ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23725 POINTS : 230
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
“Qu’est-ce que tu fais ici ?” Je demande, sans détour ni amorce, sans avoir toussé faussement pour annoncer ma présence près de lui et lui faire relever le regard en ma direction. Mon ton est véritablement étonné, je ne cherche pas à le cacher. Ma tête se déporte légèrement sur le côté, signe que je l’écoute autant que j’essaye d’analyser et d’anticiper la situation autant que ce qu’il pourrait me dire. Bellamy, il est un souvenir du passé du Ras le Bol, mais rien ne prédestinait à ce qu’il soit un souvenir du présent, encore moins à Weatherton. Je le connaissais très mauvais dans le genre de servir des assiettes, alors je n’imagine pas ce à quoi il doit ressembler autour de pièces valant pas moins d’une fortune. “T’as trouvé un petit boulot ici ?” Je relève le menton, mes yeux dans les siens. Je ne l’imagine pas travailler en tant que couturier ou Dieu sait quel autre métier nécessaire à l’établissement d’une collection, alors je me permets de demander avec ce qui me vient par la tête, sans pour une fois penser à le rabaisser. Simplement, je ne l’imagine pas faire quoi que ce soit nécessitant la moindre compétence, je dois bien l’avouer.
Mon regard s’échappe sur notre droite, sur notre gauche ensuite, et je dépose les différents tissus que je gardais en main pour les essayer sur un patron. Ils seront un problème pour plus tard ; de toute façon, la collection a pris bien trop de retard pour que j’en sois à cinq minutes près, surtout pas alors que le garçon face à moi retient toute mon attention. Pour les minutes suivantes du moins: celles d’après encore, j’anticipe déjà à quel point j’en serai lassé. “Y’a eu un vol y’a pas longtemps, ça venait peut-être de l’intérieur finalement.” Je lui fais part de l’historique puisque j’ignore depuis combien de temps il est dans les locaux (en simple visiteur ? en tant qu’aide ménagère ? couturier ? mannequin ?) et j’avance mon hypothèse dans le même élan, sans sourciller face à ces accusations que je ne pense pas vraiment de toute façon. Ou peut-être que si. Allez savoir. En vérité, cela m’importe peu, il représente une simple distraction pour me sortir la tête du travail, des tissus, et de tous les termes techniques pour lesquels j’ai jamais signé. Je veux simplement créer et ajouter mes idées sur celles de James, ou bien l’inverse, tout le reste n’est pas de mon ressort et, surtout, ne capte pas mon intérêt. Alors, c’est à lui que je le dédie tout entier, attendant patiemment ou presque qu’il vienne répondre à mes interrogations aussi nombreuses que variées, lesquelles ne font qu’en amener plus encore.
Il y avait une telle effervescence dans les couloirs que Bellamy avait baissé les stores du bureau. C’était ça ou il se sentait obligé de relever la tête toutes les trois secondes, soit à chaque fois que quelqu’un traversait le couloir à grandes enjambées. Ainsi calfeutré, il arrivait presque à se concentrer sur son écran. Presque parce qu’il n’était jamais vraiment concentré sur une tâche, son cerveau réussissant très bien à se créer ses propres distractions quand il n’en avait aucune à portée de main. Néanmoins, Bella avançait dans ses tâches et la fierté le gagnait à mesure qu’il pouvait gribouiller ses post-it et les envoyer dans la poubelle à papier - il n’en restait que trois, pour peu que saon boss ne lui en rajoute pas.
Sa jambe tressautait en rythme depuis une bonne dizaine de minutes et cognait contre le pied du bureau, produisant un son répétitif agaçant auquel Bellamy était parfaitement hermétique ; derrière lui, saon boss émit un claquement de langue irrité et le danseur se tourna vers ellui, un air interrogateur scotché sur le visage.
“Can you go fetch me a coffee? demanda-t-iel, et les traits de Bellamy s’épanouirent en un sourire ravi. The usual will do."
“Sure!”
Pour une fois que ce n’était pas lui qui se cherchait une excuse pour quitter son poste. Il se leva prestement et quitta la pièce, en profita pour sortir son téléphone et réarranger ses cheveux dans le reflet de l’écran. Il n’avait pas eu l’occasion de voir tous ses collègues, il fallait impérativement qu’il arrange cela et leur montre sa nouvelle couleur - rose bubblegum, la teinte qui trônait en tête de son classement des couleurs préférées depuis qu’il avait environ 12 ans.
“Qu’est-ce que tu fais ici ?”
La voix l’arracha à son flot de pensées (I should take a selca - urg I knew I should’ve been wearing my white shirt - oh it’s Leyla! - wait, am I actually pretty with pink hair or do I just like the color?? - a notif!! I have a new follower on instagr-)
Bellamy s’était arrêté, il jeta un œil à droite, puis à gauche, cela lui certifia que c’était bien à lui que l’homme parlait, mais qui était l’homme ? Il y regarda mieux, huff.
“Je travaille ? hasarda-t-il, pas vraiment certain de la réponse qui était attendue. Est-ce qu’il voulait savoir ce qu’il faisait là au sens général ou métaphorique ? Est-ce qu’il voulait savoir pourquoi il était dans ce couloir en particulier et où est-ce qu’il se rendait ? Est-ce qu’il avait même le droit de demander ? Et puis d'abord, qu’est-ce que lui faisait là ? Et vous ? demanda-t-il, ses pupilles accrochant les rouleaux de tissus que l'homme tenait à la main. Vous êtes devenu couturier ?" he scoffed - no offense aux couturier.ère.s mais l'image de son ancien boss maniant les aiguilles à coudre lui arracha indéniablement un sourire narquois.
Bellamy n’avait jamais trop pu parler avec Mr.Williams mais il était presque sûr qu’il n’en avait pas envie ; l’homme ne lui avait jamais paru fort agréable et surtout, il l’avait mis à la porte d’un job somme toute sympathique.
“T’as trouvé un petit boulot ici ?”
Bellamy se retint de justesse de lui dire de cacher sa joie, presque vexé qu'il était des notes d'incrédulité dans la voix de son ancien patron. Comme s'il était incapable de trouver un petit boulot dans une enseigne de luxe.
“Ben ouais du coup … qu’est-ce qu’il voulait qu’il lui dise, même. Pourquoi, vous comptiez me proposer autre chose ?” reprit-il, a shit-eating grin on his face.
Techniquement, Bellamy n’avait rien à prouver à Mr.Williams ; en pratique, il sentait bien que l’autre homme était surpris de le voir ici et le danseur savait d’expérience qu’il n’était pas la premier ni le dernier à sous-estimer ses capacités. Jusqu’à maintenant, Bellamy n’avait jamais prouvé le contraire, on en revenait à en théorie il n’en avait pas besoin, blablabla. Mais Bella avait vraiment envie que les gens le pensent un peu moins idiot.
Ca ne dépendait pas de lui alors il allait faire ce qu'il savait faire de mieux : conforter les gens dans les idées réductrices qu'ils pouvaient avoir sur sa personne.
“Y’a eu un vol y’a pas longtemps, ça venait peut-être de l’intérieur finalement.”
Bellamy haussa les sourcils, une expression indignée venant balayer l’air insolent. “Qu’est-ce que vous insinuez ? protesta-t-il, la question parfaitement rhétorique parce qu’il savait très bien ce que l’autre laissait entendre. Allez pas raconter ça, j’aurais des problèmes alors que j’ai rien fait.” Et il ne voulait pas rechercher de travail, c’était laborieux, les offres dans son domaine d’expertise ne courraient pas les rues et une accusation (à tort !!) de vol dans une maison aussi prestigieuse que Weatherton plomberait irrémédiablement son cv.
AVENGEDINCHAINS
Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23725 POINTS : 230
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
De toutes les façons dont il aurait pu répondre à ma question, simple au possible, je ne m’attendais certainement pas à ce qu’il se contente de quelque chose d’aussi factuel. “Je travaille ? Et dans ce cas, quoi ? Je me contente d’un “d’accord” et chacun retourne vadrouiller dans son coin ? Non, bien sûr. Cette réponse amène d’autres questions, de façon plutôt évidente, et ce n’est pas parce que le garçon est plus vif que moi pour reprendre la parole que j’oublie pour autant ce que j’ai à l’esprit. Et vous ? Je me contente d’un premier rire en guise de réponse, sincèrement amusé par son air soupçonneux. “Je travaille.” Ma voix porte alors, tel un écho orné de mon sourire en coin. Moi aussi, je peux me contenter de réponses aussi simples, sans avoir le moins du monde à mentir. Vous êtes devenu couturier ?" - “Je laisse ça aux petites mains.” Je pense et j’invente les pièces de demain, c’est bien assez et, surtout, c’est tout ce qui m’intéresse. Le travail de couturier est long et barbant, je m’en moque pas mal et puisqu’il semble occupé avec ses tasses à café dans la main, j’opte pour la théorie selon laquelle il n’est finalement rien d’autre qu’un stagiaire associé à la machine à café de l’étage. Finalement, curieux, je le lui demande.
“Ben ouais du coup … Le petit boulot emporte donc l’enchère des hypothèses, sans grande surprise. Stagiaire, c’est sûrement un petit boulot à part, j’en sais rien moi - pas que je m’en moque, mais oui, je m’en moque. Pourquoi, vous comptiez me proposer autre chose ?” Je pouffe aussitôt, sans chercher à me retenir. “Certainement pas, non.” Mais au moins, son franc parler a le don de m’amuser, à l’instar de sa médiocrité du temps où il travaillait encore au restaurant. Je me demande comment est-ce qu’il pourrait mieux s’en sortir entre ces murs mais me remémore rapidement que cela ne me regarde pas. Après tout, je ne doute pas un seul instant de le capacité de James à lui montrer la porte si son travail ne correspond pas aux attentes. “Tu fais quoi exactement ?” Je gratte la surface, tente d’en apprendre plus, mise sur la durée de vie qu’il aura au sein de Weatherton. “Et t’es là depuis combien de temps ?” J’ai aussi besoin de cette information-là, alors je la demande, incapable d’imaginer James accepter un garçon tel que lui dans ses rangs. La maison manque tant de petites mains que ça ?
Et puisque je reste égal à moi-même et qu’on se fait chier, je n’attends pas davantage avant de rappeler qu’il y a eu un vol il y a peu encore et que les coupables n’ont jamais été retrouvés, à ma connaissance du moins. “Qu’est-ce que vous insinuez ? Il se vexe déjà, et je ne nie pas que c’est un spectacle amusant. “T’es vachement sur la défensive, non ?” J’esquisse un sourire de plus, amusé, n’ayant pourtant aucune intention de me la jouer flic ou enquêteur. Ils n’avaient qu’à avoi run système de sécurité plus performant, sans doute. Allez pas raconter ça, j’aurais des problèmes alors que j’ai rien fait.” Mon sourire laisse donc place à un rire, cette fois. “Détends toi, je vais pas aller cafter au grand patron.” De tout ce dont j’ai envie de parler avec James, il faut bien avouer que la petite vie et petite personne des employés n’en fait pas partie. D’ici ce soir, j’aurai à nouveau oublié son prénom.
Bellamy n’était pas ravi-ravi par la rencontre qu’il venait de faire : il n’avait pas repensé à son ancien patron depuis que celui-ci l’avait mis à la porte et s'il n’était pas très rancunier, l’autre homme n’était pas exactement le genre de personne qui lui envoyaient de bonnes vibes.
“Je travaille. Ça semblait évident. En revanche, Bellamy n’arrivait pas à savoir comment Mr.Williams était passé de gérant de restaurant à … couturier ? Styliste ? Je laisse ça aux petites mains.”
“Evidemment, lâcha-t-il avec un demi-sourire narquois. A son humble avis, l’autre homme ne pouvait rien faire d’autre que diriger - pourtant, Bellamy n’avait pas entendu parler d’un changement de direction. Du coup qu’est-ce que vous faites ?” insista-t-il, trop titillé par la question pour qu'il laisse la réponse lui échapper. Ce n’est pas que ça l’intéressait vraiment, mais il aimait avoir matière à commérer.
“Certainement pas, non, c’était encore une fois un peu vexant et Bellamy fronça le nez. Son ancien boss ne le connaissait même pas, Bella trouvait son opinion vraiment injuste et rien que pour ça, il sut qu’il ne devait pas s’attarder sur ce qu’il pensait. C’était plus facile à dire qu’à faire. Tu fais quoi exactement ? Et t’es là depuis combien de temps ?”
“Vous me faites passer un interrogatoire ? he scoffed, son sourire insolent retrouvant de sa vivacité alors qu’il reprenait un peu d’emprise sur leur échange. Bellamy ne lui devait rien pas vrai ? Jusqu’à preuve du contraire, Mr.Williams n’était pas son supérieur ici, alors il n’était pas obligé de répondre à ses questions intrusives (et inutiles ?? à quoi est-ce que ça l’avancerait de savoir tout ça ??) Je dirais rien en l’absence de mon avocat,” l’impertinence coulait à flot dans ses mots et ses yeux qui soutenaient résolument ceux de son interlocuteur. Il s’agissait de ne pas perdre la face quand l’autre homme semblait tant apprécier d’avoir l’ascendant sur lui.
Et voilà qu’il l’accusait maintenant frontalement d’avoir volé Dieu savait quoi. Bellamy avait de nombreux défauts, mais le vol n’en faisait pas partie - plus du moins, car s’il avait commis des délits à l’adolescence, la déception de sa grand-mère et les séjours au commissariat lui avaient coupé toute envie.
“T’es vachement sur la défensive, non ?”
“Ben oui, vous m’accusez d’un truc que j’ai pas fait,” protesta-t-il encore, irrité par le sourire de l’homme qui semblait un peu trop s’amuser. Bellamy n’avait vraiment pas envie de perdre son travail parce que sa tête ne revenait pas à un type - il n’avait pas de plan de secours à ce job et sa grand-mère était à cours d’offres à lui proposer.
“Détends toi, je vais pas aller cafter au grand patron.”
Ouf. Bellamy se détendit légèrement - vraiment légèrement parce que le rire du plus âgé ne le mettait pas particulièrement en confiance. “Vous auriez rien à cafter en même temps," marmonna-t-il, toujours sur la défensive et surtout impatient de repartir.
AVENGEDINCHAINS
Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23725 POINTS : 230
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
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willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
“Evidemment. Evidemment que je travaille ici, évidemment que je ne me contente pas de la couture et de l’assemblage de petites pièces. J’ai bien mieux à faire pour occuper mon temps, j’ai bien plus important à accomplir en ce monde aussi. Bellamy a un sourire narquois, j’en ai un autre en guise de réponse, simplement pour qu’il comprenne que lui et moi ne faisons définitivement pas partis du même monde. Du coup qu’est-ce que vous faites ?” - “Je m’occupe de créer une nouvelle collection avec James.” Il ne s’appelle pas monsieur Weatherton de ma bouche, évidemment, et cela ne peut que souligner le fait que je le connaisse personnellement, et pas simplement au titre de collègue, collaborateur, partenaire ou Dieu sait quel autre synonyme à la con dans le genre. Je le connais bien plus que ce ne sera jamais le cas de Bellamy, de façon assez évidente.
A mon tour, je n’hésite pas à lui rendre la pareille en termes de questions. A défaut de m’intéresser réellement à sa vie, je me rends curieux de ce dont il en retourne à son sujet. “Vous me faites passer un interrogatoire ? J’étouffe un rire faux à mon tour, pas franchement amusé pour autant. Je souligne simplement qu’il essaye de mordre à son tour, ce qui a sans doute quelque chose d’attendrissant venant d’un ancien de mes employés. “T’as des choses à cacher ?” - Je dirais rien en l’absence de mon avocat.” Mon sourire reste vivace, mes yeux restent ancrés dans les siens. Oh, il peut bien faire ce qu’il veut, après tout. Ce n’est pas mon problème et je me coucherai tout aussi bien ce soir, qu’il ait répondu ou non à mes interrogations. Simplement, personne n’a intérêt à me reprocher mon manque d’attention en ce qui concerne la vie d’autrui après un tel épisode: je fais des efforts, là, vous voyez bien pourtant.
Et s’il ne répond pas à mes questions sérieuses, cela ne m’empêche pas pour autant de trouver le moyen de m’amuser autrement, notamment en l’accusant les yeux dans les yeux du vol récent ayant eu lieu à Weatherton. “Ben oui, vous m’accusez d’un truc que j’ai pas fait.” Et lui, il est incontestablement un enfant prenant la mouche pour rien, je ne vois pas la moindre autre conclusion à apporter à ces mots revanchards. Jusqu’à preuve du contraire, je ne suis pas la police, ni même la justice, et ce ne sont pas mes mots qui risquent de l’accabler. “Mon pauvre.” Bienvenue dans le monde des adultes, pas vrai ?
“Vous auriez rien à cafter en même temps." “Mais je suis un artiste, je manque pas d’imagination.”
Tout ça pour dire que je pourrais l’accuser de tous les maux du monde si cela me chantait, alors à sa place je ne donnerai pas autant d’importance à ce qui est véritable ou non. Le monde n’en a jamais rien à faire de la vérité, il veut un visage sur lequel cracher, et je pourrais offrir le sien sur un plateau d’argent sans aucune raison, uniquement parce qu’il a un certain don pour m’irriter. “Toi, je me serais pas douté que t’avais la fibre artistique par contre.” Je relance, curieux et sans doute pas vraiment convaincu par le fait que cela puisse effectivement être le cas. Aussi bien, il se contente de passer le balai.
Ce n’était vraiment pas une conversation agréable et Bellamy avait hâte de trouver une occasion de s’enfuir en toute politesse ; ce n'était pourtant pas faute de chercher, ses iris grapillaient toute distraction qui passait dans leur champs de vision sans rien trouver qui justifierait une fuite à l’anglaise qui ne risquerait pas d’aggraver son cas auprès de Mr.Williams. “Je m’occupe de créer une nouvelle collection avec James.”
“Ah”, good for you, pensa-t-il. C’était bien, maintenant il avait un nouveau sujet de ragot à partager avec ses collègues en pause café, est-ce qu’il en pensait grand chose cependant, et bien non : Williams faisait bien ce qu’il voulait de ses journées, faisait des collections avec le big boss s’il voulait ; Bellamy avait beau se demander quelles étaient les qualifications de l’homme, il se passerait très bien de l'information.
“T’as des choses à cacher ?” Si Bellamy n’avait rien à cacher, il en avait de moins en moins l’air, les accusations sans fondement mettaient ses nerfs à rude épreuve - c’est que son casier judiciaire rapportait des faits de vol commis à la sombre époque où il ne partageait qu’une braincell avec ses amis ; cela lui était peut-être passé mais pas sûr qu’on le croit si quelqu’un comme Williams affirmait le contraire.
Il dévia donc la conversation en plaisantant, et l’autre homme souriait quoique Bellamy lui trouvait plutôt des airs carnassiers. Il avait clairement l’air de rire de lui plutôt qu’avec lui et Bella n’aimait vraiment pas la sensation. Il se sentait pris au piège.
“Mon pauvre”
Sensation confirmée. Bellamy fit la moue, celle qui lui donnait des airs d’enfant de huit ans qu’on envoyait se coucher avant le film. Est-ce qu’il pouvait partir ?
“Mais je suis un artiste, je manque pas d’imagination”
Chaque mot prononcé faisait perdre à Williams du capital de sympathie, pas qu’il en ait eu beaucoup à la base - ce qui était sûr était qu’il était maintenant tombé dans le négatif. Il posa sur le plus âgé un regard scrutateur, à la recherche des racines du mal qui l’habitaient. Il ne vit rien, ne dit rien du tout non plus parce que pour une fois, il n’avait rien à dire. A croire que Williams le mettait assez mal à l’aise pour lui couper le sifflet.
“Toi, je me serais pas douté que t’avais la fibre artistique par contre.”
La pique se ficha droit dans l’égo de Bellamy ; elle lui arracha un froncement de sourcil indigné. Les réponses se bousculèrent dans son esprit, de la plus courtoise qui rendrait fière mamie à la plus vulgaire qui exprimerait au moins le fond de sa pensée - il fit l’effort de réactiver son filtre bouche-cerveau, celui qu’il laissait éteint 23/24h, ravala ses réponses acerbes.
“Mais qu’est-ce que vous avez contre moi à la fin ?” le ton était plus sec que ce qu’il avait prévu, mais ce n’était sûrement pas si grave vu ce qu’il venait d’encaisser en l’espace de cinq minutes -
Il ne connaissait pas l'homme personnellement, ne savait pas s'il était con avec tout le monde ou seulement avec lui, ça lui était un peu égal, il aimait bien prendre les choses personnellement.
AVENGEDINCHAINS
Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23725 POINTS : 230
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
Il est un de ces ballons colorés et vaguement ressemblant à une forme humaine que l’on colle devant les enseignes pour attirer le regard d’autrui, sous leur allure instable volant à tous les vents. En somme, il a beau être mignon - autant qu’un enfant peut l’être -, je ne trouve en lui aucune autre sorte d’intérêt. S’il travaille ici, grand bien lui fasse, mais puisqu’il semble avoir la langue liée, je ne compte pas être celui qui se bat pour obtenir des réponses dont je me fiche très largement, finalement. Il s’indigne quand je sous-entends qu’il n’est peut-être pas un artiste, mais au-delà de ça, et de façon désormais prévisible, je ne l’entends pas oser de quelconques reproches à mon égard. “Mais qu’est-ce que vous avez contre moi à la fin ?” Et le voilà enfin, le ton indigné, l’air de Calimero, la capacité à croire que tout le monde est contre lui et que la terre devrait être qualifiée d’inhabitable. Je souffle, bien plus agacé que quoi que ce soit d’autre. Dans mes souvenirs, il était doté d’un peu plus de répartie. Dans mes souvenirs, il était au moins un minimum amusant. “Calme toi Calimero, je te laisse.”
Je ne suis pas animé par la crainte de représailles, loin de là. Après tout, que pourrait-il faire ? Pleurer dans les jupes de James ? Pleurer dans celles de ses collègues ou de n’importe quelle autre personne mieux placée ? Ce serait diablement amusant, peu importe à qui il en parle, mais ce serait aussi dénué de tout impact sur ma personne. Je ne suis pas intouchable, loin de là, mais ce n’est pas comme si j’avais fait quoi que ce soit de répréhensible. Pour cela, je suis encore trop utile à Weatherton pour qu’ils prennent le risque de me faire sauter pour aussi peu ; surtout au profit d’une personne telle que lui. “Amuse toi bien, gamin.” Je lance alors sans que ce ne soit une nouvelle attaque de ma part. Peu importe ce qu’il fait ici, cela semble lui plaire au point où une (fausse) dénonciation de ma part le terrifie, alors j’espère au moins que cela durera plus longtemps que le rôle qu’il a tenu à Ras le bol. Après tout, James a plus important à gérer que des recrutements à tout va. Notre collection ne se créera pas seule, nous n’avons pas le temps pour ces conneries ni pour l’ego sensible d’enfants. Ainsi, je reprends les tissus sous mon coude pour retourner travailler, et enfin laisser Bellamy tranquille. Maintenant, son pouls doit rivaliser avec la stratosphère.
Spoiler:
je te laisse répondre si tu veux, ou sinon ou peut archiver là-dessus, tu gères selon ce qui t'arrange
Mr.Williams était vraiment offensant, un comble pour quelqu’un qui ne connaissait pas Bellamy et ne pouvait donc juger que les apparences qu’il voulait bien présenter au monde (pas très flatteur, certes) ; maintenant il était tendu, triggered comme il l'était quand on s’acharnait à lui démontrer par A + B qu’il était vraiment idiot et superficiel.
“Calme toi Calimero, je te laisse.”
Finally.
Bellamy avait un peu l’impression que Williams n’avait fait que ça, lui dire de se calmer, alors qu’il était très calme (bof.) Il aurait menti s’il avait prétendu qu’il n’était pas particulièrement heureux de l’entendre dire qu’il le laissait.
He huffed, clairement contrarié par l’homme alors même qu’il était sur le départ. Apparemment, lui aussi aimait laisser de mauvaises impressions sur ses interlocuteurs. “Ouais vous devez avoir du travail,” qui ne devait pas consister en bully les employés qui avaient le malheur de croiser sa route. On ne pouvait pas être payé pour ça si ?
“Amuse toi bien, gamin.”
“Vous aussi,” répondit-il par politesse, regardant Williams partir et attendant même quelques secondes parce qu’il comptait aller dans la même direction et qu’il refusait catégoriquement de faire trois pas à côté de l’autre homme. Une fois qu’il le jugea suffisamment loin pour sa propre santé mentale, Bellamy reprit sa route en direction des machines à café.