(sergio & lara) I was in the dark room, loud tunes, lookin' to make a vow soon
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
≈ ≈ ≈ {I was in the dark room, loud tunes, lookin' to make a vow soon} crédit/(ssoveia) ✰ w/ @Sergio Gutiérrez
Tu roules des yeux face à Mike et tu laisses tomber le numéro de charme, car cela ne ménera à rien. Cela ne fonctionne pas tout le temps dans la vraie vie, dans un sens, tu as tout à ton avantage et pour réussir ce genre de démarche dans ton club. Oh, comme tu voudrais y être dans ton club justement, mais chaque chose en son temps et dans un claquement de talons, tu fais demi-tour, pour retrouver Sergio et Duran. Qui ont fait sortir Vince du véhicule et tu leur résumes la situation, une expression ennuyée sur le visage. L'affaire ne s'est malheureusement pas résolue d'un simple claquement de doigts et il va potentiellement falloir emprunter l'entrée principale. Définitivement pas une perspective qui t'arrange en fait. Ton métier fonctionne parce que tu sais faire profil bas dans des endroits comme celui-ci, tu as déjà fait des soirées privées dans des hôtels, des yachts, des résidences secondaires... Plus tu peux passer inaperçue, mieux tu te portes et plus gros sont les recettes. "Ce serait tellement plus simple si cet idiot pouvait se réveiller en fait." Tu dis cela en donnant une petite tape sur le front de Vince, mais il n'a aucune réaction à part un léger froncement de sourcils, il est entre la conscience et l'inconscience et il ne vous sera d'aucune utilité en fait. Dans le lobby principal, tu prends une profonde inspiration avant d'ouvrir la marche, te disant que tu peux servir de distraction et qu'on va ignorer Duran et Sergio, et Vince qui se fait entrainer en fait. Si vous pouvez passer pour un groupe de clients qui rentrent juste de soirée, cela ira très bien. Mike est là, dans le lobby, il a repris son poste et il fronce les sourcils en vous voyant, son regard s'attarde sur Vince. "Oh c'est lui... je l'ai déjà vu rentrer bien accompagner, c'est la suite 502, mais ne trainez pas trop dans le lobby hein."On ne comptait pas le faire je te rassure, voilà ce que tu as envie de répondre mais à la place, tu accélères l'allure vers l'ascenseur, et tu es très contente quand les portes s'ouvrent immédiatement. Tu laisses les trois hommes s'y engouffrer d'abord et tu fermes la marche, appuyant sur le bouton du cinquième étage comme si ta vie en dépendait. Tu doutes que Mike risque quoi que ce soit pour les billets que tu lui as donnés, et peut-être même que son supérieur a déjà été contacté. "Quelque chose me dit qu'il va aussi falloir donner quelque chose au réceptionniste pour qu'il nous laisse repartir tranquille." Tu dis cela sans regarder par dessus ton épaule et tu ouvres encore la marche quand les portes s'ouvrent, la suite est facile à trouver et vous y entrer grâce à la carte magnétique. Tu laisses échapper un sifflement appréciateur face à l'agencement du lieu et de l'allure générale de la suite. Luxueuse et fournie, cela a plus des allures d'appartements de riches héritiers qu'autre chose. "... Eh beh... on ne se refuse rien à ce que je vois.... Je veux voir la chambre." Tu dis cela avec un sourire sur le visage et avant que qui que ce soit ne puisse t'arrêter, tu t'y diriges. Ce n'est pas comme si tu pouvais aider Sergio ou Duran, et puis, tu n'as pas envie de les aider en fait, qu'ils utilisent leurs muscles et te laissent satisfaire ta curioisté. Tu ouvres les portes battantes et la chambre est tout aussi impressionnante que le reste, avec une autre télévision et un mini bar et... est-ce un miroir au plafond ? Complètement ridicule. "Yep, la chambre est de la même taille que mon appartement." Tu ne sais pas à qui tu t'adresses en fait mais sans grande surprise, quelques minutes plus tard, Sergio et Duran font leur apparition pour déposer Vince sur le lit et tu lui enlèves rapidement ses chaussures, te disant qu'il sera un peu plus confortable. Avant de te tourner vers la table de chevet, il y a un autre portefeuille là et oui, il est bien rempli, les billets qui s'y trouvent finissent dans ta main, là encore, sans aucune hésitation. "Quoi ? Je prends ma commission, et puis... faut bien payer l'essence, non ?" Que tu lâches en guise d'excuse quand ton regard croise celui de Sergio.
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Friday black out guarantee. Full of cocaine champagne. Enter the sleaze. Passions black tar. Silver spoon on a downer baby. Fly to the moon
Quand bien même c’était la bonne chose à faire, Sergio regrettait un peu plus amèrement à chaque seconde de ne pas juste avoir laissé Vince à son sort dans la ruelle. Dormir sur le pavé froid l’aurait sans doute aidé à décuver plus vite car pour l’heure, il était un poids mort à peine conscient qui ne s’exprimait que par grognements et mouvement d’yeux qui roulent dans leurs orbites. « Au moins on ne pourra pas dire qu’il a passé une mauvaise soirée. » souffla le mexicain avec une exaspération palpable. Cela en faisait au moins un, même si le réveil risquait d’être douloureux. Cela servirait de leçon pour la prochaine fois. Si l’agent devait repasser par le club pour ses affaires, il ferait en sorte d’être présent. Si on lui avait dit un jour qu’il serait ennuyé par avance à l’idée de passer quelques soirées par mois dans un club de strip-tease, il ne l’aurait sans doute pas cru. Il n’avait juste pas le temps pour ces conneries. Au moins l’employé de l’hôtel avait su se montrer utile, dédramatiser un peu cette situation. Vince avait l’air d’être habitué de ce genre de frasques, assez pour que ce retour accompagné ne semble pas trop sortir de l’ordinaire. Le numéro de la chambre leur ferait gagner du temps et des efforts, à tel point que l’homme estimait que ce ne serait pas trop cher payé. La délivrance semblait si proche que Sergio fut le premier à se diriger vers les ascenseurs, accélérer le pas pour vite s’y engouffrer et éviter d’avoir de la compagnie. Sentir la cage métallique s’élever permit enfin d’alléger le profond agacement qui lui tapait sur les nerfs depuis qu’il avait été appelé au club. Même si de toute évidence, cela ne signerait pas la fin des difficultés. « A ce stade, je n’ai rien contre payer pour qu’on me foute la paix. » Dans d’autres circonstances, Sergio n’aurait pas été si conciliant à sortir le portefeuille. Cependant, il n’oubliait pas la désormais présence de substances illicites dans sa voiture. Mieux valait ne pas faire de vagues. Dans les couloirs du cinquième étage, ils n’eurent aucun problème à finalement trouver la suite, découvrir le luxe de l’endroit où Vince s’en était visiblement donné à cœur joie ces derniers jours. Enfin, ils purent déposer le déchet humain sur le lit. C’était la première fois que l’agent mettait les pieds dans les suites de prestige de cet hôtel mais si les lieux étaient en effet impressionnants, il n’avait que faire de la visite. « N’hésite pas à laisser ta carte, il sera sans doute ravi de t’inviter à revenir. » Il leva le regard sur la brune, plus sarcastique qu’il ne l’aurait fallu. Le producteur n’avait pas idée de combien il était chanceux qu’elle ait été là. Attentionnée jusqu’à le ramener chez lui et encore mieux, lui enlever ses chaussures pour qu’il soit plus à l’aise. Une fois la chose faite, Sergio était prêt à juste tourner les talons, mais voir Lara se mettre à toucher à ce qui ne lui appartenait pas le fit se figer. Le portefeuille, sérieusement ? Il fronça les sourcils, jugeant lourdement la scène et les excuses. Comme si la brune n’avait pas déjà été assez payée ce soir. Comme si elle devait payer l’essence de sa poche. « Tu voles ta commission. » rectifia-t-il lentement. Il était partagé, observa Vince qui de toute façon n’aurait aucun souvenir de cette scène. Ferait-il des vagues s’il réalisait qu’une partie de ses billets avaient disparus ? « S’il doit y avoir un problème, ce sera ta responsabilité. » lâcha-t-il finalement. Néanmoins, il ne put nier que ce libre-service sur la table de nuit l’inspira à plonger la main dans la poche de la veste du producteur pour trouver son téléphone. Il se servit de son empreinte pour déverrouiller l’écran et ouvrit son répertoire de contacts. Il ne parierait rien sur leur relation, cela ne voulait pas dire qu’il n’y avait rien à obtenir de cette soirée. Il avait quelques contacts qui pourraient intéresser l’agent, et le mexicain ne se priva pas de noter quelques numéros et adresses. La chose faite, ce fut la galerie de photos qu’il eut l’idée d’ouvrir. Sans surprises, il ne s’était pas privé de documenter quelques bouts de soirée. Des souvenirs qui furent immédiatement supprimés de la pellicule puis de la corbeille. Le respect à la vie privée, ce genre de choses. « Si tu n’as pas d’autres endroits à fouiller, on peut y aller. Tu veux te charger du réceptionniste ? »
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
≈ ≈ ≈ {I was in the dark room, loud tunes, lookin' to make a vow soon} crédit/(ssoveia) ✰ w/ @Sergio Gutiérrez
On pourra t'accuser de bien des choses, d'être un peu trop immature, directe ou caractérielle parfois, mais tu n'as jamais été vénale. Oui, tu as grandi protégée, par ton nom de famille et le compte en banque de tes parents, ce n'est pas pour autant que tu en as abusé ou que cela t'a aidé à te sentir supérieure. Au contraire, tu as toujours su, même plus jeune, qu'il y avait une différence entre les Pearson et le reste du monde et cela n'a fait que se confirmer avec les années, ni plus, ni moins en réalité. Cependant, même si ton métier le voudrait, tu ne fais pas passer le dollar avant tout ; simplement, depuis l'ouverture de Paradise City, depuis que tu as investi une partie de ton propre capital dans tes rêves, tu vois le coût de tout et tu sais que quelques dollars peuvent changer la donne. Aussi, tu renvoies un immense sourire à Sergio, pas du tout dérangé par les mots de l'agent et en ayant bien conscience que dans un sens, il a raison, cela pourrait avoir des répercussions plus que négatives. "Tout de suite les grands mots, Monsieur Gutiérrez... De ce qu'il en sait, il a eu une nuit parfaite, le border ne faisait pas partie du deal, donc oui, je me serre." Un véritable argument, car dans un autre univers, Vince se serait tout simplement contenté d'aller finir sa soirée ailleurs, peut-être avec quelqu'un, peut-être tout seul et il aurait continué les vices ici, dans cette chambre d'hôtel. Mais non, il a décidé que certaines règles ne le concernaient pas vraiment, encore un truc d'hommes ça, ça ne fait aucun doute à tes yeux. "S'il remet les pieds au club, on lui expliquera de nouveau les règles, c'est bête, la soirée se passait bien avant qu'il ne fasse le con." Un léger soupir passe sur tes lèvres alors que Duran vous informe qu'il va tout de même vérifier que personne de la sécurité ne se dirige vers la suite, tu hoches la tête et tu fais rapidement le tour de la chambre, avant de réaliser que oui, c'est le téléphone de Vince dans les mains de Sergio. Et après, il trouve quelque chose à redire de tes méthodes ? Il y a une raison pour laquelle tu ne vois pas l'agent comme un opportuniste zélé, mais bien comme un véritable homme d'affaires et il te le prouve juste là. "Et qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? De jouer à Candy Crush ?" Certainement pas, Sergio prend les informations qui lui sont utiles et tu te penches pour voir ce qu'il fait la seconde suivante, fronçant les sourcils en voyant la galerie de photos. Des photos de toi... Et si tu as tout d'un fantasme vivant sur ces clichés-là, tu n'avais même pas réalisé que Vince les prenait. Il n'y a pas vraiment de règles contre cela au club, ça fait juste partie des non-dits et si vous avez de la sécurité en place et des caméras aux entrées et sorties principales, décidément pas dans les salles privées, de ton expérience, ça fait fuir la clientèle. Il faudrait sans doute que tu en parles à Itziar de ça. "Merci." Le mot est sincère et tu hoches la tête alors que Sergio remet le téléphone à sa place et que vos regards se croisent. Tu te demandes intérieurement combien de personnes ont ce genre de photos de toi et le nombre est très certainement élevé, tu n'y penses pas, tu n'y penses jamais, car personne ne te force à monter sur la scène ou faire ce que tu fais. Ce mode de vie que tu as adopté, c'est ton choix, alors pourquoi y songer ? Sûrement, car peu de personnes réalisent que tu es aussi vulnérable quand tu le fais, que n'importe quel danseur l'est en fait et tout le monde se concentre sur ce qu'il y a de plus superficiel... Tu ranges toutes ces pensées bien loin, très loin quand Sergio s'adresse de nouveau à toi, car ce n'est ni le lieu ni le moment pour tout ça en réalité et tu hoches la tête. "Partons, ça sera réglé avec quelques billets, mais on a assez traîné ici je pense." Tu hoches de nouveau la tête, tu as un petit signe de la main pour Vince qui ne le verra pas et tu ouvres la marche vers la porte de la chambre. Pas un désastre complet, au moins, cette soirée t'aura prouvé que tu peux compter sur Sergio et ça, ce n'est pas quelque chose de négligeable à tes yeux.