ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
You're a step away from falling, I'm a breath away from life. In the middle of the dark storm, we're standing in the eye. And all I, all I see is you. All is fair in love and war. If what you see is what you want, fight for it
Pour des raisons évidentes, Sergio n’était pas familier avec les anniversaires supposés célébrer les 18 ans. Pourtant, il pouvait dire avec certitude qu’il s’agissait ce soir d’un raté. L’on ne pouvait pas dire que les Sighbury n’avaient pas fait l’effort ; lieu de réception de prestige, buffet luxueux, bouteilles outrageuses servies avec abondance, personnel aux petits soins. Mais rien n’aurait trahi la nature de cette fête sans les ballons qui flottaient au-dessus de leurs têtes, les banderoles d’anniversaire et surtout le « 18 » doré au-dessus de l’arcade fleurie. En résumé, une fête mondaine à souhait, faite à l’honneur de la jeune Greta mais pas réellement pour elle. Sergio l’avait vite compris quand son père l’avait invité, puis accueilli entouré de tous ces gens qu’il souhaiterait lui présenter. Un jeu social que le mexicain ne connaissait que trop bien et auquel il s’était mêlé avec intérêt durant une bonne partie de la soirée sans trop y penser. C’était bon pour les affaires, lui permettait de distribuer sa carte et d’obtenir des coordonnées en échange. Depuis quelques années, l’homme ne se contentait plus de l’Australie pour faire affaire, aspirait à plus grand. Nouer des liens en Angleterre semblait donc être une excellente idée. Néanmoins au bout de quelques heures et après que le gâteau et la montagne de cadeaux aient été expédiés, force était d’admettre que la fête ne continuait plus que par politesse. Personne n’était encore parti, mais le comportement ambiant pouvait laisser penser que réellement s’amuser serait un crime. Pris dans une conversation sur les aléas de la finance, Sergio lui-même commençait à devoir prendre sur lui pour ne pas laisser trahir son ennui. Cela le mena à s’excuser poliment et disparaître parmi les invités, sa coupe de champagne en main.
Ses pas l’emmenèrent jusqu’à l’extérieur, sur cette immense terrasse qui surplombait les jardins. Des marches y descendaient, mais de ce qu’il voyait, les extérieurs n’avaient encore séduit personne. L’endroit était exceptionnellement calme, un aspect reposant au vu de la stimulation sociale qui prenait place à l’intérieur. Dans la faible lueur des éclairages extérieurs, la silhouette accoudée sur le rebord un peu plus loin attira son œil. Elle était reconnaissable entre mille, malgré cette triste tendance à passer inaperçue ce soir. « Sans doute pas la soirée que tu espérais, n’est-ce pas ? » Il la fit sursauter, et cela le fit sourire. Avec un flegme détaché, il combla la distance qui les séparait pour venir à ses côtés. Ce n’était pas la première fois qu’il voyait Greta, avait même été plutôt habitué à la voir faire partie intégrante de toutes les occasions où son père se montrait. Un jeu des apparences savamment exécuté. « J’imagine aussi que tu n’as pas eu ton mot à dire sur la liste d’invités. Ton père a le don pour s’entourer de personnes… incroyablement inaptes à représenter une source d’amusement. » Quelque chose qui avec le recul le faisait plutôt sourire. Mieux valait en rire qu’en pleurer, étant donné que cela ne changerait en rien la finalité de la soirée. « Joyeux anniversaire, en tout cas. » Pour ce que cela valait, cet anniversaire restait celui de sa majorité. Ce n’était pas rien.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Greta Moore
le porte-plume
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [09/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
Dire qu’elle était étonnée serait un mensonge mais sa déception n’en était pas moins importante. Greta avait passé l’après-midi à se préparer et toute une semaine à écouter ses parents lui vendre cette magnifique robe métallique qu’ils avaient créée spécialement pour son passage à la majorité. SI elle aurait dû se sentir flattée, Greta flairait le dessein de ses géniteurs. Bien sûr, porter les créations de ses parents restait un privilège pour la jeune femme qui malgré leur comportement trop mondain se refusait à devenir une enfant ingrate. Se rêvant déjà auteure, Greta tentait de se convaincre qu’elle était chanceuse et se confiait à Carmine lorsque tout devenait trop difficile et l’équilibre se maintenait ainsi. Il était presque dix-neuf heures quand elle s’était décidée à sortir de sa chambre, une pièce de la taille de la plupart des studios moyens sur Londres. Sa robe était divine et le reflet que lui avait rendu le miroir avait fait revenir son sourire. Dix-huit ans. Cela représentait beaucoup de choses tout en restant insignifiant à la fois pour une jeune femme ayant déjà vécu trop vite, prise dans la spirale folle que représentait la vie des Sighbury. Pour elle, cela représentait une liberté dont elle comptait profiter au plus vite.
“JOYEUX ANNIVERSAIRE !” Are they fucking kidding me. La moyenne d’âge de l’assemblée frôlait dangereusement la quarantaine et c’est le fait d’avoir croisé le regard de son grand frère qui l’avait empêché de tourner les talons. Quelques-uns de ses amis étaient là, mais le pourcentage qu’ils représentaient se calculait bien trop vite dans le cerveau de la littéraire pour qu’il soit significatif. L’absence de sa meilleure amie n’était pas une surprise, celle-ci ayant pris le soin de la prévenir avant le jour j et lui ayant promis de se rattraper. Le sourire crispé de Greta l’accompagnait alors qu’elle descendait les marches du grand escalier blanc du salon où était donné la réception. « Merci. Merci à tous, pour votre présence, d’avoir fait le déplacement pour… moi. » Son père lui avait lancé un regard et avait hoché la tête, une façon de lui dire quoi faire qu’il avait depuis qu’elle était enfant. « N’hésitez pas à prendre des photos, ma robe a été désignée par mes talentueux parents, c’est le modèle eighteen de chez Sighbury » Tous avaient applaudi. Ils avaient applaudi les créateurs. La robe. Voilà ce qui était important ce soir. Certes, Greta en devenait l’égérie mais une fois debout sur la dernière marche du hall, affublée d’un décolleté finalement peut-être trop important pour une gamine atteignant tout juste la majorité, la soirée surprise se transformait en un étrange showroom improvisé. La suite de la soirée s’était déroulée auprès de ses amis mais l’ambiance pesante de cette mascarade l’avait obligée à aller se réfugier sur la terrasse restée abandonnée par les invités. Accoudée sur le balcon de l’escalier de pierre qui surplombait le jardin dont la fin n’était plus perceptible dans la pénombre, Greta ne s’était jamais sentie aussi seule. « Sans doute pas la soirée que tu espérais, n’est-ce pas ? » Perdue dans le silence de la nuit, c’est en un sursaut qu’elle avait accueilli le visiteur. « Pas exactement, effectivement. J’imagine qu’ils ont pensé que ça me ferait plaisir. » Parce qu’il lui était difficile de les blâmer entièrement et de leur en vouloir alors que le champagne coulait à flôt et qu’ils avaient fait appel aux meilleurs traiteurs de la région. « Joyeux anniversaire, en tout cas. » « Merci beaucoup. C’est Sergio, c’est bien ça ? » Greta le connaissait de vue et savait qu’il était un proche ami de son père malgré la distance et sa présence disait beaucoup sur le choix des invités de ce soir, aucunement lié à la fille des Sighbury. « Vous passez une bonne soirée vous, au moins ? J’espère que vous ne vous incluez pas dans la case inapte à représenter une source d’amusement. » Taquine et malicieuse, Greta avait dissimulé son sourire dans la troisième coupe de champagne qu’elle tenait dans la main. Sergio semblait avoir également trouvé le seul point intéréssant de la soirée. « Au moins, vous avez l’air d’apprécier le champagne. On trinque ? » S’ennivrer était devenue une habitude légèrement toxique lors des différentes cérémonies où on l’obligeait à s’afficher. Ce soir, Greta obtenait l’âge légal pour s’adonner à l’exercice mais le champagne avait un goût bien plus amer qu’à l’accoutumé. Le nombre de verres avaient fait tomber les filtres et l’intimité de la scène lui avait laissé prendre quelques libertés avec l’invité le plus insolite de la soirée. « M’inviteriez-vous à danser ? » A chaque anniversaire, Greta avait pour habitude de danser un slow avec un Carmine tiré à quatre épingle. Une scène qui avait toujours enchanté ses parents mais qu’elle n’avait pas eu le cœur de répéter ce soir, pas devant eux. Mais, ici, avec lui, à l’abri des regards et la musique retentissant légèrement à travers les baies vitrées, elle en avait envie.
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove
Dernière édition par Greta Moore le Jeu 8 Sep 2022 - 4:25, édité 1 fois
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
You're a step away from falling, I'm a breath away from life. In the middle of the dark storm, we're standing in the eye. And all I, all I see is you. All is fair in love and war. If what you see is what you want, fight for it
Cela faisait quelques années désormais que Sergio gravitait dans ces sphères prestigieuses, au milieu de ces gens bourrés d’argent à n’en plus savoir quoi faire. Et malgré l’expérience et ses capacités à se fondre dans la masse, il y avait tout de même des jours où il était fasciné par cette aptitude qu’ils avaient à ne pas vivre dans le monde réel. L’argent pervertissait les esprits au point d’occulter jusqu’au plus basique des sentiments humains. C’était une chose dont il aimait se moquer, à l’abri de ses propres pensées. Il jugeait, méprisait, mais profitait allègrement. Il s’était élevé à son tour, certes, mais certains jours, l’absurdité lui rappelait qu’il avait débuté tout en bas de l’échelle. Par exemple, le fait qu’il n’aurait jamais organisé les 18 ans de son enfant pour que cela soit à son propre honneur à lui. Ce n’était pas bien étonnant que les relations entre enfants et parents riches soient si tendues dans ces conditions-là. Et cela venait de la part d’un homme qui avait coupé tout contact avec sa propre famille depuis déjà bien des années. Alors oui, la jeune Greta lui faisait de la peine. Sa déception était perceptible sous ce savant travail pailleté. « Avec tout le respect que j’ai pour ton père… Je pense que c’est à lui qu’il pensait faire plaisir. » Et au vu des invités de marque, c’était réussi. Cette fête d’anniversaire ferait jaser pour les semaines à venir, juste pas parmi la jeune génération. Il hocha la tête. Les présentations n’avaient jamais vraiment été faites ; ils se connaissaient surtout de vue. « Sergio Gutiérrez. Nous n’avons en effet jamais eu l’occasion de parler directement. » Cela en disait long sur la séparation que le père Sighbury gardait entre sa famille et ses relations d’intérêt. Peut-être Sergio devrait-il tenir sa langue en présence de la blondinette, éviter une situation de propos répétés et amplifiés. Pour autant, il avait cette vive impression qu’elle ne serait de toute manière pas écoutée. « La soirée a ses qualités, la compagnie… beaucoup moins. J’ose tout de même espérer que je suis plus divertissant qu’ils ne le sont. Mais si tu veux fuir le balcon, je ne le prendrai pas personnellement. » Mieux valait en rire qu’en pleurer ; lui au moins ne lui parlerait pas de finance, politique ou relations internationales, à moins d’y être forcé. « Je pense que sans le champagne, j’aurais effectivement succombé à l’ennui mortel des discussions. » Il lui adressa un sourire complice, décidant plutôt de prendre son parti alors qu’il trinqua avec la jeune femme, apportant un peu de célébration à l’humeur morose. Mais toute envie de célébrer n’était visiblement pas morte et la demande de Greta ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd. Sergio haussa un sourcil, tourna instinctivement la tête vers la grande porte qui ne s’ouvrait toujours pas. La musique se prêtait en effet à un slow. Juste pas à l’intérieur, là où ils attireraient l’attention. Alors il déposa sa coupe de champagne sur le rebord en pierre et vint tendre sa main à la blonde. « Si mademoiselle veut bien m’accorder cette danse. » Un honneur qui lui fut fait, et une fois la main de Greta dans la sienne, il combla la distance qui les séparait pour venir déposer ses doigts contre sa hanche et entraîner les corps au rythme de la musique. Il n’était pas le meilleur danseur qui soit, mais cela restait un domaine qu’il maîtrisait assez pour donner l’illusion. Qui plus est, c’était loin d’être désagréable. La musique à peine étouffée qui contrastait avec le calme de l’extérieur, le moment de répit après avoir supporté la foule trop longtemps. « Que pourrait-on imaginer faire pour rendre cette soirée plus agréable ? » Car finalement, lui non plus ne cracherait pas sur une échappatoire.
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Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
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Heureusement pour Greta, ses dix-huit ans avaient été obtenus quelque temps avant la soirée et elle avait pu rendre le jour j inoubliable. Elle s’était entourée de ses vrais amis et avait fait ce qu’elle préférait : la fête, très simplement. Des gens très occupés comme les Sighbury n’avaient pas pu accorder plus qu’un dîner au restaurant à leur progéniture ce jour-là et s’étaient donc accordés sur une date pour le fameux événement. Une soirée entamée depuis peu et qui l’avait déjà amenée à boire trop de champagne et s’isoler jusqu’à ce qu’un homme extrêmement séduisant la sorte de sa torpeur. Ne pas profiter de la situation aurait été une erreur et c’est avec plaisir que la discussion s’était enchaînée. Entendre l’un des amis proches de la famille oser dire du mal d’Allister Sighbury n’avait eu pour effet que de la faire rire. Il était évident que Sergio Gutiérrez - et la façon dont il l’avait prononcé n’avait que confirmé son charme - n’était pas facilement impressionnable. « La soirée a ses qualités, la compagnie… beaucoup moins. J’ose tout de même espérer que je suis plus divertissant qu’ils ne le sont. Mais si tu veux fuir le balcon, je ne le prendrai pas personnellement. » « Vous étiez plus distrayant dès les mots joyeux anniversaire. Ou peut-être depuis la phrase avant celle-ci. Je ne sais plus… » avait-elle répondu en riant légèrement. La conversation avait été interrompue par un slow où l’homme avait pris les devants venant confirmer que les discours sur comment gérer au mieux son patrimoine étaient bel et bien clos. Ses mains étaient venues frôler son corps et l’alchimie entre les deux opérait malgré une différence d’âge notable. Greta, malgré sa majorité tout juste atteinte, n’en était pas à sa première interaction avec la gente masculine mais les gestes fermes et assurés de Sergio la désarçonnaient. « Que pourrait-on imaginer faire pour rendre cette soirée plus agréable ? » Alors qu’ils concluaient bientôt la danse, il était venu poser une question dont la réponse aurait pu être directe pour qui ne savait pas jouer le jeu de la séduction. « Vous m’avez l’air d’avoir toute l’expérience nécessaire pour m’indiquer comment rendre cette soirée plus agréable. » La musique était redevenue moins suave et l’instant lui avait permis de se défaire de ses mains pour lui faire face. La jeune Greta n’était peut être pas la plus impliquée dans l’empire qu’avait bâti ses parents mais elle avait hérité d’une chose : une extrême confiance en elle. La blonde - dans sa robe bien trop courte pour l’exercice - avait pris un léger élan pour venir s’asseoir sur le rebord en pierre de la terrasse. « Sans vouloir vous offenser, bien sûr. » Greta était venue placer ses bras sur les épaules de Sergio après avoir terminé le verre qu’il avait posé sur la pierre froide un peu plus tôt en guise de provocation. Loin d’elle l’idée de souligner l’âge mais bel et bien la maturité. « On peut faire connaissance. Mais je pars du principe que mon cher papa vous a déjà tout dit de moi, ou que vous lisez la presse. » Maintenant assise face à lui et le surplombant légèrement, ses cuisses étaient venues attraper le mexicain pour le rapprocher légèrement d’elle. « Ou on peut mettre Monsieur Sighbury très, très en colère. » Le sourire de la jeune femme était assuré et le jeu auquel elle jouait dangereux mais amusant. Son comportement n’avait qu’un seul but, savoir que secrètement, elle allait se venger de sa soirée ratée. Alors que la tension montait un peu trop, Greta avait finalement relâché son étreinte pour sauter délicatement de son perchoir et reprendre une distance de sécurité avec Sergio. « A vous de voir. A vous de voir si vous pouvez faire confiance à la fille cadette de vos amis. » quoiqu’il se passe, elle n’en dirait rien. Elle avait déjà dépassé les limites.
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Sergio Gutiérrez
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ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
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Quand l’on voyait la moue décomposée de la blonde sur ce balcon, il fallait bien lui reconnaître un sacré talent de comédienne. La jeune Sighbury n’en était probablement pas à sa première déception orchestrée par sa propre famille. Et si l’on aurait pu reprocher une certaine ingratitude en voyant l’ampleur des festivités, Sergio pouvait comprendre cet agacement de n’être qu’un pion pour servir les intérêts de son père. Peut-être était-ce ce qui le rendait distrayant finalement, qu’il s’intéresse vraiment à la jeune femme plutôt qu’à ce qu’elle représentait. Cela le fit sourire, accepter le compliment sans un mot. Le fait est que Greta attirait sa curiosité. Là où elle aurait eu toutes les raisons du monde de se morfondre dans son coin, quelque chose dans son attitude laissait supposer qu’elle avait de la suite dans les idées ; qu’elle ne comptait pas en rester là pour la soirée. La danse n’avait l’air d’être qu’un prétexte pour cocher des listes dans ce qu’un anniversaire devrait contenir, et il darda son regard sombre sur son minois en essayant de comprendre les sous-entendus derrière ses paroles. « Ma définition d’une soirée agréable n’a rien à avoir avec ce genre-là, en effet. » Il préférait généralement les cadres plus intimes, les interactions bien loin de l’ennui. Tout dépendait de l’occasion et de la personne. Il pourrait bien trouver quelques idées pour la jeune femme, qui lui était en réalité parfaitement inconnue jusqu’ici. Mais bien assez fascinante pour qu’il la suive, ne rate rien du sort qui fut réservé à sa coupe de champagne. Elle savait parfaitement ce qu’elle faisait ici, lui faisant douter du rôle de l’alcool dans cette attitude effrontée. Ou dans les bras désormais déposés sur ses épaules. « Je ne vois rien qui pourrait m’offenser. » Il faudrait essayer davantage pour y parvenir. Quoique pour être franc, cette position ne lui laissait pas le loisir de vraiment se concentrer sur ses paroles. « Je sais uniquement ce que votre père veut laisser savoir, alors. » C’était à dire, pas grand-chose. Car dans son récit, Greta était une place attribuée plutôt qu’une personne. Jamais par exemple il n’aurait pu savoir que ce bout de femme pourrait faire preuve d’autant d’audace. Il se laissa prendre au piège, se laissant attirer par ses bras, découvrant une proximité qui frôlait le dangereux. « Il serait assurément en colère. Ce qui ne serait pas sans conséquences. » Il suffirait qu’il sorte du manoir pour prendre l’air, les découvre dans cette proximité. Un risque dont le mexicain avait conscience mais qui ne l’incita pas à reculer pour autant, ses idées franchement perturbées par cette nouvelle facette qu’il découvrait. Que Greta lui échappe finalement était sans doute salutaire. Sauf que même si elle s’éloignait, la porte restait grand ouverte. Il ferait sans doute mieux de rentrer, d’oublier ce qui venait de se passer. Alors pourquoi est-ce que son regard restait rivée sur la blonde ? Elle était séduisante, cela allait sans dire. Mais elle était aussi la fille à peine majeure de l’homme Sighbury. Parmi ses vices, l’interdit en avait toujours fait partie. Ce ne serait pas la première fois qu’il rangeait son sens moral au placard, rien que le temps d’un soir. La tentation était trop grande. « Je serais complètement fou de faire confiance à une jeune femme aussi désinvolte. » Sauf que plutôt que de s’en éloigner, il s’en rapprocha. « Surtout quand elle lance des invitations aussi dangereuses. » Il leva doucement la main pour remettre derrière son oreille une mèche folle qui s’était échappée. « Tu devrais faire attention. Je pourrais te prendre au mot. » Quant à savoir s’ils le regretteraient, ce serait une tout autre question…
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Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
Le jeu était dangereux mais l’héritière n’était pas apeurée à l’idée de se brûler les ailes. Si son père apprenait le flirt, il n’aurait d’autres choix que de taire l’histoire pour ne pas risquer que sa réputation soit entachée. De tous les scénarios qui passaient dans son esprit, le pire aurait été que Carmine la surprenne mais son grand frère était probablement occupé à serrer des mains et à siroter du champagne avec un rire faux. La terrasse était calme, oubliée par les invités car la demeure en possédait d’autres bien plus facilement accessibles. « Ma définition d’une soirée agréable n’a rien à avoir avec ce genre-là, en effet. » Sergio Gutiérrez semblait pourtant avoir tout de l’homme exigeant qui ne pouvait apprécier une soirée que si elle était parfaite en tous points. Greta avait baissé les lèvres pour lui montrer son air étonné mais intrigué. Où pouvait-il sortir, dans quelles types de soirées pouvait-on le croiser ? Au fur et à mesure de la discussion, l’intonation de sa voix venait procurer plusieurs émotions à la blonde qui l’imaginait forcément s’amuser de son charme. Un charme mature, qu’on pouvait venir lui rappeler sans qu’il ne vienne s’offusquer tant il en était conscient. « Je ne vois rien qui pourrait m’offenser. » C’était probablement les yeux de biche de Greta qui le faisait parler parce qu’il était évident que la jeune femme n’était pas insensible à son élégance et son côté ténébreux. Il s’était montré ce soir comme le candidat idéal pour réaliser le fantasme qui devenait de plus en plus clair dans l’esprit de la gamine volage qu’elle était. « Je sais uniquement ce que votre père veut laisser savoir, alors. » Sûrement une image biaisée d’elle, et elle mettrait un point d’honneur à lui prouver ce soir qu’elle n’était pas la fille parfaite que pouvait dépeindre son père. « Il serait assurément en colère. Ce qui ne serait pas sans conséquences. » « Mon père ne reste jamais fâché bien longtemps contre moi. Est-ce que sa colère vous inquiète au point de me résister ? » Le regard de Sergio ne la quittait pas et la question était presque rhétorique tant l’attirance était évidente. « Je serais complètement fou de faire confiance à une jeune femme aussi désinvolte. Surtout quand elle lance des invitations aussi dangereuses. » Ils étaient bien évidemment tous les deux conscients du risque qu’ils prendraient s’ils allaient plus loin mais c’était ce qui donnait un peu plus envie à Greta de se laisser aller à ses mains qui se rapprochaient dangereusement de son corps, de son visage. « Désinvolte ? Moi ? J’ai l’image de la marque Sighbury qui pèse sur mes épaules, jamais je ne me le permettrais. » Son ton était exagéré, il était évident que Greta Sighbury était bien moins impliquée dans l’image de marque que son grand frère. Bien sûr, loin d’elle l’idée de ruiner l’empire qu’avait bâti ses parents parce qu’elle respectait leur travail et tout ce qu’elle souhaitait était de s’échapper et de se donner l’impression d’avoir repris le dessus sur cette soirée gâchée. « Tu devrais faire attention. Je pourrais te prendre au mot. » La jeune femme n’était pas inquiète, la dose de champagne ingurgitée venant empêcher de se dessiner le moindre sentiment de culpabilité et intensifier l’envie de dépasser les limites. Greta avait profité qu’il replace sa mèche de cheveux derrière son oreille pour venir poser sa main sur la sienne et la maintenir sur sa joue. Son regard était brillant et le moment était venu, si Sergio ne l’avait pas encore réalisé, la jeune femme était venue prononcer tout haut ce qui semblait pourtant évident. « J’ai très envie que vous m’embrassiez. » Pour terminer de conclure ce pacte avec le Diable, pour se venger mais aussi et surtout parce qu’elle mourrait d’envie de goûter à ses lèvres.
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
You're a step away from falling, I'm a breath away from life. In the middle of the dark storm, we're standing in the eye. And all I, all I see is you. All is fair in love and war. If what you see is what you want, fight for it
Il ne devrait sans doute pas être ici, Sergio en avait bien conscience. Cependant, et même s’il s’intégrait à merveille dans ce genre de foule, faisant de lui un invité de choix, il restait humain. Sa patience quant à l’ennui exaspérant des convives avait ses limites. Que Greta se retrouve elle aussi sur cette terrasse à fuir son propre anniversaire n’était qu’une heureuse coïncidence dont il profitait allègrement. Tant que rien ne l’y obligerait, il n’avait aucune intention de rentrer. La compagnie extérieure était bien plus agréable. Qui plus est, la jeune femme avait ce quelque chose de captivant. Elle était aux antipodes de ce que son père présentait d’elle ; une poupée habituée à jouer un rôle et à sortir les sourires quand il le fallait, quoique sans la moindre conviction. Il n’avait pas non plus la sensation qu’il s’agisse réellement d’une tentative de rébellion de sa part. Non, Greta était un moule qui n’avait pas pris, une personnalité qui ne se conformait pas aux attentes des Sighbury. Cela faisait tout son intérêt, d’une certaine manière. Sa dangerosité également à en juger par le rapprochement qui était en train de s’opérer, remettant en question toutes les règles établies. Elle avait cette façon de le regarder qui laissait supposer qu’elle était parfaitement en contrôle de ses actions, parfaitement consciente des possibles conséquences également. Un sujet que Sergio mesura précautionneusement, qui mérita une seconde de réflexion. Non, il n’avait pas peur du courroux du patriarche Sighbury. Il ne pourrait rien faire ; il était même fortement possible qu’il ne veuille même pas en parler, de peur de l’humiliation publique et des qu’en dira-t-on sur sa famille. Quand bien même ils se prétendaient amis, Sergio ne s’intéressait pas à l’homme, simplement au réseau. « Non. Pas le moins du monde. » Il était joueur, assez pour vouloir prendre ce risque. Si tant est que la jeune femme soit vraiment sérieuse. Car il voyait très clair dans son jeu ; il était un pion dans son jeu de vengeance puérile. « La seule chose qui trahit ton nom ici est ta robe. » Une observation facile à faire vu les louanges qui avaient été chantées sur le vêtement plutôt que sur la jolie blonde qui la portait. Le simple fait qu’ils soient dans cette situation flou où il fallait prier pour que personne ne les surprenne suffisait à prouver qu’ils ne se comportaient pas comme il le fallait. Des mauvais choix qui risquaient de s’enchaîner si l’opportunité leur était donnée. Car sa main contre sa joue, leur regard qui se heurtait et leur corps désormais tout proche, aucun bénéfice du doute ne pourrait leur être donné. Le pouce de Sergio effleura les lèvres de la jeune Sighbury, semblant réfléchir à sa demande. Lui donner une chance de se dégager aussi, un élan de conscience qu’elle n’eut pas. Il l’avait prévenue que ce serait à ses risques et périls. Alors il finit par céder à la tentation, son autre main glissant le long de sa nuque alors qu’il se pencha pour lentement venir l’embrasser. Un baiser doux, sensuel dont il savoura, à moitié convaincu que la blondinette finirait par reprendre ses esprits. Pourtant, quand enfin le baiser prit fin, elle était toujours là, à mille lieues d’avoir l’air de vouloir faire demi-tour. « C’était ce que tu voulais ? » demanda-t-il dans un souffle. Le bruit de la baie vitrée le fit presque sursauter, l’incita à faire un pas en arrière. Une femme venait de sortir, sa cigarette à la main. (Win : Elle leur adressa un sourire poli avant de s’éloigner un peu pour fumer tranquillement, sortant de leur champ de vision. Close : Elle leur adressa un regard suspicieux mais ne vint leur faire aucun commentaire, allumant plutôt sa cigarette en les gardant dans son champ de vision Fail : Le regard de jugement qu’elle leur adressa confirma facilement qu’ils venaient de se faire pincer et si elle ne s’avança pas, il n’y avait nulle doute qu’elle aurait quelque chose à y redire.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 16/12/2014
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Greta Moore
le porte-plume
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [09/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
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« Non. Pas le moins du monde. » Il répondait que Monsieur Sighbury ne lui faisait pas peur, mais cela voulait-il dire également qu’il ne pouvait lui résister ? Greta comptait bien découvrir ce point alors que les coupes de champagne étaient désespérément vides et que les bruits émanant de la fête commençaient à perdre de leur vivacité. « La seule chose qui trahit ton nom ici est ta robe. » Que voulait-il réellement dire ? Que Greta n’avait rien à voir avec le reste de la famille ? A l’idée de ce compliment, elle avait souri, pourtant convaincue d’avoir les traits parfaits des Sighbury, des traits qui l’avaient destinée à une carrière de mannequin qu’elle avait refusé fermement. Des traits qui laissaient l’amère impression que tout leur était dû mais que lorsque les années passeraient, ils ne vaudraient plus rien. Greta appréciait de n’être associée à ce nom que par sa robe - une robe que la jeune femme mourrait d’envie de voir Sergio lui enlever. La blonde, motivée par des coupes de champagne hors de prix avalées comme s’il s’agissait de simples verres d’eau, s’était lancée et avait clairement exprimé ce qu’elle attendait de lui. Sa peau halée associée à son sourire éclatant et son regard sévère, le tout dans un costume extrêmement élégant, le mélange avait très vite convaincu une Greta qui découvrait les atouts de son charme et le plaisir de se savoir désirée. Sergio, lui, était conscient de ce charme et de la façon dont il pouvait l’utiliser depuis bien plus longtemps qu’elle et c’était peut-être le fait de la voir faire le premier pas qui l’avait décidé à venir combler les derniers centimètres qui les séparaient l’un de l’autre. Sa main s’était posée derrière sa nuque et une fraction de seconde avait suffi pour que Greta comprenne que l’étape à ne pas franchir le serait et qu’aucun retour en arrière ne serait possible. Et ce baiser avait le goût de tout ce qu’elle avait désiré ce soir alors Greta n’avait pas ouvert les yeux de suite lorsqu’ils s’était terminé. L’interdit. C’était le goût de ce baiser et ce qui l’avait rendu si agréable. « C’était ce que tu voulais ? » avait-il demandé mais avant même que Greta ne puisse prononcer sa réponse, elle avait dû faire volte-face pour se retrouver à nouveau bien trop loin de la chaleur du mexicain. « Je vous sens légèrement tendu, Sergio. » avait-elle soufflé avec un sourire et l’envie d’une proximité encore plus importante se faisait sentir. Par les mots d’abord, lâchant une politesse qui n’était plus nécessaire maintenant que l’homme d’affaires avait cédé à ses appels. Greta s’était dirigée vers la baie vitrée pour y jeter un coup d'œil discret. « Ils sont tous très occupés, il est déjà tard. Je vais prétexter avoir sommeil, remercier les invités puis monter. Tu peux partir ou tu peux attendre quelques minutes et les saluer à ton tour... » avait-elle commencé, plantant ce même regard bourré de mauvaises intentions dans le sien. « Il y’a un accès à ma chambre depuis l’extérieur, ce sera plus discret pour continuer notre discussion. » La discussion était le cadet de ses soucis. Etait-il nécessaire de continuer à masquer leurs réelles intentions, à prétendre qu’ils n’avaient pas envie de tout risquer pour se défaire de ces vêtements d'apparats. Leurs regards le criaient, leurs sourires en coin se défaisaient difficilement de leurs visages. Il y aurait des conséquences, ils partageraient un secret brûlant, mais Greta n’y voyait maintenant plus un jeu alors que le désir l’envahissait. Le dernier sourire qu’elle lui avait lancé était malicieux et extrêmement explicite, lui permettant de tourner les talons en étant persuadée avoir été claire. Rejoignant un instant les convives, la jeune femme avait remercié des invités pour la plupart inconnus, avait fait une bise à chacun de ses parents et étaitt montée dans sa chambre pour se planter devant la fenêtre du balcon d’où devait arriver Sergio, s’il décidait de commettre l’irréparable.
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Sergio Gutiérrez
le père-du
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You're a step away from falling, I'm a breath away from life. In the middle of the dark storm, we're standing in the eye. And all I, all I see is you. All is fair in love and war. If what you see is what you want, fight for it
Il fallait bien admettre que Sergio n’avait jamais été le dernier pour se lancer dans un jeu de séduction. S’il n’avait plus eu la moindre histoire sérieuse depuis son divorce, les aventures, elles, étaient fréquentes. Il aimait le jeu, la tension, l’intensité des regards et les sourires qui se trahissent quand deux personnes se tournent autour. Ce n’était rien de plus que cela ; un jeu. Mais ce soir, Greta venait d’en remettre toutes les règles en question. Il venait de tomber dans ses filets sans s’en rendre compte, et maintenant qu’il avait eu un avant-goût de ce que la jeune femme était prête à jouer ce soir, sa curiosité et son attention étaient totalement tournées vers la blonde. Il ne devrait certainement pas. Elle était jeune, pompette, remontée. La nature de ses intentions n’était probablement pas la meilleure. Qui plus est, il pourrait y avoir des répercussions. Rien que Sergio ne saurait pas gérer ; ce ne serait rien de grave. Juste ennuyeux. Et le Gutiérrez ne supportait pas l’ennui. Cela ne faisait qu’un argument de plus en faveur de Greta, plutôt que de retourner à cette soirée. Et pourtant, il pesait le pour et le contre. L’interruption d’une personne à l’autre bout de la terrasse aurait dû lui remettre les idées en place, l’inciter à s’éloigner tant que c’était encore possible. Car la jeune femme commençait à se montrer provocatrice, et c’était une attitude à laquelle il ne résistait jamais. « Je ne suis pas tendu, juste prudent. Peut-être que tu devrais l’être davantage. » Car si elle était juste en train de jouer avec lui, si elle tuait le temps en s’amusant, alors cela risquerait de se retourner contre elle. A la place, elle l’invitait franchement à la rejoindre. « Je vais y réfléchir. » souffla-t-il en guise de réponse, un léger sourire aux lèvres. Il la regarda s’éloigner, happé par cette démarche déterminée et par le choix qui s’offrait à lui. S’il avait envie de la rejoindre ? Cela ne faisait pas l’ombre d’un doute. S’il devrait le faire ? Absolument pas. Refuser l’invitation de la birthday girl serait toutefois assez insolent. Appuyé contre la balustrade, Sergio resta plusieurs minutes à observer le jardin désert. Peut-être que l’attente était le signe que sa décision était prise. Car au bout de dix minutes, il rentra à son tour, se dirigea vers le père Sighbury pour lui serrer la main et le remercier chaleureusement de son invitation. Il fit de même auprès de son épouse, les regarda dans les yeux avec une aisance qui lui fit réaliser qu’il se fichait bien d’avoir des choses à se reprocher à leur égard. Le tour dans la pièce fut rapide, quelques hochements de tête aux fréquentations lointaines, la promesse de rester en contact avec les plus intéressants. Et quand il mit le pied sur le pallier, ce ne fut pas pour prendre la direction du parking, mais bien pour monter en direction des escaliers extérieurs. Il n’eut qu’à longer la façade pour arriver devant la porte fenêtre de la chambre de la blonde. Avec une discrétion qui trahissait le côté interdit de cette rencontre, il pénétra dans la chambre, découvrant les lieux. La pièce était luxueuse, digne des magazines de décoration. Cruellement impersonnelle, aussi. Rien ici ne trahissait la rébellion que la blonde exhibait. Et il l’observa en silence durant quelques secondes, son visage se scindant finalement d’un sourire alors qu’il se dirigea vers la porte pour en fermer le verrou. « Juste au cas où. » souffla-t-il avant de se rapprocher de Greta. Assez proche pour que leurs corps se frôlent, qu’ils puissent sentir le souffle de l’autre contre leur visage. Il leva ses doigts pour remettre une mèche de cheveux derrière son oreille, lentement. De quoi lui laisser la chance de se rétracter. Mais il n’y eut rien de tout ça, pas même un frémissement. Et celui qu’elle eut quand il pencha la tête pour embrasser son cou n’avait rien d’un mouvement de recul. « Tu voulais continuer une discussion. Quelle discussion, au juste ? » Car au vu de sa main qui venait de sa déposer contre sa hanche, l’homme avait une toute autre idée pour leur instant loin des regards indiscrets.
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Greta Moore
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« Je ne suis pas tendu, juste prudent. Peut-être que tu devrais l’être davantage. » Peut-être. Il avait forcément raison, lui qui possédait le recul et l’expérience nécessaire. Pourtant, malgré cet avantage sur elle, Sergio semblait totalement enclin à faire de cette soirée quelque chose de mémorable. « Je vais y réfléchir. » A son sourire elle avait répondu par un clin d’oeil entendu, son égo boosté à l’extrême incapable de s’imaginer qu’il ne fasse quoique ce soit d’autre que d’accepter la proposition. Greta avait grimpé dans cette tour dorée avec un peu plus d’enthousiasme qu’elle ne l’aurait pensé au début de la soirée. Elle aurait dû y monter d’un pas agacé se refusant à montrer des larmes qui auraient perlé au coin de ses yeux. Elle aurait dû être furieuse et désemparée alors que ses parents lui avaient volé l’un des moments les plus importants de sa vie. Au lieu de ça, c’était en trottinant joyeusement que la blonde se rendait dans sa chambre, son attitude de gamine détonant grandement avec ce qu’elle s’apprêtait à faire. Un plan de femme fatale qui se réaliserait si Sergio voulait bien la suivre comme elle l’avait invité à le faire quelques minutes auparavant. Sa chambre parfaitement insonorisée couvrait chacun des rires forcés des convives et des sons de la vaisselle qui s’entrechoquait. Greta était entrée dans sa salle de bain pour s’assurer que son visage masquait encore assez son taux d’alcoolémie. Elle n’était pas ivre, elle était pleinement consciente de prendre toutes les mauvaises décisions depuis qu’elle avait rejoint la réception mais ce sentiment d’interdit la grisait. Greta ne réfléchissait plus vraiment et se laissait porter, désireuse de partager ce moment avec quelqu’un comme Sergio et plus la conversation et le jeu de séduction avec le mexicain progressaient, plus la blonde s’animait d’un réel désir et non plus simplement d’un souhait de vengeance.
Il était arrivé dans sa chambre non sans jeter un coup d’oeil au luxe et peut-être également pour s’assurer qu’il n’y avait rien là d’enfantin qui pourrait lui donner envie de faire demi-tour. Leurs regards s’étaient croisés et Greta lui avait montré une assurance non feinte qui ne permettait aucun doute sur sa capacité à continuer sur cette pente glissante. « Juste au cas où. » Elle restait debout au milieu de la pièce et le regardait prendre les choses en mains : fermer le verrou pour ne plus être dérangés et confirmer leurs intentions, s’approcher d’elle et toucher ses cheveux et son visage pour terminer de la faire succomber. L’idée était sienne, elle était déjà conquise mais le voir ainsi avenant rendait la scène bien plus excitante. « Tu voulais continuer une discussion. Quelle discussion, au juste ? » Il continuait à jouer alors que l’ensemble de ses actions la faisait le vouloir un peu plus. « Oh. J’ai dit discussion ? Le champagne doit me monter à la tête. » avait-elle réussi à prononcer au milieu de soupirs difficiles à contenir alors que ses lèvres parcouraient son cou. « Ce que tu fais là, c’est de ça dont je voulais parler. » Sa main était venue se poser contre la tête penchée de Sergio pour l’encourager à continuer, réalisant qu’elle pourrait peut-être finalement mêler l’utile à l’agréable. Se venger de son père, secrètement, sans qu’il ne le sache était une chose mais cela ne servirait qu’à apaiser son égo abîmé par si peu d’estime de la part de ses parents. Alors la blonde comptait profiter de ce moment et son habilité participait à faire envoler cette pointe de culpabilité qu’elle ressentait. Greta avait attrapé sa main posée sur sa hanche pour le diriger vers son lit, le temps de la discussion ayant peut-être été trop long à son goût. « Je sens déjà ma frustration s’envoler. » avait-elle commencé en attrapant sa cuisse avec la sienne pour se coller un peu plus à lui. « Nous sommes déjà allés trop loin, de toute façon. » Et la blonde avait confirmé ses paroles en venant poser ses lèvres sur celles de Sergio dans un baiser bien plus langoureux que le premier, un baiser qui ne se déferait pas avant qu’ils n’aient consommé entièrement le désir de vengeance de Greta.
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AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
You're a step away from falling, I'm a breath away from life. In the middle of the dark storm, we're standing in the eye. And all I, all I see is you. All is fair in love and war. If what you see is what you want, fight for it
C’était une idée qu’il finirait par regretter. Il ne savait pas encore quand, on comment. Mais quelque chose lui soufflait qu’il ne sortirait pas totalement indemne de cette chambre. Sergio savait pertinemment qu’il aurait dû être l’adulte dans cette situation et faire demi-tour. Mais il restait un homme avec l’amour du jeu, du défi, de l’interdit. C’était parce que Greta était supposée être hors d’atteinte qu’elle lui était aussi irrésistible. Peu importe l’absence de sens moral dont il faisait preuve, ou la trahison directe envers le père Sighbury. Il n’y aurait plus que la jeune femme pour l’inciter à arrêter. Sauf que contrairement à ce qu’il attendait, elle ne flanchait pas le moindre du monde. Ni quand il se rapprocha bien trop près d’elle, ni quand il caressa son visage, ni quand ses lèvres vinrent se déposer sur sa peau sucrée pour en goûter la saveur. Elle ne reculait pas, n’exprimait aucune forme d’hésitation. « Tu as l’air de parfaitement savoir ce que tu dis… ou fais, pourtant. » Il souffla contre son oreille. Il n’avait pas besoin de voir son visage pour discerner son sourire. L’alcool la désinhibait peut-être, mais elle était loin d’avoir assez bu pour perdre le contrôle de manière involontaire. C’était sans doute le fait d’avoir été surveillée de près toute la soirée. Or, ce n’était pas cette facette de la blonde qui intéressait Sergio à ce moment précis. Il voulait voir qui elle était vraiment, loin de tous les regards. Autant dire qu’il n’était pas déçu de cette découverte. « N’hésite pas à t’exprimer, alors… » Le jeu était dangereux, mais le fait qu’elle ne l’incite pas à arrêter commençait à l’enivrer plus qu’il ne le faudrait. Surtout lorsqu’elle attrapa sa main pour venir d’elle-même le guider jusqu’à son lit. Une invitation ouverte, déterminée, accompagnée de sa cuisse qui s’entoura autour de lui. « Pas encore assez loin à mon goût. » Il répondit à son baiser avec fougue, ses mains glissant le long de ses hanches jusque sous ses cuisses pour la soulever, lui facilitant ainsi la tâche pour venir l’allonger au milieu du lit. Dans cette position, il pouvait la surplomber, l’admirer. Il réalisait le champ des possibles qui s’offrait à lui. Qui y gagnait le plus dans cette histoire ? Il n’était pas certain. Elle avait tout de l’attitude de la jeune femme ravie d’être arrivée à ses mains, là où lui sentait l’avidité le gagner. C’était ce qui se passait quand il se retrouvait à l’embrasser à nouveau, sa main remontant sensuellement le long de sa cuisse jusqu’à passer la barrière de la pudeur. Il ne fallut guère plus pour que les choses chavirent et qu’ils tombent dans l’interdit, emplissant la chambre de sons qu’il aurait mieux fallu ne pas reconnaître de l’autre côté de la porte.
L’unique chose certaine était que quand le calme revint enfin, la villa était silencieuse et les derniers invités partis. Bien que calmée, l’atmosphère dans la chambre était encore brûlante, les esprits se remettant lentement en place. Allongé sur le dos, un bras sous sa tête et un autre autour des épaules de la blonde, Sergio contemplait distraitement cette chevelure de blé, ses doigts caressant lentement sa peau. Il n’aurait jamais dû faire ça et pourtant, il n’y avait pas la moindre once de regret en lui. Seulement ce sentiment de profonde satisfaction. Il n’avait fait qu’offrir à la Sighbury exactement ce qu’elle désirait pour sa fête d’anniversaire et bien que jeune, elle n’avait rien laissé filtrer de débutant dans sa manière de faire. Si seulement son père savait. Un sourire amusé étira ses lèvres à cette pensée. « Et maintenant quoi ? » demanda-t-il simplement. Était-elle enfin satisfaite ? Avait-elle eu ce qu’elle voulait ? Car le concernant, cela dépassait complètement ses espérances.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Greta Moore
le porte-plume
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [09/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
You're a step away from falling, I'm a breath away from life. In the middle of the dark storm, we're standing in the eye. And all I, all I see is you. All is fair in love and war. If what you see is what you want, fight for it
Greta n’était en rien ce à quoi Sergio s’attendait. Du début de leur discussion jusqu’au moment où elle l’avait invité dans sa chambre, il se serait attendu à ce qu’elle frémisse, change d’avis, laisse doucement sa carapace se fissurer. Mais maintenant qu’ils étaient dans ce lit à reprendre leurs forces, l’ambiance encore brûlante des ébats qui venaient de se dérouler, l’homme n’était plus certain. Cette assurance mêlée à l’insolence que la jeune Sighbury arborait était bien sa personnalité plutôt qu’un masque. Venir le trouver n’avait pas (totalement) été un caprice non plus, mais bien une pulsion qu’elle s’était décidé à assouvir. Il avait toujours eu un faible pour les femmes déterminées, même si maintenant que la bête était calmée, la rationalité menaçait de toquer à la porte. Il aurait sans doute dû avoir un cas de conscience ici, se dire que visiter les draps de la fille à peine majeure d’un bon ami relevait de l’indécence et de l’immoralité. Mais comment réellement culpabiliser quand la blonde savait si pertinemment ce qu’elle faisait ? Il n’y avait rien d’innocent chez elle. Ni sa manière de comparer leur coucherie à ce qu’elle connaissait, ni son sourire, ni son regard appuyé. Il n'avait aucun besoin de s’entendre dire qu’il était un bon amant, bien assez assuré sur ce point. Cependant, son ego se trouva ravi de toujours être le centre d’attention de la blonde, même après qu’elle a eu ce qu’elle voulait. « Ça ne peut pas être ton anniversaire tous les jours. » souffla-t-il en réponse, un léger rictus aux lèvres. Il ne pouvait pas nier qu’il venait de particulièrement apprécier le moment et si l’occasion se représentait, il n’agirait pas de manière plus responsable. Cependant, il n’avait aucune intention de provoquer le destin sur le sujet. Le jeu était dangereux et à choisir, Sergio préférait rester dans les bonnes grâces du père Sighbury. Il aurait bien plus à apporter -même s’il n’avait pas la plastique aussi désirable de sa fille-. Le rictus se mua en un large sourire en la sentant se rapprocher, s’installer à califourchon sur lui. Instinctivement, ses mains suivirent le chemin pour venir se déposer sur ses hanches. Il accueillit ce baiser avec délectation, ses sens se réveillant à nouveau. Il n’avait effectivement aucune envie qu’elle le mette à la porte. « La première fois n’était qu’un échauffement. » insinua-t-il dès que Greta relâcha ses lèvres. Elle ne l’aidait pas à entendre raison quand sa bouche glissait désormais contre son torse, une image d’autant plus plaisante qu’il ne parvenait pas à la lâcher des yeux. Il était curieux, impatient de comprendre quelles idées elle pouvait bien avoir derrière la tête. Car le concernant, il était loin d’être à cours. Il n’avait pas besoin d’être rassuré sur le fait qu’il était bon, certes. Mais cela ne l’empêcherait pas de vouloir être l’un des meilleurs, un de ceux qui laisseraient un souvenir indélébile dans l’esprit de la blonde. Il avait envie qu’ils bouillonnent d’impatience et redoutent tout autant leurs prochaines rencontres publiques. Qu’ils portent ce vilain petit secret et soient incapables de totalement l’oublier dans un coin de leur esprit. Tant qu’à faire les mauvais choix, autant s’y lancer corps et âme.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.