| (harter) I said, okay, but let's discuss this at the hospital |
| | (#)Ven 5 Aoû 2022 - 19:16 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(lexiresources/tumblr) ✰ w/ @Jo Carter "C'est une très bonne chanson, Nicky, j'espère que tu t'en rends compte." C'est Vance qui te sort de tes pensées, une main posée sur ton épaule et l'autre sur la partition que tu lui as tendue un peu plus tôt. Si beaucoup se serait contenté de donner uniquement les notes à leur batteur, décidément pas toi, tu connais assez l'autre homme pour savoir qu'il aime bien se joindre à toi parfois, il a un micro pour une raison après tout (et pas juste pour dire au public qu'il les remarque) et au lieu de prendre le compliment pour ce qu'il est, tu hausses les épaules. Tu relèves à peine les yeux de ta guitare, beaucoup trop occupé à l'accorder, ton regard bleuté pointé sur les cordes et c'est seulement quelques moments plus tard, quand tu réalises que Vance te fixe toujours, que tu réagis enfin. Tu clignes des yeux, sa main à lui quitte ton épaule droite et tu te penches toi aussi sur la partition. "Hmm ? Oh merci, je ne l'ai pas écrit pour moi, mais..." Mais cela reste ta chanson, pas la vôtre, que tu ne peux t'empêcher de penser, même si tu as entendu à ton ami musicien la version finie et pas celle avec toutes les notes de Josephine dans la marge et sur les pages. Les "ew" ainsi que les "how about no" et son regard surligné par des traits experts d'eye-liner pour t'indiquer que tu n'es pas obligé de déprimer en permanence, non, il n'a pas le droit à cela Vance et tu finis par hocher la tête tout simplement. Parce que tu n'as vraiment pas envie d'y penser, parce que tu as accepté de le suivre ici, ce soir, dans ce piano bar au centre de la ville pour monter sur scène, pour jouer et pour te concentrer sur autre chose. Tu ne penses à rien d'autre qu'aux notes de musique quand tu as un instrument entre les mains, tu ne penses à rien d'autre qu'à la performance et à comment remplir le silence quand tu es sur scène. C'est une expérience unique et particulière, qui te manque de temps en temps, et Vance aime se croire très convaincant, mais la vérité c'est que ta timidité naturelle et tes doutes vont tout de suite au placard quand on te propose de participer à une performance live. Tu es un paradoxe ambulant, tu le sais, cela ne fait pas vraiment de sens, autant ne pas essayer de l'expliquer, n'est-ce pas, cela vaut mieux ainsi, tu en es persuadé. "Montons juste sur scène, okay ?" Que tu proposes simplement à Vance, parce qu'on devrait vous annoncer dans quelques minutes si tu ne te trompes pas, et si l'autre homme veut ajouter quelque chose, il ne le fait pas, il te gratifie d'un clin d'œil avant de passer une main dans tes cheveux courts, pour tenter de les déranger. Il a le droit à une légère grimace, parce qu'il devrait vraiment arrêter de te traiter comme si tu étais en porcelaine vraiment, et parce que vous savez tous les deux que tu n'es pas si ennuyé que cela et tu finis par le suivre quand c'est enfin votre tour. L'établissement n'est pas vraiment silencieux mais on vous regarde avec un intérêt certain, tu en as l'habitude, tout comme tu as l'habitude d'avoir ce projecteur jaune qui crépite pointé vers toi, de même que le trémolo de ton cœur au moment où tu viens te placer devant le micro, pour vous annoncer, vous, nicky and the saints et pour commencer à jouer. Et tu sais quoi faire sur scène, tellement que le set se finit un peu trop vite à ton goût, beaucoup trop vite, mais c'est bien avec le sourire aux lèvres et en ayant transpiré un peu plus que tu ne le devrais que tu retrouves les coulisses suivi de Vance. Tu as à peine le temps d'attraper ta bouteille d'eau, que déjà, on t'accoste, un des employés du bar, tu le reconnais facilement. "Mec, je ne sais pas qui est Jo, mais elle n'a pas arrêté de t'appeler, je crois qu'elle a besoin de toi." Il fait l'annonce avec un ton joueur, te tendant ton téléphone portable et tu manques de faire tomber ta bouteille d'eau sur le sol, fronçant les sourcils. "Quoi ?" Il hausse les épaules, tu attrapes ton téléphone portable et remarque les différents appels manqués de Josephine. Ce qui est un contraste saisissant entre le silence radio d'il y a quelques jours, et quand tu la rappelles automatiquement, ton cœur bat un peu trop fort pour des raisons différentes, pas à cause des efforts fournis sur scène, décidemment pas. "... Allo ?" Ta voix tremble plus qu'elle ne le devrait, ton esprit te jouant dix milles scénario affreux dans ta tête et enfin, la voix de Jo s'élève, confirmant tes doutes et tu es déjà en train de bouger avant même de retrouver la parole. La bouteille d'eau finit bien sur le sol, tu t'en fiches vraiment et tu retrouves le vestiaire où tu as abandonné tes affaires, trouvant tes clefs de voiture un peu trop lentement à ton goût. "J'arrive. Ne bouge pas, j'arrive." C'est quelqu'un d'autre qui parle, pas vrai ? Tu en es presque persuadé, cela ne peut pas être toi, toi, tu te maudis d'avoir laissé Esmée toute seule, tu dis à Vance qui essaye de te suivre que tu ne peux pas rester, ton expression doit être te suffisante car il n'insiste pas, te dit d'y aller, qu'il s'occupera du reste et tu zappes même le moment où tu es au volant de ton véhicule. Combien de feux rouges est-ce que tu as grillés ? Combien de personne tu as presque mises en danger ? Cela n'a pas vraiment d'importance en réalité, la seule chose qui compte c'est quand enfin, tu peux faire la focale sur Josephine. "... Où est-elle ?" |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mer 10 Aoû 2022 - 16:29 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(ssoveia) ✰ w/ @Nicholas Hurley Jo avait ses mains resserrées sur son téléphone portable, lui-même calé entre ses cuisses qu’elle ne cessait de bouger, ses orteils presque en équilibre derrière les pieds en ferraille de la chaise sur laquelle elle était assise, droite comme un piquet. Le regard dans le vague, à se demander si elle devait appeler de nouveau Nicholas, elle essaya de fermer son esprit un moment pour ne pas entendre le bruit des va-et-vient dans la salle d’attente des urgences, et ses paupières se scellèrent le temps d’un instant, un trait d’eye-liner noir dardant de la ligne étroite de ses longs cils. Tout était allé beaucoup trop vite pour qu’elle réalise vraiment ce qui s’était passé, et la somme de ce qu’elle devait prendre en compte, elle s’était perdue dans la fâcheuse tendance qu’elle avait de ne pas savoir restée concentrée plus de cinq secondes, petit papillon agressif qu’elle était, à ne jamais prendre le temps d’apprécier la vie qu’elle traversait à vive allure. D’où ça lui venait, elle ne le savait pas, mais ça avait toujours été un problème pour elle, que seule la musique avait su canaliser à l’époque, alors qui savait, peut-être qu’elle avait définitivement un problème dans la tête, comme elle l’entendait dire au moins trois fois par semaine, quand elle se mettait à gueuler, râler, insulter… peu importait, ce n’était pas elle le plus important dans l’absolu, mais bel et bien Esmée Hurley, qu’elle avait retrouvé inconsciente dans l’allée de sa maison en rentrant de l’épicerie ce matin-là. Jo ne savait pas vraiment ce qui s’était passé, elle avait juste agi pour vérifier ses constantes, notamment son pouls, qui était faible, mais détectable grâce à la pression qu’elle avait faite sur son poignet, puis sur son cou pour être bien sûre. Elle avait appelée les secours aussi vite, avant d’appeler Nicholas. Elle ne savait pas combien de fois exactement, elle n’avait pas réussi à l’avoir de l’autre côté du combiné, mais elle n’avait pas voulu lui laisser de message sur sa boîte vocale, simplement parce qu’elle avait pensé qu’il n’aimerait sans doute pas recevoir ce genre de nouvelle de cette façon ; que même venant d’elle, à qui il n’avait pas parlé depuis quelques semaines maintenant, ça aurait été d’une indélicatesse telle qu’elle s’en serait atrocement voulue — encore une fois, et peut-être que ça aurait été la fois de trop d’ailleurs.
Elle sursauta quand elle sentit son téléphone vibrer dans l’étau serré de ses doigts, la faisant se lever d’un bon de son siège. Laissant sa veste en jean lui retomber jusqu’à la taille, tenant en somnambule au bout de ses bras, elle décrocha, ne pensant même pas à lui faire de reproches quand elle se rendit compte qu’enfin, elle avait Nicholas au bout du fil "J’ai trouvé ta grand-mère inconsciente quand je suis rentrée des courses, j’ai appelé tout de suite les secours. On est aux urgences du St-Vincent." Comme entame, ce n’était pas la meilleure qu’elle avait en boutique, mais elle préférait aller droit au fait parce qu’elle savait que, si elle s’était retrouvée à la place de Nicholas, et ça avait été le cas, il y avait de ça quelques temps maintenant, elle aurait aimé qu’on lui dise les choses sans tourner autour du pot pour l’empêcher de ruminer des scénarios terribles, des horreurs qu’eux seuls pouvaient imaginer tant elles apparaissaient comme leur pire cauchemar "J’ai pas vraiment de nouvelles depuis que je suis arrivée, je suis pas de la famille… ils veulent rien me dire, je sais juste qu’ils s’en occupent." Elle était montée avec elle dans l’ambulance parce qu’elle avait insisté, et puis elle avait laissé sa propre grand-mère aux soins du voisin d’à côté de chez les Hurley. Elle avait relativement confiance, et elle l’aurait eu sur la conscience, si elle avait laissée Esmée seule avec les secouristes — parfois, il y avait des sacrifices à faire "Je bouge pas." fit-elle à Nicholas qui, comme elle se l’était imaginé, réagit au quart de tour en lui assurant qu'il arrivait. Et il arriva quelques minutes après. Jo n’attendit pas, s’étant de nouveau levée pour le rejoindre au milieu de l’entrée des urgences, un peu moins maîtresse de ses émotions qu’elle avait pu l’être jusqu’alors. Elle l’empoigna par les deux bras, juste au niveau du coude pour lui faire face, et lui répondre, sa veste en parachute, derrière elle "Ils l’ont pris en charge. Personne n'a le droit d'entrer avant qu’ils lui aient fait des examens, ou je sais pas quoi." Le fonctionnement des hôpitaux, ça la dépassait, et ce n’était pas seulement parce qu’elle ne les aimait, pas comme une bonne majorité de la population ; c’était aussi parce que ça ne faisait pas vraiment de sens, de laisser quelqu’un souffrir seul, avec des inconnus comme seule garantie, quand bien même ils étaient qualifiés. Elle leva la tête pour capter le regard du jeune homme, lui soufflant juste parce qu’elle ne savait pas quoi dire d’autre, et parce que lui dire je suis désolée aurait sans doute une autre signification profonde qu’elle n’avait pas envie d’utiliser, pas dans cette situation là en tout cas "Je t’ai appelé tout de suite, mais t’as jamais répondu." Ce n’était pas un reproche, c’était une constatation qu’elle faisait pour qu’il comprenne qu’elle n’avait pas joué avec la vie de sa grand-mère, et qu’elle avait fait au mieux.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Mar 16 Aoû 2022 - 3:48 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(lexiresources/tumblr) ✰ w/ @Jo Carter Si tu devais énoncer toutes les fois où tu as dû passer les portes d'un hôpital et du service des urgences en tant que patient, il te faudrait sûrement dominer la conversation pendant quelques minutes. De longues minutes à raconter ta supposée maladresse, les fois où tu es tombé dans les escaliers plus jeune, la négligence dans la cuisine ou même en jouant tout simplement dehors... des jolis mensonges pour protéger quelqu'un qui ne le méritait certainement pas, mais tu n'as pas le rôle du patient aujourd'hui, et pourtant tu sens le même genre de malaise naitre dans ta poitrine en reconnaissant les sons et toutes les odeurs associées à ce lieu et aux différentes allés et venues de tout le personnel hospitalier. C'est soudainement beaucoup trop, toi tu en pas particulièrement conscience et pourtant tout s'efface, tout passe en arrière-plan et devient littéralement du bruit de fond quand tes yeux bleus se posent sur Josephine et vous vous rencontrez littéralement au milieu, la brune clairement en train de t'attendre. Elle s'empare de tes deux bras et si tu préfères que les gens se tiennent le plus loin possible de toi et de ton espace physique, ce n'est pas le cas dans la présente et tu es certain que sans les mains de Jo juste là, tu aurais fini par flancher. Jo a déjà des réponses pour toi et tu fronces déjà les sourcils, lâchant un : "Comment ça personne ?" qui ne veut rien dire dans le fond et si tu réfléchissais, si ton cœur ne battait pas aussi vite, tu comprendrais que c'est la procédure normale et que tu ne peux pas juste pousser des portes et hausser le ton pour voir la femme qui t'a élevé. "Je sais, je n'avais pas mon téléphone avec moi et... vous êtes là depuis longtemps ? Il faut que je parle à un quelqu'un." Tu ne doutes absolument pas des paroles de Josephine, pourquoi est-ce que tu le ferais déjà et quand Esmée et Ava sont concernées, il y a toujours eu une sorte d'accord tacite entre vous deux, quelque chose qui n'a jamais été dit mais de profondément ancré en vous. Assez pour mettre votre vie sur pause quand il faut s'occuper de la santé de ces dernières et de tous les désagréments qui viennent avec l'âge, le discours de toi qui pourrait vivre ta jeunesse, mettre Esmée dans une maison de retraite et juste tourner la page, tu ne veux pas l'entendre, tu n'as jamais été prêt à l'entendre et quelque chose te dit que c'est pareil pour Jo. Au moment où tu finis ta phrase, à la seconde même où tu l'as fini même, tu es déjà en train de bouger, tu ne réfléchis même pas et tu attrapes la main droite de Jo, te dirigeant vers l'accueil et ayant plus que jamais besoin qu'elle soit à tes côtés. Il n'y a personne qui vous barre la route, encore heureux et tu attires rapidement l'attention de la personne derrière le comptoir. "Excusez-moi, ma grand-mère s'est fait admettre il y a un peu plus tôt, je suis son petit-fils et la personne qui s'occupe d'elle..." C'est sûrement de la panique dans ta voix, tu peux l'entendre et tu peux le sentir, c'est comme une deuxième peau soudainement et tu te forces à prendre une profonde inspiration tandis qu'elle te demande un prénom et tu réponds rapidement un : "Nicholas Hurley, ma grand-mère s'appelle Esmée." Tu ne la quittes pas du regard tandis qu'elle tapote sur son clavier d'ordinateur, à la recherche de la ligne qui te dira sûrement si ta grand-mère va bien. Peut-être que tu devrais imaginer le pire mais en réalité, tu n'imagines rien, tu as l'esprit vide, attendant le verdict pour te prononcer, ayant beaucoup trop peur des possibilités, serrant davantage la main de Jo quand enfin, on se tourne vers toi avec une réponse. "Oui je vois... elle a été prise en charge par un médecin et on s'assure qu'elle va bien. Elle a perdu conscience pendant un petit moment, elle doit passer des radios pour sa hanche et d'autres examens pour sa tête, pour vérifier qu'il n'y aura pas de problèmes sur le long terme." Le ton utilisé se veut chaleureux et rassurant, sûrement pour chercher à t'apaiser le plus possible, pour ne pas que tu causes de scène ou que tu te fasses admettre toi aussi parce que quelque chose, comme ton cœur, finirait par lâcher aussi; ça n'aide pas, c'est tout le contraire en réalité, ça te fait l'effet d'une claque sur le visage et tu bats des cils plusieurs fois, pour conserver tes yeux ouverts, avant de répéter la dernière partie de la phrase. "Sur le long terme ?" Qu'est-ce qu'on ne te dit pas ? Est-ce vraiment la meilleure chose à faire que de t'épargner ? Les questions sont là, tu ne les poses pas, tu voudrais pourtant, dire que ça ne fait pas vraiment de sens et il te faut une autre inspiration pour te retenir de le faire. "Oui, il va falloir attendre, on a déjà son dossier médical mais si vous pouvez remplir ça pour tout ce qui est plus récent, ça nous aiderait beaucoup." On te tend quelque chose, tu l'attrapes avec un temps de retard, lâchant un : "Okay..." avant que quelqu'un d'autre derrière Jo et toi, ne veuille des infos aussi. Tu n'insistes pas, tu n'as pas le temps, t'écartant déjà vers les chaises qu'on t'a indiqué et sans le réaliser, tu prononces un : "Je n'aurais jamais dû sortir." un peu défaitiste parce que c'est la vérité. Tu aurais simplement dû rester chez toi, Esmée n'en n'aurait pas fait autant et elle ne serait pas là. Ton regard passe du carrelage froid, blanc immaculé à Josephine très rapidement, assez rapidement pour te donner le tournis. "Tu l'as trouvée en plus… Jo, je ne sais même pas ce qui se serait passé si tu n'avais pas été là." |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Jeu 18 Aoû 2022 - 20:45 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(ssoveia) ✰ w/ @Nicholas Hurley "J’en sais rien. Tout est allé trop vite, j’ai pas eu le temps de me rendre compte." qu’elle lui admit sans se douter un seul instant que ça pouvait avoir son importance. Jo se comportait de manière factuelle, elle n’anticipait pas très bien les moments graves, peut-être parce qu’elle savait qu’elle n’était pas d’une grande d’aide dans ces cas-là. Elle avait beau avoir une grande gueule, du toupet, et une certaine présence, quand la réalité des faits devenait trop brutale pour elle, elle la bouclait en redevenant ce qu’elle avait toujours été au fond, une gamine perdue dans un monde trop grand pour elle. Le cas d’Esmée ne faisait pas exception, mais elle avait fait ce qu’elle avait pu pour lui venir en aide. Elle espérait seulement que ça avait été assez rapide, que ça avait été assez tout court parce qu’elle ne réussirait pas à se dédouaner vraiment de l’idée que ce serait de sa faute dans ses cas-là. Quand Nicholas lui prit la main pour se diriger vers le comptoir d’accueil, elle ne fit rien d’autre que le suivre se disant qu'il savait sans doute mieux quoi faire qu’elle, que comment il le lui répétait au moins une fois par phrase, c’était lui le vieux, alors il avait l’habitude. Elle n’avait pas eu à beaucoup traîner dans les hôpitaux avec Ava, ce qui était un comble compte tenu de sa pathologie ; son parcours médical avait été strictement suivi dans une institution beaucoup plus petite que celle-ci, où tout le monde la connaissait comme la petite-fille d’Ava Carter, qui s’occupait d’elle, et qui était la personne à appeler en cas de besoin. Les hôpitaux, c’était trop grand, et ça faisait peur ; on savait comment on y entrait, on ne savait pas comment on en sortait. L’environnement était anxiogène, même pour quelqu’un qui avait relativement la santé, encore qu’elle s’était vue plusieurs fois proposer de rentrer dans un asile pour se faire soigner : la vérité, c’était qu’elle détestait être ici, et pas seulement à cause de l’accident d’Esmée.
Elle laissa Nicholas dialoguer avec la responsable des admissions des urgences dont la verve était entraînée pour répondre aux demandes des proches des patients. Si elle se référait au badge qu’elle portait à son hideuse blouse, elle s’appelait Molly ; un prénom de pétasse condescende qui sortait tout juste de la fac en prétendant avoir gardé sa fleur pour son futur époux, alors qu’elle enchaînait les gâteries sous le bureau du prof, celui avec la grosse barbe et les pantalons en velours. Tu parles d’une valeur sûre à foutre entre les pattes des proches des patients quand ils avaient besoin d’infos. Sur le coup, au lieu de lui dire le fond de sa pensée à cette greluche, elle resserra la main de Nicholas dans la sienne ; quand il lui parut évident qu’ils étaient éconduits gentiment. Ça l’énerva davantage, d’autant que l’autre leur avait fait part d’une info qui n’était pas tombée dans l’oreille d’une sourde, et que Nicholas répéta en écho ; ils avaient besoin de vérifier s’il n’y aurait pas de séquelle sur le long terme du côté d’Esmée. Comment elle pouvait leur dire ça sans s’attendre à ce qu’ils insistent ? Elle n’eut pas l’occasion de se poser trop fort la question, se sentant basculer en arrière, menée par la main par Nicholas dans la salle d’attente des urgences qui sentait le détergeant et le désespoir. "Quelle pute." qu’elle murmura pour elle-même, se calant dans son siège en gardant son regard dirigé vers la jeune femme, s’évitant ainsi d’en coller une à Nicholas qui se plaçait déjà en responsable tout désigné de la chute de sa grand-mère. Sa main récupérée en troisième vitesse, elle l’utilisa pour coincer une mèche de ses cheveux derrière son oreille, tournant brièvement la tête vers lui quand il il lui sembla clair qu’il allait se lancer dans une sortie digne de sa mièvrerie. Oui, elle l’avait trouvée. Oui, elle avait essayé de faire ce que tout le monde aurait fait en vérité, alors inutile de commencer à broder autour de ce fait ; elle aimait se lancer des fleurs, pas forcément que les autres le fasse, surtout quand ce n’était pas mérité "J’étais là au bon moment, tout le monde aurait fait la même chose. J’ai fait qu’appeler les secours." Il ne fallait pas compter sur ses regrets concernant sa dispute avec le jeune homme pour qu’elle sorte de sa zone de confort. Pourtant, elle sentit son regard s’embuer doucement, parce que ça lui faisait de la peine finalement, toute cette situation autour d’Esmée. Pour le cacher, elle se leva d’un bond, sa silhouette devenant traînée de couleur quand elle déboula dans le corridor "Hey, vous là !" qu’elle lança en direction de la bonne femme de l’accueil, la pointant du doigt comme elle savait si bien le faire, sa grande gueule n’étant rien à côté du spectacle que c’était de la voir se mouvoir quand elle était décidée à obtenir ce qu’elle voulait. Elle s’arrêta à distance du comptoir, hanche sortie, tête serpentante "Vous avez pas le droit de nous lancer des infos horribles comme ça. Ça veut dire quoi, des examens pour sa tête pour vérifier s’il n’y aura pas de problèmes sur le long terme ? C’est supposé nous inciter à rester les bras croisés à attendre que vous soyez disposés à être plus précise, putain de merde ?" Elle était logée à la même enseigne que tout le monde, elle n’obtiendrait sans doute pas gain de cause. Mais ça valait le coup d’essayer, quand bien même elle savait dans le fond que Nicholas et Esmée ne méritaient pas qu’elle fasse de scandale. Il fallait qu’elle fasse quelque chose d'autres que de rester assise à côté du jeune homme, à l’entendre déblatérer des banalités qui la pousseraient sans doute, à un moment donné, à vouloir le réconforter.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Sam 20 Aoû 2022 - 3:00 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(lexiresources/tumblr) ✰ w/ @Jo Carter Vous êtes enfin assis, mais ce n'est pas pour autant que le monde autour de toi tangue moins, ce n'est pas pour autant que tout cela fait plus de sens et tu prends une profonde inspiration quand Jo finit par récupérer sa main, toi, tu te penches vers le formulaire que l'on t'a donné. Tu remplis les premières lignes facilement, le nom, l'âge, le type sanguin et une quelconque condition qui pourrait empêcher Esmée de prendre ou tel médicament, tu connais toutes ces informations-là. Tu peux encore la revoir il y a quelques heures de cela : sur son fauteuil préféré, en train de tricoter, la télévision allumée, et à te regarder en biais, avec son sourire qui veut dire qu'elle est contente de te voir sortir de ta chambre et braver le monde extérieur. Tu n'aurais pas dû ce soir et tu n'aurais pas dû en général, c'est des foutaises quand on dit aux gens qu'il y a des réponses dehors, tu aurais dû rester chez toi, Esmée serait déjà au lit depuis longtemps, avec l'esprit tranquille et en pensant sûrement à sa journée du lendemain, toutes les pâtisseries à faire, de quelle façon te tirer les oreilles et de te tirer de tes pensées en général, et comment te faire sortir de ta coquille en réalité et faire en sorte que tu ne paniques pas. Tu aurais dû rester chez toi, peut-être même que tu ne te serais pas pris la tête avec la brune assise juste à côté de toi à présent. La pensée repart aussi vite qu'elle est venue, juste au moment où Jo réplique, t'assure qu'elle a juste fait ce qui était à faire. "Cela compte quand même." Tu le marmonnes, tes yeux bleus s'arrêtent une seconde, puis deux sur le visage de la jeune femme, tu vois les larmes dans ses yeux, tu discernes la panique et la tension et tu sais que tu n'es pas mieux. Mais elle est là, elle n'est pas encore partie et presque comme si c'était trop, d'un coup comme ça, de voir Jo aussi vulnérable, ton attention se reporte sur cette feuille que tu remplis machinalement sans y penser. Tu as beau être terrifié, mortifié par l'idée de ne pas savoir de quoi les prochaines heures vont être faites, tu restes tout de même pragmatique et tu veux, oui, tu veux tout faire pour aider Esmée. Quand Jo se lève, non, quand elle bondit comme un ressort, tu ne sursautes même pas, ton cœur ne se soulève même, parce que tu connais cette pose-là, tu connais ce regard et tu sais qu'elle va faire. Tu sais que la brune va ranger son trop plein d'émotions loin, l'enfouir le plus loin possible et à la place, déverser sa colère et sa répartie habituelle sur quelqu'un de proche, parce que c'est mieux de sortir les griffes que d'être vraiment blessée, que d'admettre que tout cela la touche, un peu trop d'ailleurs. Et tu le comprends totalement, la seule chose que tu veux faire là tout de suite, c'est te réfugier dans l'intérieur de ta veste, te rouler en boule dans un coin, seulement pour être prévenu quand tu pourras voir ta grand-mère. Mais cela n'aiderait pas, et ce que Jo veut faire non plus. "Jo..." Tu te contentes juste de le murmurer, sur un ton un peu trop bas pour être perçu en réalité, elle s'en prend déjà à la personne à l'accueil et tu pourrais juste laisser faire, elle n'a pas besoin de toi, tu le sais ça, cependant, elle est là, Jo n'a pas encore rebroussé chemin et tu finis par te lever sans même le réaliser, trouvant toi aussi l'accueil et l'employée en train de répliquer sur le ton le plus diplomatique qu'il s'agit de la seule information qu'elle peut laisser filtrer et ce même si cela parait injuste. Tu as un sourire forcé pour l'inconnu, tu n'as pas envie de sourire en réalité, avant de venir te placer devant Jo, faisant disparaitre la personne à qui elle s'en prend et ton regard bleuté tombe sur elle. "Jo, je sais ce que tu essayes de faire, mais ça ne va pas aider, elle fait juste son boulot." Tu ne cherches même pas à vraiment l'arrêter, ou à l'énerver encore plus... Quoi que, qu'elle s'énerve contre toi, te traite d'idiot et te dise toi aussi de t'insurger, ça, tu saurais gérer, le reste ? C'est tellement inconnu et inattendu qu'y penser te donne déjà la migraine. "Même si c'est horrible ce qu'elle vient de dire, il faut juste qu'on attende." Tu n'aimes pas le dire, vraiment pas, ton expression est peinée pendant quelques secondes avant que tu tournes vers elle, Molly que dit son badge et que tu lui tendes ce qu'elle t'a demandé. "Tenez, tout ce que vous devez savoir c'est qu'elle devait se faire opérer à la hanche et qu'elle a refusé d'avoir l'opération tout de suite. Elle ne se sert pas aussi souvent qu'elle le devrait de sa canne ou de son fauteuil roulant." Tu admets tout cela avec une voix tremblante et tu décides que non, tu ne peux pas juste faire cela, rester assis sur une chaise et décider que tout va bien. "Vous avez une cafétéria ? Des distributeurs ou quelque chose ?" Tu écoutes à peine les indications qu'elle te donne, il y a des panneaux, c'est un hôpital, vous trouverez bien, il est clair que vous ne pouvez pas rester là. "Il nous faut du sucre." Tu es tourné vers Jo quand tu dis cela, en réalité, tu n'attends même pas sa réponse, tu lui attrapes l'avant-bras droit, l'entrainant ailleurs, ouvrant la marche et décidant des choses pour la première fois, et oui, même elle, elle pourra voir toute l'ironie de la situation.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mar 23 Aoû 2022 - 19:04 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(ssoveia) ✰ w/ @Nicholas Hurley Passer pour la conne de service, attirer les regards avec sa rudesse, se foutre royalement de ce qu’on pourrait dire de son attitude, c’était une porte de sortie plus agréable que de se mettre à chialer à côté de Nicholas parce qu’elle avait eu peur ; peur de devoir lui annoncer une autre nouvelle que celle qu’elle avait dû lui annoncer en arrivant, peur d’être confrontée à une situation qu’elle redoutait de son côté en sachant que ce serait la pire chose qui pourrait lui arriver. On disait ce qu’on voulait de Jo, de son caractère de merde, et de ses sorties les moins chic, mais elle restait profondément hypersensible, c’est ce qui faisait d’elle une bonne musicienne, une bonne chanteuse, une bonne autrice quand elle s’y mettait. Elle ressentait tout au centuple, à devoir gérer les fluctuations de ce qu’elle était capable de supporter ou pas, quand il n’y avait pas grand-chose qu’elle tolérait en vérité. Elle le cachait bien. Elle avait appris à le faire, parce que quand on attend de vous que vous touchiez les étoiles, il ne restait pas grand-chose à accomplir que de prétendre qu’on en est capable — prétendre, c’était ce qu’elle reprochait à qui était capable de supporter ses reproches, quand elle n’était qu’apparence, et qu’elle préférait se calfeutrer derrière sa mauvaise foi, et ses mini-robes, pour admettre qu’elle était autant fragile que tout ceux qui ne savaient pas où ils allaient. Alors, elle s’énerva, comme elle savait si bien le faire, préférant ça au reste, se fichant comme d’une guigne qu’on puisse la tracter à l’extérieur pour respecter le putain de silence de mort qu’il y avait dans ce genre de service, comme s’il n’y avait qu’une fatalité pour ceux qui étaient de l’autre côté de l’accueil. Elle ne voulait pas penser qu’Esmée puisse sortir de là autrement que sur ses deux pieds — ou sur un fauteuil roulant, et c’était assez pour la forcer à monter au créneau, et obtenir de quoi supporter l’attente sans imaginer le pire.
Autant pour elle que pour Nicholas, ça les soulagerait d’un poids ; un poids qui comprima sa poitrine quand elle entendit la grognasse de l’accueil lui déblatérer de nouvelles banalités, un poids qui s’alourdit encore davantage quand Nicholas se glissa en face d’elle pour lui cacher la vue, et la forcer à relever la tête pour affronter son regard, le sien étant bien trop brillant pour qu’elle accepte qu’il comprenne à quel point ça la touchait. Presque immédiatement, elle se pencha sur le côté pour pouvoir nouveau lancer un regard à la jeune femme "Ouais, bah faudrait que quelqu’un lui dise qu’elle le fait mal." Il avait raison dans le fond, bien sûr qu’il avait raison. Mais ils n’étaient pas fait de la même façon. Là où il restait stoïque, enfermé dans sa gestion toute personnelle de ce qu’il gardait au fond de lui, Jo avait besoin de l’extérioriser et de crier à qui voulait bien l’entendre que ce n’était pas juste. Et ce qu’il se passait là, ça ne l’était pas. Ça la bouffait que Nicholas l’accepte sans même se montrer un peu insistant auprès de la responsable des admissions, ça la bouffait encore plus de le voir aussi mou qu’il l’était d’habitude, à vouloir jouer à l’adulte alors qu’elle savait dans le fond qu’il avait besoin de son petit chocolat chaud du soir pour bien dormir, qu’il se goinfrait de ses putains de pâtisseries sans même prendre le temps de les savourer, juste parce qu’il pétri de gourmandise, et qu’il comptait sur sa grand-mère pour l’aider à surmonter à peu près tout ce qui faisait son quotidien ; le voir aussi posé, plus que d’habitude encore, ça lui donnait envie de le frapper, et de lui dire de se réveiller maintenant, parce que si les choses tournaient mal, personne ne serait là pour l’aider à surmonter quoi que ce soit, et surtout pas elle. D'un regard menaçant vers la jeune femme qui récupéra les informations données par Nicholas, elle accepta de battre en retraite, non sans récupérer son bras avec une vivacité certaine quand elle sentit que, de nouveau, il la touchait "Arrête de faire ça." qu’elle lui dit sans aucune douceur, son ton étant encore moins justifié que la colère qu’elle ressentait à son égard à ce moment-là. Elle s’en cognait de son besoin de sucre, elle s’en cognait aussi que ça fasse mauvais genre de faire ce qu’elle venait de faire. Elle prit de l’avance sur lui, marchant énergiquement pour mettre de la distance, jusqu’à ce qu’elle s’arrête pour qu’il la rattrape. Elle lui cracha, sans délai "T’as conscience que tu vas attendre des heures à savoir ce qui se passe vraiment si tu t’énerves pas juste un peu ?" Inutile de lui faire remarquer. Mais souligner les évidences, c’était son petit truc, à Jo "Ça changera pas la finalité des choses de rester de marbre, en fait ça rendra tout encore plus difficile pour toi si ça tourne mal." Si ça tourne mal. Elle se trouva cruelle, mais il fallait poser des mots sur la situation, et il ne fallait pas compter sur sa délicatesse, même si elle aurait aimé pouvoir le prendre dans ses bras, lui tapoter l’épaule et lui dire que tout irait bien : elle n’en savait rien, il n’en savait rien… personne n’en savait rien, et elle n’avait pas l’âme d’une optimiste, Josephine. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Sam 27 Aoû 2022 - 23:13 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(lexiresources/tumblr) ✰ w/ @Jo Carter Tu vas encore dire quelque chose que tu vas regretter, tu le sais, tu le sens, l'urgence de la situation te colle à la peau comme un pull un peu trop rêche et de la même façon que ce genre de vêtements, tout ce qui déroule maintenant va finir par laisser des marques. Il faudrait être idiot pour ne pas le voir et pour ne pas s'en apercevoir et tu fronces déjà les sourcils au moment où Jo récupère son bras, l'expression est plus pour toi que pour la jeune fille. Parce qu'elle a raison, tu devrais vraiment arrêter de faire cela sans sa permission explicite et tu finis par marmonner un : "Okay, désolé." qui sonne fatigué mais qui est bien empreint d'une sincérité certaine. C'est l'angoisse et la panique qui te jouent des tours, tu le sais bien, ajouté à cela le lieu où vous vous trouvez et l'absence d'Esmée pour uniquement des mauvaises raisons ; tu n'as plus ton point d'ancrage habituel, aucun endroit où te réfugier et personne à retrouver si justement, tu dis la mauvaise chose. Jo est là, tout de même, pour le meilleur, pour le pire que tu penses amèrement et elle te suit quand même, te dépasse comme elle fait si bien le faire et tu cesses d'observer ses mèches brunes quand elle prend la parole. Et que vos regards se croisent de nouveau et tu sais que la conversation ne va pas être facile, qu'elle est dans le même état que toi et que oui, elle a véritablement décidé de montrer les crocs. Tu n'es pas en état de la trouver hilarante ou même charmante et tu t'entends pousser un soupir et répondre. "Et toi arrête de faire ça, je sais que tu rêves de trouver ce qui pourrait enfin me faire sortir de mes gonds, vraiment, mais ça ne changera absolument rien, tu viens toi-même de le dire, Jo." Tu lui renvoies les mêmes mots, presque sur le même ton, presque parce que tu ne possèdes pas autant de venin que la jeune femme en face de toi, presque parce que t'énerver vraiment serait lui donner exactement ce qu'elle veut, quelqu'un qui répond au moins et qui ne lui donne pas l'impression de ne pas être là. Tu es là, justement, le ton est froid et sec au possible et c'est de la même façon que tu finis par enchainer avec une autre question, la fixant toujours. "Je m'énerve, je tape dans un mur et quoi ? Je fais quoi après ?" Et est-ce que cela marche véritablement pour elle ? Tu doutes vraiment que la grande Josephine puisse te répondre que oui, elle fait sans doute ce qu'elle veut, dit ce qu'elle veut sans se soucier des conséquences et des gens qu'elle écrase au passage, mais la brune est bien plus seule qu'elle ne le prétend, aucun doute à ce sujet à tes yeux et elle n'a pas plus de choses qui remplissent sa vie que toi. Si tu le penses, tu ne l'ajoutes pas, ce serait un peu trop cruel et même toi, même maintenant, c'est un écart que tu ne te permettrais jamais et tu continues sur ta lancée. Jo a au moins le mérite de te pousser à trouver tes mots, au moins. "Je ne saurais toujours pas ce qui se passe avec Esmée, je ne me sentirais toujours coupable et je serais juste le type qui a poussé une gueulante et qui doit attendre comme n'importe quelle personne qu'on a vues là-bas." Parce qu'elle a bien remarqué que vous n'étiez pas seuls, pas vrai, personne ne vient dans un hôpital avec le sourire aux lèvres, le cœur dans une main et des espoirs dans l'autre. Esmée n'est pas là, Esmée a eu un accident et à son âge, tout peut très mal se terminer et la mettre sur la touche pendant longtemps. Au point de bousculer son quotidien à elle, de chambouler sa petite vie tranquille et toutes les choses qu'elle voulait encore faire. Tu le sais, c'est au-dessus de ta tête toutes les possibilités et c'est assez pour te glacer le sang et pour répondre à Jo en attendant. "Je ne suis pas spécial, ça je le sais déjà, je n'ai vraiment pas besoin qu'un médecin ou qu'un type de la sécurité me le rappelle." C'est la seule conclusion d'un tel scénario, qu'on te demande de partir et de ne pas être là au moment où Esmée aura le plus besoin de toi. Elle est toujours là pour toi, elle l'a toujours été depuis tes sept ans, depuis le moment où elle a compris les choses elle-même et qu'elle t'a dit de faire ton sac, parce que tu n'allais pas rester, parce que tu allais venir avec elle, à Brisbane pour de bon. Tu peux encore te revoir, surpris par sa requête mais ne voulant pas la pousser à répéter ou la mettre elle aussi en colère, tu as fait un sac avec des mains tremblantes ce jour-là et c'est un sentiment un peu similaire qui est en train de s'emparer de toi, de te retourner l'estomac en ce moment. "Si tu veux t'énerver vas-y, si tu veux me traiter d'idiot et que ça t'aidera à te sentir mieux, fais-le." Si c'est le seul refrain qu'elle connait et qui la rassure, que le Jo le chante, qu'elle se serve de ses poumons et de sa jolie voix, tu as déjà été dans le public pour une de ses performances, alors une de plus ? Cela ne changera rien. "Mais, s'il te plait, n'essaye pas de m'expliquer ce qui pourrait se passer quand j'en ai parfaitement conscience, okay ? Merci." Les deux dernières syllabes sont prononcées sur le ton d'un avertissement, même toi, tu l'entends, c'est beaucoup plus froid et cruel que tout ce que tu aurais pu lui dire et c'est toi qui finis par la dépasser cette fois-ci, croisant les bras sur ta poitrine et prenant une profonde inspiration.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Lun 29 Aoû 2022 - 17:50 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(ssoveia) ✰ w/ @Nicholas Hurley Marcher pour aller où ? Jo ne le savait même plus sur le moment, sa veste pendant au bout de ses bras dans une démonstration énergique de ce qu’elle était capable de déployer comme volonté et comme force pour garder sa couronne de drama queen, son petit corps moulé dans une tenue trop courte, sa queue de cheval fendant l’air à la cadence de ses pas, ses baskets enfilées à la hâte ce matin-là couinant sous son indélicatesse. Soudainement, elle se confronta à Nicholas, et à sa stature d’homme adulte avec bien trente centimètres en plus qu’elle, avec la ferme intention de faire elle ne savait trop quoi, ne réfléchissant pas par anticipation, agissant davantage pour se prendre tous ses regrets dans la gueule une fois qu’elle avait fait ce qu’elle savait faire de mieux en définitive : suréagir, étant donné qu’elle n’avait pas les bons codes, et que face à ses propres émotions, elle était aussi perdue que semblait l’être le jeune homme. Elle le toisa avec le genre de regard dédaigneux qu’elle réservait à ceux pour qui elle avait peu de considération, refusant pourtant d’ajouter Nicholas à la somme de ces derniers, trop consciente d’avoir mûri à son égard des choses aussi contradictoires qu’elles étaient effrayantes dans un sens. Comme une profonde reconnaissance de l’avoir sortie de son ennui parfois, une admiration timide du talent qu’il avait, un respect sincère pour faire comme il pouvait avec Esmée quand elle savait combien ça pouvait être compliqué de devoir s’occuper d’une personne âgée… des choses qu’elle ne préférait pas lui dire, et qui lui revenait toujours au visage quand elle se rappelait qu’elle était sensée le haïr, parce qu’elle haïssait tout le monde par principe, pas bien armée pour accepter d’apprécier quelqu’un sans s’attendre à ce qu’on la déçoive en retour.
Elle eut un rire, du genre sans joie, soufflée par ses lèvres serrées jusque-là, sa tête se secouant tout à la fois "Ouais, c’est mon ambition dans la vie, de te mettre en colère, Nicholas." Elle cracha sa phrase en le regardant, le menton rentré brusquement, tous les traits de son visage se plissant en même temps "Pour qui tu te prends." Pour un saint. Mais elle ne lui en referait pas la remarque, puisqu’elle avait l’impression d’avoir passé les dernières années à le faire sans que ça ne lui semble trop hypocrite de le prétendre quand il se cachait chez lui, à craindre tout et son contraire. Au final, elle ne lui demandait même pas de s’énerver, juste de laisser sortir de ce qui le taraudait parce que de son point de vue, tout était mieux dehors que dedans, que s’il voulait mourir jeune, le meilleur moyen de le faire, c’était de la boucler quand il avait mal ou qu’il était triste. Elle ne pouvait pas lui en tenir rigueur, mais ça la butait de le voir prendre les choses comme si ce n’était qu’un inconvénient, quand elle savait dans le fond que ça le bouffait de l’intérieur de savoir qu’Esmée avait eu un accident quand il n’était pas là. Il s’en voulait, ça se voyait… et c’est peut-être parce qu’elle le comprenait dans le fond qu’elle voulait tant qu’il verbalise sa peine, et pas sa culpabilité : ça en ferait au moins un d’eux capable de le faire, et ça la rassurerait. Elle reprit après lui, écoutant son petit laïus avec le genre de sourire en coin qu’on fait quand on ne croit pas un mot de ce qu’on nous dit, la tête se secouant par intermittence, ses bras s’animant pour remonter enfin sa veste sur ses putains d’épaules mises à nue "Mais t’auras fait quelque chose au moins. T’auras pas juste attendu qu’on vienne t'annoncer qu’elle rentrera pas." Et ces mots-là, elle les regretta aussitôt qu’elle les lui lança sans crier gare, ses yeux s’accrochant aux siens avec une volonté qu’elle n’aurait pas su décrire tant elle ne comprit pas ses propres intentions sur le moment. C’est sans doute pour ça que quand il reprit sa marche, croisant ses bras sur sa poitrine comme il le faisait tout le temps, probablement pour se protéger de tout ce qui le rendait si fébrile, elle le rejoignit en une voltige sur les talons de ses chaussures. Arrivant à sa portée, elle lui décroisa les bras sans lui demander la permission, l’arrêtant par la force des choses pour agir sans même se poser de question, soudain prise d’une panique induite par les paroles qu’elle venait de prononcer, et qui mettaient en exergue que la chute d’Esmée pourrait lui être fatale. Jo, elle sut qu’elle l’avait pris dans ses bras quand elle se sentit surélevée par la poussée qu’elle fit sur la pointe de ses pieds pour atteindra son épaule, et y nicher son nez avec une brutalité involontaire cette fois-là, ses yeux se fermant si fort qu’elle vit au moins trente-six chandelles tandis qu’elle murmurait doucement, sans vraiment se dire qu’il l’entendait tant sa bouche s’écrabouilla contre le renfoncement de sa clavicule qu’elle sentait au travers de la laine épaisse de son pull "Je suis désolée. Je suis désolée, c’est pas ce que je voulais dire." Mais c’était un peu le problème de Josephine, de dire des choses qu’elle ne pensait qu’à moitié parce qu’elle pensait que ça l’immunisait de ressentir quoi que ce soit de trop fort pour elle. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il l’étreigne en retour, ou à ce qu’il accepte ses excuses — à vrai dire, elle ne savait pas vraiment à quoi elle s’attendait tout court, mais elle sentit son étreinte se resserrer, et la laine râpeuse du pull de Nicholas lui picoter le bout du nez. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Ven 2 Sep 2022 - 4:41 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(lexiresources/tumblr) ✰ w/ @Jo Carter Tu ne sais pas grand-chose, non, tu l'as toujours dit, avec une expression un peu peinée sur le visage, mêlé par un sourire qui traduit plus ta bonne éducation que ta fatigue mais... non vraiment, tu n'as de conseils à donner avec toutes tes années d'expérience au compteur, tu n'as pas de formule magique pour obtenir ce que l'on veut, pour faire passer les journées plus vite ou atteindre tous ses objectifs. Pour toi, chaque jour à son lot d'épreuves, ses propres défis et des montagnes à surmonter. Pour certains, sortir de chez soi n'est absolument rien, quitter le confort de sa demeure est normal, chez toi, ça demande des efforts considérables et tu t'interroges souvent sur la nature de tout ce qui t'attend dehors. De tout ce qui pourrait blesser ou marquer ton cœur ou te persuader encore une fois que tu mérites tout cela : les crises de panique, l'anxiété latente pour rien et les scénarios infernaux qui se jouent dans ta tête. Ouais vraiment, tu ne sais rien du tout, il a la tête toute vide ce Nicholas Hurley, pourtant, tu peux répéter les clichés et non, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Le sous-entendu sur l'état d'Esmée est là, il plane dans l'air, flotte au-dessus de vos têtes comme le plus cruel des vautours et tu te demandes vraiment quand sera le moment où cet animal vorace va venir pêcher son diner dans tes entrailles. Et te donner une vraie raison d'avoir mal. Tu n'avais pas besoin que Jo le dise à voix haute, pour t'énerver, pour se défendre, tu n'en sais rien, quelque chose passe là, dans ton regard, ancré à celui de la jeune fille, alors que tu viens juste de te jurer de ne pas t'énerver. Elle rend les choses infiniment compliquées, et si tu t'éloignes, c'est autant pour te préserver toi que pour la protéger elle, parce que tu ressens toujours tout trop fort, parce que si elle décide d'ouvrir cette porte-là, même toi, tu ne sais pas ce qu'il va se passer. Elle te donne le tournis avec toutes ses vérités et son ton Jo, tu ne peux même pas la regarder en face et l'inspiration que tu viens juste de prendre, presque loin d'elle, se perd presque en chemin, quand la brune est là, trop proche, soudainement trop proche. Il y a des sirènes et des alarmes qui viennent sonner dans ta tête, quand Jo te décroise les bras, quand elle s'y insère, quand elle se fait une place juste là, contre toi, comme jamais personne avant elle. Quand elle te prend dans ses bras, tu te figes, c'est juste pour quelques secondes et sans le réaliser, sans même donner l'ordre à ton propre corps, tu lui retournes son étreinte et tu serres la brune contre toi. Sûrement avec un peu trop de force, sûrement que tu t'accroches à elle parce qu'elle est la seule chose tangible et plus que familière à ce moment précis, tu t'en fiches complètement. Pour une fois tu n'as pas envie de trop analyser, tu n'as pas envie de fuir, Jo s'excuse déjà, elle est dans tes bras, son visage pressé contre les mailles de ton pull et tu sais que même avec toutes tes couches de vêtement, elle doit entendre ton cœur qui bat le tambour. Ton propre menton vient trouver le haut de sa tête et ce n'est même pas bizarre, ce n'est pas mal placé comme le sont tellement de contacts qu'on a essayé de t'imposer ou de te faire accepter par le passé car bons pour toi, c'est normal. Normal d'avoir tes bras autour de sa silhouette et d'oublier pourquoi vous êtes là pendant quelques secondes. "Je suis désolé aussi." Tu es sincère, désolé pour tes mots, désolé de l'envoyer paitre alors qu'il est clair que sa présence est désirée, désolé de faire semblant de ne pas sourire à chacune de ses vannes plus que vaseuses et déplacées, peiné de prétendre que ce n'est pas une meilleure journée quand tu peux la voir, et véritablement navré de soutenir que de ne plus entendre sa voix donner une vie à tes textes ne t'atteint pas ou que ce n'était pas quelque chose de spécial. Tu prends une profonde inspiration, parce que c'est trop d'émotions d'un coup et que tu finis par t'écarter d'elle, lentement, pour constater qu'elle n'est pas dans un meilleur état, et tu marmonnes les mots suivants : "Si tu pleures, je vais pleurer aussi, et je n'ai pas de technique pour m'arrêter, alors on ne va pas commencer, du tout même." Tu hoches la tête résolument, tes mains toujours sur les épaules de Jo, parce ce que tu viens de dire est vrai, tu n'as aucun moyen de te stopper et ce n'est pas ce qu'Esmée voudrait. Si elle apprend que vous avez versé des larmes à son sujet, vous aurez le droit à un long discours, tu le sais. "C'est nul comme situation, oui, ça craint, je n'ai rien de mieux pour le dire et j'ai pas de conseils à offrir ou de solution." Du tout, cela tu l'admets, tu hoches une nouvelles fois la tête, et tu passes ta main droite sur ton visage, comme pour ordonner aux larmes de rester le plus loin possible, comme si tu pouvais le faire, et, sans y penser, tu remets une des longues mèches noires de Jo derrière son oreille à elle le moment suivant. "Tout ce que je peux te dire c'est que je suis content de ne pas être tout seul, et ça c'est la vérité, Josephine." Elle fera ce qu'elle veut de cette information, tu es trop fatigué pour les justifications ou pour te reprendre. "Je ne sais pas ce qu'on est censés faire à part attendre."
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Lun 5 Sep 2022 - 23:51 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(ssoveia) ✰ w/ @Nicholas Hurley Elle ne s’attendait à rien en prenant Nicholas dans ses bras, et surtout pas à la force avec laquelle il lui rendit son étreinte. C’était elle la moins douce d’habitude, celle qui avait beau mesurer la taille qu’elle mesurait, peser le poids qu’elle pesait, ça ne ne l’empêchait pas d’agir en véritable bulldozer quand elle déboulait quelque part, à frapper du pied, taper du poing et bousculer sans vergogne, ne craignant ni les rebuffades ni les blessures auto-infligées. Elle avait appris à ne pas être considérée comme une petite chose fragile, à s’imposer chaque fois qu’elle en avait l’occasion parce qu’elle ne voulait pas être vue comme le faire-valoir d’une société qui la plaçait d’emblée dans la catégorie des plus faibles. Elle ne l’était pas. D’ordinaire. D’ordinaire, elle savait très bien revendiquer sa force et sa puissance, quitte à en faire trop pour parader et paraître. Mais Nicholas était grand, il était aussi fort qu’elle ne s’en était jamais tellement aperçue auparavant, pas vraiment habituée aux démonstrations de puissance de sa part, lui qui passait son temps à parler tout bas, à ménager sa présence comme si c’était évident qu’il dérangeait, comme s’il n’avait rien à faire là. Il s’imposait sur l’instant, comme elle s’était imposée dans l’espace de ses bras qu’elle avait écarté pour s’y nicher sans aucune délicatesse ; et l’échange d’étreinte était vigoureuse, peut-être un peu trop si on considérait qu’elle n’était là que pour faire passer des excuses prononcées dans la panique, estomaquée par son propre cheminement de pensées qui ne semblait pouvoir uniquement s’arrêter sur le pire. Juchée sur la pointe des pieds, elle sentit la pression des bras de Nicholas autour d’elle resserrer des parcelles d’elle qu’elle ne savait pas disloquées, et le poids de sa tête pesant sur son crâne ancrer une partie d’elle qui prit conscience qu’elle le sous-estimait sans raison et qu’elle avait tort de le faire. Mais encore une fois, c’était plus facile de s’arrêter sur les apparences et de pointer les dysfonctionnements des autres pour en faire un running gag. Elle ne ferait plus cette erreur, ou plus aussi souvent qu’avant, parce qu’il avait plus de self-control qu’elle en avait finalement, et que si elle décriait sa méthode pour gérer tout ça comme une méthode infaillible, elle savait dans le fond que c’était faux. Jo se rendit compte qu’elle avait momentanément retenue sa respiration, ce qui la fit haleter quand ils se décollèrent l’un de l’autre, donnant certainement l’impression qu’elle était prête à éclater en sanglots. Ce n’était pas le cas. Elle était sensible Jo, elle était plus que ça, même, mais elle savait retenir ses larmes quand il le fallait, et c’est ce qu’elle ferait pour ne pas rendre les choses plus étranges qu’elles ne l’étaient déjà. Elle prit une profonde inspiration, enfin, entendant Nicholas statuer sur l’idée qu’ils ne devaient pas se répandre en émotions parce qu’il ne saurait pas comment s’arrêter, et ça la soulagea qu’il prenne cette décision pour eux sans qu’elle ne trouve quelque chose à redire, restant là en face de lui, à serrer les lèvres et à hocher la tête sans savoir quoi ajouter, sans même savoir quoi faire que sentir le froid s’insinuer par l’entrée des urgences la transir de part en part, privée du contact du pull de Nicholas contre elle. Sans savoir pourquoi, elle posa une main sur sa propre poitrine pour sentir son coeur battre trop fort, main qui se déporta vers la mèche que Nicholas avait remis en place, et qu’elle chassa de derrière ses oreilles, parce qu’elle ne se referait jamais, et que ce n’était pas parce qu’ils étaient tombés dans les bras l’une de l’autre qu’elle l’autoriserait à imposer sa vision sur la manière dont elle voulait paraître ; c’était son seul contrôle manifeste, la seule manière qu’elle avait de démontrer qu’elle valait mieux que le tourbillon d’émotions qu’elle ressentait à cet instant-là et qui la rendit coite, mais pas inattentive à ce que lui disait son voisin tandis qu’elle le regardait sans que son attention ne faiblisse, sans qu’elle ne se sente digne non plus de l’entendre dire qu’il était content de ne pas être seul.
"Je peux appeler ton pote hmm… Vance ? Si tu veux." Parce que lui, il saurait comment le gérer, le grand bonhomme qu’elle regardait avec gaucherie, se remettant doucement de la prise de conscience qui venait de la frapper qu’elle n’aurait jamais dû se fier à la douceur qu’il démontrait chaque jour de sa vie, sentant encore l’étau de ses bras, qu’il avait récupéré pourtant, lui enserrer la taille, et la pointe de son menton lui triturer le crâne. Et finalement, la mèche qu’il avait remise derrière son oreille tout à l’heure, elle la déplaça de nouveau pour qu’elle reprenne la place qu’il lui avait attribué sans qu’elle ne s’en rende véritablement compte, ses cils papillonnant comme elle se mit à tâter les poches de sa veste en donnant l’impression de chercher quelque chose qu’elle finit par trouver. Dans la paume de sa main, il y avait son vieil iPod qu’elle utilisait encore pour se donner un genre, quand son téléphone portable faisait très bien l’affaire pour écouter de la musique, ses écouteurs serpentants en fils mauve délavé autour de ses doigts qu’elle déploya pour lui montrer. Elle ne connaissait pas beaucoup Nicholas, c’était vrai, mais elle savait qu’il y avait un truc qui le calmait irrémédiablement "On peut attendre en écoutant ça. C’est pas le haut des Charts, j’ai rien téléchargé depuis 2005 mais ce sera toujours mieux que les sirènes des ambulances et les pleurs des gamins des urgences pédiatriques." Et ce serait aussi mieux que de devoir canaliser eux-mêmes leurs pensées sans se raccrocher à autre chose qu’une mélodie qui ne cadrerait pas avec la mise-en-scène. Rien à foutre, elle haussa les épaules, opérant un léger pas en arrière tant la tension qu’elle sentit soudain peser sur tout son corps, celui de Nicholas restant à proximité, lui parut un peu trop difficile à supporter — mais de la mauvaise façon, c’était difficile à expliquer. Encore, elle haussa les épaules sans savoir ce qu’elle allait dire, se trouvant soudainement bien maladroite dans sa façon d’envisager la situation. Elle n’avait pas envie de fuir cependant "Comme tu veux. La situation se prête pas vraiment à la musique… c’est faute de mieux." Faute d’être assez douée pour que ça ne devienne pas bizarre entre eux surtout, même si ça l’avait toujours été un peu en vérité. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
Dernière édition par Jo Carter le Mer 14 Sep 2022 - 19:47, édité 1 fois |
| | | | (#)Mar 13 Sep 2022 - 0:39 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(lexiresources/tumblr) ✰ w/ @Jo Carter Attendre des nouvelles de l'état d'Esmée. Savoir que ta grand-mère est avec les médecins et non à tes côtés, et loin de votre demeure et de votre petit havre de paix. C'est horrible comme sensation et vraiment, que personne ne te laisse pleurer, ce serait ouvrir des portes fermées avec beaucoup de volonté et le peu de logique que tu possèdes encore. Tu ne peux rien faire en dehors de cela pour être statué, on s'occupe d'elle et vous, vous devez attendre. Les prochaines minutes et mêmes les prochaines heures, vont être très longues, tu le sais, tout comme tu sais que ce n'est qu'une question de perspective. Si tu étais encore sur scène, tu n'aurais même pas ressenti les effets du temps qui passe, de chansons en chansons, tu aurais fait ce que tu sais faire de mieux, tu aurais trouvé ta place, absolument tout ce serait aligné. Tu te serais même plaint auprès de Vance que votre set était un peu trop court et qu'il aurait fallu faire plus long, tu le sais déjà. La brune te parle de Vance justement et tu clignes des yeux plusieurs fois et rapidement avant de voir où elle veut en venir. Vance est du genre à te demander comment va Esmée aussi, il trouve cela adorable que tu vives avec ta grand-mère, il pique des pâtisseries dans votre frigo parfois et il a même passé des nuits dans Toowong, sur votre canapé, à piquer toute l'eau chaude le matin et à s'excuser avec un grand rire parce qu'il oublie parfois. "Hmm ? J'adore Vance, mais il ne saurait pas trop comment gérer tout ça... il paniquerait aussi, et ... je l'appellerais quand... j'en saurais plus." Tu dis cela en hochant plusieurs fois la tête, parce que c'est vrai, et tu ne veux pas qu'il se sente responsable de quoi que ce soit ou qu'au contraire, qu'il culpabilise de ne pas être là et de trouver les bons mots. C'est le genre de fardeau que tu n'as pas envie d'imposer à qui que ce soit, et tu sais ce que Jo essaye de faire, de trouver des gens qui sont proches de toi et qui pourront t'apporter du réconfort. C'est... différent et plus qu'attentionné et tu connais assez la jeune femme pour savoir qu'elle n'acceptera jamais que tu la remercies pour une telle action. Ni que tu la remercies parce qu'elle est là avec toi en ce moment, parce qu'elle essaye justement, de faire passer le temps avec toi et faire en sorte que tout cela ne pèse pas aussi lourd sur tes épaules. Ton regard bleuté est toujours sur Jo, est-ce que tu es en train d'être égoïste et est-ce que tu devrais lui dire que tu peux gérer et que tu ne veux pas l'impliquer plus qu'elle ne l'est déjà ? Ce serait un mensonge, et tu fais bien des choses devant la brune, plus que devant certains, cependant, tu ne lui as encore jamais menti à la chanteuse et tu ne comptes certainement pas commencer. Et bien entendu qu'elle est impliquée, ce n'est pas une étrangère, si les rôles étaient inversés et qu'Ava était concernée, est-ce que tu la laisserais toute seule ? Bien sûr que non. Jo ne te laisse même pas le temps d'argumenter en réalité, elle a déjà trouvé votre activité pour les prochaines heures il te semble bien et elle a même le droit à un semblant de sourire sur ton visage. "Et moi qui pensais que j'étais la seule personne dans Brisbane avec un iPod qui fonctionne encore..." Tu peux encore te revoir à l'époque, un peu plus jeune qu'elle, à collectionner les iPod comme si ta vie en dépendait, ayant impérativement besoin de musique partout et à toutes les instances. C'était l'époque des petits boulots ingrats pour payer le loyer et retrouver Dahlia soit chez elle, soit dans Toowong pour jouer et composer comme si de rien était. Tout était plus simple de ce temps-là, beaucoup plus simple que maintenant et être entouré par des chansons et des airs plus que familier maintenant ? C'est une très bonne idée. "Ça me va. Je sais que tout le monde déteste les hôpitaux mais, crois-moi quand je dis que je déteste vraiment les hôpitaux." Tu hausses les sourcils, tu ne te sens pas le courage d'élaborer, tu n'as pas envie, Jo n'a pas besoin de tout savoir de ta vie et de ton passé, autant ne pas encore plus ruiner l'ambiance avec de très mauvais souvenirs et surtout, elle n'a pas posé la question. "Je vais juste... acheter ce chocolat chaud, je reviens." Tu trouves quelques pièces dans les poches de ton manteau et tu vois un distributeur du coin de l'œil, la boisson chaude est préparée rapidement, probablement trop rapidement pour être bonne, mais ce n'est pas le plus important là tout de suite. C'est pour t'occuper les mains et l'esprit et pour oublier où vous êtes et la raison de votre présence ici. Tu reviens vers Jo avec une tasse en plastique fumante dans ta main droite et en hochant de nouveau la tête, puis tu indiques l'accueil que vous avez quitté il y a quelques instants où on vous a dit de vous installer et d'attendre. Il est facile de trouver deux chaises libres, là encore, ça n'a rien de confortable, tu supposes que ce n'est pas trop le but et tu mets un écouteur dans ton oreille. Au même moment, le bruit familier d'une ambulance te perce les oreilles, le monde n'a pas arrêté de tourner malheureusement et tu fais de ton mieux pour ignorer la cohue autour de vous, ou même ta main libre qui s'est légèrement crispée sur ton pantalon, juste là, sur ton genou. "Qu'est-ce que tu écoutais il y a des années et des années de cela ?" Tu essayes de garder le ton léger, tu sais que tu n'y arrives, mais tant pis, tu poses la question tout de même, tournant la tête vers Jo.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Jeu 15 Sep 2022 - 22:19 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(ssoveia) ✰ w/ @Nicholas Hurley "Bah, je suis pleine de surprises." Et dans d’autres circonstances, elle aurait pu lui faire remarquer qu’il s’en serait aperçu bien plus tôt s’il était du genre à poser des questions, à s’intéresser aux autres, et pas uniquement à ce qu’il ressentait à l’intérieur de sa grande carcasse dégingandée ; que si elle n’en donnait pas l’air, elle aimait les vieilles choses, les objets désuets, les brocantes et les friperies, qu’elle ne partait pas dans l’optique de vivre une vie dictée par les nouvelles technologies, et que celle mise sur le marché il y avait une vingtaine d’année, quand elle était encore assez jeune pour prétendre que ça ferait d’elle quelqu’un de cool de l’avoir dans la poche, c’était à peu près tout ce à quoi elle s’était intéressée. Mais ce n’était pas le moment de souligner encore une fois combien Nicholas Hurley pouvait être auto-centré, ça l’était d’autant moins qu’elle voyait qu’il était dans un dilemme permanent, ce dernier prenant davantage d’ampleur maintenant parce qu’il devait prendre sur lui, sa grand-mère étant dans un état qu’ils ignoraient encore. Elle décida donc de mettre tout ça dans un coin de sa tête, se donnant de la marge pour en faire quelque chose ou pas au moment le plus opportun — ou la connaissant, le moins opportun —, et se cala sur sa manie de ne pas poser de question lorsqu’il lui dit qu’il n’aimait pas les hôpitaux. Comme tout le monde, aurait-elle pu lui dire, mais il avait conscience que ça ne faisait pas de lui quelqu’un de spécial d’autant haïr être ici, et elle accepta sa courte escapade vers le distributeur de boissons chaudes sans rien dire davantage. Elle-même savait reconnaître que, quand il n'y avait rien à dire, il fallait simplement faire la paix avec l’idée de fermer sa gueule, et c’est ce qu’elle fit, se concentrant sur les fils de ses écouteurs pour les démêler avec, dans les yeux, des larmes qu’elle refoula tout net comme il le lui avait demandé, se laissant cueillir par l’éventualité que, si elle réussissait à prendre sur elle maintenant, peut-être que ce serait pas le cas dans un futur proche. C’était bizarre tout ça, c’était bizarre d’être là… quelques instants plus tôt, elle n’avait pas eu envie de fuir, mais elle réalisait que c’était peut-être ce qu’elle aurait de mieux à faire, parce qu’elle n’était pas équipée pour ça. Et qui l’était vraiment, elle ne le savait pas. Elle ignorait si Nicholas avait dans son entourage quelqu’un qui aurait pu davantage l’épauler qu’elle, Vance n’étant pas non plus une option qu’il avait jugé maline à envisager. C’était quoi le nom de la chanteuse de son groupe déjà, celle qui avait filé vivre son rêve de grandeur ? Elle ne s’en souvenait pas, et puis même si ça avait été le cas, elle n’aurait eu aucun moyen de la contacter pour qu’elle prenne les choses en mains. Dans sa réflexion, elle fit tomber son vieil iPod en se perdant dans ses propres pensées, le ramassant en pestant au moment où Nicholas revenait avec son chocolat chaud dans une main, sa nervosité décelable quand il prit l’écouteur qu’elle lui tendit, et qu’ils allèrent s’installer à l’accueil des urgences, là où elle ne lésina pas sur le regard assassin accordé à la bonne femme de l’accueil qui la toisa elle aussi, pas vraiment impressionnée par les excès de colère d’une gamine dans son genre — elle n’était que ça aux yeux de certains, une gamine qui avait un peu trop de tout pour que ce ne soit pas triste dans le fond.
Elle renifla sans élégance, s’installant sur le siège à côté de Nicholas, glissant elle aussi un de ses écouteurs dans une oreille et lançant sa playlist en aléatoire sans qu’elle ne s’attende à ce que ses choix de mélodie ne la rende honteuse vis-à-vis du jeune homme à ses côtés. Et comme le Blue Moon de Billie Holliday résonna dans leurs oreilles, elle savait qu’elle pouvait relever le menton sans craindre qu’il ne se moque d’elle, ou qu’il la juge. Elle n’avait jamais été de ceux à écouter des répertoires de midinettes, Josephine. Il serait surprit de comprendre que ce qu’elle aimait vraiment, ce n’était pas les titres vaguement pop qu’il avait écrit comme démo à envoyer à droite et à gauche et qu’elle avait enregistré avec lui ces fois où ils s’étaient assez bien entendus pour faire du bon travail ; elle avait chanté pire que ça, elle avait chanté des horreurs qu’elle n’aimait. Nicholas avait au moins le mérite d’avoir une plume et une vision qui lui avait fait caresser l’éventualité de s’ouvrir à autre chose que du jazz. Quand il parla, elle tourna la tête vers lui, et lui répondit sans faire plus de cérémonie, constatant la manière qu'il avait de faire comme si tout allait bien ; si c’est ce qu’il voulait, elle s’y plierait, pour une fois "Que des vieux trucs. J’aime pas vraiment la musique d’aujourd’hui." Ça la faisait passer pour une snob de haut niveau, et elle l'était dans le fond. Elle haussa les épaules "Mon père était fan de Motown. Il a eu un groupe quand il était jeune, mais ça pas fonctionné, et quand il a eu des enfants, il a voulu retenter l’expérience. On faisait des mariages, nous aussi." Première révélation, il en ferait ce qu’il voudrait "On a été bercé par ce genre de mélodies un peu groovy, et j’ai découvert deux trois trucs de jazz par l’intermédiaire de Quincy Jones à l’époque… tu sais, il était trompettiste, ça m’a intéressée, et j’ai voulu comprendre comment il avait bifurqué." Elle disait tout ça sans nuances, sans même donner l’impression que ça l’intéressait vraiment, juste que c’était un fait qui faisait d’elle qui elle avait été à un moment donné "J’ai commencé à écouté du jazz, et ça m’a plu. Et puis Billie Holliday et le reste… ça cadrait pas trop avec les goûts de mon père, c’est pour ça que j’ai pas jugé bon de rester à la maison pour continuer à faire ce qu’il nous demandait de faire." Là, elle eut un très léger sourire qui était aussi amer qu’il était chargé de souvenirs désagréables, sa tête se retournant vers Nicholas pour ajouter sur le même ton "Mais pour revenir à notre époque, j’aime bien Norah Jones. J’ai fait ma première audition pour The X Factor sur Don’t Know Why et ça a pris, ce qui aurait pas été le cas si j’avais balancé du Charlie Parker dès la première note." Ce qui ne lui avait finalement ouvert rien d’autre par la suite, de tabler sur du jazz contemporain, plus blues que soul ; elle avait quand même fini par chanter du Ariana Grande alors finalement, qu’est-ce que ça pouvait bien foutre ce qu’elle aimait ou pas. Elle secoua la tête, laissant un nouveau petit sourire filer quand elle détourna les yeux pour les poser ailleurs que sur le profil de Nicholas, faisant papillonner ses paupières pour se donner bonne contenance "T’aurais pu me poser la question avant qu’on soit ici, t’es long à la détente." Et il pourrait lui rétorquer qu’il valait mieux tard que jamais, sauf qu’il s’excuserait : elle pouvait l’anticiper avec une aisance aussi instinctive qu’elle était, elle aussi, un peu triste dans le fond. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Sam 17 Sep 2022 - 21:54 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(lexiresources/tumblr) ✰ w/ @Jo Carter Les premiers accords de Blue Moon dans les oreilles, tu prends une inspiration et bois une gorgée de ta boisson chaude. Un peu trop sucrée, un peu trop chaude, pas assez de chocolat, tu en aurais bien des critiques à faire mais vu le cadre et la circonstance, tu gardes tout ceci pour toi. Ce n'est pas une de ces soirées où tu peux te plaindre, aller dans ta cuisine et te préparer un vrai chocolat chaud, sous le regard bienveillant d'Esmée, qui elle est en train de regarder la télévision ou tout simplement de coudre installée dans son fauteuil préféré. Tu voudrais tellement que ce soit le cas, tu serais prêt à tout donner pour que ce soit le cas, cependant, au lieu de trop te concentrer sur cela, tu te tournes aussi vers Jo qui te répond. Et confirme ce que tu savais déjà, la musique récente, ce n'est pas trop son truc, elle a une vieille âme quand il s'agit de ses accords préférés et ce n'est pas quelque chose qu'on devinerait en ne la côtoyant que très brièvement. Les apparences sont plus que trompeuses dans le cas de Jo, et tu sais qu'elle en joue, tu sais que c'est calculé et si tu n'étais pas autant toi, ne voudrais-tu pas renvoyer une image forte et flamboyante de toi-même au reste du monde ? Tu ne peux pas vraiment la blâmer et marmonnes un simple : "J'aime sa version de But not for me... mais j'ai un cousin qui est un immense fan de George et Ira Gershwin donc bon." pour indiquer que tu n'es pas un novice complet et tu la laisses parler. Tu ne parleras pas trop de ce cousin avec qui les discussions ont été aussi faciles aussi, réunis par votre amour de la musique, à écouter et réécouter les morceaux d'un Américain à Paris, dans votre coin aux quelques rares réunions de famille. Mais tu chasses rapidement cette image de ton esprit en écoutant le récit de Jo et la famille qu'elle te décrit. C'est la première fois qu'elle parle autant d'elle la brune, tu en as conscience et elle te fait remarquer qu'elle aussi s'est produit à des mariages. "Tiens donc." est ta seule réponse, marmonné à demi-voix, ton regard bleuté toujours sur la brune. Et l'univers qu'elle te décrit et qu'elle accepte de partager avec toi. Et c'est plus que cimenté maintenant, quand il s'agit de musique, vous êtes tous les deux des passionnés, capable de passer des heures pour perfectionner votre art. Tu t'en doutais déjà et maintenant, tu en as la confirmation. Tu aimes bien Norah Jones aussi, pas tous les morceaux, certains, ta fine oreille n'aime malheureusement pas tout et tu réalises que c'est la première fois qu'elle parle de son passage télévisé aussi librement. X Factor, probablement là où elle a rencontré Midas, le sous-entendu est là, plus que lourd, mais ce n'est pas à propos de lui cette discussion et les années sont passées par là. Tu hoches la tête, tu termines ta boisson chaude, ignorant le bruit et l'agitation autour de vous, la dernière phrase de Jo te ramène à autre chose et tu as un petit rire pour masquer ta nervosité. Et un peu ta honte et ta gêne, il faut le dire. "Si long à la détente, si tu savais." Ce n'est pas la première à te le reprocher et ça ne sera très certainement pas la dernière. "Et désolé, ce n'est pas contre toi, c'est juste les années, l'habitude." Une très mauvaise habitude, que tu as tenté de corriger, mais il faut être réaliste, tu es rarement le protagoniste ou celui qui commence des choses, tu réagis plus souvent qu'autre chose, tu ne le fais pas exprès, c'est juste tout ce que tu connais. Tu hausses un peu les épaules toi aussi, et dans un élan d'honnêteté rare et pas souvent présente, tu reprends : "Si je ne pose pas de questions, si je ne vais pas vers les autres, il y a moins de choses à effacer et à oublier au moment où ils finissent par partir. Ou au contraire... quand ils font quelque chose que je ne peux pas oublier justement." Dans ta tête, sur le papier, avec les mélodies, tu peux tout contrôler, c'est un petit univers qui n'est rien qu'à toi et qui avance quand tu le fais avancer. Les gens, ils ont leurs propres envies, leurs propres motivations et tout est tellement imprévisible et impétueux. Oui tu es lâche, mais en sécurité avec la distance que tu t'imposes et que tu imposes. Et dans cette instance, tu ne veux pas laisser Jo seule, elle a partagé quelque chose avec toi, autant lui retourner la pareille et rendre cet échange équitable. "Et puis ma mère n'a jamais été fan des questions donc... Elle était productrice de musique quand j'étais plus jeune, avant cela, chef d'orchestre, c'est comme ça qu'elle a rencontré mon père, son truc c'est le classique pur et dur." Tu expliques cela simplement, tu n'as jamais parlé à Jo de ta vie de famille en dehors d'Esmée, tu le fais rarement, le récit n'est pas intéressant à tes yeux et ça évite les interrogations pour savoir comment tu t'es retrouvé sur le pas de la porte d'Esmée et à Brisbane. "Il joue dans un vrai conservatoire maintenant, probablement à se prendre la tête avec du Liszt ou du Tchaikovsky." Tu dis cela sur ton que tu trouves un peu sec, même pour toi et qui minimise tellement les accomplissements de ton père et tu ne lui dis pas qu'il est reconnu dans sa communauté. Oui, lui, c'est un véritable pianiste, auteur et compositeur, avec quelques albums originaux, des accolades et une jolie vie de famille, si on oublie ses erreurs de parcours comme toi ou ta mère, oui c'est très ingrat de ta part, mais tant pis. "J'ai grandi en entendant cela, et avec un énorme piano dans le salon, c'est comme cela que j'ai commencé, tu me dis concerto pour piano numéro 1, je me mets à jouer avant de respirer je crois." Tu crois, tu en es même certain, il y a certaines mélodies qui sont gravées en toi et que tu prends plus sérieusement que toute ta propre existence. "Esmée m'a toujours encouragé donc j'ai continué d'apprendre et j'ai rencontré Dahlia, et il y a eu 15 possible girlfriends, je pensais que j'allais jouer à des mariages toute ma vie." Quelque chose de bien naïf en soit tu le sais, tu n'avais pas réalisé que 15 possible girlfriends devait ouvrir plus de portes, ça a été le cas pour Dahlia... aussi pour toi dans un sens. "Maintenant je bosse sur mes textes, je ne sais pas où ça va me mener mais..." Mais tu es content de le faire, mais ça ne regarde que toi, mais c'est quelque chose d'assez satisfaisant, tout cela est vrai, quelque part, tu te dis que Jo le sait déjà, pas besoin de le dire, n'est-ce pas ? "Et toi ?" Tu as assez parlé de toi pour les prochaines minutes au moins, tu cesses de fixer un point devant toi pour de nouveau te tourner vers Jo. "Tu me dis toujours que je suis trop doué pour rester dans ma chambre, pourquoi est-ce que la grande Josephine Carter ne suit pas ses propres conseils ?" Elle, elle est plus que douée, elle garde la tête haute et elle a les épaules assez larges pour ses ambitions, pourquoi de ne pas de nouveau se lancer dans tout ce tourbillon ? |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Lun 19 Sep 2022 - 18:21 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(ssoveia) ✰ w/ @Nicholas Hurley Dans ce monde où elle était la voisine d’Esmée et Nicholas Hurley, il n’y a qu’eux, et seulement eux. Pas de famille à dénoter, pas d’arbre généalogique à retenir, et pas d’histoires de famille si ce n’étaient celles dont l’époux défunt d’Esmée était le héros romantique. Alors encore une fois, ça avait quelque chose de bizarre d’entendre Nicholas de parler de son cousin, et ça le fût encore plus quand il se mit à parler de ses parents, un peu plus tard. C’était stupide, bien sûr qu’il avait des parents, sinon il ne serait pas ici… mais dans un coin de son esprit, Nicholas était le genre de personnage de roman qui débarquait d’on ne savait où, avec des bagages lourdes au bout des bras, mais qu’il n’ouvrait pas parce que c’était comme ça que ça devait être, et que ça représentait un background rassurant de se dire que c’était à lui tous ces secrets-là, qu’il n’avait pas besoin de les partager pour être quelqu’un aux yeux des autres. Elle lui avait reproché maintes fois d’être trop stoïque, d’être trop centré sur lui-même pour vouloir en dire plus sur lui, et maintenant qu’il semblait un peu plus enclin à le faire, elle trouvait ça particulièrement impudique ; c’était un peu comme prendre en flagrant délit ses parents en train de copuler un mercredi soir, sur le comptoir de la cuisine, avec en fond sonore le film de deuxième partie de soirée — on savait que ça devait se passer, mais on préférait ne pas imaginer… et imaginer Nicholas entouré de quelqu’un d’autre qu’Esmée, c’était aussi étrange que c’était contre-nature pour elle. Mais elle n’en dit rien, approuvant sa première tirade sur ce que voulait dire vraiment cette manie qu’il avait de poser des questions, le trouvant beaucoup trop niais pour être totalement d’accord avec lui, mais trop sincère pour ne pas vouloir le pousser dans ses retranchements encore une fois. Quel genre de relation avec les autres avait-il pour être aussi cynique ? Parce que c’était du cynisme, elle en connaissait un rayon, elle était gorgée de ça, Josephine, mais elle le verbalisait autrement, pas sur le ton mélancolique qu’il employa pour lui dire que ce n’était pas contre elle — et il s’excusa, bingo —, que c’était juste comme ça. Elle haussa les épaules, se recentra sur la mélodie qui lui jouait dans une oreille, reprenant le sens du récit du jeune homme ; c’était ça alors, un échange d’histoire, ce qu’il se passait maintenant ? Elle resta muette le temps d’un instant, pinçant ses lèvres l’une contre l’autre en essayant de s’imaginer quel genre d’enfance il avait eu avec ses parents dingues de musique. Elle l’espérait un peu plus heureuse que la sienne, mais compte tenu de son attitude quotidienne, elle savait qu’il devait y avoir eu des moments pas simples, profondément ancrés dans sa façon d’évoluer aujourd’hui. On agissait pas comme lui sans avoir connu quelques traumatismes, et ça aussi, elle pouvait en parler en connaissance de cause. Mais pas aujourd’hui. Elle tourna de nouveau la tête vers lui et lui demanda dans la foulée "Tu parles de tes parents comme si tu les voyais plus." En fait, ce n’était même pas une chose à laquelle elle voulait qu’il réponde, c’était juste une constatation qui la fit hausser les sourcils et se dire que chacun avait ses problèmes avec ses parents, et que c’était partout pareil finalement. Dans un même temps, un peu lasse, elle posa sa tête contre le mur derrière elle, finissant par retrouver un semblant de son effronterie quand elle ajouta "C’est pas mal de jouer dans les mariages toute sa vie, c’est mieux que de jouer dans sa chambre pour un public invisible." Et ça aussi, elle lui avait souvent reproché ; de ne rien faire de son talent, d’être là à le partager sans vraiment le faire, de se reposer sur ses lauriers quand dans la section commentaires de sa chaîne YouTube, on lui demandait où se procurer ses titres, où le voir jouer. Elle eut un léger rire, pas très à propos, qui disparut quand elle ajouta dans la foulée "Vu le background que t’as, tu pourrais attirer tellement de public. Ça me tue que tu fasses même pas l’effort de vouloir faire autre chose qu’enregistrer des vidéos, les publier et attendre qu’on foute un petit pouce bleu pour que tu te sentes mieux dans ta peau." La pause était inutile, et son ton était moins fringant que d’habitude, mais elle lui dit quand même "T’es qu’un idiot." Et ça sortait tout seul ce genre de choses chez Jo. Il pouvait seulement s’estimer heureux que cette fois, elle était moins insultante que toutes les autres fois.
Un soupir lui échappa quand elle constata qu’il lui retournait une question avec laquelle elle ne se sentait pas à l’aise. Sur le moment, elle ne lui répondit pas, sa tête toujours contre le mur, mais se tournant vers lui pour affronter son regard avec une volonté différente que les autres fois où elle avait voulu entrer en confrontation avec lui ; maintenant elle savait qu’il avait une force en lui qu’elle n’aurait pas pu soupçonner, ça changeait les paramètres de la provocation incessante qu’elle lui réservait entièrement, et il fallait qu’elle s’ajuste. Mais pas là, elle était étonnamment fatiguée, et c’était perceptible dans la manière qu’elle eut de lui dire, presque tout bas "J’ai pas envie de parler de ça." De pourquoi elle encourageait les autres, mais qu’elle restait dans son coin en se cachant derrière le diagnostique de sa grand-mère pour ne pas revivre ce qu’on lui avait imposé, pour ne pas revivre une défaite qui l’avait détruite d’un côté, la vaccinant de l’idée même de devenir connue et reconnue. Vraiment ? Midas était revenu à la charge plusieurs fois ces derniers temps, et parce que dans le fond, après tout ce que Nicholas venait de lui dire, après tout ce qu’elle lui avait fait subir aussi, elle se sentait redevable, elle lui dit enfin "J’ai eu une proposition récemment, mais je suis pas sûre que ce soit une bonne idée de me relancer là-dedans. Nana est pas au top de sa forme, et ça va me demander du temps et de l’énergie… je suis pas sûre de réussir à la laisser toute seule ici." avoua-t-elle, et elle se redressa au moment où sa playlist switcha sur Stormy Weather d’Etta James, et qu’avec un peu plus de dureté, elle ajouta brusquement "Peut-être qu’on devrait demander ce qu’il en est pour Esmée ? Ils reviendront pas vers nous s’il y a une avancée, ils ont l’air débordé." Ou alors, elle était trop impatiente, ce qui était aussi une possibilité comme l’illustra la manière qu’elle eut de faire gigoter sa jambe droite, la frottant sans le vouloir à celle de Nicholas. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Mer 28 Sep 2022 - 7:49 | |
| ≈ ≈ ≈ {I said, okay, but let's discuss this at the hospital} crédit/(lexiresources/tumblr) ✰ w/ @Jo Carter Dans le fond, tu l'as toujours su et c'est resté dans un coin de ta tête après la première impression plus que forte laissée par Jo : la brune aussi possède ses propres marques et des choses qu'elle ne peut pas effacer comme cela. Elles ne sont peut-être pas inscrites sur sa peau comme certaines de tes cicatrices à toi, cependant elles sont bien là, résultant en des bagages plus que lourds à porter. Et tout comme toi, Jo n'a jamais demandé explicitement de l'aide, tu sais qu'elle serait prête à assassiner, oui vraiment, quiconque personne qui décide de lui accorder de la pitié ou de la sympathie à cause de son passé. C'est quelque chose que tu peux comprendre et surtout, que tu peux respecter, parce que tu es pareil au final, tu ne mords sans doute pas aussi fort qu'elle, cependant, tu ne déballes pas toutes tes vilaines histoires ni ton arbre généalogique devant le premier venu pour éviter ça, justement. La fausse sympathie et la condescendance, ou la confirmation que oui, il y a bien quelque chose qui cloche chez toi, mais pour de vraies raisons. Se confier est tellement surfait de toute façon, pas vrai ? Oui, c'est ce que tu aurais dit à un autre moment, mais pas maintenant, pas quand dans la cohue du St Vincent, ton regard azur reste planté sur le visage de Jo, tu choisis volontairement de te concentrer sur cela et sur elle. Il y a pire comme compagnie et elle a beau te faire remarquer que tu parles de tes parents comme s'il n'existaient presque pas, la brune te connait mieux que certaines personnes. Après tout, tu ne laisses pas n'importe qui grimper à ta fenêtre après minuit passé, tu ne montres pas tes textes à n'importe qui, et tu as beau être timide, quand tes mélodies sont concernées, tu n'acceptes pas les critiques ou les conseils de qui que ce soit. C'est un fait, Jo fait partie de ton quotidien et ça ne te surprend même pas qu'elle soit là même quand la tragédie vient frapper à ta porte. Qu'est-ce que cela veut dire sur toi ? Tu n'en sais rien, tu préfères hausser les épaules et lui répondre. "Comme si... pas juste comme si, c'est le cas, pour de bonnes raisons." Et c'est tout ce que tu diras sur le sujet, ce n'est pas comme si ton père était sur Brisbane, et ta mère ? Est-ce qu'il faudra que tu la contacte pour lui dire que sa mère à elle a fini ici ? Avec ta chance et son cynisme à elle, elle risque bien de ne pas te croire, ou de ni voir qu'une excuse pour la revoir, et tu doutes qu'Esmée ait envie de s'infliger cela. Tu chasses le visage familier de tes pensées aussi vite qu'il est arrivé, toujours facile à faire quand ta génitrice est concernée, vraiment, et tu acceptes la prochaine pique de Jo en hochant la tête. "Je ne vois pas du tout de qui tu parles, du tout." Tu feins une innocence qui n'en est pas une, Jo ne le réalise pas, mais c'est déjà beaucoup pour toi. Dahlia est partie, il t'a fallu rebondir, presque repartir de zéro, rester chez toi et te terrer dans un nid douillet est peut-être nul, cependant, tu as perdu un point de repère trop conséquent pour prétendre que cela ne t'atteint pas. Tu en aurais voulu à Dahlia si elle n'avait pas saisi cette opportunité, cependant, cela t'a forcé à devoir regarder ton propre futur en face, et c'est très difficile à conceptualiser, surtout pour quelqu'un autant pétri d'angoisses que toi. Ou même quelqu'un qui ne s'imaginait pas tenir debout plus de quelques années. Voir grand ? Viser plus haut que soit et réaliser ses rêves ? Ou même rêver ? Personne ne t'a jamais appris à le faire, tu aurais dû apprendre plus jeune, tu aurais dû expérimenter tout ceci sans le poids des responsabilités sur les épaules, être véritablement libre... Sauf que ces années-là ont été mouvementées et c'est d'autres leçons que tu as appris, malheureusement. "Désolé." Que tu marmonnes lorsque Jo soupire, parce que oui, tu es un idiot, un idiot qui lui retourne ses propres questions, soudainement curieux, certain de pouvoir parler de tout, okay presque tout, avec elle. Jo est claire, elle ne veut pas en parler et vous n'êtes pas obligés de le faire, tu poses la question, elle n'a pas à y répondre, tu ouvres la bouche pour la rassurer. Mais elle enchaine et tu as presque envie de dire à la brune qu'être vague et mystérieux, c'est ton domaine ; elle a des offres au moins, ce qui est normal vu qu'elle est douée. Elle parle de sa propre grand-mère et tu comprends, pour côtoyer Ava depuis quelques années maintenant, tu sais qu'elle a des bons comme des mauvais jours, tout est aléatoire et en tant que personne responsable pour cette dernière, Jo ne peut pas décider de tout lâcher pour aller faire autre chose. C'est une pression considérable sur vos épaules respectives, ça, tu le sais. "Je ne te jugerais jamais sur ce point-là, après tout, tu parles au champion de l'indécision, donc vraiment, on n'est pas obligés de parler de ça et des sujets qui fâchent donc." Donc changeons de sujet de conversation, de chansons, pour continuer de passer le temps. Ironiquement, c'est une de vos conversations les plus simples et tu baisses le regard, observant le genou de Jo soudainement contre le tien, avant de réaliser ce que la brune vient de suggérer. "Hmm ?" Elle a raison, vous avez été bien patients et franchement voir tout ce monde qui arrive et qui agite, cela te met un peu trop en alerte, tu hoches la tête. "Je reviens." Tu lui rends son écouteur et tu te lèves. Tu prends une profonde inspiration et en te répétant intérieurement que tu n'as absolument rien à perdre, tu vas de nouveau poser des questions à la réceptionniste, à Molly comme l'indique son badge. La femme de l'autre côté du comptoir t'offre un sourire qui se veut accueillant et t'informe qu'elle va vérifier, quelques clics et autres sons du clavier et enfin une petite lueur d'espoir dans cette nuit un peu trop noire : les examens ont été passés et les résultats préliminaires sont bons, Esmée est en train d'être installée dans une chambre tu vas pouvoir la voir. Tu respires enfin, facilement, aussi facilement que tu l'as fait quand Jo était dans tes bras, et tu la remercies sûrement un peu trop. Assez pour lui arracher un rire et Molly ajoute que c'est normal et elle comprend même que ta petite-amie se soit énervée. "Ce n'est pas m… merci." Le sourire qui passe sur ton visage est un peu plus sincère, c'est certain et tu retrouves Jo facilement, lui relayant l'information. "Bonne nouvelle, son état est considéré stable, ils vont me laisser la voir." La soirée n'est pas encore finie et tu sais que les prochains jours vont être passés dans un brouillard certain, mais au moins, tu vas pouvoir la voir et cesser d'imaginer d'affreux scénarios. "Tu veux venir avec moi ? Je suis sûr et certain qu'elle sera contente de te voir, surtout après tout ce que tu as fait ce soir."
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