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 Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyDim 23 Oct 2022 - 17:17

Calex
And darling I will be loving you 'til we're 70. And baby my heart could still fall as hard at 23, and I'm thinking 'bout how people fall in love in mysterious ways maybe just the touch of a hand. Oh me I fall in love with you every single day
Aujourd’hui n’est pas une journée comme les autres et depuis l’année dernière, la date du vingt-trois octobre est spéciale pour Alex et moi. Il y a un an jour pour jour nous nous sommes dit oui devant ma famille et nos amis les plus proches. Il y a un an je lui ai fait une déclaration d’amour venant du plus profond de mon cœur devant tout le monde, je lui ai promis amour et fidélité jusqu’à la fin de notre vie et si durant cette année 2022 j’ai tenu cette promesse sans aucune difficulté je compte bien renouveler cette promesse et cet engagement encore des années et des années. Alexandra fait de moi un homme heureux et comblé et tous les jours je me rends compte de la chance que j’ai de partager ma vie avec une femme comme elle. Une femme belle – oh que oui, et je vous assure que belle n’est pas assez fort pour décrire sa beauté – drôle, souriante et surtout une mère parfaite pour nos enfants. Elle représente tout ce que j’ai toujours rêvé, tout ce dont j’ai toujours eu envie et pour rien au monde je ne changerais la moindre chose. En un an des disputes il y en a eu et il y en aura encore beaucoup. Ça fait partie de nous et de notre couple, de nombreux traits de caractère montrent que nous sommes toujours très différents l’un de l’autre mais je pense toujours que les opposés s’attirent et que nous avons toujours été faits l’un pour l’autre. L’âme sœur, le grand amour, j’y ai toujours cru et je sais qu’Alex est le mien. En une année il y a également eu de nombreuses incompréhensions au sein de notre couple mais je sais que j’en suis également partiellement responsable. Cette première année en tant que couple marié n’a pas toujours été facile pour nous mais notre amour est assez fort pour surmonter tous les obstacles que la vie a décidé de mettre sur notre chemin. L’arrivée de Nathan dans nos vies a été rapide et inattendue, il restait un sujet que nous avions tous les deux peu abordé je sais que pour elle gérer ses sentiments et sa culpabilité face à notre premier fils n’est toujours pas évident à l’heure actuelle mais tous les jours j’essaie de lui donner un peu de ma force pour l’aider à affronter ses peurs la tête haute. J’aime ma femme, je l’aime plus que tout au monde. Sa présence et son amour sont devenu indispensables à mon bonheur.

Pensée à la fois terrifiante mais apaisante également parce que ce matin quand j’ouvre les yeux c’est son visage que je vois en premier. C’est sur sa joue que mes lèvres se posent avant que mon réveil ne sonne. Elle dort je ne veux pas la réveiller surtout que Mael s’est réveillé bien moins cette nuit que toutes les précédentes et quand je me lève je sais qu’il va être l’heure de manger pour lui alors je le prends avec moi en dehors de la chambre pour lui donner le biberon qu’il boit entièrement et après quelques minutes à le bercer il retombe assez rapidement dans les bras de Morphée. Deux cafés plus tard, une cigarette, une douche et un post-it laissé à l’attention de ma femme sur le frigo gribouillé d’un mot d’amour je quitte la maison croisant la nounou sur mon chemin en direction du travail. Je n’ai pas vraiment la tête à la cuisine ce matin et c’est d’ailleurs tout en échangeant plusieurs messages avec Alex que je prépare le service de ce midi. Service qui, comme tous les jours est plein à craquer. Je laisse l’équipe faire la fermeture du restaurant sachant que je ne compte pas rentrer tout de suite chez nous. Aujourd’hui nous fêtons nos un an de mariage et je veux marquer le coup en m’arrêtant chez un fleuriste pour lui acheter un énorme bouquet de ses fleurs préférées accompagnées de quelques roses rouges pour le garnir. Attention qu’elle semble apprécier quand je lui tends ce bouquet en rentrant en milieu d’après-midi.

18h45, je ressors de la douche et avant d’enfiler un nouveau costume acheté spécialement pour l’occasion je prends le temps de tailler ma barbe à la perfection afin d’être le plus présentable possible pour cette soirée en tête à tête romantique que j’ai en tête pour nous. Si je suis rapide pour me préparer je sais que c’est toujours loin d’être le cas pour ma femme à qui je laisse rapidement la salle de bain pour qu’elle puisse à son tour se préparer et j’enfile mon costume dans notre chambre avant de rejoindre nos enfants dans le salon. Nathan est sur l’ordinateur d’Alex en train de jouer à un jeu-vidéo et c’est sur le canapé que je m’installe en prenant Mael dans mes bras. Bien évidemment que Lucy le remarque puisqu’elle s’avance très vite vers nous et demande à nous rejoindre. Maintenant elle aussi sur le canapé je sens qu’elle tente de se rapprocher de moi, elle me parle, elle me demande des câlins aussi alors que Lena elle, joue avec l’un de ses jeux à quelques mètres de là. Mael finit par se rendormir ce qui ravi Lucy car elle peut avoir maintenant toute mon attention, elle monte sur mes genoux, elle s’agrippe à moi et je sens qu’elle n’est pas prête à me lâcher – ce qui ne me dérange pas plus que ça, soit dit en passant. Jusqu’à ce que j’entende Alex arriver derrière nous, je laisse Lucy partir rejoindre sa sœur et tout en me tournant vers ma femme je réajuste ma cravate. Elle est toujours belle, Alex. Elle l’a toujours été et n’a besoin d’aucun artifice pour être la plus belle femme du monde. Ma langue qui vient humidifier mes lèvres et mes yeux pétillants d’amour et de tendresse qui la détaillent, je ne peux m’empêcher de sourire grandement. « T’es… » je cherche les mots. Un qui pourrait être assez fort pour décrire ce que je ressens à l’instant présent mais je pense que mon regard parle pour moi. « tellement belle. » Je finis enfin par terminer ma phrase, moyennement convaincu car je suis sûr que j’aurais pu trouver mieux que ça. Je m’approche d’elle pour déposer mes lèvres sur les siennes pour l’embrasser avec beaucoup de douceur et beaucoup de tendresse, une de mes mains remonte dans sa chevelure blonde et je vois Nathan grimacer du coin de l’œil mais je n’y prête pas beaucoup d’attention. Après avoir briefer la nounou et après un dernier baiser à tous nos enfants nous ne prenons pas la voiture et c’est main dans la main que nous nous dirigeons vers le restaurant que j’ai réservé pour nous ce soir. « Je crois que je t’ai jamais emmené dans ce restaurant, c’est un ami le gérant il a une petite terrasse très romantique. Je lui ai demandé de nous y garder une table. » Une petite terrasse de seulement trois petites tables d’un restaurant doublement étoilé, je pense que c’est un endroit assez intimiste pour notre premier anniversaire. « Tu es vraiment magnifique tu sais. » Je sais qu’elle peut en douter en ce moment alors j’insiste sur sa beauté. « Pas que tu ne le sois pas tous les jours. » Le genre de précision que j’apportais toujours au début de notre relation de peur qu’elle puisse penser que j’insinue une chose pareille, même si je sais qu’aujourd’hui ce n’est plus vraiment le cas. J’espère pouvoir au moins passer une soirée sans encombre avec ma femme pour cette occasion si spéciale.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyLun 24 Oct 2022 - 19:04



AND DARLING I WILL BE LOVING YOU 'TIL WE'RE 70. AND BABY MY HEART COULD STILL FALL AS HARD AT 23, AND I'M THINKING 'BOUT HOW PEOPLE FALL IN LOVE IN MYSTERIOUS WAYS MAYBE JUST THE TOUCH OF A HAND. OH ME I FALL IN LOVE WITH YOU EVERY SINGLE DAY
outfit - 23 Octobre 2021 – Je suis devenue Madame Anderson ce jour là. Mais au delà d'un nom, c'est surtout cette promesse de faire ma vie avec lui qui a rendu cette journée si particulière, si spéciale pour nous. L'échange des vœux, des alliances, cette première danse ensemble, ces moments passés avec lui cette soirée et tout les autres qui ont suivis, j'y repense au réveil. J'y repense alors que j'ouvre les yeux et que je vois le lit vide à mes côtés. Il est plutôt tard, même très tard par rapport à d'habitude et je devine qu'il s'est occupé de Mael ce matin pour me laisser dormir. Je suis triste de ne pas avoir pu passer du temps avec lui ce matin et pourtant je souris, parce que je pense à lui, parce que je pense à cette journée, à ce programme qui nous attends, à notre amour qui est célébré aujourd'hui. Parce que je pense à lui et quand je pense à lui, c'est toujours un sourire qui s'affiche sur mon visage. Il est mon homme, celui que j'aime, celui que j'ai toujours aimé, c'est avec lui que j'ai appris ce qu'étais l'amour et tout les jours depuis il me montre ce qu'est l'amour. Ce que je ressens à ses côtés est indescriptible même pour moi dont le métier est de trouver les mots justes. Je voudrais avoir les mots pour lui dire à quel point je l'aime, à quel point son amour pour moi m'a aidé quand j'allais mal et à quel point il m'aide encore tout les jours à être heureuse et à me sentir bien. Il n'est pas là et pourtant, rien que de penser à lui me fait me sentir bien, me fait me sentir sereine, me fait me dire que j'ai beaucoup de chance dans ma vie. C'est Mael qui me sort de mes souvenirs, de mes pensées alors que je sentais que mes pensées devenaient de plus en plus précises en pensant à mon mari. Mais Mael pleure, Mael se réveille et c'est en prenant mon téléphone pour écrire à Caleb que je prends Mael contre moi quelques instants profitant encore un peu de notre lit et des petits échanges de sms avec Caleb en attendant de le retrouver après son service à l'Interlude.

La matinée est passée à une vitesse folle, faut dire qu'avec quatre enfants à la maison, les moments de calme et de répit sont quasi inexistants mais je profite d'eux aujourd'hui, je profite d'autant plus que je sais que je ne serais pas la pour les coucher ce soir et que je ne serais pas là au réveil non plus. Pour une bonne raison, une très bonne, mais si la femme en moi a hâte de profiter de la soirée avec mon mari, la maman a toujours une petite appréhension à l'idée de les laisser. Mais, c'est mon choix, c'est mon programme, je lui ai demandé de me laisser organiser la soirée et il a accepté, à part le restaurant qu'il a tenu à choisir mais c'est son domaine ça. J'ai réglé quelques petits détails pour la soirée, j'ai reçu ma coiffeuse aussi pour une nouvelle couleur, je suis de nouveau blonde parce que je sais que c’est ce qu’il préfère. Je veux que cette soirée soit à la hauteur de ce qu'elle représente pour nous. Notre premier anniversaire de mariage, c'est pas un événement anodin, encore moins pour quelqu'un de romantique comme mon mari. Et je veux que cette journée soit à la hauteur pour lui. J'ai le droit à un premier cadeau quand il rentre du travail, et si ce n'est pas rare qu'il m'offre des fleurs, je sais que ce bouquet est un peu différents des autres et c'est avec un long et tendre baiser que je l’accueille chez nous, mes cadeaux seront pour tout à l'heure quand nous serons en tête à tête. « Merci chéri, joyeux anniversaire de mariage cher mari. » Mes lèvres sur les siennes, ma main qui joue avec son alliance symbole de notre union, et ce n'est que quand Lucy remarque son papa dans la pièce que je m'éloigne de lui, pour laisser place à notre fille qui déjà s’agrippe aux jambes de Caleb. « Bientôt elle va me virer de la maison. » Que je dis en riant légèrement et en venant déposer un baiser sur la joue de mon mari puis de ma fille avant d'aller voir ce que fait Lena qui semble beaucoup trop calme pour que ça n'en soit pas inquiétant. Et c'est avec les enfants que nous passons la fin de l'après midi, en famille, Nathan étant toujours distant avec moi mais il est là lui aussi, à jouer avec ses sœurs, à parler avec Caleb, et à squatter mon ordi aussi. Et si c'est toujours compliqué pour nous deux, le voir trouver sa place dans notre famille est un sacré soulagement.

18h30. Je profite que Caleb soit en train de se préparer pour donner à manger à Maël, sachant très bien que je ne pourrais pas lui donner avant le lendemain. J'ai tiré mon lait pour les biberons de la nuit, et je sais que tout se passera bien et pourtant je ressens quand même une certaine appréhension pour cette première nuit loin de lui depuis sa naissance. Ce n'est peut-être pas la seule raison qui me pousse à ressentir une certaine appréhension mais j'ai aussi vraiment hâte de pouvoir me retrouver en tête à tête avec Caleb. Caleb ne le sait pas, mais cette nuit nous ne dormons pas chez nous c’est ma petite surprise pour notre anniversaire de mariage, enfin l'une des surprises parce que je compte bien lui faire passer une soirée dont il pourra se souvenir. J'ai entendu ses mots, je n'ai pas oublié ce qu'il m'a dit lors de ma soirée de travail et je compte bien lui rappeler et lui prouver qu'il ne m'a pas perdu. Et pour ce soir, et cette nuit, je serais toute à lui et j'espère que l'on pourra passer la soirée dont il rêve. Il libère la salle de bain et discrètement je profite qu'il ne soit pas encore habillé et qu'il soit dos à moi pour le regarder quelques instants et même avancer un peu vers lui pour venir déposer quelques baisers sur sa nuque. Une main dans ses cheveux encore humides, je me montre tendre avec lui et si ça n'avait jamais vraiment disparu cette tendresse, ce que je ressens en passant mes mains autour de son corps et en me collant contre son dos encore mouillé, en revanche c'est plutôt nouveau et ça me rassure pour la suite de la soirée. « Je regrette presque que tu sois encore en serviette. » Une petite phrase que je lui glisse dans l'oreille, avant de me placer face à lui pour l'embrasser brièvement, n'ayant pas non plus envie de l'exciter, pas maintenant. Et quand vient mon tour d'utiliser la salle de bain, je prends mon temps pour me préparer pour cette soirée. Je prends soin de mon corps pour lui, pour qu'il lui plaise. Pour cette soirée si spéciale pour nous. Je prends soin de ce corps que j’apprends à aimer de nouveau. Que je redécouvre surtout. Un corps qui a changé après mes grossesses, un corps que je n’aimais plus vraiment regarder ou même toucher, un corps de mère, mais plus vraiment un corps de femme. Et pourtant aujourd’hui pour lui j’ai choisis, enfin acheté, une robe plus osée. Une robe ajustée à mes nouvelles formes. J'ai choisi un décolleté prononcé pour mettre en avant poitrine. Je sais l’effet que ça lui fait et ce soir je compte lui faire profiter de mon corps. Visuellement d'abord, parce qu'il m'a fait comprendre qu'il en avait envie et besoin aussi, enfin il me l'a dit. Et, j’espère vraiment pouvoir lui faire profiter aussi autrement. J'en ai envie, je me sens prête. Tout n’a pas été simple ces derniers temps, mais j’apprends à être une mère et une femme. Et, ce soir plus que jamais je veux me sentir belle pour lui. Je veux être sa femme, sa partenaire, son amante. Je veux retrouver notre complicité si forte, ce lien qui était le nôtre il y a encore quelques mois. J’en ai beaucoup parlé avec ma psy, avec ma gynéco aussi. Et avec elles nous avons exploré différentes raisons pour expliquer cette libido en berne depuis quelques mois. Émotionnellement, psychologiquement mais aussi biologiquement nous avons cherché à traiter toutes les raisons qui pouvaient expliquer ce blocage en moi. Et j’y ai aussi énormément réfléchis de mon côté. J'ai cherché à comprendre d’où venait ce blocage, et je n'avais jamais connu ça avant alors ça n'a pas été très simple à gérer. Et si la raison n'est pas unique et qu'elle n'est pas arrivée comme une révélation d'un coup, depuis quelques jours je ressens de nouveau le désir, la passion et l'amour aussi. Même si pour l’amour ça ne m’avait jamais quitté, mais depuis quelques jours, je ressens de nouveau certaines émotions, certaines sensations que je n'avais plus ressenti depuis plusieurs semaines. Des petits picotements dans le bas ventre. Les yeux qui brillent en le regardant. Des pensées plus ou moins avouables en pensant à lui. Ca va, ça vient, mais je le ressens et je me sens un peu plus sereine peut-être grâce à ça aussi. Et, je le regarde peut-être un peu différemment aussi depuis quelques jours, alors que je passe mes soirées à penser à lui quand il n'est pas là. Je me regarde différemment aussi et ce soir, dans cette robe, je me sens sexy et ce pour la première fois depuis l'accouchement. « T’es… tellement belle.» Et s'il savait comme ses mots mais surtout son regard me font du bien et sont importants surtout en ce moment. Et je me sens flattée aussi de la façon avec laquelle il me regarde, de l'effet que j'arrive à lui faire encore et toujours. Ses lèvres se posent sur les miennes et sa main vient dans mes cheveux tout juste coiffés. Je le laisse faire, et c'est sur le baiser que je me concentre, sur ses lèvres sur les miennes et sur les sentiments qu'il fait naître en moi. La tendresse oui, mais aussi un peu de passion. Et ce n'est qu'une fois nos lèvres qui se détachent que mes yeux se posent sur lui. Je le regarde moi aussi et je remarque aussitôt qu'il s'agit d'un nouveau costume qu'il porte et il le porte vraiment bien. « Tu es vraiment classe et sexy chéri, j'approuve totalement ce costume, il te va vraiment bien mais depuis quand tu vas faire les magasins sans moi ? » Une petite remarque que j'ajoute en souriant, mais c'est bien sur lui que je concentre mon regard. Je prends sa cravate et je l'attire vers moi pour un autre baiser, plus court que le précédent mais peut-être un peu plus passionnel mais la présence des enfants m'arrête assez vite et je me réserve le droit de profiter qu'il ait une cravate pour l'attirer vers moi dès que j'en ai envie. La nounou et Nathan sont au courant que demain matin nous ne serons pas là Caleb et moi, et si j'entends Caleb donner les consignes à la nounou je souris parce que tout ce qu'il lui dit, je l'ai déjà dit et plus encore puisque j'ai aussi préparé pour le lendemain. Le petit déjeuner des filles, les biberons de Mael, les médicaments de Nathan, l'école de Nathan, j'ai pensé à tout enfin je crois mais entendre Caleb s'assurer que toutes les informations sont passées c'est assez drôle finalement et en soit rien d'étonnant puisqu'il est comme ça.

Et ce n'est qu'après plusieurs longs moments de câlins et de bisous aux enfants surtout aux filles d'ailleurs et à Lucy en particulier, que nous partons tout les deux. « A partir de maintenant, tu es mon unique priorité chéri. » Et je sais que je n'aurais pas à me forcer pour être à 100% avec lui, je sais qu'une fois la petite appréhension de la séparation passée et le message de la nounou qui nous informe que les pleurs ont cessé, je n'aurais plus qu'à profiter de notre soirée et profiter des soirées avec Caleb, c'est loin d'être quelque chose de compliqué à faire, c'est même l'une des choses que je préfère faire. « Je crois que je t’ai jamais emmené dans ce restaurant, c’est un ami le gérant il a une petite terrasse très romantique. Je lui ai demandé de nous y garder une table. » Ma main dans la sienne qui caresse sa main, je suis certaine que le restaurant sera parfait parce que sinon il ne l'aurait pas choisi. « Faut dire que ces derniers temps on a pas trop eu l'occasion d'aller au restaurant tout les deux, mais je suis sure que ça sera parfait. » Il y passe ses journées de travail dans un restaurant et avec les enfants les sorties sont plus compliquées, mais c'est une constatation qui pourrait presque me faire réfléchir un peu sur le temps que nous avons consacré à notre couple. Mais c'est déjà une chose à laquelle je pense depuis la dernière soirée que nous avons passé tout les deux. « Tu es vraiment magnifique tu sais. » Je lui souris à nouveau en me rapprochant de lui tellement que je suis quasiment dans ses bras alors qu'il y a quelques secondes je marchais à côté de lui. Je le regarde touchée par ses mots parce qu'il a beau me les dire beaucoup, c'est toujours important pour moi surtout en ce moment, surtout ce soir. « Pas que tu ne le sois pas tous les jours. » Cette fois je lâche un petit rire lorsqu'il ajoute ces mots. « Oh mais j'espère bien être encore plus magnifique que les autres jours, c'est bien pour ça que j'ai choisi cette robe. » Pour être magnifique à ses yeux, pour qu'il comprenne aussi que je suis toujours sa femme, que j'ai toujours envie de lui plaire, que j'ai toujours envie qu'il me regarde et me désire. « J'ai entendu ta demande, tu voulais voir mon corps, voilà fais toi plaisir chéri c'est tout pour toi. » La poitrine relevée, le décolleté plongeant qui lui donne une vue plutôt grande sur mon corps, c'est avec mon autorisation (dont il n'a pas besoin au passage) que je l'invite voir même que je l'incite à profiter de cette robe qui est très sexy. Je tire sur sa cravate pour l'inciter à venir m'embrasser et vraiment je crois que j'aime beaucoup trop ça. « J'adore quand tu portes une cravate, je trouve ça très intéressant. » Je lui dis entre deux baisers et je lui souris en insistant sur le mot intéressant, parce que je sais déjà que cette soirée va l'être intéressant et je sais qu'elle va être parfaite. Je l'espère tellement mais je le sens aussi parce que depuis que nous avons quitté la maison, je ne fais que sourire parce qu'il est là avec moi et c'est de bonheur mais aussi et surtout beaucoup d'amour que je ressens.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyMar 25 Oct 2022 - 11:52

Calex
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C’est une soirée spéciale pour nous deux et je compte bien tout mettre en œuvre pour que ma femme ne regrette pas de l’avoir passée loin de nos enfants et surtout, loin de Mael. Je ne me sens pas toujours à la hauteur mais comme tous les jours je me contente de profiter de ma femme, de ses lèvres et des petits moments qu’elle m’accorde dans la journée. Je ne sais pas ce qu’elle a prévu après le restaurant ce soir, elle refuse de m’en dire plus et pour moi qui ai toujours besoin de tout contrôler c’est une situation presque compliquée à gérer et à accepter. J’ai pourtant confiance en elle mais là n’est pas la question, je sais que ce soir nous allons dîner dans un restaurant choisi par mes soins mais pour le reste c’est encore le flou complet. « Je regrette presque que tu sois encore en serviette. » Ses lèvres qui se posent sur ma nuque ses bras enroulant mon corps qui me font presque sursauter. Sa phrase me fait elle froncer les sourcils parce que je n’en comprends pas vraiment le sens mais ça, Alex ne peut pas le voir car je suis dos à elle mais se place en face de moi pour m’embrasser je n’ai même pas le temps de prolonger ce baiser que la voilà déjà dans la salle de bain. Je reste planté là, dans notre chambre en serviette pendant de longues secondes essayant de comprendre la signification de tout ça. Ça ne veut sûrement rien dire et oui, avec cette serviette je ne suis clairement pas assez habillé alors je remédie rapidement à ce problème en enfilant mon nouveau costume acheté spécialement pour l’occasion. C’est d’ailleurs avec une grimace que je réagis quand je me regarde dans le grand miroir de notre chambre une fois habillé. Très mauvaise idée, et je m’éloigne bien vite du reflet du miroir pour retrouver ma petite famille dans le salon. Au moins je sais qu’avec eux je me sens bien et surtout qu’ils me font un bien fou. J’ai l’air d’un clown ridicule à côté d’Alex, ce soir elle s’est tellement surpassée qu’il me faut une grosse poignée de secondes pour trouver un mot qui puisse correspondre à ce que je ressens quand je la regarde. Elle est magnifique oui mais ce n’est même pas assez fort pour la décrire ce soir. « Tu es vraiment classe et sexy chéri, j'approuve totalement ce costume, il te va vraiment bien mais depuis quand tu vas faire les magasins sans moi ? » Sexy non, pas vraiment. Classe, pas forcément non plus et dans la peur de briser cette atmosphère légère je préfère ne pas la contredire même si je pourrais aisément lui dresser une liste des choses qui ne vont pas chez moi. « Prim m’a aidé à le choisir. » Quand il s’agit de mode je sais que je peux toujours compter sur ma sœur pour me rediriger vers un vêtement qui pourrait ne pas avoir l’air trop catastrophique sur moi.

Comme toujours la séparation avec les enfants n’est pas facile, Lena reste toujours la plus indépendante de tous mais pour Lucy et Mael c’est une toute autre histoire mais j’essaie de me détendre et d’oublier tout ça pour profiter d’Alex ce soir. « A partir de maintenant, tu es mon unique priorité chéri. » Je lui souris doucement alors que nous avançons main dans la main vers le restaurant que j’ai choisi. J’espère qu’il va lui plaire, j’espère qu’elle va l’aimer je sais que je suis souvent à côté de la plaque mais j’espère que pour ce soir j’aurais au moins réussi à satisfaire son estomac avec mon choix de restaurant – à défaut de pouvoir satisfaire autre chose. « Faut dire que ces derniers temps on a pas trop eu l'occasion d'aller au restaurant tout les deux, mais je suis sure que ça sera parfait. » Parfait je ne sais pas, elle en attend beaucoup de moi. Vraiment beaucoup trop, elle sait que je ne suis pourtant pas le meilleur pour rendre les choses parfaites comme elle le dit. « J’espère. » Je me contente de lui répondre. Alors que j’avais hâte de passer ma soirée avec ma femme je commence à me sentir stressé. Je sens l’inquiétude monter ; et si elle n’aimait pas la nourriture ? Et si elle n’apprécie pas le lieu ? Et si elle n’aime pas les cadeaux que je vais lui offrir ? Beaucoup de questions, beaucoup d’incertitudes qui commencent à prendre beaucoup de place dans mon esprit mais quand je la sens venir se blottir dans mes bras tout en marchant mes questionnements se font moins présents et je me sens un peu plus apaisé. Mes bras enroulent son corps pour la maintenir contre moi tout en continuant de marcher, je dépose un baiser sur son front. « Oh mais j'espère bien être encore plus magnifique que les autres jours, c'est bien pour ça que j'ai choisi cette robe. » Je ris un peu et je profite de la proximité de nos corps pour laisser mes yeux glisser dans son décolleté pendant quelques secondes. « Magnifique n’est pas un mot assez fort pour te décrire. » Elle va sûrement rire en me disant que je suis un beau parleur mais je pense pourtant sincèrement les compliments que je lui fais. « J'ai entendu ta demande, tu voulais voir mon corps, voilà fais toi plaisir chéri c'est tout pour toi. » Je lui souris mais c’est bien vite de nouveau dans son décolleté que mes yeux se perdent, elle m’autorise à le faire et m’y invite même presque, non ? Je me pince les lèvres en profitant de cette magnifique vue que je trouve extrêmement plaisante mais elle finit par me ramener à la réalité en attrapant ma cravate pour poser ses lèvres sur les miennes. « J'adore quand tu portes une cravate, je trouve ça très intéressant. » « Intéressant ? » Je répète bêtement en fronçant un peu les sourcils.

Nous arrivons à destination et la serveuse nous installe en terrasse. Je tire à Alex sa chaise pour l’aider à s’installer et prends place juste en face d’elle. La nuit commence à tomber et c’est avec les lumières de quelques guirlandes lumineuses que nous sommes éclairés. La terrasse est petite, intimiste et nous sommes pour le moment les seuls à pouvoir profiter de ce petit coin de paradis. Une petite fontaine et une musique douce vient adoucir encore plus cette ambiance romantique. Je passe ma langue sur mes lèvres et après avoir laissé le temps à Alex de découvrir l’endroit je prends la parole. « Ça te plaît ? » que je lui demande avec une vraie appréhension dans la voix, la peur qu’elle n’aime pas cette terrasse que je trouve moi romantique est présente. « Je voulais un endroit où on puisse être tranquille, le patron m’a dit qu’il essaiera de nous garder la terrasse aussi longtemps que possible. » Le dimanche soir ce restaurant n’a pas pour habitude d’accueillir beaucoup de monde, d’après ce qu’il m’a dit. « Je voulais un endroit où je pourrais t’embrasser comme ça sans être trop gêné. » je murmure presque cette phrase alors que je me penche au-dessus de la table pour venir poser mes lèvres sur les siennes et si mes baisers ont été tendres jusqu’à présent celui-ci l’est beaucoup moins puisque ma langue vient bien vite chercher la sienne pour un baiser rempli de passion mais surtout beaucoup de désir de mon côté. J’ai l’impression d’y aller trop fort, de me laisser trop emporter et ne voulant pas paraître trop insistant quand je sens que je commence à me laisser trop aller je m’éloigne en m’excusant. Je ne veux pas la mettre mal à l’aise ou encore moins la pression. « Juste une, promis. » je lui assure en sortant une cigarette pour la coincer entre mes lèvres et venir l’allumer. Je sais qu’elle n’aime pas ça mais je sais aussi que j’ai absolument besoin de ma dose de nicotine. Si j’aurais pu en fumer plus d’une, je lui promets de ne pas en abuser ce soir.


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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyMer 26 Oct 2022 - 10:04



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« Prim m'a aidé à le choisir. » Ca ne m'étonne pas ça, et ça confirme que sa sœur a bon goût en matière de mode et elle sait ce qui va ou non à Caleb. Elle l'a aidé à choisir son costume pour le mariage, alors ça semble finalement logique qu'il se soit tourné vers elle pour ce costume pour cette occasion particulière qu'est notre premier anniversaire de mariage. « Elle a bien choisi, il est vraiment parfait sur toi et cette chemise est parfaitement ajustée. » Mes mains qui se posent sur ses hanches, non pas pour vérifier si le costume ou la chemise est parfaitement taillée, mais juste pour l'attirer vers moi pour déposer un baiser sur sa joue puis sur ses lèvres. Un moyen pour moi de lui montrer que ce soir plus que jamais j'ai envie d'être proche de lui, envie de l'embrasser, de le toucher, de profiter de sa présence parce que ce soir, ça fait un an que nous sommes mariés et si le mariage reste l'une des plus belles journées de ma vie, je veux que cette date tous les ans soit célébrée comme il se doit et ça commence avec ce tout premier anniversaire. Une soirée en tête à tête, c'est ce qu'il pense avoir, mais c'est bien une soirée, une nuit et même une matinée que nous allons passés rien que tout les deux. Et si la séparation avec les enfants est un moment un peu délicat, une fois tout les deux dans les rues de Brisbane, je me sens sereine. Je me sens bien à ses côtés et ravie de passer cette soirée avec lui, parce que ça nous a manqué, je le sais, il me l'a dit récemment et même si me séparer de Mael reste difficile, les moments en tête à tête avec Caleb m'ont eux aussi beaucoup manqué. Notre bulle si importante pour moi s'est agrandie, elle a accueilli d'autres personnes, et si l'amour n'en est que plus grand, notre complicité a elle en revanche un peu diminuée et ça me plaît pas de le réaliser. Alors ce soir, c'est à lui que je veux penser, c'est avec lui que je veux être, à 100%, sans aucunes pensées parasites. J'ai décidé de me replonger dans nos souvenirs, dans nos moments, dans ce qui faisait notre couple avant les enfants, avant même mon départ. Le nous d'il y a quelques années et ce soir je ne pense qu'à l'amour et au bien être que je ressens quand je suis prêt de lui. « J'espère. » Moi aussi je l'espère, que tout sera parfait, que tout ce que j'ai en tête se passera bien, mais si j'ai quelques doutes pour la suite du programme, j'en ai absolument aucun sur le restaurant qu'il a choisi. Pour une simple et bonne raison ; c'est Caleb qui l'a choisi alors je sais qu'il a déjà du tout penser, tout calculer, tout réfléchir pour s'assurer que tout corresponde à ce qu'il souhaite. « Oh moi j'en suis sure, parce que s'il a réussi à te convenir, je sais qu'il me plaira, tu es bien plus exigeant que moi pour ce genre de chose. » Et je ne sais pas si exigeant est le mot, mais quand Caleb fait quelque chose, ça doit être parfait, il ne se donne pas le droit à l'erreur et même quand il arrive à faire que tout soit parfait, ça l'est rarement à ses yeux. Mais, ça l'est aux miens et puis de toute façon quelque soit le restaurant je ne pense pas que ce soit ça le principal. « Et tu sais quelque soit le restaurant tant que tu es là, moi ça me convient. » J'aime les bons restaurants, j'aime la bonne nourriture, mais j'aime aussi les fastfood alors tant qu'il est présent, le reste est finalement peu important et tout semble mieux quand il est à mes côtés. Je me rapproche de lui, et je sens ses bras s'enrouler autour de mon corps pour me maintenir contre lui. Je me blottis contre lui, je profite de l'odeur de son parfum qui vient me chatouiller le nez et me faire sourire, autant que ce baiser qu'il dépose sur mon front. Voilà aussi pourquoi j'aime être avec lui, pour ces petites choses qui semblent si simples et qui pourtant font que mes lèvres s'étirent, que mon regard pétille un peu plus d'amour pour lui. « Magnifique n'est pas un mot assez fort pour te décrire. » Je roule des yeux amusée par sa remarque. Par l'effet qu'une simple robe, ou plutôt qu'un grand décolleté peut avoir sur lui. « Je ne suis pas magnifique, j'ai juste des atouts qui te font perdre la tête chéri, c'est presque trop facile. » Que je dis sans retenir un petit rire. Et j'en joue, j'en joue beaucoup, ce soir du moins. Puisque ces derniers temps, on peut pas dire que ma poitrine ait été la partie la plus sexy de mon corps alors que Mael était accroché dessus toutes les deux heures. Alors qu'ils étaient gonflés et douloureux. Alors que je me sentais pas sexy.Mais, ce soir, il n'y a pas Mael avec nous et celui qui en profite c'est Caleb et s'il la bouffe du regard, ce n'est pas du tout avec la même optique que notre fils et je souris quand je le vois se pincer les lèvres en me regardant. Un geste assez simple en soit, mais qui a toujours eu de l'effet sur moi, un geste qui me rappelle aussi que je peux ressentir du désir moi aussi, et à ce moment j'en ressens pour lui et c'est avec un baiser que je lui montre même si je ne le dis pas, même si je suis toujours pas totalement certaine que mon corps réagira comme je le souhaite, à cet instant le voir se pincer les lèvres me rappelle à quel point je le trouve sexy. « Intéressant ? » Il fronce les sourcils et je comprends bien qu'il n'a pas saisit ma remarque mais est-ce que je peux lui dire ce qui me passe en tête à ce moment précis avec sa cravate ? Je sais pas si ce serait vraiment judicieux. « Je peux t'attirer vers moi dès que j'ai envie de t'embrasser c'est plutôt pratique je trouve. » Et si ce n'est pas exactement ce à quoi je pensais, ça reste vrai quand même. La cravate en mains, je l'attire encore une dernière fois vers moi pour mettre en pratique mes mots et lui montrer que si lui peut profiter de ma poitrine, moi je compte bien profiter de sa bouche ce soir.

Le trajet fut rapide et je réalise que j'ai déjà du passer un grand nombre de fois devant ce restaurant sans jamais y prêter attention, ce qui au moins va me permettre de vraiment découvrir ce restaurant qu'il a choisit pour nous et si nous ne faisons que traverser la salle, c'est surtout la terrasse que je découvre alors que Caleb se montre galant avec moi. Je regarde partout, les lumières, l'ambiance tamisée, la fontaine qui donne un charme fou à cet endroit. Et je souris en réalisant qu'il a quand même douté de son choix alors que tout semble parfait, comme je l'avais prédit non ? « Ça te plaît ? » Je regarde autour de moi comme si j'avais encore besoin pour me faire un avis, mais à l'instant ou nous sommes arrivés sur la terrasse mon avis était fait sur ce lieu. « Ca te ressemble tellement. » Et si ce n'est pas une réelle réponse, ça devrait suffire à lui donner la réponse à sa question. Ca lui ressemble beaucoup alors j'aime, j'aime même énormément. Mais, je sais qu'il pourrait ne pas comprendre ma remarque alors j'ajoute un sourire aux lèvres. « C'est tellement beau, doux et romantique. Oui ça me plaît beaucoup. » Les lumières, le son, et même les odeurs sont une vraies expériences et tout est fait pour se sentir bien et apaisé ici, en tout cas c'est ce que je ressens et quand je le regarde face à moi, le tableau est complet et parfait. « Je voulais un endroit où on puisse être tranquille, le patron m’a dit qu’il essaiera de nous garder la terrasse aussi longtemps que possible. » Etre tranquille tout les deux, c'est tout ce que je demande et je sais qu'il le demande encore plus que moi puisqu'il est légèrement différent quand on est pas seul tout les deux. Moins tactile, plus réservé, alors ça me rassure et ça me plaît qu'il ait pensé à ça aussi. En même temps, ça ne m'étonne pas non plus, je l'ai dis, il pense à tout, il est plus exigeant et plus pointilleux que moi. « Tu peux te détendre, ton choix est approuvé à 100%, j'aime beaucoup. »  Et si je m'apprêtais à ajouter que tout était parfait, c'est lui qui me devance, et c'est assez rare ça. « Je voulais un endroit où je pourrais t’embrasser comme ça sans être trop gêné. » Et si j'aime parler, à cet instant précis, ce que j'aime surtout c'est son baiser. C'est l'intensité qu'il met dedans, c'est sa langue qui vient chercher la mienne, et Caleb qui est aussi aventureux dans un lieu public c'est rare alors je suis surprise mais je suis très agréablement surprise. Et j'aime la façon avec laquelle il m'embrasse, j'aime les sensations que je ressens, j'aime sentir la passion, la sienne, mais aussi la mienne, et je lui prouve en prolongeant se baiser et en laissant ma langue jouer avec la sienne un long moment. Enfin long peut-être pas, puisqu'il s'éloigne et il s'excuse et je fronce les sourcils. « Ne t'excuse jamais de m'embrasser comme ça, parce que ça aussi j'aime vraiment vraiment beaucoup. » Je fixe ses lèvres encore quelques secondes, jusqu'au moment ou il vient y coincer une cigarette. « Juste une, promis. » Je n'aime pas qu'il fume, je n'aime pas ça parce que pour lui c'est dangereux. Pour tout le monde ça l'est mais pour lui encore plus, mais je sais aussi qu'il en a besoin et qu'il se culpabilise déjà beaucoup d'avoir reprit alors je ne dis rien, je profite juste qu'il tienne sa cigarette entre les doigts quelques instants pour me pencher vers lui et laisser mon pouce glisser sur ses lèvres puis sur sa barbe et sur sa joue. « Tu avais du rouge à lèvre. » Ce qui est bien la preuve de l'intensité de ce baiser et qui explique aussi peut-être pourquoi j'ai un peu chaud d'un coup en fixant ses lèvres. Je suis presque surprise par mes propres émotions, je crois que j'avais oublié certaine chose, et ça fait bizarre, mais c'est pas désagréable bien au contraire. « Etre là ce soir avec toi, ça me fait dire qu'on devrait vraiment se réserver du temps pour nous, je sais pas encore comment, mais je veux passer du temps seule avec toi, et ne pas avoir à attendre des occasions spéciales pour ça, je n'ai pas écris de vœux ou quoi, mais pour cette deuxième année de mariage qui commence aujourd'hui, je te promets de t'aimer et de te chérir et de trouver un équilibre entre notre famille et notre couple. » Pendant ces quelques mots, ma main vient chercher la sienne pour jouer avec son alliance, pour caresser le dos de sa main aussi. J'aurais pu ajouter que je lui promettais de l'honorer aussi, d'être une femme, sa femme, mais même si j'en ai le projet, et le désir aussi, je ne veux pas lui promettre des choses sur lesquelles je n'ai pas tout le contrôle encore. Mais pour le reste, je lui fais cette promesse, celle de l'aimer et de prendre soin de lui et de notre couple. La serveuse arrive pour nous proposer un apéritif. « Tu peux prendre du vin si tu veux. » C'est une soirée spéciale et il mérite de pouvoir en profiter aussi. Elle nous présente ensuite le menu, sans doute dans l'idée de venir nous déranger le moins possible, et c'est avec un sourire que je me tourne vers Caleb. « Tu voulais avoir le contrôle ce soir, je te laisse choisir pour moi. » Et s'il ne le sait pas encore, ce n'est clairement pas la seule chose qu'il va contrôler ce soir.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyMer 26 Oct 2022 - 22:36

Calex
And darling I will be loving you 'til we're 70. And baby my heart could still fall as hard at 23, and I'm thinking 'bout how people fall in love in mysterious ways maybe just the touch of a hand. Oh me I fall in love with you every single day
« Elle a bien choisi, il est vraiment parfait sur toi et cette chemise est parfaitement ajustée. » Primrose est douée pour faire les magasins, elle a l’œil et c’est pour ça que je lui ai fait confiance. « Oh moi j'en suis sure, parce que s'il a réussi à te convenir, je sais qu'il me plaira, tu es bien plus exigeant que moi pour ce genre de chose. » Sa réponse me fait sourire parce que je suis qu’elle a entièrement raison. Je suis quelqu’un d’exigeant et je l’ai toujours été. Je veux le meilleur pour ma femme et mes enfants et je pense que si j’ai réussi à faire monter l’Interlude c’est également par mon côté pointilleux et perfectionniste. « Et tu sais quelque soit le restaurant tant que tu es là, moi ça me convient. » Mon sourire n’a pas quitté mes lèvres, ce sont des mots que j’aurais pu lui dire moi-même mais j’aime beaucoup les entendre ressortir de sa bouche. Mes yeux brillent mon sourire s’étire jusqu’à mes oreilles. Je suis heureux ce soir. Heureux de passer la soirée en tête à tête avec ma femme pour fêter notre première année de mariage. Année qui a été riche en émotion et qui, je pense, prouve que notre couple est assez fort pour surmonter toutes les étapes que la vie décidera de mettre sur notre chemin. « L’année prochaine je t’emmène à l’Interlude et je cuisine juste pour toi alors. » Une idée pas sérieuse prononcée à la légère mais qui pourrait tout de même être romantique. Le restaurant réservé pour nous deux je pourrais cuisiner toutes ses entrées, ses plats et ses desserts préférés. « Je ne suis pas magnifique, j'ai juste des atouts qui te font perdre la tête chéri, c'est presque trop facile. » C’est bien la première fois qu’Alex me reprend quand je lui fais un tel compliment et c’est quelque chose que je n’apprécie pas beaucoup. Je commence à comprendre ce qu’elle peut ressentir à chaque fois que je la contredis quand elle me fait un compliment sur mon physique. Je fronce les sourcils et viens secouer la tête de gauche à droite. « Il y a pas que tes seins et tes fesses que j’aime, tu sais. » Je lui assure le plus sérieusement du monde. « J’aime ton sourire tes yeux, ton rire, ton humour, tes cheveux, ton parfum, tes caresses, tes câlins, ton intelligence, tes lèvres, ton accent, ta voix, la façon que tu as à toujours toucher mes cheveux, le regard que tu portes sur moi. J’aime cette manie que tu as à toujours te coller à moi, à prendre ma main pour jouer avec mon alliance. Et oui bien sûr que j’aime aussi beaucoup tes seins. Et tes fesses. » La dernière partie dans une toute autre lignée bien moins romantique que le reste. Mais c’est avec beaucoup de sincérité et de tendresse que je lui dresse cette liste des choses que j’aime chez elle. Ce matin elle me disait par message qu’elle ne pensait pas que je puisse lui en faire une et ce soir j’ai décidé de lui montrer qu’elle avait tort. « Je peux t'attirer vers moi dès que j'ai envie de t'embrasser c'est plutôt pratique je trouve. » Je lâche un rire amusé par sa réponse et je dois dire que j’aime plutôt bien la sentir m’attirer contre elle en tirant sur ma cravate.

Installé en face de ma femme, j’attends son avis sur le restaurant que j’ai choisi. « Ca te ressemble tellement. C'est tellement beau, doux et romantique. Oui ça me plaît beaucoup. Tu peux te détendre, ton choix est approuvé à 100%, j'aime beaucoup. » Je lui souris encore une fois, maintenant soulagé de savoir qu’elle apprécie ce lieu et en particulier la terrasse. Ma main caresse le dos de la sienne mais pas pour très longtemps car je profite du calme de ce lieu pour tout autre chose : l’embrasser comme je ne le fais jamais en public et comme je ne l’ai pas fait depuis un petit moment. Je me laisse aller. Je me laisse porter par ce baiser qui ne me laisse pas indifférent, surtout qu’elle le prolonge, elle y met du sien aussi et cet échange est bien trop passionnel pour moi. Raison pour laquelle je finis par y mettre fin. Embrasser ma femme ainsi me donne envie de plus, un plus que je sais que je n’aurais pas ce soir. « Ne t'excuse jamais de m'embrasser comme ça, parce que ça aussi j'aime vraiment vraiment beaucoup. » Encore une fois, je lâche un petit rire et je lui réponds. « C’est pas pour ça que je m’excuse. C’est… » je ne finis pas ma phrase et ponctue la fin de celle-ci par un mouvement de main avant de caler une cigarette entre mes lèvres pour tirer dessus. Je m’excuse parce que t’embrasser ainsi me donne envie de te faire l’amour et je sais que tu n’en as pas envie. « Tu avais du rouge à lèvre. » qu’elle me dit en passant ses doigts sur mes lèvres et ensuite ma barbe. Je la laisse faire en la regardant sans un mot, je souris sûrement un peu bêtement et une fois le rouge à lèvres enlevé je tire sur ma cigarette en fermant les yeux quelques secondes. « Etre là ce soir avec toi, ça me fait dire qu'on devrait vraiment se réserver du temps pour nous, je sais pas encore comment, mais je veux passer du temps seule avec toi, et ne pas avoir à attendre des occasions spéciales pour ça, je n'ai pas écris de vœux ou quoi, mais pour cette deuxième année de mariage qui commence aujourd'hui, je te promets de t'aimer et de te chérir et de trouver un équilibre entre notre famille et notre couple. » Mon sourire ne s’efface pas bien au contraire. Ses mots me touchent et avant de lui répondre je garde ma cigarette éloignée d’elle mais mon visage s’approche du sien pour poser mes lèvres sur les siennes quelques secondes.« Peut-être qu’on devrait se garder une soirée par semaine juste pour nous. Pour sortir, se faire un restaurant, aller au cinéma ou faire ce que tu veux. » Alex me manque et j’en arrive même au stade où j’accepterais de faire les magasins avec elle si ça pouvait nous permettre de passer plus de temps ensemble. Une serveuse arrive vers nous, je commence par lui demander un cendrier et elle revient pour prendre nos commandes. « Tu peux prendre du vin si tu veux. » Boire de l’alcool me gêne toujours beaucoup et je ne le fais jamais sans son autorisation. « Tu voulais avoir le contrôle ce soir, je te laisse choisir pour moi. » Elle me sourit mais moi, je reste perplexe face à cette proposition. « Oui enfin je veux pas contrôler ce que tu vas avoir dans ton assiette bébé. » Déjà qu’elle n’a que rarement beaucoup d’appétit alors si en plus je dois choisir pour elle son repas, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée mais j’accepte tout de même. Je commande donc deux menus du chef, avec un verre de vin blanc en apéritif pour moi, un cocktail sans alcool pour Alex et un verre de vin rouge pour le plat. J’inhale encore un peu de tabac, je profite de la cigarette jusqu’à la fin. Je lui ai promis qu’elle sera la seule de la soirée et je compte bien tenir ma promesse. « T’as eu des nouvelles des rédacteurs que tu as rencontré la dernière fois à la soirée de ton travail ? » que je lui demande en tirant une dernière fois sur ma cigarette pour venir l’écraser dans le cendrier.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyVen 28 Oct 2022 - 9:54



AND DARLING I WILL BE LOVING YOU 'TIL WE'RE 70. AND BABY MY HEART COULD STILL FALL AS HARD AT 23, AND I'M THINKING 'BOUT HOW PEOPLE FALL IN LOVE IN MYSTERIOUS WAYS MAYBE JUST THE TOUCH OF A HAND. OH ME I FALL IN LOVE WITH YOU EVERY SINGLE DAY
Il sourit, il a le regard des jours ou il est heureux et le voir comme ça, me rends heureuse aussi. « L’année prochaine je t’emmène à l’Interlude et je cuisine juste pour toi alors. » Je sens à sa voix qu'il n'est pas totalement sérieux et pourtant c'est une idée qui moi me plaît énormément et pourtant il cuisine pour moi tout le temps déjà, mais ce n'est pas pour ça que je trouve l'idée plaisante. « Oh si on a l'interlude pour nous, je t'assure que tu feras pas que cuisiner dans ton restaurant. » Moi aussi j'ai le ton léger, et le regard amusé par ces sous-entendus, mais si nous sommes seuls dans son restaurant, en toute intimité je ne compte pas le laisser cuisiner, enfin pas uniquement. « A part si ce que tu comptes cuisiner c'est moi. » Des mots que j'ajoute en riant légèrement, presque comme si je les assumais pas vraiment, mais je réalise que ce genre de paroles me semblent devenues rares entre nous ces derniers temps et c'est peut-être ce qui me fait légèrement rougir alors que je suis bien à l'aise avec lui, et que je lui ai dis bien pire ou bien mieux plutôt, enfin c'est loin d'être quelque chose qui me fait ressentir un petit malaise normalement avec lui. Mais, faut croire que cette période a laissé quelques traces et j'espère pouvoir laisser ça derrière nous bientôt parce que je réalise peu à peu que ça me pèse plus que je ne le pensais. Mais, au côté de Caleb, je veux profiter de cette soirée, je veux profiter de ce moment qui est le notre, et il m'y aide bien en me faisant des compliments. « Il y a pas que tes seins et tes fesses que j’aime, tu sais. » Je le sais oui, mais je ne comprends pas pourquoi il ajoute ces mots, alors je lève les épaules sans cacher ma surprise. Je sais très bien qu'il a un faible sur ces parties de mon corps, mais que ce n'est pas uniquement ce qu'il aime. Même si d'après moi, mon corps est mon plus gros atout, peut-être le seul d'ailleurs, mais ça c'est un détail. « J’aime ton sourire tes yeux, ton rire, ton humour, tes cheveux, ton parfum, tes caresses, tes câlins, ton intelligence, tes lèvres, ton accent, ta voix, la façon que tu as à toujours toucher mes cheveux, le regard que tu portes sur moi. J’aime cette manie que tu as à toujours te coller à moi, à prendre ma main pour jouer avec mon alliance. Et oui bien sûr que j’aime aussi beaucoup tes seins. Et tes fesses. » Je l'entends, je l'écoute surtout, et mon sourire s'agrandit quand je réalise qu'il est vraiment en train de me faire une déclaration d'amour au milieu de la rue, juste pour me prouver qu'il n'y a pas que mes seins et mes fesses qu'il aime. Je lui souris, avec tendresse, avec émotion et avec amour. Alors que ma main se pose dans ses cheveux au moment ou il parle de cette manie que j'ai. Je le regarde avec les yeux brillants de l'émotion que je ressens en entendant ses mots. Ma main libre qui vient se poser sur sa joue pour la caresser avec tendresse, et mon corps qui se colle au sien, parce qu'il aime ça, parce qu'il me le dit et j'ai envie de lui donner ce qu'il aime ce soir. Il me fait rire aussi, quand il avoue aimer beaucoup mes seins et mes fesses et c'est en le regardant et en venant poser mes lèvres sur le coin des siennes que j'accompagne sa main vers le bas de mes lombaires. « Je crois pas avoir mérité tout ça et j'ai mis beaucoup trop de temps pour me maquiller pour que tu gâches tout en me faisant pleurer avant même qu'on soit au restaurant. » Je lâche un petit rire, et c'est pourtant vraiment émue que je le regarde, parce que ses mots me font un bien fou. Sa déclaration est inattendue, et elle me fait beaucoup d'effet parce qu'il y a aussi ce regard, celui qui me prouve à quel point ses mots sont sincères, à quel point il m'aime et de façon très égoïste, j'ai énormément besoin de ça en ce moment. « Mais merci d'être si doux, tes mots me touchent beaucoup, si tu savais comme ça me fait du bien. » Je dépose un léger baiser sur ses lèvres avant de reparler encore. « Je pourrais te faire la liste des choses que j'aime chez toi moi aussi, mais ça gâcherait un des cadeaux que j'ai prévu, mais je t'aime. » J'aime tout de lui, j'aime vraiment tout, et si pour lui la déclaration est très instinctive, moi ça fait plusieurs jours que j'écris ce que j'aime chez lui et les raisons sont nombreuses, beaucoup trop pour toutes lui dire là maintenant et je préfère qu'il le découvre plus tard. « Et tu es le seul à qui j'ai dis ces mots un jour, et c'est bien parce que tu es spécial pour moi. » Spécial, unique, mon âme sœur, l'homme de ma vie, quel que soit la façon dont on peut le caractériser, mon amour pour lui est unique. Il est fort, il est sincère et si je ne sais pas l'exprimer aussi bien que lui j'espère qu'il peut le voir dans mon regard ce soir. Et aussi qu'il le ressent un peu dans mon comportement qui est un peu différent de celui que j'ai pu avoir ces dernières semaines (mois). Dans l'envie, dans l'intention, dans le regard, dans mes gestes aussi, c'est avec un peu plus de sensualité, de désir aussi que je l'embrasse, que je l'attire contre moi en tirant sur sa cravate. C'est avec des idées dans la tête et le regard qui retranscrivent les idées qui sont les miennes, que je profite de ressentir légèrement ces émotions tellement agréables.

Le restaurant est parfait, le cadre est parfait, et je crois qu'il n'y avait que lui qui pouvait en douter et encore quand on voit le lieu, je me demande comment il a pu douter mais c'est Caleb et je m'attarde pas dessus, les yeux bien trop éblouies par le décor si doux et romantique et par la présence de Caleb face à moi. Et face à moi il n'y reste pas très longtemps, puisque je sens ses lèvres se poser sur les miennes pour un baiser pleins de passions, d'amour, d'envie aussi sans doute. C'est du moins ce que je perçois dans ce baiser autant chez lui, que chez moi. Et de nouveau, mon corps semble réagir à ce contact, à nos lèvres qui se touchent et croyez moi quand je vous dis que ça me fait un bien fou et ça me soulage aussi énormément. Sauf que lui il s'en excuse. « C’est pas pour ça que je m’excuse. C’est… » Je fronce les sourcils à nouveau en le regardant quelques secondes comme si mon esprit essayait de capter le sens de ses mots. Et c'est à mon tour de lâcher un peu rire. « Tu t'excuses parce que ce baiser t'excites ? » Je suis à deux doigts de lui dire que c'est normal parce que moi aussi ce baiser me fait de l'effet et c'est quelque chose de rare ces derniers temps alors que lui soit un peu excité ou qu'il ressente des choses, je trouve ça absolument normal finalement. Mais, je ne lui dis pas, parce que même si depuis quelques jours et ce soir aussi, je ressens des émotions, des sensations, je ressens que mon corps réagit aux stimulations, je ne veux pas lui donner de faux espoirs avant d'être certaine. Mais, je ne veux pas que lui s'excuse de me désirer. Il allume sa cigarette et si lui a reprit, je n'ai toujours pas retouché une cigarette depuis plusieurs mois et si pendant la grossesse, l'odeur me donnait des nausées, ce n'est plus le cas aujourd'hui mais pourtant je ne lui prends pas la cigarette pour tirer dessus. Je fixe ses lèvres mais ce n'est pas la cigarette qui m'attire, c'est lui. Ce sont ses lèvres que j'ai envie d'embrasser à nouveau, son visage que j'ai envie de caresser, son corps auquel je veux me coller. Et ce genre de pensées, c'est avec plaisir que je les retrouve. « Peut-être qu’on devrait se garder une soirée par semaine juste pour nous. Pour sortir, se faire un restaurant, aller au cinéma ou faire ce que tu veux. » Sa proposition ma plaît, et c'est d'abord avec ce grand sourire que je lui montre à quel point j'approuve son idée. « Ce que l'ON veut, arrête de ne penser qu'à mes envies. » Une précision que je tiens à ajouter et sur laquelle j'insiste, parce que si c'est un moment rien qu'à nous, il faut que ça lui plaise aussi et je doute par exemple qu'il prenne beaucoup de plaisir à venir faire un saut en parachute avec moi. « Mais tu as raison, je pense qu'on en a besoin tout les deux et je suis sûre qu'on a encore pleins de choses à découvrir ensemble. Et je me dis qu'on peut aussi en profiter pour revivre certains de nos souvenirs. » Et là encore, c'est facile pour moi, j'ai fais la liste de certains de nos souvenirs pour le cadeau que je lui ai préparé mais j'ai tellement de souvenirs avec lui. Nous n'avons pas été en couple longtemps la première fois, mais notre histoire a été forte, a été intense et riche en moments passés à deux, en expériences, en découvertes et c'est peut-être ce dont on a besoin maintenant. Des moments intenses, des moments à deux surtout, comme celui que l'on vit ce soir. « Oui enfin je veux pas contrôler ce que tu vas avoir dans ton assiette bébé. » Je secoue la tête amusée par sa réponse même si c'est clairement pas son intention de me faire rire. « Pourtant y'a pas si longtemps encore, tu n'hésitais pas à contrôler ce que je mangeais et si je mangeais assez surtout. » Ce n'est absolument pas un reproche, mais une petite remarque amusante sur sa façon d'être protecteur et de s'assurer que je mangeais bien pendant la grossesse. Et puis vu que c'est lui qui cuisine 90 voir 95% du temps pour moi, en quelque sorte il contrôle un peu ce que j'ai dans mon assiette même si la plupart du temps il cuisine, je choisis parce qu'il veut me faire plaisir et c'est bien pour ça que je sais exactement qu'il saura ce que j'aime ou non sur la carte. Je le laisse commander et quand nous sommes de nouveau seuls, j'ajoute une petite précision à mes précédentes paroles, qu'il réalise bien qu'il n'y avait aucun reproche dans mes mots. « Mais, tu sais j'aimais vraiment ton petit côté protecteur et inquiet pour moi, c'est quelque chose qui me plaît chez toi, enfin l'une des choses. » Pas qu'il ne l'est plus, mais c'est différent désormais. Et, je sais que c'est en partie ma faute, même presque entièrement ma faute, c'est moi qui aies changé. Mon attitude qui est différente, et lui qui cherche à trouver son rôle, sa place au milieu de tout ces changements. J'en ai conscience désormais. Je cherche l'équilibre en moi, dans ma vie, je cherche à être tout à la fois, une femme, une mère aussi sans qu'un rôle ne prenne le dessus sur l'autre. Et c'est difficile pour moi qui ait un peu de mal à gérer les relations. « T’as eu des nouvelles des rédacteurs que tu as rencontré la dernière fois à la soirée de ton travail ? » Et c'est encore un autre rôle, celui de journaliste, dont il me parle. « J'en ai rencontré un, il veut lancer une émission spéciale pour la coupe du monde, il voulait que je sois présente tout les jours de match en plateau pour débriefer les matchs. » La proposition été alléchante, une vraie opportunité pour moi, mais pourtant j'ai refusé. « C'était trop d'investissement et de temps, je dois en revoir un autre, on verra bien, mais c'est pas très important. » J'adore mon métier, enfin j'adore parler de sport, j'adore donner mon avis, mais je n'ai pas l'ambition de Caleb, je n'ai pas, non plus, sa force de caractère, et si longtemps mon métier a été ma seule source de joie, de fierté, désormais ma vie est partagée entre notre couple, nos enfants et c'est déjà deux rôles que je n'arrive pas totalement à assumer puisque j'en délaisse un, alors même si je passe à côté d'opportunité, je veux me consacrer pleinement à ce qui compte le plus à cet instant de ma vie, et c'est pas le journalisme. « Mais, ce soir, je t'ai dis que tu étais ma priorité et j'ai envie qu'on pense à nous. » Et je l'ai tellement délaissé ces derniers temps que je ne compte pas gâcher notre soirée en tête à tête à parler de ma carrière et je lui prouve que j'ai envie de penser à lui ce soir en lui offrant son premier cadeau. « Je t'ai préparé une petite surprise, c'est pas ton vrai cadeau mais ça me tenait à cœur. » Je sors de mon sac une petite boite transparente remplis de petits papiers de couleurs. 50 papiers roses, 10 rouges et 10 jaunes. Et la seule indication qu'il peut voir sur la boite, c'est un petit message pour lui. Roses : Pour te rappeler pourquoi je t'aime. Rouges : Pour un moment à deux. Jaunes : Pour se souvenir des bons moments Sur chacun des papiers roses se trouvent écrit une des 50 raisons pour laquelle je l'aime et pour le reste il lui suffira de le découvrir. « Tu peux tirer un ou deux papiers si tu veux. » Que je lui dis en souriant, parce qu'après tout c'est pour lui.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptySam 29 Oct 2022 - 20:11

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And darling I will be loving you 'til we're 70. And baby my heart could still fall as hard at 23, and I'm thinking 'bout how people fall in love in mysterious ways maybe just the touch of a hand. Oh me I fall in love with you every single day
« Oh si on a l'interlude pour nous, je t'assure que tu feras pas que cuisiner dans ton restaurant. A part si ce que tu comptes cuisiner c'est moi. » Habituellement j’aurais réagi alors qu’elle semble presque flirter avec moi mais j’ai l’impression d’avoir tellement perdu l’habitude que je ne sais même pas comment réagir. Me voilà à me retrouver presque gêné, je lâche un petit rire en fronçant légèrement les sourcils sans pour autant lui répondre quoi que ce soit. J’ai sûrement l’air bête, et je suis même persuadé que je le suis alors que je me pince les lèvres quelques secondes. Bien heureusement je me rattrape en lui citant quelques petites choses que j’aime chez elle. Si tout à l’heure par message elle m’affirmait que dresser une telle liste pour elle était impossible, ce soir je lui montre que ce n’est pas le cas. Sa main qui trouve refuge dans mes cheveux pendant mon récit ne fait que prouver que j’ai raison ; elle passe son temps à me toucher les cheveux, c’est quelque chose qu’elle semble apprécier faire et heureusement pour elle j’aime beaucoup ça également. « Je crois pas avoir mérité tout ça et j'ai mis beaucoup trop de temps pour me maquiller pour que tu gâches tout en me faisant pleurer avant même qu'on soit au restaurant. » Une réaction que je n’attendais pas mais qui me fait tout de même rire. « Mais merci d'être si doux, tes mots me touchent beaucoup, si tu savais comme ça me fait du bien. » Un sourire étire mes lippes quand les siennes se posent sur ma joue. « C’est une liste non exhaustive je l’ai un peu improvisée. Si je me pose pour y réfléchir vraiment elle serait bien plus longue, crois-moi. » Parce que des qualités chez Alex, je peux en trouver plusieurs et des petits détails chez elle qui me font craquer également. « Je pourrais te faire la liste des choses que j'aime chez toi moi aussi, mais ça gâcherait un des cadeaux que j'ai prévu, mais je t'aime. » L’idée d’une liste pour Alex est plaisante mais bizarrement la possibilité qu’elle puisse faire la même chose sur mes propres qualités me gêne beaucoup. Je grimace légèrement. « Oh t’es pas obligée… » que je lui réponds non sans cacher que cette idée me fait mal à l’aise. « Et tu es le seul à qui j'ai dis ces mots un jour, et c'est bien parce que tu es spécial pour moi. » Je ne peux pas en dire autant pour moi. J’ai dit à Victoria que je l’aimais un grand nombre de fois mais Alex est la première femme à qui j’ai dit ces mots et elle restera la dernière.

Cacher mes émotions derrière une cigarette est quelque chose que je fais souvent et c’est exactement ce que je suis en train de faire en ce moment. « Tu t'excuses parce que ce baiser t'excites ? » C’est ridicule. Oui, je sais. Je m’en rends compte. Mais c’est bien la raison pour laquelle je m’excuse. Plus ou moins. C’est aussi parce que je ne veux pas être trop insistant sur des choses qui ne l’intéressent pas et dont elle n’a pas envie en ce moment. Le regard que je lui porte parle pour moi, oui je m’excuse parce que ce baiser m’excite et aussi car je sais que tu ne ressens pas les mêmes choses que moi depuis quelques mois. Encore une fois ridicule, j’en ai bien conscience. Je fume. J’inhale la fumée tout en profitant du bien-être qu’elle me procure car ce sera la seule de la soirée, comme je lui ai promis. Je sais que j’en aurais envie d’autres un peu plus tard mais je ne veux pas fumer plus devant elle. « Ce que l'ON veut, arrête de ne penser qu'à mes envies. » Pourtant c’est ça aussi l’amour, non ? Faire passer les envies de l’autre avant les siennes. Moi c’est cette vision que j’ai en tout cas. « Non mais je voulais surtout dire que je suis prêt à faire tout ce que tu veux tant que c’est pour passer du temps avec toi. Même du shopping et t’accompagner à un match de foot. » C’est-à-dire deux des choses qu’elle aime le plus faire et que j’aime le moins. C’est dire à quel point elle me manque. « Mais tu as raison, je pense qu'on en a besoin tout les deux et je suis sûre qu'on a encore pleins de choses à découvrir ensemble. Et je me dis qu'on peut aussi en profiter pour revivre certains de nos souvenirs. » Voilà encore une idée qui me plaît et c’est d’abord en souriant que je lui montre. « Tu as certains souvenirs en tête ? » que je lui demande toujours en souriant grandement. Mes yeux brillent quand je regarde Alex ce soir et j’attrape même une de ses mains pour entremêler ses doigts aux miens. « Pourtant y'a pas si longtemps encore, tu n'hésitais pas à contrôler ce que je mangeais et si je mangeais assez surtout. » Je ne sais pas si c’est un reproche qu’elle est en train de me faire. J’ai toujours fait attention à son alimentation simplement parce que l’appétit d’Alex n’a jamais été très grand et elle a souvent tendance à sauter des repas sans aucune raison. Ou du moins les raisons qu’elle m’avance ne sont pas suffisantes à mes yeux. « C’est parce que tu manges souvent vraiment pas beaucoup. » Je me justifie, j’essaie de me trouver des excuses qui n’en sont pas finalement. « Mais, tu sais j'aimais vraiment ton petit côté protecteur et inquiet pour moi, c'est quelque chose qui me plaît chez toi, enfin l'une des choses. » Elle aime cette facette de ma personnalité et me voilà donc soulagé. « Moi qui pensais que c’était un reproche. » que je lui avoue.

« J'en ai rencontré un, il veut lancer une émission spéciale pour la coupe du monde, il voulait que je sois présente tout les jours de match en plateau pour débriefer les matchs. C'était trop d'investissement et de temps, je dois en revoir un autre, on verra bien, mais c'est pas très important. » La serveuse nous apporte notre apéritif, je la remercie en lui souriant et une fois partie s’occuper d’autres clients je réponds à ma femme. « Tu devrais accepter bébé, c’est une super opportunité. » Elle m’a dit vouloir refuser cette proposition mais j’ai peur que si elle passe à côté elle le regrettera. Depuis que nous sommes installés à table mes yeux peinent à rester dans ceux de ma femme, glissant presque tout le temps dans le décolleté plongeant de sa robe. « Mais, ce soir, je t'ai dis que tu étais ma priorité et j'ai envie qu'on pense à nous. » Sa voix me rappelle à l’ordre, c’est à nouveau dans ses yeux que je me perds avant de regarder à nouveau sa poitrine. « Je t'ai préparé une petite surprise, c'est pas ton vrai cadeau mais ça me tenait à cœur. » Cette fois elle réussit à attirer mon attention plus longtemps. Intrigué, je la regarde sortir une petite boite de son sac pour me la donner. Un sourcil en l’air je la regarde elle, et puis la boîte répétant ainsi cette action plusieurs fois et je lis : Roses : Pour te rappeler pourquoi je t'aime. Rouges : Pour un moment à deux. Jaunes : Pour se souvenir des bons moments. Un nouveau sourire se dessine sur mes lèvres, réellement touché par cette attention. « Tu peux tirer un ou deux papiers si tu veux. » J’ouvre la boîte et comme elle me l’a dit, tire un premier papier au hasard. « J'aime quand tu me donnes des surnoms ridicules même si je me moque de toi, j'aime ça parce que je sais que ça veut dire que tu tiens à moi. » Je lis à voix haute et ce premier papier a le mérite de me faire rire et c’est avec un sourire sincèrement touché. « Alors si tu aimes je peux t’appeler chaton sans que tu te moques ? » Un surnom que j’ai utilisé une fois mais son rire et la réflexion peu plaisante sur mon absence de virilité m’ont bien vite calmé et je ne l’ai plus jamais appelé ainsi. Je pioche un autre papier que je lis de nouveau à voix haute. « J'aime tes yeux. J'aime me perdre dans ton regard, j'ai l'impression qu'il n'y a plus que nous.» Celui-ci me fait tout aussi plaisir, mais en lisant ce compliment je me sens aussi assez mal à l’aise. Elle aime mes yeux et mon regard et si elle me l’a certainement déjà dit ce soir ses mots me font rougir et c’est même en lâchant un petit rire gêné que je passe une main dans mes cheveux et après avoir gardé le regard baissé quelques secondes je relève les yeux vers elle. « Merci beaucoup…ça me touche vraiment. Je t’aime, chaton. » J'insiste sur le surnom que j'utilise et mon visage s’approche à nouveau du sien mais pour cette fois un baiser rempli de tendresse et d’amour.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyDim 30 Oct 2022 - 5:41



AND DARLING I WILL BE LOVING YOU 'TIL WE'RE 70. AND BABY MY HEART COULD STILL FALL AS HARD AT 23, AND I'M THINKING 'BOUT HOW PEOPLE FALL IN LOVE IN MYSTERIOUS WAYS MAYBE JUST THE TOUCH OF A HAND. OH ME I FALL IN LOVE WITH YOU EVERY SINGLE DAY
« C’est une liste non exhaustive je l’ai un peu improvisée. Si je me pose pour y réfléchir vraiment elle serait bien plus longue, crois-moi. » Je sais que chacun des ses compliments est sincère. Je le sais mais pourtant il y a encore parfois des jours ou je me demande si je suis assez bien pour lui. C'est beaucoup moins récurrents comme pensée qu'à une certaine période, mais pourtant j'y pense encore parfois. Il est pleins de qualités Caleb. Humainement, il est de ces gens qu'on ne peut qu'admirer, qu'on ne peut qu'apprécier, quelqu'un de bien en somme. Tout ce que je ne suis pas. Pas quelqu'un de bien. Pas quelqu'un qu'on peut admirer ou apprécier. Humainement pas quelqu'un de bien, avec une liste de défaut qui est bien plus longue que la liste des qualités. C'est un fait. Mais pourtant, le fait de vivre avec lui, je sais que ça fait de moi quelqu'un d'un peu mieux et savoir qu'il m'aime malgré tout mes défauts, qu'il m'aime comme je suis, c'est important pour moi. Ca me fait du bien, je lui ai dis, mais il ne doit pas savoir à quel point. Et si lui, est pas du tout avare en compliment, voilà encore une preuve qui fait qu'il est bien meilleur que moi, parce que moi je le suis en revanche. Et pourtant, il aurait besoin de quelqu'un de plus généreuse en compliment dans sa vie, parce que je vois comment il réagit à l'idée que je puisse lui faire une liste de compliment. Il est gêné, une preuve qu'il est pas habitué non ? « Oh t’es pas obligée… » Mais c'est bien dommage pour lui parce que c'est une chose que j'ai déjà faite. A ma manière. Par papiers mais je lui ai faite cette liste des 50 choses que j'aime chez lui / sur lui / avec lui et je sais que ça risque de le mettre un peu mal à l'aise, mais j'espère surtout que ça pourra lui rappeler pourquoi je l'aime, et l'aider à accepter un peu toutes les raisons pour lesquelles je l'aime et qui font de lui l'homme idéal à mes yeux.

Il m'embrasse avec passion, avec envie aussi peut-être et si j'apprécie ça, lui s'en excuse. Il s'excuse qu'un tel baiser puisse l'exciter et c'est encore une nouvelle preuve qu'en nous ces derniers mois ça n'a pas été simple. Pas vraiment que notre entente ne soit moins bonne, ou que des disputes nous ait éloigné, non même pas. Mais, pourtant on s'est éloigné sexuellement parlant et ça semble avoir des répercussions. Je voudrais m'en excuser, ou mieux, lui dire que moi aussi ce baiser m'a fait de l'effet, mais je ne dis rien, voyant bien qu'il est sans doute mal à l'aise et je le laisse se détendre en fumant. Une habitude que je n'aime pas mais dont il a besoin.  « Non mais je voulais surtout dire que je suis prêt à faire tout ce que tu veux tant que c’est pour passer du temps avec toi. Même du shopping et t’accompagner à un match de foot. » Je souris un peu en l'entendant parler de ces activités qui sont sans doute les deux qu'il aime le moins faire avec moi. « Ah oui, en effet si tu es prêt à ça, c'est vraiment que je te manque, il faut vraiment qu'on fasse quelque chose ça devient urgent si tu es prêt à faire du shopping avec moi. » Je le dis sur le ton de la rigolade mais c'est pourtant plutôt vraie, s'il est prêt à faire ça avec moi, c'est bien la preuve qu'il a besoin que je lui consacre plus de temps. « Tu as certains souvenirs en tête ? » Je secoue la tête. « J'ai toujours pleins de souvenirs en tête oui. » Ma main qui se lie à la sienne, je le regarde tout en repensant à certains souvenirs précis. « Ce soir je suis obligée de penser à notre mariage parce que ça fait un an, mais sur la carte j'ai vu le nom du champagne le même que l'on a bu lors de notre soirée de fiançailles. Y'a deux jours en allant promener Dobby, j'ai vu la même marque de voiture que tu conduisais quand on s'est rencontré ça m'a rappelé notre rencontre, cet après midi, j'ai entendu Ed Sheeran sur ta playlist, j'ai repensé au moment ou je t'ai annoncé pour la grossesse des filles, hier en rangeant mon dressing, j'ai vu la robe que je portais le soir ou je suis venue chez toi après notre pari perdu. Des souvenirs de toi, de nous j'en ai en tête tout le temps chéri. » Et ce n'est que des exemples sur les derniers jours, mais je m'arrête là parce que la serveuse arrive vers nous et je laisse Caleb commander pour nous. « C’est parce que tu manges souvent vraiment pas beaucoup. » Il se justifie et c'est presque mignon, mais il n'a pas à le faire. Il a raison je mange pas beaucoup, mais je mange ce dont j'ai besoin et s'il fut un temps ou je mangeais encore moins à cause de l'alcool, désormais je me nourris sainement, surtout quand je suis enceinte. Je tente de le rassurer en lui prouvant que ce n'était pas un reproche que je lui faisais parce que je ne veux pas qu'il croit que je lui en veux de prendre soin de moi. « Moi qui pensais que c’était un reproche. » Je ris un peu parce que je me doutais qu'il penserait que ma remarque est négative, parce qu'il a tendance à penser de façon négative quand ça le concerne. Mais en guise de réponse je dépose un baiser sur sa joue en lui souriant tendrement.

« Tu devrais accepter bébé, c’est une super opportunité. » Il a raison c'est une super opportunité pour ma carrière. Une visibilité que je n'aurais nul part ailleurs surtout que c'est pour l’événement le plus important footballistiquement parlant. « On a déjà du mal à trouver du temps pour nous, je pense pas que ce soit une bonne idée, et Mael est encore si petit. » Mael est une bonne excuse non ? Même si c'est une réalité. Je l'allaite encore. Je suis encore très fusionnelle avec notre fils, et il y a aussi Lucy, Lena et Nathan. Et au milieu de tous ça, notre couple et je n'ai guère de place pour un boulot aussi prenant en temps. Mais, ce n'est pas ce soir que je vais prendre une quelconque décision, parce que ce soir, c'est notre soirée et je veux être pleinement concentré sur lui et sur notre couple. Lui est pleinement concentré sur moi, et sur ma poitrine, ce qui me fait sourire quand je remarque ses yeux s'égarer un peu bien plus bas que là ou ne sont mes yeux. « La vue te plaît ? » Que je lui demande en riant légèrement alors que son regard passe de mes yeux à ma poitrine à nouveau. Et si la robe était un petit cadeau pour lui, enfin pour le plaisir de ses yeux dont je le laisse profiter sans soucis, je lui offre un cadeau. Un fait main et ce n'est pas grand chose mais ça compte beaucoup de lui offrir ça. Parce que je ne suis clairement pas la personne qui est la plus généreuse en compliment, je ne suis pas celle qui évoque le plus facilement ce qu'elle ressent même si j'ai beaucoup appris à ses côtés. Je le laisse découvrir un premier papier qu'il me lit. Je connais chacun des papiers que j'ai écris en pensant à lui. Il rit en lisant ce papier et je lui souris en retour. « Alors si tu aimes je peux t’appeler chaton sans que tu te moques ? » C'est à mon tour de rire, surprise par sa remarque qui me rappelle quelques souvenirs. « Si tu veux, mais je peux t'appeler petit mouton alors. » Je le taquine un peu, mais je ris surtout parce qu'il pourrait bien m'appeler comme il le veut, il a tout les droits, il est le seul qui puisse me donner ce genre de surnom mais il est le seul aussi qui me rends si douce, romantique, et niaise aussi sans doute. Il prends un autre papier dans la boite qu'il lit à nouveau à voix haute, mais cette fois, il semble beaucoup moins à l'aise, et alors qu'il vient de lire que j'aime son regard, il baisse les yeux. Je sais qu'il n'est pas à l'aise avec les compliments mais je sens que c'est peut-être encore plus dur pour lui ces derniers temps. Je pose ma main sur la sienne avec douceur, sans lui mettre de pression, sans le forcer à me regarder, juste pour lui montrer que je suis là. Il finit par relever les yeux vers moi, et je lui souris tendrement. « Merci beaucoup…ça me touche vraiment. Je t’aime, chaton. » Je roule des yeux amusée par ce surnom, mais c'est pourtant avec un réel plaisir que j’accueille ses lèvres sur les miennes prolongeant ce baiser. Il n'a jamais été aussi généreux en gestes d'affections et en baisers dans un lieu public, alors j'en profite vraiment, parce que je réalise à quel point ça m'avait manqué aussi. Je me lève et je viens m’assoir sur ses genoux quelques minutes, je profite que la terrasse soit à nous pour me rapprocher de lui et je tire à mon tour un papier dans la boite, et c'est en le regardant que je lis ces mots que j'ai écris pour lui. « J'aime tous les moments que je passe à penser à toi quand tu n'es pas avec moi. » Les moments ou je pense à lui sont nombreux, je ne pourrais même pas les compter dans une journée tant tout et rien me fait penser à lui et je lui ai déjà prouvé il y quelques minutes plus tôt. Mais que ce soit des pensées drôles, romantique, cute ou même sensuelles ou sexuelles, je passe énormément de temps à penser à lui. Ma main plonge à nouveau dans la boite pour en tirer un autre que je découvre en souriant avant de lui lire et je m'approche de lui, je dépose un baiser dans son cou avant de lui murmurer ces mots avec une voix un peu plus sensuelle. « J'aime ton torse, j'aime pouvoir poser mes mains dessus, sentir ta peau sous mes doigts et te sentir frissonner sous mes caresses. » Et si lui a une chemise qui m'empêche de profiter de sa peau, c'est tout en le regardant, mon visage à quelques centimètres du sien que je viens prendre sa main pour la poser sur ma cuisse, sous ma robe et c'est toujours en tenant sa main que je l'invite à caresser ma peau, que je lui donne à la fois l'autorisation et que je l'incite même à le faire, et je le fais pour lui, un geste qui est devenu rare ces derniers temps mais ce soir j'ai envie de le retrouver, j'ai aussi envie de lui prouver que les choses changent en moi, envie aussi de m'en assurer peut-être avant de lui dire vraiment. Je ferme les yeux quelques instants, me concentrant sur ce que je ressens. « Ça m'avait manqué. » C'est tout ce que je lui dis, sans vraiment détaillé, sans vraiment même lui expliquer ce qui se cache derrière ce ça, mais je lui souris, à la fois vraiment soulagée de constater que mon corps réagit de nouveau à sa peau sur la mienne, et heureuse de ressentir à nouveau ces émotions. Je vois la serveuse arrivée au loin avec nos assiettes et je reprends ma place pour éviter que ça ne devienne vraiment gênant mais c'est en regardant Caleb et en me pinçant les lèvres que je me dis que la suite de la soirée ne peut que bien se passer désormais.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyDim 30 Oct 2022 - 18:33

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« Ah oui, en effet si tu es prêt à ça, c'est vraiment que je te manque, il faut vraiment qu'on fasse quelque chose ça devient urgent si tu es prêt à faire du shopping avec moi. » Bien sûr qu’elle me manque vraiment, c’est un aveu que je lui ai déjà fait lors de sa soirée de travail et je n’ai aucun mal à lui dire à nouveau. Si elle a une soudaine envie de shopping c’est avec grand plaisir que je vais l’accompagner parce que ces petits moments tous les deux sont précieux mais beaucoup trop rares maintenant. « J'ai toujours pleins de souvenirs en tête oui. Ce soir je suis obligée de penser à notre mariage parce que ça fait un an, mais sur la carte j'ai vu le nom du champagne le même que l'on a bu lors de notre soirée de fiançailles. Y'a deux jours en allant promener Dobby, j'ai vu la même marque de voiture que tu conduisais quand on s'est rencontré ça m'a rappelé notre rencontre, cet après midi, j'ai entendu Ed Sheeran sur ta playlist, j'ai repensé au moment ou je t'ai annoncé pour la grossesse des filles, hier en rangeant mon dressing, j'ai vu la robe que je portais le soir ou je suis venue chez toi après notre pari perdu. Des souvenirs de toi, de nous j'en ai en tête tout le temps chéri. » Je souris quand elle évoque cette soirée où je lui ai fait une fausse demande en mariage pour que l’on puisse avoir une bouteille de champagne gratuite et j’avoue être étonné qu’elle l’ait reconnu. Mes yeux se mettent à briller alors qu’elle me replonge dans les souvenirs de cette soirée où Alex m’a annoncé être enceinte. Une journée qui a changé ma vie et je m’en souviens dans les moindres détails. De l’émotion que j’ai ressentie, des larmes qui ont coulées mais aussi du sexe juste après dans la cuisine. Mais cette dernière partie je me force à ne pas trop y penser parce que j’en ai envie. J’en meurs d’envie, même, mais je sais qu’il ne se passera rien de plus que dans câlins innocents et quelques baisers ce soir. Et quand elle me parle de la robe qu’elle portait le soir où elle est venue chez moi suite à un défi perdu, je me souviens aussi du vêtement qu’elle avait choisi. Sauf que le souvenir de cette soirée qui aurait pu être bon a été entravé par les mots et le rejet d’Alex quelques jours plus tard et je n’ai clairement pas envie de repenser à tout ça. « En général quand tu es sentimentale comme ça tu es enceinte. » Oui sauf qu’on sait tous les deux qu’elle ne peut pas être enceinte alors que nous n’avons eu aucune relation sexuelle depuis l’accouchement. Et même déjà bien avant. « Je rigole, bien sûr. » que je précise sans pour autant sourire ou rire. Comprendra qui pourra. Ou qui voudra.

« On a déjà du mal à trouver du temps pour nous, je pense pas que ce soit une bonne idée, et Mael est encore si petit. »  Mael n’est pas une vraie excuse, la reprise du travail avec un enfant en bas âge est faisable si on veut s’organiser mais quand elle me rappelle les difficultés que nous avons déjà à trouver du temps pour nous je ne peux rien dire pour aller à son encontre. Elle a raison et je peux totalement comprendre son refus, bien qu’il reste dommage. Je lui souris légèrement, un petit sourire presque désolé, parce que je le suis sincèrement. Mais ce dont je ne suis pas désolé c’est quand mes yeux jonglent entre les siens et sa poitrine à de nombreuses reprises je me perds dans le décolleté plongeant de sa robe. « La vue te plaît ? » Il me faut même quelques secondes pour l’entendre me solliciter mais quand je réalise qu’elle me parle je relève les yeux vers son regard. « Désolé. » Je ris légèrement avant de me pincer les lèvres mais c’est toujours avec un sourire que je continue. « J’ai l’impression qu’ils m’appellent. Tu les entends pas ? » Je lui demande d’un air faussement surpris appuyant mon jeu en levant un sourcil. Si elle entend ses seins m’appeler ? Probablement pas non et moi non plus d’ailleurs. Mais c’est un sourire totalement différent qui reste figé sur mes lèvres quand je lis le premier mot que je tire au hasard dans cette boîte. « Si tu veux, mais je peux t'appeler petit mouton alors. » Sauf que ce sourire laisse place à une grimace quand je l’entends m’appeler ainsi. « Non parce que ce surnom n’a pas toujours été totalement bienveillant… » À l’école quand on m’appelait le mouton ce n’était pas un surnom affectueux mais je sais que pour Alex c’est totalement différent. Le deuxième papier que je tire me gêne et me met mal à l’aise mais il me touche surtout beaucoup. Elle vient s’asseoir sur mes genoux, un geste que je n’attendais pas du tout mais dont je profite tout de même. « J'aime tous les moments que je passe à penser à toi quand tu n'es pas avec moi. » Je souris alors que je découvre une nouvelle chose qu’elle aime chez moi. Elle tire un autre papier dont elle ne me partage pas le contenu. Ses lèvres se posent dans mon cou, un baiser qui me fait immédiatement frissonner. Le genre de baiser qu’elle n’a pas eu en mon égard depuis très longtemps. « J'aime ton torse, j'aime pouvoir poser mes mains dessus, sentir ta peau sous mes doigts et te sentir frissonner sous mes caresses. » Je ne comprends pas qu’elle puisse aimer cette partie de mon corps. Je sais que ça a été le cas mais je doute que ce soit encore vraiment d’actualité. Je ne réagis pas. Pas vraiment. Je ne comprends pas non plus à quoi elle joue quand elle prend ma main pour la guider sous sa robe. Je ne saisis pas quelles sont ses intentions mais je la laisse guider ma main, j’apprécie aussi pouvoir toucher sa peau et cette partie de son corps. « Ça m'avait manqué. » Quand je vois la serveuse arriver je retire rapidement ma main afin de m’assurer qu’elle ne puisse rien voir et Alex retourne s’asseoir à sa place. Toujours réellement perplexe et perdu face à ce qui vient de se passer je me contente de remercier simplement la serveuse sans rien dire de plus. Son baiser, la sentir si proche de moi sur mes genoux, sa main qui pousse la mienne à s’aventurer sous sa robe pour caresser sa peau. Partie de son corps que je n’ai jamais osé retoucher depuis son énième rejet la dernière fois. C’est bête. C’est con. Ce sont certainement des petits détails mais pour un homme n’ayant pas couché avec sa femme depuis plusieurs mois ces détails suffisent à m’exciter. Je souffle, je gesticule sur ma chaise et sans même trinquer j’attrape mon verre d’alcool pour en boire quelques gorgées. « C’est vraiment pas sympa de ta part de faire tout ça alors qu’on sait très bien qu’on va rien faire ce soir. » Je lui avoue en reprenant enfin la parole. Encore une fois pas un reproche mais une simple constatation de ma part. Je meurs de chaud alors je desserre un peu ma cravate et j’ouvre un bouton de ma chemise en soufflant doucement. « Ça a l’air bon. Bon appétit. » Je me sens bête – et je le suis sûrement – mais je préfère clairement passer à autre chose et manger l’entrée qui vient de nous être servie semble être un bon moyen pour ça.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyLun 31 Oct 2022 - 18:54



AND DARLING I WILL BE LOVING YOU 'TIL WE'RE 70. AND BABY MY HEART COULD STILL FALL AS HARD AT 23, AND I'M THINKING 'BOUT HOW PEOPLE FALL IN LOVE IN MYSTERIOUS WAYS MAYBE JUST THE TOUCH OF A HAND. OH ME I FALL IN LOVE WITH YOU EVERY SINGLE DAY
« En général quand tu es sentimentale comme ça tu es enceinte. » Je grimace mais je ris aussi en secouant la tête avec beaucoup d'entrain. Non je ne suis pas enceinte, et c'est pas prêt d'arriver à nouveau désormais. Je pense qu'on est tout les deux d'accord la dessus au moins, alors que notre vie de famille a largement prit le dessus sur notre vie de couple, et mon rôle de maman sur celui de femme. « Je rigole, bien sûr. » Il rigole, mais pourtant son visage ne montre aucun sourire et là encore je grimace enfin je fronce les sourcils presque un peu perdue face à ses mots qui semblent pas correspondre à ce qu'il montre. « Heureusement que tu rigoles, parce que c'est pas prêt d'arriver à nouveau ça, d'ailleurs j'ai remis un stérilet, je crois que j'ai oublié de te le dire. » Que je lui réponds en riant, même si lui n'avait pas l'air très amusé par la discussion. « Mais comme quoi, je n'ai pas besoin d'être enceinte pour être sentimentale, peut-être que finalement c'est pas les grossesses mais toi qui me rends comme ça. » Un sourire tendre en le regardant, parce que je sais que c'est lui, sa présence, son amour, sa bienveillance, sa douceur, ses petites attentions, et toutes ces petites choses qui me rendent plus sentimentale comme il dit ou adorable aussi.

Et si la discussion dévie quelques minutes sur ma reprise du travail, son regard lui dévie sur ma poitrine à plusieurs reprises. Faut dire qu'elle est plutôt bien apparente aujourd'hui et qu'en choisissant cette robe je m'y attendais, je le savais et c'était même prémédité de ma part. Je le taquine à ce sujet, alors qu'il est de nouveau le regard perdu dans cette partie de mon corps. « Désolé. » Il rit un peu et je sais qu'il n'est pas vraiment désolé, de toute façon il n'a pas à l'être. C'est pour lui que j'ai choisi cette robe et s'il n'en profitait pas je pense que je serais presque vexée finalement.  « J’ai l’impression qu’ils m’appellent. Tu les entends pas ? » Je ne peux retenir un rire un peu plus bruyant que les autres mais je m'y attendais absolument pas à cette réponse. Je lève les yeux en riant à sa remarque. « T'es comique quand tu veux Anderson. Mais, non désolée je les entends pas mais c'est à toi qu'ils veulent plaire tu dois être le seul à pouvoir les entendre, mais s'ils t'appellent alors je comprends, regardes les, faudrait pas les décevoir en les ignorants. » Il est le seul à pouvoir en profiter en tout cas puisque nous sommes seuls sur cette terrasse dans un cadre romantique et intimiste, ce qui est vraiment agréable pour un repas d'anniversaire de mariage dans un restaurant aussi classe. Et ça nous permets d'avoir des échanges de baisers plus passionnels que si nous étions au milieu d'une salle bondée. Je peux même lui offrir son premier cadeau, une petite boite dont il découvre le contenu, enfin une toute petite partie du contenu puisqu'il ne lit que deux papiers. « Non parce que ce surnom n’a pas toujours été totalement bienveillant… » Je le vois grimacer et je réalise ma connerie, encore une. Bon celle là est largement rattrapable. « Je peux t'appeler lapin ou mon canard si tu préfères. » Absolument pas crédible de ma part, mais je m'en amuse ce soir, et puis si un jour on m'avait dit que je serais mariée, que j'appelle mon mari « chéri ou bébé » je n'y aurais pas cru non plus, alors lapin ou canard, c'est pas si fou non ? Et si le premier papier a réussi à le faire sourire, le second semble le mettre un peu mal à l'aise et je sais qu'il a du mal avec les compliments mais pourtant je ne compte pas m'arrêter là ce soir. Et comme pour lui montrer que j'aime son regard, que j'aime quand il me regarde et que j'aime avoir l'impression qu'il n'y a plus que nous, je me rapproche de lui. Beaucoup, puisque je suis désormais sur ses genoux et je peux le regarder, sentir son parfum qui me fait renifler un peu quand je le sens venir titiller mes narines. C'est agréable comme moment, c'est plaisant d'être sur lui, d'être avec lui et de n'avoir personne pour venir nous déranger. Je lui lis un autre papier, et puis un deuxième juste après lui avoir donné un baiser qui fait raviver des émotions enfouies en moi. Je prolonge ce moment, je le sens perplexe, peut-être qu'il ose pas, mais il me laisse faire glisser sa main sur ma cuisse, sans réellement participer mais sans la retirer pour autant alors je m'occupe de guider sa main, de faire en sorte que ses doigts glissent sur ma peau, et je sens quelques frissons me parcourir le dos alors que je ferme les yeux quelques secondes pour ressentir ces émotions que mon corps semblait avoir oublié. Mais ce moment prends fin au moment ou la serveuse arrive, Caleb retire sa main rapidement et je retourne à ma place non sans repenser à ce que ce moment a fait naître (ou renaître) en moi. Une lueur de désir, une petite flamme qui semble prête à embraser mon corps à nouveau. La serveuse est là mais c'est Caleb que je regarde toujours et encore, les pensées que j'ai me perturbe un peu et j'ai du mal à les gérer tant ça faisait longtemps que je n'avais pas ressenti ce genre de choses, d'envies, de désirs. Je me sens excitée et étrangement je me sens soulagée aussi. Soulagée de constater que toutes les discussions, que tous les échanges, que toutes les tentatives pour retrouver ma libido semble enfin fonctionner. La serveuse n'est plus là et ce n'est pas mon assiette que je regarde mais toujours Caleb, je le vois gesticuler sur sa chaise, souffler aussi et quand je le vois boire plusieurs gorgées de son verre d'alcool comme ça, je réalise que j'ai peut-être été un peu trop entreprenante finalement et je souris un peu amusée de le voir comme ça mais aussi un peu gênée de lui faire subir ça. « C’est vraiment pas sympa de ta part de faire tout ça alors qu’on sait très bien qu’on va rien faire ce soir. » Je voulais attendre, je voulais en être certaine, je voulais que ce soir dans la chambre d'hôtel il puisse découvrir ce que je lui réserve mais je réalise qu'il ne semble pas avoir remarqué les petits gestes, les petits messages que j'essaye de lui laisser pour lui montrer que le désir revient, que l'envie de le retrouver n'est pas que purement sentimental. J'ai aussi envie de le retrouver physiquement et tant pis pour la surprise, et j'espère que mon corps ne me lâchera pas ce soir, mais il a besoin de savoir sinon chacun de mes gestes ce soir ne seront que frustration pour lui et je ne veux pas ça. Je le regarde toujours, je le regarde aussi sa chemise et l'idée de lui enlever totalement me traverse l'esprit, une pensée qui me fait me pincer les lèvres. « Ça a l’air bon. Bon appétit. » J'ai du mettre trop de temps à penser, réfléchir, puisqu'il reprends la parole et si lui pense à manger, je pense à tout autre chose. « Chéri, regarde moi. » Que je commence doucement, ma main qui vient chercher ma sienne pour être sur d'avoir toute son attention. « Je voulais te faire la surprise, mais je vois que tu as besoin de savoir. Ce soir j'ai réservé une chambre. Tu me manques vraiment, et ça fait quelques jours que je ressens du désir, que mon corps réagit un peu et je voulais qu'on puisse se retrouver aussi physiquement ce soir. J'en ai envie, mais j'avais peur que mon corps ne réagisse pas comme je le voulais au moment venu, j'avais peur que t'en parler ça soit trop frustrant pour toi si jamais ça marche pas. » C'est avec douceur que je lui dis tout ça, j'essaye de ne pas montrer à quel point je suis impatiente et à la fois stressée de pouvoir le retrouver. J'essaye de ne pas lui montrer que je ressens une certaine pression maintenant qu'il le sait, parce que je sais comme cette période est difficile pour lui et je ne veux pas rajouter encore plus de frustration. « Mais si je fais tout ça comme tu dis, c'est justement pour te faire comprendre que j'ai envie de toi. Mais visiblement tu ne comprends pas alors voilà, je te le dis. J'ai envie de toi ce soir chéri, et ta main sur ma cuisse tout à l'heure m'a fait un peu frissonner, et ça fait du bien. » D'être de nouveau sensible à ses caresses, d'être de nouveau capable de ressentir ce genre d'émotions, de se sentir de nouveau excitée aussi. « Je compte sur toi ce soir, tu as le droit de toucher, de regarder, de faire tout ce que tu veux pour stimuler mon corps, et pour voir s'il est réactif. » Il l'est, je le sens, je le sais, je l'espère aussi énormément. Mais je sens les sensations revenir, je sens le désir revenir, je sens les pensées occuper mon esprit, je sens l'envie, le désir, l'excitation à l'idée de lui parler de mes projets pour la fin de soirée. Je sens tout ça, mais je sens aussi une pointe de pression, de stress et un petit peur aussi à l'idée de ne plus être à la hauteur, de ne pas lui donner de plaisir, de ne pas être capable de me détendre au moment venu, la peur d'avoir mal aussi. Toutes des choses que je n'avais pas ressenti, pas pensé même après la naissance des filles. Mais je le regarde, je cherche son regard parce que je sais que je vais y trouver ce que j'ai besoin. De l'amour, du désir, de la tendresse, et la sécurité dont j'ai besoin et que je ressens à ses côtés.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyMar 1 Nov 2022 - 11:58

Calex
And darling I will be loving you 'til we're 70. And baby my heart could still fall as hard at 23, and I'm thinking 'bout how people fall in love in mysterious ways maybe just the touch of a hand. Oh me I fall in love with you every single day
« Heureusement que tu rigoles, parce que c'est pas prêt d'arriver à nouveau ça, d'ailleurs j'ai remis un stérilet, je crois que j'ai oublié de te le dire. » J’acquiesce simplement d’un signe de tête, effectivement je n’avais pas la moindre idée qu’Alex avait recommencé à reprendre des contraceptifs ni même qu’elle a cette fois opté pour un stérilet. La preuve ultime d’une certaine distance entre nous dernièrement. « Mais comme quoi, je n'ai pas besoin d'être enceinte pour être sentimentale, peut-être que finalement c'est pas les grossesses mais toi qui me rends comme ça. » Voilà une révélation qui me fait oublier bien vite ce petit point noir qui plane au-dessus de notre couple actuellement. Cette fois je lui souris, parce que cette idée me plaît vraiment beaucoup et comment ne pas apprécier l’idée que ma femme s’adoucisse en mon contact ? « J’aime vraiment beaucoup cette idée. » Des mots qui sont presque murmurés alors que mon sourire lui ne disparait pas. Mes yeux sont toujours aussi brillants quand je la regarde et l’idée de me dire qu’elle se montre sentimentale en ma présence me rend sans aucun doute encore plus niais.  Il y a apparemment au moins une chose que je parviens toujours à faire ; faire rire Alex. Et quand je l’entends rire de façon plus assumée que les fois précédentes je relève les yeux vers elle toujours avec ce même sourire. « T'es comique quand tu veux Anderson. Mais, non désolée je les entends pas mais c'est à toi qu'ils veulent plaire tu dois être le seul à pouvoir les entendre, mais s'ils t'appellent alors je comprends, regardes les, faudrait pas les décevoir en les ignorants. » C’est à mon tour de rire un peu et avant le lui répondre mes dents viennent capturer ma lèvre inférieure en glissant de nouveau dans son décolleté quelques secondes. « J’aime beaucoup l’idée de me dire que j’ai un lien spécial avec eux. » Que je lui réponds sans être réellement sérieux bien que ce ne soit pas totalement faux. J’aime cette partie de son corps encore plus que les autres et j’apprécie encore plus de savoir que je suis le seul à pouvoir en profiter. Bien qu’en ce moment seuls mes yeux peuvent en bénéficier mais c’est déjà mieux que rien non ? Alors je me tais et je profite de la vue plongeante sur cette partie de son corps que m’offre cette robe. « Je peux t'appeler lapin ou mon canard si tu préfères. » Ma langue vient humidifier mes lèvres dans un sourire qui ne quitte définitivement pas mon visage ce soir. Mais c’est le bonheur qui me rend ainsi. Un an de mariage avec la femme de ma vie et je l’aime toujours autant. Peut-être même encore plus chaque jour si c’est réellement possible. « Si je ne savais pas que tu utilisais ces surnoms pour te moquer de moi je pourrais les apprécier. » Tout comme le surnom chou, je pourrais réellement l’aimer si elle en l’utilisait pas que pour se montrer sarcastique avec moi. Mais ce ne sont que des détails finalement pas vraiment importants. Elle peut m’appeler comme elle le veut, en soi, ça m’est égal.

Ce qui est par contre étrange c’est quand Alex se montre très entreprenante avec moi une fois installée sur mes genoux. Cette Alex-là, je ne l’ai pas vu depuis longtemps. Plusieurs mois même, je sais que je ne lui fais plus d’effet. Je sais qu’elle n’a plus envie de coucher avec moi et j’apprends à vivre avec. Ou sans, plutôt. Le sexe a toujours eu un rôle majeur dans notre relation de couple alors ce changement drastique reste très étrange et franchement pas très agréable pour moi. Mais j’attends. Je ne lui mets pas la pression – ou du moins j’essaie de ne pas lui mettre – je lui laisse le temps qu’il faut bien que l’attente commence à être difficile pour moi. Le plus important c’est elle et seulement elle sauf quand la serveuse nous sert nos entrées je préfère me concentrer sur l’assiette devant moi que sur les pensées que j’ai à présent en tête. J’ai chaud, j’essaie de penser à autre chose mais c’est loin d’être simple. « Chéri, regarde moi. » Je plonge mes couverts dans mon assiette une première fois et c’est en goûtant à cette entrée que je lève les yeux vers elle et cette fois c’est bien dans les yeux que je la regarde. « Je voulais te faire la surprise, mais je vois que tu as besoin de savoir. Ce soir j'ai réservé une chambre. Tu me manques vraiment, et ça fait quelques jours que je ressens du désir, que mon corps réagit un peu et je voulais qu'on puisse se retrouver aussi physiquement ce soir. J'en ai envie, mais j'avais peur que mon corps ne réagisse pas comme je le voulais au moment venu, j'avais peur que t'en parler ça soit trop frustrant pour toi si jamais ça marche pas. » Je l’écoute me parler avec attention. Beaucoup d’attention et quand elle me dit avoir réservé une chambre pour ce soir, je suis étonné. Je pense d’ailleurs que mes réactions non verbales le prouvent : je pose mes couverts sur la table, je fronce légèrement les sourcils et je me pince les lèvres. « Mais si je fais tout ça comme tu dis, c'est justement pour te faire comprendre que j'ai envie de toi. Mais visiblement tu ne comprends pas alors voilà, je te le dis. J'ai envie de toi ce soir chéri, et ta main sur ma cuisse tout à l'heure m'a fait un peu frissonner, et ça fait du bien. » Cette fois je baisse les yeux pour essayer de repérer les moments où elle aurait pu avoir des gestes ou des mots me faisant comprendre qu’elle pourrait avoir envie de plus que des petits câlins ce soir mais je ne trouve pas. Mis à part ce qu’il vient tout juste de se passer mais même ça je ne l’avais pas interprété de la sorte. Pour moi il est impossible de me dire que je puisse plaire à Alex et encore moins qu’elle puisse avoir envie de moi alors tous ses gestes ou tous ses mots ont eu une toute autre interprétation de ma part. « Je compte sur toi ce soir, tu as le droit de toucher, de regarder, de faire tout ce que tu veux pour stimuler mon corps, et pour voir s'il est réactif. » Je relève le regard vers elle quand je l’entends me parler à nouveau et ainsi elle me donne l’autorisation de la caresser et de profiler de certaines parties de son corps qui m’étaient presque devenues interdites depuis plusieurs mois. Je réfléchis, je ne suis pas très bavard, j’ouvre la bouche pour répondre mais la referme immédiatement. Elle me prend de court et c’est une vraie surprise comme elle peut le constater. « C’est vrai ? Tu es sûre d’avoir envie de coucher avec moi ce soir ? » Que je lui demande comme si cette idée me semblait impensable. « Bébé… Je ne veux pas que tu te forces à faire quoi que ce soit dont tu n’as pas envie juste parce qu’aujourd’hui c’est notre anniversaire de mariage. » Parce que c’est presque louche qu’elle retrouve un semblant de libido juste pour cette journée si spéciale. Pas que cette idée ne me plaise pas, bien au contraire mais je veux m’assurer qu’elle en ait vraiment envie, qu’elle se sente prête et qu’elle ne se force pas pour moi. « Parce que je t’assure que je vais bien. » Pas totalement faux dans l’absolu mais les moments intimes avec ma femme me manquent énormément et je ne m’en cache pas vraiment.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyJeu 3 Nov 2022 - 2:48



AND DARLING I WILL BE LOVING YOU 'TIL WE'RE 70. AND BABY MY HEART COULD STILL FALL AS HARD AT 23, AND I'M THINKING 'BOUT HOW PEOPLE FALL IN LOVE IN MYSTERIOUS WAYS MAYBE JUST THE TOUCH OF A HAND. OH ME I FALL IN LOVE WITH YOU EVERY SINGLE DAY
 « J’aime vraiment beaucoup cette idée. » Je le sais et je le vois à son sourire, à la manière avec laquelle il accueille ma remarque et ce n'est pas la première fois que je lui dis. Mais, Caleb m'a apporté bien plus qu'un peu de sentimentalisme dans ma vie. Et, je pense qu'il le sait, je pense que je lui ai déjà dis, mais Caleb a été mon roc à un moment ou dans ma vie je sombrais. Il a été ma force, ma raison de me battre contre moi même, contre ce qu'il y a de pire en moi. Il a été la lueur d'espoir, de douceur, d'amour dont j'avais besoin. Son regard bienveillant, son regard pleins d'amour, le fait qu'il croyait en moi, il m'a apporté tellement que j'ai parfois l'impression d'être une toute autre personne à ses côtés. Et peut-être que je le suis, une toute autre personne, meilleure, plus calme, plus sereine, plus sentimentale et sans aucun doute, plus heureuse aussi. Il est ma force, notre couple est mon socle, notre famille est ma fierté, et notre amour est ce qui me donne de l'espoir et de l'assurance. Il aime que je sois sentimentale, il aime l'idée que ce soit sa présence qui me rende ainsi et c'est effectivement le cas. Mais, il n'y a pas que mon côté sentimentale qui se réveille en sa présence. Il y a aussi l'envie de plaire, de lui plaire à lui et à personne d'autre. Il y a l'envie de voir mon mari me regarder, et c'est quelque chose qui n'était pas si présent depuis l'accouchement, mais ce soir, la robe que j'ai choisi prouve bien que c'est ce que je souhaite. Le séduire. Lui plaire. Lui donner envie aussi parce que le décolleté n'est pas choisi au hasard. Parce qu'il y a cette vue sur une partie de mon corps qu'il apprécie particulièrement, une partie de mon corps dont il n'a pas pu profiter ces derniers temps et ce soir je lui dévoile une petite partie. Un peu plus que ce que j'aurais pu faire en d'autres circonstances, dans d'autres soirées, mais ce soir il n'y a que pour ses yeux que je dévoile ce corps, et je constate que ça marche toujours. Qu'il est toujours aussi réceptif à cette vue. « J’aime beaucoup l’idée de me dire que j’ai un lien spécial avec eux. » La discussion est légère, et c'est de ma poitrine, de mes seins que nous parlons avec une pointe d'humour. « Ils te sont destinés, ils savent que tu es leur maître, ils te sont loyaux et dévoués. » Et si actuellement, ce n'est pas réellement le cas, puisqu'ils sont surtout voués à un rôle nourricier pour notre fils, il est bien le seul à pouvoir les regarder de la sorte. Il se mord la lèvre en les regardant, et c'est bien le seul que je laisse dévisager avec envie ma poitrine. Je bombe même un peu la poitrine et je me penche vers lui, non pas pour l'embrasser mais juste pour lui donner une vue encore un peu plus plongeante sur ce décolletée déjà beaucoup trop plongeant. C'est avec plaisir que je lui laisse profiter, que je le regarde amusée de le voir presque incapable de ne pas laisser ses yeux glisser vers cette partie de mon corps et je me demande à quoi il pense en les regardant de la sorte. Mais, je ne lui demande pas, parce que je ne suis pas encore prête à évoquer ses envies de sexe, et cette privation de sexe que je lui fais subir. Et c'est sur un sujet plus léger que notre conversation dévie. Il sourit, il a l'air détendu, il a l'air heureux, il est surtout vraiment beau quand il a ce sourire qui détends son visage et qui lui apporte une vraie douceur et une vraie tendresse. Je souris moi aussi, parce qu'il a cet effet là sur moi. « Si je ne savais pas que tu utilisais ces surnoms pour te moquer de moi je pourrais les apprécier. » Je souris un peu, oui j'aime me moquer de lui, parfois trop, parfois de façon maladroite mais à côté de ça, je l'aime vraiment et si les surnoms niais ça n'a jamais été mon truc, c'est pourtant désormais avec un naturel et un plaisir que j'ai adopté certains. « Bébé, tu sais que j'aime te taquiner mais rien que pour toi je pourrais passer ma vie à te murmurer des petits mots doux à l'oreille si c'est pour te plaire. » Parce que l'amour c'est aussi penser à ce que l'autre aime, à ce que l'autre a besoin, a envie et si Caleb apprécie que je lui murmure à l'oreille ce genre de surnom alors oui, je pourrais apprécier moi aussi.

Il y a autre chose que j'apprécie aussi, et ça fait quelques temps que je n'avais pas ressenti ça. Quelques temps que je ne m'étais pas montrée aussi entreprenante avec lui, aussi tactile, aussi séductrice. Mais, ce soir, je lui suis. Un peu au moins. Plus que ces derniers mois, ça c'est sur, et ça semble le surprendre voir même le frustrer alors que c'est tout l'inverse que j'espérais produire. Et s'il reste assez distant avec moi, il me l'explique, ou du moins je le comprends bien vite. Il est persuadé que ce soir, ce sera encore un des nombreux soirs ou il va s'endormir frustré et en manque et c'est pas ce que j'ai prévu pour lui, pour nous, mais ça il ne le sait pas. Du moins pas encore. Et si je ne voulais pas lui donner de faux espoirs, je lui explique pourtant mes plans, mes envies, ce que j'ai prévu pour nous. Je lui explique que j'en ai envie, que je veux le retrouver, que je ressens le désir à nouveau, que mon corps n'est plus imperméable à toute forme de désir et d'envie, et il reste silencieux. Il m'écoute, ça je le vois bien à son regard, à ses réactions, mais je vois surtout son étonnement. Et si je pensais voir une réaction sur son regard au moment ou je lui avoue avoir envie de lui ce soir, c'est son regard qui se baisse et un silence qu'il continue à entretenir et que je m'évertue à ne pas laisser s'installer. Je finis même par lui donner l'autorisation de toucher mon corps, bien qu'il n'avait pas vraiment perdu ce droit mais je n'étais pas forcément très accessible, pas vraiment très disponible émotionnellement et physiquement pour lui. Sauf, que ce soir, je lui ai montré avec cette robe qu'il pouvait profiter de la vue et je lui dis qu'il peut aussi toucher, qu'il doit même le faire en quelque sorte. Mais c'est encore le silence, et cette fois c'est moi qui fronce les sourcils, parce que je ne comprends pas son manque de réaction. Je pensais qu'il sauterait de joie, qu'il serait excité à l'idée de dire au revoir à sa main gauche, qu'il serait impatient, qu'il aurait des questions sur ce que j'ai prévu pour nous, mais non. Il semble septique, perdu peut-être, il ouvre la bouche, la referme et je finis par prendre une bouchée de mon entrée, à défaut de comprendre sa réaction, je ne veux pas montrer que je suis un peu déçue de le voir si peu enthousiaste. « C’est vrai ? Tu es sûre d’avoir envie de coucher avec moi ce soir ? » Dans d'autres circonstances, j'aurais sûrement pu faire une blague en réaction à sa question, lui dire que non c'est avec le voisin que j'ai envie de coucher, parce que ça me semble logique comme réponse à cette question. Sauf, que je sais réellement qu'il me pose cette question avec sérieux lui, ce qui est un peu triste en soit puisque je viens de lui dire justement que c'était mon projet, mon désir, mon envie, de le retrouver physiquement. Alors au lieu d'une réponse taquine oui banane c'est toi que je veux ou plutôt ta banane, c'est avec sérieux et assurance que je lui réponds. « Oui c'est vrai, j'ai envie de coucher avec toi ce soir. » Les mots sont précis, clairs et je voudrais qu'il y croit, qu'il voit dans mes yeux que moi j'y crois, que j'en ai vraiment envie. Ou au moins vraiment envie d'essayer de recoucher avec lui, parce que j'en ai envie. « Bébé… Je ne veux pas que tu te forces à faire quoi que ce soit dont tu n’as pas envie juste parce qu’aujourd’hui c’est notre anniversaire de mariage. » Je tire ma chaise vers lui, je me décale un peu pour me retrouver proche de lui, la table entre nous étant une séparation qui me dérangeait, c'est avec ma main sur sa joue que je le regarde. Je comprends ses doutes, je comprends son raisonnement, je comprends qu'il s'inquiète du timing, qu'il s'inquiète de mon envie. Et ça me touche de voir qu'il est attentif à ça, alors qu'il pourrait juste garder en tête que j'ai envie de lui donner ce dont il a envie depuis plusieurs mois. « Je ne me force pas, je te le promets. » Et si j'avais du me forcer, je l'aurais fais avant, parce que les semaines ont été longues pour lui. J'y ai pensé quand j'ai réalisé qu'il y avait un problème avec mon corps, avec moi. Quand j'ai compris que rien ne pouvait réveiller mon corps, qu'il était bloqué, que je n'avais plus de contrôle dessus, quand j'ai remarqué que les caresses ne me procuraient plus aucunes sensations. Quand, j'ai compris que je lui manquais, il ne m'a jamais mis de pression, mais je m'en suis mise moi. Détestant ce corps qui ne manifestait plus de plaisir, plus une once d'envie. J'y ai pensé à me forcer en espérant créer un déclic, débloquer ce corps, mais je ne voulais pas lui offrir ça. Je ne voulais pas que ce qui fait notre couple soit gâcher par un geste que j'aurais pu regretter et lui aussi, qui aurait pu rendre notre entente moins belle, moins pure, moins parfaite. « Parce que je t’assure que je vais bien. » Je doute un peu de cette affirmation, mais je ne veux pas qu'il puisse penser que justement je crois qu'il souffre de notre manque de sexe puisqu'il se dirait sans doute que je le fais juste pour lui faire plaisir. « Parfait, mais j'espère quand même que tu iras encore mieux demain matin. » Que je lui glisse avec une certaine légèreté, mais je redeviens sérieuse quelques instants après pour le rassurer sur mes intentions, sur ce qui me trotte dans la tête, pour lui prouver que je ne fais pas ça parce que c'est notre anniversaire de mariage et que je me force pour lui. « Écoute bébé, j'en ai envie, j'ai envie de toi, j'ai envie de retrouver notre complicité physique, je ne pourrais jamais me forcer avec toi, je t'aime trop pour nous faire ça. » Et c'est peut-être étrange parce que si je l'aimais autant peut-être que j'aurais pu faire l'effort de lui montrer plus, de lui donner plus, mais je sais que s'il venait à savoir que je me force avec lui, il serait plus que mal à l'aise et je ne veux pas de ça. Je veux le rassurer et c'est ce que je fais en venant l'embrasser. Doucement d'abord. Puis langoureusement. Avec intensité.  Avec beaucoup, beaucoup d'envie. « J'ai eu quelques moments ou je sentais le désir revenir, et je crois que c'est mardi que j'ai eu un vrai déclic, j'ai eu follement envie de toi quand tu étais au travail, j'ai eu envie de toi en nous regardant et depuis je pense à nos retrouvailles, je me dis que je suis prête pour essayer parce que j'en ai envie, parce que les pensées sont de retours, parce que tes caresses sont ma peau me fait ressentir des frissons à nouveau, parce que j'ai envie de toi tout simplement. » Je lui avoue que j'ai regardé ce film un peu particulier de nous, je lui avoue le désir que j'ai ressenti à ce moment et s'il n'a pas pu en profiter ensuite, je pense que ce moment m'a fait un bien fou et non je ne me suis pas amusée toute seule, mais j'ai senti que mon corps était capable de vibrer un peu et c'est à partir de ce moment que j'ai compris que j'étais prête. Et si toute cette discussion aurait pu être dite avec un jeu de séduction, avec l'envie de l'exciter ce n'est pas le cas, c'est avec beaucoup de tendresse et d'amour que je lui parle de tout ça. Pour qu'il comprenne, pour qu'il me croit, pour qu'il réalise que j'ai vraiment envie de lui, et d'être sa femme ce soir. « Je veux être ta femme ce soir, celle que tu as été tant de fois capable de combler. Je te veux toi, tout entier et tout nu. » Et ces mots sont susurrés à son oreille alors que ma main sur sa cuisse se rapproche dangereusement de son entrejambe. C'est aussi par ce genre de geste que je veux lui montrer que mes mots ne sonnent pas faux et qu'ils sont suivis de gestes, et j'ai envie de le sentir excité à nouveau, j'ai envie de lui, tout entier et j'ai envie de retrouver le plaisir qu'il est capable de me faire ressentir et vivre.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyJeu 3 Nov 2022 - 17:29

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And darling I will be loving you 'til we're 70. And baby my heart could still fall as hard at 23, and I'm thinking 'bout how people fall in love in mysterious ways maybe just the touch of a hand. Oh me I fall in love with you every single day
« Ils te sont destinés, ils savent que tu es leur maître, ils te sont loyaux et dévoués. » Comment est-il possible de ne pas rire en l’entendant me qualifier comme étant le maître de sa poitrine ? Impossible, et c’est même un rire plus bruyant que les précédents qui se fait entendre dans la terrasse. C’est aussi une des nombreuses raisons pour laquelle je suis désespérément amoureux d’Alex, elle me fait rire plus que n’importe qui et c’est en secouant la tête d’un air amusé que je passe ma langue sur mes lèvres enfin de me coincer la lèvre inférieure entre mes dents. « Je suis leur maître ? C’est plutôt plaisant, j’aime cette idée. » que je lui avoue toujours en riant un peu. C’est une conversation quelque peu absurde quand on y pense mais pourtant l’idée d’être le maître de sa poitrine est drôlement attirante. Et plaisante aussi. Elle sait qu’il s’agit là de la partie de son corps que j’aime le plus bien que ses yeux se défendent également plutôt bien. Tout dépend des intentions que j’aies et malgré moi, mes intentions ce soir sont tristement lisses et pures. Alors ce soir la partie de son corps que j’aime le plus n’est pas sa poitrine mais ses yeux. Mais tout le monde peut profiter de ses prunelles vertes, tout le monde peut plonger son regard dans le sien mais personne n’a la même chance que d’avoir son regard en retour. Alors ce soir j’en profite et mon regard est complètement perdu dans le sien, mes yeux ne parviennent pas à quitter ses prunelles, je la regarde mais je pense même qu’à ce stade-là on pourrait presque parler d’admiration. « Tu penses que je peux aussi être le maître de tes yeux ? Parce que malgré le fait qu’on se connaisse depuis douze ans, à chaque fois que je te regarde dans les yeux je sens encore des petits papillons dans le ventre… » comme une petite confession sur le ton de l’humour mais qui n’en reste pas pour le moins vraie. Je souris en la regardant et je pense qu’il y a certainement mes yeux qui se mettent à briller au même moment. Je suis tombé amoureux d’elle il y a bien longtemps mais pourtant aujourd’hui mes sentiments sont toujours aussi présent. « Bébé, tu sais que j'aime te taquiner mais rien que pour toi je pourrais passer ma vie à te murmurer des petits mots doux à l'oreille si c'est pour te plaire. » Je sais qu’Alex n’aime pas les surnoms autant que moi et le fait qu’il est gardé bébé et chéri relève déjà presque d’un véritable miracle. « Tu peux utiliser tous les surnoms que tu veux, j’aime tout ce qui vient de toi de toute façon. » Cette deuxième partie de la phrase est murmurée parce que mon visage s’est approché du sien pour laisser mes lèvres se poser sur les siennes pour un baiser d’une grande douceur.

J’aime ma femme plus que tout au monde et ce soir mes sentiments ont pris davantage d’ampleur. Un an de mariage. Un an que je peux appeler Alexandra Clarke, ma femme, Alexandra Anderson et cette idée me fait encore sourire comme un adolescent de seize ans découvrant l’amour pour la première fois de sa vie. Mais pour le moment je reste sans voix face à la révélation qu’elle vient de me faire. Elle me dit avoir envie de sexe ce soir et si habituellement cet aveu n’en serait même pas un tant ça me semblait logique je suis surtout perplexe en l’entendant me dire cela. Croyez-moi, j’attends depuis cinq mois qu’elle me fasse cette confession et qu’elle me dise avoir de nouveau envie de moi. Cinq mois. Cent cinquante-cinq jour. Trois mille trois cent soixante heures à attendre et espérer que ces mots ne ressortent de sa bouche à nouveau et je dois avouer avoir complètement perdu espoir. Je ne l’attire plus. Ce sont les mots qui tournent en boucle dans ma tête depuis cinq mois et maintenant qu’elle les prononce je n’arrive même pas à y croire. Je pense que j’avais sûrement commencé à accepter l’idée d’un mariage et d’une relation sans sexe. Vous devez sûrement penser que je dramatise la situation, mais le sexe avait une place majeure dans notre couple et quand nous ne pratiquions pas nous passions une grande partie de notre temps à se tourner autour. « Oui c'est vrai, j'ai envie de coucher avec toi ce soir. » Bêtement, je cligne plusieurs fois des yeux en restant complètement silencieux alors qu’elle trie sa chaise pour s’approcher de moi. « Je ne me force pas, je te le promets. » J’ai envie d’y croire. Vraiment. Mais je la regarde toujours sans rien dire. « Parfait, mais j'espère quand même que tu iras encore mieux demain matin. » Oh si ce soir nous couchons vraiment ensemble, demain matin j’irai plus que mieux. C’est ce que j’aurais pu lui répondre mais je me contente de lâcher un rire nerveux à la place. « Écoute bébé, j'en ai envie, j'ai envie de toi, j'ai envie de retrouver notre complicité physique, je ne pourrais jamais me forcer avec toi, je t'aime trop pour nous faire ça. » Pour la énième fois de la soirée mes yeux se perdent dans les siens et je suis si captivé par son regard que je me retrouve dans l’incapacité de lui répondre. Pourtant j’en ai des choses à lui dire, moi aussi, mais admirer sa beauté semble être mon activité préférée ce soir. Mais je l’écoute tout de même m’expliquer comment a-t-elle retrouvé du désir. Elle parle d’un déclic en début de semaine et si je me demande ce qui a pu déclencher ce changement soudain je ne lui pose pas la question pour autant. Quand son visage s’approche du mien c’est sur ses lèvres que mes yeux glissent et je ne me fais pas prier pour prolonger encore ce baiser et cette fois je le sens. Le désir et la passion et je n’ai plus l’impression que tout ça ne vient que de moi. « Je veux être ta femme ce soir, celle que tu as été tant de fois capable de combler. Je te veux toi, tout entier et tout nu. » Ces mots murmurés à mon oreille et sa main qui s’approche de mon entrejambe, je ferme les yeux quelques secondes appréciant l’instant présent. « Bon. Il va falloir qu’on mange rapidement alors. » Sont les premiers mots que je prononce à son attention alors que ma main part à la rencontre de la sienne qui se trouve à présent sur mon entrejambe. Un regard à gauche. Puis à droite afin de m’assurer que personne ne l’a vu me toucher ainsi. « Retourne à ta place, et mange. » Ce qui pourrait presque sonner comme un ordre, et peut-être que c’en est un ? Je sais qu’Alex aime cette partie de moi et surtout dans ce genre de moment et alors que je la laisse s’installer à sa table je ressens de nouveau comme une vague de chaleur. Je ne sais pas s’il fait réellement chaud ou bien si ce sont les mots de ma femme et sa main sur mon entrejambe il y a quelques secondes mais je me retrouve de nouveau à avoir chaud et à desserrer un peu ma cravate. « Il fait vraiment chaud ce soir. » que je lui dis pour la deuxième fois de la soirée alors que cette fois j’enlève ma veste de costume pour la laisser poser sur le dos de la chaise. Je lui ai demandé de manger et c’est donc ce que je fais moi aussi en goûtant à nouveau l’entrée qui nous a été servi il y a maintenant déjà plusieurs minutes. « Et...tu as réservé une chambre d’hôtel ? » Je reviens de moi-même sur le sujet prouvant bien que je suis réellement perturbé par tout ça. Bien que perturbé ne soit pas le bon mot. Excité me semble bien plus adéquat. Mais je cherche à en savoir plus sur la soirée qu’elle nous a préparé. « C’est pour ça que tu m’as demandé de te laisser gérer l’organisation de la soirée ? » que je lui demande en relevant mon regard vers elle

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyDim 6 Nov 2022 - 6:10



AND DARLING I WILL BE LOVING YOU 'TIL WE'RE 70. AND BABY MY HEART COULD STILL FALL AS HARD AT 23, AND I'M THINKING 'BOUT HOW PEOPLE FALL IN LOVE IN MYSTERIOUS WAYS MAYBE JUST THE TOUCH OF A HAND. OH ME I FALL IN LOVE WITH YOU EVERY SINGLE DAY
  « Je suis leur maître ? C’est plutôt plaisant, j’aime cette idée. » Je ris à sa réponse. « Tu as toujours été leur maître, ils aiment quand tu les diriges. » La discussion est légère, je ris, il rit et ça fait du bien de ne pas avoir à faire attention à ce que je dis aussi, parce que c'est une nouvelle chose dans notre vie aussi avec laquelle nous devons apprendre à composer. Nous ne sommes plus deux, et nous avons beaucoup à gérer au quotidien et au milieu de ce quotidien chargé nous avons sans doute eu un peu de mal à retrouver notre bulle dans laquelle nous avions l'habitude de nous plonger. Enfin c'est ce que je ressens, et les nombreuses sollicitations des filles, la présence de Nathan et dernièrement l'arrivée de Mael ont prit un peu plus de place et notre couple en souffre un peu. Mais, ce soir, comme je lui ai dis, il est le centre de mon monde, ce qu'il a toujours été d'ailleurs mais dernièrement je ne lui ai sans doute pas assez dit, je ne lui ai pas assez montré aussi. Et ce soir, il a mon attention, mes pensées, mes regards aussi. C'est sur lui que je pose mes yeux verts, dans son regard que je me perds au milieu de toutes les émotions que je ressens quand je le regarde, quand il me regarde aussi. Et malgré ces dernières semaines compliquées, je ressens toujours cette vague d'amour si forte quand je le regarde. « Tu penses que je peux aussi être le maître de tes yeux ? Parce que malgré le fait qu’on se connaisse depuis douze ans, à chaque fois que je te regarde dans les yeux je sens encore des petits papillons dans le ventre… » Je souris, un sourire sans doute un peu niais, mais qui montre que je suis émue par ses mots. Par sa petite déclaration d'amour surtout. « Tu es le maître de tout mon corps chéri. » Mes yeux, mes seins, tout ce qu'il veut parce que je suis sa femme et il est le seul désormais qui peut regarder, toucher, et profiter de mon corps. Enfin, profiter en ce moment plus vraiment, mais pourtant je ne change pas mes mots. « N'arrête jamais de me regarder comme tu le fais. » C'est avec un peu de douceur et plus de sérieux que je lui prononce ces mots, parce que j'ai besoin de ça. J'ai vraiment besoin de son regard pleins d'amour, de tendresse, d'affection, d'émotion, il a envers moi des émotions que j'ai du mal à ressentir pour moi même, et depuis qu'il m'aime, j'apprends à m'aimer aussi mais sans son regard je suis perdue. Il m'apaise, me guide, me rassure, me donne de la force aussi. « Sans ton regard je suis perdue. » C'est en me penchant vers lui, en caressant sa joue que je lui murmure ces mots avec beaucoup de sincérité et d'émotions. Et aussi beaucoup d'amour pour lui parce que ce genre de moment, ce genre de regard me rappelle aussi pourquoi j'aime tant être avec lui, et je réalise comme ce moment me fait du bien. « Tu peux utiliser tous les surnoms que tu veux, j’aime tout ce qui vient de toi de toute façon. » Il m'embrasse avec douceur et je ferme les yeux portés par la tendresse du moment, du baiser et de cette soirée qui semble réussir à raviver dans mon esprit et dans mon corps des émotions qui m'avaient fait défaut ces derniers temps.

Et c'est après un petit moment sur ses genoux, à tester mes réactions et les siennes aussi, que je réalise qu'il a besoin de savoir, besoin d'entendre que mes intentions ce soir ne sont pas uniquement de nous retrouver en amoureux autour d'un diner. J'ai d'autres envies, d'autres espoirs pour la nuit de nos un ans de mariage, et je lui partage ces envies tout en réalisant qu'il semble avoir du mal à y croire. 5 mois que je lui dis non, cinq mois que je lui fais comprendre que l'envie n'est pas là, que je suis trop fatiguée, que j'ai mal, que je suis pas prête. Cinq mois que je ne pense quasiment pas au sexe, et c'est pas quelque chose de normale chez moi. Cinq mois qu'il est frustré et ce soir, il semble avoir du mal à entendre et surtout comprendre que j'en ai envie. Que depuis quelques jours mon corps se réveille, mes pensées me font ressentir des émotions que j'avais presque oublié et penser à lui surtout ravive des idées que je n'avais plus eu depuis quelques semaines. Je lui explique, je lui dis mot à mot les choses, de façon claire, sans laisser le moindre doute, parce que j'ai bien compris qu'il doutait de la véracité de mes envies et surtout qu'il commençait à croire que je me forçais. Ce n'est pas le cas et je veux éviter tout mal entendu. Il reste longuement silencieux, et si ce n'est pas inhabituel, j'aimerais savoir ce qu'il se passe dans sa tête, alors que je lui dis que j'ai envie de coucher avec lui ce soir, après 5 mois de frustration pour lui, je lui dis des mots qu'il a sans doute espérer entendre à plusieurs reprises depuis la naissance de Mael, mais il ne réagit pas pour autant. Il réagit quand je l'embrasse, il prolonge le baiser et il fait monter la passion de ce baiser encore d'un cran. Je le regarde, les yeux clos alors que ma main se rapproche doucement mais dangereusement de son entrejambe. Je veux lui prouver que j'ai envie de tout ça, et c'est bien la preuve non ? J'ai envie de le séduire, de retrouver ce jeu de séduction entre nous, ressentir à nouveau cette tension sexuelle, et je crois que je commence à la ressentir émaner de son corps. « Bon. Il va falloir qu’on mange rapidement alors. » Je lâche un petit rire alors qu'il parle pour la première fois depuis un long moment. « Ah tu as enfin compris ce que j'étais en train de te dire. » Il a enfin comprit mes plans pour la fin de soirée et son corps a l'air de le comprendre aussi alors que ma main est posée sur son entrejambe. Je sens sa main sur la mienne et je continue à le caresser par dessus son pantalon. « Retourne à ta place, et mange. » Je relève les yeux vers lui, amusée par la façon avec laquelle il reprends les choses en main. « A vos ordres chef. » Je me penche vers lui pour lui glisser quelques mots au coin de l'oreille. « Garde cette attitude j'aime ça. » Je lève les mains en l'air, tout en me pinçant la lèvre et en le regardant alors que je reprends ma place face à lui. Il ouvre un peu sa cravate encore et je ris un peu en le voyant faire. « Il fait vraiment chaud ce soir. » Je le regarde et je souris à sa réflexion, et je retrouve ce sentiment agréable de réaliser l'effet que je lui fais. « Je crois que c'est uniquement en toi qu'il fait si chaud chéri. Mais j'aime te sentir comme ça. » Je le taquine un peu, mais le voir ainsi ne me laisse pas indifférente non plus. Je mange mon entrée, tout en le regardant et en m'amusant de le voir excité comme ça, parce que ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vu comme ça ou du moins que je n'avais pas été réceptive à ce genre d'émotions. « Et...tu as réservé une chambre d’hôtel ? » Il est en train de manger et il revient sur une chose que je lui ai pourtant déjà dite mais je lui confirme à nouveau d'un signe de tête et d'un sourire.  « C’est pour ça que tu m’as demandé de te laisser gérer l’organisation de la soirée ? »  A nouveau j'hoche la tête à sa question. « Oui oui, j'avais déjà cette idée en tête mais j'étais pas certaine que j'en sois capable, je voulais te faire la surprise et en même temps, je voulais pas que tu ais trop d'espoirs si jamais, enfin si mon corps ne suit pas mes plans. » Et malgré tout ce que je lui ai dis, et mes envies, ce que je ressens, tout est sincère mais le risque existe quand même. Que la pression soit trop forte, que mon corps refuse d'être avec moi au moment précis, enfin que le désir ne me gagne pas au moment précis. Après, cinq mois, il peut se passer pleins de choses, mais j'ai pour envie de coucher avec lui. Mais ce n'était pas mon seul projet pour notre soirée. « Mais maintenant que tu es au courant, je crois que je peux abandonner le reste des projets non ? » Je le regarde en souriant, et l'air totalement innocente, mon pied vient se poser sur sa chaise entre ses cuisses. « Mais ce qu'on peut faire c'est manger, aller à l’hôtel une première fois pour que tu m'enlèves cette robe et reprendre la suite de la soirée après, profiter de notre soirée tout les deux et retourner à l’hôtel pour un deuxième round et une nuit inoubliable. » J'ai des projets pleins la tête, et je veux qu'il sente que j'en ai envie, que j'y crois, que je veux lui donner tout ça, non pas parce que c'est notre anniversaire de mariage, mais parce que je l'aime et si ma libido m'a lâché pendant quelques semaines, ce n'est pas le cas de mes sentiments pour lui. « Mais, tu es le chef chéri, c'est toi qui décide ce que tu veux faire avec moi. » Mon pied qui appuie doucement sur son entrejambe, qui joue avec lui et qui lui montre que j'ai envie de l'exciter ce soir, que j'ai envie de renouer avec nos habitudes, nos petits jeux de séduction. « Et surtout tu décides de ce que tu veux faire de moi. » Je ne lui ai plus parlé comme ça, avec ces mots, avec cette voix aussi, depuis longtemps. L'attente attise le désir, je pense que son désir doit être très grand vu l'attente que je lui ai infligé, mais ce soir je l'invite à réessayer, à se reprendre à penser à nous, à notre vie de couple et j'espère que je pourrais le satisfaire comme je savais tant le faire avant.

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Message(#)Calex #69 x darling I will be loving you 'til we're 70 EmptyDim 6 Nov 2022 - 22:17

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« Tu as toujours été leur maître, ils aiment quand tu les diriges. » Je ris de nouveau mais cette fois c’est en laissant mes yeux glisser sur sa poitrine que je le fais. Moi aussi j’aime diriger les choses. Elle le sait. Mais ce que j’aime par-dessus tout c’est non seulement sa poitrine mais aussi ses yeux dans lesquels je me suis encore une fois perdu. « Tu es le maître de tout mon corps chéri. » Je lui souris doucement, amusé et à la fois touché par cette conversation. « N'arrête jamais de me regarder comme tu le fais Sans ton regard je suis perdue. » C’est toujours le même regard que je lui porte, les yeux qui brillent d’admiration pour cette femme bien trop belle et sexy pour être ma femme mais pourtant c’est bien mon nom qu’elle porte. C’est bien la bague que je lui ai acheté qui vient habiller son annulaire. Ma femme qui, pendant cinq mois m’a repoussé un nombre incalculable de fois. J’ai été patient, je lui ai donné de l’espace quand elle me le demandait et quand elle en avait besoin même quand c’était compliqué pour moi. Mais qui aujourd’hui m’annonce avoir enfin envie de plus. Pas un simple câlin avant de dormir. Pas simplement d’un baiser innocent avant que nous nous endormions tous les deux. Elle aurait envie de moi. Apparemment. Des mots que je n’ai pas entendus depuis des longs mots et dont j’avais lâché la possibilité de les entendre à nouveau. Il me faut un long moment pour comprendre et réaliser tous les signaux qu’elle a essayé de m’envoyer durant ce début de soirée. Je ne doute pas que pour la plupart des hommes les petits indices auraient été compris et entendus bien plus tôt mais je commence à en arriver au stade où je comprends le fait que ma femme n’ait plus envie de moi. Après tout il était de toute façon assez peu probable qu’une femme – et encore moins une femme comme elle – ait envie de moi sur une période de temps aussi longue. Elle a sûrement ouvert les yeux pour observer les autres hommes autour d’elle et quand elle me voyait rentrer le soir, c’était la déception qui était présente sur son visage. Mais ce soir c’est un tout autre regard qu’elle porte sur moi, un regard que j’avais oublié et qui réussit même à me faire rougir et à me gêner. « Ah tu as enfin compris ce que j'étais en train de te dire. » Comme pour une piqûre de rappel pour me montrer à quel point je suis nul et peu doué pour tout ça. « A vos ordres chef. Garde cette attitude j'aime ça. » des mots qu’elle me murmure à l’oreille avant de retrouver sa place en face de moi. « J’aime quand tu m’appelles comme ça. » Ce qui est plutôt vrai, je dois bien avouer. J’ai toujours eu l’âme d’un leader aimant le contrôle et l’entendre m’appeler ainsi ne me laisse pas indifférent. Après, je dois bien avouer qu’il m’en faut vraiment peu en ce moment. « Je crois que c'est uniquement en toi qu'il fait si chaud chéri. Mais j'aime te sentir comme ça. » Je lui réponds simplement en riant tout en continuant à manger mon entrée. Pourtant on ne peut pas dire qu’elle ait beaucoup aimé me voir comme ça récemment et pourtant les occasions ont été nombreuses. « Oui oui, j'avais déjà cette idée en tête mais j'étais pas certaine que j'en sois capable, je voulais te faire la surprise et en même temps, je voulais pas que tu ais trop d'espoirs si jamais, enfin si mon corps ne suit pas mes plans. Mais maintenant que tu es au courant, je crois que je peux abandonner le reste des projets non ? » Je suis encore en train de manger quand je me redresse en sentant son pied venir se poser entre mes cuisses. Je relève les yeux vers elle sans un mot mais je pense que de toute façon mon regard parle pour moi. « Quels genres de projets tu avais en tête ? » Parce que je dois bien avouer que les seules pensées que j’ai maintenant en tête sont tout sauf catholiques. « Mais ce qu'on peut faire c'est manger, aller à l’hôtel une première fois pour que tu m'enlèves cette robe et reprendre la suite de la soirée après, profiter de notre soirée tout les deux et retourner à l’hôtel pour un deuxième round et une nuit inoubliable. Mais, tu es le chef chéri, c'est toi qui décide ce que tu veux faire avec moi. » Son pied qui me caresse maintenant par-dessus mon pantalon ne me laisse pas sans effet bien au contraire et elle doit certainement le sentir. Me voilà de nouveau en train de bouger sans cesse sur ma chaise mais c’est en me perdant dans son décolleté que je l’écoute me parler. « Et surtout tu décides de ce que tu veux faire de moi. » Des mots que j’ai longtemps rêvé d’entendre et une voix qui me fait carrément frissonner. « Mon amour, si tu savais… Je ne peux pas te dire ce que je veux faire de toi autour d’une table où on pourrait nous entendre. » J’assume les idées que j’aies en tête mais clairement pas en public.

C’est toujours avec ma femme qui me tourne autour que le reste du repas se déroule et ce n’est clairement pas pour mon déplaire. Elle ne s’est pas montrée ainsi avec moi depuis très longtemps et je pense qu’au-delà du sexe, ce jeu de séduction entre nous m’a beaucoup manqué. Alex qui met ses atouts en avant pour faire grimper ma libido alors que croyez-moi, elle n’avait même besoin de rien pour que j’ai envie d’elle ce soir. Moi mon envie n’a jamais disparue j’ai toujours eu envie d’elle et rien ne pourra changer ça. Le repas terminé et réglé, je dois suivre ma femme car je n’ai aucune idée de l’hôtel qu’elle nous a réservé. L’envie et l’excitation étant tellement forte de mon côté que l’idée de lui proposer un saut dans les toilettes du restaurant m’a traversée l’esprit jusqu’à ce que la raison ne me revienne pour m’aider à réaliser que je connais très bien le patron de ce restaurant et que je serais bien trop gêné de faire ça dans son établissement. C’est un hôtel classe, qu’a choisi Alex. Sans aucune vraie surprise me direz-vous, parce qu’elle a toujours eu beaucoup de goûts pour tout ça, ma femme mais elle me le prouve encore ce soir et s’il y a quelques années j’aurais pu être gêné de réserver une chambre d’hôtel si chère, je ne m’y serais même certainement pas senti à ma place mais aujourd’hui c’est bien différent. Peut-être que j’y a pris goût, ou bien peut-être que je me suis enfin habitué à l’idée d’avoir dorénavant un compte en banque toujours rempli et pas seulement grâce à l’argent d’Alex mais surtout grâce à mes efforts et à l’argent que me rapporte mon restaurant tous les jours. Après une brève visite de la chambre et de la salle de bain, un lit qui semble ridiculeusement trop grand pour deux personnes je me tourne vers ma femme un sourire aux lèvres. « Enfin seuls. » que je lui dis en fermant la porte de notre chambre à clef. « Tu as fait un très bon choix, j’aime beaucoup cette chambre. » Mais je n’en doutais pas une seule minute. « Et je pense que je l’aimerai encore plus après… »



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