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 (Mason #1) I promise, i will not killing you… yet

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Message(#)(Mason #1) I promise, i will not killing you… yet EmptyDim 4 Déc 2022 - 14:12

I promise, i will not killing you… yet ft  @Mason Bradford  

Décembre 2022. Elle aurait certainement préféré tomber sur Frosty, le bonhomme de neige ou Rudolf, le renne au détour de cette allée du labyrinthe plutôt que sur « Bradford ? ». Zoya approche d’ailleurs son visage un peu plus près de celui qu’elle pense reconnaitre comme étant le pire connard que la planète puisse compter et il n’y a pas de doute, c’est définitivement lui. Ce n’est pas ses yeux qui se jouent d’elle, ce n’est pas non plus les différents verres de liqueur de bleuet, de gin québécois ou de cidre de glace qui sont la raison d’une potentielle hallucination. Parce qu’il faut dire qu’elle n’a pas été raisonnable la Lewis depuis le début de la soirée. Ayant retrouvé une amie d’enfance pour l’occasion, les deux se sont laissés aller à quelques confidences autour de quelques verres et la chaleur n’aidant pas, ces derniers ont très vite fini par leur monter à la tête. Si bien qu’après avoir volé quelques gorgées d’une bière appartenant à un type qu’elles ne connaissaient même pas, elles se sont toutes deux engouffrées dans le labyrinthe de pain d’épices, dressés pour l’occasion. Le deal était qu’elles restent ensemble et qu’elles trouvent la sortie de ce labyrinthe ensemble mais, elle ne saurait comment l’expliquer, leur chemin ont fini par se séparer au bout de deux minutes. Zoya peste puis appelle son amie avant de rentrer dans quelqu’un « Pardon » mais il ne lui en tiendra pas trop rigueur alors qu’il s’agit simplement d’un bonhomme de pain d’épices. Elle ne répond pas, elle peste à nouveau et ainsi jusqu’à tomber sur… Mason Bradford. Elle ne l’a jamais porté dans son cœur et ça surtout parce qu’il a été le roommate de Birdie et si cela s’arrêtait qu’à ce simple fait, elle aurait pu potentiellement devenir ami avec lui – ou du moins le tolérer. Mais NON, il a fallu que ce moins que rien couche avec sa Birdie, et ça, Zoya, elle l’a toujours eu en travers de la gorge et ne semble pas capable de passer au-dessus de ça. Parce qu’elle a toujours été très exclusive avec Birdie, alors que jamais elle ne lui a appartenue – tout comme elle n’a jamais appartenu qu’à la Cadburn – mais aussi et surtout parce que le Mason a toujours su en jouer, en sachant pertinemment que cette relation qu’il avait avec la blonde emmerdait la brune. « Putain j’ai cru que tu étais mort et enterrée depuis longtemps ! Qu’est-ce que tu fous ici ?! » Sympa. Et voilà que son téléphone se met à vibrer « Connasse ! » ça c’est pour sa pote qui vient de lui dire qu’elle a trouvé la sortie du labyrinthe et qu’elle doit rentrer, une urgence soi-disant urgent – aka son mec du moment qui l’a surement appelé pour assouvir ses envies. « Il ne manquait plus que je me retrouve coincée avec toi, ici. Out of my way, Bradford » fait-t-elle en le poussant mais c’est qu’elle manque presque de tomber, elle. La liqueur n’était définitivement pas une bonne idée et le mélange qui a suivi juste après, encore moins.

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Message(#)(Mason #1) I promise, i will not killing you… yet EmptyLun 5 Déc 2022 - 8:12

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 « I promise, i will not killing you… yet »  (Mason #1) I promise, i will not killing you… yet 873483867  zoya lewis & mason bradford.


Dans une autre vie parallèle, ou dans un autre contexte, Mason aurait pu s’entendre à merveille avec cette femme qui lui fait face. Peut-être que si, ils avaient appris à se connaître au lieu de se chamailler à chaque fois qu’ils se croisent, les choses auraient pu être différentes entre eux. Mais il y avait un tsunami, un raz de marée entre eux, un fossé si important, qui porte le nom de Birdie Cadburry que ça paraît impossible toute entente même semi cordiale. Et il n’y avait plus rien à faire, les choses n’évolueront pas dans le bon sens, parce qu’un provoque, quand la seconde lui hurle dessus voulant lui jeter la pierre à chaque fois qu’il respire. Mais, dans le fond, n’aiment-ils pas ça ? Ils sont peut-être deux êtres quasiment identiques (mais ne dîtes leur jamais !), aussi têtu l’un que l’autre. Le genre à jamais vouloir avoir tort, à jeter la pierre sur l’autre. A se pavaner quand il arrive un truc moche à l’autre. Ils aiment se détester, se gueuler dessus. Ils aiment par-dessus tout se dire des mots pas très doux. Pourtant, rien ne prédestinait à ce que Mason se retrouve dans ce labyrinthe. Un match avec son équipe avec laquelle il est resté sur le banc, en tant que remplaçant : le prix à payer pour toute ses anciennes conneries et celles à venir. Parce que de toute évidence, rien ne lui sert de leçon. Ils avaient bien trop bu en arrivant devant le marché de noël, et parce que cette période ne lui inspire rien de bon, quand il n’a plus de famille à choyé, pas d’enfant à gâté (tant mieux il déteste les mioches !) et serait le genre d’oncle à acheter une orange au lieu du dernier jeu à la mode, ou de la peluche toute douce et tant convoité. Qu’il lance sans attente, en rentrant dans ce labyrinthe de pain d’épice, « et si on se séparait et le dernier à retrouver le chemin paye sa tournée ?! » Il ne s’attendait peut-être pas à ce qu’on obtempère à l’idée même de boire un nouveau coup, mais le Bradford n’est jamais le dernier pour faire la fête, pour sortir jusqu’au bout de la nuit, pour picoler jusqu’à ne plus savoir où il habite ni son nom. Ses yeux qui clignent quand le seul être vivant qui bouge autour de lui ressemble étrangement à une silhouette qui ne lui inspire aucun réconfort. « Bradford ? » Et cette voix, si peu mélodieuse qui parvient jusqu’à ses oreilles, lui provoquant une douleur instantanée, et un soupire de nonchalance. Sur tout Brisbane, fallait qu’il tombe sur la pire peste que la ville puisse jamais compter, peut-être même sûrement toute l’Australie, voir même l’univers entier (non, il n’est pas simplement qu’un caliméro). « En chair et en os. » Un tantinet un peu trop sûr de lui, elle le lui reprochera sans doute. « Putain j’ai cru que tu étais mort et enterrée depuis longtemps ! Qu’est-ce que tu fous ici ?! » Oui, ça l’aurait bien arrangé, il n’en doute pas, et elle est sûrement pas la seule. Mais on ne se débarrasse pas aussi facilement d’un Bradford. « Désolé de te décevoir, mais tu ne l’aurai pas supporté… » Il n’en doute pas une seconde, se rapprochant d’elle, quand elle est attirée par son portable. « Connasse ! » Du Lewis dans toute sa splendeur, si bien que le basketteur lève les yeux au ciel, « il ne manquait plus que je me retrouve coincée avec toi, ici. Out of my way, Bradford. » Et son geste qui accompagne ses si douces paroles, elle repousse Mason, il ne perd même pas l’équilibre, elle si. « Mon corps t’a manqué à ce stade que tu le touches déjà Lewis… » Il se veut provoquant, il ne la lâche pas du regard avant de reprendre d’un ton plus cinglant, « t’as raison, j’vais aller retrouver ma Birdie ! » Qu’il lance, hautain et méprisant, n’accompagnant même pas d’un clin d’œil ses paroles, se voulant provocateur dans l’âme. Si le fait que Birdie est quitté sa villa lui a procuré un certain vide, et un détachement qu’il n’a pas bien su gérer, leur colocation n’avait pas été une évidence au tout début. Elle s’est vu rappliquer du jour au lendemain devant chez lui, alors qu’ils se côtoyaient en soirée sans se connaître davantage, avec des sacs à dos et une énorme valise, parce que son pote et coloc du moment, le Carter Rollins avait quitté précipitamment la ville, la laissant dans la merde. Il avait hésité, mais elle ne lui avait pas laissé le choix, elle était déjà installée sur le fauteuil, les pieds sur la table basse à zapper les chaînes de la télé. Et puis, au fil du temps, un lien entre eux s’étaient créer parce que Birdie avait vu Mason comme personne d’autre n’avait pu le voir. Elle avait pu percer à sa façon cette carapace qu’il se voulait solide face au monde entier, et pourtant si fragile dans son intimité. Prit dans cette solitude, et dans ce jeu qu’il aime montrer devant les autres, une certaine parade, et un homme si sûr de lui, quand tout flanche de l’autre côté. Elles finissent toujours toutes par partir et il doit en prendre l’habitude. C’est la raison pour laquelle, il se refuse de s’attacher, et ça tombe bien parce que Zoya lui inspire tout sauf ça.
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Message(#)(Mason #1) I promise, i will not killing you… yet EmptySam 17 Déc 2022 - 11:28

I promise, i will not killing you… yet ft  @Mason Bradford  

Décembre 2022. Elle n’a pas les idées claires mais elle ne met pas longtemps à le reconnaitre le Bradford. Disons qu’il est bien difficile de l’oublier celui-là, quand il a pu lui mettre des bâtons dans les roues à plusieurs reprises – et, en y pensant bien, il y en a beaucoup des pain in the ass dans la vie de la Lewis, Will pouvant rejoindre cette catégorie au côté de Mason. Mais ces fameuses épines dans le pied – pour rester polie cette fois – ont tous un dénominateur commun : Birdie Cadburry. Et c’est tout ce qui agace la Zoya, c’est tout ce qui fait qu’elle ne peut supporter la tête d’abruti du Dunham ou du Bradford, bien trop proche de la little bird et c’est de là que prend la source de la jalousie de Zoya qui, au fil du temps, aurait pu s’estomper. Mais rancunière qu’elle peut être et peut-être aussi parce qu’elle adore les détester sûrement aussi fait que cette guéguerre stupide existe encore aujourd’hui. « En chair et en os. » Et il est fier de lui, ce qui ne manque pas d’agacer Zoya qui fulmine davantage, au point d’avoir espéré qu’il est pu être mort et enterré depuis le temps « Désolé de te décevoir, mais tu ne l’aurai pas supporté… » Et d’un éclat de rire exagéré, elle répond à ça « Oh si crois moi, je serai même venue faire une fête sur ta tombe » Dur de connaitre la véracité de ses propos quand on sait que l’alcool coule exagérément dans ses veines mais ce genre de répartie n’est pas non plus étonnante venant de la Zoya. Bref, quoi qu’il en soit, cette rencontre lui suffit amplement et puisqu’il est bel et bien toujours vivant, elle préfère s’en éloigner, ne tenant pas à être ET coincée dans ce labyrinthe ET l’être avec ce bougre « Mon corps t’a manqué à ce stade que tu le touches déjà Lewis… » « Comment aurait-t-il pu me manquer j’ai jamais eu l’envie de le toucher, même pas avec un baton » Elle est vache surtout que, lorsqu’on y regarde de plus près, le Mason est quand même loin d’être répugnant. Mais son objectivité est loin derrière elle le concernant alors… « t’as raison, j’vais aller retrouver ma Birdie ! » Zoya se fige alors qu’elle s’apprêtait à reprendre son chemin, se tournant avec l’index tendu en l’air, se rapprochant à nouveau du bougre « Reste loin d’elle ! » comme si elle allait être convaincante et sûrement parce qu’elle s’en rend compte par elle-même, elle laisse tomber son bras le long de son corps, ajoutant en se redressant un peu « De toute manière, elle n'est plus disponible, désolé de te l’apprendre désolé surtout à toi, Zoya, qui peine bien à l’accepter encore. Donc ton chantage ne marche plus, Bradford ». Il a failli, le temps d’un millième de secondes, avant qu’elle se ravise et que sa mémoire lui rappelle que la Cadburn était désormais en couple et qu’autant Mason qu’elle ne pouvait plus l’avoir dans son lit – ou pour bien plus. Ça leur faisait un point en commun finalement, mais ça, elle se garderait bien de le souligner. Il ne faudrait pas que la relation de la Cadburry avec le Fisher finisse par les rapprocher …


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Message(#)(Mason #1) I promise, i will not killing you… yet EmptyDim 18 Déc 2022 - 8:43

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 « I promise, i will not killing you… yet »  (Mason #1) I promise, i will not killing you… yet 873483867  zoya lewis & mason bradford.


D’une certaine façon ils s’attirent autant qu’ils se détestent. Mais Mason aime particulièrement faire tourner Zoya en bourrique, et ne rate jamais une occasion pour aggraver la situation entre eux, la provoquer dans ses sentiments envers la Birdie. Il a tout de suite su que ça l’énerverait, mais il ne sait pas d’où peut lui venir ce besoin de vouloir protéger Birdie. Il n’est jamais arrivé à comprendre Zoya, et quand bien même dans une autre vie, il aurait pu vouloir essayer, certainement pas dans leur propre monde. Bien au contraire, puisqu’il s’est souvent amusé à aguicher la blonde devant une Lewis furibonde, prête à lui assener le premier coup. Et ça le faisait rire ce con ! « Oh si crois moi, je serai même venue faire une fête sur ta tombe, » en fait, et ça devrait lui faire peur, mais il imagine bien que sur ce coup-là, elle lui parle avec son cœur, ne voulant pas partager son amie blonde avec quiconque, comme si Birdie était sa propriété. Il lève les yeux au ciel, devant sa réplique, y trouvant néanmoins un semblant de vérité, « ça m’étonnerait pas… » Il l’imagine assez danser sur sa tombe avec une bonne bouteille d’alcool fort et se demande bien ce que sa pauvre gamine fait avec une mère pareille ! Pas que le Bradford aime les gosses, loin de là même, mais il imaginerait une mère moins impulsive et plus terre à terre que la Lewis pour ce pauvre enfant qui n’a sûrement pas demandé de naître. D’ailleurs, ça donne quoi quand elle est en présence de sa progéniture, espérant qu’elle n’devienne pas comme elle. « Je suis tellement, mais tellement navré de ne pas réaliser ton rêve… » Son sourire narquois, son regard brillant, son sourire pétillant montre son vrai visage envers celle qu’il adore détesté, haïr plus que sa propre et indigne famille, c’est peu dire… Du grand Lewis, quand elle décide de quitter le lieu avec ses grands airs, bousculant Mason, mais manquant surtout de tomber, elle-même. « Comment aurait-t-il pu me manquer j’ai jamais eu l’envie de le toucher, même pas avec un baton » Et ça l’fait rire, comme toujours, avec quelques grammes d’alcool dans le sang lui aussi, tout passe quand ça sort de la bouche de Zoya. « Ne sois pas si rancunière, un jour qui sait… » Et il tire la langue comme si il comptait se faire vomir, à son tour. C’est si poétique entre eux, que ça en devient presque à se poser des questions, mais Mason ne doute pas une seconde que jamais, oh grand jamais il ne posera ses lèvres sur elle. « Tu réaliseras ton rêve… » Et il s’amuse à se toucher le torse avec ses deux mains, devant une Zoya prête à lui bondir au visage. Elle lui tourne le dos, elle ne veut plus le regarder, plus rester près de ce goujat, quand il émet l’hypothèse de retrouver SA Birdie, elle s’immobilise direct. Sa respiration se fit à peine audible, et son regard noir parle pour elle, mais ça ne l’effraie pas. Il a vu bien pire qu’une sorcière de son envergure. Il a su affronter de bien pire démons, les siens lui font bien plus peur que ceux de sa voisine. « Reste loin d’elle ! » Il hausse les épaules, seulement si lui veut, qu’il songe silencieusement. « Tu crois que tu fais peur Zozo ? » Qu’il s’amuse à la surnommer, en signant son arrêt de mort très certainement, « de toute manière, elle n'est plus disponible, désolé de te l’apprendre, » il hausse les épaules, ça lui fait ni chaud ni froid. Il n’a jamais prétendu vouloir faire sa vie avec Birdie, et réciproquement. Ils ont déjà dérapé – et Zoya le sait, lorsque Birdie n’a pas démentie, pour autant il n’y avait rien de prémédité, et ça n’a pas entaché leur amitié. C’était tout ce qu’il souhaitait avec Birdie. Garder cette complicité. Parce qu’il n’y avait aucun sentiment amoureux des deux côtés, mais il aimerait bien connaître ceux de la Lewis pour sa camarade. « Donc ton chantage ne marche plus, Bradford ! » Ca l’fait rire. « Et tu survis Lewis ? » Il demande, s’abaissant, récupérant l’épave d’une bouteille déjà entamé, « je trinque à ta déception amoureuse… » Il lève la bouteille en sa direction, il devrait pas en rire, parce lui aussi a déjà été touché. Lui aussi, a sombré. Pas pour la même personne mais il ne l’a jamais oublié, jamais remplacé. Il ne l’avouerait jamais, mais il s’rait capable de tellement de chose pour retrouver ce bonheur. Il est bien seul dans son cœur le Bradford.
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Message(#)(Mason #1) I promise, i will not killing you… yet EmptyDim 25 Déc 2022 - 9:49

I promise, i will not killing you… yet ft  @Mason Bradford  

Décembre 2022. « ça m’étonnerait pas… » Elle a l’alcool mauvais peut-être mais ces dires n’ont rien de forcer à cause des trop nombreux verres enchaînés quelques minutes auparavant. Elle pense le plus grand mal du Bradford, serait capable de faire réellement la fête sur sa tombe si celui-ci venait à disparaitre. « Je suis tellement, mais tellement navré de ne pas réaliser ton rêve… » Elle roule des yeux, le laisse user de sa salive comme bon lui semble, avec son ironie qui lui tape sur les nerfs. Il veut toujours avoir le dernier mot, elle s’y est habituée – malheureusement – avec le temps, et là, sa tête tambourine trop pour qu’elle se lance dans une guéguerre de celui ou celle qui aura raison. Surtout, elle se rend compte qu’elle est désormais seule dans ce labyrinthe, son "amie" l’ayant lâchement abandonnée. Et ce n’est pas avec ce sans cervelle qu’elle trouvera l’issue du labyrinthe. Elle le bouscule de sa main et lui s’emballe, passant que ce contact traduit une certaine attirance chez elle pour le bougre qu’il est. Même pas en rêve ! « Ne sois pas si rancunière, un jour qui sait… (…) Tu réaliseras ton rêve… » Il lui donne envie de vomir à elle aussi, surtout quand il se tripote lui-même, l’obligeant à lâcher une remarque à ce propos « Tu dois souvent avoir des crampes » elle n’a pas besoin de préciser pourquoi, il le comprendra tout seul « Ca explique surement pourquoi tu ne joues pas souvent, j’ai entendu dire que tu étais souvent sur le banc ». Son sourire est mauvais et plutôt fier pour sa répartie, touchant à une corde sensible chez le jeune homme. Bref, la jeune femme s’apprête à s’éloigner du Bradford, mais voilà qu’il semble lui rendre la pareille, Birdie. « Tu crois que tu fais peur Zozo ? » Elle le menace en le sommant de rester loin de Birdie. Elle ne répond pas. A la place, elle lui signifie que, de toute façon, le bel oiseau est désormais convoité et prise, et qu’autant elle que lui ne pourront être un de ses prétendants. « Et tu survis Lewis ? » Son regard se veut froid, noir alors qu’il se moque royalement d’elle et de son attachement à la blonde « je trinque à ta déception amoureuse… » Il se met à boire dans cette bouteille qu’il a trouvé, traînant là, et alors qu’elle s’approche de lui, elle lui brandit son majeur bien devant les yeux « Te donne pas cette peine, je m’en suis remise » ce qui n’était pas totalement faux, surtout quand son cœur est désormais bien préoccupé ailleurs et bat sûrement bien trop vite pour quelqu’un d’autre. Elle lui pique alors la bouteille, sans même lui en demander la permission, boit une longue gorgée elle aussi, avant de la lui rendre en lui collant sur le torse « Mais toi ? Je suis sûre que personne ne veut de toi, Bradford… » Elle rit, d’un rire mauvais, puis au lieu de s’éloigner, s’approche encore davantage « Je suis navrée aussi » elle cligne exagérément des yeux, lui reprend la bouteille pour une nouvelle gorgée et lui reflanque sur le torse « Pas étonnant, t’es boring à en crever » et elle s’éloigne à nouveau.


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Message(#)(Mason #1) I promise, i will not killing you… yet EmptyLun 16 Jan 2023 - 11:05

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 « I promise, i will not killing you… yet »  (Mason #1) I promise, i will not killing you… yet 873483867  zoya lewis & mason bradford.


Il jouait avec le feu, le Basketteur, et il n’ignorait pas qu’il était sur le point de se brûler les ailes. Seul dans le labyrinthe avec pour compagnie, celle qui le déteste autant, simplement parce qu’il a créé un lien avec son ancienne colocataire. Et peut-être aussi, à cause de son tempérament souvent grande gueule, un peu prétentieux sur les bords. Il a cette arrogance facile, le Mason. Cette faculté à tourner autour du pot, on reste rarement insensible à son côté mauvais genre quand il s’en donne à cœur joie. Et sans savoir pourquoi, Zoya a été l’une de ses nombreuses victimes. Mais elle est loin de se laisser faire, et lui a pour autant toujours renvoyer la balle, voulant elle autant que lui, avoir le dernier mot. C’était à celui qui gueulait plus haut, plus fort, pourvu que la victoire soit dans son camp. Et qu’importe si on dit tout et son contraire, si on prétend être et ne pas être. Elle l’agace la jeune femme, elle veut à présent partir loin du Basketteur, mais il semble désirer jouer, encore un peu. Parce qu’il la retient, il la rattrape, quand elle tente dans un énième coup, de le repousser, c’est elle-même qui se piège et qui perd l’équilibre. Il a ce sourire amusé, taquin, rieur. Elle le déteste pour tout ce qu’il possède, il la déteste pour tout ce qu’elle lui renvoie ! Et dans une énième provocation de sa part, il ne peut que se lancer des fleurs sur son physique avantageux. Il plaît Mason, et le pire dans cela, c’est qu’il en a conscience. Si bien qu’il ne manque jamais d’éloge le concernant, plus encore quand ça peut desservir la Lewis. Qui le regarde avec une certaine répugnance, elle joue, autant que lui dans ce monde de paraître. Mais elle joue si bien, il doit l’admettre. « Tu dois souvent avoir des crampes, » elle se moque de lui, son timbre de voix le lui signifie. Mais dans ce combat, c’est lui qui mène la danse, du moins, c’est ce qu’il tente de faire croire. « Ca explique surement pourquoi tu ne joues pas souvent, j’ai entendu dire que tu étais souvent sur le banc. » Et elle tape là où ça fait mal, là où il désirerait qu’on lui foute la paix : le fait qu’on le remplace, que quelqu’un puisse arriver à son niveau l’énerve au plus haut point. Il serre la mâchoire, il serre ses poings. Et il perd de son sourire. « La ferme ! Tu ne sais pas d’quoi tu parles Lewis ! » Bien sûr qu’elle sait, Mason. Bien sûr qu’elle sait mieux que quiconque comment le toucher, comment l’user pour parvenir jusqu’à ses fins avec lui. Avec d’autres aussi, Mason n’en doute pas une seconde. Il trouve pourtant le moyen de la titiller, de boire à son souvenir. De trinquer à sa déception, quand lui, en compte de nombreuses… « Te donne pas cette peine, je m’en suis remise. » Et elle s’approche de lui, lui ôte la bouteille de son bec pour boire, à son tour. Il lève les yeux au ciel. « T’as pas eu d’autre choix, elle t’a tourné le dos, elle aussi… » Il n’en sait rien, il devine, simplement. Mais si il y a une chose qu’il devine, c’est qu’il ne devrait pas jouer, pas ce soir, pas contre la Lewis. Il n’a pas assez d’armes pour la battre, et le connaissant, jamais il ne voudra battre retraite. Jamais, il ne s’avouera vaincu. « Mais toi ? Je suis sûre que personne ne veut de toi, Bradford… » Piqué à vif, le sentiment impuissant de balayer Mia de son esprit est plus présent que jamais, alors qu’il ne l’a encore jamais oublié, effacé de sa putain de mémoire. Il aimerait prétendre qu’il est vide ce cœur, qu’il ne ressent plus rien pour personne, et cela depuis bien longtemps. Mais si il est capable de mentir aux autres, à lui il ne saurait mentir trop longtemps. Face à ce cœur qui revit, qui bat de nouveau, par la simple pensée de la journée dans sa caboche. « Je perds pas mon temps, moi… » avec des filles comme elle, qu’il laisse supposer dans son regard. Elle n’est pourtant pas si loin de cette vérité, la bougre ! Elle porte le goulot de la bouteille à ses lèvres, il hausse les épaules, devant cet affront et ce sourire qui devrait s’effacer bien vite, elle s’avance à sa hauteur sans même qu’il ne recule d’un seul millimètre, « je suis navrée aussi. Pas étonnant, t’es boring à en crever ! » Il la déteste tellement ! Il la hait tellement qu’il ne se reconnaît pas, lui qui semble si hautain, habituellement. Si méprisable, qu’il n’attache en général pas autant d’importance à être vu, à être apprécié. Il garde sa remarque pour les femmes dans un coin de sa tête, sa remarque envers sa Mia, même si jamais, elle ne devra connaître son identité, mais il ne peut réellement ignorer son commentaire pour le prendre suffisamment contre lui. Et son rire qu’il aimerait lui faire ravaler. « Je te retourne le compliment ! » Qu’il lui hurle dessus, quand elle s’apprête à lui tourner le dos pour s’effacer de sa vue. Qu’est-ce qu’il devrait dire, lui. Qu’est-ce qu’il devrait penser d’elle ? Le pire sans aucun doute… Et il n’a même pas besoin de forcer les choses pour cela, que ses jambes le mènent sans aucune once de remord jusqu’à elle. Sa main vient heurter le bras de la Lewis, qui comme à son habitude, le pousse à bout, avant d’éteindre les flammes allumées, et de rompre cette énième distance, quand ses lèvres heurtent celles de la photographe sans prendre aucune précaution, et sans aucun ménagement. C’est fougueux, impulsif, rien qui ne s’apprête à autre chose qu’une douce vengeance.
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Message(#)(Mason #1) I promise, i will not killing you… yet EmptyJeu 2 Fév 2023 - 15:59

I promise, i will not killing you… yet ft  @Mason Bradford  

Décembre 2022. « La ferme ! Tu ne sais pas d’quoi tu parles Lewis ! » Le sourire vainqueur qui prend place sur ses lèvres traduit sa fierté. Celle d’avoir trouvé un point faible chez le Bradford, celle d’avoir touché un point sensible surtout chez le basketteur. Sa réaction est du pain béni pour elle et s’il pense qu’elle va le laisser tranquille à ce sujet, il se trompe. Pas quand cela peut lui servir de défense contre celui qui ne sait définitivement pas se taire et qui, comme elle, souhaite toujours avoir le dernier mot. C’est sûrement ce qui explique pourquoi ils ne sont jamais parvenus à s’entendre, au-delà de la simple jalousie et possessivité de la photographe à l’égard du petit oiseau. Ils se ressemblent bien trop et, plutôt que de le reconnaître et de l’admettre, ils préfèrent perdre le temps dans une bataille de mots qui n’a pas réellement de sens. « T’as pas eu d’autre choix, elle t’a tourné le dos, elle aussi… » Zoya se renfrogne, n’aime pas le elle aussi qu’il évoque, quand cela renvoie à bien d’autres personnes qui ont effectivement fui l’excessivité de la brune. « Tu n’en sais rien ! » il ne sait pas lui non plus de quoi il parle et Zoya espère sincèrement que c’est bel et bien le cas et qu’il s’agit là que d’un coup de bluff. Elle ne supporterait pas d’apprendre que Birdie ait pu lui conter ses petits secrets sentimentaux et il est certain qu’il parvient à mettre le doute à Zoya,  qui remet en question la confiance qu’elle peut avoir envers sa blonde préférée. « Ce qui s’applique à toi ne s’applique pas pour tout le monde ! » Elle essaye de rester neutre pour ne pas lui montrer qu’il a touché un point sensible à son tour et elle espère que cela sera suffisant pour ne pas qu’il continue. Parce que, s’il s’enfonce dans cette brèche, elle ne tardera pas à lui sauter dessus pour lui arracher les yeux. Comme pour éviter tout débordement, elle décide d’attaquer en retour « Je perds pas mon temps, moi… » « Comment pourrais-tu perdre ton temps ? Personne ne veut le perdre avec toi » Retour à l’envoyeur. C’est cadeau, Zoya est fière, une fois de plus, le démontre excessivement - d'autant plus dans l’état dans lequel elle se trouve, jubilant presque sur place. Zoya se reprend, s’excuse même – elle ne le pense pas – et en rajoute une couche – parce que c’est drôle et qu’elle a l’impression qu’elle parvient à atteindre encore un peu plus le basketteur « Je te retourne le compliment ! » Elle rit fort. D’un rire qui résonne et qui doit certainement s’entendre au-delà des murs du labyrinthe, alors qu’elle tourne les talons, faisant un signe de la main en arrière au Bradford « I’m not ». Non elle ne l’est pas, Zoya, elle le sait très bien et sur ça, Mason peut essayer de toutes ses forces, elle ne démordra pas.

Et une fois de plus, le basketteur tente de la rattraper, l’empêchant à nouveau de s’éloigner de lui – à croire finalement qu’il ne pouvait se passer de sa présence. Sans crier gare, il se saisit donc de son bras, Zoya se trouvant obligée de lui faire face.  Toujours aussi éméchée, elle manque encore de perdre l’équilibre, bascule contre Mason et c’est à ce même instant qu’il vient à plaquer ses lèvres contre les siennes. Le baiser est furtif mais passionnel et voilà que, la seconde suivante, Zoya l’a déjà repoussé  « T’es malade !? » et la gifle qui part au même moment est tout autant spontanément et irréfléchie - quoi que – que le  baiser qu’il a pu lui donner quelques secondes auparavant. Elle s’essuie exagérément la bouche d’un revers de main, comme écœurée, voulant retirer toutes traces de Mason sur elle « Tu me dégoutes, BRADFORD ! » Elle plante son regard empli de colère dans le sien, le dévisageant d’un air menaçant, prête à en découdre s’il ose recommencer.



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Message(#)(Mason #1) I promise, i will not killing you… yet EmptyLun 27 Fév 2023 - 9:34

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 « I promise, i will not killing you… yet »  (Mason #1) I promise, i will not killing you… yet 873483867  zoya lewis & mason bradford.


Il la déteste. Il la déteste de lui faire revivre ce sentiment qui s’accapare de lui, à l’instant même. Tous ses regrets, toute ses choses qu’il ne laisse jamais entrevoir à quiconque, et qu’elle refait monter sciemment comme un ras de marrée, un tsunami en lui. Une tempête dont il est pas capable de gérer. Elle se croit drôle, elle en est même fière alors que le regard de Mason est méprisable, il la regarde de haut comme si elle n’était qu’une vulgaire chose dans sa vie. Comme si elle n’en valait pas la peine. Et c’est selon lui, un peu le cas. Zoya a toujours été un loup solitaire, qui ne se prête pas aux jeux avec autrui. Elle se considère même souvent supérieure aux autres et encore une fois, elle le démontre à la perfection. Suffisamment pour qu’il la provoque, avec un sourire en coin. Alors qu’il se croyait décontenancer, perdre une manche de la bataille, il lutte Mason, si bien qu’il touche son but, en la provoquant avec Birdie. Il le sait pourtant, que Birdie serait furieuse de savoir qu’il se sert d’elle pour anéantir, abaisser la Lewis. La vérité est que Zoya ne lui laisse guère le choix, il n’en trouve aucun scrupule. « Tu n’en sais rien ! » Il tapote son doigt d’un air réfléchi, avant d’hausser les épaules. « Si tu le dis… Tu seras pas à ton premier échec. » Qu’il se contente de lui répondre, bien plus fier de lui, en haussant les épaules. Il ne connaissait pas réellement sa vie, encore moins sa vie amoureuse trépidante, mais dans le fond, il n’était pas certain de vouloir en connaître davantage. La voir se comporter ainsi lui suffisait à comprendre quel type de personne Zoya pouvait être : et surtout que ça ne l’intéresse pas. « Ce qui s’applique à toi ne s’applique pas pour tout le monde ! » Elle pouvait bien montrer les griffes et les crocs, pas sûr que ça le touche réellement en fait. « J’avais oublié que Madame est au-dessus des autres, » il lève les yeux au ciel comme pour montrer l’absurdité dont elle fait preuve. Alors qu’elle n’en démord pas. « Comment pourrais-tu perdre ton temps ? Personne ne veut le perdre avec toi, » elle croise les bras, avant de finalement faire demi-tour en pivotant sur elle-même pour s’éloigner du Basketteur. Et il aurait sans doute pu la laisser filer. S’échapper de son emprise parce qu’il avait mieux à faire. Mais parce qu’il déteste ne pas avoir le dernier mot, il n’comptait certainement pas la laisser filer sans lui faire ravaler ses phrases et ses pensées. Elle devait le payer d’une quelconque des façons. C’est pourquoi sans trop réfléchir, il rompt cette distance entre eux jusqu’à ce que ses lèvres touchent celles de la Lewis. Il en avait profité qu’elle rate son équilibre, profité de la situation, si bien qu’après la surprise, elle lui gueule dessus tout en s’écartant de lui. « T’es malade !? » Et elle le gifle aussi rapidement, instinctivement, il porte sa main jusqu’à sa joue. Pas que la douleur soit insupportable, d’autant plus avec l’alcool dans son sang, il a même l’impression de pas s’en rendre totalement compte sur le coup. Et le prend un peu trop à la légère. « Tu me dégoutes, BRADFORD ! » Elle hurle cette fois plus fort, serrant les points, sans même bouger d’un centimètre. Il semble avoir touché un point sensible. « Je t’en veux pas si t’as aimé… » Qu’il provoque alors qu’il se doute bien du contraire, mais la voir devenir toute rouge d’énervement, et savoir que son cœur risque de bien vite sortir d’elle si ça continue ainsi ne l’émeut pas du tout. « T’es pas la seule, t’inquiète… » Il accompagne sa phrase d’un clin d’œil avant de la pousser en arrière, et de poursuivre, « allez ciao. » Et il disparaît dans la nuit du labyrinthe, laissant la Zoya affronter ses propres démons pour retrouver son chemin, pas certain qu’il s’en sorte davantage qu’elle. Mais ils ne pourront rien tirer de leur duo, autant qu’ils se séparent maintenant.


FIN
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