Un nouveau jour sur le Narelle, où tout le monde mène sa petite vie comme il l’entend. Les passagers sont ravis de leur séjour, découvre des horizons qu’ils n’ont jamais eu l’occasion de découvrir encore, admire l’immensité de l’océan qui s’étend à perte de vue et s’alimente au passage de l’histoire passionnante du Narelle et de ses différents périples. Eileen pourrait en être. Être de ceux qui savoure leur séjour, ne se préoccupe de rien d’autre que de passer du bon temps pour plusieurs jours. Mais Eileen n’est plus Eileen James et est désormais une pauvre femme de chambre et serveuse sur ce bateau de malheur. Elle est déjà de mauvaise humeur alors qu’elle pénètre dans cette énième cabine qu’elle doit astiquer de fond en comble parce qu’elle n’a aucune compétence en la matière et qu’elle fait toujours plus de dégâts qu’elle ne devrait. Dans la précédente chambre, elle a fait tomber un bibelot et celle encore avant, elle s’est tapée le tibia dans le lit, ce qui, évidemment, fait un mal de chien.
Un soupir et la voilà qui agite son plumeau et se saisit d’une tasse qui traîne par là pour pouvoir nettoyer convenablement le chevet. Et alors qu’elle s’applique à la tâche, une porte s’ouvre dans la cabine et un homme apparait dans l’embrassure de la porte. Sursautant, Eileen, par réflexe, envoie la tasse en direction de l’homme qui - heureusement ou malheureusement, ça dépend des points de vue – l’évite de justesse. « Toi ? » s’écrie-t-elle alors qu’elle reconnait le fameux Channing dont elle a fait la rencontre deux jours plus tôt « Qu’est-ce que tu fiches ici ? C’est pas ta cabine ! elle le sait parce qu’elle connait la liste des occupants des cabines par cœur et sait que celle-ci appartient à un dénommé Elias Browning. Pas sûr que ce Elias ressemble à ça en sortant de la douche, avec ses muscles saillants et… tu t’égares Eileen, stay focus.
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
TW IN RP : cicatrices, coma GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, voyage aux quatre coins du monde pour le travail › riche héritier de l'empire immobilier le Walker Group › éloquent, droit et calme, il est d'une nature très observatrice › une jambe meurtrie par un accident de la route, il boite fréquemment › d'apparence assez impénétrable, il a en réalité un coeur trop grand pour son propre bien › propriétaire de trois chats › passionné de belles voitures et motardDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #cc0000 RPs EN COURS :
WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
Le brun n'est pas doué pour beaucoup de choses. Toutefois, pour les quelques tirets figurant sur la liste, il est vraiment doué. et lier l'utile à l'agréable est une des capacités qu'il maitrise à la perfection, en tout bon opportuniste qu'il est. La veille au soir, Channing faisait la rencontre d'un certain Elias autour d'une bonne bouteille de rhum, et les deux hommes avaient fini la soirée dans la suite du voyageur de première classe en échangeant autour d'autres petits plaisirs. L'homme en question l'avait réveillé ce matin en quittant les draps, mais lui avait accordé tout le temps du temps pour faire ce que bon lui semblait avant de repartir - en précisant ne rien voler de trop ostensible, agrémentant sa requête d'un clin d'oeil qui avait fait sourire le voyou. et puisque cela avait été gentiment demandé, il avait accepté de se contenter d'embarquer quelques petits biscuits et d'emprunter sa douche ainsi qu'une paire de vêtements propres. Ce serait suffisant pour le compte de cet homme-ci, et il rentabiliserait le reste de sa journée d'une manière tout à fait productive. C'est donc dans un calme tout à fait serein, pas le moins du monde pressé, qu'il prend une douche exagérément longue dans la cabine et traine en serviette près de l'armoire sans parvenir à se décider sur quel ensemble jeter son dévolu. Il pourrait en embarquer plusieurs en remplissant la valise de cuir à proximité, mais une promesse est une promesse.
Indécis, prêt à chercher son inspiration ailleurs en flânant avant de retourner se poser devant l'armoire, il tombe toutefois des nues en voyant une tasse passer à un ridicule centimètre de son visage. Cloué sur place, ses lèvres s'entrouvrant, Channing regard les morceaux de porcelaine sur le sol avant de redresser le regard. Eileen James, plumeau à poussière en main, le regarde comme si elle avait vu un fantôme. « Toi ? » « Bonjour Eileen. » lance-t-il en reprenant de sa splendeur, son sourire malicieux caractéristique se redessinant progressivement sur ses lèvres. « Belle journée n'est-ce pas ? » « Qu’est-ce que tu fiches ici ? C’est pas ta cabine ! » Elle est, sans conteste possible, la plus rabat-joie de tout le navire. Ses yeux roulent dans leurs orbites et il soupire d'un air las, s'avançant vers un mini bar pour se servir un verre d'eau. Le bourbon lui fait de l'oeil, mais il a juste soif. « On m'a autorisé à y flâner autant de temps que je le voulais. Alors c'est ce que je fais, je paresse. » sourit il en portant son verre à ses lèvres, le levant brièvement dans la direction de la brune. « Beaucoup de poussière ce matin ? » l'interroge-t-il d'un air taquin, prêt à esquiver un nouveau bibelot. C'est de bonne guerre, il l'aime bien la petite rebelle.
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why does my heart cry ☽ you fooled me from the star when you let me start to love you. its like a bunch of broken picture frames, but the photo still remains the same. and i, i thought it'd be easy to run but my legs are broken. all alone, all we know, its hauting me. making it harder to breathe
« Bonjour Eileen. »Et voilà qu’il recommence, à user de ce nom qu’elle cherche à faire oublier « Gabrielle ! » le reprend-t-elle alors aussitôt pour l’interdire d’utiliser une fois de plus son ancienne identité. « Belle journée n'est-ce pas ? » Cet air suffisant, sûr de lui, l’agace au plus haut point et elle ne compte, de toute évidence, pas répondre à sa question. Elle n’est pas là pour faire la discussion avec lui, mais à faire son travail, surtout quand elle risque de finir jeter par-dessus bord si elle continue à être aussi mauvaise dans ce qu’elle fait. « On m'a autorisé à y flâner autant de temps que je le voulais. Alors c'est ce que je fais, je paresse. » Pourquoi elle ne le croit pas ? Tout simplement parce qu’elle a eu l’occasion de découvrir la personne qu’il était, un voleur nait, une arnaque à lui tout seul et c’est pour ça que son regard se plisse sous les mots du jeune homme « Bien sûr, parce qu’on te donnerait le bon dieu sans confession et que quiconque d’assez censé serait prêt à te faire confiance en te laissant vaquer à tes occupations dans sa cabine… elle le fixe du regard alors qu’il se mouve dans la pièce et poursuit Qu’est-ce que tu as fait pour le convaincre ? Ou plutôt, qu’est-ce que tu LUI as fait tout court ? elle pense évidemment à quelque chose de machiavélique et ne s’attend sûrement pas à être surprise par sa réponse. « Beaucoup de poussière ce matin ? » « Tu veux m’aider ? » fait-t-elle en lui tendant le plumeau, alors qu’elle affiche ce sourire faux sur ses lèvres, s’avançant vers lui. mais il te faudra une tenue un peu plus de circonstance. Et puis, il ne faudrait pas que tu te blesses en ramassant les bouts de verre fait-t-elle sur un ton ironique en désignant la tasse qu’elle lui a elle-même balancé, mais qu’elle ne compte évidemment pas ramasser non pas que je trouverai ça regrettable ». Son sourire s’agrandit avant qu’elle ne se fige devant lui pour lui donner le plumeau de force, le collant contre son torse.
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« Gabrielle ! » Quelle capricieuse. Ses mains se placent lentement en évidence et il incline posément la tête en signe de reddition, sifflant doucement pour calmer le jeu. Elle est d'une susceptibilité rare, et Channing se demande comment elle se préserve de cheveux blancs en semblant toujours sur le point de faire une crise de nerfs. « Doucement Gaby, doucement. Je plaisante, respire. » souffle t'il posément en se servant un verre, visiblement peu enclin à la laisser ruiner son moment. Il est trop à l'aise et trop détendu pour la laisser se faire contracter ses épaules et perturber son moment de calme dans la tempête, celui où une vie simple et sans trouble l'apaise le temps de quelques heures supplémentaires. Il voudrait ne jamais quitter cette suite et se contenter de fondre dans les bras de l'autre homme lorsqu'il le rejoindrait de temps à autre. Il aimerait se goinfrer de biscuits et de bon bourbon pour le restant de ses jours, sans avoir à dérober mille et un bijoux pour donner un sens à son existence. « Bien sûr, parce qu’on te donnerait le bon dieu sans confession et que quiconque d’assez censé serait prêt à te faire confiance en te laissant vaquer à tes occupations dans sa cabine… » Il lui jette un regard suspicieux, comme blessé qu'elle doute à ce point de sa parole. Il est un voleur, est attiré par tout ce qui a le malheur de briller, mais à tout deal équitable sait respecter sa part du marché. « Tu serais surprise. » se contente t'il de murmurer comme pour lui même en dérobant un biscuit dans une petite assiette. « Qu’est-ce que tu as fait pour le convaincre ? Ou plutôt, qu’est-ce que tu LUI as fait tout court ? » Son sourire se fait soudainement carnassier et le brun tourne la tête vers la femme de ménage. Oh, croit-elle qu’elle l’a attaché par les mains et torturé des heures durant ? Elle n'aurait pas tout à fait tord, mais le concept de torture a été bien plus délicieux cette nuit que celui auquel elle songe. « Est-ce que tu tiens vraiment à le savoir ? Je pourrais sans problème aucun te décrire toutes nos folies de cette nuit, mais je doute que tu veuilles les entendre. A moins que…? » Malicieux, il part d'un rire sincère en mordant une nouvelle fois dans sa mignardise. « Tu serais la bienvenue pour te joindre à nous. » ajoute t'il en toute innocence.
« Tu veux m’aider ? » Mais loin d'être distrayante ou amusante, la brune ne trouve rien d'autre à faire que de lui flanquer son plumeau dans les mains. « mais il te faudra une tenue un peu plus de circonstance. Et puis, il ne faudrait pas que tu te blesses en ramassant les bouts de verre. non pas que je trouverai ça regrettable » Il hausse les épaules, peu affecté, et prend l'attrape poussière sans sourciller. Une petite moue se dessinant sur les lèvres, il saisit par la suite la main de la brune et la pose à plat sur ses abdominaux. « J'ai rarement rencontré une femme aussi jolie qu'elle est ennuyante. C'est vraiment non négociable de faire le ménage, Gaby ? » demande t'il en lui faisant les yeux doux, battant volontairement des cils en s'amusant de la situation. Mais il ne se moque pas pour autant, définitivement très sérieux. « Je suis bien plus drôle que ce vieux plumeau et ces bouloches de poussière. » murmure t'il en usant expressément d'une voix suave. « Et je suis persuadé de savoir faire des choses qu'aucun homme bien élevé ne te fera jamais découvrir. »
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« Doucement Gaby, doucement. Je plaisante, respire. » Gaby ? A quel moment il a cru qu’ils étaient intimes au point de pouvoir la surnommer de la sorte ? Elle le fusille du regard, suffisant pour qu’il comprenne qu’il l’a mise en colère d’avoir utilisé ET son prénom d’origine ET ce surnom, préférant ne pas gaspiller de la salive pour lui. « Tu serais surprise. » Qu’il puisse être une personne de confiance ? Gabrielle en doute et n’y adhère pas, ayant bien eu trop l’habitude de côtoyer des hommes de son genre par le passé et si honnête elle a pu les croire au départ, elle n’a pu que constater que cela n’était que le fait d’un jeu bien caché. D’où le fait qu’elle cherche à comprendre comment il a pu obtenir la soi-disant confiance de ce Elias pour se retrouver uniquement vêtu d’une serviette nouée en-dessous de la ceinture devant ses yeux « Est-ce que tu tiens vraiment à le savoir ? Je pourrais sans problème aucun te décrire toutes nos folies de cette nuit, mais je doute que tu veuilles les entendre. A moins que…? (…)Tu serais la bienvenue pour te joindre à nous. » Gaby pouffe légèrement, d’un air mauvais « L’invitation est alléchante. Dommage que cela t’inclus dedans » S’il pense se vanter de son attrait pour la luxure et la choquer par les propos entretenus, il se trompe totalement sur sa personne Je n'ai pas envie d’entendre les détails croustillants. En revanche, j’en sais suffisamment pour savoir que je ne toucherai pas à ce lit » Un faux sourire qui laisse place à un air ennuyé de cet échange prend place sur ses traits, alors qu’elle vient à s’approcher de lui pour lui donner son plumeau, l’invitant à l’aider dans le ménage de cette chambre.
Mais rien ne semble le faire sourciller ou l’agacer, rien ne semble l’atteindre au point où il a l’audace d’attraper une de ses mains pour venir la faire se poser sur son torse « J'ai rarement rencontré une femme aussi jolie qu'elle est ennuyante. C'est vraiment non négociable de faire le ménage, Gaby ? » « Non négociable » c’est qu’il est convaincant et que son regard bleuté à un effet assez perturbant sur elle, alors qu’elle prononce ces deux mots en murmurant, sur un ton posé, son regard planté dans le sien. « Je suis bien plus drôle que ce vieux plumeau et ces bouloches de poussière. » Un sourire ironique prend place au coin de ses lippes, montrant une certaine réticence à cette affirmation « Et je suis persuadé de savoir faire des choses qu'aucun homme bien élevé ne te fera jamais découvrir. » « Tu serais étonné de connaitre mes expériences en matière d’hommes, Channing » dit-t-elle sans ciller, approchant même son visage du sien comme si elle le mettait au défi de faire mieux que ses précédentes conquêtes. « Et qu’est-ce que tu y gagnerai ? fait-t-elle en faisant valser son regard dans le sien, comme si elle y cherchait la réponse je n’ai pas de suite de luxe à t’offrir fut un temps, oui, maintenant, il devra se contenter d’une cabine qu’elle partage avec d’autres membres de l’équipage A moins que tu ne veuilles user de ce qu’il pourrait se passer, là tout de suite entre nous, pour mieux me vendre ensuite à mon père ? Tu obtiendrais sûrement ses bonnes grâces si tu lui ramenais sa fille, ceci dit… une pause de plus, et son visage approche alors du sien, son corps légèrement aussi alors que sa main, elle ne bouge pas d’un iota sur son torse. C’est finalement dans le creux de son oreille qu’elle vient à lui susurrer clever… » Elle peut le lui reconnaitre au moins.
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« L’invitation est alléchante. Dommage que cela t’inclus dedans » - « Je peux me contenter de regarder si tu préfères. » souffle-t-il sur le même ton, pas le moins du monde décontenancé par le soi-disant répondant de la brune. Gabrielle peut le nier à voix haute, mais son regard s'attarde partout sauf sur les poussières de la suite. « Je n'ai pas envie d’entendre les détails croustillants. En revanche, j’en sais suffisamment pour savoir que je ne toucherai pas à ce lit » - « Peur de salir tes petites mains prudes ? » Il hausse mollement les épaules, s'appuyant négligemment au meuble auquel il tourne le dos, ouvrant l'une de ses mains pour qu'elle y place le plumeau. Eileen James la sainte, il n'est qu'à moitié surpris, même s'il est un peu déçu. Ils pourraient tellement s'amuser si seulement elle cessait de se faire désirer. De sa main libre, Channing lui fait poser la sienne sur son torse, avant d'user d'un regard aussi implorant qu'il est dramatique. « Non négociable » Mais il insiste, loin de prendre son non pour une réponse, poursuivant. « Tu serais étonné de connaitre mes expériences en matière d’hommes, Channing » Voilà qui est un peu moins ennuyant. Oh, lui ne se refuserait pas à tous ces détails croustillants auxquels elle a renoncé un peu plus tôt. La curiosité étirant ses lèvres, la malice se reflète dans ses billes bleues alors qu'il murmure. « Surprends moi. » - « Et qu’est-ce que tu y gagnerai ? Je n’ai pas de suite de luxe à t’offrir » Cette fois, ses sourcils se froncent légèrement et il recule un peu son visage du sien. Il est un voyou, pas un homme d'affaires, et ne cherche pas à gagner quoique ce soit d'autre que quelques heures de plaisir et de chaleur. Concernant la suite, ils en ont déjà une. « Tu penses trop en Eileen James. Ce n'est pas dans le but de gagner ou perdre quoique ce soit, juste de profiter d'un moment. » C'est pour cela que les bourgeois sont terriblement ennuyeux. Ils réfléchissent trop, et toujours par intérêt - pas que cela ne lui arrive pas, mais certainement pas dans cette situation. « Tu ruines l'ambiance. » se plaint-il dans un souffle, alors qu'elle reprend. « A moins que tu ne veuilles user de ce qu’il pourrait se passer, là tout de suite entre nous, pour mieux me vendre ensuite à mon père ? Tu obtiendrais sûrement ses bonnes grâces si tu lui ramenais sa fille, ceci dit… clever » et à ça, ses yeux roulent dans leurs orbites et sa malice retombe avant qu'il se fasse valser le plumeau entre ses doigts et s'éloigne de la jeune femme. « Ton père me veut mort. Tu crois vraiment que je vais aller le trouver pour lui dire que sa fille est une dévergondée ? » Il soupire, passe distraitement l'attrape poussières sur une surface avant de l'abandonner sur la table basse. « Je vais m'habiller et te laisser à tes occupations, Gabrielle. Amuse toi bien avec tes toiles d'araignées. »
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« Je peux me contenter de regarder si tu préfères. » Elle pouffe légèrement, sans pâlir ni rougir, sans le lâcher du regard s’il pense que ses mots finiront par l’offusquer ou la choquer. Ils sembleraient qu’ils se livrent une sorte de bataille, celle des mots, ayant le souhait de finir par clouer le bec à l’autre. « Peur de salir tes petites mains prudes ? » Oh, s’il savait comme Gabrielle reconnait bien là le jeu dans lequel il se lance. La piquer pour mieux la faire réagir, attendant sûrement qu’elle lui prouve tout le contraire de ce qu’il peut lui dire ou qu’elle explose ce qui ne ferait que confirmer ses pensées. Elle ne lui en donne pas l’occasion cependant, se contentant de répondre sur un ton neutre et amusé « Tu as tout compris ». Elle approche de lui, lui pose le plumeau dans les mains quand lui vient se saisir d’une des siennes pour la poser sur son torse. Le geste la surprend, la déstabilise – il a une légère longueur d’avance sur elle à cet instant – mais elle tente de le camoufler quand, pourtant, il lui tend des invitations plus que parlantes quant à l’occupation à laquelle ils pourraient s’adonner. « Surprends moi. ». Eileen le pourrait, mais il y a de la méfiance à l’encontre de Channing, quand elle voit en lui qu’un opportuniste, qui attend forcément quelque chose en retour « Tu penses trop en Eileen James. Ce n'est pas dans le but de gagner ou perdre quoique ce soit, juste de profiter d'un moment. » Son sourcil s’arque alors sur ses derniers mots « Tu ruines l'ambiance. » Elle en serait presque désolée si elle n’avait d’autres choix que de trop penser Gabrielle, tant elle a à y perdre dans l’histoire. « Ton père me veut mort. Tu crois vraiment que je vais aller le trouver pour lui dire que sa fille est une dévergondée ? » Il s’éloigne – dommage, ils étaient pourtant proches – laissant Gaby seule près de ce meuble qui mériterait d’être dépoussiéré. Elle le suit du regard « Qui ne tente rien n’a rien. Ca pourrait fonctionner… juste et elle passe un doigt sur le meuble, observant la poussière qui reste sur son index avant de reporter son regard sur Channing je deviendrai celle qui veut ta mort et son air montre à quel point elle est sérieuse et qu’il devrait peut-être éviter de se la mettre à dos et là aussi, du fait de mon nom, tu sais que j’en connais un rayon sur le sujet » et sur comment si prendre pour faire disparaitre un corps en un rien de temps. « Je vais m'habiller et te laisser à tes occupations, Gabrielle. Amuse toi bien avec tes toiles d'araignées. » Voilà que c’est lui qui devient à son tour ennuyant, et c’est elle qui, à son tour, fait tourner ses yeux dans ses orbites « Je pensais qu’on devait s’amuser … laisse-t-elle échapper alors qu’elle vient récupérer le plumeau, le faisant faire un tour de sa main c’est toi qui casse l’ambiance maintenant, Channing et puis, elle contourne la table basse, s’approche à nouveau de lui, la malice plus que présente sur ses traits Je ne dirai rien sur ta personne à quiconque, tu en fais de même en arrêtant de m’appeler Eileen et… elle est désormais à sa hauteur, se saisissant de sa serviette qu’elle lui défait sans ménagement je peux te montrer que je n’ai rien d’une prude, comme tu le dis si bien ». Elle s’autorise un regard sur lui, dans son simple appareil avant de le pointer avec son plumeau sur son torse « You’re choice » et tourne alors les talons, volontairement.
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« Tu as tout compris » Elle est méfiante, trop prudente, terriblement ennuyeuse. et lui s'impatiente progressivement, n'ayant pas l'envie - ni le courage, de la courtiser plus longtemps. Elle lui plaît parce qu'elle transpire l'interdiction, que papa serait fou furieux en apprenant la nouvelle, et également aussi - mais ce de manière tout à fait superflue, elle est tout à fait son genre. Mais le voleur est volage, et son désir l'est tout autant. Il se lasse aussi vite qu'il s'intéresse, et plus la brune joue les saintes-nitouches plus l'agacement prend le dessus sur son envie de lui arracher ses vêtements. « Qui ne tente rien n’a rien. Ca pourrait fonctionner… juste » Son oreille est distraite à son attention, et ses pas le dirigent déjà vers le dressing pour qu'il puisse sectionner une tenue parmi celles d'Elias, certain que le bourgeois ne lui en tiendra pas rigueur. « je deviendrai celle qui veut ta mort » D'un geste symétrique, ses bras ouvrent l'imposante armoire, dévoilant une garde de robe bien garnie sur laquelle son regard ondule avec admiration. Des dizaines de tenues y sont alignées, toutes plus impeccables les unes que les autres, et Channing y fait prudemment glisser ses doigts tout en continuant d'entendre Gabrielle maugréer quelque chose. « et là aussi, du fait de mon nom, tu sais que j’en connais un rayon sur le sujet » - « Ca m'exciterait que tu parles de me tuer, mais uniquement si tu étais nue. Là, je t'écoute à peine Gaby. » lance-t-il sans même se retourner, prêt à sortir un cintre de la penderie lorsque ses yeux bleus sont happés par un ensemble. Comment faisait son amant d'une nuit pour choisir quoi porter en se réveillant ? Choisissait-il au hasard, ou parvenait-il vraiment à préférer une pièce à une autre ? « Je pensais qu’on devait s’amuser … c’est toi qui casse l’ambiance maintenant, Channing » Il hausse les épaules, la main posée sur un cintre en se tournant vers la brune qui s'approche soudainement. « Je ne dirai rien sur ta personne à quiconque, tu en fais de même en arrêtant de m’appeler Eileen et… » Toujours et encore des conditions, sait-elle seulement agir sans réfléchir ? « je peux te montrer que je n’ai rien d’une prude, comme tu le dis si bien » visiblement, oui. Stoïque, sa serviette à ses pieds, son regard ne quitte pas le sien alors qu'il ne bat même pas des paupières. « You’re choice » et, aussi facilement que cela, elle s'apprête à lui tourner le dos. Mais hors de question pour la brune de s'en tirer comme ça, et c'est à son tour de ne pas faire preuve de ménagement en attrapant son poignet au vol et en la ramenant contre lui. « Si tu penses t'en tirer comme ça. » murmure-t-il avec chaleur, soudain sans appel, avant de plaquer sa bouche contre la sienne sans lui laisser le temps de se plaindre comme elle sait si bien le faire.
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