ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
TW IN RP : cicatrices, coma GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, voyage aux quatre coins du monde pour le travail › riche héritier de l'empire immobilier le Walker Group › éloquent, droit et calme, il est d'une nature très observatrice › une jambe meurtrie par un accident de la route, il boite fréquemment › d'apparence assez impénétrable, il a en réalité un coeur trop grand pour son propre bien › propriétaire de trois chats › passionné de belles voitures et motardDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #cc0000 RPs EN COURS :
WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
Mains dans les poches - les siennes, pour une fois, Channing déambule sur le ponton en souriant aux yeux qui croisent les siens. Maintenant que ce bateau au nom douteux a pris le large, il n'a plus aucune raison de rester dans l'ombre des cales et peut retrouver le soleil et l'air marin du ponton en plus de la charmante compagnie des voyageurs fortunés qui l'occupent. La main tantôt happée par un portefeuille puis un paquet de cigarettes, le brun s'excuse d'un sourire lorsque son épaule en brosse une autre, avant de se remettre dans le sens de la marche en portant le petit cigare à ses lèvres. Surprenant qu'il ne se soit pas résolu à vendre ce briquet calligraphié dérobé avant son départ, mais la petite flamme lui est bien utile lorsqu'elle embrase l'extrémité de la havane et que le goût du tabac envahit sa bouche. Focalisé sur le plaisir éphémère du renouveau à bord de ce navire inconnu, ses yeux bleus auscultant distraitement la façon dont les feuilles du cigare se superposent, il ne voit pas la femme de chambre sortir de son allée et l'heurter de plein fouet. La serpillère et le seau l'accompagnant se déversent sur le sol, ses pieds évitant de justesse la vague d'eau sale, et ses mains réajustent son équilibre en saisissant les épaules de la jeune femme. « Oups. » échappe-t-il avec une sérénité tout à fait déconcertante, s'excusant d'un sourire alors que ses mains descendent le long des bras de l'inconnue avant de les quitter. « Désolé, ça va ? » Pas que cela change quoique ce soit, mais cela donne à son regard une excuse pour capturer le sien le temps qu'il glisse son bracelet dans sa poche.
Il recule d'un pas, réinstaurant une distance raisonnable entre la brune et lui, la regardant se pencher pour récupérer son matériel en se pinçant les lèvres. Ses sourcils se froncent, et lorsqu'elle se redresse Channing a croisé les bras avec un sourire taquin. « Non sans rire, Eileen James. » constate-t-il avec un mélange d'horreur et d'amusement tout à fait sincère. « Je fuis ton père, il est pas dans l'coin quand même ? » Parce-que cette femme, elle est la fille de l'une des raisons pour lesquelles il a quitté le pays. Son père, un charognard parmi les autres, a mis sa tête à prix il y a quelques temps maintenant suite à l'une de ses petites blagues qui n'a pas fait franc succès auprès de sa victime. « Enfin, il a peut-être fait faillite si t'es là. » Il se détourne, sortant le bijou de sa poche pour le faire pendre au bout de son doigt et en admirer le raffinement, s'éloignant à pas lents de la demoiselle avant de se reporter vers elle. « Le compte en banque vide mais tu as gardé le goût des belles choses. » remarque-t-il, sourire aux lèvres en mettant en évidence le bijou qu'il a dérobé à son poignet.
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why does my heart cry ☽ you fooled me from the star when you let me start to love you. its like a bunch of broken picture frames, but the photo still remains the same. and i, i thought it'd be easy to run but my legs are broken. all alone, all we know, its hauting me. making it harder to breathe
Gabrielle ne fera sûrement pas fortune en tant que femme de chambre. Ou en tant que serveuse. Sa maladresse lui fait défaut et bien que cela ne soit que le début du voyage, elle s’est déjà faite remarquer par son supérieur qui n’a de cesse de lui rappeler d’être plus prudente, auquel cas il devra la jeter par-dessus bord. Fort sympathique comme méthode, bien que cela ne change en rien de ce que Gabrielle, ou plutôt Eileen, a pu connaitre jusqu’à ce qu’elle embarque au bord du Narelle. Aux grands mots, les grands moyens, la violence, les menaces, la peur et la pression semblent être les maitres mots dans ce monde, que ce soit celui auquel elle appartenait jusqu’à présent qu’au plus bas de l’échelle sociale. Un soupir s’échappe de ses lèvres alors que la jeune femme s’apprête à se rendre sur le ponton pour nettoyer le sol collant dû à de nombreux verres de champagne déversé par les invités. « Oups. » Son attention ailleurs, voilà qu’elle renverse jusqu’au contenu de son seau et manque, par la même occasion, de suivre le triste sort de son balai « Désolé, ça va ? » Mais heureusement, une âme charitable la rattrape « Ca va merci » fait-t-elle alors qu’elle se baisse aussitôt pour ramasser son seau et son balai, fuyant par la même occasion le regard.
« Non sans rire, Eileen James. » Et là, elle se fige dans ses gestes. Son regard vient à retrouver immédiatement celui de son interlocuteur, à la fois noir et paniquée « Je fuis ton père, il est pas dans l'coin quand même ? » Non et elle ne l’espère pas, alors que son cœur bat à mille à l’heure et qu’elle craint que l’inconnu ne puisse être un de ceux qui ficherait en l’air tout son plan, celui de sa fuite. « Enfin, il a peut-être fait faillite si t'es là. (…) Le compte en banque vide mais tu as gardé le goût des belles choses. » Et alors qu’il s’éloigne, elle se rend compte du bracelet qu’il lui a dérobé, ce même bracelet qui est un souvenir précieux de sa mère disparu tragiquement alors qu’elle était encore enfant. Elle ne le laissera pas filer et c’est pour cette raison qu’elle dépose son matériel dans un coin et se met à la poursuite de l’inconnu, le saisissant par le poignet et l’obligeant à la suivre dans ce qui s’apparente à une sorte de placard à balai. Refermant la porte derrière eux, c’est un autre visage qu’elle dévoile à l’inconnu « Qui êtes-vous ? Comment connaissez-vous mon nom ? son visage approche du sien et alors qu’il a le bracelet dans sa main, elle tente de le reprendre Rendez le moi ! »
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« Ca va merci » good to know. Le brun esquisse un sourire distrait à la dérobée, ne tarde pas à s'éloigner alors qu'il énumère une à une des remarques à l'intention de la soi-disant femme de ménage. La fille d'un puissant ne peut être dans une telle situation, sauf si elle l'a délibérément souhaité, et sa curiosité est piquée alors que ses yeux azur ondulent sur le bijou qu'il détient au creux de ses doigts. Un bracelet aussi raffiné qu'il a l'air, au premier coup d'oeil, tout à fait ordinaire. Rien de trop clinquant, mais si on s'applique à en apprécier les détails alors il ne fait aucun doute que cette petite chaîne coute bien plus cher que tout ce avec quoi il a rempli ses poches. et pourtant, la chasse a été bonne aujourd'hui. Lorsque la jeune femme daigne bouger, sortant finalement de sa transe après avoir gardé le silence, elle s'avance vers lui avec détermination et son sourire s'amuse ostensiblement. Il fait quelques pas en arrière, moqueur, désireux de la voir commencer à s'agiter vainement en agitant ses petits bras. Ses yeux lancent des éclairs et il n'en faut pas moins pour l'amuser, ses sourcils se fronçant brièvement lorsqu'elle attrape son poignet libre et l'encourage à la suivre. et qui serait-il pour renoncer à la demande si polie d'une si jolie fille ?
Channing suit la brune, tentant tant bien que mal de garder son sérieux lorsqu'elle le pousse dans un placard à balais et s'y enferme avec lui, ses yeux s'écarquillant sous l'amusement autant que la surprise. « Oh oh, woh. D'habitude elles ont de jolies cabines et me demandent au moins mon prénom avant de conclure. » ricane-t-il, un large sourire sur les lèvres, aussi séducteur qu'il est moqueur. Il surplombe la demoiselle d'environ vingt centimètres, et l'air sévère qu'elle adopte ne fait rien pour sa crédibilité. « Qui êtes-vous ? Comment connaissez-vous mon nom ? » et à l'image d'un petit chien hargneux, la brune se met à lui aboyer dessus en exigeant de lui des réponses. et tandis qu'elle s'agite, essayant par la même occasion de récupérer le bracelet toujours enroulé autour de ses doigts, ses lèvres se plissent en une moue peu convaincue et il lève sa main aussi haut que le plafond du cagibi le lui permet. « Rendez le moi ! » Conservant le bijou hors de sa portée, son regard ne lâchant pas le sien, le voyou conserve son intensité et sa curiosité toutes les deux sincères focalisées sur son interlocutrice. « Tu peux m'appeler comme bon te semble, je m'en moque. Voleur et connard sont surfaits, sois inventive. » Son attention se reporte chastement sur le bracelet, et ses doigts jouent un instant avec sa finesse. « Tu dois en avoir des coffres remplis, pourquoi est-ce que tu ne me laisserais pas celui-ci ? » interroge-t-il avec détachement, haussant mollement les épaules avant de se reporter sur la brune dont il chasse une mèche du visage de sa main libre, la coinçant doucement derrière son oreille sans se défaire de son sourire aussi charmeur qu'il est malicieux. « et promis, je garderais pour moi tes fantasmes. C'est pas très sexy les placards à balais, mais je respecte. » murmure-t-il d'une voix volontairement suave, riant à gorge déployée l'instant suivant.
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« Oh oh, woh. D'habitude elles ont de jolies cabines et me demandent au moins mon prénom avant de conclure. » Si son prénom l’intéresse, ce n’est pas pour conclure, comme il le dit si bien, aussi séduisant qu’il puisse être. Ce qui l’intéresse, en revanche, c’est de savoir comment ce bougre connait son identité, sa vraie identité. Représente-t-il une menace pour elle, mettant ainsi en danger sa couverture alors qu’elle souhaite fuir ce nom qu’elle ne veut plus s’attribuer ? Il ricane quand elle, à cet air on ne peut plus sérieux, limite menaçant, proche de lui car à l’étroit dans cet espace bien trop petit pour y tenir à deux. L’interrogeant d’abord sur le comment il connait son nom et sur son identité – ne daignant même pas y répondre – elle tente de récupérer son bracelet mais l’homme s’en amuse, jouant sur leur différence de taille pour lui rendre la tâche impossible « Tu peux m'appeler comme bon te semble, je m'en moque. Voleur et connard sont surfaits, sois inventive. » « Le mec sans cervelle te semble plus approprié ? » et il peut y déceler un sous-entendu quand, dans d’autres circonstances, elle aurait sûrement eu une arme sur elle et l’aurait menacé de celle-ci sur sa tempe, le naturel semblant revenir bien trop vite au galop… Elle a baigné dans ce monde bien trop longtemps « Tu dois en avoir des coffres remplis, pourquoi est-ce que tu ne me laisserais pas celui-ci ? » Elle ne répondra pas parce qu’elle ne lui fera pas ce plaisir de lui montrer que CE bracelet en particulier à une valeur sentimentale, et elle ne compte pas lui servir sur un plateau d’argent sa vulnérabilité. Et, comme s’il essayait de la convaincre, il a ce geste envers elle doux envers elle, plaçant une de ses mèches derrière son oreille, mais c’est sans compter sur Gabrielle qui la lui chasse aussitôt « et promis, je garderais pour moi tes fantasmes. C'est pas très sexy les placards à balais, mais je respecte. » « J’en ai un autre que tu ignores encore… » et c’est à cet instant que sa main vient à se saisir de sa partie intime, qu’elle pince un peu plus fortement en ajoutant « Maintenant… rends moi ce bracelet et c’est à elle d’avoir un sourire malicieux sur les lèvres, délaissant totalement son image de fille discrète, la Eileen James reprenant naturellement le dessus et surtout, tu vas me dire qui tu es Elle le libère de son emprise, le repoussant contre la paroi – il ne va pas bien loin vu la petitesse de l’endroit – son regard toujours planté dans le sien, l’air redevenu sérieux. n'oublie pas qui je suis... » autant que cela lui serve.
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« Le mec sans cervelle te semble plus approprié ? » Le brun fait mine de s'offenser, reculant légèrement son visage du sien pour hausser un sourcil à son attention. « Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans le fait d'être inventive ? » l'interroge-t-il d'un air tout à fait sérieux, penchant son visage sur le côté comme s'il regardait la demoiselle d'un air tout à fait curieux - et supérieur, soit disant passant. « La résonnance est particulièrement niaise, qui plus est. » ajoute-t-il en conservant le bijou hors de sa portée, restant sur sa faim. Bien des noms d'oiseaux lui correspondent pourtant, mais venant d'une bourgeoise - ou ce qu'il en reste, le terme de sans cervelle le déçoit. C'est dommage, surtout qu'il est bien plus intelligent qu'il ne s'en donne l'air et que toute personne avec un minimum de jugeote le devine rapidement. Il aurait presque été prêt à lui rendre sa breloque si elle l'avait agréablement surpris. Vraiment, vraiment dommage Eileen. Il fanfaronne encore un peu, portant sur ses épaules l'attrait de cette conversation, et ce jusqu'à être interrompu par une main entre ses jambes. « J’en ai un autre que tu ignores encore… » Il serre les dents, sa fierté conservant ensemble les morceaux de son visage, alors qu'il daigne finalement faire redescendre son bras d'un cran à sa demande. « Maintenant… rends moi ce bracelet » « Ça va, ça va... on se calme la petite rebelle. » râle-t-il en lâchant négligemment le bracelet dans sa main, se reculant contre la porte en pestant entre ses dents. Il reprend un peu de prestance en lissant le revers de sa veste, son sourire réapparaissant aussi vite qu'il a disparu alors qu'il met en oeuvre toute sa force de caractère pour ne pas réajuster les plis de son pantalon. Elle y a pris du plaisir, la garce. « et surtout, tu vas me dire qui tu es » À ceci, il peste un rire sifflé en croisant les bras, de toute façon bloqué dans ce cagibi tant qu'elle ne libère pas l'accès à la porte en sortant d'ici la première. « Comme si tu étais en position d'exiger quoique ce soit. » remarque-t-il sans la quitter des yeux, loin de prendre sa menace au sérieux. « n'oublie pas qui je suis... » Il hausse à nouveau un sourcil. Ce qu'elle est ? Il marque une pause, appuyant négligemment son dos contre la paroi à sa portée. « Qui tu es ? Il ne reste visiblement plus grand chose de la fille chérie à papa. Qu'est-ce que tu comptes faire, mh ? » Simple question, tandis qu'il hausse les épaules en regardant autour d'eux, l'odeur de poussière et de détergents ne rendant la situation qu'un peu plus comique.
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« Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans le fait d'être inventive ? » Peut-être qu’un coup de poing aurait été plus efficace pour lui faire fermer son clapet. « La résonnance est particulièrement niaise, qui plus est. » Pas certaine qu’il en aurait dit autant avec une arme braquée sur sa tempe au même instant et elle regretterait presque son ancienne elle à cet instant, juste pour remettre le moins que rien à sa place, celui-là même qui la juge du regard, se pensant supérieure à elle quand il n’est qu’une vermine parmi bien d’autres. Elle bouillonne, Gabrielle, et si elle préfère fermer les paupières pour contenir sa colère, il n’en faut pas plus la seconde d’après pour qu’elle vienne à se saisir à pleine main de la partie intime de son interlocuteur, compressant bien celle-ci afin qu’il lui rende son bracelet et ferme surtout sa grande bouche. « Ça va, ça va... on se calme la petite rebelle. » « Petite rebelle ? fait-t-elle en reprenant son bracelet, ne le remerciant pas pour la peine pas très inventif et particulièrement niais, si tu veux mon humble avis » son sourire se veut ironique alors qu’elle reprend ses propres termes, lui qui a su se moquer quelques secondes plus tôt du surnom qu’elle lui a donné. Le sérieux revient toutefois assez vite sur ses traits, n’en ayant pas fini avec lui qui connait sa véritable identité. Elle veut connaitre la sienne, aussi « Comme si tu étais en position d'exiger quoique ce soit. » « Je suis celle qui suis devant la porte, pour le moment » et il n’aura aucune chance d’en sortir, à moins qu’il décide à se montrer violent avec elle, mais il n’oserait pas faire du mal à une gentle lady, right ? Gaby lui rappelle surtout qu’il ne doit pas oublier qui elle est, la fille de Peter James, celui-là même qu’il semble fuir depuis quelques temps « Qui tu es ? Il ne reste visiblement plus grand chose de la fille chérie à papa. Qu'est-ce que tu comptes faire, mh ? » Il doit sûrement voir les éclairs dans ses yeux, ceux-là même avec lesquels, si elle le pouvait, elle aimerait pouvoir le foudroyer sur place « Aller voir le capitaine et signaler qu’il y a un brigand à bord de son bateau. Je suis persuadée qu’ils t’arrêteront aussitôt elle fait tournoyer son propre bracelet autour de ses doigts, faisant mine de réfléchir alors qu’elle s’approche de lui - pas bien difficile vu l’espace dans lequel ils se trouvent et je glisserais un mot comme quoi sa tête est mis à prix par un certain Peter James… Je suis sûre que ça fera son effet ». Son regard se plante dans le sien, elle se doute déjà de ce qu’il va dire et c’est pour ça que son index vient à se plaquer sur les lèvres du bougre « Oui, je sais, je risque de me vendre aussi. On serait alors deux à y perdre. Ce serait regrettable, tu ne penses pas ? Alors qu’il te suffit juste de répondre à une seule et unique question ». Un sourire forcé avant qu’elle ne lui permette de respirer à nouveau en retirant son doigt de devant sa bouche.
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« Petite rebelle ? Pas très inventif et particulièrement niais, si tu veux mon humble avis » Il ne la lâche pas du regard, imperturbable et réprimandant tant bien que mal la moue dédaigneuse qui oriente progressivement les traits de son visage. Si elle avait dix ans et lui onze, peut-être qu'une telle réplique l'aurait blessé. Mais dans les circonstances actuelles, le brun a du mal à croire ce qu'il entend et Eileen est loin de lui tirer une quelconque réaction. Se contentant par conséquent de faire mollement rouler ses yeux dans ses orbites, soupirant discrètement, il attend qu'elle poursuive en espérant qu'elle ait autre chose en stock pour rendre leur moment un peu moins ennuyant. « Je suis celle qui suis devant la porte, pour le moment » et c'est bien ce qui l'ennuie le plus, dans cette histoire. Parce-que si ce n'est pas pour son bracelet, Channing ne tient pas à s'attarder davantage ici. Mais s'il est un voleur, il n'est pas un brute pour autant, encore moins face à une femme - même si celle-ci ne s'est pas privée de lui broyer les couilles une minute plus tôt. « Ouais, ne te gêne pas si tu veux en bouger d'ailleurs. » se plaint-il sans entrain aucun, déjà las.
Leur conversation se poursuit lorsqu'il remet en cause sa légitimité à user de son nom, et la réaction de la fille à papa ne se fait pas attendre. Lorsqu'il l'interroge quant à son plan face à un refus d'obtempérer, la brune sort d'entre ses jolies lèvres une réponse toute trouvée. « Aller voir le capitaine et signaler qu’il y a un brigand à bord de son bateau. Je suis persuadée qu’ils t’arrêteront aussitôt » Un nouveau ricanement s'échappe d'entre ses lippes, et il sourit avec un amusement sincère à la demoiselle. Oh, un brigand. Comme s'il était le seul, comme si le capitaine pouvait l'enfermer dans les cales pour le restant de la croisière, comme si ce vieux matelot en avait quoique ce soit à faire de sa présence ici. « Oh non, pitié, pas le capitaine ! S'il vous plaît ma chère, pas ce vieux marin, il m'effraie avec ses dents en toc. » plaide-t-il d'une voix fragile et moqueuse, tordant son visage pour amplifier son petit manège, partant d'un rire franc avant qu'elle ne poursuive. « et je glisserais un mot comme quoi sa tête est mis à prix par un certain Peter James… Je suis sûre que ça fera son effet » « Que tu- » crois. Elle plaque son doigt sur ses lèvres et brusquement, son expression change alors qu'elle ne lui laisse pas la chance de terminer sa phrase. Leur proximité le fait se taire, et il l'écoute poursuivre. « Oui, je sais, je risque de me vendre aussi. On serait alors deux à y perdre. Ce serait regrettable, tu ne penses pas ? Alors qu’il te suffit juste de répondre à une seule et unique question » Il a menti s'il a prétendu l'écouter. Assez proche d'elle pour sentir son parfum, le brun acquiesce d'un air absent à sa requête avant de se pencher un peu davantage, faisant mine de s'orienter vers son oreille pour y murmurer un secret. Mais avant d'y chuchoter son prénom, ses mains ne mettent qu'un instant à saisir la demoiselle par les épaules et à inverser leurs rôles, et il se retrouve en une seconde devant la porte. « Plaisir partagé, mademoiselle James. » Il se recule, prêt à partir en ouvrant la porte de sa main libre, l'autre remontant au niveau de son visage alors qu'il y fait à nouveau danser un certain bracelet. « Tu peux m'appeler Channing. » statue-t-il avec un sourire, avant de prévenir la brune d'un signe de tête et de lui lancer son bijou. et dans un dernier clin d'oeil, il lui tourne le dos.
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« Ouais, ne te gêne pas si tu veux en bouger d'ailleurs. » La remarque lui fait échapper un léger rire malgré elle, tant son interlocuteur semble penser qu’une simple demande, aussi poliment formulée – ce n’est pas le cas – suffirait à la faire changer d’avis. Bien sûr que non, elle compte bien rester devant cette porte et ça jusqu’à ce qu’elle obtienne les réponses à ses questions quand elle voit en lui une menace évidente puisqu’il est le seul – jusqu’à présent – à l’avoir reconnu. Et c’est tout ce qu’elle veut éviter. C’est pourquoi, elle use de cette Eileen, celle qu’elle tente pourtant de laisser derrière elle, mais celle qui a vu plus d’une fois son père à l’œuvre – et qui a appris donc du meilleur en la matière – pour proférer des menaces et négocier une issue favorable autant pour l’un que pour l’autre. Balancer la présence du brigand sur le bateau semble être une alternative qu’elle est prête à envisager mais cela ne semble pas toucher l’inconnu « Oh non, pitié, pas le capitaine ! S'il vous plaît ma chère, pas ce vieux marin, il m'effraie avec ses dents en toc. » Ses yeux roulent dans ses orbites alors qu’il se moque royalement de ses dires mais reste imperturbable et surtout, énumère la suite de son plan en évoquant cette possibilité, celle de le vendre à son propre père. Et comme elle sait qu’il a à redire – à croire qu’on ne lui a jamais appris à la fermer, sa bouche s’entend – Gabrielle vient à poser son index sur ses lèvres « Que tu- » Elle fait mine de chercher à comprendre ce qu’il veut dire d’un air moqueur puis poursuit encore son plan tout établit en émettant une consigne claire : son nom et ils repartent tout deux de leur côté, sans risquer de se faire démasquer. Le jeune homme vient à se pencher au-dessus de son épaule, visiblement prêt à confesser son prénom et à céder à sa demande… Mais voilà qu’il en profite surtout pour échanger leur place, Gabrielle se retrouvant dos au mur, lui au dos à la porte. « Enfoiré ! » dit-t-elle alors qu’il lui glisse un « Plaisir partagé, mademoiselle James. » avant d’ouvrir la porte, prêt à se faire la male « Tu peux m'appeler Channing. » C’est sur son bracelet, qu’il est parvenu encore à lui subtiliser, que son regard est braqué, attrapant celui-ci au vol quand il daigne le lui envoyer avant de tourner le dos et prendre la poudre d’escampette. Elle compte bien avoir ce Channing à l’œil durant ce séjour et tentera, tant qu’elle le pourra, de l’éviter, surtout quand il sait qui elle est et qu’il pourrait mettre à mal tous ses plans.