ÂGE : trente-cinq ans. SURNOM : (jaq) lonnie, pendant un temps - révolu désormais. constantine fera largement l’affaire sinon, s’il faut vraiment. STATUT : célibataire, parce-que c’est toujours plus simple que d’expliquer qu’il a préféré choisir l’addiction à l’autre amour de sa vie, et qu’elle a refait sa vie avec un autre alors qu’il porte toujours son alliance autour de son cou. il n'essaie pas de la reconquérir, il se contente d'apprendre à être présent pour leur fils - et c'est déjà beaucoup de travail. MÉTIER : ancien militaire mis à la retraite bien trop tôt. a troqué l'emerald hotel pour la mhi, promu chef de la sécurité là-bas (on dit merci les contacts); ce qui lui permet de ne plus travailler pour sa famille et de s'émanciper. parrain chez les na+aa où il garde un œil très attentif sur les nouveaux protégés (parce-qu'il est trop bien placé pour ce genre de rôle, malheureusement). donne des coups de main pour servir les repas avec homeless connect. occupé, très occupé - entre ça et risquer la rechute, le choix est rapidement fait. LOGEMENT : un deux-pièces mal isolé dans fortitude valley, où il est facile de suivre le programme télévision des voisins et leurs histoires de couple depuis son propre canapé (squatté temporairement par son frère ambrose le temps qu'il trouve autre chose). POSTS : 1940 POINTS : 80
TW IN RP : deuil, maladie, drogues/médicaments, addiction, overdose, idées noires/pensées suicidaires, perte de garde d’enfant. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
AVATAR : jack lowden. CRÉDITS : daylight (avatar) › harley (gifs) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 13/06/2021
L’italien faisait tourner le whisky dans son verre d’une manière distraite. Son regard était porté bien au delà de toute scène se trouvant à moins de dix centimètres de lui, alors que l’agitation était totale aux alentours. Plein de détails méritaient d’attirer son attention: la façon dont certaines personnes se mettaient à courir dans tous les sens, celle dont d’autres s’étaient terrés dans leurs quartiers comme si fermer la porte de leur cabine allait leur apporter la moindre solution. Il y avait tant de détails à noter, au sein de ce chaos qu’Otto avait même pris le temps de s’asseoir au bar, d’attraper une bouteille laissée elle-aussi sans surveillance désormais et de se servir un verre. Autant joindre l’utile à l’agréable, ou plus l’agréable à l’utile en l’occurence pour cette partie de la soirée.
Car c’était exactement ce que comptait faire Otto désormais: rendre productif ce chaos. Si d’autres y voyaient la fin du monde, lui voyait une opportunité en or. Et il savait d’avance qu’il ne serait pas le seul dans cette situation à agir de cette sorte, puisque son regard avait remarqué un autre jeune homme, brun, dont le regard était autant intrigué qu’intriguant. Alors, une fois qu’il eut sa dose d’observation à distance, il parcourut les quelques mètres qui le séparaient de celui qui allait se révéler, il le savait d’avance, intéressant. « Je crois pas un mot de ce qu’a pu dire le capitaine. » Il tendit au brun le second verre qu’il avait pris le temps de remplir et d’emmener avec lui, avec un petit sourire accroché au coin de ses lèvres. Oh, qu’il aimait se retrouver vilain d’une histoire déjà palpitante. « J’ai l’impression que c’est juste un moyen de se foutre de votre gueule et d’en rire avec ses copains. Et toi, ton avis ? » Parce-que si le brun à côté de lui désormais répondait qu’il pensait que c’était du bon sens et qu’ils étaient effectivement tous foutus, peut-être que le regard qu’il portait sur la foule n’était pas un regard intéressé mais un regard possédé - et dans ce cas là, Otto n’avait plus qu’à prendre ses jambes à son cou, très rapidement.
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Channing Walker
La couronne d'épines
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
TW IN RP : cicatrices, coma GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, voyage aux quatre coins du monde pour le travail › riche héritier de l'empire immobilier le Walker Group › éloquent, droit et calme, il est d'une nature très observatrice › une jambe meurtrie par un accident de la route, il boite fréquemment › d'apparence assez impénétrable, il a en réalité un coeur trop grand pour son propre bien › propriétaire de trois chats › passionné de belles voitures et motardDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #cc0000 RPs EN COURS :
WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
Les esprits s'affolent, les pas se précipitent, et lui conserve son éternelle nonchalance en s'appuyant à l'une des poutres de la large salle de réception, ramenant l'une de ses jambes devant l'autre. Il comprend ces gens : ils ont tous quelque chose à perdre. Des coffres débordants de liasses et de bijoux, des bouteilles d'alcool toutes plus excessives les unes que les autres, probablement ont-ils également des proches sur la terre ferme et d'autres sortes de sottises auxquelles ils sont attachés. Ils ne veulent pas périr dans les eaux ténébreuses, encore moins se faire arracher la trachée par qui sait quelle pseudo créature soi-disant à bord. Channing comprend ces bourges qui se précipitent dans leurs cabines ou peu importe où - pas qu'il y ait un quelconque échappatoire à proximité, mais il ne partage pas pour autant leur urgence de se rendre quelque part. Les propos qu'a tenu le capitaine à propos de cette histoire de crâne sont rentrés par l'une de ses oreilles et ressortis de l'autre, et il n'a pas l'intention de s'agiter - le chaos, il aime l'admirer lorsqu'il n'est pas occupé à le provoquer. C'est par conséquent ce qu'il fait, ses yeux azur divaguant sur la frénésie qui l'entoure, à la recherche de la façon la plus intelligente de profiter du malheur des autres.
et, assez hasardeusement, ses prunelles rencontrent celles qui l'observent depuis quelques minutes - pas qu'il en soit vraiment conscient, ni qu'il en ait quoique ce soit à faire. L'homme a une démarche étrangement familière - similaire à la sienne, et deux verres en main dont un qu'il lui tend. « Je crois pas un mot de ce qu’a pu dire le capitaine. » Ses doigts s'enroulent autour du bourbon et il rend son sourire à l'italien, n'ayant pas même besoin d'entendre quoique ce soit de plus sortir de ses lèvres pour être sûr d'une chose : il l'apprécie déjà, lui et son intéressante indolence. « Merci. » souffle-t-il à l'intention de la boisson, faisant tinter machinalement son verre contre le sien avant d'en dérober une gorgée. « J’ai l’impression que c’est juste un moyen de se foutre de notre gueule et d’en rire avec ses copains. Et toi, ton avis ? » Il ricane brièvement à la remarque, haussant les épaules en laissant son regard se reporter sur une paire de bourgeois se saisissant respectivement l'un du col de l'autre. Leurs mains sont trop molles pour un jeu pareil, mais Channing trouve la scène étrangement divertissante. Ont-ils les yeux noirs ? « Mon avis ? » il répète, se reportant sur celui qu'il considère déjà comme son partner in crime, son sourire tout ce qu'il y a de plus sincère derrière la malice qu'il dégage. « Ils ont abusé de ce vieux bourbon et ont perdu les pédales. » Un regard au visage abîmé de ce vieux loup de mer avait suffi au brun à détourner son attention de son discours sans queue ni tête, et une nouvelle gorgée plus tard il délaisse son verre sur un comptoir à proximité. « Le truc c'est que j'ai bien envie de me marrer, moi aussi. Tu m'accompagnes ? » lance-t-il avec déjà plus d'entrain qu'il n'en avait il y a quelques secondes, le coin de sa bouche s'étirant et sa tête désignant d'un léger mouvement toutes les bêtises à leur portée.
rainmaker
why does my heart cry ☽ you fooled me from the star when you let me start to love you. its like a bunch of broken picture frames, but the photo still remains the same. and i, i thought it'd be easy to run but my legs are broken. all alone, all we know, its hauting me. making it harder to breathe
Malone Constantine
le prix du vice
ÂGE : trente-cinq ans. SURNOM : (jaq) lonnie, pendant un temps - révolu désormais. constantine fera largement l’affaire sinon, s’il faut vraiment. STATUT : célibataire, parce-que c’est toujours plus simple que d’expliquer qu’il a préféré choisir l’addiction à l’autre amour de sa vie, et qu’elle a refait sa vie avec un autre alors qu’il porte toujours son alliance autour de son cou. il n'essaie pas de la reconquérir, il se contente d'apprendre à être présent pour leur fils - et c'est déjà beaucoup de travail. MÉTIER : ancien militaire mis à la retraite bien trop tôt. a troqué l'emerald hotel pour la mhi, promu chef de la sécurité là-bas (on dit merci les contacts); ce qui lui permet de ne plus travailler pour sa famille et de s'émanciper. parrain chez les na+aa où il garde un œil très attentif sur les nouveaux protégés (parce-qu'il est trop bien placé pour ce genre de rôle, malheureusement). donne des coups de main pour servir les repas avec homeless connect. occupé, très occupé - entre ça et risquer la rechute, le choix est rapidement fait. LOGEMENT : un deux-pièces mal isolé dans fortitude valley, où il est facile de suivre le programme télévision des voisins et leurs histoires de couple depuis son propre canapé (squatté temporairement par son frère ambrose le temps qu'il trouve autre chose). POSTS : 1940 POINTS : 80
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« Merci. » Rien que le fait qu’il accepte sans aucun commentaire, sans broncher, le verre tendu en disait long sur l’homme qui se tenait devant lui. Il n’était pas venu contredire de suite les paroles de l’italien, alors cela également ne pouvait être que bon signe. Otto trinqua contre le verre dans entre les doigts du brun face à lui.
« Mon avis ? » Qu’il interrogea après avoir laissé un petit rire s’échapper l’instant d’avant. Le sourcil qui se haussa sur le visage d’Otto indiqua à son interlocuteur qu’effectivement, c’était ce qu’il attendait. Il voulait savoir si face à lui se tenait un allier ou un autre homme insignifiant - comme tous ceux qui s’étaient mis à courir et à s’agiter sous leurs yeux. « Ils ont abusé de ce vieux bourbon et ont perdu les pédales. » Et voyant que l’avis de l’homme à ses côtés rejoignait bien le sien, comme il s’en était douté, Lazzari se permit un petit rire en donnant une tape amicale sur l’épaule de son désormais compagnon d’infortune. « Il est même pas si bon que ça, le pire. » Mais ce fut avec élan qu’il avala cul sec le reste de son verre - non sans retenir une petite grimace.
Le verre de l’inconnu rejoignit le sien sur le bois du comptoir rapidement. « Le truc c'est que j'ai bien envie de me marrer, moi aussi. Tu m'accompagnes ? » Le sourire qu’étira Otto était désormais carrément intéressé. Jusque maintenant, il avait navigué ici et là à bord du bateau sans réellement prendre son pied, alors que la situation était idéale pour que ce soit pourtant le cas. Ce qu’il trouvait très honnêtement grandement dommage - alors il n’allait pas se faire prier bien longtemps. « Tu parles mon langage là. » Il se tourna vers la foule en délire - littéralement, pour le coup, sans qu’il ne croit un seul instant toujours que ce soit du à quelconque malédiction. « Je pense qu’on peut profiter de l’agitation générale pour repartir d’ici bien plus à l’aise qu’on est arrivés. » Il ricana un instant. « Si tu vois ce que je veux dire ? » Parce-qu’étant donné que pour Otto, le bateau traversait une simple tempête et serait au port le lendemain indemne, autant profiter que tous les autres aient perdu la boule pour s’en mettre plein les poches.
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Channing Walker
La couronne d'épines
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
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WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
« Il est même pas si bon que ça, le pire. » Son sourire gagne le sien, et en quelques minutes seulement les deux hommes se trouvent bien plus de points en commun que Channing n'en dévoile au quart de ses proches. Face à l'élan de courage de son acolyte, il vide à son tour le contenu de son verre et ces derniers se rejoignent sur le comptoir dans une grimace commune, le brun ayant clairement surestimé les placards de ce bar de première classe. « C'est de la pisse de cheval tu veux dire. » La demi-mesure n'est pas son fort, et le Walker ne voit aucune raison de préserver la fierté de cette vieille bouteille. Ces bourgeois prétendent tout au long de leur existence, et ce jusqu'à mentir sur la qualité de ce qu'ils boivent ? C'est si triste qu'il éprouve presque du chagrin à leur égard - presque.
« Tu parles mon langage là. » Voilà qui est bien plus réjouissant. Channing lui rend sa tape amicale sur l'épaule offerte un peu plus tôt, et agrémentant leur plan d'un clin d'oeil les deux hommes se tournent désormais vers la foule toujours aussi euphorique. « Je pense qu’on peut profiter de l’agitation générale pour repartir d’ici bien plus à l’aise qu’on est arrivés. » Son rire se joint au sien. Oh oui, ils parlent définitivement la même langue. Il faut savoir se saisir des opportunités qui se présentent, et celle-ci en est une non négligeable. Une fois la tempête passée, il sera bien trop tard pour ces braves gens de se rendre compte de l'ampleur de la supercherie - car ce n'est rien de plus, n'est-ce pas ? D'ici quelques heures, la mer se sera calmée et eux deux ricaneront dans une suite en entassant leur butin peu importe où. « Si tu vois ce que je veux dire ? » Ses yeux azur retrouvent les siens, et sa bouche s'étire en coin. « C'est très clair l'ami. » et sans rien ajouter de plus Channing s'avance dans la foule, jetant un coup d'oeil à celui qui le suit en prenant la direction des cabines, non sans se priver sur sa route de bousculer allégrement quelques affolés en réajustant prudemment leur équilibre d'un air désolé. Ses mains sont baladeuses, son sourire à peine dissimulé, et il exerce quelques demi-tours de ça et là en se remettant dans le droit chemin après ses pirouettes. et tout va pour le mieux, jusqu'à ce que celui qu'il bouscule soit plus rapide que lui à l'attraper - comment est-ce possible ? L'homme - ou ce qui s'y apparente, commence à le faire reculer en cherchant à... le mordre ? Le planter avec le couteau d'argenterie qu'il pointe dans sa direction ? « Eh, woh ! » eh ça va, il va lui rendre sa montre. Channing se décompose en croisant le regard de la chose, soudain bien moins souriant, découvrant des yeux globuleux et noirs qui semblent le regarder. « Mais fous moi la paix ! »
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Le rire qui s’échappa de lèvres du brun à ses côtés, en première réponse aux paroles d’Otto, arracha un petit sourire à ce dernier. Oh, il ne pensait pas pouvoir trouver quelqu’un si facilement qui soit sur la même longueur d’ondes que lui. Peut-être était-ce quelque-chose qu’il n’aurait pu réellement cautionner en dehors de ce bateau - et qu’il n’aurait pas du cautionner non plus ici mais ils étaient en quelques sortes en dehors du temps et des lois, le temps de la croisière. « C'est très clair l’ami. » L’autre homme semblait même en avance sur le plan proposé, alors qu’il s’avançait déjà dans la foule à peine l’italien lui avait-il fait le moindre signe de se lancer.
Un instant, Otto l’observa faire. Ses mains étaient habiles, son regard était amusé. Oh, il savait y faire pour sûr - alors Lazzari rejoignit la danse à son tour, à s’emplir les poches au fil des personnes auprès de qui il passait. Ce qu’il aimait particulièrement, et ce qui rapportait facilement à ses yeux, c’était les bijoux. Alors avec de beaux sourires il s’approchait des dames en détresse pour les délester du poids de leur or, de leur argent, de tout ce qui pourrait une fois de retour sur terre augmenter son capital.
Et il aurait continué pendant encore longtemps si la voix du brun, son nouveau compagnon de galère et de voyage, n’aurait pas résonné jusque lui. « Eh, woh ! » Otto laissa de côté les personnes qu’il avait dans son viseur pour se concentrer sur ce qu’il se passait plus loin - et il put s’apercevoir pour le coup que l’autre homme, celui que son ami voulait dérober, avait un couteau dans la main. Shit. « Mais fous moi la paix ! » Les gens cédaient vraiment très facilement à la panique, de leurs jours. Pestant dans sa barbe, il laissa cependant son instinct entrer en jeu alors qu’en deux ou trois enjambées, il se trouvait derrière l’étranger. D’un geste rapide, il passa son bras autour de la gorge de ce dernier, afin de l’immobiliser. « Tu vas lâcher ça. » D’où il se trouvait, il ne pouvait pas voir les yeux de l’homme qu’il tenait fermement, et de toutes façons puisque c’était là uniquement que de la panique généralisée, rien ne pouvait être vraiment dangereux non ? « Lâche le couteau. » Et de son autre main qu’il tendit, il essaya d’attraper celle de l’homme pour lui faire lâcher la ferraille.
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Channing Walker
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Channing n'attend ni plan ni feu vert, rien de tout ça n'entrant en considération dans leur situation, et ses pas le portent joyeusement là où les poignets semblent les plus décorés et les portefeuilles les plus garnis. Il pioche hasardeusement - sans être désintéressé, dans les vestons qui croisent son chemin, prenant un malin plaisir à s'amuser de tout ce cirque tant le jeu est désabusement simple, les victimes regardant partout sauf devant elles. Mais il en serait presque trop facile, preuve étant puisque ce bourge là le saisit par les épaules pour une raison qui lui échappe complètement - il n'a pas eu le temps de lui dérober le moindre billet. et si, dans un premier temps, le brun le pense ivre ou un peu trop énervé, il comprend rapidement que quelque chose de plus profond ne tourne pas rond. Channing est grand, fort et habitué aux petites querelles à mains nues. Mais ce type là a au moins vingt ans de plus que lui, fait dix centimètres de moins, et l'empoigne pourtant avec une force qui le fait reculer. Jouant les saintes-nitouches, le voleur tente de calmer le jeu et de se dédouaner, mais l'individu ne l'écoute pas le moins du monde. et lorsqu'il croise son regard, Channing non plus n'entend plus rien. Sa mâchoire claque dans le vide comme un chien déboussolé, il sent les algues et le poisson pas frais, et sa pupille ne se démarque pas sur son iris - ses yeux représentent une sphère parfaitement noire, brillante et vide. et au fur et à mesure qu'il prend conscience de ces détails, son visage se tord dans une grimace de dégoût, et l'instant suivant le bras de son acolyte tire la chose en arrière. « Tu vas lâcher ça. » ew. La prise de l'italien desserre celle que l'autre exerce sur ses épaules, et il esquisse maladroitement un pas en arrière sans quitter la scène des yeux. et, comme si le moment était idéal, Channing ne bouge pas en détaillant avec un drôle d'air l'homme qui s'agite d'une manière complètement désorganisée. Qu'est-ce que c'est que ça ? « Lâche le couteau. » Son compagnon de fortune parlemente, et lui lève la main en l'air en intimant au duo de ne pas bouger. « Surtout, ne le lâche pas. » indique t-il à l'italien. Il se tourne sur lui même, regarde autour d'eux à la recherche d'une arme - oui, une arme, parce-que ce truc là doit cesser de gesticuler et ne le fera pas sur simple demande. Alors il fouille les environs du regard, s'éloigne sans rien dire à l'italien, et revient l'instant suivant avec une genre de pagaie arrachée à sa fonction première de décoration sur l'un des murs. Le brun revient, et prenant un peu d'élan et l'objet bien en main, s'occupe de donner un coup dans la tête de la bête. Il est un voleur, pas un tueur, et la scène fait se froncer ses sourcils avec écœurement lorsque du liquide noir s'échappe de la boîte crânienne de la victime. « C'était pas... un passager. » explique-t-il sans grande conviction en retrouvant le regard de son complice. Il ne faudrait pas qu'il le prenne pour un fou et essaie de le tuer à son tour, et c'est pourquoi Channing poursuit son explication. « Il était complètement... je sais pas, les yeux noirs et vides. » et s'il n'y avait que du bourbon dans son verre, alors ils ont peut-être un problème.
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La prise qu’imposait Otto à l’homme qu’il ne connaissait guère et dont il n’avait pas encore aperçu le visage, mais qui se voulait très menaçant envers le brun qui lui était dans son camp, eu au moins le mérite de libérer son acolyte. Ce dernier fit quelques pas en arrière, avec un air de dégout sur le visage. Il manquait un élément ou deux à l’italien pour comprendre exactement ce qu’il s’était passé pour qu’ils en arrivent aux mains de la sorte. « Surtout, ne le lâche pas. » Otto fronça les sourcils, mais fit en sorte d’obéir à l’ordre que l’on venait de lui donner - il y aurait surement de bonnes explications par la suite.
Sauf que lorsqu’il vit le brun arriver avec… une pagaie ? L’inquiétude était de mise pour le coup. « Oh, tu fous quoi là ? » Lazzari eut le temps de lâcher l’homme qu’il tenait toujours fermement au moment où l’autre assenait un coup de bois contre le crâne de ce dernier. « Mais t’es pas bien ou quoi ? » Dérober les gens et prendre leur pied en agissant ainsi était le plan initial. Pas d’assommer ceux qui avaient cédé à la panique suite à l’annonce du capitaine - que lui était-il passé par la tête ? « C'était pas... un passager. » - « Comment ça c’était pas un passager ? » Il avait quelques qualités, Otto, mais la patience ne faisait pas partie de cette liste. Et cela se voyait dans ses prunelles qui viraient noires - mais pas de malédiction, simplement d’énervement. « Il était complètement... je sais pas, les yeux noirs et vides. » Secouant la tête, autant de dépit que presque déjà lassé d’entendre des conneries, Otto finit par retourner le corps désormais inerte du troisième gars d’u mouvement de pied.
Ce qu’ils avaient désormais sous les yeux était à rendre le contenu de son estomac. « Oh mon Dieu. » Le visage de celui qui était à terre était livide, tout son globe oculaire comme teinté d’encre noir, et les traits de son visage étaient autant tirés d’effroi que… que de folie, il faudrait croire. « Dis moi que tu vois ça aussi et que je suis pas le seul. Que je perds pas la boule à mon tour. » Peut-être finalement que l’idée de la malédiction n’était plus à mettre de côté. Peut-être - non, il se refusait de céder à quelconque panique de son côté. « T’as déjà vu ça toi ? » Ce fut vers le brun qu’il releva son regard empli de dégout cette fois-ci.
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Channing Walker
La couronne d'épines
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
TW IN RP : cicatrices, coma GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, voyage aux quatre coins du monde pour le travail › riche héritier de l'empire immobilier le Walker Group › éloquent, droit et calme, il est d'une nature très observatrice › une jambe meurtrie par un accident de la route, il boite fréquemment › d'apparence assez impénétrable, il a en réalité un coeur trop grand pour son propre bien › propriétaire de trois chats › passionné de belles voitures et motardDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #cc0000 RPs EN COURS :
WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
« Oh, tu fous quoi là ? » Il s'excuse, mentalement, auprès de son complice et de cette chose avant de passer à l'acte. Dans leur malheur, l'italien et lui semblent d'ordinaires voleurs, pas de quelconques dégénérés, et son idée se confirme lorsque son complice ne commence pas à vouloir le tuer à son tour en assistant à la scène. Il faut dire que, face à une telle violence sans contexte, certains ripous n'auraient pas hésité une seule seconde avant de se jeter corps et âmes dans un bain de sang pour le simple plaisir d'en voir couler. Mais visiblement, aussi décontenancé et énervé que soit l'autre, il n'est pas à côté de la plaque pour autant. « Mais t’es pas bien ou quoi ? » Il le regarde, laisse pendre la pagaie au bout de son bras, et reprend une seconde durant son souffle. Il n'est pas un tueur, n'avait même jamais arraché la vie à quelqu'un avant de l'ôter à cette chose, et son coeur tambourine un minimum. « Regarde le, regarde ses yeux ! » l'encourage-t-il, la mâchoire serrée. L'odeur qui émane du corps lui donne soudainement la nausée, et Channing doit se faire violence pour ne pas tourner la tête.
« Comment ça c’était pas un passager ? » Ses yeux reflètent son désarroi - il n'a aucune explication plausible à lui fournir, et ne veut pas laisser de telles bêtises sortir d'entre ses lèvres. L'autre ne le croirait pas, et il serait bien incapable de lui en vouloir. Désignant une nouvelle fois le cadavre d'un geste de la main, l'italien s'impatiente finalement assez pour le retourner à l'aide de son pied. et dieu soit loué - absolument pas, la chose a toujours le même visage déformé et strié d'encre noire. « Oh mon Dieu. » Cela l'arrange qu'il voit la même chose que lui. Cela le rassure même, beaucoup. Enfin, pas trop non plus, mais au moins il n'est pas le seul à voir ça. « Ouais... ouais, voilà, ça. » articule-t-il en déglutissant, avant de chasser le regard à nouveau. Ses tripes se nouent, et il ne veut pas les rendre au milieu de cette salle. Sa fierté ne s'en remettrait pas. « Dis moi que tu vois ça aussi et que je suis pas le seul. Que je perds pas la boule à mon tour. » Channing dépose la pagaie à proximité en l'appuyant sur un meuble, puis se passe nerveusement la main dans les cheveux en marchant un peu. L'instant suivant, il redresse le regard vers son complice. « Je vois la même chose que toi, putain. Il y avait rien d'autre que du bourbon dans le verre, hein ? » demande-t-il pour s'en assurer, un minimum inquiet mais pas paniqué non plus. Il y aurait très bien pu y avoir de la drogue dans la boisson qu'il ne l'aurait même pas sentie tant son goût était abjecte. « T’as déjà vu ça toi ? » Il secoue la tête, répondant par la négative avant de balayer ce qui les entoure d'un regard. « Non, non jamais. Pas de panique, d'accord ? » Il se reporte sur lui. La dernière chose dont ils ont besoin est de perdre leur calme. « Tu te portes comme un charme, tu n'as ni les yeux noirs ni la mâchoire qui pend, et tout va bien. Moi aussi, n'est-ce pas ? » Ils doivent faire front ensemble, peu importe ce qui se passe sur ce foutu navire.
rainmaker
why does my heart cry ☽ you fooled me from the star when you let me start to love you. its like a bunch of broken picture frames, but the photo still remains the same. and i, i thought it'd be easy to run but my legs are broken. all alone, all we know, its hauting me. making it harder to breathe
Malone Constantine
le prix du vice
ÂGE : trente-cinq ans. SURNOM : (jaq) lonnie, pendant un temps - révolu désormais. constantine fera largement l’affaire sinon, s’il faut vraiment. STATUT : célibataire, parce-que c’est toujours plus simple que d’expliquer qu’il a préféré choisir l’addiction à l’autre amour de sa vie, et qu’elle a refait sa vie avec un autre alors qu’il porte toujours son alliance autour de son cou. il n'essaie pas de la reconquérir, il se contente d'apprendre à être présent pour leur fils - et c'est déjà beaucoup de travail. MÉTIER : ancien militaire mis à la retraite bien trop tôt. a troqué l'emerald hotel pour la mhi, promu chef de la sécurité là-bas (on dit merci les contacts); ce qui lui permet de ne plus travailler pour sa famille et de s'émanciper. parrain chez les na+aa où il garde un œil très attentif sur les nouveaux protégés (parce-qu'il est trop bien placé pour ce genre de rôle, malheureusement). donne des coups de main pour servir les repas avec homeless connect. occupé, très occupé - entre ça et risquer la rechute, le choix est rapidement fait. LOGEMENT : un deux-pièces mal isolé dans fortitude valley, où il est facile de suivre le programme télévision des voisins et leurs histoires de couple depuis son propre canapé (squatté temporairement par son frère ambrose le temps qu'il trouve autre chose). POSTS : 1940 POINTS : 80
TW IN RP : deuil, maladie, drogues/médicaments, addiction, overdose, idées noires/pensées suicidaires, perte de garde d’enfant. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
AVATAR : jack lowden. CRÉDITS : daylight (avatar) › harley (gifs) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 13/06/2021
« Regarde le, regarde ses yeux ! » Bien sur que temporairement, la confusion était de mise chez Otto. Il avait bien failli se prendre un coup de pagaie en pleine poire, bien que ce dernier ait été destiné au troisième homme de leur duo. Il l’avait tenu tellement près de lui pour qu’il se défasse du brun, que l’attaque initiée par ce dernier l’aurait emporté dans l’élan également s’il n’avait pas eu les bons réflexes. Mais pour une fois, l’italien obtempéra sans trop broncher et effectivement, alors qu’il retournait le corps désormais sans vie de l’inconnu, il se rendit compte que quelque-chose n’allait pas. Ce quelque-chose étant l’entièreté de son visage, des yeux aux traits tirés jusqu’au teint livide. « Ouais... ouais, voilà, ça. » Ce n’était pas possible: comment cet homme avait pu se transformer de la sorte ? Ce n’était pas humain, et c’était encore moins normal. « Je vois la même chose que toi, putain. Il y avait rien d'autre que du bourbon dans le verre, hein ? » Otto secoua rapidement son visage. « Non promis, que du bourbon. » Il voulait s’amuser aux côtés du brun à partir du moment où leurs chemins s’étaient croisés dans la salle de réception, pas avec lui.
« Non, non jamais. Pas de panique, d'accord ? » Otto passa une main sur son visage. « Je panique pas, c’est pas mon genre de toutes façons. » Il était plutôt la force tranquille, l’italien - en revanche, s’énerver ça il savait le faire dans les règles de l’art. « Tu te portes comme un charme, tu n'as ni les yeux noirs ni la mâchoire qui pend, et tout va bien. Moi aussi, n'est-ce pas ? » Les azurs de Lazzari se reposèrent sur son nouvel acolyte - ils avaient s’en souvenir de leur rencontre. « Non c’est bon, t’as rien d’un fou furieux comme lui là. » Et s’il était d’humeur à s’amuser et faire la fête jusqu’alors, l’envie était finalement passée à Otto. Parce-que si toute personne s’approchant trop proche d’eux pouvait finalement se révéler être folle à lier de cette façon, ce n’était pas comme ça qu’il voulait passer sa soirée. « Y’avait rien dans notre bourbon, mais doit bien y avoir autre chose dans la boisson que lui a bu par contre. T’as vu s’il avait un verre ? Ou autre chose dans la main avant de venir vers toi ? » Parce-qu’il avait des moeurs légères, Otto, mais là il ne voulait pas se faire avoir - et il voulait surtout savoir s’il avait pas ingéré plutôt quelque-chose par inadvertance.
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Channing Walker
La couronne d'épines
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
TW IN RP : cicatrices, coma GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, voyage aux quatre coins du monde pour le travail › riche héritier de l'empire immobilier le Walker Group › éloquent, droit et calme, il est d'une nature très observatrice › une jambe meurtrie par un accident de la route, il boite fréquemment › d'apparence assez impénétrable, il a en réalité un coeur trop grand pour son propre bien › propriétaire de trois chats › passionné de belles voitures et motardDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #cc0000 RPs EN COURS :
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« Non promis, que du bourbon. » C'était déjà une bonne chose, n'est-ce pas ? Cela signifiait qu'il pouvait lui faire confiance et de lui son allié, et si ce chaos était réel ils ne seraient pas trop de deux. Channing acquiesce, croyant sa parole et se reportant avec un minimum de dégoût sur l'homme - ou ce qu'il en reste, sur le sol. Le liquide épais et sombre qui s'échappe de son cortex cérébral est aussi intriguant qu'inquiétant, et le brun recule d'un pas afin de s'assurer de ne pas entrer en son contact. Qui sait comment cette maladie - ou peu importe ce dont il s'agit, se transmet ? « Je panique pas, c’est pas mon genre de toutes façons. » Une bonne nouvelle de plus. Lui non plus n'est pas du genre à s'affoler, mas il peut tout à fait concevoir que cela soit déroutant. Lui-même a déjà vu bien des choses en tout brave voyou, mais ce scénario est une première et l'inconnu a une tendance effrayante - ou excitante, que la routine ne connait plus. « Tant mieux. Je ne voudrais pas devoir te foutre un coup de pagaie à toi aussi. » Il le dit sur le ton de la plaisanterie, le gratifie d'une tape sur l'épaule et d'un clin d'oeil, mais ils savent tous les deux qu'il ne rigole pas vraiment. Si son acolyte venait à se tordre, faire des bruits inhumains et vouloir lui croquer le bras, Channing n'hésiterait pas à le jeter par dessus bord. Tout comme il espère que l'autre n'hésiterait pas à en faire de même le concernant. « Non c’est bon, t’as rien d’un fou furieux comme lui là. » « Parfait. » Le duo regarde ce qui les entoure, les mains soudainement moins baladeuses, et le brun se pince brièvement les lèvres. Que sont-ils censés faire à présent que chacun marin ou passager qui leur tourne le dos peut vouloir leur arracher la gorge en se retournant ? « Y’avait rien dans notre bourbon, mais doit bien y avoir autre chose dans la boisson que lui a bu par contre. T’as vu s’il avait un verre ? Ou autre chose dans la main avant de venir vers toi ? » Il secoue la tête, vérifiant machinalement s'il n'y a pas de résidus d'éclats de verre à leurs côtés. Avant de faire les poches, Channing ne vérifie pas toujours ce à quoi s'affairent les mains de sa victime - tant qu'elles ne sont pas là où vont les siennes, c'est tout ce qui l'intéresse. « Non, je ne crois pas. » affirme-t-il avant de passer derrière le bar, là où le barman n'est plus. Ses mains se glissent dans les tiroirs, à la recherche d'un quelconque objet pouvant servir d'arme, et il tend après en avoir trouvé un un couteau à son acolyte. Lui reprend sa pagaie, contournant à nouveau le comptoir en resserrant ses mains sur le manche. « Viens, on ferait mieux d'aller trouver de quoi se défendre - mieux que ça, et peut-être de voir s'il reste des gens normaux. »
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why does my heart cry ☽ you fooled me from the star when you let me start to love you. its like a bunch of broken picture frames, but the photo still remains the same. and i, i thought it'd be easy to run but my legs are broken. all alone, all we know, its hauting me. making it harder to breathe