy? » que tu l’intimes d’une petite voix alors qu’il semble enfin s’animer à nouveau, son regard fuyant soudainement le tien. « C’est une excellente nouvelle. » annonce finalement ton amoureux et une fois de plus, tu hoches doucement la tête en approbation, tes doigts caressant doucement son épaule que tu n’as toujours pas lâcher. « Est-ce que tu sais quand ils ont prévu s’épouser? Ils vont se marier à Brisbane? » Les questions d’Isaac t’arrachent un léger rire, peu surprise de sa tendance acquisitrice, bien que tu ne possèdes pas les réponses. « Rory n’est pas rentré dans les détails, je pense que Swann lui a fait la grande demande il y a quelques jours à peine. » que tu précises, l’excitation toujours aussi présente dans tes réactions. « Tout ce que je sais c’est que j’ai rarement vu Rory aussi heureux. » que tu commentes. Il y avait des étoiles dans les yeux du Craine et tu savais parfaitement que ce n’était pas seulement provoqué par la présence de ce petit ange endormi dans le couffin devant vous. « Et moi je suis impatiente de pouvoir vivre ce merveilleux évènement avec toi. » que tu souffles, déposant tes lèvres contre sa joue. C’est seulement après quelques secondes que tu réalises que ta phrase peut vouloir dire plus d’une chose, dont le fait que tu espères vivre un moment similaire avec lui, soit la demande en mariage ce qui n’est pas faux en soit, mais pas exactement ce que tu essayais de dire en ce moment. « D’assister à leur mariage, je veux dire. » que tu précises donc simplement, ton regard qui se tourne légèrement vers Maia toujours assoupie et vers Jude qui a délaissé sa sœur au profit des petites voitures dans son bac à jouet. « Est-ce que ça va? Tout s’est bien passé à l’aéroport? » que tu finis par lui demander, pleine de sous-entendus, craignant que ses réactions lentes soient la cause d’un quelconque incident avec Lucy, dont le comportement vous inquiète de plus en plus avec chaque semaine qui passe. |
| | | Isaac Jensenle coeur au bout des doigts ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0 TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS : RPs EN ATTENTE : RPs TERMINÉS :
(roa, juin 2020)
grisy (s1) lancement ∆ love #4 ∆ grace #1 ∆ grace, greg, sienna ∆ week-end #1 ∆ grace #2 ∆ grace #3
(s2) grace #4 ∆ grace #5 ∆ grace, elias, kieran ∆ elias ∆ ivy ∆ love #5 ∆ love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4 ∆ grace #6 ∆ martin
(s5) épreuve 1 semaine 5 ∆ épreuve 2 semaine 5 ∆ épreuve 3 semaine 5 ∆ résultats
(finale) grace #7 ∆ rafting ∆ grace #8 ∆ grace #9 AVATAR : Will Higginson CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack) DC : / INSCRIT LE : 08/04/2018 | (#)Dim 6 Nov - 1:18 | |
| La main de Penny qui se pose sur ton épaule, suivi de son appel, te ramènent à la réalité. Tu cilles, chassant péniblement les nuages qui venaient d'obscurcir en une vitesse ahurissante ton esprit, projetant honteusement ton regard vers votre fille qui ne saurait encore y interpréter les myriades de désamour qui s'érigent en toi. Tu inspires profondément avant de formuler, avec franchise et sincérité, à quel point tu considères l'union de Swann et Rory une excellente nouvelle. C'est avec un pincement au cœur que tu enchéris, demandant à ton amoureuse quand est-ce que ce bel événement se tiendrait, aussi intéressé par ces informations que motivé par la volonté de te concentrer sur cet imminent bonheur plutôt que la pénombre qui s'agite en toi et que tu méprises ardemment. Tu te maudis effectivement d'une force spectaculaire de ne pas être capable d'uniquement te réjouir pour Swann, Rory et tout leur entourage. Tu te détestes que leur bonheur te touche tant parce que par une drôle d'empathie, de sensibilité ou d'appropriation, tu penses à Penny et à quel point tu aimerais être aussi brave que le britannique et oser lui demander sa main, quand le moment sera opportun. Tu te sens purement égoïste de reporter leur promesse d'avenir à ta propre histoire, que leur amour te rappelle ces freins que tu t'imposes dans l'unique optique de protéger la femme que tu aimes plus que tout au monde. Tu ne sais pas si tu agis justement. Souvent, tu redoutes qu'une partie de tes décisions est prise davantage par ta maladie que par ton cœur, tu crains qu'elle possède ce contrôle sur toi dans tant de subtilités. Parfois, tu ne sais même plus si tu es sans elle, si tu peux exister sans tes troubles ; et d'autres jours, tu es intimement convaincu que la personne que tu es et ta maladie sont deux entités bien distinctes. Vous êtes liés, tu en as conscience, comme le fait qu'elle t'a défini par les épreuves qu'elle t'a fait vivre, mais il existe de ces jours où la frontière entre qui tu es sous l'emprise de sa force et qui tu es lorsque tu la domines est trop abstraite.
« Tout ce que je sais c’est que j’ai rarement vu Rory aussi heureux. » Un sourire se dessine sur tes lèvres, tes doigts viennent couvrir chèrement ceux que Penny a posé plus tôt sur ton épaule. « Et moi je suis impatiente de pouvoir vivre ce merveilleux évènement avec toi. » Son parfum que tu aimes tant t'envahit lorsqu'elle dépose tendrement un baiser sur ta joue. Tu fermes les yeux le temps d'une seconde, savoures l'instant, t'en réconfortes, le saisissant à la portée de ses mots qu'elle t'articule. « D’assister à leur mariage, je veux dire. » Tes émeraudes se posent de nouveau sur Penny qui se redresse et tu embrasses tendrement ses mains, une partie de ton esprit te demandant si un jour tu pourrais l'embrasser de la sorte avec son annulaire dotée d'une alliance. Tu serais assurément des plus heureux et fier que la Stringer te fasse l'honneur de devenir ton épouse. « Est-ce que ça va? Tout s’est bien passé à l’aéroport? » Tu te rends compte à quel point la loquacité t'a quittée, tu te mordilles nerveusement la lèvre, regrettant amèrement ta réaction. Il y a partie au fond de toi qui t'accuse déjà d'avoir ruiné la rencontre entre ton fils et sa petite sœur parce que tu n'as su rester dans le moment, parce que tu t'es laissé submerger pour une nouvelle qui ne devait être que réjouissante. Tu déglutis l'amer des regrets, t'en voulant d'inquiéter de surcroît Penny par ta réaction saugrenue. « Oui, ça s'est bien passé, » tu rassures sommairement. « Je suis désolé, » tu t'excuses pour ton comportement avant d'inspirer profondément, presser brièvement tes yeux de tes doigts. De vous deux, Penny est de loin celle qui a vécu les plus rudes épreuves ces dernières semaines et tu refuses de défaillir. Tu veux prendre soin d'elle, de Maia, de Jude, chérir chaque moment comme il le mérite. « Ca va passer, » tu promets, le cœur tambourinant. Tu soutiens le regard de Penny quelques instants comme pour ancrer ta promesse entre vous puis ce premier devient peu à peu vide, trahissant malgré toi une plongée dans tes abysses. Tu trouveras les moyens pour prendre le dessus sur les travers de ton mental, tu sais que tu possèdes les armes nécessaires ou même les outils qui te permettront d'en créer de nouvelles, tu as désormais confiance en toi, un sentiment neuf que tu dois notamment à Penny et tout le soutien, l'amour et la compréhension qu'elle t'offre au quotidien. Tu te redresses pour t'asseoir à côté d'elle sur le canapé et au même moment, Maia chouine dans son couffin. Derechef, Jude vous rejoint, son regard porté vers sa petite sœur qui gesticule. « Tu veux lui faire un câlin ? » Tu proposes au garçonnet qui te considère, des étoiles dans les yeux. « Assis-toi à côté de Penny, » tu l'invites et l'enfant ne se fait pas prier, se hissant sur le canapé à côté de ton amoureuse. Tu prends avec une infinie douceur Maia dans tes bras avant de la poser sur les jambes tendues de Jude, soutenant toujours précautionneusement sa tête sous ta main. Le garçon vient poser son bras délicatement sur Maia, contemplant le nouveau-né qui s'étire doucement. Pendant quelques instants, il n'y a que les petits sons produits par le bébé qui mouvent le salon avant que Jude ne fasse dans un murmure, comme s'il s'agissait d'un secret : « Je l'aime bien. » Son expression t'arrache un léger rire et le petit garçon sourit largement, déposant un nouveau baiser sur le front de Maia, sa main sur son buste. Lorsque les traits du nourrisson commencent à se tirer, précepteurs de futurs pleurs, Jude vous regarde avec inquiétude. « Ne t'en fais pas, c'est juste que Maia va bientôt vouloir manger, » tu le rassures avec légèreté, reprenant Maia dans les bras et t'installant à côté de Penny tandis que Jude laisse la place vacante pour repartir jouer à quelques mètres.
« Je suis vraiment heureux, pour Swann et Rory, » tu reviens sur le sujet, réalisant avec le recul que tu avais offert peu de commentaire sur cette annonce. Même si tu n'avais pas encore eu la chance de rencontrer le meilleure ami de Penny, tu te réjouissais pour le couple, leur souhaitant tout le bonheur. Swann le méritait amplement et tu ne doutais pas que l'homme qui faisait battre son cœur le méritait tout autant, d'autant plus que Penny t'avait confié à quel point Rory lui avait paru heureux. A eux deux, tu étais convaincu qu'ils formeraient de merveilleux mariés et cet événement ajouterait une autre belle touche à leur histoire. « Et je suis impatient de vivre ce merveilleux moment avec toi aussi, » tu ajoutes, sans pour autant prendre le soin de préciser pour ta part, la malice dans ton regard assumant apprécier le superflu, quand bien même au fond de ton être l'idée de mariage provoque un épouvantable remue-ménage. Tu souris doucement, déposant un délicat baiser sur les lèvres de Penny. |
| | | ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0 TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only (03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)
AVATAR : elizabeth bb olsen. CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz) DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart) PSEUDO : vlastuin › marie. INSCRIT LE : 27/10/2020 | (#)Sam 12 Nov - 14:18 | |
| picture perfect family Le moment se veut doux, mais il y a quelque chose qui cloche. Tu ne saurais exactement mettre le doigt sur ce qui se passe, mais le regard de ton amoureux s’assombrit et tu sembles perdre l’accès à ce qui se passe dans sa tête. Tu ne comprends qu’une chose toutefois : quelque chose le tracasse. Tu ne sais simplement pas de quoi il s’agit, pas encore du moins. La première chose qui te vient en tête est inévitablement Lucy. Tu t’imagines déjà qu’il y a eu un pépin à l’aéroport, ou alors que la Ersley a annoncé une mauvaise nouvelle quelconque qui aurait pu chambouler Isaac. Tu ne t’imagines pas que cela n’a absolument rien à voir avec son ex-fiancé, mais plutôt tout à voir avec les fiançailles que tu viens de lui annoncer, celles de ton meilleur ami qui t’emplissent d’un bonheur que tu ne saurais exprimer de manière cohérente. Si l’excitation l’emporte temporairement sur l’inquiétude, tu ne mets pas de côté tes questionnements, bien que ce serait si simple de tout oublier simplement pour te perdre dans la pureté du moment, de cette première rencontre entre Jude et Maia, de ces premiers instants en famille, tous les quatre. Un tableau que tu n'aurais jamais pu dessiner il y a à peine un an de ça, mais dont chaque couleur te fait vibrer, dont chaque trait t’emballe et te donne envie de continuer cette peinture pour le restant de tes jours. Les baisers que déposent Isaac sur le bout de tes doigts te font légèrement frissonner, tu voudrais pouvoir faire pause, là, tout de suite, avant que les nuages ne reviennent et que ce moment pur de bonheur ne t’échappe, mais la vie n’est pas un film dont il est possible de fixer l’image, qu’importe à quel point tu t’y acharnes. « Oui, ça s’est bien passé. » La réponse est vague, tu n'y trouves pas l’entrain habituel de ton amoureux et tu voudrais tant comprendre ce qui se passe, ne serait-ce que pour savoir quoi dire, quoi faire pour le ramener à toi, à la beauté et la simplicité du moment présent. « Je suis désolé. » « Hey, c’est rien. » que tu le rassures aussitôt, doux sourire sur les lèvres alors que tes doigts viennent légèrement caresser sa nuque, pour lui rappeler que tu es là, que tu ne bouges pas, peu importe ce qui se passe. « Ça va passer. » La promesse se joue dans vos regards qui s’accrochent l’un à l’autre, et tu n’insistes pas plus longtemps. Pas tout de suite, pas comme ça.
Surtout pas alors que Maia s’agite légèrement, attirant ainsi l’attention de son grand frère qui s’approche d’abord avec presse, avant de ralentir subitement, sans doute effrayer de commettre un faux pas avec la petite fille sous ses yeux, si petite et si fragile. « Tu veux lui faire un câlin? » Jude répond instinctivement à la positive, ce qui ne manque pas d’élargir le sourire sur tes lèvres. « Assis-toi à côté de Penny. » Le petit garçon s’installe confortablement à tes côtés, suivant avec curiosité le moindre geste de son père qui se penche doucement au-dessus du couffin pour en sortir Maia, qu’il vient avec toujours autant de délicatesse poser dans les bras de son aîné. « Assures-toi de bien tenir sa tête. » que tu murmures avec bienveillance, Jude réajustant légèrement sa position pour poser ses mains sous la tête de sa petite sœur, comme s’il craignait qu’en bougeant le moindrement, il risquait de lui faire mal. Tu savais depuis le premier jour que Jude serait un grand frère attentionné, et de déjà le voir se concrétiser sous tes yeux suffit à t’arracher quelques larmes, le corps toujours sous l’effet intensif de tes hormones en vrac. « Je l’aime bien. » qu’il lâche, le petit blond avant de venir déposer un baiser sur le front de Maia. « Je pense que c’est réciproque. » que tu confirmes au plus grand bonheur de Jude, avant que le doute ne s’installe dans le fond de son regard lorsque les traits de sa sœur se crispe légèrement, annonçant quelques pleurs à venir. « Ne t’en fais pas, c’est juste que Maia va bientôt vouloir manger. » Cette réponse suffit à Jude qui rend Maia à son père avant de disparaître à nouveau, son attention dirigée vers ses petites voitures et avant même que la petite n’est le temps de s’agiter dans les bras d’Isaac, tu la reprends contre toi, l’installant pour un boire, ce qui ne manque pas de calmer instantanément le nouveau-né. « Il va être merveilleux avec elle. » que tu commentes, ton regard posé sur Jude, une évidence dont tu n’as jamais douté, mais que tu prononces avec un énorme mélange de fierté et d’affection dans la voix.
« Je suis vraiment heureux, pour Swann et Rory. » « Moi aussi. » que tu réitères, t’amusant déjà à imaginer leur grand moment selon les personnalités respectives des deux hommes. Tu n’arrivais pas à te faire un portrait bien précis mais tu savais une chose : leur mariage risquait d’être romantique à souhait et personne ne méritait autant qu’eux que les préparations à venir se déroulent sans le moindre pépin. « Je pense qu’il devient de plus en plus urgent d’organiser ce double-date avec eux, histoire que ta première rencontre avec Rory ne soit pas le jour de son mariage. » que tu lances avec un rire dans la voix, toujours aussi épatée que les chemins de deux des hommes les plus importants dans ta vie n’aient pas eu la chance de concrètement se croiser jusqu’à aujourd’hui. Bien sûr, ils s’étaient vus vite fait ici et là, mais tu t’en voulais presque de ne pas avoir organisé quelque chose de plus formel plus tôt. « Et je suis impatient de vivre ce merveilleux moment avec toi. » Isaac reprend tes mots, sans l’ajout que tu as fait un peu plus tôt ce qui ne manque pas de te faire rire, surtout au vu de la malice qui a repris place dans le fond de ses yeux, ce regard que tu connais si bien et que tu aimes tant, loin des nuages perçus il y a pourtant quelques minutes à peine. « J’ai pu t’accompagner au mariage de ta meilleure amie, maintenant c’est ton tour de me faire cet honneur. » que tu notes, te remémorant le grand jour de Noa il y a quelques mois de cela. « Les mariages, les enfants, c’est fou comment la vie change vite. » que tu ne peux t’empêcher de commenter, ton quotidien et ton entourage il y a à peine quelques années de cela complètement différent à ce qui se projette dans les prochains mois. Loin est la Penny workaholic, entourée de célébrités à la même mentalité, repoussant constamment l’idée d’une vie de famille stable. « Mais peu importe tous les changements, je te promets d’être toujours ta constante. » que tu lui murmures doucement avant de poser ton regard sur Maia qui somnole déjà à nouveau, ses périodes d’éveil encore très courtes, juste assez longues pour des câlins et un boire. « Tu promets que tu me le dirais, si quelque chose allait pas? » que tu lui demandes finalement, incapable de te défaire complètement de cette inquiétude éprouvée un peu plus tôt, alors que tu changes délicatement la position de Maia pour que vous soyez toutes les deux confortables, avant de finalement relever les yeux vers ton amoureux. |
| | | Isaac Jensenle coeur au bout des doigts ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0 TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS : RPs EN ATTENTE : RPs TERMINÉS :
(roa, juin 2020)
grisy (s1) lancement ∆ love #4 ∆ grace #1 ∆ grace, greg, sienna ∆ week-end #1 ∆ grace #2 ∆ grace #3
(s2) grace #4 ∆ grace #5 ∆ grace, elias, kieran ∆ elias ∆ ivy ∆ love #5 ∆ love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4 ∆ grace #6 ∆ martin
(s5) épreuve 1 semaine 5 ∆ épreuve 2 semaine 5 ∆ épreuve 3 semaine 5 ∆ résultats
(finale) grace #7 ∆ rafting ∆ grace #8 ∆ grace #9 AVATAR : Will Higginson CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack) DC : / INSCRIT LE : 08/04/2018 | (#)Mer 30 Nov - 4:50 | |
| L'annonce des fiançailles de Swann et Rory t'avait heurté de plein fouet et tu t'en voulais de n'avoir pu réagir de manière similaire à Penny. Tu aurais tant aimé ne ressentir exclusivement que bonheur et ravissement pour cette merveilleuse nouvelle, dont tous les éléments n'invitaient qu'à la réjouissance. Si tu ne connaissais pas encore personnellement l'acteur, tu en avais entendu parler qu'en bien et étais ainsi convaincu qu'il était un homme de valeur, sans compter qu'il était le meilleur ami de ton amoureuse. De plus, tu connaissais assez Swann pour désirer que son quotidien soit comblé d'amour et de plénitude. Les deux hommes méritaient assurément d'être heureux, de souligner cette félicité d'avoir été réunis par le destin et il était formidable qu'ils célèbrent cette affection pure et profonde qu'ils se vouaient l'un à l'autre. Une part de toi ressentait bien cette satisfaction à l'égard du couple, cependant, elle était minablement obscurcie par cette myriade d'émotions générée par une habitude malsaine de se comparer à autrui.
Parce que forcément, lorsque tu penses au mariage, instantanément, tu penses à Penny, avec qui tu rêves de vivre ce moment. Spontanément, ton cœur palpite en son nom mais ton esprit vient le percer avec une amertume et brutalité douloureuse, te rappelant qu'il serait déraisonnable que tu t'unisses à l'actrice, te sommant qu'elle serait mieux lotie célibataire que mariée à l'homme que tu étais. Tu étais terrifié qu'en devenant l'époux de Penny, si jamais elle venait à accepter de t'offrir sa main, tu te transformerais en sa prison, en sa déchéance, en son enfer, inapte à garantir que tu aurais toujours le contrôle sur ta santé mentale, incapable de promettre que tu ne deviendrais jamais un fardeau pour la femme que tu aimais.
Les remords te mordent sans vergogne, réalisant qu'à plonger dans les abysses de ces cauchemars et hantises, tu passes également à côté d'un moment unique : celui où Jude et Maia se rencontrent pour la première fois. Tu te maudis de ne pouvoir t'attacher au moment présent pourtant si inestimable, alors que tu en as loupés de plus déjà bien assez de la vie de ton fils. Tu regrettes et bien vite tu te complais à t'incriminer des fautes que tu commets successivement depuis que tu es revenu de l'aéroport, vouant une profonde exaspération à ton égard. Tu ne sais même plus ce que tu es, en ce moment précis. S'il était plus juste de te qualifier d'égoïste, de lâche, de jaloux de faible ou bien d'envieux. Peut-être personnifiais-tu une médiocre mosaïque de toutes ces émotions, en plus de quelques autres que tu ne tarderais pas à dénicher dans les strates de ton désamour.
Tu inspires profondément, luttant pour chasser la pénombre qui te gagne et revenir à ce présent qui défile, qui file sans préavis. Jude vous a quittés pour rejoindre ses petites autos et un nouveau pincement au cœur te tiraille, ajoutant à ta culpabilité de n'avoir pu orchestrer meilleure première rencontre. Tu lèves le regard vers Penny, désolé de la scène, de la situation, de ton comportement, de ton incapacité à franchement et uniquement te réjouir pour son meilleur ami, à te consacrer à ta famille dans un instant si authentique. « Hey, c’est rien, » la jeune femme te rassure aussitôt et tu inspires profondément, le coeur lourd, infiniment reconnaissant malgré la déception d'avoir gâché deux bonheurs d'affilée. Tu te concentres sur les doigts de ta petite amie caressant doucement ta nuque et tu t'entends lui promettre que ça va passer, que tu vas te ressaisir, osant croiser son regard pour y exposer toute ta volonté mais aussi y puiser la force qui repose indéniablement au creux des pupilles de ta petite amie.
Peut-être que ta fille te donne un coup de main lorsqu'elle s'agite dans son couffin, attirant spontanément l'attention de son frère qui se précipite vers vous pour admirer sa petite sœur désormais en mouvement. Tu lui proposes d'étreindre le nourrisson et spontanément le garçonnet acquiesce, suivant avec obéissance les indications formulées par Penny et toi-même pour avoir au mieux la petite contre lui. La scène est attendrissante, émouvante, l'affection que dédie Jude à sa sœur déjà transparente. Lorsqu'il vous indique aimer sa cadette, tu ne peux t'empêcher de rire légèrement, déposant un baiser sur la joue de Penny en remarquant l'émotion la gagner. Puis, le nouveau-né rejoint sa mère, manifestant sa faim, bien vite comblée au contact de la jeune femme.
Tu caresses avec tendresse la toute petite main de Maia tandis que Jude repart de nouveau jouer avec ses petites voitures. Durant quelques secondes, il n'y a que les bruits de succion produits par votre fille et ceux des voitures qui s'entrechoquent à quelques mètres qui emplissent le salon, enveloppant la cacophonie surgissant dans ta boîte crânienne que tu essaies de régir, de maîtriser, d'ordonner. Finalement, tu tentes une marche arrière, espérant que le moment n'est pas totalement perdu, avouant à Penny être réellement heureux pour Penny et Swann, ce que tu avais manqué d'exprimer plus tôt. « Moi aussi. » La vingtenaire te répond aussitôt et un sourire vague se dessine sur ton portrait. « Je pense qu’il devient de plus en plus urgent d’organiser ce double-date avec eux, histoire que ta première rencontre avec Rory ne soit pas le jour de son mariage. » Tu ris légèrement, rejoint par la mélodie du rire cristallin de Penny. Tu te rapproches d'elle, prenant soin à ne pas déranger le nouveau-né entre ses bras, et déposes un baiser sur son front. « Je suis assez curieux de le rencontrer en vrai aussi. Pour l'instant, dans ma tête, il est un mélange de ce que tu m'as dit de lui et de ses rôles que j'ai pu voir lors de nos soirées cinémas, » tu révèles, amusé. Cela ferait assurément étrange de rencontrer quelqu'un que tu n'as vu qu'à la télé en chair et en os. Tu laisses planer quelques instants de silence, avant d'exposer qu'il te tardait de connaître un nouveau mariage avec elle, jouant de l'absence de précision, la malice réapparaissant peu à peu dans ton regard émeraude. « J’ai pu t’accompagner au mariage de ta meilleure amie, maintenant c’est ton tour de me faire cet honneur. » Tu souris. « J'en serai honoré, » tu assures. « Les mariages, les enfants, c’est fou comment la vie change vite. » Tu hoches la tête, ton regard déviant vers les deux petits dans la pièce, Jude se levant cependant pour se rendre à l'étage où se trouve sa chambre et une autre partie de ses jouets. « Oui, c'est dingue. » Tu marques une pause. « La vie change vite, le temps passe vite, » tu remarques. « J'ai l'impression qu'elle passe vite surtout quand on vit de beaux moments avec les personnes qu'on aime. » Tu remarques à voix haute. Tu avais connu des périodes de ta vie où cette dernière te semblait monotone, routinière, sans réel passion ; ou alors interminable dans la douleur et les difficultés. Avec Penny, vous viviez un rythme effréné, comblé de surprises et de bouleversements. Le temps filait comme un éclair, mais tu n'y changerais absolument rien, tu valorisais chaque étape et chaque instant que tu avais vécu auprès de la Stringer. La vie te semblait avoir un sens, une valeur, avec elle, et Dieu qu'elle t'était belle. « Mais peu importe tous les changements, je te promets d’être toujours ta constante. » Tu lèves ton regard sur le portrait de Penny, concentrée sur Maia désormais somnolente dans ses bras. Dans ces moments époustoufflants et imprévus, ton amoureuse sait toujours dire exactement ce qu'il faut pour apaiser ton cœur et ton esprit, te rassurer, te réconforter. Cette promesse, ce rappel, te fait indéniablement du bien et t'insuffle une dose de courage, de vaillance, tout en amoindrissant l'angoisse qui gronde en toi. « Tu promets que tu me le dirais, si quelque chose allait pas? » Un rictus désolé vient creuser ta joue et tu ne réponds pas de suite, même s'il t'est évident que tu t'engages à être toujours honnête avec elle. « Je te le promets, » tu fais doucement, laissant ta phrase en suspens, baissant les yeux. « Mais il y a des choses, » tu commences, te mordillant l'intérieur de ta joue. « Je ne sais pas comment les dire, comment les exprimer, » tu confesses en soupirant discrètement. Tu n'étais pas certain de trouver les justes mots pour communiquer ce que tu ressentais, ni même certain de le comprendre toi-même. « Je ne sais pas encore comment les dire, » tu rectifies, un peu plus optimiste. « C'est fouillis et je n'arrive pas à délimiter ce qui est vrai, ce qui est faux, qu'est-ce qui est quoi et comment c'est comme ça ou pourquoi c'est comme ça ou comment c'est tout court. » Tu tentes de représenter, ayant l'impression d'être prodigieusement incohérent et peu clair. Tu inspires profondément. « C'est comme un sac de nœuds. Parfois j'en comprends un ou on m'aide à en comprendre un » je lorgne avec complicité et affection Penny qui avait eu ce rôle dans le passé plusieurs fois, « et j'arrive à le démêler ou l'accepter. Et parfois, je sais même pas vraiment où il commence ou de quoi il est fait ou où il va. » Et parfois, tu avais peur de ne plus réussir à démêler quoi que ce soit et que le sac de nœuds s'empire, grossisse, et t'écrase, t'étrangle. « Je te promets de te le dire, » tu confirmes, plein de bonne volonté, malgré ces parts d'ombres qui pouvait te rendre malgré toi muet. « Tu me le promets aussi ? » Tu sollicites doucement, tes yeux rivés sur la silhouette de ton amoureuse. Tu reconnaissais défaillir, ne pas toujours être le plus fort, mais tu tenais à soutenir Penny en tout temps, à l'épauler, à l'aider, à l'aimer, à la choyer, à la défendre, à l'écouter. Tu remuerais Ciel et Terre sans compter pour son bonheur, indépendamment de comment tu te sentais, car son bien-être constituait l'une de tes priorités. « Tu pourras toujours compter sur moi, » tu promets, lui donnes ta parole avec un naturel traduisant comment Penny est une évidence dans ton cœur et dans ta vie, et comment ton dévouement vis-à-vis d'elle est aussi l'une des rares choses dont tu es certain. Tu réalises que tu n'éprouves que fierté à t'engager à chérir et soutenir Penny pour plusieurs éternités ; si le mariage ne reposait que sur ce volet dans ton esprit, tout serait infiniment plus simple.
Tu mordilles nerveusement ta lèvre avant de souffler, dans un élan de lucidité : « J'ai peur d'un jour te faire du mal, sans le vouloir. » De ruiner sa vie, de ruiner sa liberté, de devenir un fardeau. Et tu trouvais ça honteusement égoïste de le dire maintenant que vous aviez un enfant ensemble, de plus. Tu n'y changerais rien pour rien au monde ; le couple que tu formais avec Penny et cette famille que vous bâtissiez était ce que tu avais de plus précieux et ce que tu aimais de la manière la plus inconditionnelle qui soit. Tu aimais la Stringer, tu adorais tes enfants. Néanmoins, tu étais terrifié à l'idée de tout détruire, de tout intoxiquer par tes troubles mentaux. Ton pire et recurrent cauchemar serait de les perdre comme de les blesser. |
| | | ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0 TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only (03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)
AVATAR : elizabeth bb olsen. CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz) DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart) PSEUDO : vlastuin › marie. INSCRIT LE : 27/10/2020 | (#)Lun 19 Déc - 2:51 | |
| picture perfect family Tu t’apaises à la respiration de ta fille contre toi, mais tu n’es pas certaine que ça en soit de même pour ton amoureux qui te paraît toujours aussi loin. Il tente de te rassurer, mais il y a quelque chose qui continue de le tracasser, tu le lis dans le fond de son regard. Tu fais de ton mieux toutefois pour ne pas laisser ton inquiétude empiéter sur la beauté et la douceur du moment, sur le bonheur que tu éprouves à l’idée de savoir ton meilleur ami fiancé à celui qu’il aime, de voir les légères interactions se créer entre frère et sœur alors que Jude découvre tranquillement Maia, qu’il apprendra à aimer et à chérir autant qu’il a pu le faire quand elle était encore dans ton ventre. Quand Isaac réitère être réellement heureux pour Rory et Swann, un sourire reprend naturellement place sur ton portrait. Difficile de croire qu’une année entière se soit écoulée sans que le Craine et le Jensen n’aient été emmené à se rencontrer en face à face, mais les horaires atypiques autant de l’acteur que de l’infirmier expliquent selon toi les incompatibilités d’horaire, bien que tu sois pressée de rectifier la situation. « Je suis assez curieux de le rencontrer en vrai aussi. Pour l’instant, dans ma tête, il est un mélange de ce que tu m’as dit de lui et de ses rôles que j’ai pu voir lors de nos soirées cinéma. » Tu échappes un rire, ayant bien du mal à imaginer Rory autrement que pour ce qu’il est vraiment en dehors de son travail d’acteur, même si tu peux comprendre qu’il peut être compliqué de s’éloigner de ce qu’il projette dans ses rôles lorsque c’est la seule chose à laquelle Isaac peut réellement s’accrocher présentement. « Je suis persuadée que vous allez bien vous entendre. » Il n’y avait pas de raison pour que ce ne soit pas le cas après tout, ils avaient tous les deux des personnalités similaires et une douceur qui rendait quiconque confortable à leur contact. « J’en serai honoré. » te confirme finalement Isaac lorsque tu notes le fait que vous alliez inverser les rôles et c’est un peu plus apaisée que tu te permets de rêver de ce jour bien particulier. Ce jour qui viendra bien vite, qui prouvera une fois encore à quel point rien ne reste jamais pareil, que tout change à une vitesse fulgurante, comme le prouve déjà bien le tableau de ta vie qui se dresse sous tes yeux. « Oui, c’est dingue. La vie change vite, le temps passe vite. J’ai l’impression qu’elle passe vite surtout quand on vit des beaux moments avec les personnes qu’on aime. » « Ça explique pourquoi j’ai rien vu passé de la dernière année alors. » que tu ne peux t’empêcher de commenter avant de venir déposer un baiser sur les lèvres de ton amoureux. Une année pleine de rebondissements en tout genre, mais surtout une année durant laquelle tu as trouvé l’amour, pendant laquelle tu as eu l’impression de te retrouver aussi, de découvrir la plus belle version de toi qui soit.
Malgré ton envie de garder les choses simples, tu ne peux t’empêcher de revenir sur ces moments de doutes qui semblaient s’être épris de ton amoureux un peu plus tôt. Juste pour t’assurer qu’il sait que tu es là, qu’il peut se confier à toi, qu’il peut tout te dire, toujours. « Je te le promets. » La promesse te rassure, mais ce n’est pas tout, tu le comprends avant même qu’il ne reprenne la parole. « Mais il y a des choses. Je ne sais pas comment les dire, comment les exprimer. » Tu secoues doucement la tête. Tu ne souhaites pas le presser, encore moins le forcer à quoique ce soit. Tout ce que tu veux, c’est de pouvoir le comprendre et l’aider, autant que c’est possible pour toi de le faire. « Je ne sais pas encore comment les dire. C’est fouillis et je n’arrive pas à délimiter ce qui est vrai, ce qui est faux, qu’est-ce qui est quoi et comment c’est comme ça ou pourquoi c’est comme ça ou comment c’est tout court. » Tu écoutes attentivement, essayant de comprendre sans être certaine de réellement saisir ce qu’Isaac tente de te dire. « C’est comme un sac de nœuds. Parfois j’en comprends un ou on m’aide à en comprendre un et j’arrive à le démêler ou l’accepter. Et parfois, je sais même pas vraiment où il commence ou de quoi il est fait ou où il va. » « T’as pas besoin de tout m’expliquer. Ni même de tout me dire. » Ce n’est pas de ça que tu as besoin. Tu ne veux pas l’obliger à replonger dans des souvenirs qui puissent lui être douloureux, comme tu l’as déjà fait par mégarde par le passé avec certaines de tes questions. « Mais j’suis là, pour défaire les nœuds. Pour t’écouter. Même si je comprends pas tout ou que j’ai pas toutes les réponses à tes questions. » Peut-être que tu n’as pas grand-chose à lui offrir tout compte fait, peut-être que tu n’aies pas la mieux équipé pour l’aider à traverser certaines de ses tempêtes, mais pour lui, tu vas toujours essayer, tu vas toujours faire au mieux et rien ne pourra jamais t’y empêcher. « Je te promets de te le dire. Tu me le promets aussi? » « Je te le promets. » Elle n’est pas difficile à faire, cette promesse, même si tu te doutes qu’elle pourrait être difficile à tenir, dans les moments difficiles, dans les moments sombres, quand tout devient plus difficile, quand les nœuds s’emmêlent entre eux et qu’il semble impossible de les défaire. « Tu pourras toujours compter sur moi. » « Je sais. Et tu sais que tu pourras toujours compter sur moi, pas vrai? » Jamais tu ne doutais de l’amour qu’il portait pour toi, des promesses qu’il t’avait faites, tu espérais seulement que la réciproque était aussi vraie.
Maia somnole contre toi et tu te penches légèrement pour la replacer doucement dans son couffin. Elle chigne légèrement, mais se rendort aussitôt et quand tu relèves la tête, le regard d’Isaac semble s’être assombri à nouveau. « J’ai peur d’un jour te faire du mal, sans le vouloir. » « Du mal? » que tu répètes, incertaine de comprendre comment il en est venu à cette conclusion. « Pourquoi est-ce que tu penses que tu pourrais me faire du mal? » que tu demandes, cherchant toujours à comprendre. Est-ce que cela avait un lien avec ce sac de nœuds dont il ne pouvait se défaire, toutes ces choses qu’il n’arrivait pas encore à te dire? Cette noirceur qui l’éloignait de toi par moments, celle qu’il tentait au mieux de cacher mais qui refaisait parfois surface, dans les moments de doute et d’incertitude, était-ce ce qui lui faisait vraiment peur? « Tu me fais tellement du bien, depuis que t’es dans ma vie. » C’est une évidence si grande à tes yeux que tu oublies parfois, qu’il ne t’a pas connu, quand tu étais à ton plus bas. « On fait de si belles choses ensemble. » Il suffisait de baisser les yeux sur Maia, ou de regarder partout autour de vous, dans cette maison qui était vôtre, là où tout semblait possible, là où vos rêves n’avaient aucune limite. |
| | | Isaac Jensenle coeur au bout des doigts ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0 TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS : RPs EN ATTENTE : RPs TERMINÉS :
(roa, juin 2020)
grisy (s1) lancement ∆ love #4 ∆ grace #1 ∆ grace, greg, sienna ∆ week-end #1 ∆ grace #2 ∆ grace #3
(s2) grace #4 ∆ grace #5 ∆ grace, elias, kieran ∆ elias ∆ ivy ∆ love #5 ∆ love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4 ∆ grace #6 ∆ martin
(s5) épreuve 1 semaine 5 ∆ épreuve 2 semaine 5 ∆ épreuve 3 semaine 5 ∆ résultats
(finale) grace #7 ∆ rafting ∆ grace #8 ∆ grace #9 AVATAR : Will Higginson CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack) DC : / INSCRIT LE : 08/04/2018 | (#)Mar 17 Jan - 3:56 | |
| Tu inspires discrètement profondément, ton regard rivé sur les minuscules doigts de Maia que tu caresses avec une infinie tendresse. Tu peines à conserver ton attention plusieurs minutes d'affilée sur le moment présent que tu sais néanmoins précieux et merveilleux ; ton esprit te rappelant sans cesse à de nombreux et persécuteurs doutes, angoisses, confusions, dilemmes. Tu désirerais tant être en mesure d'installer un interrupteur dans ton cerveau, un mécanisme qu'il suffirait d'enclencher pour qu'enfin, tes méninges arrêtent de tourner de manière si étourdissante et alarmante et que tu puisses profiter de la vie pleinement.
Plutôt, les remords s'installent avec une envie cuisante de remonter les dernières dizaines de minutes écoulées et fatalement gravées. Tu te méprises sans vergogne de n'avoir su dédier toute l'attention que tu souhaitais tant à cette première rencontre entre Jude et Maia ; tu te maudis puissamment d'avoir réagi de manière si maladroite vis-à-vis du mariage de Swann et Rory alors que tu te réjouis pourtant de l'union des jeunes hommes, persuadé que ces fiançailles constituent une merveilleuse nouvelle. Tu t'agaces, tu te déçois, tu t'en veux et tu essaies tant bien que mal de tolérer le fait que le passé est révolu et que tu n'as que le présent pour rectifier le tir, faire mieux, faire de ton mieux.
Non sans t'être excusé auprès de ton amoureuse, après lui avoir promit que ton état passerait, tu t'appliques à accueillir la nouvelle du mariage de son meilleur ami comme il te l'est juste. Tu te concentres sur tout le positif et le beau de cet événement ainsi que sur ce qu'il représente de meilleur pour votre couple, t'évertuant à chasser les mauvais esprits qui gravitent et tonnent dans ta boîte crânienne. Tu t'efforces de faire fi de ces derniers, de les taire et tu t'accroches à l'essentiel, au bonheur, à la version des choses que tu aimes et non celle dans laquelle tu te perdrais dans une complaisance maladive. « Je suis persuadée que vous allez bien vous entendre, » t'annonce Penny lorsque tu expliques être impatient de rencontrer l'acteur que tu n'as pas eu la chance de voir en chair et en os jusque là mais dont tu as entendu énormément de bien. Tu hausses les sourcils, agréablement surpris. « Vraiment ? Pourquoi ça ? » Tu questionnes avec malice et curiosité. Tu quittes la petite main de Maia pour entremêler doucement tes doigts à ceux de ta petite amie, te détendant progressivement dans le canapé à côté d'elle. Vous remarquez que les rôles s'inverseront lors de la cérémonie en l'honneur de l'affection que se vouent Rory et Swann et tu es profondément honoré d'accompagner Penny à cette date si importante pour les deux amoureux. Par ailleurs, cette nouvelle étape annonciatrice d'un chapitre innovant ressasse à quel point la vie que l'on mène peut rapidement changer et que le temps passe vite, en particulier lorsqu'on est entouré de gens qu'on aime, selon toi. « Ça explique pourquoi j’ai rien vu passer de la dernière année alors. » Ton sourire s'élargit, fier et aimant. Tu savoures le baiser que dépose Penny sur tes lèvres, formulant dans un souffle regorgeant d'amour lorsqu'elle se distance précautionneusement : « Je t'aime. »
Expliciter à Penny ce qui se trame dans ton esprit est tâche laborieuse, quand bien même tu ne manques pas de volonté pour être le plus transparent possible avec ton interlocutrice. Tu lui voues une confiance inébranlable et l'honnêteté que tu désires lui consacrer est inégalable. Cependant, il y a de ces tourmentes dans ta tête que tu ne sais décrire avec des mots ; de récalcitrants maux en toi que tu ne parviens à élucider toi-même et donc à transposer sur des termes. Ton cerveau œuvre parfois telle une spirale infernale, sans queue ni tête, où le vrai et le faux se mêlent sournoisement, où les chimères sont nombreuses et l'équilibre plus que précaire. Tu peines à voir clair dans ces instants maudits et il serait mentir de clamer que cela ne t'effraie pas. Tu vis avec cette terreur d'être aspiré un jour tout entier par cette épouvantable pénombre et de ne pas être en mesure de t'en extraire, quand bien même tu as toute une vie que tu bâtis et que tu aimes inconditionnellement auprès de Penny. « T’as pas besoin de tout m’expliquer. Ni même de tout me dire, » te rassure la jeune maman et tu hoches timidement la tête, baissant les yeux sur Maia. « J'aimerais pouvoir, » tu glisses néanmoins aver regrets. Penny détenait ce don inouï pour t'offrir de nouveaux points de vue, pour éclairer naturellement les parts d'ombre en toi. Tu étais intimement convaincu que si tu parvenais à lui expliquer ce qui se tramait en toi, elle saurait y faire du sens et te procurerait de la lumière. « Mais j’suis là, pour défaire les nœuds. Pour t’écouter. Même si je comprends pas tout ou que j’ai pas toutes les réponses à tes questions. » « Il n'y a personne comme toi qui sache quoi dire pour m'aider à aller mieux. » Certes, il y avait les professionnels et leurs outils, mais Penny te réconfortait toujours et t'inspirait toute cette force par sa bienveillance et son altruisme pour que tu ne baisses pas les bras, ce qu'aucun personnel de santé était en réelle capacité de faire. Tu caresses doucement sa main, formulant néanmoins ton désir qu'elle aussi, puisse tout te dire. Tu ne veux pas être celui qui accapare la possibilité d'aller mal, ou que ton amoureuse se retienne de te confier quoi que ce soit de peur d'en ajouter à ton assiette qu'elle estimerait peut-être trop remplie. Quoi qu'il advienne, Penny sera toujours ta priorité. Même à terre, tu sais que tu ferais tout pour lui décrocher la lune. « Je te le promets. » Un sourire naît à la commissure de tes lèvres, tu croises son regard sincère et lui promets que tu seras toujours là pour elle. « Je sais. Et tu sais que tu pourras toujours compter sur moi, pas vrai? » Tu acquiesces, songeur. « Je sais. »
Pourtant, comme la nouvelle du mariage de Swann et Rory, ce soutien merveilleux et inestimable que te rappelle et te démontre chaque jour Penny n'occasionne pas en toi un sentiment de félicité en cette seconde précise. Plutôt, une angoisse pernicieuse croît en toi et ton regard se voile de nouveau dans tes réflexions sordides. Bien sûr que tu aimes inconditionnellement Penny et que tu lui es d'une reconnaissance infinie d'être qui elle est et d'être la plus belle moitié que tu n'aurais jamais crue avoir la chance d'avoir à tes côtés. Tu es immensément comblé et amoureux mais les craintes sont temporairement plus fortes : « J’ai peur d’un jour te faire du mal, sans le vouloir, » tu confesses donc, te mordant nerveusement l'intérieur de la joue. « Du mal? » Ton regard peine à soutenir le sien. « Pourquoi est-ce que tu penses que tu pourrais me faire du mal? » Tu plantes désormais tes dents dans ta lèvre inférieure, militant à trouver la juste réponse à ta petite amie. En devenant un fardeau pour toi, la réponse tourne et vire dans ta tête, impériale. La culpabilité est toutefois asphyxiante parce que tu ne t'estimes pas en droit de décrire à Penny pourquoi tu es si terrorisé à l'idée de lui faire du mal. Tu te convaincs qu'il est plus sage, plus raisonnable, de prendre sur toi plutôt que d'immiscer entre vous des peurs peut-être irrationnelles - ne le sont-elles toutes pas dans des façons différentes après tout ? La Stringer vient tout juste d'accoucher, n'est-ce pas profondément égoïste et inconscient de ta part de potentiellement poser le poids de tes démons sur ses épaules ? Vous avez un magnifique bébé ensemble, peux-tu vraiment douter si fort de toi, sans le lui cacher ? D'autre part, ne vas-tu pas là à l'encontre de cette promesse de l'informer si tu ne va pas bien ? N'y a-t-il pas des limites néanmoins à ce que tu peux communiquer ? Tout est-il bon à dire, tout peut-il être dit ? Tout n'est que dilemmes et tu as la terrible impression de mettre en gage ce que tu as de plus précieux au monde : Penny et votre famille. « Tu me fais tellement du bien, depuis que t’es dans ma vie. » Tu cilles, tu accroches ton attention au portrait de la femme que tu aimes. L'incrédulité repose en toi, tu es incertain de comprendre comment tu fais tellement de bien à Penny, quand tu vois tant de choses en noir. « On fait de si belles choses ensemble. » Elle désigne avec rason. Tu suis son regard vers Maia, assoupie dans ses bras. Votre poupée, votre princesse, harmonieux mélange de vous deux, fruit de votre amour. Tu ne peux réprimer un tendre sourire face à ce trésor et peut-être que l'exercice auquel tu devrais t'adonner est celui de te concentrer sur le beau sans te soucier de sa durée ni te morfondre de son probable caractère éphémère. Peut-être devrais-tu te focaliser sur le moment actuel sans craindre l'avenir et sur ce que tu pouvais faire plutôt que ce que tu ne pouvais pas faire dans l'immédiat. Peut-être devrais-tu t'autoriser à moins vouloir prévoir, contrôler, organiser, surtout lorsque cette année t'a prouvé à de multiples reprises que le bonheur s'installe de manière inopinée. Maia elle-même composait la plus grande des surprises et elle te comblait sans limite. « Peut-être que... » tu commences, hasardeux. « Peut-être qu'il faut juste que je prenne du recul et que je lâche prise, » tu soumets à voix haute. « Peut-être que je dois juste apprendre à me concentrer à profiter du moment présent et arrêter de craindre que ça tourne mal. Et si quelque chose se passe vraiment de travers, de s'en occuper quand ça arrive vraiment. » Peut-être faudrais-tu que tu acceptes que ça puisse tourner mal et que cette possibilité ne t'empêche pas de savourer l'instant pour autant, tant qu'il dure. « Tous les trois, vous n'étiez pas prévus dans ma vie, ou plutôt : je ne vous avais pas prévus, jamais j'aurais pu m'imaginer être avec vous aujourd'hui. Et vous êtes ce que j'ai de plus cher, de plus beau, pour rien au monde je voudrais que les choses soient différentes. » Y avait-il plus sublimes preuves que la vie ne se prévoyait pas et devait simplement se vivre ? Qu'il était juste de suivre son instinct, son cœur, même quand les choix sont cornéliens ? Après tout, peut-on vraiment se tromper quand on écoute son cœur ? Peut-on vraiment regretter quand on obéit à ses tripes ? N'était-ce pas là l'essence des folies qu'on ne regrettait pas ? « Peut-être qu'il faudrait que j'arrête de me prendre tant la tête. » Ou l'écouter tout court, tant tu soupçonnais qu'elle n'était pas la plus digne de confiance. Peut-être fallait-il que tu t'autorises à vivre et être pleinement heureux, que tu cesses de douter que tu sois un quelconque imposteur au bonheur et que tu te fasses confiance ? Que tu tentes de te voir un peu comme Penny te considère. A défaut de croire en toi, tu faisais confiance en ton amoureuse et en son jugement. De plus, tu savais croire au destin et peut-être que c'était ce qu'il essayait de te démontrer par l'arrivée de Penny, de Jude puis de Maia dans ton histoire. Peut-être te fallait-il tracer un réel trait sur ton passé et de ta frayeur qu'il se reproduise pour t'investir entièrement dans le présent ? « Je veux continuer de faire de belles choses à tes côtés. » Tu conclues avec désir. « Je veux en faire pour toujours, » tu avoues, avec un faible sourire en coin. Pour vous quatre. « Et te faire du bien pour toujours. » Surtout, même si tu as encore du mal à comprendre comment tu y arrives et que ton cœur se serre encore douloureusement à l'idée de lui faire du mal. « Je veux qu'on soit aussi heureux qu'amoureux, » parce que ce deuxième adjectif, tu n'en doutais absolument pas. Tu aimais Penny, elle était ton évidence, l'une des rares que tu possédais dans ton histoire. « Je veux qu'on soit bien, tous les quatre. » Qu'ils soient fiers de toi et que tu sois fier d'être le compagnon de Penny, le père de Jude et Maia. Tu inspires profondément. « Peut-être que je peux me concentrer sur ça. Sur ce qui se passe maintenant. Sur ce qui est positif. » Et quand les épreuves pointeront le bout de leur nez, tu y pallieras, comme tu as pu le faire par le passé, mais ceci sans tant les appréhender, surtout que, comme te l'a prouvé la vie jusque là, tu peux rarement les prévoir. |
| | | ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0 TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only (03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)
AVATAR : elizabeth bb olsen. CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz) DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart) PSEUDO : vlastuin › marie. INSCRIT LE : 27/10/2020 | (#)Jeu 26 Jan - 12:48 | |
| picture perfect family Il y a un léger soupir de soulagement qui s’échappe de tes lèvres lorsque la tension redescend et qu’Isaac semble retrouver son sourire et son bonheur sincère face à la nouvelle que tu viens de lui apprendre. Tu peines à comprendre comment c’est possible que Rory et Isaac ne se soient toujours pas retrouvés l’un en face de l’autre après tout ce temps, mais tu ne redoutes aucunement une rencontre entre eux, sachant pertinemment qu’avec leurs tempéraments similaires, les deux hommes ne pouvaient être que des amis rapides. « Vraiment? Pourquoi ça? » Tu laisses ses doigts se joindre aux tiens, un léger sourire s’affichant sur ton portrait. « Parce que vous avez tous les deux des personnalités qui s’accordent bien. Passionnés, attentifs, bienveillants. » que tu mentionnes, retrouvant chez les deux hommes des qualités inestimables à tes yeux. « Et puis je vous connais bien tout le deux, je le sais, c’est tout. » que tu conclues dans un rire, comme une évidence que rien ne pourrait changer. Si tu étais consciente que vos vies s’annonçaient plus occupées que jamais avec l’arrivée de Maia tout en balançant les horaires de garde de Jude, tu espérais vraiment que vous seriez en mesure de créer un peu de temps à votre agenda pour y faire une place à Rory et Swann. Depuis que tu savais que Swann et Isaac se connaissaient depuis quelques années, tu voulais mettre un double-date à l’agenda, sans jamais que vous ne parveniez à trouver une date concordant aux horaires chargés de tout le monde. Bientôt, tu as envie d’y croire, même si le temps est clairement un concept qui t’échappe vu tout ce que tu as déjà vécu auprès du Jensen, qui fait parti de ta vie depuis moins d’un an, techniquement parlant. Fou ce qu’une année peut créer, quad on ne prépare rien du tout. « Je t’aime. » murmure Isaac contre tes lèvres après un baiser que tu lui offres. Pour toute réponse, tu reposes tes lèvres contre les tiennes à nouveau, pertinemment consciente que tu ne pourrais jamais te tanner de la sensation et du goût de ses lèvres.
Le vent de légèreté n’est que temporaire toutefois, quand les inquiétudes viennent noircir le regard de ton amoureux, que les mots lui manquent alors qu’il essaye de t’expliquer l’inexplicable, toutes ces choses au fond de lui qui font peu de sens, qui lui pèsent et qui l’empêchent trop souvent de profiter pleinement des bonheurs qui se trouvent pourtant au bout de ses doigts. Tu te fais aussi patiente et compréhensive que possible, et même si tu ne peux comprendre la complexité de ce qui maltraite le Jensen, tu le rassures comme tu le peux, parce que tu as l’impression que c’est la seule chose que tu puisses faire, concrètement parlant. Et si ça ne te semble jamais être assez, tu peux le lui répéter cent fois, si c’est ce qu’il faut, si ça lui permet de faire le tri ne serait-ce qu’un tout petit peu dans tous ces nœuds dont il fait mention. « J’aimerais pouvoir. » qu’il plaide et ça te brise le cœur. « Je t’obligerais jamais à rien, Isy. » que tu le rassures une fois de plus, pour que jamais il n’oublie que ton aide, ton affection, ton support et ton amour ne sont pas conditionnels à quoique ce soit. « Il n’y a personne comme toi qui sache quoi dire pour m’aider à aller mieux. » Et en quelques mots seulement, c’est toi qui se retrouves rassurer de l’entendre. Tu ne peux pas effacer tous ses maux, tu ne peux pas gommer les pages de son passé qui lui pèsent, tu ne peux pas faire disparaître tous ses soucis, mais au moins, tu sais que ce que tu fais et comment tu le fais, ça aide. Et c’est la seule consolation que tu peux prendre, la seule chose à laquelle tu te raccroches en espérant qu’au fil du temps, au travers des tempêtes, des hauts et des bas de ce que la vie a en réserve pour vous, le beau saura faire fuir la noirceur dans laquelle Isaac s’est trop longtemps retrouver prisonnier. Même si aujourd’hui, cette dernière semble trop présente pour s’éclipser complètement, tant elle continue de s’immiscer entre vous et les dernières paroles d’Isaac te font figer légèrement.
Tu ne comprends pas comment il peut croire qu’il pourrait te faire du mal un jour, et tu le lui explicites. Si tout n’est pas parfait, et que tu es consciente que rien ne le sera jamais complètement, ta vie auprès d’Isaac a repris des couleurs dont tu avais oublié les nuances. Il a ouvert des portes que tu ne pensais pas découvrir avant quelques années encore, te propulsant à la tête d’une famille atypique mais vôtre et l’amour que tu ressens à chaque journée passée à ses côtés vaut tout l’or du monde à tes yeux. Ton regard s’attarde sur votre fille, et si tu ne souhaites pas chasser du revers de la main les craintes que ton amoureux te partage, tu espères toutefois qu’il peut voir au travers de tes yeux qu’il n’y a pas de peur, pas de mal. Que du beau. « Peut-être que… » Tu relèves les yeux vers lui, un fin sourire au coin des lèvres. « Peut-être qu’il faut juste que je prenne du recul et que je lâche prise. Peut-être que je dois juste apprendre à me concentrer à profiter du moment présent et arrêter de craindre que ça tourne mal. Et si quelque chose se passe vraiment de travers, de s’en occuper quand ça arrive vraiment. » Tu hoches doucement la tête, en approbation. « Je te dis pas que t’as pas tes raisons de craindre, ou que ce que tu ressens c’est pas valide mon amour. » que tu rectifies toutefois, la voix remplie d’émotions. « Je sais que la vie t’a donné amplement de raisons par le passé de ne pas avoir confiance, d’avoir l’impression que le pire t’attend au prochain tournant. » Tu repenses à toutes les confidences qu’il t’a faites dans les derniers mois, toutes les fois où le bonheur qu’il tenait entre les doigts lui a été arraché brusquement, pour des raisons qu’il tente encore de comprendre aujourd’hui. « Mais je voudrais pas que tu passes à côté des beaux moments, trop préoccupé à prévoir le pire. » Ce n’est pas un reproche, loin de là. Tu sais que ce ne sera pas toujours possible, qu’il est impossible de prédire quand les nuages reviendront couvrir son soleil, mais ce n’est pas parce que le ciel est brumeux que le soleil ne se cache pas derrière, à attendre qu’on le remarque enfin. « Tous les trois, vous n’étiez pas prévus dans ma vie, ou plutôt : je ne vous avais pas prévus, jamais j’aurais pu m’imaginer être avec vous aujourd’hui. Et vous êtes ce que j’ai de plus cher, de plus beau, pour rien au monde je voudrais que les choses soient différentes. » Ton sourire s’étire à ses mots et ta tête vient se nicher dans le creux de son cou, cherchant un peu plus de contact et de proximité avec lui. « Peut-être qu’il faudrait que j’arrête de me prendre tant la tête. » « Je peux aider avec ça. » que tu murmures dans son oreille, déposant une traînée de baisers entre cette dernière et la base de son cou, là où tu vois les frissons s’effectuer sur son épiderme, ce qui ne manque pas de te faire rire doucement.
« Je veux continuer de faire de belles choses à tes côtés. » Tu ne veux rien de plus que ça et il peut facilement le lire dans ton regard. « Je veux en faire pour toujours. » La promesse d’un toujours est aussi effrayante qu’exaltante, toi qui as si longtemps fui l’engagement, tu ne pourrais t’imaginer faire ta vie avec personne d’autre. Isaac était la personne pour toi, celui qui savait faire ressortir le plus beau chez toi, qui savait gérer avec tes parts d’ombres, celui dont tu avais envie de tout connaître et grandir à ses côtés. « Et te faire du bien pour toujours. » « Je veux exactement la même chose. » que tu lui avoues à nouveau, ton regard plongé dans le sien. « Je veux qu’on soit aussi heureux qu’amoureux. Je veux qu’on soit bien, tous les quatre. » Tu sais que le chemin à cette belle image qu’il dépeint ne sera pas toujours facile, qu’il y aura des routes plus sinueuses que d’autres, mais tu sais qu’au final, tant que vous vous y attardez ensemble, le résultat final sera toujours la plus belle chose qui soit. Comme votre couple, comme Jude, comme Maia qui somnole dans tes bras. Les meilleurs parts de vous, toujours. « Peut-être que je me concentre sur ça. Sur ce qui se passe maintenant. Sur ce qui est positif. » « Je te promets de faire en sorte que le positif l’emporte toujours sur le reste. » Ou du moins, d’essayer de le faire. Par ta présence, par l’amour et l’affection que tu comptes mettre au sein de votre foyer désormais occupé et bruyant. Par toutes ces promesses que tu as pu lui faire dans la dernière année et que tu t’engages à tenir, parce qu’il est tout ce que tu as de plus précieux au monde. « Tu m’aurais dit il y a un an que je parlerais d’un toujours avec quelqu’un, un bébé dans les bras, un enfant qui rit dans la pièce d’à côté, j’y aurais pas cru. Je t’aurais sûrement regardé avec un air de frayeur sur le visage et j’aurais pris mes jambes à mon cou. » que tu lui avoues, avec un léger rire. C’est vrai après tout. La Penny d’un an, c’est à peine si elle se sentait prête à s’ouvrir à nouveau. Et Isaac était rentré dans ta vie et était venu chambouler toutes tes convictions les unes après les autres. Tout ce que tu pensais savoir sur toi-même complètement changé, détruit pour quelque chose de tellement mieux, de plus doux, un amour que tu n’aurais jamais pu rêver connaître un jour. « J’aurais jamais cru être prête pour tout ce que tu m’as fait découvrir, tout ce que tu m’as fait vivre depuis que t’es dans ma vie, mais je regrette pas du tout de m’être laissée aller. De nous avoir donner une chance. De ne pas avoir laisser la peur dicter mes gestes ou mes actions. » Et dieu sait qu’elle s’était immiscée à quelques reprises, la peur. Mais elle n’avait jamais gagné. Et tu espérais qu’elle ne gagnerait jamais, ni avec toi, ni avec Isaac. |
| | | Isaac Jensenle coeur au bout des doigts ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0 TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS : RPs EN ATTENTE : RPs TERMINÉS :
(roa, juin 2020)
grisy (s1) lancement ∆ love #4 ∆ grace #1 ∆ grace, greg, sienna ∆ week-end #1 ∆ grace #2 ∆ grace #3
(s2) grace #4 ∆ grace #5 ∆ grace, elias, kieran ∆ elias ∆ ivy ∆ love #5 ∆ love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4 ∆ grace #6 ∆ martin
(s5) épreuve 1 semaine 5 ∆ épreuve 2 semaine 5 ∆ épreuve 3 semaine 5 ∆ résultats
(finale) grace #7 ∆ rafting ∆ grace #8 ∆ grace #9 AVATAR : Will Higginson CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack) DC : / INSCRIT LE : 08/04/2018 | (#)Dim 19 Fév - 23:48 | |
| Depuis aussi loin que tu puisses t'en rappeler, tu as à cœur de dédier la meilleure version de toi-même à ton entourage. Hautement critique, constituant aisément l'un de tes pires ennemies, il y a une quantité faramineuse de traits de ton caractère que tu désirerais altérer, comme certaines parties de ton histoire. Ultimement, tu as conscience que si tu modifiais quoi que ce soit sur qui tu as été, ton présent en serait transformé, à l'image du battement d'aile de papillon qui se métamorphose en véritable bourrasque ébranlant étape par étape toute une histoire. Néanmoins, tu ne perds pas de vue l'objectif de t'améliorer chaque jour, de retenir ta rancune pour la transformer en compréhension, de gommer ta susceptibilité pour la remplacer par davantage de recul et de tolérance. Tu ne sais pas si ta tactique est judicieuse, tu veilles à ne pas t'étouffer sous le poids d'une attitude qui ne correspondrait pas à ton essence et qui étoufferait ton cœur comme ton âme par un trop plein d'émotions non évacuées, mais tu as conscience aussi que tu es toujours fier de toi lorsque tu as agis d'une manière davantage raisonnable et ouverte à spontanée et orgueilleuse. De plus, à la mesure du temps qui passe, tu te convaincs que les épreuves que tu as pu surmonter dans le passé n'ont pas à être des boulets ni des tares. Peut-être, comme Penny te l'a justement indiqué précédemment, qu'en addition d'être des éléments qui t'ont permis de mener la vie inestimable que tu rédiges désormais avec elle à ses côtés, ils t'offrent aussi ces enseignements précieux te permettant de débarrer toutes les portes d'opportunités que tu n'aurais su ouvrir sans eux. Peut-être y a-t-il une raison à tes démons, à tes terreurs, à tes hantises, à tes angoisses et à tes dilemmes. Peut-être forment-ils finalement l'escalier t'autorisant à voir plus loin, à voir plus haut, au-delà des récits de ton existence qui t'ont brisé. Peut-être composent-ils les outils pour que tu te reconstruises de manière plus solide, pour que tu t'ériges en l'homme que tu seras fier d'être, pour toi comme pour tes proches.
Peut-être que la clef est d'accepter les choses telles qu'elles sont et d'en tirer le meilleur. Peut-être que l'issue est de vivre le moment présent, de l'accueillir tel qu'il est, et d'en extraire des semences pour laisser croître le jardin du futur au sein duquel vous vous épanouirez. Les choses sont mille fois plus difficiles à mettre en exécution qu'à les penser, mais tu te convaincs qu'il n'est pas dérisoire de t'y essayer, de t'y appliquer, précautionneusement et prudemment, surtout que tu as la chance d'avoir un alliée de taille à tes côtés. « Je te dis pas que t’as pas tes raisons de craindre, ou que ce que tu ressens c’est pas valide mon amour. Je sais que la vie t’a donné amplement de raisons par le passé de ne pas avoir confiance, d’avoir l’impression que le pire t’attend au prochain tournant. Mais je voudrais pas que tu passes à côté des beaux moments, trop préoccupé à prévoir le pire. » Tu acquiesces doucement, te mordant toujours nerveusement ta lèvre inférieure. « Je confirme qu'on a tous les deux beaucoup de sagesse, » tu formules avec un sourire en coin, ta malice pointant, ressassant ces quelques reprises où la Stringer t'indiquait que tu étais sage. Tu caresses doucement le dos de sa main de ton pouce, tes doigts mêlés affectueusement, sereinement, aux siens. « Je suis d'accord avec toi. Je ne le veux pas non plus, » tu affirmes, t'engageant à t'évertuer à ne pas laisser ces instants de bonheur filer entre tes doigts, trop effaré qu'ils s'évaporent à tout jamais, trop apeuré qu'ils amorcent une sorte de calme avant la tempête. A quoi bon avoir une médaille si l'on se focalise sur son revers ? A quoi bon avoir de bons jours si l'on se consacre aux mauvais ? De plus, ceux-ci ne permettent-ils pas justement de profiter pleinement des bons ? Tu connaissais la valeur inestimable des personnes qui t'entouraient et des nouveautés de ta vie qui te choyaient incommensurablement, maintenant, il fallait que tu acceptes les mériter et que tu les honores comme elles le méritaient elles-mêmes.
« Je peux aider avec ça, » annonce ta petite amie lorsque tu suggères qu'il faudrait que tu cesses de te prendre autant la tête. Tu lui dédies un regard à la fois amoureux et reconnaissant, des frissons parcourant ton épiderme à mesure des baisers délicieux qu'elle couche sur ta peau. « J'en doute pas une seconde. Cette technique, entre autres, est excellente. Une de mes préférées, même, » tu confies avec sincérité et malice, attirant davantage Penny contre toi dans une étreinte au sein de laquelle Maia profite de vos deux chaleurs.
Les promesses teintées de nobles intentions sont aisées dans ce foyer. Tu désires que vous continuez d'écrire cette magnifique histoire à l'encre de votre amour, tu rêves de combler Penny à chaque soleil qui se lève. Tu souhaites votre bonheur, votre plénitude, votre bien-être et que votre maison soit ce foyer où il y fait bon vivre et chacun a toute la place nécessaire pour être librement qui il est et s'épanouir, prospérer. « Je veux exactement la même chose. » Penny t'avoue et encore une fois, vous vibrez sur cette unique longueur d'ondes qui est la merveilleusement, providentiellement, vôtre. « Je te promets de faire en sorte que le positif l’emporte toujours sur le reste. » Tu déposes amoureusement un baiser sur son front et à ce contact, tu y crois dur comme fer. Même si ce ne sera pas facile tous les jours, même si votre vie a tout d'une montagne russe, même si tu ne connais pas le futur et qu'il te hante religieusement, tu te rattaches à cette promesse que le positif domine. Ca te semble faisable, réalisable, véritable, authentique à vos volontés, à ce que votre couple est capable de forger. « Tu m’aurais dit il y a un an que je parlerais d’un toujours avec quelqu’un, un bébé dans les bras, un enfant qui rit dans la pièce d’à côté, j’y aurais pas cru. Je t’aurais sûrement regardé avec un air de frayeur sur le visage et j’aurais pris mes jambes à mon cou. » Tu lâches un léger rire qui rejoint harmonieusement le sien, chassant d'autres nuages obscurcissant ton esprit. « J’aurais jamais cru être prête pour tout ce que tu m’as fait découvrir, tout ce que tu m’as fait vivre depuis que t’es dans ma vie, mais je regrette pas du tout de m’être laissée aller. De nous avoir donner une chance. De ne pas avoir laisser la peur dicter mes gestes ou mes actions. » Tu acquiesces. Encore une fois, il était question de croire et de ne pas se laisser happer par la peur. Si Penny s'était basée sur sa dernière expérience, peut-être ne t'aurait-elle jamais fait confiance et vous ne vous seriez jamais rencontrés au-delà de Tinder. Votre vie serait aujourd'hui prodigieusement différente et ton cœur se serre immanquablement à l'idée de vivre la tienne sans elle. « Je vais essayer de faire déteindre ton courage sur moi, » tu souffles en embrassant de nouveau le front de la jeune femme qui a posé sa tête sur ton épaule. Tu avais toujours admiré Penny pour sa vaillance comme sa force de caractère. « C'est une bonne stratégie, de faire confiance en la vie. » Tu remarquais, ton regard tendre se posant sur votre nouveau-né sommeillant dans les bras de sa mère. « Elle nous a apporté des plus belles surprises. » Penny, Jude et Maia dans ton cas. Maintenant, il te fallait juste t'appuyer sur ces trésors pour avoir confiance en ta félicité et savoir savourer le cadeau qu'est ton présent. Et tu savais exactement quel projet soumettre prochainement à ta chance, même s'il te glace le sang autant qu'il exalte chaque centimètre de ta personne, rendant possiblement son goût encore plus puissant d'euphorie et de béatitude s'il venait à se concrétiser. « L'audace et les folies payent toujours, » tu concluais. Les deux ingrédients du début de votre histoire, manifestement propres à la recette du bonheur. |
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