Caleb vient de quitter la maternité après une journée passée avec Mael et moi. On a eu la visite de mes beaux-parents qui ont pu rencontrer leur petit-fils, une visite un peu stressante mais qui s'est plutôt bien passée. J'ai pu profiter un peu de Lucy et Lena aussi, même si pour l'une l’hôpital était un terrain de jeu bien trop peu amusant et que pour l'autre, un bébé qui attire l'attention et qui squatte les bras de son père, c'est pas une vision très amusante non plus. Mais, j'ai pu jouer un peu avec elles, j'ai pu retrouver mes filles, elles sont très rares les fois ou je suis loin d'elles ou je me sépare d'elles alors j'ai profité de leur venue avec énormément de plaisir. Mais, après l'agitation vient le calme. Caleb est rentré pour aller chercher Nathan à l'école, mes beaux-parents sont rentrés avec les filles et je me retrouve seule avec Mael qui est entrain de téter. Je prends mon portable et j'envoie un petit texto à Lucas pour lui annoncer qu'il peut passer s'il le souhaite, que je suis seule et que je serais ravie de le voir un peu. Je sais qu'il voulait venir rencontrer Mael mais qu'il ne voulait pas nous déranger en famille. Sauf qu'il fait partie de la famille, enfin il est la seule famille que j'ai et je compte bien lui rappeler et lui rappeler aussi qu'il ne me dérangera jamais. Il a été là pour moi et j'aimerais qu'un jour il comprenne que désormais je suis là pour lui aussi. Et en attendant Lucas, c'est sur Mael que je concentre mes pensées et toute mon attention. Il est calme sur moi et il est tellement magnifique. J'ai encore parfois du mal à réaliser qu'il est bien là et que c'est bien mon fils, et je le regarde à la fois émerveillée par ce petit bébé mais aussi avec pleins d'amour dans le regard quand je réalise que ce petit bébé c'est le mien. Que c'est mon fils et qu'il est avec nous pour toujours désormais. Pas toujours, toujours, mais c'est un autre sujet ça. Il est dans notre vie et c'est un grand bonheur que j'ai envie de partager avec les gens qui me sont proches. Et quand on frappe à la porte, c'est avec un sourire que j'invite mon invité à entrer. Ça pourrait très bien être n'importe qui d'autres que Lucas, mais pourtant c'est lui que j'attends et quand je le vois entrer mon sourire ne disparait pas. Je suis pourtant fatiguée par les dernières semaines de grossesse, par ces deux derniers jours qui ont été riche en émotions et en efforts aussi, mais je suis bien trop heureuse par cette naissance pour que la fatigue ne soit trop présente. « Merci d'être venu, ça me fait vraiment plaisir de te voir. » Pour la naissance des jumelles, il n'avait même pas répondu au sms, alors le voir ici aujourd'hui semble être une grande avancée dans notre tentative de retrouver une relation de cousin/cousine comme celle que l'on pouvait avoir il y a plus de dix ans, même si je me doute qu'il faudra plus que ça pour regagner sa confiance et me refaire une place dans sa vie, mais j'ai bien l'intention de lui prouver qu'à mes yeux il aura toujours une place dans la mienne désormais. « Je te présente Mael. » Je bouge un peu mes bras pour qu'il puisse voir le nouveau-né qui gigote un peu contre moi. « Tu veux le prendre ? » Je sais qu'il n'est pas très à l'aise avec les bébés mais je lui propose tout de même. Ils ne sont pas énormément ceux à qui je propose de prendre Mael, j'ai un peu de mal à le laisser encore mais il a à peine plus de 48h, c'est normal de vouloir le garder pour soit et le protéger non ? Mais à Lucas, je le propose avec plaisir parce que je veux qu'il puisse tisser un lien avec Mael. « Je vois que tu as plus ta béquille, comment tu vas ? Ca avance ta rééducation ? » Je n'ai pas oublié l'épreuve que doit traverser Lucas, et si je n'ai pas pu être présente avant, je compte bien garder un œil sur lui à l'avenir et suivre ses progrès et m'assurer qu'il aille bien aussi.
ÂGE : 33 ans ≈ né à brisbane le 10.04.1991, luke est un bon bélier comme il faut SURNOM : luke, mais il ne tire pas plus vite que son ombre, t'as capté - une jolie blonde aime l'appeler looser - il arrive que deux petites tornades l'appellent tonton STATUT : célibataire, briseur de coeur parfois, même du sien MÉTIER : ex-pompier, en reconversion LOGEMENT : fortitude valley, james street #30 POSTS : 853 POINTS : 820
TW IN RP : addictions, parents toxiques, incendies, maladie dégénérative TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sous ses airs nonchalants, c'est simplement un coeur tendre qui ne sait pas utiliser les mots ≈ fan de vieilles musiques et de vinyles ≈ on le croise souvent en balade en ville avec son chien, jazz ≈ écolo et végé, il adore parcourir les brocantes et fripes pour chiner de seconde main ≈ fume comme un pompier ≈ tromboniste amateur ≈ pas forcément le couteau le plus aiguisé du tiroir ≈ insomniaque depuis son accident en 2022 ≈ même s'il est réservé, il a tendance à user de ses charmes pour mettre une fille dans son lit ≈ se rend plusieurs fois par semaine aux NA depuis 2024DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #003333 RPs EN COURS : répertoire téléphonique : greta - joaquin - joshua - olive
how can you just walk away from me? when all I can do is watch you leave 'cos we've shared the laughter and the pain and even shared the tears ≈ mallen #7
just take my hand hold it tight i will protect you from all around you i will be here don't you cry ≈ millie #1
lady, running down to the riptide taken away to the dark side i wanna be your left-hand man ≈ mabel #5
can it be that it was all so simple then? or has time re-written every line? if we had the chance to do it all again, tell me, would we? could we? ≈ olive #4
we've taken different paths and travelled different roads i know we'll always end up on the same one when we're old ≈ joshua #2
Lorsque Lucas se réveille ce matin-là, il est de plutôt bonne humeur. Jazz vient lui lécher la joue en guise de bonjour, il traîne un peu au lit. Les derniers jours n’ont pas été des plus simples, entre ses retrouvailles avec Théodore, la découverte de la vraie identité de Greta et les échanges houleux entre eux qui ont suivi. Mais aujourd’hui, il se sent assez apaisé. Peut-être était-ce dû à la soirée passée avec sa voisine, Jiyeon, qui lui a donné un peu de baume au cœur et de légèreté dans l’âme ? C’est bien tout ce dont il a besoin, en ce moment. Après un dernier câlin avec son chien, il décide de se lever et se dirige vers sa salle de bain, les cheveux en bataille, en vue de prendre une bonne douche. Quelques minutes plus tard, le jeune pompier se trouve dans sa cuisine, clope au bec, une tasse de thé dans la main. Il allume sa cigarette et son téléphone se met à vibrer. Il déverrouille l’écran pour y voir s’afficher le nom de sa cousine, Alexandra. Elle lui propose de passer à la maternité pour lui rendre visite à elle et son bébé, Maël. Même si leur relation est loin d’être celle qu’ils ont connu il y a dix ans, Lucas s’est promis de faire des efforts et de s’investir davantage dans sa vie. Il a envie de mettre sa rancune et son ressentiment de côté, et de laisser place à une relation plus apaisée entre eux deux. Le mois de septembre annonce le printemps en Australie : l’occasion de prendre un nouveau départ, de remettre les choses à plat. C’est aussi ce qu’il espère pour sa santé : les prochains rendez-vous avec les médecins, sa kiné, devraient lui permettre d’y voir plus clair. En attendant, ils lui ont donné l’autorisation de se déplacer sans sa béquille – à condition qu’il ne force pas trop, évidemment. Bien sûr, Lucas n’a retenu que la première partie de la consigne, et s’en donne à cœur joie, et sort dès qu’il lui est possible, pour promener son chien, se balader sur la plage. Ses douleurs dans la jambe lui font parfois comprendre qu’il va certainement un peu vite, mais il préfère les ignorer, prenant les antidouleurs « en cas de douleur trop importante » prescrits par le médecin. Il en avale d’ailleurs un, avec son thé, avant de répondre à sa cousine qu’il sera là d’ici une heure. Il finit sa cigarette, l’écrase dans le cendrier et part se brosser les dents. Une fois fait, il fait une dernière caresse à Jazz, lui promettant de revenir très vite, enfile une veste et claque la porte d’entrée. Avant de rejoindre sa cousine, Lucas a envie de passer par le petit fleuriste qui se situe à quelques minutes à pied de son immeuble. C’est une petite dame, âgée d’une soixantaine d’années qui le tient, et il lui est souvent arrivé de discuter avec elle, lorsqu’il revient du marché. Une fois sur les lieux, il la salue et échange avec elle quelques banalités, avant de lui demander un bouquet. « Oh, alors vous avez une femme dans votre vie, jeune homme ? Je savais bien qu’un beau jeune homme comme vous ne pouvait pas être célibataire… », dit-elle avec des yeux rieurs. Lucas ne peut s’empêcher de sourire, un peu gêné. Il y a bien une femme qui occupe un peu trop ses pensées à son goût depuis plusieurs jours, mais les fleurs ne seront pas pour elle. « Navré de vous décevoir mais ces fleurs seront pour ma cousine qui vient d’accoucher. », lui répond-il. La fleuriste commence ensuite à lui faire la discussion, tout en créant sa composition florale, lui expliquant à quel point c’était dommage qu’il soit célibataire, à son âge. Au bout de quelques minutes, Lucas décroche un peu, répondant simplement par quelques hochements de tête. Puis, elle finit par lui tendre un magnifique bouquet, composé de fleurs rouges, blanches, violettes, et jaunes. Il remercie la fleuriste, la règle, puis se met en route pour la maternité. Une fois devant la chambre, Lucas toque avant d’entendre la voix de sa cousine qui lui dit d’entrer. Il ouvre la porte silencieusement, et fait quelques pas pour rejoindre Alexandra, allongée dans son lit, le nouveau-né logé bien confortablement au creux de ses bras. La jeune maman le remercie de sa venue, lui confiant être heureuse de le voir. « C’est normal, ça me fait plaisir de venir aussi, tu sais. Je t’ai apporté ça ! », dit-il, en brandissant fièrement son bouquet de fleurs. Il trouve un vase vide sur une commode non loin, et y plonge le bouquet. Puis, il revient près de sa cousine, hésite un instant, avant de planter un léger baiser sur le sommet de son crâne, avant de lui demander : « Ça va ? Pas trop épuisée ? ». Il s’installe ensuite sur un fauteuil, à quelques centimètres du lit d’Alexandra, qui en profite pour lui présenter son fils, Maël. Lucas est assez impressionné, à vrai dire, par la petitesse de cet être qui bouge légèrement dans les bras de sa cousine. « Il est tellement plus petit que sur la photo. », fait remarquer le pompier, en parlant à voix basse. Puis Alex lui propose de prendre Maël dans ses bras. Lucas et les enfants, ça n’a jamais été une évidence. Ils l’indiffèrent, en général. Néanmoins, lorsque son métier le lui demandait, il savait très bien se montrer rassurant et bienveillant avec eux. Mais là, il est tout de même question de son petit cousin, le garçon de sa cousine, alors Lucas est prêt à faire un effort. « Allez. J’ai bien envie de voir s’il a hérité de mes gènes de beau-gosse. », dit Lucas, avec un sourire. Alex se lève alors doucement, afin de l’aider à prendre Maël dans ses bras. Elle lui explique rapidement où doivent se trouver ses mains, ses avant-bras, pour que le bébé se sente tout à fait à l’aise. Une fois l’opération réussie avec succès, Lucas se retrouve installé au fond de son fauteuil, le nourrisson à moitié endormi au creux de ses bras. « Il est super calme. T’es sûre que c’est le tien ? », taquine Lucas. Sa cousine ne lui en tient évidemment pas rigueur et répond sur le même ton, avant de lui poser quelques questions sur sa santé. « Ouais, j’ai l’autorisation de me balader sans. Bon, je le faisais déjà chez moi depuis un moment… Je suis pas censé crapahuter aux quatre coins de la ville non plus, mais c’est cool de pouvoir sortir sans. », commence-t-il, tout en fixant le visage de Maël, paisible entre ses bras. « Et pour la rééduc’, bah, ça avance… lentement. Je boîte encore un peu. J’ai toujours mal de temps à autre. Mais je crois qu’on est sur la bonne direction, je dois bientôt voir la kiné pour qu’elle me dise quand est-ce que je vais pouvoir reprendre le boulot. », reprend-il, en adressant un sourire rassurant à sa cousine. Il s’avance certainement un peu, mais il y croit sincèrement. Et aujourd’hui n’est définitivement pas une journée où sa cousine doit s’inquiéter pour lui. « Bon, et toi ? L’accouchement s’est bien passé ? Il arrivé un peu plus tôt que prévu, non ? Ou alors c’est le temps qui passe super vite ? J’ai l’impression qu’il te restait encore deux mois avant d’accoucher la dernière fois qu’on s’est vu ? », questionne-t-il sa cousine.
is this really my life ?
i could run from it all but I'd only get lost oh, I've walked on the bridge that I shouldn't have crossed and I find myself, a user oh, I wake every day with addictions to feed they all call me a friend but I'll never be freed from the face of a faithless future
Dernière édition par Lucas Allen le Sam 17 Déc 2022 - 11:03, édité 1 fois
Mardi 6 Septembre 2023. Lucas n'aura pas mit bien longtemps avant de venir rencontrer Mael, beaucoup moins longtemps que pour les jumelles, et ça rassure un peu Alex sur la tournure que prends l'évolution de leurs retrouvailles. Il en faudra du temps pour retrouver leur complicité, et peut-être même qu'ils ne la retrouveront jamais mais elle veut y croire. Pas qu'elle soit une optimiste dans la vie, mais, elle tient à Lucas et si elle n'en doutait pas, le revoir lui a rappelé à quel point il avait été important dans sa vie et à quel point elle appréciait passer du temps avec lui. Elle a tendance à vivre dans le déni Alex. Elle oublie pour ne pas souffrir, elle compartimente pour éviter de se laisser submerger constamment mais même si elle parle beaucoup au quotidien, il y a tout un tas de choses dont elle ne parle pas. Qu'elle enfouie en elle en pensant que ce serait moins douloureux ainsi. C'est ce qu'elle a fait avec Lucas, sauf qu'aujourd'hui, maintenant qu'elle réalise que l'absence de son cousin dans sa vie lui fait ressentir un manque, elle ne peut plus vraiment l'ignorer. Mais, elle ne va pas lui dire pour autant. Elle se contente de le remercier pour sa venue, et elle sourit encore un peu plus quand elle voit son cousin lui tendre fièrement un bouquet de fleur. Il n'est pas venu les mains vides et si elle n'attendait rien de plus que sa visite, elle est touchée par ce geste pourtant simple, presque autant que par les mots qui accompagnent le geste. Lui aussi, ça lui fait plaisir d'être venu, et Alex se sent soulagée et heureuse de l'entendre. « Merci, mais fallait rien emmener, ta présence me suffit. » Et si cette phrase ressemble à une phrase de politesse lambda, dans le cas d'Alex les mots sont sincères. Il vient déposer un bref baiser sur le front de l'Anglaise pour la saluer et c'est un geste assez fort, du moins Alex a envie d'y voir là une vraie preuve qu'il ne se force pas à être là et ça la rassure énormément. « Je crois que je n'ai jamais été aussi fatiguée de ma vie. » Elle rit doucement en prononçant ces mots, parce qu'elle est vraiment épuisée. Épuisée par cette grossesse, par ces derniers mois si riches en émotions et en manque de sommeil, épuisée aussi par un accouchement pas si long mais qui lui a demandé beaucoup d'efforts. « Mais je vais bien et surtout il va bien alors ça en vaut le coup non ? » Elle en est persuadée, elle sait que ce qu'elle vient de vivre ce n'est que le début d'une vie avec des petites nuits, mais aussi une vie remplie de bonheur et d'amour. Ses yeux se posent sur son fils, posé au creux des bras de sa mère, et elle le présente à Lucas, le regard plein d'amour et de fierté avec que Mael ouvre les yeux quelques secondes. « Les filles étaient encore plus petites. » Ce n'est en aucun cas un reproche pour Lucas, ou un moyen de lui rappeler qu'il ne les avait pas vu toutes petites, mais juste une remarque qu'elle s'est déjà faite pour elle même et qu'elle lui partage alors qu'il évoque à quel point Mael semble plus petit. Elle n'hésite pas à lui proposer de prendre un peu Mael et elle est presque surprise, mais rassurée aussi, de la réponse de Lucas qui accepte et qui arrive à faire rire Alex avec sa remarque. « Fais attention à mon fils au lieu de jouer les beaux goss. » Elle l'aide, elle place le tout petit bébé dans les bras de Lucas, avec beaucoup de précautions et de conseils aussi, elle lui confie ce qu'elle a de plus précieux et de plus fragile mais elle lui fait confiance. « Et de toute façon c'est mon fils, il ne peut qu'être magnifique. » Elle lui réponds en souriant, toujours en regardant son bébé qui ne semble pas perturbé par ce changement de bras et qui semble déjà prêt à se rendormir. Elle roule des yeux en souriant à la taquinerie de son cousin. Oui son fils est calme, mais elle est sure que c'est le sien, y'a pas de doutes, ils ne l'ont pas quitté une seconde, que ce soit Caleb ou elle, il n'a jamais été seul. « Il dort, attends qu'il ait faim, tu verras il a déjà de la voix, mais c'est vrai qu'il est calme, il doit tenir ça de son père. » Elle ne nie pas qu'elle n'est pas calme Alex. Plutôt nerveuse que calme. C'est un fait, mais dès qu'elle regarde son fils, ou qu'elle le tient dans ses bras, elle s'apaise et aujourd'hui, elle est calme elle aussi. Sans doute aussi que la fatigue de l'accouchement joue mais elle est posée, et c'est en regardant son cousin tenir son fils, qu'elle réalise qu'il n'a plus de béquille. « Je suis certaine que tu dois être un patient insupportable et beaucoup trop impatient. » Elle le taquine un peu et son regard et son sourire montre qu'elle n'est pas en train de le juger. « Mais c'est bien si les choses avancent et que tu vois des progrès. Mais forces pas trop Luke, et écoutes ce que te dises tes médecins, et si tu as mal, reprends ta béquille pour te soulager. » Et c'est à la fois heureuse pour lui de constater les progrès mais aussi inquiète qu'elle lui dit tout ça. Et, c'est assez comique finalement, parce qu'elle est une patiente absolument pas patiente justement et à un degrés différent elle sait la frustration que l'on peut ressentir quand son corps est diminué. Mais la rééducation avance pour lui et Lucas semble même plutôt rassuré et optimiste. Reprendre le boulot, voilà une chose qu'il a sans doute très envie, mais c'est une envie qu'Alex ne partage pas. Elle ne veut pas le savoir à courir vers les flammes, c'est égoïste, elle le sait. Elle a déjà accepté ce fait. Mais elle est comme ça, et les personnes auxquelles elle tient, elle voudrait pouvoir les tenir loin des dangers de ce monde. Ils ne sont pas nombreux, mais Lucas en fait partie même si leur relation est toujours assez compliquée. Mais, ce n'est pas à ce qu'elle ressent qu'elle pense, mais à lui. A ce qu'il a déjà pu lui dire aussi à ce sujet. « Et tu te sens prêt ? Au delà de ta jambe et de ton physique, tu penses que tu es prêt à repartir au feu ? » C'est une question un peu déguisée sur le moral et la gestion du trauma de Lucas, et elle se sent prête à accepter s'il ne veut pas en parler, mais elle ne peut pas ne pas le questionner la dessus. Parce qu'il évoque la reprise du boulot et c'est une étape importante pour lui, une étape pour laquelle elle veut être présente. Parce qu'elle veut refaire partie de sa vie, parce qu'elle veut partager les bons moments comme les moins bons et si aujourd'hui ils se retrouvent c'est pour un moment joyeux. La naissance de son fils, et elle a d'autres choses à dire à Lucas aussi, mais avant ça elle prends le temps de répondre aux questions de Lucas. « Oui oui, tout s'est bien passé, les contractions ont commencé le matin, j'ai appelé Caleb un peu en catastrophe pendant son service pour qu'il m'emmène à la maternité et il est né à 16h47. » Elle n'a pas envie d'entrer dans les détails, il n'a sûrement pas envie non plus d'entendre la douleur, la fatigue, la crainte de ne pas réussir, l'excitation de rencontrer son enfant, ce sont des choses qu'il découvrira quand il deviendra père à son tour. « Je te parlais d'impatience, je crois que mes enfants sont tous bien trop impatients de sortir. Ou alors c'est moi qui trouve que neuf mois c'est beaucoup trop long. Mais oui il est né presque trois semaines plus tôt que prévu, mais il est en pleine forme. » Et comme on dit, c'est tout ce qui compte non ? Que le bébé et la maman se portent bien, et c'est le cas. « Je vois que le courant à l'air de bien passer entre vous, je voulais te demander quelque chose, enfin Mael, Caleb et moi voulions te demander quelque chose. » Moins sereine d'un coup, elle ne doute pas de son envie de lui demander, mais elle doute de sa réponse, peut-être est-ce trop tôt dans leurs retrouvailles, peut-être qu'il n'est pas prêt à faire partie de leur vie ainsi. Des questions et lui seul pourra lui répondre, alors elle se lance. « Accepterais tu d'être le super parrain de Mael ? » Elle lui sourit mais pourtant ses mains qui jouent l'une avec l'autre montre son stress quand à la réponse de Lucas. @Lucas Allen
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Lucas Allen
l'accident de parcours
ÂGE : 33 ans ≈ né à brisbane le 10.04.1991, luke est un bon bélier comme il faut SURNOM : luke, mais il ne tire pas plus vite que son ombre, t'as capté - une jolie blonde aime l'appeler looser - il arrive que deux petites tornades l'appellent tonton STATUT : célibataire, briseur de coeur parfois, même du sien MÉTIER : ex-pompier, en reconversion LOGEMENT : fortitude valley, james street #30 POSTS : 853 POINTS : 820
TW IN RP : addictions, parents toxiques, incendies, maladie dégénérative TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sous ses airs nonchalants, c'est simplement un coeur tendre qui ne sait pas utiliser les mots ≈ fan de vieilles musiques et de vinyles ≈ on le croise souvent en balade en ville avec son chien, jazz ≈ écolo et végé, il adore parcourir les brocantes et fripes pour chiner de seconde main ≈ fume comme un pompier ≈ tromboniste amateur ≈ pas forcément le couteau le plus aiguisé du tiroir ≈ insomniaque depuis son accident en 2022 ≈ même s'il est réservé, il a tendance à user de ses charmes pour mettre une fille dans son lit ≈ se rend plusieurs fois par semaine aux NA depuis 2024DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #003333 RPs EN COURS : répertoire téléphonique : greta - joaquin - joshua - olive
how can you just walk away from me? when all I can do is watch you leave 'cos we've shared the laughter and the pain and even shared the tears ≈ mallen #7
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lady, running down to the riptide taken away to the dark side i wanna be your left-hand man ≈ mabel #5
can it be that it was all so simple then? or has time re-written every line? if we had the chance to do it all again, tell me, would we? could we? ≈ olive #4
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Lucas essaie de ne pas rire quand sa cousine lui dit qu’il doit être un patient insupportable et impatient. C’est bien la vérité, quand il y pense. Sofia, sa kiné, ne pourra pas dire le contraire : elle a souvent dû subir ses humeurs, entre espoir et déception, frustration. Alex finit ensuite par lui dire tout de même faire attention, de se ménager. « Oui, oui… », dit-il, pensif, son regard perdu sur la petite chose endormie entre ses bras. Il n’a pas l’habitude d’être au contact d’enfants si jeunes ; il a plutôt tendance à les fuir, en réalité. Il ne s’est jamais senti très à l’aise en leur présence. Mais Mael est si calme, si paisible. Il l’observe attentivement, prenant une photo mentale de chacun des détails de son visage - même s’il sait qu’à cet âge là, ils grandissent si vite. Lucas sort de ses pensées lorsque sa cousine lui demande s’il se sent prêt à retourner travailler. Au début, il se sent un peu décontenancé par sa question. Il fait encore des nombreux cauchemars de son accident, mais son métier lui tient à coeur plus que tout au monde, et il ne s’imagine pas faire autre chose de sa vie, d’où son implication dans sa rééducation, sa guérison. Mais comment se sentirait-il, s’il devait, là, tout de suite, partir sur un intervention ? Si sa jambe le lui permettait, se sentirait-il tout à fait serein ? N’aurait-il pas peur de remettre son casque et de s’engouffrer dans une maison en flammes ? « Je crois que oui. », lui répond-il. « Il le faut, de toutes façons. Je commence à tourner en rond, chez moi. Mes gars me manquent. L’adrénaline, aussi. ». Lucas se sent légèrement mal à l’aise, tout à coup, et préfère alors changer de sujet, demandant alors à sa cousine comme s’est passé son accouchement. Tout s’est passé pour le mieux, d’après elle, même si Mael est né trois semaines en avance. « Et après, c’est moi qui suis impatient… Je crois que tu me bats à plat de couture, en fait. », dit-il en chuchotant à Maël, qui dort toujours aussi paisiblement entre ses bras. Il relève la tête lorsqu’Alex lui dit qu’ils ont tous les trois quelque chose à lui demander. Le jeune pompier hausse un sourcil, perplexe. « Quoi ? Vous voulez qu’il devienne pompier ? Je te rassure, la formation, c’est pas pour tout de suite, hein. », répond-il en souriant. Mais la demande d’Alexandra est bien différente de tout ce qu’il aurait pu avoir en tête. À tel point, qu’il pense ne pas avoir bien entendu, au départ. Il regarde Alex, puis Mael. Parrain ? Lui ? « Attends, tu veux que moi, je sois son parrain ? », fait-il répéter à sa cousine, incrédule. « On est d’accord que, le principe, c’est que je m’occupe de lui si toi et Caleb venez à partir soudainement ? Vous êtes au courant que je fais un métier dangereux, n’est-ce pas ? », demande-t-il à sa cousine, en riant légèrement. Effectivement, si on y réfléchit - et l’accident de Lucas en est plus ou moins la preuve - la probabilité pour que l’un des trois adultes parte en premier est plutôt en faveur de Lucas. Mais il voit dans son regard que sa cousine n’est absolument pas en train de plaisanter. « Oh, tu es sérieuse. », reprend alors Lucas, sur un ton beaucoup plus sérieux. Il se remet alors à observer Mael, toujours aussi calme, paisible, essayant de prendre la mesure de la responsabilité qui sera la sienne, s’il accepte la proposition de sa cousine. Il se trouve soudainement pris d’émotion, réalisant qu’Alex serait prête à lui confier son fils, si elle venait à disparaître, ainsi que Caleb. Un acte de confiance, qu’il n’aurait jamais pensé pouvoir rétablir entre eux deux. « Je… », hésite-t-il, se raclant la gorge. « Tu crois qu’il serait d’accord ? Que je sois son parrain ? », demande-t-il, un peu perdu, à sa cousine. Il regarde de nouveau Mael entre ses bras et chuchote : « Bon. Je sais plutôt bien faire à manger. Si un jour, tu as besoin d’être sauvé, je pourrais aussi être plutôt utile. J’ai une jambe qui ne marche plus trop en ce moment, mais d’ici quelques temps, je pense qu’on pourra quand même jouer au ballon ensemble. Ou à la poupée d’ailleurs, hein, comme il te plaira. Par contre, je déteste les jeux vidéos. » Mael, qui semble s’être réveillé, commence alors à gazouiller, entre ses bras, avant d’attraper son pouce entre ses tout petits doigts de bébé. « Je crois que je l’ai convaincu que je pourrai un parrain pas trop mal. », dit-il doucement, en regardant sa cousine. « Bon, par contre, faites en sorte de ne pas mourir trop tôt quand même, hein. », finit-il par lui dire, avec un sourire.
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Dernière édition par Lucas Allen le Sam 17 Déc 2022 - 11:04, édité 1 fois
Mardi 6 Septembre 2023. Visiblement, il n'y a pas que l'amour qui était absent dans leur famille, leurs parents n'ont pas appris à leurs enfants à aimer, mais visiblement, ils ne leur ont pas non plus apprit à prendre soin d'eux et à s'aimer. Elle le découvre avec Lucas. Lui qui ne semble pas vraiment capable de prendre soin de lui, pas comme il le faudrait, mais peut-elle vraiment le blâmer ? Elle ne sait pas ce qu'il vit, mais elle sait ce que ça fait de perdre le contrôle de son corps, de perdre le contrôle de sa vie, d'avoir besoin d'en faire plus, d'en faire trop sans doute. Les circonstances sont différentes, totalement différentes et c'est peut-être pour ça qu'elle s'autorise à lui dire, à s'inquiéter pour lui aussi puisque malgré les progrès qu'il fait, elle sait qu'il doit souffrir, qu'il doit forcer aussi, peut-être trop ? Mais elle n'est pas son médecin et Lucas est un grand garçon désormais, il l'a toujours été d'ailleurs et c'est sans doute pour ça que c'est vers lui qu'elle s'est tournée quand son monde était en train de s'écrouler. Aujourd'hui elle va mieux, elle va bien et son monde est plus solide que jamais et elle veut que Lucas en fasse partie désormais. Elle veut être là pour lui, elle veut s'assurer que tout aille bien pour lui et même si elle n'est pas à l'aise avec l'idée de le revoir enfiler sa tenue de pompier, elle sera présente pour le soutenir le jour ou il reprendra son travail. Parce que ce jour arrivera sans doute, il se sent prêt, il croit l'être du moins. Pas totalement rassurant mais ça lui manque. L'adrénaline aussi. « Tu sais pour ça, tu peux aller faire un saut en parachute, ou à l'élastique, c'est une bonne dose d'adrénaline et tu risques pas ta vie. » Elle le dit avec légèreté mais elle le pense pourtant. Elle ne sait pas ce que c'est d'être pompier, d'entendre la sirène ou le biper sonner et de sentir son corps et son cœur réagir à ce son. Elle ne sait pas ce qu'il peut ressentir en arrivant devant un feu, elle ne sait pas non plus à quel point ça peut être gratifiant de venir en aide aux autres, elle n'a jamais été très altruiste Alex, mais elle sait qu'elle n'aime pas réellement l'idée qu'il soit prêt à mourir pour venir en aide aux autres. « Et tes médecins, ils te disent quoi ? Tu as une date de reprise ? » La béquille n'est plus là, mais elle a bien vu qu'il ne marchait pas encore vraiment normalement, et ce sera sans doute encore un peu long avant qu'il puisse courir et passer les tests pour retrouver son poste, mais Alex s'intéresse le questionne, veut lui montrer aussi qu'elle est là pour lui désormais.
Et pour le moment, c'est surtout sur le nouveau-né que les regards sont posés. Celui de sa mère forcément qui ne le quitte pas plus de deux secondes, mais celui de Lucas aussi alors que le petit est posé entre ses bras. Lui aussi s'est montré impatient, né plus tôt, mais pas trop tôt et son état prouve qu'il va bien, qu'il était prêt pour cette nouvelle aventure. Alex sourit en voyant son cousin parler avec le petit, il n'aura aucune réponse mais elle est émue de voir cette scène, surtout qu'elle a en tête de lui demander d'être le parrain de son fils, alors voir ce lien qui se crée sous ses yeux est important. Elle a hâte de lui demander et à la fois elle a un peu peur de la réaction de Lucas. Ca ne fait que très peu de temps qu'ils ont renoué le contact, est-ce trop tôt ? Elle ne veut pas que Lucas se sente obligé ou prit au piège, et elle met un peu de temps à lui demander, laissant même l'opportunité à Lucas de faire une petite blague. « Hors de question qu'il risque sa vie tout les jours, c'est mon bébé, tu veux ma mort non ? » Un peu drama sur les bords mais si elle dit ça avec légèreté et sourire, au fond d'elle les mots sont sincères. Elle sait qu'elle laissera ses enfants faire leurs propres choix, enfin elle espère réussir à faire ça, mais voir son fils entrer dans un immeuble en feu, c'est peut-être un peu trop pour elle. Aider les autres oui, risquer sa vie pour des inconnus hors de question. Il semble avoir du mal à y croire et elle secoue la tête quand il lui redemande, qu'il lui demande une confirmation qu'elle lui donne d'un mouvement de tête, toujours un peu hésitante et inquiète de connaître la réponse de Lucas. « Je veux surtout que tu fasses partie de sa vie, je compte pas te le laisser maintenant, j'ai trop galéré. » Et elle ne compte pas mourir aussi. Et pourtant, voilà qu'elle pense à l'avenir, à ce qu'il adviendrait de ses enfants s'ils venaient à mourir avec Caleb et cette pensée n'est absolument pas agréable et dans son état émotionnel, c'est pas le genre de pensée qu'elle veut avoir. Mais elle est sincère quand elle dit à Lucas qu'elle veut qu'il fasse partie de sa vie. « Tu auras juste à être son super tonton. » Tonton qu'il ne sera pas puisqu'il n'est pas le frère d'Alex mais son cousin et c'est un détail non ? Un tonton, un parrain, un homme qui compte dans la vie de Mael et Lucas semble réaliser un peu qu'Alex est sérieuse, qu'elle est vraiment en train de lui demander de faire partie de la vie de la famille Anderson. Il s'attarde sur le petit dans ses bras, elle les regarde tout les deux. Son nouveau-né, celui qui a remplit son cœur d'un amour encore plus fort dès qu'il a poussé son premier cri, dans les bras de celui qui a été là pour l'empêcher de sombrer à une période de sa vie et ça prouve aussi tout le chemin qu'elle a parcouru depuis douze ans. Il semble ému Lucas quand il réalise toute l'ampleur de ce qu'Alex lui demande. Mais si Lucas pensait à une blague, il réalise bien vite que la demande d'Alex est tout ce qu'il y a de plus sérieux. Elle le veut lui en tant que parrain, une belle preuve qu'elle le veut dans sa vie et dans celle de son fils. « Je suis persuadée qu'il sera fier de t'avoir comme parrain quand il sera grand oui. » Parce qu'Alex est fière de l'avoir comme cousin même si elle ne sait pas toujours comment le dire ou lui montrer. Elle essaye, et avec cette demande c'est une manière de lui dire aussi. Elle observe Lucas parler à Mael et lui qui se dit pas à l'aise avec les bébés, semble pourtant l'être avec Mael, ou essayer de l'être en tout cas. C'est une vision touchante pour la nouvelle maman, qui émotive au possible retient même une larme en voyant cette image de Mael qui s'éveille et qui serre dans un réflexe le pouce de Lucas. « Tu seras parfait, j'en suis sûre. » Elle le sait parce qu'il lui a déjà montré par le passé qu'il était quelqu'un de fiable, et puis c'est un homme admirable, un pompier, un homme qui a dit merde au luxe et à la richesse pour sa liberté et ses valeurs. Et elle est fière qu'il accepte même s'il ne lui a pas dit en ces mots. « Oh mais j'ai pas l'intention de mourir, je suis trop heureuse et j'ai encore beaucoup de choses à vivre, et je compte bien profiter de ce petit ange. » Comme si c'est parce qu'elle est heureuse qu'elle ne peut pas mourir ça se saurait non ? Mais, elle est vraiment heureuse aujourd'hui, fatiguée, épuisée même après l'accouchement, après les derniers mois mais devant Lucas qui tient son fils, elle a le sourire. « Tu acceptes alors ? Si c'est trop rapide pour toi, tu peux refuser, mais je veux vraiment que tu fasses partie de notre vie. » Voilà elle lui dit, elle se livre un peu, et elle espère qu'il verra qu'elle compte être là pour lui et tout faire pour se faire pardonner de toutes ces années de silences.
ÂGE : 33 ans ≈ né à brisbane le 10.04.1991, luke est un bon bélier comme il faut SURNOM : luke, mais il ne tire pas plus vite que son ombre, t'as capté - une jolie blonde aime l'appeler looser - il arrive que deux petites tornades l'appellent tonton STATUT : célibataire, briseur de coeur parfois, même du sien MÉTIER : ex-pompier, en reconversion LOGEMENT : fortitude valley, james street #30 POSTS : 853 POINTS : 820
TW IN RP : addictions, parents toxiques, incendies, maladie dégénérative TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sous ses airs nonchalants, c'est simplement un coeur tendre qui ne sait pas utiliser les mots ≈ fan de vieilles musiques et de vinyles ≈ on le croise souvent en balade en ville avec son chien, jazz ≈ écolo et végé, il adore parcourir les brocantes et fripes pour chiner de seconde main ≈ fume comme un pompier ≈ tromboniste amateur ≈ pas forcément le couteau le plus aiguisé du tiroir ≈ insomniaque depuis son accident en 2022 ≈ même s'il est réservé, il a tendance à user de ses charmes pour mettre une fille dans son lit ≈ se rend plusieurs fois par semaine aux NA depuis 2024DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #003333 RPs EN COURS : répertoire téléphonique : greta - joaquin - joshua - olive
how can you just walk away from me? when all I can do is watch you leave 'cos we've shared the laughter and the pain and even shared the tears ≈ mallen #7
just take my hand hold it tight i will protect you from all around you i will be here don't you cry ≈ millie #1
lady, running down to the riptide taken away to the dark side i wanna be your left-hand man ≈ mabel #5
can it be that it was all so simple then? or has time re-written every line? if we had the chance to do it all again, tell me, would we? could we? ≈ olive #4
we've taken different paths and travelled different roads i know we'll always end up on the same one when we're old ≈ joshua #2
Quand Alex lui demande si ses médecins lui ont donné une date de reprise, Lucas hausse les épaules, en faisant attention à ne pas réveiller Maël, qui dort au creux de ses bras. « Pas encore. Je pense qu’ils attendent de voir comment ça se passe sans la béquille, comment ma jambe réagit, etc. Mais ça devrait pas tarder. », lui répond-il, confiant. Puis, lorsque sa cousine lui dit qu’elle aimerait lui demander quelque chose, Lucas se permet de plaisanter en lui disant que son fils est encore trop jeune pour commencer la formation de pompier. Bien évidemment, Alex ne peut s’empêcher de démarrer au quart de tour, ne manquant pas de le faire rire. Son rire s’arrête alors quasi net, lorsqu’elle lui demande d’être le parrain du petit Maël. Lucas croit au départ à une plaisanterie et lui fait répéter sa question. Sa réponse lui fait alors comprendre que cette dernière est tout à fait sérieuse. Et après avoir passé quelques secondes à convaincre son peut-être futur filleul qu’il pourrait faire un pas trop mauvais parrain, Alex le rassure, disant que son fils sera très fier que Lucas veille sur lui en tant que tel. Le trentenaire ne peut s’empêcher de demander à sa cousine de rester en vie le plus longtemps possible ; être parrain, c’est cool tant que les responsabilités qui incombent à ce rôle restent le plus éloignées possibles. Bien évidemment, Lucas sera prêt à les assumer s’il le devait un jour, mais il tient à sa cousine et aimerait bien qu’elle fasse partie de sa vie aussi longtemps que possible – surtout qu’ils commencent tout juste à retisser des liens. Alex le rassure quant à cette inquiétude, lui assurant qu’elle n’a pas l’intention de mourir tout de suite et de profiter de sa vie au maximum, près de son mari et de ses enfants. « De toutes façons, je serai forcément dans le coin si un jour l’un de vous est en danger. », dit-il avec un sourire. Sa cousine repose alors sa question, pour être sûre que Lucas veuille bien de la mission qu’elle lui confie, lui expliquant qu’elle tient à ce qu’il fasse partie de leur vie. Ses mots la touchent certainement plus qu’ils ne le devraient, et une émotion toute particulière serre son cœur. Il se râcle la gorge, avant de lui répondre. « Comment veux-tu que je refuse ? », lui dit-il, avec un ton faussement nonchalant. « Même moi, je le trouve beau gosse, ton fils. », finit-il par dire, avec un sourire. C’est précisément ce moment que je choisis Maël pour montrer son mécontentement pour une raison inconnue en se mettant à ronchonner entre ses bras. Lucas, un peu démuni face à cette situation », jette un regard en direction de sa cousine, avant de dire : « Réflexion faite, je crois que je suis pas sûr de pouvoir assumer ma fonction… ». Il se lève de sa chaise, le bébé toujours dans les bras, avant de le poser sur la poitrine d’Alex, action ayant pour conséquence de calmer instantanément le nourrisson. Lucas se rassied alors, un peu soulagé que Maël se soit arrêté de pleurer. « Faudra que tu me dises comment tu fais ça, hein ? C’est quel genre de super pouvoir ? », lui demande-t-il avec un sourire. Il fixe ses mains, un peu nerveux soudainement. La phrase de sa cousine disant qu’elle voulait qu’il fasse partie de leur vie résonne encore dans sa tête, et il a envie de lui poser une question, sans trouver le courage d’y parvenir – ironique pour un pompier qui n’a aucun problème à entrer dans un bâtiment en flammes. « Je… », commence-t-il, hésitant. « Je me disais que… que je pourrai rencontrer tes filles. Enfin, pas tout de suite, hein, quand tu seras rentrée chez toi, que vous vous serez reposés, Caleb et toi, et tout ça. Si vous êtes d’accord. », finit-il. Il triture nerveusement ses mains, comme si Alex pouvait possiblement s’opposer totalement à ce que Lucas rencontre le reste de sa famille, après ce qu’elle venait de lui dire. Mais en fait, c’était plutôt la réalité qu’il pouvait avoir une famille, de nouveau, qui le rendait nerveux.
is this really my life ?
i could run from it all but I'd only get lost oh, I've walked on the bridge that I shouldn't have crossed and I find myself, a user oh, I wake every day with addictions to feed they all call me a friend but I'll never be freed from the face of a faithless future
Mardi 6 Septembre 2023. « Je sais, tu m’as déjà prouvé que je pouvais compter sur toi. » Un regard sincèrement émue mais avec une certaine retenue tout de même, parce que si à ce moment Lucas a répondu présent pour elle, s’il a été là au moment où elle sentait tout son monde lui échapper, c’est aussi ce moment qui les a séparé par la suite. Ou plutôt ses choix à elle suite à cet événement. Et si aujourd’hui elle est heureuse de le voir tenir son fils, c’est aussi un rappel de tout ce qu’ils n’ont pas pu partager ensemble. Parce qu’elle l’a perdu pendant plusieurs années. Elle l’a laissé derrière elle comme elle l'a fait avec tout le monde et il aurait pu ne jamais lui pardonner. Ils y travaillent encore. Tout n’est pas aussi simple mais c’est aussi avec cette intention qu’elle lui demande d’être le parrain de son fils. Elle n’est pas totalement sereine parce qu’elle lui en demande beaucoup mais c’est aussi la preuve qu’elle tient à lui, qu’elle a confiance en lui aussi et qu’elle a l’intention de l’avoir dans sa vie pour toujours désormais. Et il accepte ce qui rassure, émeut et fait rire aussi la nouvelle maman. Beaucoup d’émotions qui se mélangent mais elle lui sourit pourtant tout en laissant son regard passer de son fils à son cousin. Ils sont beaux tout les deux, elle n’a pas de photo de Lucas avec ses filles, mais elle compte immortaliser ce moment où Lucas est devenu le parrain de Mael. « Normal c’est mon fils c’est le plus beau. » Elle sort son téléphone posé sur la table à côté de son lit, ignore les différents messages puisqu’il n’y en a pas de Caleb, et attire l’attention de Lucas. « Les deux beaux goss veulent bien poser pour moi ? » Elle rit un peu malgré son air fatigué, elle est heureuse Alex et ça se voit sur son visage, dans la sincérité de son sourire et dans son regard plein de tendresse. La maternité a le don de la rendre plus douce, plus tendre, mignonne même dirait Caleb et ça se prouve encore aujourd’hui. « Voilà tu fais officiellement parti de sa vie. » Ce n’est pas vraiment officiel, ce n’est qu’une photo mais cette photo sera dans l’album de Mael et elle espère qu’il y en aura pleins d’autres avec Lucas dans l’album de la vie de Mael, et dans sa vie à elle aussi. A peine a-t-elle pu envoyer la photo à Caleb, une photo accompagné de pleins de cœurs, que les pleurs du nouveau né se font entendre. Il est si petit et pourtant ses pleurs sont déjà bien audibles et elle voit dans le regard et dans les paroles de Lucas qu’il est démuni face aux pleurs du bébé et qu'il se met même à douter de son tout nouveau rôle de parrain alors qu'il dépose le petit dans les bras de sa maman. « Je suis certaine que tu vas très bien t'en sortir, regarde tu as compris très vite ce qu'il voulait. » Elle ne sait pas ce que le petit veut, personne ne le peut vraiment alors qu'il a à peine deux jours et qu'ils apprennent encore à se connaître, mais il ne pleure plus et Alex tente de rassurer Lucas pour éviter qu'il ne change d'avis. Mais c'est rapidement sur son fils que son regard se pose, le regard tendre d'une mère qui est toujours aussi incroyablement admirative de la beauté de ce petit être qui vient d'entrer dans sa vie. Elle relève les yeux vers Lucas quelques secondes, lui souriant alors qu'il évoque un super pouvoir. « Mon super pouvoir c’est que je l’ai porté pendant 8 mois, j'ai un petit avantage avec lui, ça aide d'avoir été son domicile pendant tout ces mois. » Elle sait que pour le moment elle est la source d’apaisement de son fils, elle sait qu’elle est encore attachée à lui, bien que le cordon ne les relis plus, il y a encore cette connexion et Mael se calme instantanément quand il se retrouve contre la poitrine de sa mère, posé contre le cœur d’Alex, sa main qui serre le doigt de sa maman, il ferme les yeux et Alex lui caresse le front avec douceur en repensant à ces dernières semaines ou elle le sentait cogner dans son ventre, ou elle le sentait bouger, se retourner, avoir le hoquet, et aujourd'hui elle le tient contre elle, c'est toujours assez incroyable finalement. « Mais Lucas, plus sérieusement, vous allez apprendre à vous connaître tout les deux, tu as réussi à me supporter il ne pourra pas être plus dur à gérer que moi. Tu seras un super parrain j'en doute pas. » Elle est sérieuse, parce qu'elle connaît Lucas, il a beau ne pas être à l'aise avec les bébés, elle le connaît, elle connaît ses valeurs, et elle a beaucoup de respect pour lui et cette demande en est bien la preuve non ? Et si l'émotion est présente depuis cette demande d'Alex, elle le devient encore plus quand Lucas, avec hésitation, demande à rencontrer les jumelles. « Oh mais bien sur. » Qu’elle commence par lui répondre émue par sa demande. « Ce serait avec plaisir, j'ai hâte de te les présenter, je ne voulais pas forcer les choses mais tu fais parti de la famille et je serai plus qu'heureuse que tu rencontres enfin les filles. » Parce qu'il ne les a jamais vu, les deux petites princesses, il n'a jamais vu autrement qu'en photo les deux enfants d'Alex et aujourd'hui, il semble le vouloir ce qui donne des raisons d'espérer pour Alex. D'espérer que désormais leur vie est liée l'une à l'autre pour toujours. Et c'est aussi en pensant à ces filles qui sont avec leur père en ce moment, qu'elle pense à Nathan. « Je t’en ai pas parlé encore, mais j'ai quelqu'un d'autres à te présenter aussi. Nathan, notre premier enfant, Caleb l’a adopté, il vit avec nous désormais. Tu pourras le rencontrer aussi. » Les yeux rivés sur Mael, elle sait que ce sujet est toujours un peu compliqué pour elle, mais Lucas connaît son passé et si ça aide à se confier, le fait que ce soit suite à cette naissance qu’Alex s’est enfuie et a blessé Lucas rends la discussion un peu compliquée. Mais elle ne veut pas lui cacher ça, pas alors qu'il fait un pas vers elle et qu'il risque de l'apprendre un jour. « Je suis heureuse que tu sois là, vraiment. Dès que je peux reprendre le sport, on ira faire travailler ta jambe tout les deux, enfin si tu le veux mais dans tout les cas, je veux que tu gardes en tête que tu comptes pour moi et que je suis là pour toi quoiqu'il arrive. » Elles sont rares les déclarations d'affections d'Alex, mais elle a perdu beaucoup de monde, et elle a cru le perdre lui aussi, et peut-être qu'avec le temps elle réalise que les gens sont précieux et qu'il est temps de leur dire les choses.
ÂGE : 33 ans ≈ né à brisbane le 10.04.1991, luke est un bon bélier comme il faut SURNOM : luke, mais il ne tire pas plus vite que son ombre, t'as capté - une jolie blonde aime l'appeler looser - il arrive que deux petites tornades l'appellent tonton STATUT : célibataire, briseur de coeur parfois, même du sien MÉTIER : ex-pompier, en reconversion LOGEMENT : fortitude valley, james street #30 POSTS : 853 POINTS : 820
TW IN RP : addictions, parents toxiques, incendies, maladie dégénérative TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sous ses airs nonchalants, c'est simplement un coeur tendre qui ne sait pas utiliser les mots ≈ fan de vieilles musiques et de vinyles ≈ on le croise souvent en balade en ville avec son chien, jazz ≈ écolo et végé, il adore parcourir les brocantes et fripes pour chiner de seconde main ≈ fume comme un pompier ≈ tromboniste amateur ≈ pas forcément le couteau le plus aiguisé du tiroir ≈ insomniaque depuis son accident en 2022 ≈ même s'il est réservé, il a tendance à user de ses charmes pour mettre une fille dans son lit ≈ se rend plusieurs fois par semaine aux NA depuis 2024DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #003333 RPs EN COURS : répertoire téléphonique : greta - joaquin - joshua - olive
how can you just walk away from me? when all I can do is watch you leave 'cos we've shared the laughter and the pain and even shared the tears ≈ mallen #7
just take my hand hold it tight i will protect you from all around you i will be here don't you cry ≈ millie #1
lady, running down to the riptide taken away to the dark side i wanna be your left-hand man ≈ mabel #5
can it be that it was all so simple then? or has time re-written every line? if we had the chance to do it all again, tell me, would we? could we? ≈ olive #4
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Même s’il a accepté de devenir le parrain du fils de sa cousine, Lucas se sent alors pris d’une petite angoisse lorsque ce dernier se met à pleurer dans ses bras. Son premier réflexe est alors de le rendre à sa mère, ce qui a pour effet de calmer instantanément de le nourrisson. Cela rassure et impressionne à la fois le jeune pompier, qui se demande bien de quelle sorte de magie il peut bien s’agir. Évidemment, tout tient au fait qu’Alex a partagé huit mois complet avec son bébé avant sa naissance. Le lien qui les unit sera toujours incompréhensible pour autrui. C’est certainement cela que l’on appelle l’instinct maternel, pense alors Lucas. « C’est sûr que ça doit aider… », répond-il à sa cousine avec un petit sourire. Il observe sa cousine câliner Mael, sans rien dire. Quand elle était enceinte, la première fois, il ne se serait pas imaginé la voir si à l’aise dans son rôle de mère. Elle avait tellement mûri - à l’évidence devenir parent vous change. Parfois, Lucas se demande ce qu’il s’est passé après sa première grossesse, mais il n’ose jamais lui demander, de peur d’ouvrir une boîte de Pandore. Mais Alex le sort de ses pensées, le rassurant sur le fait qu’il sera un bon parrain pour son fils, et qu’il saura de mieux en mieux s’en occuper avec le temps. « J’espère bien ! », dit-il, avec enthousiasme. Il enchaîne en proposant de rencontrer les filles d’Alex, lorsque celle ci sera plus reposée et de retour chez elle. Cette dernière accepte sans hésiter, visiblement émue et heureuse que Lucas lui demande à voir ses jumelles. Il ne sait pas trop comment réagir face à l’émotion contenue de sa cousine, comme si elle attendait depuis un moment que Lucas lui fasse cette proposition. Il se contente de serrer doucement sa main dans la sienne, sans un mot. Puis, comme si elle avait lu dans ses pensées, Alex aborde le sujet que Lucas avait tant de mal à aborder avec elle. Ainsi, Nathan, leur premier enfant vivait avec eux. Le jeune pompier avait tellement de questions à lui poser, soulagé que sa cousine vienne finalement lui apporter quelques réponses sans qu’il n’ait besoin de lui demander. « Oh, je savais pas qu’il vivait avec vous… Enfin, je savais rien du tout, j’osais pas te poser la question, pour être honnête… », commence Lucas, timide. « Mais, je serai vraiment super heureux de le rencontrer aussi ! », finit-il, heureux et soulagé. La communication entre eux deux semble se rétablir au fur et à mesure de leurs rencontres, chose impensable pour Lucas il y a encore quelques mois. Tout comme la déclaration que lui fait Alex en ce moment même. Il est un peu perdu et ému à la fois. Ne sachant quoi répondre, il se racle la gorge ; il a toujours eu un peu de mal à exprimer ce qu’il ressentait, lorsqu’il y réfléchit. « J’espère que t’es prête à courir. Parce que Jazz, lui, il attend pas. », répond-il avec humour, en faisant référence à son chien qui est toujours excité et partant pour une balade sportive. Il n’a pas su lui dire qu’il était heureux de pouvoir faire partie de sa famille et compter sur elle, certainement encore trop fier pour lui dire ces choses qu’elle a eu le cran de lui dire. Lucas a besoin d’encore un peu de temps. « Bon, je vais te laisser te reposer. Tu salueras Caleb pour moi, hein ? », dit-il en se levant de sa chaise pour planter un baiser sur la tempe de sa cousine. « Et toute ta petite tribu aussi, au passage. », continue-t-il, avec un grand sourire. Il vérifie n’avoir rien oublié avant de repartir, puis se dirige vers la porte de la chambre. Avant de sortir, il jette un dernier regard vers sa cousine. « Oh, et… si t’as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas. Je suis là pour toi, moi aussi. », lui dit-il, avant de prendre la poudre d’escampette quelques secondes plus tard.
is this really my life ?
i could run from it all but I'd only get lost oh, I've walked on the bridge that I shouldn't have crossed and I find myself, a user oh, I wake every day with addictions to feed they all call me a friend but I'll never be freed from the face of a faithless future