| (midas) like an ocean takes the dirty sands |
| | (#)Jeu 15 Sep 2022 - 15:15 | |
| Plus que jamais, cette soirée aura été l’occasion pour Charlie de penser à autre chose et de décompresser. Depuis le récent diagnostic de Siobhan, c’est comme si son monde venait de s’écrouler alors qu’en réalité, elle n’a fait que poser un mot sur des symptômes qui existaient déjà depuis de nombreux mois. L’impact psychologique est immense, quand bien même tout le reste n’a pas changé du moindre iota. Cela aura été l’occasion pour la jeune femme de décompresser, de retrouver ses anciens collègues, de rencontrer les nouveaux et de faire comme si demain n’allait jamais exister, pas même le fait qu’elle embauche à huit heures tapantes. La nuit sera courte, assurément, et osez lui demander si cela lui importe.
“Ça a le droit de prendre un vrai cocktail une fois le show terminé, une star de la chanson ?” Charlie interroge alors Midas les yeux dans les yeux, sa prestation terminée depuis quelques minutes à peine, le bar se vidant peu à peu de ses occupants pour la nuit. Les bras croisés, le sourire véritable, elle chassera plus tard de son front les quelques mèches blondes et rebelles collées par la sueur. Elle a beau ne plus travailler au bar depuis longtemps, elle estime encore en avoir tous les passe-droit, et ce même si Matt n’est plus là pour les lui donner, ses yeux brillants encore d’un amour impossible. Ce qu’on ne lui donne pas, Charlie n’a aucun mal à se l’approprier. “Merci d’être venu.” D’un ton plus posé, plus sérieux aussi, elle le remercie comme si elle était l’organisatrice de quoi que ce soit. Elle sait simplement que le groupe prévu a décommandé à la dernière minute et que toute cette soirée a failli tomber à l’eau tout aussi rapidement. “C’était bien plus cool que ce qu’on aurait dû avoir.” Elle n’en sait trop rien, de ça, mais personne ne pourrait refuser un compliment aussi simple, surtout pas alors qu’elle y ajoute un sourire espiègle - pas vrai ? “M’en veux pas, mais j’avais parié vingt dollars que tu prendrai même pas la peine de venir.” Parce qu’il est quelqu’un, Sterling, et que le DBD n’est finalement qu’un petit bar connu uniquement à Brisbane. Il a beau marcher formidablement bien, il ne sera jamais un plateau de télévision, même si Matt aurait sûrement voulu que ce soit le cas, si jamais on lui en avait laissé la possibilité. “T’avais rien prévu de mieux pour ton samedi soir ?” La question ne porte pas de sous-entendus, elle n’émet pas le moindre jugement sur sa carrière ou sa vie personnelle. Tout ce qu’elle cherche à faire, c’est la conversation, et peut-être le connaître un peu plus si possible, parce que pour sa part elle n’a aucune envie de retrouver le silence de son appartement. “Donne moi ton alcool préféré et je te fais un cocktail.” Charlie n’a jamais perdu la main à ce sujet, bien entendu, et elle a encore moins perdu sa mauvaise habitude de ne pas laisser le choix aux personnes face à elle.
@midas sterling |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Sam 17 Sep 2022 - 20:46 | |
| (west end → death before decaf) like an ocean takes the dirty sands Midas Sterling & @"Charlie Villanelle"
« Ça a le droit de prendre un vrai cocktail une fois le show terminé, une star de la chanson ? » - « Ça a le droit de prendre un cocktail avant le show, pendant le show et après aussi, une star de la chanson. » Le tout est de savoir si ce soir c’est ce que j’ai envie d’être. Le public devant lequel j’ai joué est bien plus restreint que les scènes d’Europe et des Etats Unis, le cachet bien moindre aussi et je doute qu’ici quiconque n’ai patienté plusieurs heures pour me voir ou ait poussé le vice jusqu’à dormir dans une tente pour être certain de pouvoir se coller contre les barrières du premier rang. Toutefois, la soirée ne m’a pas déplu pour autant - je suis loin d’être une diva aux goûts de luxe. Je ne suis pas un bon samaritain non plus : j’ai vu dans la requête de ma mère - rendre un service à la fille d’une de ses très bonne amie - une chance de redorer mon blason aux yeux de mes parents. Que je sois une célébrité à la renommée internationale n’impressionne guère Hannah et Blake Sterling. Alors à défaut de me transformer en homme d’affaires le temps d’une soirée, je me comporte au moins en bon garçon
« Merci d’être venu. C’était bien plus cool que ce qu’on aurait dû avoir. » Je fronce les sourcils et pour cause : je n’ai vu Lily qu’à de très rares occasions - nos mères sont amies sans que ce soit notre cas - mais la jeune femme que j’ai en face de moi ne colle en rien au souvenir que j’ai de la fille Keegan. Une couleur de cheveux se change, mais je suis malgré tout surpris et je détaille la jolie blonde d’un regard qui pourrait être interprété comme un peu trop insistant, je le réalise et gêné, je détourne les yeux. « Y’a pas de quoi. Ma mère me doit un service maintenant, et une bonne semaine sans reproches avec un peu de chance. » Mon travail peu sérieux lui a au moins permi de se poser en sauveuse, dégainant la carte fils artiste célèbre à son Club de lecture la semaine dernière, lorsque le groupe booké initialement pour l’occasion a laissé tomber Lily Keegan au dernier moment. « M’en veux pas, mais j’avais parié vingt dollars que tu prendrai même pas la peine de venir. » - « Quelqu’un avait paré que je ferai le déplacement ? » Elle ne l’a pas fait seule ce pari. Comme toujours, galvanisé par l’attention que me porte la belle jeune femme, j’entre dans le rôle que je joue depuis si longtemps qu’il me colle à la peau, le séducteur. « Faut que je dise à mon chargé de com’ de bosser sur mon image de bad boy inaccessible, dans ce cas. » Je lui renvoie un sourire éclatant, avant de tendre la main dans sa direction. Si toutefois elle la saisissait, mon pouce s’attarderait un instant de trop sur le dos de sa main avant de la relâcher. « Midas. » Elle le sait certainement déjà. « Tu dois être Lily du coup, c’est ça ? T’étais différente dans mes souvenirs. » Plus timide et bien moins audacieuse, déjà.
Réaliser que je fais fausse route ne me trouble pas outre mesure. Au contraire, la conversation en devient encore plus intéressante et pour cause : Lily Keegan est enceinte, ma mère m’a assez répété cette information - comme si cela pouvait changer ma décision de l’aider ou pas - pour que je m’en souvienne. Et quoique je n’ai rien contre les mères et futures mères, je suppose naturellement qu’un ventre arrondi s’accompagne également d’un compagnon. A l’annulaire gauche de la jolie blonde, aucune alliance ne trône en maître. « T’avais rien prévu de mieux pour ton samedi soir ? » - « De mieux que faire ta rencontre ? » Peut-être mon accroche est-elle un peu vue et revue. Mais je suis bien trop habituée à ce que mon talent, ma renommée et ma belle gueule fassent tout le travail. « Donne-moi ton alcool préféré et je te fais un cocktail. » - « Le Rhum. J’en déduis que tu bosses ici ? » Je la suis jusqu’au bar - elle passe derrière comme si elle était chez elle - et je m’y accoude sans que mes iris bleus ne se détachent d’elle.
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| | | | (#)Dim 18 Sep 2022 - 16:45 | |
| « Ça a le droit de prendre un cocktail avant le show, pendant le show et après aussi, une star de la chanson. » - “Ça donne l’accès VIP en cure de désintox après, j’espère ?”
Ces mots ne sont pas sérieux. Après tout, ce n’est pas vraiment son affaire de savoir s’il accepte de boire pour ses beaux yeux ou s’il a un réel penchant pour la bouteille. Tant que cela ne regarde que lui, tant que ça ne déclenche aucun accès de quoi que ce soit, Charlie s’en moque bien, son nouveau statut d’inspectrice tout autant. Preuve en est, elle ne tarde pas à déjà changer de sujet pour appuyer ce qui semble être le plus important à ses yeux, à savoir le remercier de sa venue, surtout parce qu’il a été appelé à la dernière minute et que cette salle pourrait sembler indigne de toute sa notoriété. « Y’a pas de quoi. Ma mère me doit un service maintenant, et une bonne semaine sans reproches avec un peu de chance. » Il parle de sa mère mais ses yeux dévorent Charlie: ne reste plus qu’à espérer qu’il ne soit pas le genre de gars à souffrir d’un complexe d’Oedipe ou un Tanguy. Ou pire, les deux. Il est bien trop mignon selon Charlie pour gâcher un tel visage avec un tel comportement tue l’amour. « Quelqu’un avait parié que je ferai le déplacement ? » - “Il avait déjà beaucoup bu. Mais il compte quand même.” Elle esquisse un sourire, amusée par la répartie du chanteur, à qui elle aurait imaginé une langue bien moins pendue et une envie de s’enfuir du bar bien plus présente aussi.
« Faut que je dise à mon chargé de com’ de bosser sur mon image de bad boy inaccessible, dans ce cas. » La blonde esquisse une moue amusée, faussement impressionnée aussi, en même temps qu’elle hoche la tête dans une fausse admiration. “T’es le genre de star qui a pas le droit de poster la moindre photo Insta sans l’accord de dix-sept personnes avant ?” La question est sincère, ce qu’elle en pense dénote sûrement des autres groupies à qui il a pu parler: s’il répond oui, elle trouvera ça amusant mais certainement pas impressionnant. S’il répond non, il aura sûrement le droit d’être qualifié de grand garçon - mais elle trouvera toujours la chose impressionnante, de se dire qu’il a mine de rien un chargé de com’ et que c’est une chose tellement naturelle pour lui qu’il en utilise le nom familier. Sans hésiter, bien sûr, elle attrape la main qu’il lui tend, la serre chaleureusement, sourit un peu plus lorsqu’il a déjà l’audace de caresser brièvement le dos de sa main avec son pouce. « Midas. » Sans grande surprise, oui. « Tu dois être Lily du coup, c’est ça ? T’étais différente dans mes souvenirs. » Sans savoir se contrôler, la blonde pouffe aussitôt de rire, reprenant sa main par la même occasion. “J’ai l’air d’être enceinte ?” Elle voudrait jouer le rôle de la jeune femme blessée dans son honneur et en colère, mais le sourire qu’elle cache difficilement derrière ses lèvres pincées la trahit largement. “Ou d’avoir presque quarante ans ?” Ou d’être une vieille peau qui porte un peu trop bien le rouge à lèvre rouge pour une connasse opportuniste ? Non, ça, ça se dit pas. Surtout alors qu’il émet l’idée qu’il connaît déjà Lily, même s’il semble enclin à la confondre avec la première venue. "Appelle-moi Charlie plutôt.” Ce sera bien plus adéquat.
Et puisqu’il ne semble pas non plus être le genre à se vexer pour peu, il n’hésite pas à relancer la conversation à son tour, usant et abusant de toutes les accroches enfantines qu’elle a déjà entendues. Mais soit. « De mieux que faire ta rencontre ? » Tentée de jouer le jeu de l’emmerdeuse qui veut lui préciser qu’il n’avait pas prévu de faire sa rencontre mais que c’est elle qui est venue lui parler, elle se retient pourtant. “Non, ça c’est vraiment le meilleur qui puisse t’arriver. Et je parle objectivement, bien sûr.” Il joue, elle en fait de même. C’est facile, c’est simple, et promis elle n’est pas déjà amoureuse, alors elle n’enfreint pas sa nouvelle règle de vie. « Le Rhum. J’en déduis que tu bosses ici ? » Ayant déjà pris la direction du bar, elle l’entend dans son sillage, repérant d’un coup d'œil la bouteille de rhum sur l’étagère. “Tu devrais te calmer sur les suppositions, Midas.” Les mots pourraient être durs mais son sourire désamorce à nouveau la chose alors qu’elle se retourne pour l’observer une seconde, avant de pleinement se consacrer à l’élaboration de son cocktail de fortune. “J’ai travaillé ici pendant quelques temps, pour payer mes formations.” Mais ce n’est plus le cas depuis bien longtemps, maintenant. Tant mieux: elle n’aurait jamais voulu connaître le DBD sans Matt.
Beaucoup de rhums, un peu d’autres choses, des bonbons enfantins pour décorer le tout et voilà ce qu’elle appelle un cocktail, Charlie. C’est tout du moins ce qu’elle lui tend sur le comptoir, l’autre verre près d’elle puisqu’elle partage le même. Pour autant, elle préfère garder ses coudes sur la table et ses yeux dans les siens. “T’arrives à coucher avec une nouvelle fille à chaque date ?” Il est sûr de lui et de son côté, sa curiosité n’a rien à perdre. “Ou un mec, je m’en moque. Je travaille pas pour abc.” Elle s’en moque, qu’il ait couché avec deux ou deux cent filles aussi ; tant qu’elle le sait en avance et qu’il ne cherche pas à lui mentir. |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
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RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Lun 19 Sep 2022 - 15:31 | |
| like an ocean takes the dirty sands Midas Sterling & @Charlie Villanelle
« Ça donne l’accès VIP en cure de désintox après, j’espère ? » - « Peut-être. Je te tiendrai au courant. » Si la jeune femme qui se tient face à moi est réellement Lily, elle est bien plus intéressante que dans mes souvenirs. Quand j’avais quinze ans, je n’aurais certainement pas pensé la même chose - la fille de l’amie de ma mère avait quelques années de plus que moi, c’était une adulte, et de sérieux arguments - mais je n’ai pas pour autant souvenir qu’elle ait été audacieuse ou entreprenante. « Il avait déjà beaucoup bu. Mais il compte quand même. » - « Il est riche maintenant, si je suis bien. » Dans cette réalité alternative dans laquelle les employés du bar auraient réellement ouvert les paris concernant ma venue. Je ne suis pas assez imbu de ma personne pour penser qu’il s’agit d’autre chose que d’une blague. « Il aura peut-être de quoi se payer une cure de désintox VIP. Pas que je me sois déjà renseigné sur le prix… » Je ne sais pas pour ma répartie, mais le sourire charmeur que j’esquisse est certainement convaincant, lui. « T’es le genre de star qui a pas le droit de poster la moindre photo Insta sans l’accord de dix-sept personnes avant ? » - « Non, je fais ce que je veux. » Je réponds presque trop vite pour passer pour autre chose qu’un type pressé de remettre l’église au milieu du village en clamant son indépendance. « Mais j’ai le droit de me faire rappeler à l’ordre après. » Une lueur de malice éclaire mon regard, face à la jeune femme - Lily donc ? - que j’espère déjà séparée du type qui l’a mise enceinte - elle n’en a pas l’air, cependant.
« J’ai l’air d’être enceinte ? » « Tu sais de nos jours, on peut plus se fier aux apparences. » « Ou d’avoir presque quarante ans ? » « Tu sais de nos jours… »
Je ne termine pas ma phrase, je la laisse volontairement en suspens puisque je comprends à présent que j’ai fait fausse route et que je n’ai, par conséquent, plus le moindre état d’âme à rentrer dans le jeu de la blonde. Exit l’enfant à naître : la jolie jeune femme se présente comme étant Charlie et ça me suffit, je n’ai guère besoin de plus de détail. « Non, ça c’est vraiment le meilleur qui puisse t’arriver. Et je parle objectivement, bien sûr. » - « Allez, je te mets juste entre une rencontre avec Angus Young et la reformation des Cranberries en 2009. » Je sais flatter les femmes pour leur donner l’impression, le temps d’une soirée, d’être le centre de l’univers. « T’avais quel âge en 2009, pour m’éviter une nouvelle erreur grossière ? » Maintenant que le quiproquo a été levé, j’observe Charlie - et les yeux de Charlie - et je ne lui donne même pas la trentaine.
« Tu devrais te calmer sur les suppositions, Midas. J’ai travaillé ici pendant quelque temps, pour payer mes formations. » - « J’avais presque bon, dans ce cas. » Et elle ne peut pas ajouter ça à la suite de mes déjà trop nombreuses bourdes de la soirée. « T’arrives à coucher avec une nouvelle fille à chaque date ? Ou un mec, je m’en moque. Je travaille pas pour abc. » Elle le cocktail sur le bar, et plutôt que de répondre à sa question, je fronce les sourcils. « T’appelle ça un cocktail, Charlie ? » J’esquisse un sourire amusé et tire du verre deux bonbons caoutchouteux que je grignote nonchalamment. « Je fais le même pour ma nièce. Elle a cinq ans. Je mets pas d’alcool, évidemment. » Et dans le sien, on sent le Rhum, il n’y a pas le moindre doute à ce sujet. « Pourquoi, tu connais des filles qui seraient intéressées ? » J’insiste sur le genre féminin, pas que je me formalise qu’elle me suppose attiré par la gente masculine, mais pour ne laisser aucune place à un quelconque malentendu. Elle est mignonne Charlie, il serait dommage qu’elle se méprenne. « Des filles pas enceinte, et qui ont pas l’air d’avoir quarante ans ? » Je l’observe avec la tête penchée sur le côté et un sourire charmeur sur les lèvres.
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| | | | (#)Mer 21 Sep 2022 - 7:57 | |
| « Il est riche maintenant, si je suis bien. » - “De vingt dollars. Il ira pas trop loin.” Elle relativise la richesse de l’homme en question mais, surtout, elle relativise se défaite et la somme qu’elle aurait été prête à parier au sujet d’un parfait inconnu dont elle n’a rien à faire - si on le met en italique, ça sonne un peu plus sérieux. « Il aura peut-être de quoi se payer une cure de désintox VIP. Pas que je me sois déjà renseigné sur le prix… » Et si elle ne répond rien à ça, à ce sujet qu’il relance dans un sourire, c’est parce qu’elle est déjà bien trop occupée à lui répondre en retour en étirant ses lèvres, éternellement amusée. Charlie se rend peu à peu compte d’à quel point elle a bien fait de venir lui parler aussitôt après le concert, non seulement pour lui parler, mais aussi et surtout pour que personne ne le fasse avant elle. Ainsi, entre deux remarques et autres sourires, elle se permet de le questionner sans la moindre retenue, éternellement curieuse quant à sa situation et à son métier dont elle ne connaît rien. « Non, je fais ce que je veux. » Elle hoche la tête, esquisse une moue impressionnée, laquelle elle n’a pas à surjouer. “Alors t’es un grand garçon.” Il ne fait pas trop de frasques, surtout, c’est ce que cela signifie. Il sait se tenir, il n’envoie pas de message à des mineurs et, de nos jours, c’est déjà un énorme argument en sa faveur. Argument de quoi, ne le lui faites pas dire. « Mais j’ai le droit de me faire rappeler à l’ordre après. » Charlie laisse (déjà) (à nouveau) éclater un rire. “C’est pas grave, tu restes un grand garçon.” C’est la vie d’adulte que de se faire taper sur les doigts, de toute façon, non ?
Plus les arguments de Midas tentent de lui donner raison quant à la possibilité que Charlie soit enceinte et à l’approche de la quarantaine, plus elle hausse les sourcils, bien plus étonnée par son courage (qu’elle n’osera pas qualifier de stupidité mais ce n’est pas sans le penser) que réellement vexée. « Allez, je te mets juste entre une rencontre avec Angus Young et la reformation des Cranberries en 2009. » - “T’as vraiment rencontré Angus Young ?” Promis, elle cherchera qui est Angus Young dès qu’elle en aura terminé avec cette discussion. En attendant, cela semble important pour lui, alors ça le devient automatiquement pour elle aussi. “T’as posté la photo sur Instagram j’espère ?” Elle note les informations qu’il lui donne, fière comme un paon, souriant ainsi de toutes ses dents. Oh oui, bien sûr qu’elle a noté l’entre-deux, le fait qu’elle se trouve entre deux figures historiques, le fait qu’il se montre aussi intéressé par elle qu’elle l’est par lui. « T’avais quel âge en 2009, pour m’éviter une nouvelle erreur grossière ? » - “Oh, au moins vingt six ans.” Puisqu’elle en a presque quarante aujourd’hui, c’est la réponse qu’il faut donner, n’est-ce pas ? Nul doute qu’elle ne manquera pas de lui rappeler encore et encore cette erreur qui a été la sienne, sans jamais que Charlie ne ressente la moindre forme de pitié, sans jamais qu’elle ne le fasse sans être amusée aussi. “J’ai vingt-six ans. Tout va bien.” Elle n’est pas mineure, surtout, voilà ce qu’elle dit, tout en lui évitant le moindre calcul, sans pour autant relancer la question à son tour: il n’est pas mineur, il n’a pas quarante ans, et au-delà de ça, Charlie n’a pas besoin d’autres détails.
Temporairement affairée de l’autre côté du bar à préparer le cocktail, elle ne manque pas de jouer d’une certaine proximité avec le chanteur dès qu’elle avance les deux verres et surtout ses coudes sur la table, uniquement pour poser son menton sur ses mains et observer ses yeux envoûtants. « T’appelle ça un cocktail, Charlie ? » Non, ça c’est des bonbons ce que tu manges, Midas. « Je fais le même pour ma nièce. Elle a cinq ans. Je mets pas d’alcool, évidemment. » Il est sûrement le genre de tonton à être le préféré, c’est certain, cela se lit sur son visage. Et quand bien même il pourrait être le seul tonton, il resterait le meilleur du monde tout entier dans les yeux d’une gamine à qui il fait des cocktails et donne la moindre once d’attention. “Arrête de te plaindre. Y’a de l’alcool, d’autres trucs à côté, des couleurs, du sucre: c’est un cocktail.” Elle mime l’agacement, roule des yeux, souffle. En réalité, elle se moque bien de ce qu’il peut penser de ce verre, bien sûr, mais contredire autrui est un passe-temps qu’elle aime un peu trop pour laisser couler.
« Pourquoi, tu connais des filles qui seraient intéressées ? » “Peut-être.” « Des filles pas enceinte, et qui ont pas l’air d’avoir quarante ans ? » “Argh. T’en demandes beaucoup, là.”
Il joue de ses charmes, elle esquisse une fausse grimace, comme si vraiment personne dans cette pièce n’en pinçait déjà un minimum pour lui, comme si elle allait devoir se sacrifier pour ne pas que son petit ego se retrouve blessé par une telle réponse. “Après les concerts, t’es pas supposé faire redescendre la pression en buvant un coup avec tes musiciens ?” En temps normal, peut-être que oui, mais il avait sûrement très peu de pression sur les épaules à l’idée de se produire dans un si petit lieu. “Le bar va fermer, ils attendent juste que tout le monde parte.” Elle sait tout, quand bien même elle ne travaille plus ici depuis longtemps. Aller à la pêche aux informations est un talent autant qu’un passe-temps pour elle. “Mais j’ai du rhum chez moi.” Et elle est intéressée, au cas où il résidait encore le moindre doute là dessus, quand bien même elle n’a de cesse de papillonner des yeux en sa présence. |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Jeu 22 Sep 2022 - 18:01 | |
| like an ocean takes the dirty sands Midas Sterling & @Charlie Villanelle
« C’est pas grave, tu restes un grand garçon. » Une gamine me traite comme si j’étais un enfant, mais je n’ai pas le cœur - quoi qu’il n’est peut-être pas question de mon cœur sur l’instant - de le prendre pour moi ou d’être vexé. J’ai toujours eu un faible pour les brunes, mais ses grands yeux bleus rendent toute réprimande difficile, alors je me contente de lui renvoyer un sourire éclatant. « Exactement. Un grand garçon qui joue dans un bar de banlieue pour faire plaisir à sa mère. » Charlie est mignonne et, à partir de là, je peux être le grand garçon dans son esprit si ça l’intéresse plus que la rockstar, ça n’a pas la moindre importance. Malgré tout, ma mention de mes différentes fiertés et souvenirs musicaux n’est pas tout à fait anodine. Je ne suis pas vaniteux, je ne rappelle pas souvent qui je suis et dans quelle cour je joue, mais j’avoue recourir à ce genre d’idiotie face à des yeux de biche qui font briller les miens.« T’as vraiment rencontré Angus Young ? » - « Evidemment. Le plus beau jour de ma vie et de loin. » Aussi loin que je me souvienne, le batteur du groupe australien AC/DC a toujours été l’une de mes idoles. La seule chose qui aurait pu battre cette rencontre au titre de plus belle chose que la célébrité m’ait apportée - j’exclus évidemment Posy de cette liste - c’est une rencontre avec Bowie, s’il n’était pas mort l’année où j’ai percé. « T’as posté la photo sur Instagram j’espère ? » - « Mieux : j’ai pris une photo et il a signé la guitare que j’avais avec moi ce jour-là. » Depuis, elle est accrochée au mur de mon studio et n’en a jamais bougé. Et même si elle demandait gentiment, il y a des limites aux choses que je suis capable de faire pour séduire une femme : mon studio est hors d’atteinte, la seule exception à cette règle concerne les gens en qui j’ai une confiance sans limite.
« Oh, au moins vingt six ans. » Je fronce les sourcils, surpris qu’elle tourne autour du pot et exagère son âge. L’idée qu’elle soit mineure me traverse l’esprit mais je la repousse au profit de la certitude qu’elle ne ressemble pas à une gamine. « J’ai vingt-six ans. Tout va bien. » - « Tu me rassures. » Il vaut mieux se méfier de nos jours, une couche épaisse de maquillage peut camoufler des traits enfantins. Mais tout va bien : Charlie est à peine plus jeune que moi.
« Arrête de te plaindre. Y’a de l’alcool, d’autres trucs à côté, des couleurs, du sucre: c’est un cocktail. » - « Tu me demandes pas ma carte d’identité avant de me servir de l’alcool ? » Tout le monde connaît mon âge ou en tout cas, est capable d’en donner une approximation. Si je gaspille ma salive en bêtises inutiles, c’est uniquement parce que j’espère qu’elle continuera de sourire et de rire : ça fait briller ses yeux et les miens, par la même occasion. « J’arrête de me plaindre. Y’a de l’alcool, des couleurs, du sucre, et c’est servi par une fille charmante. » C’est peut-être cliché, mais généralement efficace. Jusque là, je n’ai jamais rencontré de fille qui ne soit pas sensible à la flatterie ou, en tout cas, qui ne rougisse pas un minimum lorsqu’on lui fait ce genre de compliment. La vérité, c’est qu’avoir accès à de chères et belles choses ne m’a pas rendu difficile et exigeant pour autant. Je n’ai rien d’une diva. « Si un journaliste ou un paparazzi te pose des questions, tu pourras dire que je suis une star qui a les pieds sur terre. Ça fait toujours une bonne pub. » Je lui adresse un clin d'œil, avant de siroter le cocktail de la blonde sans oser me plaindre du goût trop sucré pour moi.
« Peut-être. » - « Argh. T’en demandes beaucoup, là. » Charlie entre dans mon jeu sans s’encombrer de la moindre subtilité et je ne me prive pas de l’imiter. Je ne me fais que rarement désirer, de toute façon. La vérité, c’est que je ne suis pas un tombeur, mais qu’il est facile de me faire briller les yeux. Sauf que, depuis Marley, mon intérêt est tout aussi éphémère que je ne suis facile à captiver. Je n’ai rien d’un briseur de cœur : je n’ai jamais promis la lune à qui que ce soit. Séduire est juste grisant, je suppose. « Après les concerts, t’es pas supposé faire redescendre la pression en buvant un coup avec tes musiciens ? » - « Tu m’effraies avec ta connaissance pointue du milieu. » Il n’en est rien : elle se contente d’évoquer toutes les banalités qu’on voit au cinéma, dans chaque film dépeignant le quotidien des stars de la musique. « Me dis pas que t’es une coureuse de célébrités, ou quelque chose du genre. » J’en ai connu, des pseudos influenceuses ou aspirantes actrices qui écûment les bar huppé à la recherche d’un gros poisson à attraper dans leur filet, dans l’espoir d’attirer un peu de lumière sur elles. Elles n’avaient rien à voir avec Charlie qui paraît aussi authentique que joueuse. L’accusation que je porte n’a rien de sérieux, je la taquine comme je le fais depuis le début de la conversation. « Le bar va fermer, ils attendent juste que tout le monde parte. » Je n’ai pas vu Lily pour la saluer avant de partir mais, alors que je suis sous le charme de la jolie Charlie, ça n’a aucune espèce d’importance. Le bar a certainement fait son chiffre d’affaire du mois grâce à ma venue, j’estime que c’est largement suffisant comme courtoisie. « Mais j’ai du rhum chez moi. » - « Tu perds pas ton temps. » Et c’est ”celui qui dit qui est”, puisque depuis tout à l’heure je l’aborde avec mes gros sabots. « T’as organisé une soirée after ou bien ce sera quelque chose de bien plus privé ? » Je n’ai pas envie d’être l’attraction d’une bande de jeunes adultes en manque de sensations. « Je pose la question parce que ça se voit pas, mais je suis plutôt du genre introverti. » C’est vrai, mais c’est surtout une façon peu subtile de lui signaler qu’une soirée intime m’intéresse plus qu’une fête arrosée.
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| | | | (#)Lun 26 Sep 2022 - 10:43 | |
| « Evidemment. Le plus beau jour de ma vie et de loin. J’ai pris une photo et il a signé la guitare que j’avais avec moi ce jour-là. » - “Alors je peux carrément pas rivaliser.” Charlie capitule en levant les paumes en direction du ciel, animée par aucune sorte d’envie guerrière. Face à Angus Young et une guitare signée, il faut bien l’avouer: elle n’est personne. Peu importe à quel point ses yeux papillonnent devant le chanteur. A défaut de pouvoir argumenter davantage autour de ce sujet-là, elle préfère tourner autour du pot lorsqu’il lui demande son âge, sans doute peu assuré quant au fait qu’elle puisse être dans la bonne tranche, le genre qui ne provoque pas de scandale si des photos sortent ou si les bruits courent. Si elle tourne un peu autour du pot, par habitude, par amusement, Charlie ne prend pas le risque de se faire passer pour une mineure plus longtemps et lui précise rapidement son âge ; tout va bien. « Tu me rassures. » Et elle sourit, la blonde, parce que ces quelques mots lui suffisent pour comprendre par un sous-entendu qu’ils ont une certaine vision similaire des choses, de la suite de cette soirée.
« Tu me demandes pas ma carte d’identité avant de me servir de l’alcool ? » - “T’as des choses à confesser Benjamin Button ?” Il est majeur, de façon assez évidente, et elle se doute bien qu’il ne dit cela que pour la faire parler en retour, chose qui fonctionne à merveille, en témoigne l’éternel sourire avec lequel elle lui répond. « J’arrête de me plaindre. Y’a de l’alcool, des couleurs, du sucre, et c’est servi par une fille charmante. » - “Surtout ça, oui.” Une fille charmante qui n’a pas pris le temps, à aucun moment, de cacher les intentions qu’elle nourrit quant à la possible fin de soirée, qu’elle n’a aucun mal à envisager passer en sa compagnie. Après tout, Charlie n’a jamais été du genre à tourner autour du pot ou à cacher ses véritables intentions ; et cela ne semble pas être pour déranger l’homme face à elle non plus. Ses lèvres entourent la paille pour faire descendre le liquide du verre d’un certain niveau: ce n’est pas le cocktail du siècle, c’est un fait, mais elle ne refusera jamais de boire un peu d’alcool.
Mais elle n’est pas une sauvage, Charlie. Elle ne lui demande pas déjà de le rejoindre dans son lit, alors elle préfère encore poser des questions à son propos, surtout alors que, finalement, elle s’intéresse sincèrement aux réponses qu’il pourrait lui apporter. « Tu m’effraies avec ta connaissance pointue du milieu. » Elle surjoue la fierté, repasse une mèche blonde derrière son épaule, joue de sa main. Le tout pour mieux rire d’elle même la seconde suivante et noyer toute parole dans une nouvelle gorgée de son verre. Elle n’y connaît rien, et il le sait tout autant qu’elle. Tant mieux s’il ne va pas boire avec ses musiciens ou Dieu sait qui: il est bien mieux juste là, devant elle. « Me dis pas que t’es une coureuse de célébrités, ou quelque chose du genre. » - “Si c’était le cas, je me serais débrouillée pour attraper Dicaprio avant mes 26 ans, tu me vexes.” Elle fronce faussement les sourcils, passant aisément outre l’idée qu’elle puisse courir après les hommes pour leur popularité, ou Dieu sait quoi encore. Elle s’en moque bien, de qui il est en dehors de ce bar. Ce n’est pas parce qu’il est le chanteur qu’elle s’intéresse à lui, c’est simplement parce qu’il est terriblement mignon et qu’elle ne juge pas utile de nier cette évidence, autant que le fait que ça l’attire.
Elles sont passées là, les quinze minutes de politesse occupées à faire la discussion ? Charlie peut lui dire droit dans les yeux ce à quoi elle s’attend pour la suite, alors, pas vrai ? « Tu perds pas ton temps. » La jeune femme esquisse un sourire en coin, pas ébranlée pour un sou. Après tout, ce sont les faits: elle ne perd pas son temps et elle sait ce qu’elle veut. De là, elle ne comprend pas pourquoi ils devraient faire semblant d’être aveugles. « T’as organisé une soirée after ou bien ce sera quelque chose de bien plus privé ? Je pose la question parce que ça se voit pas, mais je suis plutôt du genre introverti. » La blonde sourit un peu plus encore, doucement amusée par sa répartie. Pour peu, elle pourrait lui proposer une branche de soutien émotionnel ou Dieu sait quoi dans le genre, parce qu’elle ne saurait même pas faire semblant d’être introvertie, pour sa part. “Une soirée after à deux, disons. Ça convient à ton petit cœur introverti ?” Elle se pare d’un nouveau sourire en coin, ses yeux ne se détachant plus des siens. “Y’a même un service de nuit sur place, pour pas rentrer en ayant trop bu.” Quand bien même il ne conduit sûrement pas, toutes les excuses sont bonnes à prendre. “Allez bois ce fichu verre, j’ai envie de rentrer.” Charlie reprend, faussement agacée, alors qu’elle se penche au-dessus du cocktail comme pour jauger ce qu’il lui reste à boire. Elle a envie de rentrer chez elle, oui, mais elle a surtout envie de rentrer chez elle avec lui et elle ne fait même plus semblant de parler d’autre chose, maintenant, occupée à commander un taxi sur son téléphone posé sur le bar. |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Sam 1 Oct 2022 - 11:52 | |
| like an ocean takes the dirty sands Midas Sterling & @Charlie Villanelle
« Alors je peux carrément pas rivaliser. » - « Disons que ça dépend de comment les choses se déroulent ce soir. » Et cela dépend surtout de ce que j’attends de cette rencontre. La demoiselle ne marquera certainement pas autant mon esprit que mon idole de toujours mais, contrairement à lui, elle est jeune, jolie et a tout un tas d’attributs qui m’intéressent bien plus que ceux du chanteur. Cette dernière remarque, je me la fait silencieusement, de peur de passer pour le dernier des beaufs si elle franchissait la barrière de mes lèvres, mais avec un sourire en coin. Le cocktail qu’elle me sert pourrait être à la citrouille que je me forcerais à le finir et cette fois, je ne me fais pas prier pour rendre explicite le pourquoi du comment. Je suis un homme et un homme somme toute plutôt simple : Charlie me fait un rentre dedans éhonté et je ne suis pas indifférent à ses yeux de biche, ses sourires espiègles et ses battement de cils trop nombreux pour ne pas être exagérés. Elle n’a pas froid aux yeux et mon statut de célébrité ne l’impressionne pas au point de perdre la parole, autant de bon points pour la demoiselle.
« Si c’était le cas, je me serais débrouillée pour attraper Dicaprio avant mes 26 ans, tu me vexes. » J’éclate d’un rire sincère : la blonde est rafraîchissante. Au fond, j’avoue me moquer qu’elle soit venue me parler pour attirer sur elle un peu de ma lumière. Je suis habitué aux relations intéressées, ma fille est née de l’une d’entre elles. Marley m’a plu dès que j’ai posé les yeux sur elle et si la réciproque est sans doute vraie, je doute que ce soit pour les bonnes raisons. « T’es bien trop mature pour Dicaprio. » Mais pas pour moi : j’ai toujours été attiré par les femmes de caractères et qui savent ce qu’elles veulent. Les jeunes premières naïves qui font étalage de leur innocence ne m’intéressent pas. « Une soirée after à deux, disons. Ça convient à ton petit cœur introverti ? » Je porte le verre à mes lèvres, un sourire d’homme heureux sur les lèvres. Je serais bien incapable de lui mentir de toute façon : mes yeux bleus brillent trop pour ne pas me trahir. « C’est pas mal. La grande fille que tu es a son propre appartement ? » Nous avons à présent établi qu’elle n’est pas mineure, mais je ne peux pas m'empêcher de la chercher. « Y’a même un service de nuit sur place, pour pas rentrer en ayant trop bu. » - « T’as pensé à tout. Tu m’évites de passer un interrogatoire, si ma sœur voit que je rentre en pleine nuit. » Olive est bien trop discrète pour me jeter un regard noir ou faire la moindre réflexion, mais sa curiosité ne connaît aucune limite et elle n’a pas peur de m’interroger jusqu’à ce que je finisse par craquer. « Je vais te suivre. Mais juste pour les cocktails maison, évidemment. Je suis quelqu’un de respectable. » Je pose une main sur mon cœur simplement pour lui prouver que je suis un homme sérieux et d’honneur. Du reste, nous savons tous les deux que ce ne sont pas les bonbons en caoutchouc qu’elle met dans ses verres qui m’intéressent. « Allez bois ce fichu verre, j’ai envie de rentrer. » J’esquisse un sourire, avant de boire le plus lentement possible une gorgée de mon verre. « Faut savourer les bonnes choses Charlie. » Son prénom, dans ma bouche, a quelque chose de piquant mais pas désagréable. J’aime les jeux de séduction. D’ici quelques heures - ou moins, vu l’empressement dont elle fait preuve - elle s’offrira à moi et demain matin au plus tard, la parenthèse sera terminée. Je sais à quel point le temps passe vite. Je jette un coup d'œil rapide autour de moi. « La patronne a pas l’air d’être là. » Mais je suis certain que ma mère se chargera de l’appeler à ma place pour savoir si elle est contente de sa soirée. Et si je ne suis pas prétentieux, je sais toutefois que ma présence dans ce genre d’endroit est exceptionnelle et que c’est moi qui doit être remercié, et pas l’inverse. J’aurais simplement aimé pouvoir me présenter, pas tant par politesse que pour ne pas entendre la matriarche Sterling me rabâcher que ”j’aurais pu prouver que je suis bien élevé en prenant le temps de la saluer.” « Et lui répète pas, mais t’es bien plus intéressante qu’elle. » Je n’ai pas vu Lily Keegan depuis plus de cinq ans et je crois que ni elle ni moi ne nous formaliserons que cinq autres années passent sans la moindre nouvelle. Je n’ai jamais été très doué pour les discussions superficielles et forcées, de toute façon. « Laisse-moi attraper ma guitare, et je te suis. » Le concert que j’ai donné ce soir n’avait rien d’une tournée des stades. Je n’avais avec moi qu’un microphone, son amplificateur et ma guitare et toutes ces choses sont bien vites remises dans leurs étuis respectifs et glissé sur mon épaule. « Je suis venu en voiture. Y’a un parking sécurisé chez toi ? » Je ne porte pas beaucoup de signes de richesse ostentatoires. Mes vêtements viennent des plus grandes marques de luxe, mais sont d’une discrétion qui n’a rien à voir avec les choses tape-à-l’oeil que se payent beaucoup de “nouveaux riches”. Ma voiture en revanche a été la seule folie que je me suis autorisée et, lorsque je désigne d’un geste de la main le cabriolet Mercedes dernier cri à la blonde, je suis autant fier que je suis mal à l’aise. « Si t’as des blagues à faire sur les hommes et leurss voitures, donne tout ce que t’as maintenant. » Je ne m’en formaliserai pas, c’est promis.
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| | | | (#)Mer 5 Oct 2022 - 13:43 | |
| « C’est pas mal. La grande fille que tu es a son propre appartement ? » La grande fille qu’elle est est déjà trop vieille pour Dicaprio, mais cela ne semble pas mettre à l’épreuve son éternelle bonne humeur et le sourire qui ne quitte jamais son visage. “Tout à fait.” Nul besoin de préciser que c’est tonton qui l’a payé dans son entièreté, pas vrai ? Tout le monde se moque bien de ce genre de détails: elle a son appartement, et c’est tout ce qui importe. « T’as pensé à tout. Tu m’évites de passer un interrogatoire, si ma sœur voit que je rentre en pleine nuit. » Charlie a pensé à tout, et surtout à toutes les excuses pour le garder auprès d’elle alors que le déroulé de la soirée se précise au fur et à mesure de leur discussion. Elle ne jouera pas la groupie prête à revendre son caleçon quelques centaines de dollars ; elle veut simplement quelqu’un auprès d’elle, et c’est une demande bien trop pathétique pour qu’elle la formule aussi simplement et frontalement. “T’en auras un seulement pour ne pas avoir passé la nuit dans ton lit.” Il semble vivre avec sa sœur mais elle n’en est pas assez certaine pour parler d’un chez eux, alors la blonde se contente d’aussi peu de précisions que possible. De toute façon, cela ne la concerne pas, et elle n’a aucune idée de ce que c’est que de grandir avec une soeur, ou un frère d’ailleurs.
« Je vais te suivre. Mais juste pour les cocktails maison, évidemment. Je suis quelqu’un de respectable. » “Evidemment.”
Plus que tout, Charlie aime les hommes raisonnables dans son genre, ceux qui sont assez mignons pour qu’elle craque au premier coup d’oeil, ceux qui ont assez de confiance en eux pour permettre ce genre de discussion emplie de sous-entendus et, surtout, ceux qui n’ont pas peur d’aller au bout des choses. Il ne semble pas avoir froid aux yeux tout court, en réalité, assez pour que Charlie n’hésite pas à marquer son désir de rentrer chez elle pour que la véritable soirée puisse débuter, son travail au DBD étant largement terminé: maman sera contente, il le lui a dit. « La patronne a pas l’air d’être là. Et lui répète pas, mais t’es bien plus intéressante qu’elle. » Encore heureux, pas vrai ? Elle n’a absolument rien à voir avec la propriétaire des lieux, et cela lui convient parfaitement ainsi. Ce serait le contraire qu’il l’aurait inquiétée, plutôt. « Laisse-moi attraper ma guitare, et je te suis. » Elle esquisse un sourire. Bien sûr, sa guitare de monsieur je suis un artiste. Elle n’a rien contre, bien sûr, et n’est pas à quelques minutes près. Une guitare, c’est toujours une belle décoration dans son appartement, même si cela lui rappelle un ex ou deux. « Je suis venu en voiture. Y’a un parking sécurisé chez toi ? Si t’as des blagues à faire sur les hommes et leurs voitures, donne tout ce que t’as maintenant. » - “Je suis une grande fille dont l’appartement a été vendu avec une place de parking. Souterrain, avec gardien, et où toutes les voitures coûtent assez cher pour que personne ne veuille prendre la peine de rayer la tienne.” Rassuré ? Elle garde ses remarques pour elle, sans doute parce qu’elle n’en a pas tellement et qu’elle s’en moque bien, au final, de savoir s’il bouge en trottinette ou en voiture hors de prix dont les ponts réduits lui donnent des sueurs froides pour sa carrosserie. “Je retire ce que j’ai dit sur le verre, par contre. Le finis pas.” Parce qu’il est un peu trop dosé pour qu’elle soit certaine que son taux d’alcoolémie reste dans les règles, et elle n’a pas la moindre envie de donner une nouvelle raison à Anwar de lui taper sur les doigts une fois de retour au poste. Une fois, ça lui suffit déjà bien assez. C’est bon maintenant, tout est réglé, on peut y aller ?
***
“J’ai un chien. T’as pas peur des chiens ?” Elle aurait dû le lui préciser un peu plus tôt, c’est vrai, mais disons qu’elle avait l’esprit occupé ailleurs et que même maintenant, dans l’ascenseur les conduisant à son palier, elle trouve à peine le temps de faire autre chose que dévorer Midas des yeux, sans la moindre discrétion par ailleurs. “Et je commence à sept heures trente demain.” Mais il pourra rester autant qu’il le souhaite, là n’est pas le problème en réalité. Elle prévient seulement du réveil matinal qui arrivera inévitablement. Ses talons marquent à peine la cadence sur le carrelage du couloir avant qu’elle ne déverrouille enfin la porte de son appartement, posant son sac à main sur la table à ses côtés. “C’est bon, j’ai fini avec les annonces de dernière minute.” Elle avoue dans un rire, replaçant une mèche derrière son oreille. Promis, elle ne s’apprête pas à lui dire qu’elle est finalement un homme ou toute autre surprise dans le genre. Et comme pour marquer ses propos, enfin, ses lèvres retrouvent celles du chanteur avec une certaine envie et ardeur, Charlie n’ayant certainement pas pour habitude de repousser à plus tard ce genre de geste simple. Lorsque ses lèvres finissent par embrasser sa mâchoire, après quelques secondes, elle se permet encore de murmurer quelques mots, éternellement amusée, n’ayant décidément pas l’air d’être une grande fille. “Je suis malpolie. Je t’ai pas proposé si tu voulais à boire.” Mais sans doute que ce n’est plus vraiment le sujet maintenant qu’elle l’intime à poser ses mains contre ses hanches, elle qui perd un ou deux centimètres en retirant ses chaussures, sans laisser le moindre doute planer quant à ses intentions. |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
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liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Ven 7 Oct 2022 - 17:56 | |
| like an ocean takes the dirty sands Midas Sterling & @Charlie Villanelle
« T’en auras un seulement pour ne pas avoir passé la nuit dans ton lit. » Charlie a son propre appartement et de la suite dans les idées, et ce serait mentir que prétendre que cela me dérange. J’ignore si c’est le propre de chaque représentant de la gente masculine mais, pour des yeux de biche, une silhouette agréable et un sourire entreprenant, je suis capable d’oublier que j’ai un type de femme. Peut-être Charlie ne coche-t-elle pas tous les critères que je recherche pour être gardé en haleine mais ce soir, elle est intéressée, ne rougit pas lorsqu’elle me parle et est terriblement entreprenante en plus d’être terriblement attirante et je n’ai pas besoin de grand chose de plus. Je réfléchis déjà à ce que je dirai à Olive demain matin lorsqu’elle me harcèlera de questions - la bonne réponse serait certainement rien puisque je suis un adulte qui l’héberge gratuitement, mais c’est mal connaître ma soeur - pour justifier mon absence sans avoir à trop en dévoiler sur ma vie privée. « Parce que j’aurais dormi sur ton canapé, après l’after ? » Il va de soi que je n’ai pas l’intention de dormir sur le canapé de qui que ce soit, et mon sourire est bien trop provocateur pour que l’on puisse penser que je suis innocent et naïf à ce point. « Je suis une grande fille dont l’appartement a été vendu avec une place de parking. Souterrain, avec gardien, et où toutes les voitures coûtent assez cher pour que personne ne veuille prendre la peine de rayer la tienne. » Bien. Je n’ai pas grand chose de plus à rajouter et, au risque d’être mal jugé si je montrais trop d’inquiétude pour la seule excentricité que je m’autorise, je choisis de lui faire confiance. De toute façon, les assurances sont faites pour ça. « Je retire ce que j’ai dit sur le verre, par contre. Le finis pas. » Charlie se montre bien plus raisonnable qu’elle n’a l’air de l’être au premier coup d’oeil mais je ne me rebiffe pas : je ne suis pas un gros consommateur de boissons alcoolisées, de toute façon. « Alors c’est toi qui le finit. » Il ne sera pas dit que je cherche à faire boire une jeune femme pour la mettre dans mon lit, mais pour l’instant, j’ai bu la moitié d’un verre et elle rien : elle doit être assoifée, il est évident que c’est pour ça que je pousse le verre à cocktail dans sa direction. Pour ça et parce que « T’as l’air assoiffée. Je me fais du souci pour toi. » Rien de plus.
*** Si je profite de chaque seconde derrière le volant, si je souris et ris aux éclats à chaque fois que la jeune femme ouvre la fenêtre et laisse ses cheveux voler, c’est parce que je n’en ai eu que peu, des instants d’insouciances, ces derniers temps. Ce soir, je n’ai pas la moindre responsabilité, pas le moindre label derrière le dos et pas de pression de Cassie et du reste du monde pour présenter l’avancée de mon travail sur le nouvel album. Je n’ai aucun compte à rendre à Charlie, pas plus que je n’en ai à rendre à la propriétaire du bar pour qui je me produisais de toute façon gratuitement. Dans l’ascenseur, j’appuie mon épaule contre la cloison du fond et je pivote complètement vers la jeune femme, ne cherchant même pas à dissimuler que je n’ai d’yeux que pour elle. « J’ai un chien. T’as pas peur des chiens ? » - « J’ai pas peur des chiens. » J’ai surtout un sourire d’idiot sur les lèvres, alors que je me demande si je la priverai de son t-shirt ou de son jean en premier. « Et je commence à sept heures trente demain. » - « C’est tôt sept heures trente. » Je jette un coup d'œil à l’intérieur de l’appartement, mais je ne suis pas agent immobilier ou futur acquéreur. Je m’y désintéresse rapidement, notant tout de même du coin de l'œil la présence de plusieurs jeux qui me semblent bien trop enfantin pour tenir en haleine la blonde. Est-elle maman ? Jeune tatie ? Fait-elle du baby-sitting pour arrondir ses fins de mois ? Lorsqu’on a soi-même une petite fille, on a l'œil pour ces choses-là. « C’est bon, j’ai fini avec les annonces de dernière minute. » - « Un peu plus et je m’attendais à ce que tu me dises que tu es mariée. » Ce serait cohérent avec les jouets d’enfants, cela dit.
Choisissant de ne pas s’encombrer d’étapes superflues, Charlie fait quelques pas dans ma direction pour sceller ses lèvres aux miennes. Je ne reste pas simple spectateur : jeune homme attentif, amant appliqué, je glisse une main dans son dos et je lui rends son baiser sans me faire prier. Ses lèvres ont un goût de sucre, la faute au cocktail pour enfants qu’elle a préparé. « Je suis malpolie. Je t’ai pas proposé si tu voulais à boire. » Peut-être que j’ai soif. Peut-être que je suis curieux d’en apprendre plus sur elle mais, pour l’instant, tout ça n’a pas la moindre importance ou raison d’exister puisqu’elle guide mes mains jusqu’à ses hanches en me prouvant - si j’en doutais encore - que j’ai son entier consentement pour mettre à exécution toutes les idées qui me passent actuellement par la tête. « Après. » Après je serai d’accord pour boire un verre, répondre à ses questions et me prêter au jeu du small talk si c’est ce qu’elle attend de moi mais, sur l’heure, je ne suis pas fait de marbre et incapable de me refroider les idées. « J’ai les mains froides, je suis désolé. » C’est toujours gênant, ces instants maladroits avec un nouveau partenaire qui ne vous connaît pas et que vous ne connaissez pas. Moi, j’ai toujours préféré les relations suivies, celles où l’on a plus besoin de demander pardon ou s’il te plait, mais j’ai toutefois été vacciné par les complications qu’elles entraînent. Mes mains - froides donc - se glissent sous son t-shirt et remontent sur sa peau en entraînant le tissu avec elle. Je fais passer le vêtement au-dessus de sa tête et le jette dans un coin, avant de déposer un baiser sur le côté de son cou. « Je dois appeler qui pour le prévenir que tu seras en retard demain matin ? » Mes mains glissent sur ses hanches, se posent au creux de ses reins et je l’attire un peu plus contre moi. « Ou même que tu seras absente. Je peux utiliser la carte célébrité, je te promets que ça marche plutôt bien en général. » Je l’embrasse à nouveau, avec plus de fièvre cette fois, et je la guide vers le mur le plus proche jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus recule du tout.
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| | | | (#)Lun 10 Oct 2022 - 10:05 | |
| « Parce que j’aurais dormi sur ton canapé, après l’after ? » - “Quel canapé ?” Elle sous-entend qu’il dormira à même le sol et sans une aucune hospitalité quand il est déjà plutôt évident qu’il passera plutôt la nuit dans un lit, et par là Charlie parle bien sûr du sien. Alors, au contraire, elle prend grand soin de le rassurer quant à la protection de sa voiture pour la nuit, certaine qu’il serait du genre à lui filer entre les doigts pour si peu. Ce qu’elle fait aussi, c’est lui retirer son verre, trop consciente qu’il a sûrement même déjà trop bu. « Alors c’est toi qui le finit. T’as l’air assoiffée. Je me fais du souci pour toi. » Mais ça, cela ne ressemble pas à un problème, de près ou de loin, en témoigne le sourire qu’elle lui tend juste avant de finir le verre sans oser se plaindre.
*** « J’ai pas peur des chiens. » « C’est tôt sept heures trente. » « Un peu plus et je m’attendais à ce que tu me dises que tu es mariée. »
Il commente tout ce qu’elle dit et prend le temps de répondre à ses annonces de dernière minute sans prendre ses jambes à son cou, ce qui est pour Charlie un certain soulagement. Il aurait pu, il en aurait eu le droit, et surtout il en aurait eu une certaine raison. La jeune femme n’est sans doute pas la meilleure menteuse qui soit, mais elle sait omettre les détails qui ne l’arrangent pas. La dernière remarque la fait rire, cependant pas assez pour qu’elle veuille lui répondre avant de l’embrasser. D’abord, elle répond à cette envie omniprésente depuis bien trop longtemps déjà, scellant ses lèvres aux siennes. “On m’a déjà demandé en mariage, t’as eu chaud.” Une mauvaise idée de Trent, comme toujours, et puisqu’il est hors de question de tomber dans le pathos, elle sourit et s’amuse de la situation plutôt que de s’en plaindre. « J’ai les mains froides, je suis désolé. » Bien que prévenue, elle cambre le dos par réflexe lorsqu’il fait remonter ses mains le long de son dos, son t-shirt à leur suite jusqu’à ce qu’il retrouve uniquement le sol. “Elles se réchaufferont.” Elle rassure finalement, accueillant avec un certain plaisir le baiser qu’il dépose contre son cou. « Je dois appeler qui pour le prévenir que tu seras en retard demain matin ? Ou même que tu seras absente. Je peux utiliser la carte célébrité, je te promets que ça marche plutôt bien en général. » Charlie sourit de ses initiatives, de ses baisers, et de sa terrible idée. Désormais, c’est du mur froid contre son dos dont elle pourrait se plaindre, si elle n’était pas plutôt occupée à lui rendre son baiser et à user d’une patience toute relative contre la boucle de sa ceinture. “Tu penses que la carte marchera toujours au moment d’appeler mon binôme au poste de police ?” Elle s’amuse de ce détail qu’elle n’avait jusque-là pas donné sur sa vie: elle est policière. Oh, il peut toujours dire qu’il appellera pour la désigner malade, cela ne change rien au fait qu’elle ne le croirait pas un seul instant. “Peut-être que tu gagneras le droit de revenir boire un verre d’eau.” Plutôt que de vouloir la retenir à ses côtés et lui faire rater le travail. Cette idée semble déjà bien plus attrayante aux yeux de la blonde, qui plus est, surtout maintenant qu’elle a remis les scores au même niveau, Midas s’étant retrouvé torse-nu par une suite de malheureuses coïncidences dont Charlie ne se plaint évidemment pas. “Les miennes ne sont pas froides.” Elle précise sans même en avoir besoin, venant rapidement à bout de sa ceinture, déjà envieuse de la suite des événements.
*** “Jusqu’au dernier moment, j’étais pas certaine que tu serais du genre à aller au bout des choses.” Une serviette nouée autour de sa poitrine, la voilà qui sort à peine de la salle de bain pour retrouver l’encadrement de la porte et poser son regard sur le brun dans son lit. Elle n’a jamais été véritablement assurée qu’il ne soit pas simplement du genre beau parleur, le tout pour se volatiliser sans rien dire, pour néanmoins ensuite dire à ses amis qu’il a parlé à une jolie blonde l’autre soir. “Mais je m’en plains pas. Tu peux revenir boire un verre quand tu veux.” Et même si c’est sans doute le moment où il lui annonce que c’est finalement lui qui est marié dans l’histoire, elle s’en moque bien: les histoires amoureuses des autres, trop peu pour elle. Après avoir trouvé place dans un coin du lit, ses mains posées sous sa tête lourde et plus que jamais fatiguée, elle reprend d’un ton un peu plus sérieux. “Tu peux partir quand tu veux demain. Te presse pas.” Et s’il pouvait ne pas se presser au point de toujours être là quand elle reviendra du travail, bien sûr qu’elle ne s’en plaindrait pas. |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Ven 14 Oct 2022 - 18:38 | |
| like an ocean takes the dirty sands Midas Sterling & @Charlie Villanelle
« On m’a déjà demandé en mariage, t’as eu chaud. » Elle m’embrasse puis se dégage mais, avant qu’elle n’ait le temps de s’éloigner, je glisse mes mains de part et d’autre de son visage pour déclarer, avec un sourire sur les lèvres. « Je peux te promettre que je te demanderai jamais ta main. » Seul l’avenir est capable de prendre des paris avec le destin mais, pourtant, je pense pouvoir m’y engager. Charlie et moi ne nous sommes pas séduits au fil des rendez-vous, découverts petit à petit pour, doucement, tomber amoureux l’un de l’autre. Il n’est question que d’attraction physique et d’adultes passant du bon temps, parce qu’elle est mignonne et que, visiblement, je lui plais également. Elle ne deviendra pas une présence omniprésente dans ma vie et je n’ai pas l’intention de servir de beau-père aux enfants que je devine qu’elle doit avoir, aux jouets qui traînent dans le salon.
Il n’est question que de chaleur humaine, après tout. « Elles se réchaufferont. » Elle frissonne, et j’aimerais pouvoir me dire que ce n’est pas à cause de la température de mes mains, au fond, mais bien parce qu’elles se baladent le long de sa colonne vertébrale en emmenant avec elles le t-shirt de la blonde. Elle les réchauffera. Voilà ce à quoi je pense alors qu’elle se bat contre la ceinture de mon pantalon qui, pourtant, ne demande qu’à glisser le long de mes cuisses : je me sens à l’étroit dans mon propre jean. « Tu penses que la carte marchera toujours au moment d’appeler mon binôme au poste de police ? » La police donc, la jeune femme est pleine de surprise (ce qui, vu le nombre de phrases que nous avons échangées, n’est finalement guère surprenant.) et j’esquisse un sourire amusé. M’étant toujours conduit comme un gentil garçon cela n’a rien d’effrayant ou de repoussant pour, c’est simplement plutôt drôle de m’imaginer composer le 000 pour déclarer qu’à cause de prouesse nocturne, l’un de leur inspecteur ne viendra pas travailler le lendemain. « Je sais pas. Il a une gamine ? Parce que si oui, je peux toujours proposer un autographe. » Le rôle de la star imbue d'elle - même me va trop bien au teint - et au personnage que m’a façonné le label - pour que je résiste à l’envie de l’incarner. « Ou peut-être que ton binôme est une femme. Dans ce cas, je pourrais toujours essayer de lui faire les yeux doux. » Gamin tantôt rebelle - ou feignant de l’être - tantôt discipliné, je m’amuse de la situation tout en m’appliquant soigneusement à effeuiller la jeune femme. Ses vêtements, comme les miens, sont visiblement de trop maintenant. « Peut-être que tu gagneras le droit de revenir boire un verre d’eau. » - « Qui sait. » C’est évidemment pour le droit de revenir boire un verre d’eau que je dépose avec tant d’attention des baisers sur ses épaules, sa nuque et sa poitrine. C’est parce que je suis certain que ce sera bien utile d’avoir une adresse où venir me désaltérer s’il se trouve un jour que je suis assoiffé et en centre ville que je scelle à nouveau nos lèvres dans un baiser bien plus passionné et audacieux que le précédent. « Si tu me promets pas de l’enlever dans les dix prochaines secondes, je me débrouille tout seul. » Je lui indique mon jean d’un geste du menton, toujours aussi espiègle, me moquant d’avoir l’air trop empressé. « Les miennes ne sont pas froides. » Elles ne le sont pas, mais je suis ravi qu’elle les pose un peu partout sur mon corps pour que je puisse parfaitement m’en assurer.
*** « Jusqu’au dernier moment, j’étais pas certaine que tu serais du genre à aller au bout des choses. » Je fronce les sourcils et, toujours nu comme un ver sur son lit alors qu’elle a déjà eu le temps de filer sous la douche et d’en sortir - l'énergie que sont capable de déployer les femmes après le sexe me surprendra toujours, moi je n’ai envie que de rester étendu là - et je l’observe, amusé de voir qu’elle s’enroule dans sa serviette alors que, d’une part j’ai déjà vu tout ce qui se trouve là-dessous et, d’autre, qu’elle n’a vraiment rien à cacher : sa silhouette est plus qu’agréable à regarder. « Pourquoi, j’ai l’air du genre à me dégonfler ? » Sans pudeur et sans chercher à me cacher sous le drap ou enfiler mes sous-vêtements, je croise mes mains derrière ma tête pour observer Charlie. « Ou à collectionner les bisous d’adolescents ? » Toujours un sourcil levé, signe de ma perplexité, j’esquisse néanmoins un sourire. « Mais je m’en plains pas. Tu peux revenir boire un verre quand tu veux. » Je jette un coup d'œil autour de moi, à la recherche de mon jean - non pas pour l’enfiler mais parce qu’il contient mon paquet de cigarettes, avant de me rappeler que nous avons malheureusement oublié nos vêtements au salon. « Tu peux partir quand tu veux demain. Te presse pas. » - « J’ai rien à faire demain. » L’avantage c’est que, hors tournée, je n’ai officiellement que peu d’engagements. « Je risque pas de tomber sur un enfants qui va me regarder comme si j’étais un alien si je sors dans le couloir comme ça ? » Peut-être est-il couché, peut-être est-il chez son père, peut-être qu’il n’existe tout simplement pas mais que Charlie a une passion pour les jeux d’éveil habituellement réservés aux enfants de deux à trois ans. « Je te demande parce que j’irai bien fumer une clope. T’as un balcon ? » Et du vis à vis ? Je ne tiens pas à me retrouver à la une de tous les journaux people demain parce que je serais sorti prendre l’air sur le balcon dans mon plus simple appareil.
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| | | | (#)Ven 14 Oct 2022 - 22:41 | |
| Midas tergiverse au sujet de ce coup de téléphone qu’il ne donnera bien sûr jamais, et en réalité cela amuse assez Charlie pour qu’elle se prenne au jeu et veuille répondre à son tour. « Je sais pas. Il a une gamine ? Parce que si oui, je peux toujours proposer un autographe. » Elle sourit, amusée par son manque d’humilité parfois flagrant, lui qui pourtant ne semble pas être de ceux qui ont la grosse tête et les pieds partout sauf sur Terre. “Oui, mais elle a l’âge où elle préfère les Barbies aux Midas.” Et comme pour prouver que Charlie, elle, préfère très largement les Midas, elle l’embrasse à nouveau tendrement contre les lèvres, sans la moindre retenue. « Ou peut-être que ton binôme est une femme. Dans ce cas, je pourrais toujours essayer de lui faire les yeux doux. » - “Je suis très douée pour jouer la jalousie, je te conseille pas cette idée.” Ses baisers se perdent contre la peau accessible à ses lèvres, enivrée par la simple idée d’avoir obtenu ce qu’elle voulait. Elle ne fera pas de lui sa prochaine relation amoureuse foireuse, c’est promis, et elle jouera tout aussi peu le rôle de l’hystérique qui pense déjà tenir une place dans sa vie parce qu’elle l’a vu tout nu, ça aussi c’est promis. Et finalement, les baisers s’égarent sur des grains de peau autrefois occupés par des vêtements maintenant au sol, ôtant par la même occasion toute envie de négocier quoi que ce soit.
*** De retour dans la chambre, elle sourit face au spectacle d’un Midas n’ayant pas daigné bouger d’un iota, et très peu gêné par sa propre nudité. Elle ne le commente pas, fort peu gênée elle même, et bien plus amusée au contraire par son impudeur. « Pourquoi, j’ai l’air du genre à me dégonfler ? » - “T’as l’air du genre à aimer les compliments.” Ce qui, de la bouche de Charlie, n’a rien d’un reproche. Elle se contente de commenter les choses telles qu’elle les voit, et sur ce sujet-là elle n’a aucun jugement négatif à y ajouter. Il aime plaire, et elle n’a aucun mal à commenter ce qui lui plait en retour ; en somme, l’alchimie parfaite pour qu’il finisse dans son lit. « Ou à collectionner les bisous d’adolescents ? » Confortablement installé au fond du lit et entre les oreillers, c’est lui qui semble tenir l’interrogatoire d’une Charlie pourtant amusée, elle qui n’hésite pas à esquisser un sourire en coin. “T’avais pas l’air de te plaindre des miens, en tout cas.” Puisqu’il semble avoir douté de son âge et de l’aspect légal de cette drague totalement assumée, elle s’intègre sans honte à ce groupe d’adolescentes dont il parle. Elle sait qu’elle n’est pas la seule à convoiter ses grands yeux bleus et sa mâchoire carrée, bien sûr, mais en attendant, c’est uniquement dans son lit à elle qu’il se trouve.
Sans véritable transition, Charlie joue déjà les prolongations et précise qu’il peut partir à l’heure qu’il le désire: elle ne le mettra pas à la porte au moment de s’en aller elle-même de son appartement. Après tout, si elle doit porter plainte contre lui pour un problème ou un autre, elle connaît plutôt bien son nom. « J’ai rien à faire demain. » C’est la réponse qu’elle espérait entendre. « Je risque pas de tomber sur un enfant qui va me regarder comme si j’étais un alien si je sors dans le couloir comme ça ? » La jeune femme accuse une seconde de silence et un regard en sa direction alors qu’elle avait plutôt commencé à marcher vers sa commode. Elle ne fait pas un secret de sa maternité, mais elle ne le crie pas sur tous les toits pour autant, surtout avec des rencontres du genre de celles de Midas. Néanmoins, elle sait aussi que les indices ne manquent pas dans son appartement. “Je vais me vexer si tu me dis que t’as eu le temps d’inspecter les jouets du salon alors que j’étais nue devant toi.” Non, elle ne se vexera pas. Pas à ce sujet, du moins, comme en témoigne un nouveau sourire en coin. Elle n’hésite pas non plus à laisser sa serviette retrouver le sol lorsqu’elle y préfère un simple ensemble de débardeur et de short, ayant laissé derrière elle toute envie de cacher sa nudité. Il la connaît, maintenant. Ce n’est qu’une fois habillée qu’elle reprend son sérieux et répond enfin à sa question. “Ils ne sont pas là. Sans vouloir te vexer à ton tour, je t’aurais pas ramené si ça avait été le cas.” Ou peut-être que si, elle aurait osé, mais elle aurait pris la peine de vérifier qu’ils soient bien endormis avant ça, et la porte de sa chambre verrouillée. Elle n’est pas la mère de l’année, certes, mais elle essaie quand même de ne pas être la pire. « Je te demande parce que j’irai bien fumer une clope. T’as un balcon ? » - “J’ai un balcon mais y’a une taxe de passage.” Elle veut fumer, elle aussi, voilà tout. “Et fais au moins semblant d’enfiler un caleçon, j’ai pas envie de me retrouver avec des plaintes pour atteinte à la pudeur.” Charlie ajoute dans le même élan, mi-sérieuse mi-amusé alors qu’elle lui lance ledit caleçon, en ayant pris le temps de faire un rapide aller-retour dans le salon. “T’es trop parfait sous tous rapports, je suis rassurée que tu fumes.” Cette fois-ci, c’est depuis le salon qu’elle lui parle, comme s’ils étaient un vieux couple alors qu’elle fouille la poche de son pantalon, après lui avoir demandé où était son paquet de cigarettes.
Elle prend la tête de leur petit convoi pour prendre place contre une des chaises sur le balcon, une vue imprenable sur la ville allant avec. Le soleil est couché depuis longtemps, déjà, et elle attend qu’il la rejoigne pour déjà recommencer à parler. “J’ai le droit de te demander ton numéro sans que tu prennes peur ?” Elle n’a rien contre l’idée de le revoir, voilà tout ce qu’elle dit. |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Dim 16 Oct 2022 - 19:58 | |
| like an ocean takes the dirty sands Midas Sterling & @Charlie Villanelle
« T’as l’air du genre à aimer les compliments. » Je lève un sourcil, amusé par la thèse de la blonde. Je ne les recherche pas, pourtant. Je déplore même de ne jamais réellement savoir s’ils sont sincères ou parfaitement feins. « C’est fatiguant les compliments. Sans vouloir te paraître prétentieux, j’entends que ça à longueur de journée mais j’sais très bien que c’est juste pour me brosser dans le sens du poil. » Il y en avait une qui ne s'embarrassait pas de ce genre de détail. Une qui se moquait bien de me froisser ou de m’avoir dans sa poche. Elle n’avait pas besoin de lever le petit doigt pour ça, celà dit : j’ai su que Jo était différente, à part, particulière pour moi le jour où j’ai posé les yeux sur elle. Je crois que, d’une certaine façon, j’ai toujours su que le silence radio entre nous était temporaire, que nous étions voués à reprendre contact et retrouver une forme de relation, quelle qu’elle soit. Comme je sais qu’elle acceptera de venir au studio, je l’ai vu dans ses yeux. « “T’avais pas l’air de te plaindre des miens, en tout cas. » - « Ils n’avaient rien d’adolescent. » La jeune femme n’a de candide que son sourire et ses cheveux blonds. Au delà de ça, c’est un femme, le genre de femme que je soupçonne même capable d’obtenir exactement ce qu’elle veut quand elle le veut. Lorsqu’elle contourne le lit, je me redresse pour attraper son poignet et lui en voler un supplémentaire, de baiser. « Je voulais vérifier. J’étais plus sûr. » Un air d’adolescent sur les lèvres, je m’affaisse à nouveau au milieu des oreillers.
« Je vais me vexer si tu me dis que t’as eu le temps d’inspecter les jouets du salon alors que j’étais nue devant toi. » Je secoue la tête, loin de moi l’idée de vouloir lui laisser penser ça. Je n’ai peut-être rien du petit ami parfait - cette nuit n’est pas vouée à se reproduire dans mon esprit - mais je respecte les femmes, qu’elles soient de parfaites inconnues ou des membres de ma famille. « J’ai l’oeil pour ce genre de truc. C’est tout. » Pour pallier à toute question gênante, j’ajoute. « Ma nièce. » Ma nièce qui commence à avoir bon dos. L’avantage, c’est qu’elle ne pourra pas vérifier et que tout ça lui sortira bien vite de l’esprit. « Ils ne sont pas là. Sans vouloir te vexer à ton tour, je t’aurais pas ramené si ça avait été le cas. » J’esquisse un sourire en coin, avant de hocher la tête. « Je me doute. Plusieurs du coup ? Quel âge ? » Est-ce le genre de question que posent la plupart des hommes, ou bien suis-je en train d’exposer sans le vouloir mon statut de père ? Je me dis que, de toute façon, il y a peu de risque pour qu’elle ne devine l’existence de Posy. Elle ne colle pas au personnage, et je compte bien là-dessus pour qu’elle reste un secret.
« J’ai un balcon mais y’a une taxe de passage. » - « Du genre ? » Si elle veut remettre le couvert, il va me falloir encore une minute ou deux. De cigarette. C’est de cigarette qu’elle parle, Midas. Je lui indique où les trouver avant de me redresser. « Et fais au moins semblant d’enfiler un caleçon, j’ai pas envie de me retrouver avec des plaintes pour atteinte à la pudeur. » - « Oui madame l’inspectrice. Les plaintes, c’est pas toi qui les reçois de toute façon ? » Il n’y a pas de débat de toute façon : si elle estime qu’on peut nous surprendre, alors j’enfilerai mon caleçon sans tenter de négocier : je n’ai pas envie de faire la une des journaux en tenue d’Adam. Cassy me tomberait dessus et j’en entendrai parler pendant des semaines, de mon image. « T’es trop parfait sous tous rapports, je suis rassurée que tu fumes. » - « Si on en croit mes ex, je suis loin d’être parfait. » Je suis distant, peu engagée quand je me donne la peine de rappeler les jeunes femmes avec lesquelles je partage ce genre de nuit. Je prétends que Marley m’a foutu en l’air, mais Marley n’a jamais été mon âme sœur. Ce n’est pas ce que j’ai ressenti avec elle que je recherche chez toutes les autres. Pourtant, Charlie semble être malgré tout prête à ne pas laisser les choses en rester à une seule nuit ou, en tout cas, elle n’est pas contre l’idée de se revoir. « J’ai le droit de te demander ton numéro sans que tu prennes peur ? » Ma cigarette entre les doigts puis les lèvres, je l’observe une minute avec un air amusé sur les lèvres. Je ne réponds qu’après avoir vidé mes poumons de la fumée toxique que j’expire en prenant soin de détourner la tête pour ne pas enfumer la blonde. « T’as le droit. Et je prendrai pas peur. » Mais. « Mais j’espère que tu cherches pas le petit-ami idéal. Parce que je suis pas idéal, et je serai pas ton petit-ami. » Je le dis sans prétention : peut-être sommes-nous sur la même longueur d’onde, la policière et moi. Sauf que maintenant, je préfère vérifier que tout le monde est là pour la même chose et que personne ne se fait d’illusion : ces dernières font mal au cœur. « Je te le donne, à la condition que tu te transformes pas en harpie le jour où je te rappellerai pas. » Elle n’a pas l’air d’être du genre à faire ça, Charlie, mais on est jamais trop prudent.
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| | | | (#)Jeu 20 Oct 2022 - 22:30 | |
| Lorsqu’il profite de la proximité nouvelle de Charlie avec le lit - et lui-même par extension - pour l’embrasser, elle mentirait si elle disait que ce n’est pas ce qu’elle cherchait. L’instant semble volé, le sourire qu’elle esquisse prouve bien son large consentement. « Je voulais vérifier. J’étais plus sûr. » Il ressemble à un adolescent imbu de sa personne, et ça aussi, il faut qu’elle avoue que cela lui plaît. Ainsi, elle joue toujours de leur proximité pour se pencher près de lui, sans l’embrasser mais bien pour murmurer contre son oreille. “Tiens toi bien ou je vais devoir te mettre les menottes.” Oh, quel cliché.
Contre toute attente, la discussion devient un peu plus sérieuse lorsqu’il devine sans mal l’existence d’enfants dans l’appartement et que, en retour, Charlie ne cherche pas à le nier. « J’ai l’oeil pour ce genre de truc. C’est tout. » Elle lève un sourcil étonné, comprenant par la même occasion qu’il est lui-même père. Encore une fois, elle l’imagine bien trop volatile pour que ce soit le cas ; mais après tout, ce n’est que l’hôpital qui se fout de la charité, et cela ne la regarde pas. Il ne lui doit rien, et vice-versa. « Ma nièce. » Elle veut donc y croire, raison pour laquelle elle hoche la tête et passe déjà à la suite, consciente qu’un interrogatoire au sujet de sa nièce serait sans doute malvenu. Après tout, il est nu et elle est à une serviette de l’être aussi. « Je me doute. Plusieurs du coup ? Quel âge ? » - “Deux. Des jumeaux. Trois ans bientôt.” Il est poli mais se moque des détails, de leurs prénoms, de leurs photos. Elle ne lui en veut pas ; ils n’ont jamais été précisés dans l’équation et elle n’a pas besoin d’attirer l’amour et l’attention d’inconnu: Charlie aime bien assez ses enfants par elle-même. De toute façon, il veut fumer et ça tombe bien, elle aussi. “Tu comptes venir chanter à leur anniversaire, aussi ?” Il pourrait chanter le générique de leurs dessins animés préférés, qui sait.
La cigarette récupérée, elle exige simplement qu’il s’habille un minimum avant d’accéder au balcon. Histoire de. « Oui madame l’inspectrice. Les plaintes, c’est pas toi qui les reçois de toute façon ? » La cigarette encore éteinte entre ses lèvres, elle bouge sa tête de droite à gauche, en profitant pour dénouer ses cheveux par dessus son débardeur fraîchement enfilé. “Je m’occupe pas de ces bêtises.” Elle aimerait autant que son nom ne se retrouve pas mêlé de près ou de loin aux affaires qu’elle traite: et lui aussi, il l’aimerait sûrement. Pour l’heure, encore, elle est bien trop occupée à sourire pour lui faire la moindre leçon. Elle n’en a de toute façon pas envie. « Si on en croit mes ex, je suis loin d’être parfait. » - “Depuis quand on prend en compte l’avis des ex ?” Charlie, elle aurait même du mal à se souvenir du prénom de tous ses ex pour les convier à l'interrogatoire, alors à quoi bon.
Une fois sur le balcon, ils peuvent enfin se permettre de s’empoisonner avec joie, la question de Charlie entraînant un long silence qu’elle ne craint pourtant pas, éternellement assurée. « T’as le droit. Et je prendrai pas peur. Mais j’espère que tu cherches pas le petit-ami idéal. Parce que je suis pas idéal, et je serai pas ton petit-ami. » A son tour, elle accuse un long silence, à la seule différence que le sien est ponctué d’un sourire en coin sur son visage, lequel ne se défait pas même lorsqu’elle rapproche la cigarette de ses lèvres. “Je réfléchis dans quelles positions on pourrait coucher ensemble à l’avenir, pas au thème de notre mariage. Tu peux souffler.” Elle en a marre, Charlie, de courir après le Prince Charmant. Il ne sera pas le sien, et la vie semble bien plus simple en partant d’un tel postulat, simple et tranché. Qu’il ne s’en fasse pas: ses enfants ne l’appelleront jamais papa. Et il y a fort à parier qu’ils ne l’appelleront jamais, tout court. « Je te le donne, à la condition que tu te transformes pas en harpie le jour où je te rappellerai pas. » - “Et qui te dit que c’est pas moi qui me lasserai la première, Charming ?” Il a confiance en lui et en réalité elle aime ça ; mais il faut qu’il sache qu’en la question, il fait face à un miroir. |
| | | | | | | | (midas) like an ocean takes the dirty sands |
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