| (mine #3) the edge of glory |
| ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Mar 20 Sep 2022 - 10:22 | |
| the edge of glory Midas Sterling & @Jo Carter - 2016
Demain, ma vie va changer.
J’ignore si c’est le stress, la suffisance ou une sorte de curiosité malsaine qui m’y a poussé, mais j’ai écumé les plateformes d’hébergement de vidéo pour visionner toutes les finales des années passées. J’ai mis sur pause et remis en arrière pour regarder encore et encore les émotions qui transparaissent sur le visage de chacun des vainqueurs avec toujours la même question : savait-il ? La production en était-elle à son coup d’essai avec moi - potentiellement dans le but de pallier au manque de notoriété et de réussite de leurs produits une fois l’émission terminée - ou bien n’étais-je que le dernier d’une longue liste ? Je n’ai pas trouvé ma réponse dans les images d’archive. Je n’ai réussi à en déduire qu’une seule chose : si l’émission a toujours été truquée, alors chacun jusque-là a toujours été un excellent acteur. Moi-même, je suis persuadé que je vais me vautrer. Que lorsque mon nom sera annoncé, je m’immobiliserai et ne parviendrai pas à articuler le moindre mot. Que je bégayerai et tomberai aux pieds de ma concurrente en la suppliant de me pardonner. J’ai le sentiment que demain sera le jour le plus important de ma carrière, et j’ai peur de ne pas être à la hauteur.
Après le premier prime, j’ai tenté de me raccrocher à l’idée que je l’avais peut-être rêvée, cette discussion avec mon mentor pendant laquelle il m’a révélé la supercherie. J’ai même essayé de me convaincre de salades, espérant que c’était peut-être sa façon de m’aider à gagner en confiance en moi, à me débarrasser de ma nervosité. Mon écran de fumée s’est écroulé comme un château de carte le jour où la production m’a convoqué dans son bureau et m’a fait signer mon contrat, comme si la finale n’était qu’une formalité, comme si demain n’était qu’une farce destinée à duper le reste du monde, et Jo Carter avec lui.
Jo. Je tente de me persuader que partager les gains rattrapera le crime dont je me rends coupable. La production dupe des milliers de spectateurs, mais elle reste la première victime de cette mascarade. Elle est persuadée qu’elle va gagner, je le lis dans son regard à chaque fois qu’elle pense que personne ne l’observe. Pour moi il ne s’agit pas de prétention et d'orgueil : si la compétition se remportait réellement au talent et au mérite, elle serait largement la grande gagnante de tout ça. Oh, bien sûr, j’ai du talent. J’aurais pu avoir mes chances de l’emporter puisque la majorité de l’audimat de X-Factor est féminin et que je suis la coqueluche de ces demoiselles. Mais la vraie star, c’est Jo. Elle n’a même pas l’air d’être tout à fait consciente de tout ce qu’elle dégage de fascinant, séduisant et charismatique. Tout, de sa démarche chaloupée à sa voix au grain envoûtant, fait d’elle quelqu’un de spécial, quelqu’un d’à part.
Moi même, alors que j’ai honte de la trahir, je ne peux m’empêcher de me diriger vers sa loge, comme si je n’étais qu’une marionnette aux fils tirés par une puissance supérieure. Les dernières répétitions -sans costumes de scène - se sont achevées il y a deux heures et nous nous sommes tous les deux enfermés dans nos loges respectives afin de procéder aux essayages. Une fois toutes mes tenues validées, je retrouve naturellement la loge de ma comparse, ma complice d’émission, la seconde moitié du duo qui a tant déchaîné les tabloïds et les foules. Je ne frappe pas mais lorsque j’entre, je garde une main sur mes yeux. « J’espère que t’es visible. » J’entends par là habillée : madame a toujours eu besoin de plus de temps que moi pour sélectionner ses robes et autres tenues bien plus travaillées que tout ce que j’ai pu porter pendant le concours. « Mais j’ai croisé tes deux jeunes stylistes dans le couloir. Elles pleuraient, alors je me dit qu’elles pouvaient sortir que d’ici. » C’est évidemment faux, mais c’est amusant de dépeindre la brune en divan en devenir, en petit tyran de la mode. « Je leur aurais bien proposé d’aller boire un verre pour se changer les idées, mais je tenais à voir comment toi tu allais. » A nouveau, je me cache derrière l’étiquette de dragueur et beau parleur que la production m’a collée sur le front. « Nerveuse ou confiante ? Y’a pas de mauvaise réponse. » Certainement un peu des deux. Même elle ne peut être indifférente à la soirée que nous vivrons demain.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Jeu 22 Sep 2022 - 4:22 | |
| the edge of glory Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
lieu: hors du temps (flashbacks) - Sydney - 2016.
Josephine en avait rêvé de ce moment, et tous les sacrifices qu’elle avait fait en conséquence, ils avaient nettement meilleur goût depuis qu’elle avait mis un pied dans tout ça. Ce n’était qu’un juste retour des choses, une consécration qu’elle savourerait sans prétendre qu’elle ne la méritait pas, même si sur son passage, elle avait rencontré l’éventualité de ne pas être la seule à valoir les éloges qu’on lui faisait constamment. Bien sûr, elle savait qu’il y avait des jeunes gens aussi talentueux qu’elle dans la nature… mais Midas c’était différent. Midas, il avait autant de chances qu’elle de rempoter le trophée demain soir, et ce n’était pas si désagréable que ça, d’avoir un concurrent à sa taille, ce n’était pas non plus si désagréable que ça de partager le haut de l’affiche avec quelqu’un comme lui, qui avait ce charisme-là, cet aura dont elle ne savait quoi vraiment faire quand il était dans les parages, cherchant à compenser la douceur qu’elle n’avait pas, que lui transpirait par tous les pores de sa peau, pour s’attirer la sympathie d’un public qui avait beau l’aduler, qui n’était pas moins dupe sur l’idée qu’elle était arrogante et fière, sans doute trop pour qu’on l’aime vraiment dans le fond, elle qui acceptait qu’on la complimente sans se sentir obligée de dire merci, mais je sais, quoi d’autre ? Ils découvriraient plus tard qui elle était vraiment. The X Factor, ce n’était qu’un passage obligé pour ceux qui n’avaient pas de temps à perdre, et elle en faisait partie, Jo : elle était jeune, tellement jeune, mais elle traînait déjà l’impression d’avoir vécu mille vies, celle dans laquelle elle allait être propulsée bientôt ressemblant à une dernière chance de faire ce pourquoi elle était née à ses conditions, sans qu’on ne soit derrière elle à lui infiltrer dans la tête des conduites à aborder, à vouloir contrôler son image et sa volonté de briller comme elle l’entendait, selon ses propres désirs. Elle était encore assez naïve à cette époque, et c’était bien pour ça qu’elle était là, à se faire manipuler comme une poupée de chiffon qui approuve et qui adhère, alors qu’une fois sur deux, elle avait envie de hurler sur les icônes qu’on aurait voulu qu’elle copie, sur les chemins qu’elle était sensée prendre pour rentrer dans les codes d’une production appâtée par l’audience et le chiffre ; elle avait ressemblé à une pop-star tout du long de la compétition, elle était rentrée dans des tenues courtes à en faire prier les mamans pieuses, des bustiers serrés, la queue de cheval bien vissée sur le haut de son crâne, les yeux soulignés de paillettes et de fards, juchée sur des talons vertigineux. Sa seule volonté pour la finale, c’était d’être un peu moins Ariana, un peu plus Adèle, et la robe noire qu’elle essaya comme ultime tenue du tour du chant qui sonnerait sa victoire, elle la trouvait beaucoup trop belle pour qu’elle ne gagne pas : elle passa ses petites mains sur le velours du décolleté qu’elle trouvait parfait, sur le tombé du joli jupon qui recouvrait ses jambes, et épousait ses hanches. Elle s’admira un moment, sans prétendre qu’elle ne se trouvait pas jolie, sans prétendre non plus que ça en la touchait pas de se voir vêtue ainsi ; c’était gravé dans la roche, gravé dans son coeur aussi. Midas ne lui en voudrait pas, ils en avaient déjà discuté — qu’importe le cas de figure, c’était le destin, non ?
La magie avait duré quelques longues minutes encore, et parce que le lendemain ne serait pas de tout repos, on lui avait fait savoir que c’était l’heure de plier bagage. Elle devait se reposer, alors ses stylistes étaient parties, et elle était restée seule devant son miroir, un vulgaire peignoir sur le dos qu’elle resserra nonchalamment sur sa poitrine quand elle entendit la voix de Midas derrière elle, et qu’elle fronça le nez en l’entendant la faire passer pour la dragonne qu’on disait qu’elle était. Elle pivota sur elle-même sans descendre du piédestal qu’elle s’était faite elle-même en se regardant dans le miroir sur la pointe des pieds, complexée par sa petite taille sans que personne ne puisse le deviner tant elle passait son temps à vouloir se grandir à l’aide à son caractère compliqué. Définitivement, elle laissa le miroir à pied derrière elle, et serpenta de la tête pour lui répondre sur le ton de l’évidence même, imbécile de Midas "Elles pleuraient parce que je vais atrocement manquer à leur vie. Ç'a été le pic de leur carrière de devoir s’occuper de moi tu sais." Modeste, elle ne l’était pas, mais là c’était de l’humour, et rien d’autre "Cache ta jalousie, Sterling. Ça te rend hideux." Ses fans inconditionnelles, et il en avait déjà un paquet le bougre, ne seraient pas d’accords avec elle, et à dire vrai, elle-même n’était pas tellement sûre que son faux mépris prenne, seulement elle fit tout comme, se laissant tomber dans le canapé de sa loge dans une démonstration élégante de la drama queen qu’elle était au moins la moitié du temps, l’autre moitié se découpant en des paradoxes qu’elle n’essayait plus de rendre logiques aux yeux des autres. Tirant sur l’élastique qui retenait ses longs cheveux noirs, elle termina de détruire l’essai-coiffure qu’on lui avait fait pour le lendemain en piochant du bout des doigts les épingles qui lui triturait le crâne, méditant un instant sur la question de Midas qu’elle invita, d’un coup d’oeil, à s’asseoir à côté d’elle ; le regard qu’elle posa sur lui, il était aussi malicieux qu’il était sérieux, et tandis que ses mèches ondulées encadraient de nouveau son visage de toute leur longueur, elle lui répondit presque tout bas "Est-ce que j’ai l’air nerveuse ?" Il savait lire en elle, Midas, alors il en tirerait les conclusions les plus justes, celles qu’elle n’avait pas envie de partager avec lui parce qu’il restait sa Némesis — et elle eut un léger rire en pensant à ce statut qu’on lui donnait, aux rumeurs qui courraient, et à la certitude qu’elle avait qu’elle ne pourrait jamais le considérer autrement que comme un allié, à qui elle finit par demander, soulagée de la pression des épingles à cheveux sur son crâne, sa main fourrant dans son cuir chevelu quand, de côté, elle s’accouda au dossier du canapé pour lui demander, les yeux plissés "Nerveux ou confiant ? Y a pas de mauvaise réponse." Mais elle n’attendit pas qu’il lui réponde, penchant la tête pour mieux observer son visage, et ajouter dans la foulée "T’as l’air un peu soucieux." Forcément, elle n’avait pas envie que cet ultime dialogue entre eux, du moins entre ces murs, tourne au conciliabule émotionnel, quand bien même elle sentait sa poitrine se rétracter sous son peignoir à l’idée que c’était bientôt terminé ; sauf que ce n’était pas assez douloureux pour qu’elle mette son effronterie de côté, et que dans un battement de cils dont elle seule avait le secret, elle ajoute "Je vais tellement te manquer à toi aussi. Tu t’y prépares ?" i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
Dernière édition par Jo Carter le Mer 2 Oct 2024 - 15:07, édité 1 fois |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Jeu 22 Sep 2022 - 13:00 | |
| the edge of glory Midas Sterling & @Jo Carter - 2016
Même enveloppée dans un simple peignoir en soie beige, Jo est magnifique. Elle l’a été dans chaque tenue, même dans ces robes si courtes et affriolantes qu’elle déteste - surtout dans ces robes si courtes et affriolantes qu’elle déteste. Elle l’est qu’elle soit dans des costumes de scène ou dans un jean et un sweat bien trop grand pour elle sur le dos. Elle l’est maquillée comme un camion volé ou sans le moindre produit sur son minois. J’ai beau rire avec elle de toutes ces rumeurs inventées par la presse à scandale, nous dépeignant déjà comme un couple d'amants complices, c’est déstabilisant. Pas parce qu’il y a une part de vrai là dedans - il ne s’est jamais rien passé entre la brune incendiaire et moi - mais parce que l’idée ne me déplait pas tant que ça. Je suis un homme et je ne suis pas fait de marbre : je ne suis pas insensible à tous ces moments passé avec la séduisante jeune femme. Je me demande si, comme moi, elle est troublée lorsque nous nous retrouvons à quelques centimètres l’un de l’autre, notre micro dans la main, nos souffles qui se mélangent et lorsque son regard est fiché dans le mien alors que l’un de nos duos se termine. Je me demande si elle aussi a pensé à ce que nous deviendrons une fois le concours terminé. Je ne garderai pas contact avec la plupart des candidats, mais Joséphine est à part. Le suis-je à ses yeux ?
« Elles pleuraient parce que je vais atrocement manquer à leur vie. Ç'a été le pic de leur carrière de devoir s’occuper de moi tu sais. » - « C’est marrant. Je les entends pleurer jusque dans ma loge à chaque fois que t’as des essayages. C’est de joie ? » C’est faux, évidemment. La brune n’a pas un caractère facile et, contrairement à moi, elle n’a pas attendu la consécration pour devenir un tantinet diva, mais elle a à des kilomètres de cette image de fille froide et difficilement contrôlable qu’a voulu lui donner la production, de la même façon que je n’ai rien d’un tombeur, d’un bad boy mystérieux au regard de braise. Elle et moi ne sommes que des pions que la production avance en fonction de ses propres objectifs. Elle a été la révélation, la candidate qui a le plus attiré les regards aux auditions, avant qu’ils ne décident de parier sur notre duo. A son contact, mon propre talent s’est révélé, notre complicité a crevé l’écran et il y a fort à parier que, demain, la conclusion de toute cette histoire à la Roméo et Juliette qu’ils ont créé de toutes pièces brisera le cœur de toutes les ménagères du pays. Leur chef d'œuvre. Une ”histoire” qui fera parler les feuilles de choux. « Cache ta jalousie, Sterling. Ça te rend hideux. » - « T’as mal prononcé merveilleux. Ou grandiose, peut-être ? » Je lui adresse un sourire charmeur, avant de refermer la porte derrière moi.
« Est-ce que j’ai l’air nerveuse ? » - « T’as l’air sûre de toi. » Mais elle peut l’être et être nerveuse à la fois. Je connais assez la jeune femme pour savoir qu’avec elle, il n’est pas toujours judicieux de se fier à l’image qu’elle renvoie. Les murs qu’elle dresse entre elle et le reste du monde sont aussi hauts qu’ils sont épais : avoir accès à ses états d’âmes est une quête digne des plus grands films d’aventure. « Nerveux ou confiant ? Y a pas de mauvaise réponse. » J’esquisse un sourire alors qu’elle me retourne ma question, mot pour mot. « T’as l’air un peu soucieux. » - « La vie de l’un de nous deux va radicalement changer demain soir. Y’a de quoi être soucieux. » A vrai dire, je ne suis pas nerveux à cause du stress de la finale : j’en connais le résultat. En revanche, j’ai la boule au ventre à force de me demander comment ma victoire sera perçue et de me demander si j’arriverai à supporter le poids du mensonge et des secrets. « J’ai donné le meilleur de moi pendant tout le concours. Le reste, c’est plus entre mes mains. » Je crois que, même sans connaître l’issue du concours, j’aurais tenu le même genre de discours. Être l’enfant du milieu, c’est apprendre à banaliser ce qu’on ressent, à faire en sorte de s’effacer au profit des inquiétudes et diverses émotions du reste de la fratrie. « Je vais tellement te manquer à toi aussi. Tu t’y prépares ? » Bien sûr. Une part de moi sait que rien ne changera. L’autre sait que c’est faux. « Pourquoi, t’as prévu de me rayer de ta liste de contacts une fois que j’aurais gagné ? » C’est un jeu entre nous, de prétendre que la victoire nous est assurée et que l’autre ne fait office que de figurant. Sauf que pour moi, c’est une triste vérité. « Moi pas. Le monde est pas prêt pour notre single en collab. » Je le rêve, ce featuring. Je me dis que ma victoire ne changera rien : Jo est faite pour devenir une superstar. Elle aura le droit aux mêmes opportunités que moi, tout le monde se moque bien de la machine X-Factor.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Ven 23 Sep 2022 - 6:11 | |
| the edge of glory Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
Elle éclata du genre de rire qu’on lâche quand on est fier de soi, mais que c’est un peu trop honteux de l’avouer de vive voix "Je suis pas si terrible que ça, c’est bon." Elle cessa de rire d’un coup, penchant très subtilement la tête sur le côté pour rependre, beaucoup plus sérieusement "Ou peut-être que si." Qu’est-ce ça pouvait bien lui foutre, elle n’avait aucune espèce de remord à l’idée de se comporter comme elle le faisait, alors elle haussa les épaules pour balayer le fait qu’elle n’était qu’une sale petite diva qui se prendrait un revers de médaille dans la gueule dans peu de temps, et ce sans l’avoir vu arriver. Si elle avait été plus modeste, sans doute que les choses auraient été bien différentes, et qu’elle se serait fait bouffer toute crue par la machine qui l’avait accueillie en son sein. Il y avait eu des moments où elle s’était sentit flouée, départie de tout ce qui faisait qui elle était, aussi elle n’osait pas imaginer ce que ç’aurait donné si elle n’avait pas eu de personnalité, si elle avait été fade et timide, silencieuse et docile. Même là, comme ça, robuste comme elle était, elle garderait des séquelles de son passage dans le monde du show-business. Si elle avait été quelqu’un de bien, ç’aurait été pire, du coup c’était une chance pour elle d’avoir ce caractère trempé qui la plaçait d’emblée dans la liste de ceux de qui se méfier, et qui par principe, ne se liaient avec personne tant ils étaient compétitifs et sûrs d’eux. Vraiment, Jo ? Elle regarda Midas un instant. Elle s’était plusieurs fois demandée s’il méritait le crédit qu’elle lui accordait, et puis elle avait fini par statuer sur l’idée que c’était comme ça, qu’il n’y pouvait rien autant qu’elle n’y pouvait rien, et que c’était quelque chose qu’il avait en lui, de réussir à la canaliser sans même faire grand-chose au demeurant, juste en étant là et en se comportant comme si elle ne l’impressionnait pas, à lui tenir tête sans chercher à l’écraser au passage, rendant toutes ses tentatives de le faire aussi inutiles qu’elles étaient stupides ; parce qu’au moment où elle l’avait entendu chanter la première fois, elle avait su que, quoi qu’elle tenterait de faire pour s’en défendre, elle ressentait pour lui ce qui ressemblait d’assez près à de l’admiration. C’était en tout cas comme ça qu’elle l’expliquait, préférant ne pas creuser pour ne pas admettre que, dans une autre conjoncture, elle aurait justifié les choses autrement. Ça avait été si facile pour les médias de les dépeindre comme des potentiels amoureux, victimes de leur talent, alors peut-être que l’attention qu’elle lui portait n’était pas aussi subtile qu’elle le croyait, elle qui passait son temps à le gratifier de regards dédaigneux, pour se rendre compte, qu’à l’image, elle donnait l’impression de le couver du regard, et de sacrifier sa crédibilité pour s’émouvoir du talent qu'il démontrait chaque fois. C'était aussi bien facile que difficile de tenir la distance quand on avait Midas en face de soi, et la dualité qu’on lui demandait de respecter, elle n’était pas surjouée comme tout ce qui avait fait d’elle un personnage, plus qu’une vraie personne : dans une aventure comme celle-ci, tout était décuplée, c’était comme ça qu’elle essayait de se déculpabiliser quand elle sentait qu’il y avait quelque chose en elle qui cédait lors de leurs moments privilégiés.
C’en était un ce soir, du genre à compter pour du beurre pour faire la blague, mais auquel elle penserait sans arrêt durant les six prochaines années, elle le sentait sous l’épaisseur toute relative du peignoir qu’elle portait. Rabattant ses jambes sous ses fesses, le coude toujours vissé sur le dossier du canapé, elle le regarda accepter son sort sans chercher à faire de l’humour, ou à tourner les choses en dérision. C’était une chose qu’elle avait appris de lui, Jo : quand ça comptait, ce n’était pas utile de faire dans la dissimulation, et tant pis si ça fait passer pour un con d’admettre qu’on a la trouille, c’était humain. On ne lui avait pas tellement fait entendre que c’était une bonne chose d’être humaine, c’était rafraîchissant de se dire qu’il ne la jugerait pas si elle admettait qu’elle avait peur malgré la certitude qui grouillait dans tout son être qu’elle serait la vainqueur de leur lutte pas si acharnée que ça. La vie de l’un d’entre eux aller radicalement changer dès demain soir, et il avait raison, ça donnait du grain à moudre à l’appréhension qu’elle sentit poindre doucement dans son ventre quand elle lui avoua, l’air de rien "Si c’était pas face à toi que je me retrouverais demain soir, j’aurais pas autant peur que ça." Passant ses doigts dans ses longues mèches, elle détourna rapidement la tête simplement pour opiner à ce qu’il ajouta, et qui mettait en exergue la sagesse qu’il avait, à son contraire ; ils étaient des étoiles, tout était écrit, et ils avaient fait leur maximum. A partir de ce constat-là, il n’y avait pas à avoir peur — ou peut-être que si, parce que Jo n’avait jamais bien vécu le changement, qu’elle évoluait comme elle le faisait parce qu’elle savait ce qu’elle valait, qui elle était, et qu’on lui avait déroulé le tapis rouge sans même qu’elle eut véritablement besoin de faire ses preuves : la scène, c’était sa zone de confort, elle s’y sentait mieux que n’importe où, alors forcément. C’était autre chose qui la taraudait, et le fait qu’elle s’en amuse prouvait qu’elle n’avait finalement pas bien appris les leçons enseignées par Midas "J’ai pas dit ça." qu’elle répondit aussitôt, retournant la tête vers lui pour affronter ses yeux, et faire en sorte de ne pas laisser la part d’elle qui redoutait la séparation de leur chemin s’exposer de trop pour qu’il s’en amuse en retour — elle le prendrait mal "Mais tu l’as dit toi-même, tout va changer." Et elle entendit le ton de sa voix permuter sans qu’elle ne le veuille, ce qui lui fit ajouter différemment, remuant sur le canapé pour désengourdir ses jambes repliées sous elle, mais aussi pour se donner une contenance dont elle n’avait pas besoin d'habitude pour faire sensation "On va plus se voir tous les jours pour commencer, et puis qu’est-ce que tu crois, que je vais avoir le temps de prendre le téléphone pour savoir comment tu vas, alors qu’après ma victoire, tout le monde voudra m’avoir en interview, ou en plateau ?" Elle feignit la lassitude de devoir se plier à un emploi du temps chargé dès que son nom ressortirait des votes du public, roulant des yeux en conséquence, quand elle sentait qu’au fond, c’était une vraie crainte qu’elle exprimait en plaisantant parce qu’elle ne pouvait pas lui dire autrement qu’à elle, il lui manquerait sans doute atrocement — et quand il reprit la parole, et qu’elle posa de nouveau son regard sur lui avec un chouïa de suspicion, elle ne put s’empêcher de lui dire "Arrête tes conneries. Quand on retournera à nos vies, tu penseras plus à moi, comme je penserais plus à toi… et ce sera pas grave, on en aura bien profité, toi et moi." Elle mentait bien, Josephine : bien sûr que ce serait grave. Pour l’heure, c’était même le truc le plus grave, dans toute cette histoire, tellement qu’elle retrouva le silence pendant un temps. Et elle se demanda si c’était le moment où elle lui disait merci : merci d’avoir été là sans me considérer comme une indésirable à éradiquer, merci d’avoir été le meilleur partenaire de scène que j’aurais été incapable de rêver, merci d’avoir été un pilier sur lequel me reposer même quand je donnais pas l’impression d’avoir envie de tout envoyer valser. Elle ne lui dit rien de tout ça évidemment, se contentant de le regarder pour lui dire à la place "J’ai pas tellement peur de perdre ou de gagner tu sais, c’est de me retrouver toute seule après." Mais c’est le jeu, sembla-t-elle dire en haussant les épaules et en détournant les yeux pour les fixer sur la porte close de sa loge, ses lèvres marquant un léger pincement pour estomper le reste de gloss qu’il y avait dessus. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Mer 28 Sep 2022 - 9:10 | |
| the edge of glory Midas Sterling & @Jo Carter - 2016
« Je suis pas si terrible que ça, c’est bon. » Avec l’air le plus innocent que j’ai en stock accroché à mes lèvres, je hausse les épaules. Bien sûr qu’elle ne l’est pas ou, en tout cas, à moi, ce n’est pas ce visage là qu’elle montre - la plupart du temps en tout cas. Jo est intrépide, entière, a la langue aussi acérée qu’elle a en réalité le cœur au bord des lèvres et ne montre qui elle est réellement que lorsqu’elle chante, ou en tout cas à mon sens. Jo n’a pas peur de montrer au monde qui elle est, elle irradie d’une telle envie de le hurler que les quidams comme moi n’ont pas d’autre choix que de la détester pour ça ou de l’admirer. Bien sûr, dans mon cas à moi, c’est la seconde proposition qui est vraie, elle et elle seule. Je n’ai pas détesté la brune, pas même lorsque j’ai compris que c’était elle, la plus menaçante de mes concurrents pas une seule fois. « Ou peut-être que si. » - « Peut-être que ça dépend qui parle. » J’esquisse un sourire amusé et, sans lui demander aucunement la permission, je tire la chaise de sa coiffeuse pour m’installer dessus, les genoux écartés et les mains jointes au milieu.
« Si c’était pas face à toi que je me retrouverais demain soir, j’aurais pas autant peur que ça. » - « C’est presque un compliment ça, fait attention. » J'étire mes bras derrière ma tête avant de joindre mes doigts pour les placer derrière ma nuque et, dans une parfaite nonchalance, je dépose mes pieds sur le petit meuble en bois le plus proche de moi. « J’ai pas dit ça. Mais tu l’as dit toi-même, tout va changer. » - « Fais attention. On dirait presque que t’es en train d’avouer que t’as la trouille. » J’ai beau savoir que je devrais me taire - je me sens dégueulasse lorsque j’aborde le sujet de la finale comme si je ne savais pas déjà que je vais la remporter - je ne peux pas m’empêcher d’être moi, la version la plus authentique de moi en la présence de la jeune femme. Avec elle, j’oublie la pression que j’ai sur les épaules et tant pis si c’est foutrement hypocrite. « On va plus se voir tous les jours pour commencer, et puis qu’est-ce que tu crois, que je vais avoir le temps de prendre le téléphone pour savoir comment tu vas, alors qu’après ma victoire, tout le monde voudra m’avoir en interview, ou en plateau ? » - « Je sais pas ce que je dois le plus mal prendre, l’idée que tu me donnes pas la moindre chance de victoire, ou que tu me ranges dans la même catégorie que tous les autres perdants. » J’esquisse un sourire amusé, provocateur, sans la quitter des yeux. « Arrête tes conneries. Quand on retournera à nos vies, tu penseras plus à moi, comme je penserais plus à toi… et ce sera pas grave, on en aura bien profité, toi et moi. » C’est pas comme ça que j’envisage les choses. Un peu plus grave, je décolle - enfin - mes pieds de sa coiffeuse et je me penche en avant, décroisant mes bras de derrière ma tête. « C’est ce que tu veux ou ce qui te fais peur ? » Parce que de mon côté, je sais déjà pertinement que je serai incapable d’arrêter de penser à elle. Lorsque nous nous sommes rapprochés, je savais déjà qu’en sortant d’ici, nous n’appartiendrions plus au même monde et ça ne change rien à mes yeux.
« J’ai pas tellement peur de perdre ou de gagner tu sais, c’est de me retrouver toute seule après. » Je pousse un soupir et si je me départis de mon sourire, c’est plus pour qu’elle comprenne que je suis sérieux, que pour une fois je ne plaisante pas ou ne joue pas au cancre pour l’amuser. « Si tu veux bien de moi… » J’esquisse un sourire en coin. « Même après que je t’ai mis une raclée. » Mon dieu, j’espère au moins que la production aura la décence de simuler un résultat serré en ma faveur, et pas une victoire écrasante. « Alors je serai là. » Je l’affirme sans ciller, sans le moindre doute, naïf et persuadé que rien ne changera entre nous, que nous aurons au contraire le loisir de découvrir qui nous sommes en dehors de l’émission et quelle est exactement la nature de notre relation. « C’est pas des conneries du genre pep talk pour foutre un sourire sur ton joli visage. » Inutile de nier l’évidence : Joséphine n’est pas du genre fausse modestie. « Nos vies vont changer, ou ce sera le cas pour l’un d’entre nous au moins. Mais je vois pas pourquoi ça. » Puisque je ne sais pas comment nommer notre relation, je me contente de nous désigner tour à tour. « Je vois pas pourquoi ça changerait. Alors tu seras pas toute seule. »
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Jeu 29 Sep 2022 - 6:40 | |
| the edge of glory Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
Peut-être que ça dépendait de qui parlait, en effet. Jo ne dit rien de plus cependant, ne tenant pas à ressentir davantage cette impression troublante que Midas était le seul à voir au-delà de l’image qu’elle renvoyait. Ce n’était pas aussi gênant que ça aurait pu l’être, mais ce n’était pas non plus très agréable à envisager parce que ça lui donnait un avantage, une force qu’elle savait dangereuse sur la durée ; ça le rendait spécial, tellement spécial, et ce n’était pas mal au demeurant, c’était juste assez déroutant pour qu’elle redoute déjà de le voir filer une fois que tout serait terminé. Et elle lui en fit part à sa manière, ce qu’il décida de prendre avec humour, et elle ne pouvait pas le lui reprocher. Tout commençait à peser un peu trop lourd sur son cœur à ce moment-là, et la conversation devenait un peu trop sérieuse pour qu’elle s’y sente confortable ; elle sentait sa poitrine vibrer sous la puissance de pulse de son cœur, et ce n’était pas facile à supporter. Alors elle se leva, faisant pivoter le fauteuil dans lequel Midas s’était installé pour garder son attention sur elle aussi intacte qu’exclusive, et s’appuya contre le bord de sa coiffeuse pour se donner une contenance, les bras croisés sur sa poitrine enveloppée du tissu soyeux du peignoir qu’elle portait sur le dos. Elle lui adressa un regard tête penchée quand elle lui dit, dans un murmure surjoué qui aurait pu traduire l’humour de sa rhétorique, tout en révélant un fond de vérité qui fit danser quelque chose dans son ventre quand elle lui avoua "T’as droit à une catégorie spéciale, Midas. Et si tu me réponds pas que moi aussi, je nierais tout en bloc si jamais tu viens à t’en vanter à qui que ce soit. Personne te croiras de toute façon." Mais évidemment, le dialogue sérieux avait déjà été trop entamé pour qu’il accepte de le mettre de côté, et le soupir qu’elle laissa filer, il était assez las pour qu’elle sente qu’il n’avait pas tort quand il mettait en lumière sa peur de perdre cette place particulière qu’ils avaient chacun pour l’un et pour l’autre ; c’était puéril, alors elle se contenta de lui répondre "C’est ce qui se passera, c’est tout. A ce stade, c’est pas comme si on avait le choix de ce qui se passera ou non après tout ça." Ils avaient toujours été rien d’autre que des pions de toute façon, qu’est-ce qui leur disait qu’après la finale, ils ne le seraient pas toujours ? Ils étaient déjà sous contrat avec la maison de disque partenaire de l’émission : ils avaient vendus leurs âmes à la seconde où ils avaient accepté d’être concurrents, alors finalement, ils n’avaient pas vraiment leur mot à dire sur ce qui déroulerait par la suite, que ça concerne leur relation ou non. Dans un monde idéal, ils réussiraient à garder contact, à faire perdurer ce lien spécial qu’il y avait entre eux, à chercher à mettre des mots sur ce que ça voulait dire, quand bien même ça voulait dire quelque chose ou non ; mais ça n’existait pas, un monde idéal, et si elle pouvait se targuer de savoir qu’elle ne changerait pas après sa victoire, pouvait-elle affirmer que ce serait la même chose pour Midas, si c’était lui le vainqueur ?
Encore une fois, elle haussa les épaules, toujours appuyée contre sa coiffeuse, et son regard se perdant un moment de trop sur le visage de Midas dont elle s’approcha juste pour défaire la tenue parfaite de ses cheveux qu’elle brouilla d’une main, le nez froncé dans un démonstration en direct de la sale gosse qu’elle pouvait être, bien que ce n’était pas méchant "Fais pas de promesse que tu peux pas tenir, Sterling." Encore un peu, laissant traîner ses doigts dans ses cheveux en les frottant de droite à gauche, elle emmêla ses mèches pour en faire une agglomérat de nuances et de noeuds qu’elle abandonna en riant après avoir parlé, la moue boudeuse et les sourcils froncés si fort que ça lui donna un air encore plus contrarié simplement pour brouiller son vrai état d’esprit et ne pas se laisser trop atteindre parce qu’il lui disait. Doucement, elle se détourna pour se regarder dans le miroir, arrangeant du bout de l’auriculaire un gloss qui n’avait pas filé, mais qui était assez qualitatif pour ne pas avoir bougé depuis que Van avait fait ses essais make-up "Joli visage ? Sublime visage. Tu me vexes." Bien sûr, il fallait qu’elle tourne tout à la dérision, craignant qu’il se rende compte que ça la touchait plus que de raison qu’il soit si sûr pour eux d’eux, qu’après tout ça, ils resteraient proches. Sans préavis, assez sûre d’elle pour ne pas avoir à craindre d’en faire trop, elle toupilla sur elle même, posant sur Midas un regard moqueur, mais bien trop doux aussi pour faire croire qu’elle pensait vraiment ce qu’elle ajouta en passant à côté de lui, lui poussant doucement le visage pour se donner un genre, alors qu’elle aurait prête à pleurer sur la fin de leur aventure si elle n’était pas aussi fière, aussi gênée aussi, de s’être faite avoir par leur proximité "Sois pas si sérieux. C’est notre dernière soirée, c’est censé être un moment festif, pas une occasion de plus de broyer du noir parce que tu te rends compte que ce genre de moment entre juste toi et moi va atrocement te manquer." Elle avait déjà avancé assez loin dans la pièce, pourtant elle s’arrêta quand elle fit un élégant tour sur elle-même, et que dans une posture de star de cinéma, les cils papillonnant pendant qu’elle marquait l’attention qu’elle lui adressa, elle fit passer cette provocation-là pour quelque chose d’assez évident pour qu’il n’ait pas besoin confirmer, ce qui lui fit chuchoter dans un sourire espiègle, qui la fit retrouver une attitude normale "Je le savais." Mais toi aussi tu vas atrocement me manquer, aurait-elle pu ajouter dans la foulée en croisant les doigts pour qu’il ne se sente pas obliger de rétorquer. Sauf qu’elle se rendait compte que sa version différait de bout en bout à ce qu’elle l’accusait de couver comme secret : ce n’était pas ces moments entre juste lui et elle qui lui manqueraient, c’était lui, tout simplement. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Ven 30 Sep 2022 - 15:37 | |
| the edge of glory Midas Sterling & @Jo Carter - 2016
« T’as droit à une catégorie spéciale, Midas. Et si tu me réponds pas que moi aussi, je nierais tout en bloc si jamais tu viens à t’en vanter à qui que ce soit. Personne te croiras de toute façon. » J’esquisse un sourire et, espiègle, je retiens ma réponse en otage quelques secondes. Évidemment que la brune appartient à une catégorie spéciale, une catégorie unique et qu’elle a toujours été à part à mes yeux. Sauf qu’elle le sait pertinemment puisque si je ne fais pas l’étalage de mes sentiments, je suis toutefois bien plus transparent qu’elle ne l’est. Sans me départir de mon sourire, je la lâche des yeux pour jouer avec nonchalance avec tout ce qui me tombe sous la main sur sa coiffeuse. Ce n’est que lorsqu’elle fait pivoter mon fauteuil pour regagner mon attention que je lève les yeux au ciel. « J’ai vraiment besoin de le dire ? » Peut-être que oui. Peut-être que les mots, c’est tout ce qui lui restera quand j’aurais gagné et qu’elle sera au plus mal. Peut-être qu’elle pourra s’y raccrocher pour se rappeler que la victoire, la défaite, X-Factor, tout ça n’a que peu d’importance en comparaison de la connexion que nous nous sommes découverte. « T’es pas dans la moindre catégorie. Tu es spéciale. » Et pour le jeune garçon impressionnable que je suis, elle est aussi impressionnante qu’elle est fascinante. Le genre de femme qu’on ne rencontre pas deux fois dans sa vie, j’en suis persuadé, sans savoir si c’est toutefois une bonne ou une mauvaise chose.
« C’est ce qui se passera, c’est tout. A ce stade, c’est pas comme si on avait le choix de ce qui se passera ou non après tout ça. » Je fronce les sourcils. « T’as signé pour être envoyée en camp de travail forcé, toi ? » Je chasse l’idée que si ce n’est pas le cas, j’ai signé pour devenir la propriété du label partenaire de la production. Dégoûté par ce que je venais d’apprendre, je crois que je n’ai même pas lu les petits caractères : j’aurais peut-être mieux fait de m’entourer d’un avocat ou quelque chose du genre, avant d'apposer mon prénom en bas du contrat. « Y’a beaucoup de choses pour lesquelles on aura pas le choix. Mais ça, si. » Cela demandera certainement de l’organisation pour le gagnant - moi - mais j’ai envie de m’y tenir et de lui faire une place dans l'œil du cyclone. Je n’imagine pas sortir d’ici et reprendre ma vie comme si je n’avais jamais croisé sa route. « Puis j’ai pas le choix. Toutes les autres filles vont sembler fades, après toi. » Bien sûr, je m’exprime d’un ton bien trop mielleux et je l’observe avec mon regard de tombeur : elle sait que je suis en train de jouer, de plaisanter et de flirter avec la limite. Se doute-t-elle par contre de combien je suis malgré tout authentique ? « Fais pas de promesse que tu peux pas tenir, Sterling. » - « T’as peur que je te demande de faire la même, c’est ça ? » Je crois que j’aimerai l’entendre. Je crois que j’ai d’autant plus besoin de m’accrocher à la certitude que ma victoire ne sonnera pas la fin de notre complicité que je me sens dégueulasse de la regarder dans les yeux et de lui mentir par omission. « Te tracasse pas. Je te demande juste de pas être si pessimiste. » Pourquoi dresse-t-elle ce tableau ? Parce qu’elle a peur de le voir prendre vie sous ses yeux, et qu’elle préfère au moins y être préparée ?
Ses doigts jouent avec mes cheveux, y sèment une sacrée pagaille et Dieu qu’il est compliqué pour moi de rester de marbre. Jo est un prédateur et je suis sa proie ou, en tout cas, c’est certainement comme ça qu’elle voit les choses. Jamais gênée, jamais mal à l’aise ou timide, la jeune femme s’amuse avec moi. Réalise-t-elle qu’à chaque fois que la pulpe de ses doigts touche mon cuir chevelu, des frissons descendent le long de ma colonne vertébrale ? Se rend-t-elle compte que je suis à présent assis sur le bout de ma chaise, prêt à me lever à chaque moment, et que ce n’est pas le résultat de la colère ou de l’emportement ? Comprend-t-elle que me chercher avec un peignoir pour seul vêtement, ce n’est pas raisonnable. « Joli visage ? Sublime visage. Tu me vexes. » Je me demande si, tout, de sa moue boudeuse à la façon dont elle s’observe dans le miroir pour se remaquiller, est calculé pour m’interpeler ou si elle est simplement taillée comme ça, faite pour rendre fou le genre masculin. « Je sais ce que tu fais. » Elle se cache derrière son assurance et une certaine dose de suffisance pour que personne, pas même moi, ne puisse voir qu’elle est troublée, agitée, certainement un peu nerveuse et triste, aussi. « Fais pas semblant avec moi, ça sert à rien. » J’arrange ce qui est devenu grâce à elle une masse informe de cheveux sans la quitter des yeux pour autant. « Sois pas si sérieux. C’est notre dernière soirée, c’est censé être un moment festif, pas une occasion de plus de broyer du noir parce que tu te rends compte que ce genre de moment entre juste toi et moi va atrocement te manquer. » Ma main passe brièvement devant mes yeux et je pousse un soupir. Bien sûr, elle me manquera. Pas juste d’être sur scène. Pas juste de l’écouter chanter quand elle répète et qu’elle pense être seule. Ces dictons à la con qui disent que, parfois, on a besoin de perdre quelque chose pour en réaliser la valeur, ils ont tort. Je ne l'ai pas encore perdue mais j’ai terriblement peur que ça arrive. « Je le savais. » Un sourire étire mes lèvres et, doucement, je me relève pour m’approcher d’elle et m’appuyer contre le meuble le plus proche d’elle. Sans réfléchir, peut-être à cause des confessions ou bien simplement parce que nous passons le plus clair de notre temps ensemble depuis plusieurs semaines, je passe un bras autour de ses épaules. De mon regard clair, je cherche le sien. « Alors arrête de jouer les insensibles. » J’ignore ce qui, dans son passé, lui a fait croire qu’elle n’avait pas le droit de se montrer vulnérable ou simplement touchée. Mon bras glisse, et ma main se retrouve finalement sagement posée à plat dans son dos. « Tu l’as dis toi-même. On sait pas à quoi ça va ressembler, après-demain. C’est le moment d’être honnêtes l’un avec l’autre, non ? » Troublé, je détache finalement ma main de son dos et je l’accroche à l’arrière de ma nuque. « Moi, si tu veux tout savoir, je crois que j’ai plus peur de gagner que de perdre. » C’est d’autant plus vrai que je sais que je vais l’emporter, mais que je n’ai pas réussi à m’y préparer. Je croise mes bras contre mon torse, et je tourne ma tête dans sa direction pour ficher mon regard dans le sien. « Je suis né à la campagne, j’ai passé toutes mes vacances à la campagne et l’endroit le plus fréquenté où j’ai foutu les pieds, c’est le disquaire du centre ville où je bossais avant l’émission. » Je suis un rêveur, mais mes rêves n’ont jamais été fait de grandeur, de tour du monde et d’opulence. « Et on vend des vinyles. Autant te dire que c’est pas l’endroit le plus fréquenté de Brisbane. » Ca lui plairait pourtant, j’en suis persuadé. « Parfois, je me dis que t’es bien plus faite pour tout ça que moi. » Ce serait anodin comme déclaration, si les dés n’étaient pas pipés. Seulement ils le sont, et ce constat est effrayant autant qu’il est culpabilisant.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Dim 2 Oct 2022 - 5:37 | |
| the edge of glory Midas Sterling & @Jo Carter - 2016
C’était un sentiment mitigé que Jo ressentit quand Midas lui confirma qu’elle aussi, elle était spéciale à ses yeux. Elle le savait déjà, il n’avait pas besoin de le lui dire pour qu’elle se sente digne de son attention, mais quelque part, c’était nécessaire pour elle de l’entendre de vive voix sans faire de détour, sans parler en énigme, sans faire de l’humour. Elle n’en resta pas moins convaincue que c’était normal finalement, qu’ils se réservent ce genre de sentiments l’un pour l’autre, parce que c’était dans la continuité de leur concurrence, que tout étant décuplé au centre de cette machine dans laquelle ils évoluaient ; ils restaient assez humains pour s’être laissés avoir, et pour avoir répondu à la norme qu’on voulait qu’ils suivent pour devenir les stéréotypes qu’on avait voulu qu’ils deviennent. Sauf que c’était beaucoup plus profond que ça, elle pouvait le sentir rien qu’en posant ses yeux sur lui, rien qu’en osant fourrager dans la masse de ses cheveux dont elle sentit la texture vibrer sous ses doigts même quand elle le lâcha, rien que pour lui répondre, fronçant doucement le nez en se tournant vers lui "Non, j’ai pas signé pour être envoyée en camp de travail forcé, mais je sais ce que ça veut dire de travailler sous l’influence de quelqu’un. T’es jamais vraiment libre de faire ce que t’as envie, et tu finis par adhérer à ce qu’on attend de toi parce que c’est plus facile comme ça que de vouloir t’imposer." Elle parlait de son père, et c’était assez personnel pour que très brièvement, elle se sente mal à l’aise, se sentant obligée de balayer tout ça d’un haussement d’épaules et d’un sourire maîtrisé, aussi parfait qu’on lui avait appris à le réaliser, même quand elle n’avait pas envie d’obéir à ce qu’on lui imposait. Peut-être que Midas était naïf, et peut-être qu’elle était cynique : c’était probablement parce qu’ils s’équilibraient que ça fonctionnait aussi bien entre eux finalement. Il était modeste, elle était arrogante ; il était doux, elle était dure ; il était charmeur, elle était captivante — assez pour qu’elle sache qu’il disait vrai quand il lui dit qu’après elle, toutes les autres filles lui paraîtraient fades, ce à quoi elle répondit par un battement de cils qui pouvait tout aussi bien dire dis-moi quelque chose que je ne sais pas, Midas.
Ce sur quoi elle buta, c’était le soupçon qu’il laissa poindra à propos de l’idée qu’elle pourrait avoir peur qu’il lui soutire une promesse. Elle se redressa, Jo, fière et déterminée à lui faire entendre qu’il pouvait avoir l’opinion qu’il voulait d’elle, il avait tort s’il la pensait déloyale "Et toi, t’as peur que si on se promet quelque chose, je serais celle qui viendra te rappeler qu’on a un marché à conclure ? Parce que je suis pas du genre à faire des promesses en l’air, moi." lui fit-elle en se détournant de lui pour vaquer à l’arrangement de son maquillage, toujours aussi parfait ; il était optimiste, elle était pessimiste… une nouvelle entrée à ajouter à la liste de leur différence. Elle aurait pu lui répondre qu’elle était pessimiste pour ne pas être déçue, mais elle n’en fit rien, préférant le quitter un instant pour s’enfoncer plus loin dans la pièce, et se tendre lorsqu’il s’approcha d’elle sans qu’elle ne puisse vraiment bouger, sans qu’elle ne puisse non plus admettre que le bras dont il se servit pour l’entourer par les épaules, tous les deux appuyés contre le meuble derrière eux, représentait le genre de geste qui la troublait assez pour qu’elle se demande, la tête tournée vers lui ; qu’est-ce que ça ferait s’ils rentraient définitivement dans le jeu de la presse et de la production ? Qu’est-ce que ça ferait si elle se penchait assez pour réduire la distance sécuritaire qu’ils respectaient à chaque fois, alimentant les ragots pour faire parler d’eux ? La main de Midas glissa de ses épaules à son dos, et au travers du tissu fin de son peignoir, Jo sentit sa chaleur, sa peau réagissant doucement à ce contact furtif auquel elle ne sembla pas accorder d’importance en extérieur ; mais intérieurement, c’était une autre histoire, et elle sourit à ses paroles qui la cataloguait d’insensible. S’il avait accès à l’intérieur de sa tête à ce moment-là, il comprendrait à quel point elle n’était pas insensible justement, et ça le surprendrait autant que ça le flatterait de comprendre que, si elle le regardait maintenant, comme il le fit en continuant de parler, ce n’était pas parce qu’elle était fascinée par son discours, mais parce qu’elle se disait que c’était peut-être sa dernière chance, qu’elle n’en aurait plus d’autres après. Elle ne fit rien cependant, se laissant embarquer dans cette observation qu’elle fit de lui à cette distance, et l’insultant mentalement d’avoir des cils aussi longs alors que c’était un bonhomme, et que ça ne lui servait à rien d’en avoir d’aussi beaux. Finalement, elle se dégagea de lui l’instant d’après, juste pour se placer face à lui, et se redressa doucement pour calquer sa position sur la sienne quand il croisa les bras, et que la tête penchée, elle lui dit "C’est le moment d’être honnêtes l’un envers l’autre, hm ? Tu me caches un truc ?" qu’elle lui dit dans un léger rire, redevenant bien vite sérieuse l’instant d’après, quand il se lança dans des paroles qui la firent décroiser les bras et faire un pas en avant. Jo se hissa sur la pointe des pieds pour lui prendre le visage à deux mains, et lui dire dans un murmure inutile étant donné leur soudaine proximité "Hey, regarde-moi deux minutes." lui demanda-t-elle pour continuer sur le même ton, faisant valser ses yeux d’un oeil à l’autre du jeune homme quand il lui avoua avoir plus peur de gagner que de perdre "Tu démériteras pas ta victoire si tu gagnes vraiment. Écoute pas ceux qui te diront que tu l’auras volée, ou que tu l’auras obtenue à cause de ta belle gueule, et m’écoute pas quand je te dis que c’est moi la meilleure d’entre nous." Elle eut un petit mouvement de tête, comme si elle sortait un instant de son rôle de coach de carrière pour admettre que, quand même, si c’était elle la meilleure ; mais cette expression, elle disparut bien vite pour redevenir sérieuse, son visage toujours près de celui de Midas qu’elle ne lâcha pas avec ses mains, ses paumes encadrant toujours son visage avec une délicatesse qu’on ne soupçonnerait pas venant d’elle, et pourtant. Les sourcils froncés quand il reprit, elle lui répondit, l’interrompant à la limite "Peut-être que je suis plus faite pour tout ça que toi, mais on s’en fout. Tu vas apprendre, et tu deviendras bon, et personne pourra jamais remettre en cause le fait que t’es doué et que t’es pas arrivé jusqu’ici par chance." D’un léger signe de tête, elle appuya ses propos, et puis elle poursuivit avec encore plus de sérieux, songeant à l’idée que c’était maintenant où jamais de lui dire ce qui la taraudait peut-être un peu dans le fond, et qu’elle avait besoin qu’il sache avant demain soir "Je t’en voudrais pas si tu gagnes." Elle eut un léger sourire, parce que ça la soulageait de le lui dire tout en croyant réellement à ses paroles, tout en imaginant pas une seule seconde qu’elle pourrait le détester pour ça ; pas lui, elle ne pourrait jamais le détester. Le fixant encore quelques secondes seulement, elle lui lâcha le visage finalement, juste pour momentanément glisser ses mains sur sa poitrine à la place, ses doigts pianotant brièvement près de son coeur — elle rompit ce contact-ci pour faire un pas en arrière, et ce pour terminer, descendant de la marche invisible qu’elle s’était crée en se hissant sur la pointe de ses pieds tout en lui assurant, ne s’imaginant pas un instant que dans l’avenir, elle aurait une vision différente de tout ça "Regrette pas d’avoir remporté le trophée si ça arrive. Je m’en remettrais." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Mar 4 Oct 2022 - 12:39 | |
| the edge of glory Midas Sterling & @Jo Carter - 2016
« Non, j’ai pas signé pour être envoyée en camp de travail forcé, mais je sais ce que ça veut dire de travailler sous l’influence de quelqu’un. T’es jamais vraiment libre de faire ce que t’as envie, et tu finis par adhérer à ce qu’on attend de toi parce que c’est plus facile comme ça que de vouloir t’imposer. » Si je n’aime pas la version que dépeint Joséphine c’est peut-être parce que, de nous deux, je suis le seul à savoir que c’est moi qu’elle concernera, moi qui aurait à me plier aux règles de la production puis du label. Elle, elle parle dans le vent. Dans son esprit, tout ça ne doit être qu’une hypothèse. Dans le mien, c’est une vérité, une peur paralysante de ce que le futur a à offrir. La peur de devenir le parfait pantin d’une puissance supérieure qui nous séparera elle et moi, puisque notre petit duo était amusant et rafraichissant dans le cadre de l’émission mais qu’ils attendent à présent autre chose de moi. Plus. Plus que ce que je crois être capable de donner. « Tu le présente comme si le vrai chanceux de nous deux, c’est celui qui perdra demain. » Quand l’autre ne s’appartiendra plus totalement, ou en tout cas c’est l’impression que me donnent ses mots. « Et toi, t’as peur que si on se promet quelque chose, je serais celle qui viendra te rappeler qu’on a un marché à conclure ? Parce que je suis pas du genre à faire des promesses en l’air, moi. » - « Je tiendrai mes promesses Jo, toutes. » Celle d’être là pour elle si elle m’en laisse l’occasion, celle de partager les gains pour qu’elle aussi puisse avoir les moyens financiers de se lancer dans l’aventure de la production d’un album. Je veux y croire. Croire que ma victoire ne changera rien. Et alors que ma main est posée sagement dans son dos, j’arrive à m’en convaincre.
Elle se dégage pour me faire face, et mes mains à moi viennent se poser de part et d’autre de mon corps, pour s'accrocher au meuble contre lequel je suis appuyé. « C’est le moment d’être honnêtes l’un envers l’autre, hm ? Tu me caches un truc ? » Dieu que sa question me déstabilise. Et si une part de moi me hurle de tout lui dire, de dire la vérité, l’autre est lâche, l’autre a peur des conséquences sur notre relation et au regard du contrat que j’ai signé avec la production. Elle met fin à mon combat intérieur quand elle s’approche près de moi - beaucoup trop près - et que ses doigts attrapent mon visage en coupe. « Hey, regarde-moi deux minutes. » Réalise-t-elle l’effet qu’elle me fait ? Elle est troublante, et pas uniquement parce qu’elle est magnifique. Elle est aussi talentueuse, effrontée, audacieuse, et tout un tas d'autres choses que je ne suis pas et qui m’attirent diablement. Oh oui, je la regarde. Je la regarde comme je ne l’ai jamais regardée. « Tu démériteras pas ta victoire si tu gagnes vraiment. Écoute pas ceux qui te diront que tu l’auras volée, ou que tu l’auras obtenue à cause de ta belle gueule, et m’écoute pas quand je te dis que c’est moi la meilleure d’entre nous. » Je laisse échapper un soupir. Je me sens coupable puisque je ne mérite pas sa douceur et sa sollicitude. « Si ça peut te rassurer, ça fait longtemps que j’ai mis ça sur le compte de ton énorme égo. » J’esquisse un sourire ravageur en croisant les doigts pour qu’elle ne réalise pas qu’il est moins large qu’à mon habitude. Elle me déstabilise - quelle idée de se tenir si proche de moi - et j’ai du mal à le cacher. Peut-elle entendre et sentir mon coeur battre un peu plus fort ? « Peut-être que je suis plus faite pour tout ça que toi, mais on s’en fout. Tu vas apprendre, et tu deviendras bon, et personne pourra jamais remettre en cause le fait que t’es doué et que t’es pas arrivé jusqu’ici par chance. » Je suis tenté de tendre le bras pour caresser sa joue, mais je suis paralysé. « Je t’en voudrais pas si tu gagnes. » Sans le savoir, elle me libère d’un poids énorme qui pesait sur ma poitrine et m’étouffait. Je n’ai pas besoin de dire la vérité. J’ai simplement besoin de me raccrocher à cette certitude que ma victoire ne gangrènera pas notre relation et que je pourrais réparer ses conséquences puisqu’elle restera à mes côtés, Jo. Je voudrais lui retourner le discours d’encouragement, tenir les mêmes mots rassurants, mais nous savons tous les deux qu’elle n’en a pas besoin : personne ne doute de son talent et de son mérite.
Ses mains glissent sur mon torse et avant que je n’ai le temps de réagir - les attraper dans les miennes ou l’attirer contre moi ? - elle recule d’un pas. « Regrette pas d’avoir remporté le trophée si ça arrive. Je m’en remettrais. » J’ignore quoi répondre face à tout ça. Je ne suis pas certain d’être assez bon acteur pour continuer à lui mentir en la regardant droit dans les yeux. Alors, pour ne pas avoir à le faire et parce que j’en crève d’envie, j’attrape son poignet d’un geste rapide avant qu’elle soit hors de ma portée. Je la tire contre moi d’un geste affirmé et j’enroule les doigts de ma main libre à l’arrière de sa nuque. Ses lèvres ne peuvent décemment plus me provoquer sans que je réagisse. Sans brusquerie, je l’attire un peu plus près de moi pour déposer ma bouche contre la sienne. Au diable mes nobles résolutions. Malgré tout ce qu’elle dit, demain, tout changera, tout sera peut-être terminé et je ne veux pas me demander jusqu’à la fin de mes jours quel était le goût de ses lèvres. Je franchis la limite que je m’étais imposée. Je l’embrasse avec douceur, mais j’espère la laisser le souffle coupé. Lorsque je sépare nos lèvres, je ne romps pas le contact entre la pulpe de mes doigts et sa peau. Je l’observe, en espérant que je n’ai pas commis d’erreur irréparable. Que je n’ai pas inventé cette alchimie qui m’a poussé à franchir la ligne rouge. « T’en parlera de ça dans tes interviews, après ta victoire ? » C’est peut-être la pire des réparties de l’histoire des réparties post premier baiser. Mais moi qui ne suis pas un grand bavard, le silence m’est d’un seul coup insupportable.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Ven 7 Oct 2022 - 6:12 | |
| the edge of glory Midas Sterling & @Jo Carter - 2016
Si Jo ne parlait qu’en hypothèse, son cynisme légendaire pointant pour ajouter du sel à son discours, c’était pour ne pas partager ses doutes et ses craintes avec Midas. Elle ne présentait pas les choses comme si le vrai chanceux d’eux deux serait celui qui perdrait demain, elle présentait les choses comme si elle avait déjà anticipé la moindre chose qui pourrait lui arriver à la seconde où son nom ressortirait des votes du public. Elle savait ce qu’on disait d’elle, qu’elle était imbue de sa personne et trop sûre d’elle, mais en attendant, ça la prémunissait de penser à l’éventualité qu’elle ne gagnerait pas. Ce n’était pas une alternative viable à ses yeux, elle n’avait même pas de plan B si jamais les choses finissaient par ne pas tourner à son avantage. Mais comment l’avouer à son concurrent direct, comment lui demander de battre en retraite quand, au fond, il méritait autant qu’elle tout ce qui lui arrivait ? C’était bien là la complexité dans ce qui la liait à Midas. Si elle était tombée sur quelqu’un qui n’avait pas son talent, elle n’aurait eu aucun scrupule à fomenter des stratégies pour lui faire mordre la poussière — peut-être qu’elle se serait rapprochée de la production pour faire ce qu’elle faisait de mieux, séduire histoire d’en récolter les lauriers pour s’assurer que son parachute doré lui serait réservé, même en cas de défaite. Seulement, c’était sur Midas qu’elle était tombée, et c’était bien sa veine, d’être aussi sensible que ces gamines pré-pubères qui venaient l’applaudir à chaque prime, à tout ce qu’il dégageait. Néanmoins, elle avait un avantage sur elles toutes, elle pouvait le côtoyer en dehors des plateaux, et c’était quelque chose dont elle ne se gênait pas pour se vanter quand on lui faisait remarquer qu’il y avait un truc, une étincelle qui laissait croire aux plus impressionnables qu’il se passait quelque chose entre eux. Elle laissait planait le doute, c’était le fil rouge de leur rivalité, mais elle ne confirmait jamais par peur qu’on leur vol l’évidence : il se passait quelque chose entre eux, sur lequel elle n’était pas la plus habile pour mettre des mots, et ça lui allait très bien comme ça au demeurant. Elle ne savait pas ce qu’elle était en droit d’attendre de lui sur la durée, et c’était aussi pour ça que ce n’était pas facile de voir au-delà de ce qu’elle avait imaginé pour elle-même en participant à ce télé-crochet. Midas, c’était un imprévu qu’elle aurait été capable d’écraser sans vergogne s’il avait été quelqu’un d’autre, mais c’était lui, et ce n’était pas rien ; qu’il lui assure qu’il tiendrait ses promesses, ça revenait à donner un coup d’épée dans l’eau, parce qu’elle pensait le connaître assez pour savoir qu’il était loyal — mais pas inoffensif, sinon il ne serait pas là, à la porte de la finale, à partager avec elle ses derniers instants dans les locaux de ce qui avait été leur maison durant plusieurs mois. C’était la nostalgie qui s’infiltrait désormais, elle le sentait comme elle le fixait presque sans ciller quand elle prit son visage dans ses mains pour l’encourager. Et c’était encore une preuve qu’il était spécial, Midas, puisqu’elle n’aurait fait ça avec personne d’autre que lui. S’il avait été un autre, elle aurait rappelé à son concurrent ce qu’il risquait à se frotter à elle pendant leur dernier tour de chant, elle essaierait de l’intimider davantage en faisant jouer son charme et son talent sans prétendre qu’elle s’en voudrait de le faire douter sur sa place ; pas avec lui, elle ne s’en sentait pas le courage maintenant, et de nouveau, elle se mit à regretter que dans ce genre de concours, l’ex-aequo ne soit pas une valeur qui leur permettrait de rester sur un sentiment d’équité encore quelques temps.
Elle voulut s’éloigner de lui, au moins pour faire le point sur l’idée que ça la touchait plus qu’elle n’était capable de le lui dire, d’être dans la conjoncture dans laquelle ils se trouvaient. Ça avait été drôle au début, d’être concurrents, mais plus le temps passait, et plus elle se rendait compte que ça mettait en perspective des sentiments, des sensations, qu’elle ne pouvait pas se permettre d’éprouver maintenant. Jo sentait encore la tiédeur de la peau du jeune homme au creux de la paume de ses mains, le chemin qu’il avait tracé dans son dos avec la sienne se rappelant à elle quand elle se détourna le temps d’un instant, pour se sentir virevolter le moment d’après —sans brusquerie, et sans réelle surprise non plus tant c’était là depuis un moment, à grouiller dans l’espace qui les séparait à chaque fois, et qui avec le temps, lui avait donné la sensation de se réduire de plus en plus. Une chose était certaine, rien ni personne ne pouvait forcer Jo Carter à faire ce qu’elle n’avait pas envie de faire, et c’est bien ça qui lui fit réaliser que ce dont elle avait le plus envie dans la seconde, c’était de sentir qu’elle n’avait pas fabulé la tension qui régnait entre elle et Midas ; qu’elle aurait pu supplier s’il n’avait pas prit les devants, ses mains posées à plat sur sa poitrine pendant qu’il avait enroulé ses doigts sur sa nuque, ses lèvres trouvant les siennes à l’instant où elle se grandit doucement pour les atteindre. Et c’était doux, presque innocent, beaucoup plus que ce qu’elle avait été capable d’imaginer, le genre de baiser de cour de récré qui fait sourire pour le reste de la journée et qui fait enfler l’expectative. Elle se sentait se retenir de le rendre moins prude ce baiser tandis qu’elle ne réussissait pas à vraiment savoir si c’était une bonne idée de s’abandonner maintenant — et réfléchir semblait difficile à faire, alors prise de court par la séparation de ses lèvres avec celles de Midas, elle se sentit pencher doucement en avant comme si elle n’en avait pas eu assez, comme si c’était soudain vital pour elle de recevoir de nouveau ce cadeau qu’il lui offrait par anticipation. Elle se redressa, se laissant descendre de sa marche de fortune en gardant les yeux fermés le temps de se rendre compte qu’elle avait retenu sa respiration, qu’elle finit par relâcher en même temps qu’elle ouvrit les yeux quand elle entendit le jeune homme reprendre la parole sans pour autant que ses doigts ne quittent sa peau. C’est elle qui se chargea de ça, juste pour faire emprunter à sa main un chemin différent, ses doigts desserrant lentement l’étreinte des siens sur sa nuque pour mieux la guider le long de sa propre poitrine, sentant son empreinte glisser dans l’entrebâillement de son peignoir, et dérivant sur sa hanche pour terminer sur sa croupe, à quelques centimètres de l’ourlet de son peignoir qui semblait soudain peser une tonne sur ses épaules. Les doigts de Jo comblèrent l’espace entre ceux de Midas quand elle voulut lui faire marquer une pression supplémentaire à cet endroit-là, répondant enfin à sa question par une provocation qui lui fit froncer le nez quand elle brisa enfin le silence lourd qui régnait dans la pièce. "Si seulement tu m’avais donné quelque chose de quoi parler." C’était sa façon malicieuse de lui demander de recommencer plus fort alors que c’était évident, tandis qu’elle avait elle-même tracé la manière dont elle aurait voulu qu’il la touche, qu’elle n’en avait pas eu assez sur l’instant, et qu’un bisou d’adolescents ne chasserait pas ce qui avait toujours flotté entre eux, depuis le premier jour. Elle lui fit un nouveau sourire, ses propres mains marquant un va-et-vient hésitant sur le tissu de ce qu’il portait sur le dos ; et c’est probablement cette hésitation minime qui joua en sa défaveur, puisqu’un coup à la porte anéantit toutes ses velléités de renouveler l’expérience. Dans un élan de panique, elle plaqua une main sur la bouche de Midas, et effleura le dos de cette même main avec sa propre bouche quand, les yeux dans les yeux, elle lui chuchota rapidement "On peut faire comme s’il n’y a personne, elle partira. Je veux pas qu’on me dise que c’est l’heure d’aller dormir, je veux rester avec toi." "Jo. Je sais que t’es là, je vois de la lumière sous la porte." La voix de celle qu’on appelait la nounou des candidats résonna de l’autre côté pendant que Jo garda son regard planté dans celui de Midas avant d’être forcée de battre en retraite quand une menace transperça de l’autre côté de la porte "Si tu me réponds pas dans trois secondes, j’entre quand même." "C’est bon. Putain, pas moyen d’avoir un peu d’intimité, ici." Et elle lâcha Midas dans la foulée, finissant par toupiller sur elle-même pour faire face à une petite blonde potelée. Elle eut d’abord un grand sourire, puis son regard se plissant graduellement, elle le posa sur Jo, ensuite sur Midas, à qui elle fit remarquer comme si c’était la première fois qu’elle le prenait en flag dans la loge de sa concurrente "T’es pas censé être là, toi." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
Dernière édition par Jo Carter le Dim 9 Oct 2022 - 4:28, édité 1 fois |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Ven 7 Oct 2022 - 13:42 | |
| the edge of glory Midas Sterling & @Jo Carter - 2016
Ai-je été le seul de nous deux à ressentir un peu plus à chaque prime le besoin impétueux de terminer une chanson ou une autre sur un baiser ? Sur les plateaux et devant des milliers de téléspectateurs, j’ai découvert une nouvelle forme de torture : celle de devoir user de toute ma volonté pour ne pas déraper, pour ne pas céder à l’envie de l’embrasser alors que nos bouches se frôlaient presque, partageant un micro pour faire rêver toutes les adolescentes du pays. Bien sûr, c’était une idée de la production, de nous rapprocher ou en tout cas de vendre un rapprochement. Sauf que notre alchimie, elle ne leur appartient pas. Je les soupçonne d’y avoir trouvé leur compte, de la considérer comme la cerise sur le gâteau puisqu’à chaque fois que nos voix s’harmonisent, j’ai des frissons le long de ma colonne vertébrale et, à chaque fois que pour les besoins de la scénarisation, je dois caresser doucement et du dos de ma main sa joue, ou la glisse au creu de ses reins pour la tenir contre moi lors du couplet d’une chanson d’amour, j’ai la gorge serrée et le souffle coupé. C’est difficile de rester de marbre face à une jeune femme comme elle, parce qu’elle est belle, talentueuse, qu’elle a du caractère et une personnalité qui impressionne un garçon de la campagne comme moi. Elle ne se conduit comme aucun de mes modèles féminins et a tout de suite pris des allures de fantasme autant que d'inaccessible.
Sauf que demain, tout sera terminé. Sauf qu’elle me reçoit ce soir vêtu d’un simple peignoir et qu’elle se permet en plus de me provoquer - elle le fait, j’en suis convaincu. Alors ce soir, maintenant qu’aucune caméra n’est braquée sur nous et que nous sommes à l’abri des regards, je fais tout ce que je me suis interdit de faire pendant le concours. Je brise cette règle tacite entre nous, celle qui nous intimait jusque-là de nous en tenir aux jeux et aux provocations puisque le concours importait plus qu’une amourette ou une histoire de quelques nuits. Qui sait ce que nous serions devenus si je l’avais embrassée dès que j’en avais ressenti l’envie. Qui sait si nous ne nous serions pas déchirés, si nous ne serions pas devenus incapables de travailler ensemble et si nous n’aurions pas jeté notre belle alchimie aux orties. Mais maintenant, plus rien ne compte et les dés sont jetés, si j’ose dire. Alors je l’attire contre moi et je l’embrasse à la manière d’un adolescent. Je scelle nos lèvres avec douceur pour ne pas la brusquer et pour me prémunir des conséquences d’un rejet. Je crois que si je ne contenais pas mes ardeurs et ma passion, je ne serais plus capable de m’arrêter si d’aventure elle me le demandait.
Mais elle ne me demande pas d’arrêter. Elle se penche vers moi et je sens qu’elle en veut plus, Jo. Ce chaste baiser la laisse sur sa faim et, lorsqu’elle attrape mes mains dans les siennes, j’esquisse un sourire. Un sourire qui se fige lorsque je deviens une marionnette guidée par ses mains. Son peignoir en soie n’est pas assez bien fermé pour que mon pouce n’effleure pas le velours de la peau de sa gorge, et pas assez épais pour que je n’ai pas l’impression de caresser ses formes alors qu’elle guide mes mains le long de son corps. Docile je la laisse les guider vers ses fesses et je ne me fais pas prier pour jouer avec la limite que m’impose le bas de son vêtement. Comprend-t-elle que je ne peux plus m’arrêter maintenant ? Que tout mon corps réagit à cette proximité et que mon cerveau ne fonctionne plus de façon tout à fait rationnelle ? « Si seulement tu m’avais donné quelque chose de quoi parler. » Je la serre un peu plus contre moi - et pas uniquement parce qu’elle exerce elle-même une pression sur mes mains, cela va sans dire. « J’essaye d’être un gentleman. Sois pas chiante comme ça. » J’esquisse un sourire conquis. Un frisson me parcourt la colonne vertébrale à chaque fois que ses mains - elles jouent avec mon t-shirt - touchent ma peau. Je garde une main à l’emplacement qu’elle a choisi - il est hors de question de décevoir Joséphine Carter - et l’autre vient à nouveau se refermer à l’arrière de sa nuque. Je ne l’embrasse pas à nouveau, pas tout de suite, à la place, je dépose un baiser dans son cou. J’aurais certainement dû accélérer un peu la cadence : je n’ai pas le temps de goûter à nouveau ses lèvres puisqu’on frappe à la porte. La brune plaque une main contre ma bouche mais, moi, je ne lâche pas sa fesse. Elle m’amuse, à se conduire comme une adolescente prise en faute. Elle oublie que nous sommes des adultes et que nous nous ferons au pire taper sur les doigts de ne pas avoir gardé ça pour les caméras. « On peut faire comme s’il n’y a personne, elle partira. Je veux pas qu’on me dise que c’est l’heure d’aller dormir, je veux rester avec toi. » Elle veut rester avec moi et, sous sa main, mon sourire s’agrandit. Je glisse même une main sous le tissu de son peignoir pour la poser sagement sur sa hanche. Sagement, j’ai dit. « Jo. Je sais que t’es là, je vois de la lumière sous la porte. » La ”nourrice” de l’émission, j’ai envie de lui dire d’aller se faire foutre mais Jo me musèle toujours, si bien que je me plie à ses règles. « Si tu me réponds pas dans trois secondes, j’entre quand même. » - « C’est bon. Putain, pas moyen d’avoir un peu d’intimité, ici. » Elle s’éloigne, et la pièce me semble se refroidir d’un coup. Son corps a divorcé du mien et mes mains retombent mollement le long de mon corps. L’irritante intruse entre, et je me dis que ce que nous venons de faire - ou plutôt ce qu’elle vient d’avorter - doit être écrit sur mon front. J’ai l’impression que mes joues imberbes sont rouges à souhait, et je me sens à l’étroit dans mon propre corps. Mal à l’aise, je croise mes mains sur mon torse, tentant de retrouver une contenance. « T’es pas censé être là, toi. » - « Vous êtes payée en heure supp’ maintenant Cathy ? » La dénommée Catherine semble insensible à mon charme et mes manières de tombeurs depuis le début du concours, mais cela ne m’a jamais empêché d’essayer de l’amadouer pour qu’elle nous lâche du lest, à la brune et à moi. « Je vais retrouver mes quartiers capitaine. Laisse-nous cinq minutes, puis Jo est à toi. » La quadragénaire s’exécute, referme la porte derrière elle sans s’éloigner - je la connais un peu maintenant - et, mal à l’aise, je laisse le silence s’installer quelques minutes, avant de faire quelques pas en direction de ma concurrente. Je me racle la gorge pour attirer son attention. « Je suppose que je dois te dire à demain, c’est ça ? » Le charme semble rompu. Nous ne sommes plus vraiment seuls - la présence de la nounou est oppressante, même depuis derrière la porte, et la brune a tellement vivement réagi à son arrivée que je suppose que, pour elle, il n’y aura plus de retour en arrière possible. J’aurais dû l’embrasser à nouveau. J’aurais dû le faire avec tellement d’ardeur que cela lui en aurait fait oublier son prénom, mais se souvenir du goût de mes lèvres pendant des années. J’aurais dû. « Faudrait pas faire attendre le Grinch de l’autre côté de la porte. » Cette phrase-là, je l’ai prononcée assez fort pour être entendu par Catherine. Je fais quelques pas en direction de la brune, j’hésite mais, cette fois, c’est sur son front que se posent mes lèvres alors que ma main, moins sage, retrouve son attache derrière la nuque de la chanteuse. « Bonne nuit Joséphine. Prends des forces pour demain. » Le clin d'œil que je lui adresse ajoute tu en auras besoin. Je me prends un revers de conscience : demain je vais trahir sa confiance, je le fais depuis le début. C’est une bonne chose dans ces conditions, que nous ayons été interrompus.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Dim 9 Oct 2022 - 6:29 | |
| the edge of glory Midas Sterling & @Jo Carter - 2016
"T’as du gloss sur les lèvres, Midas." En effet, Cathy n’était pas sensible au charme du jeune homme pour des raisons qui échappaient à la plupart des membres de l’équipe constituée autour des deux vedettes du show. Ce n’était pas un mystère qui serait résolu maintenant, pour autant le sourire de la blondinette était bien trop large pour qu’elle ne soit pas fière de sa répartie, laissant planer un silence que Jo, de son côté, n’essaya même pas de briser tant elle s’était laissée saisir par l’instant qu’ils venaient de partager. Chacun savait que c’était un secret de polichinelle tout ça, et ça alimentait les stratégies de la production, qu’au fur et à mesure, ils étaient devenus si proches que c’en était troublant. Si Cathy ne la bouclait pas, probablement qu’il y aurait des complaintes sur le fait que ça aurait dû se passer plus tôt, et qu’ils auraient été en mesure de mieux l’orchestrer pour le donner en spectacle, ce premier baiser ; qui laissait sur Jo une marque vibrante qui se joignit à la frustration lorsqu’elle se rendit compte de la succession des choses en y songeant rapidement, retirée dans un coin de sa propre tête pendant qu’elle laissait Midas se charger de congédier l’intruse. Elle n’avait pas fabulé, c’était déjà quelque chose à quoi se raccrocher, mais quoi faire de cette donnée quand ils avaient fait le tour de comment les choses se passeraient après que le concours se terminerait ? L’un serait pris dans le tourbillon de la victoire, l’autre rongerait son os en attendant qu'on daigne s’occuper de lui, et l’opportunité ne se représenterait plus jamais, c'était aussi clair pour elle que ça en devint douloureux quand de nouveau, le silence se fit autour d’eux, et que la jeune femme disparut pour les laisser seuls. Midas pourrait se vanter d’avoir soumise Josephine au silence. Plusieurs minutes s’étaient écoulées, et sa voix n’avait percée que pour autoriser à contre-coeur Cathy à rentrer. Maintenant, elle se demandait quoi faire, quoi tenter. C’était surprenant que ce fût Midas le plus aguerri, que ce soit pour initier leur baiser, ou pour chasser le malaise creux qui régnait maintenant, quand on savait que c’était elle la grande gueule, celle qui savait quoi dire même quand il fallait la fermer, et qui savait quoi faire même quand ce n’était pas nécessaire. Elle leva la tête pour le regarder approcher, et elle mentirait si elle ne disait pas qu’elle espéra un instant ; qu’ils reprennent là où ils s’étaient arrêtés pour soulager ce qu’elle ressentait au plus profond d’elle, son corps frémissant toujours au contact de la main qu’il avait glissé sous son peignoir, sous le baiser qu'il avait déposé dans son cou, et ses lèvres pulsaient sous la sensation qu’il y avait laissée en les capturant doucement. Elle savait quel genre d’expression elle devait avoir sur le visage maintenant, et ça lui plaisait à peine, d’en être réduite à le dévorer des yeux sans prétendre autre chose que c’était parce qu’elle avait aimé qu’il l’embrasse, et qu’elle en voulait plus.
Elle était moins maline que le jeune homme, elle n’avait pas tout de suite était capable de capter que le charme était rompu et que la réalité avait repris ses quartiers, que se laisser atteindre par tout ça, c’était briser des efforts colossaux qui avaient été les leurs alors qu’elle s’apercevait qu’ils avaient tout du long joué avec le feu. Là, ce n’était qu’un effort de plus à faire, une supplique à lui imposer pour lui faire comprendre que l’intervention de Cathy ne devait pas briser ce projet secret qu’ils avaient. Sauf qu’elle nota son hésitation, et elle se demanda si intérieurement, il n’était pas en train de peser le pour et le contre, réduisant à néant cette demande qu’elle allait lui faire, de venir la rejoindre après, plus tard, dans sa chambre. Personne n’en saurait jamais rien, même si Cathy finissait par avouer qu’elle les avait surpris en train de s’embrasser dans sa loge la veille de la finale ; ça résoudrait peut-être la tension entre eux, ou ça ne ferait que l’épaissir, qu’en saurait-ils s’ils en restaient là ? Mais il hésita, oui. Et par extension, ça la fit hésiter aussi, faisant prendre à tout ça des airs d’erreur qu’elle ne regrettait pas, en bonne sale gosse qu’elle était. Elle plongea son regard dans le sien jusqu’à ce que les doigts de Midas se referment sur sa nuque, et que naïvement, elle crut qu’il résoudrait son propre dilemme ; un putain de baiser sur le front, elle se recula pour le regarder, surprise, en fronçant les sourcils dans un sourire moqueur qui ne la rendit pas plus explicite, mais qui la fit réagir quand il se décala pour partir. D’un pas sur le côté, Jo lui barra la route, plaquant son dos contre la porte pour le fixer de nouveau un instant, ses doigts trouvant la poignée de la porte pour l’empêcher de l’actionner, la tête penchée sur le côté un air de lui demander un putain de baiser sur le front ? "Midas." dit-elle seulement, dans une sorte de souffler relâché qu’un léger rire vint agrémenter alors qu’interdite, elle se demandait à quoi il jouait. Tu te fous de ma gueule ? semblèrent lui dire ses yeux qui ne le quittaient pas, sentant les siens lui picoter sous la somme de sa déception quand elle se rendit compte que c’était lui le plus raisonnable d’entre eux ; parce qu’elle, à ce moment précis, elle se demande si tirer sur la fine ceinture de son peignoir ne le ferait pas définitivement rester sans qu’elle ne soit obligée de réclamer plus que ce qu’il lui avait donné. Mais le temps s’étira, et sa gorge se noua, lui faisait réaliser que ce n’était pas comme ça qu’elle voulait que les choses se passent, tandis que de l’autre côté de la porte, elle sentait la présence de Cathy qui avait sûrement collé son oreille à la porte pour savoir de quoi il en retournait, ce qu’ils se disaient. Elle n’était pas franchement pudique, Jo, mais elle ne voulait pas qu’on lui vole cette éventualité qui planait entre elle et Midas ; ce serait peut-être passionné, ce serait peut-être tout ce qu’elle avait toujours cherché, mais elle ne le découvrirait pas de cette manière, plaquée contre une porte à retenir ses soupirs pour ne pas éveiller la curiosité de quelqu’un qui irait tout raconter pour en faire quelque chose de quoi tirer profit. Alors c’est là qu’elle battit en retraite, papillonnant des cils pour rompre le contact visuel avec le jeune homme qu’elle n’avait pas cessé de regarder depuis qu’elle avait prononcé son prénom, et à qui elle libéra le chemin quand il lui souhaita bonne nuit, ayant la sensation de perdre l’opportunité de sa vie. Demain, ils deviendraient autre chose l’un pour l’autre, elle le sentait d’autant plus qu’elle n’était pas été tout à fait honnête avec lui, quand elle lui avait dit qu’elle ne lui en voudrait pas de gagner si tel était l’épilogue de leur aventure : elle lui en voudrait, atrocement, et elle s’en voudrait davantage d’avoir manqué cet instant qui la hanterait longtemps. Elle lâcha la poignée de la porte, attendant qu’il la saisisse de son côté pour reprendre sur elle, et lui dire, presque tout bas, dans une ultime provocation, et ce quand il passa à côté d’elle pour s’en aller "Pense pas trop à tout ça, hm ? Toi aussi t’as besoin de prendre des forces pour demain." Et ça rend sourd, aurait-elle pu ajouter, mais elle s’arrêta avant que son insolence légendaire ne reprenne le dessus. A la place, ses yeux jouèrent la bascule entre plusieurs points de son visage quand elle laissa le sous-entendu l’envelopper un court instant, jusqu’à ce qu’elle se mette à rire très doucement, puis qu’elle se détourna enfin pour rejoindre sa coiffeuse en se sommant de ne pas regarder en arrière, putain.
rp terminé. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | | | | | (mine #3) the edge of glory |
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