ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0
TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légalesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : (maj le 5/09/2024)
Barbie et Ken #6 > I hate you, I love you. I hate that I love you. Don't want to, but I can't put nobody else above you #1 > #2 > #3; #4; #5; #6
I'll be there for you, when the rain starts to pour. I'll be there for you, like I've been there before. I'll be there for you, 'cause you're there for me too... > Shiloh #1 ; Lewis #1
Arthur #1 ; Arthur #2AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell Sutton PSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 06/04/2022
Aujourd’hui est une grosse journée et je suis tellement stressé par tout ça que j’ai fait une belle insomnie cette nuit. Avec @Iris Castillo nous rencontrons un gros client cette après-midi mais il y a quelque chose qui me chiffonne avec ce client. J’ai l’impression qu’il n’a pas réellement été convaincu par nos premiers échanges, enfin c’est ce que j’ai interprété en l’entendant parler d’un ton plutôt las. Je savais qu’il n’était pas emballé et avec Iris nous avons passé toute la journée d’hier à nous creuser la tête pour trouver une manière de le convaincre et de préparer la réunion d’aujourd’hui. Je crois que je n’avais jamais quitté le bureau aussi tard qu’hier.
Même si encore une fois il fait une chaleur insupportable -foutue Australie- j’ai mis une chemise, une cravate et un pantalon de tailleur, le tout pour faire bonne impression. Puis je me suis rendu dans le café où se rend souvent avec Iris et je suis passé prendre un petit quelque chose pour lui donner du courage pour la journée. Je n’ai même pas eu besoin de lui demander ce qu’elle voulait, la réponse était évidente : un latte. J’ai pris un thé glacé de mon côté, je ne sais pas comment elle fait pour boire une boisson chaude par ces températures. J’arrive à notre point de rendez-vous un peu en avance et je l’attends en sirotant de temps à autre mon thé pour essayer de me calmer un petit peu. Elle apparaît quelques minutes après et je l’accueille avec un petit sourire timide. Il n’y a qu’à voir sa tête pour voir qu’elle aussi appréhende le rendez-vous de cette après-midi. Je lui tends son latte en lui demandant : “Prête ?” Je ne suis pas plus rassuré qu’elle mais j’essaie de rester positif et de garder mon sang froid. “On s’est bien préparés, ça va le faire.” Le tout accompagné d’un petit sourire avant de reboire de grandes gorgées de mon verre de thé glacé qui est déjà vide. Je tombe sur les glaçons ? Déjà ? La journée s’annonce longue, il n’est que 11h et je ne supporte déjà plus cette chemise qui me tient affreusement chaud.
Quelques minutes après seulement notre client arrive et c’est à partir de ce moment-là que la dégringolade commence. Le client est encore plus désagréable face à face que par téléphone. Nous faisons tout pour lui faire notre meilleure offre et pour le convaincre mais ni le talent d’Iris ni mes compétences ne réussissent à le faire changer d’avis. La réunion est un échec et c’est sacrément embêtant, ce client aurait pu nous rapporter gros. Pire encore, je n’en étais pas sûr au début mais j’ai l’impression qu’on est en plus tombés sur un mec misogyne. Il n’arrêtait pas de me parler et attribuait très peu d’attention aux idées soulevées par Iris, alors que la cheffe d’entreprise c’est elle. Si je m’étais écouté je lui aurais sûrement crié quelque chose du style “on est DEUX à faire cette réunion, vous devriez demander à ma collaboratrice ce qu’elle en pense” mais bon j’ai respiré un grand coup et j’ai essayé de répondre à ses questions et à ne pas m’énerver à chaque fois qu’il relevait ses sourcils d’un air peu convaincu. Il nous a répondu qu’il devait réfléchir à nos propositions mais nous savons très bien ce que ça veut dire : il ne veut pas travailler avec nous. Et après un tel entretien je pense que nous sommes d’accord pour dire que nous non plus nous ne voulons pas travailler avec quelqu’un comme ça. Oui c’était un gros client qui aurait pu nous apporter de nombreux bénéfices mais tant pis, mieux vaut travailler moins que travailler avec des personnes qui ne sont pas convaincues par notre travail et qui risquent de nous créer davantage de problèmes après. Le client s’en va et je retiens un “bon débarras” dans ma tête. Je me tourne vers Iris avant de souffler et de lever les yeux au ciel, quelle journée pourrie. “C’était qu’un con, on sera mieux sans lui.” Avec tout mon accoutrement je commence à avoir chaud, il faut dire qu’on est dehors en plein soleil et que ma veste commence à être vraiment étouffante. “ça te dérange pas si j’enlève tout ça ? J’en peux plus de cette chaleur.” J'enlève ma veste et ma cravate et je me sens tout de suite bien mieux. Et soudain mon ventre se met à gargouiller. Je n’ai pas déjeuné ce matin et le thé n’a pas suffi à calmer mon appétit. “Je crois que je commence à avoir faim.” Je lui confie avec un petit sourire amusé.
décembre 2022 Iris est tout autant anxieuse que son partenaire. Elle a sûrement veillé bien trop tard sur son canapé, à peaufiner quelques détails sur les plans qu’elle compte présenter à l’homme d’affaires le lendemain, un homme d’affaire dont la réputation n’est plus à faire en ville. Elle connait le personnage, a eu un retour peu élogieux sur sa personne de la part de son meilleur ami qui a pu déjà faire affaire avec lui et Iris, même si elle tente de rester positive, n’en mène pas large quant l’heure du rendez-vous approche à grands pas. Micah et elle se retrouve devant l’immeuble où se tiendra la rencontre et celui-ci à penser à lui prendre son latte, le remerciant d’un grand sourire dès qu’il la rejoint “Prête ?” « Prête ! » fait-t-elle alors qu’elle est vêtue d’une robe près du corps de couleur bleu marine, armée de sa tablette et d’un portfolio dans un bras. Micah n’aura pas de mal à voir qu’elle est légèrement ironique en disant ça “On s’est bien préparés, ça va le faire.” Elle se contente d’hausser les épaules et c’est rare que la jeune femme soit aussi peu sûre d’elle. Mais elle sait que la personne face à eux va sûrement l’ignorer tout du long de leur entretien, elle sait aussi qu’il a eu à faire à son précédent cabinet, celui où elle travaillait lors de ses débuts, ce même cabinet qui ne considérait en rien son travail parce qu’elle était une femme. Un milieu encore bien trop machiste, d’où le fait qu’elle est finie par créer sa propre entreprise pour éviter de se retrouver dans ce cas de figure, à nouveau, surtout après avoir quitté le Walker Group.
Alors il n’y a rien de surprenant quand, au cours de la rencontre, Iris et Micah se retrouvent face à un mur et que quelconque proposition qu’ils puissent faire se trouvent balayer d’un revers de main. Rien ne lui convient, rien ne semble assez bien et le moindre argument d’elle ou son partenaire trouve un contre argument chez lui. Iris tente de garder la face et de ne pas baisser les bras bien que l’homme l’ignore royalement et n’échange qu’avec Michael. Elle est habituée à ce genre de comportement, ce n’est en réalité pas celui-ci qui la met dans l’embarras mais davantage la détermination de l’homme à tout leur refuser. Alors, lorsqu’ils sortent de cette entrevue quelques heures plus tard, Iris ne manque pas de laisser échapper un soupir, appréciant de retrouver l’air extérieur, même si les températures sont déjà bien trop élevées pour la saison. “C’était qu’un con, on sera mieux sans lui.” « J’ai cru que j’allais finir par lui parler en espagnol… et crois moi ce n’aurait pas été des mots très cléments ». On sent qu’elle est quelque peu en colère mais peu à peu, la tension dans ses épaules tend à redescendre. “ça te dérange pas si j’enlève tout ça ? J’en peux plus de cette chaleur.” « Je pensais que tu réservais le striptease si on avait obtenu ce contrat » elle laisse échapper sur un ton amer, non sans un sourire en coin. Elle aussi à chaud, dans sa robe et c’est presque si elle ne rentrerait pas dans une boutique juste pour adopter une plus confortable. Mais elle fera avec. “Je crois que je commence à avoir faim.” Iris acquiesce surtout qu’ils sont à proximité du marché de Noël « Et je crois surtout qu’on a bien mérité une récompense Elle rentre, comme elle le peut, sa tablette et son portfolio dans son sac, réhaussant celui-ci sur son épaule et qu’on devrait aller s’empiffrer au marché de Noël. C’est moi qui offre ». Son bras sous celui de Micah, les voilà tout deux en train de prendre la direction du marché non loin de là. « Je t’amène visiter mon pays un petit peu fait-t-elle en désignant d’un signe de tête l’insigne au-dessus d’eux sur laquelle il y est noté MEXIQUE. L’ambiance lui rappelle évidemment de nombreux souvenirs, la musique d’autant plus et elle se laissera sûrement emporter par une petite danse après s’être désaltéré On aurait peut-être dû lui proposer de venir faire une partie de piñata avec nous, ça l’aurait détendu » ou pas mais ça aurait fonctionné à coup sûr pour elle. D’ailleurs, elle ne serait sûrement pas contre une partie « Tu me fais confiance ? » fait-t-elle alors qu’ils approchent du stand de nourriture, prête à passer commande pour eux deux. Elle commande alors des tamales mais aussi du Ponche, une célèbre boisson chaude aux fruits épicés à laquelle elle demande au serveur de rajouter une touche de tequila « A la perte de ce contrat » Un sourire se dessine sur ses lèvres accompagné d’une grimace avant qu’elle ne trinque avec Michael et déguste ensuite une gorgée.
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Dernière édition par Iris Castillo le Lun 26 Déc 2022 - 2:48, édité 2 fois
Kendall Harding
la traversée du désert
ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0
TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légalesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : (maj le 5/09/2024)
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I'll be there for you, when the rain starts to pour. I'll be there for you, like I've been there before. I'll be there for you, 'cause you're there for me too... > Shiloh #1 ; Lewis #1
Arthur #1 ; Arthur #2AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell Sutton PSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 06/04/2022
Je savais pertinemment en me levant ce matin que cette journée allait être compliquée. Au-delà de mon insomnie c’est quand j’ai voulu préparer mon petit déjeuner à base de tartines et de confiture que je me suis dit que la journée allait être longue. J’ai passé plus de temps à nettoyer sur le sol les traces de confitures et les débris de l’assiette cassée qu’autre chose et ça a suffi pour me couper l’appétit. Je suis donc parti le ventre vide et toujours aussi stressé et fatigué. Pour compenser je me suis arrêté dans notre café avec Iris et je lui ai pris un latte. J’arrive malgré tout en avance et quand je la vois arriver je lui tends sa boisson avec un petit sourire. Je lui demande si elle est prête mais il n’h a qu’à voir la tête qu’elle fait pour voir que comme moi elle n’est pas franchement rassurée. J’essaie de la rassurer en lui disant qu’on a bien travaillé en amont et que ça va aller. Elle hausse les épaules et au fond je suis du même avis. Je n’ai aucune certitude que nous serons à la hauteur pour le convaincre mais nous avons tout fait pour préparer un dossier béton donc il n’y a pas de regrets sur ce point-là.
Notre client arrive rapidement et l’entretien est catastrophique. Nous tombons sur un mur, un vieux con qui pense tout savoir mieux que nous et surtout mieux qu’Iris à en juger son attitude totalement déplacée. Celui-ci ne lui parle que très peu alors que nous sommes collaborateurs, de même niveau. Quel crétin. En sortant de l’entretien Iris laisse échapper un soupir et je fais de même, quelle journée pourrie. La prophétie de la tartine de confiture était donc vraie, ça n’annonçait rien de bon. Je lui donne mon point de vue sur notre client et la conclusion c’est que finalement je préfère ne jamais travailler pour quelqu’un comme ça. « J’ai cru que j’allais finir par lui parler en espagnol… et crois moi ce n’aurait pas été des mots très cléments » Je suis tout aussi révolté qu’elle, un comportement comme ça de nos jours c’est plus qu’impardonnable. “Tu aurais dû. C’est quoi déjà l’insulte que tu m’as appris l’autre jour ?” J’essaie de creuser dans ma mémoire avant de me souvenir “Malparido ?” J’essaie de prononcer comme je peux avec les restes de mes cours d’espagnol du lycée qui commencent à remonter. Le résultat ne doit pas être terrible, surtout avec mon accent américain mais ça me fait sourire. J’aime beaucoup quand elle me parle en espagnol, je ne comprends pas tout mais les sonorités sont très belles, et elle a toujours quelque chose de drôle à m’apprendre : un mot, une expression, une tradition. Puis la chaleur de l’été australien me rappelle à l’ordre et je lui demande si ça ne la dérange pas si je retire ma veste et la cravate. « Je pensais que tu réservais le striptease si on avait obtenu ce contrat » J’esquisse un sourire avant d’être interrompu par mon ventre qui commence à gargouiller. Mon dernier repas commence à remonter et j’ai sacrément faim. Iris hoche la tête avant de me proposer. « Et je crois surtout qu’on a bien mérité une récompense et qu’on devrait aller s’empiffrer au marché de Noël. C’est moi qui offre » J’aime ce genre de propositions. Je ne me souvenais même plus que le marché de noël était à deux pas d’ici mais elle a tout à fait raison, on mérite bien une pause. “Excellente idée. On l’a bien mérité oui. On y va ?”. Je lui tends mon bras et avec son bras sous le mien nous nous avançons en direction du marché. Il n’est pas difficile à trouver, il n’y a qu’à suivre la musique de noël et le mélange des odeurs de nourriture qui ont de quoi creuser l’appétit. « Je t'emmène visiter mon pays un petit peu. On aurait peut-être dû lui proposer de venir faire une partie de piñata avec nous, ça l’aurait détendu » L’ambiance du marché de noël est bien plus agréable que l’immeuble tout aseptisé où nous avons eu notre rendez-vous. Je sens que cette ambiance va nous faire beaucoup de bien. “C’est comme ça qu’on aurait dû négocier oui.” Nous nous avançons en direction d’un stand de nourriture. « Tu me fais confiance ? » Je sens que le repas va être épicé mais je lui fais confiance oui, j’ai envie qu’elle me fasse découvrir ses traditions. “Bien sûr, je te suis.” Je ne suis pas très difficile pour manger, j’aime un peu tout et la nourriture épicée ne me dérange pas donc je lui fais confiance. Je ne connais pas du tout ce qu’elle commande mais je n’ai aucun doute sur le fait que ça sera délicieux. « A la perte de ce contrat » Je trinque avec elle en répondant à son sourire. “A ce vieux con qui ne sait pas ce qu’il rate.” D’habitude je ne suis vraiment pas fan d’alcool, je ne bois presque jamais mais là je pense qu’avec le moment plus que désagréable qu’on vient de passer ça ne devrait pas me faire de mal. Le punch sent bon, j’aime beaucoup les odeurs d’épice qui s’en dégagent et le goût de l’alcool est plus que léger, largement masqué par le jus de fruits donc ça me va très bien. “C’est super bon ça.” Je désigne la boisson avant de reporter mon attention sur les tamales. “A nous deux maintenant.” Je croque dedans. “J’avoue je saurais pas te dire ce qu’il y a dedans mais j’aime bien.” Je me sens déjà plus détendu. Iris a avait raison, nous avions besoin de changer d’air et de nous détendre un petit peu. Notre tenue détonne un peu avec les personnes qui déambulent dans le marché. Certains sont en t-shirt avec des rennes dessus et nous sommes bien trop habillés. Je ne me sens pas très à l’aise comme ça mais il fallait bien que l’on s’apprête un petit peu. J’ai relevé les manches de ma chemise blanche mais j’ai toujours l’impression d’avoir chaud. La tenue d’Iris est très belle aussi, cette robe lui va bien. En fait elle est canon là-dedans. “Si j’avais su qu’on venait ici j’aurais mis mon super t-shirt de noël.” Le genre de t-shirt qui pourrait gagner le concours du t-shirt le plus moche mais qui me fait rire, j’aime ce genre de traditions. Iris voit très bien de quel t-shirt je parle, je l’ai mis l’an dernier une fois au bureau quelques jours avant le réveillon, ce qui l’avait bien fait rire. “En tout cas ta robe était vraiment super belle, on avait la classe.” Je regrette un petit peu cette phrase dite sans trop réfléchir, je n’ai pas envie que mon compliment la mette mal à l’aise.
décembre 2022 Cette entrevue a été un véritable fiasco et même si Iris n’avait pas de réelles attentes suite à celle-ci, elle n’en reste pas moins déçue et surtout amer “Tu aurais dû. C’est quoi déjà l’insulte que tu m’as appris l’autre jour ?” Iris pivote sa tête pour regarder Micah car elle ne s’en souvient pas. A vrai dire, elle lui en apprend sûrement un peu trop, au vu du nombre de fois où elle peste dans sa barbe et qu’il lui demande de répéter afin d’élargir ses connaissances nécessaires pour le marché, en langue espagnol – c’est lui qui le dit, pas elle. “Malparido ?” Et elle rit, parce que si le mot est bon, la prononciation elle, en revanche, l’est moins « Malparrriiiido » elle insiste sur la bonne syllabe, le reprenant quand c’est plus fort qu’elle surtout parce que l’espagnol est sa langue maternelle. « Mais je ne pensais pas à cette insulte, je pensais à pire. Mais je vais épargner tes oreilles chastes » le taquine-t-elle alors qu’ils ont tout deux bien mérités de se détendre après ce trop plein de stress et ce rendez-vous interminable “Excellente idée. On l’a bien mérité oui. On y va ?” Elle acquiesce, passe son bras sous le sien sans plus attendre et ils prennent la direction du marché de Noël, non loin de là.
Arrivé sur place, Iris indique à Michael qu’elle compte l’amener dans son pays, le Mexique étant mis à l’honneur à son plus grand bonheur “C’est comme ça qu’on aurait dû négocier oui.” Une petite piñata aurait surtout permis à Iris de passer toute sa colère contre l’homme qu’ils ont rencontré, colère qu’elle a dû contenir bien malgré elle. Pas sûre que cela aurait eu un quelconque effet sur l’homme mais peut-être l’aurait-t-elle au moins un peu plus considérée, qui sait. “Bien sûr, je te suis.” La nourriture sera définitivement leur alliée pour se remettre de tout ça et parce qu’elle connait parfaitement la gastronomie mexicaine, elle commande pour elle mais aussi pour Micah des tamales, ainsi que deux verres de ponche, avec lequel les deux amis et associés trinquent “A ce vieux con qui ne sait pas ce qu’il rate.” Elle acquiesce vivement, un sourire se dessinant sur ses lèvres, avant qu’elle ne prenne une bonne gorgée du liquide présent dans son verre. Iris non plus n’est pas très friande d’alcool, elle le supporte d’ailleurs très mal et sait que ce verre sera suffisant pour la rendre un tant soit peu euphorique – oui, il lui en faut peu. “C’est super bon ça.” « Bien sûr que ça l’est ! Mais attention, c’est traitre. Je mise pas grand-chose sur notre état dans quelques minutes » et elle rit légèrement parce qu’elle sait que l’effet sera assez immédiat au vu de la facilité de descendre un verre de ponche. A nous deux maintenant.” et peut-être est-ce préférable qu’ils accompagnent ce verre de tamales qui les aideront à éponger un peu le liquide assez conséquent qu’ils ont entre les mains – parce que, les verres sont généreusement remplis et non de petites tailles. “J’avoue je saurais pas te dire ce qu’il y a dedans mais j’aime bien.” « Et les miens sont mêmes deux fois meilleurs. J’en apporterai au bureau lundi ! » et il sait qu’elle va tenir parole, parce qu’Iris apportait toujours quelque chose de sa confection surtout pour les débuts et les fin de semaine. C’est dire, tout le temps en réalité, sa spécialité étant surtout les plats sucrés, les pâtisseries et autres gâteaux en tout genre dont toute l’équipe raffolaient. Et évidemment sa générosité faisait qu’à chaque plat qu’elle confectionnait, elle n’oubliait jamais d’en apporter au bureau pour motiver les troupes. Il y avait quelques railleries à cause des soi-disant kilos en trop, mais pour autant, cela n’empêchait pas ses paires à venir piocher dans le plat apporté, et ça à plusieurs reprises durant la journée. Iris croque à son tour dans son tamale et, après avoir soigneusement avalé, observant l’intérieur du met, elle reprend « Ils sont au poulet et légumes. Pas mal du tout » Il n’égaleront jamais ceux de sa mamita mais ils sont mangeables. “Si j’avais su qu’on venait ici j’aurais mis mon super t-shirt de noël.” « Tu aurais osé devant monsieur Campbell ? » dit-t-elle en riant doucement. « J’aurai aimé voir ça ! ». Ça aurait peut-être détendu l’atmosphère cela dit. Ou ils les auraient encore moins pris au sérieux, et elle penche davantage pour cette solution. “En tout cas ta robe était vraiment super belle, on avait la classe.” « Oh, merci » fait-t-elle alors qu’elle regarde sa propre robe, certes classe pour l’entrevue mais définitivement pas adapté « Tu es tout autant beau dans ton costume. On fait un beau duo » Il n’y a aucun sous-entendu dans ses paroles, d’ailleurs, elle ne ressent pas, à cause du compliment de Micah, un quelconque malaise, plutôt à l’aise désormais à ses côtés quand cela fait quelques années maintenant qu’ils travaillent ensemble. « Mais, on devrait peut-être envisager d’aller nous changer » et elle désigne un petit stand non loin d’eux qui propose des t-shirts tout aussi ridicule les uns que les autres. mais il va falloir que je me trouve un bas » elle réfléchit, ses deux mains bien trop prises pour qu’elle puisse porter son index sur son menton pour se faire. « Désolé mais va devoir aller faire un peu de shopping » et on sent la malice prendre place sur ses traits, alors qu’elle tente d’adopter un air faussement désolé, peu crédible « Mais c’est ça, ou on meurt de chaud. C’est toi qui voit » conclut-t-elle en croquant dans un bout de tamale, haussant les épaules. En plus, l’avantage, c’est que la localisation du marché de Noël est justement dans le cœur de ville, à l’endroit même où se trouve toutes les boutiques possibles et imaginables. Si ceci n’est pas un signe.
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Kendall Harding
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ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0
TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légalesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : (maj le 5/09/2024)
Barbie et Ken #6 > I hate you, I love you. I hate that I love you. Don't want to, but I can't put nobody else above you #1 > #2 > #3; #4; #5; #6
I'll be there for you, when the rain starts to pour. I'll be there for you, like I've been there before. I'll be there for you, 'cause you're there for me too... > Shiloh #1 ; Lewis #1
Arthur #1 ; Arthur #2AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell Sutton PSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 06/04/2022
L’entretien s’est plus que mal passé, et même si l’issue était assez prévisible je suis déçu. Déçu mais aussi plutôt remonté vis du comportement que ce vieux crouton a eu avec nous et surtout avec Iris. Elle dit s’être retenue de l’insulter et je trouve qu’elle a fait preuve de beaucoup de self control. Je trouve ça dingue que certaines personnes soient misogynes de manière aussi décomplexée en 2022. Je lui dis qu’elle aurait peut-être dû l’insulter et j’essaie de me rappeler de la dernière insulte qu’elle m’a apprise. Je parle de la dernière parce que depuis qu’on se connaît mon vocabulaire d’espagnol a pas mal progressé. Bon je suis incapable de commander un plat au restaurant mais je peux insulter quelqu’un sans soucis. « Malparrriiiido » Enfin avec quelques soucis de prononciation vu qu’elle me reprend. Mais bon ça la fait rire alors c’est le principal. “J’y étais presque.” Elle me fait rire aussi, la prononciation c’est vraiment le truc que je n’arrive pas à intégrer. « Mais je ne pensais pas à cette insulte, je pensais à pire. Mais je vais épargner tes oreilles chastes » Je secoue la tête de gauche à droite avec un petit sourire amusé. “Mes oreilles chastes, non mais” Mon ventre se met ensuite à gargouiller et nous prenons la décision d’aller manger un bout au marché de noël. Nous avons bien mérité de grignoter, il est déjà tard en plus, l’heure de manger est largement dépassée.
Exceptionnellement et pour faire plaisir à Iris en goûtant du punch je prends un verre d’alcool. Le goût est agréable, sucré et très léger. « Bien sûr que ça l’est ! Mais attention, c’est traitre. Je mise pas grand-chose sur notre état dans quelques minutes » Elle n’a pas tort, c’est le genre de boisson qui a l’air complètement traitre, surtout quand on a pas l’habitude de boire. “C’est vrai que là j’ai juste l’impression de boire du jus de fruits.” J’en viendrais presque à me demander s’ils ont réellement mis de l’alcool dans ça. Mais comme dit Iris j’ai intérêt à me méfier et à ne pas boire ça à la paille si je ne veux pas me retrouver bourré dans le marché de noël. « Et les miens sont même deux fois meilleurs. J’en apporterai au bureau lundi ! » J’aime ces petits rituels cuisines qu’on a tous les deux et au bureau en général. Dans l’équipe on aime tous cuisiner donc il n’est pas rare de voir quelqu’un débarquer le matin avec une nouvelle création culinaire qu’on se partage le midi. C’est une ambiance de travail très saine et ça me plait bien. “J’ai hâte de goûter ça alors !” De mon côté ça me permet d’avoir des avis sur mes créations et ça m’évite de me retrouver avec un gâteau à manger tous les deux jours tout seul, je ne donne pas cher de ma glycémie sinon. « Ils sont au poulet et légumes. Pas mal du tout »
J’aime beaucoup l’Australie mais la température y est sérieusement étouffante. Je remonte les manches de ma chemise mais là tout de suite je rêverais d’avoir seulement un t-shirt et un short. « Tu aurais osé devant monsieur Campbell ? » Je n’ose même pas imaginé la tête qu’il aurait fait si j’étais venu en tshirt de noël. Au moins l’entretien aurait été plus court, avec la même finalité. “Bien sûr, il aurait été ébloui par notre classe avec ça.” « J’aurai aimé voir ça ! ».Je la complimente ensuite sur sa robe qui lui donnait une allure très distinguée. Je réalise après coup que c’était peut-être un peu maladroit, je n’ai pas envie que mon compliment la mette mal à l’aise. « Oh, merci » Bon visiblement ça a l’air de davantage lui faire plaisir et moins elle n’a pas l’air vexée ou gênée. « Tu es tout autant beau dans ton costume. On fait un beau duo » Sa remarque me fait sourire et je hoche la tête. “On fait une bonne équipe oui.” Je suis vraiment ravi d’être allé à ce salon de l’architecture en arrivant sur Brisbane, sinon je n’aurais jamais rencontré une collaboratrice aussi extraordinaire qu’Iris. « Mais, on devrait peut-être envisager d’aller nous changer » Elle a raison, nous sommes peut-être bien habillés mais ça ne correspond pas du tout à l’ambiance qui règne ici et surtout je ne me sens pas vraiment à l’aise. “On sera plus à l’aise oui.” “mais il va falloir que je me trouve un bas » Effectivement, je peux troquer ma chemise pour un tshirt mais elle devra mettre un pantalon. « Désolé mais va devoir aller faire un peu de shopping » Je n’aurais pas imaginé que la journée se termine comme ça mais c’est une excellente idée. « Mais c’est ça, ou on meurt de chaud. C’est toi qui voit » Avant que je n’ai eu le temps de lui répondre ce qui me restait à manger pour les tamales vient tâcher mon pantalon, foutue sauce. Mon regard se pose sur mon pantalon et assez dépité je la regarde pour lui dire. “Hum bon je pense qu’on peut partir en quête d’un autre bas pour moi aussi.” Je secoue la tête de gauche à droite, je peux être très maladroit par moments. “Tu as une boutique particulière en tête ?” Je lui demande avec un petit sourire, ça fait bien longtemps que je n’ai pas fait de shopping, ça me fera du bien de sortir.
décembre 2022 “J’y étais presque.” Sa tête se penche légèrement alors qu’elle n’approuve pas nécessairement sa presque bonne prononciation, son accent bien plus américain qu’espagnol en disant le mot qu’il semble avoir bien mémorisé. Il semble avoir clairement un faible pour les insultes qu’il retient bien plus que les phrases bateaux qu’Iris tente tant bien que mal de lui apprendre à longueur de temps, l’ayant déjà mis au défi de se faire passer pour un mexicain dans un restaurant mexicain, l’incitant à commander exclusivement en espagnol. Un fiasco total. “Mes oreilles chastes, non mais” Elle rit une fois de plus, appréciant d’avoir un associé comme Micah qui aide à relativiser et surtout avoir un moment plus léger malgré le fiasco et l’énorme échec qu’ils viennent d’essuyer.
Et parce qu’ils ont clairement besoin d’un remontant pour mieux digérer la pilule, c’est assez naturellement que leurs pas les ont guidés vers le marché de Noël. Et comme Iris y a repéré les stands mexicains, c’est la suite logique de leur balade improvisé, la jeune femme faisant découvrir à Michael les spécialités de son pays natal “C’est vrai que là j’ai juste l’impression de boire du jus de fruits.” « Tu vas te faire avoir » dit-t-elle alors qu’elle prend une gorgée de plus, consciente qu’elle peut dire ça pour elle-même puisqu’elle sait qu’elle terminera vite son verre. Et un seul sera suffisant pour elle pour la rendre déjà joyeuse et s’ils venaient à se laisser aller à un deuxième, Iris serait définitivement foutue pour le reste de la journée. Mais après tout, peut-être le mérite-t-il aussi quand ils ont emmagasiné bien trop de pression ces derniers jours à cause de ce rendez-vous qui n’a finalement, rien donné “J’ai hâte de goûter ça alors !” Elle tiendra promesse, c’est certain, coutumière à amener toujours un petit quelque chose au boulot et comme ses employés sont toujours partants pour déguster les différents mets qu’elle peut apporter, elle n’y manquera pas donc.
“Bien sûr, il aurait été ébloui par notre classe avec ça.” A la remarque, une nouvelle fois, Iris ne manque pas de rire, imaginant bien Michael avec un t-shirt ridicule de Noël devant l’homme bien trop coincé et odieux qu’ils ont rencontré un peu plus tôt « C’était peut-être ça le secret pour avoir ce fichu contrat ». Elle n’y croit pas une seule seconde mais préfère rire de ce deal qui leur est passé sous le nez plutôt que se lamenter sur son sort. C’est sûrement ce qu’elle aurait fait d’ailleurs si Micah et elle ne se seraient pas dirigé vers le marché de Noël. Elle serait retournée au bureau ou elle serait rentrée chez elle, ressassant l’entrevue et se demandant ce qui n’avait pas fonctionné. Finalement, ils avaient fait le bon choix “On fait une bonne équipe oui.” « Plus ou moins, je te rappelle qu’on est passé à côté d’un gros contrat » Elle enchérit sur un ton amusé mais un peu amer aussi, faut le reconnaitre. “On sera plus à l’aise oui.” Au vu de la chaleur, ils préfèrent se changer, leurs tenues n’ayant plus aucun intérêt désormais – encore faut-t-il qu’elles en aient eu un peu plus tôt, mais visiblement, ce ne fut pas le cas non plus. Si Micah a uniquement besoin d’un haut, pour Iris c’est une tenue entière plus légère dont elle a besoin… enfin elle était la seule jusqu’à ce que Ackerman soit éternellement Ackerman, aka monsieur catastrophe “Hum bon je pense qu’on peut partir en quête d’un autre bas pour moi aussi.” Iris part à nouveau à rire « Tu es pas croyable » qu’elle fait alors qu’elle termine à son tour ses tamales – sans se tâcher – jette le contenant à la poubelle et l’entraîne avec elle vers le grand centre commercial attenant à la rue du marché de Noël “Tu as une boutique particulière en tête ?” « J’en avais une mais je ne suis pas sûre qu’une jupe te tente fait-t-elle alors qu’elle désigne un magasin exclusivement féminin T’en fais pas, on va aller chez Myers, on va avoir l’embarras du choix comme ça, autant pour moi… que pour toi » C’est ce qu’ils font d’ailleurs et l’objectif est donné que dans quinze minutes voire vingt grand maximum ils se retrouvent à cet endroit précis où leurs chemins se séparent pour aller à la quête de leur tenue plus confortable.
Et ils tiennent parole, Iris arrivant même avant Michael alors qu’elle a définitivement troqué sa robe bleue marine contre un short en jean, un t-shirt blanc qu’elle a noué en bas, avec écrit Merry Christmas dessus et plein de petites illustrations rouge et vertes entourant l’écriteau. Et parce qu’elle n’a pas fait les choses à moitié, elle s’est même pris un petit serre-tête pour l’occasion… et lorsque Micah la rejoint, elle lui enfile le bonnet de Noël qu’elle lui a exclusivement acheté « je pense qu’on est fin prêt ».
Ils sortent donc du centre commercial, ne souhaitant pas s’y attarder alors qu’ils sont venus ici avant tout pour profiter du marché de Noël. « Qu’est-ce qui te tente ? » demande-t-elle alors que les pays représentés sont nombreux et les activités proposées tout autant.
Spoiler:
Le Myers c’est comme les galeries Lafayette en gros, t’a de tout dedans ^-^
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Kendall Harding
la traversée du désert
ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0
TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légalesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : (maj le 5/09/2024)
Barbie et Ken #6 > I hate you, I love you. I hate that I love you. Don't want to, but I can't put nobody else above you #1 > #2 > #3; #4; #5; #6
I'll be there for you, when the rain starts to pour. I'll be there for you, like I've been there before. I'll be there for you, 'cause you're there for me too... > Shiloh #1 ; Lewis #1
Arthur #1 ; Arthur #2AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell Sutton PSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 06/04/2022
Le mot d’ordre de cette après-midi est clair : essayer d’oublier l’entretien désastreux qui vient tout juste de s’achever. Quel meilleur endroit que le marché de noël pour remonter le moral des troupes ? Nous commandons de quoi manger et à boire aussi sur les conseils d’Iris. Je n’y connais rien du tout en cuisine mexicaine alors ça me fait plaisir qu’elle me fasse découvrir un petit peu sa culture. Et je trouve ça bon, surtout le cocktail aux notes sucrées qui me plait bien. D’habitude je ne suis vraiment pas friand des boissons alcoolisées mais là je ne sens rien. J’ai l’impression de simplement boire du jus de fruits alors je bois un peu trop vite mon verre. « Tu vas te faire avoir » Je hausse les épaules, comme pour dire tant pis. Normalement juste avec un verre et en mangeant un bout à côté ça devrait aller. Enfin je l’espère, je n’ai pas envie d’être ivre en plein après-midi. La chaleur australienne me rattrape et je fais remarquer à Iris que si j’avais su qu’il ferait si chaud et que l’entretien se passerait si mal, j’aurais enfilé un t-shirt de noël comme ceux qui sont vendus sur le marché de noël. Ma remarque a l’air de la faire rire. « C’était peut-être ça le secret pour avoir ce fichu contrat » Je sais qu’elle n’est pas convaincue mais bon il faut bien plaisanter pour essayer de faire passer l’amertume de cet échec. J’en profite pour la complimenter sur sa tenue. Elle me complimente en retour et la conclusion est la suivante : on forme un beau duo. Je lui confirme qu’on fait une bonne équipe. « Plus ou moins, je te rappelle qu’on est passé à côté d’un gros contrat » Même si l’entreprise se porte bien, ce contrat aurait pu grandement nous aider mais tant pis. C’est comme ça, les échecs font partie de la vie et on va devoir avancer. “On en aura d’autres ne t'en fais pas.” Je termine petit à petit mes tamales pendant qu’Iris parle d’aller faire du shopping, notamment pour lui trouver un autre bas. Faire du shopping c’est quelque chose qui ne me dérange pas, au contraire, de temps en temps j’aime prendre le temps de flâner dans les boutiques. Mais avec l’énorme tâche de sauce que je viens de faire sur mon pantalon l’option shopping devient une nécessité, j’ai l’air d’un con comme ça. « Tu es pas croyable » Ma maladresse la fait rire et de mon côté je hoche la tête de gauche à droite avec un petit sourire amusé. “ça ne me surprend même plus.” Je commence à avoir l’habitude, j’ai deux mains gauches, ce qui fait que chez moi j’ai toute une panoplie de produits pour détacher mes habits, surtout après les sessions pâtisserie. Je lui demande si elle a envie d’aller à un endroit particulier, je n’ai aucune idée des boutiques qui peuvent l’intéresser. « J’en avais une mais je ne suis pas sûre qu’une jupe te tente” Je la regarde avec un petit sourire taquin. “Non ça n’irait pas du tout avec mes chaussures.” Je lui réponds en jetant un coup d'œil à mes chaussures. “T’en fais pas, on va aller chez Myers, on va avoir l’embarras du choix comme ça, autant pour moi… que pour toi » “Très bon choix !”
Nous nous rendons chez Myers et effectivement il y a du choix. Tellement que je passe beaucoup trop de temps dans les rayons à réfléchir à ce que je pourrais porter. Pour le bas c’est simple, je me prends un jean bleu marine, tout ce qu’il y a de plus classique mais pour le haut j’hésite sur le t-shirt. Je finis par arrêter mon choix sur un t-shirt qui me fait sourire. Une fois changé je passe à la caisse et je rejoins Iris qui m’attend avec un bonnet de noël. Je l’enfile sans protester et avec un petit sourire. « je pense qu’on est fin prêt ». On ne pouvait pas faire plus noël pour la tenue, on sera beaucoup plus assortis à l’ambiance du marché de noël habillés comme ça. “Là tout est parfait. Tu peux pas savoir à quel point je suis ravi d’être débarrassé de ce costume.”
Nous nous redirigeons vers le marché de noël puisque c’était notre plan de base. « Qu’est-ce qui te tente ? » Nous marchons devant les différents stands quand l’un d’entre eux attire mon attention. “Oh ça sent bon par là-bas.” Je désigne discrètement du doigt le stand français sur notre droite. Nous nous approchons un peu et j’arrive à distinguer ce qui est écrit sur les pancartes “MARRONS CHAUDS” et “VIN CHAUD”. Les marrons, c’est donc ça qui devait sentir aussi bon. “Des marrons, j’ai jamais goûté, ça a l’air bon, ça te tente ?" Je fais une petite pause avant d'ajouter avec un sourire malicieux. "Pas de risque de tâches avec ça.” Les cornets sont plutôt petits et l’avantage c’est qu’on peut le partager et picorer tranquillement tout en marchant, sans risquer de se tâcher cette fois. Mon regard balaie le reste du stand quand je remarque qu’ils proposent aussi un cinéma en plein air. “Ah mais ils ont même un cinéma en plein air, c’est génial ça.” Avec une météo aussi radieuse ça doit être plus qu’agréable de regarder un film tout en se goinfrant de friandises ou d’autres produits issus du marché de noël. Plus j’y pense et plus je me dis que ça pourrait être une bonne idée pour le reste de la soirée : aller commander tout un tas de nourriture et grignoter ça devant un film de noël pour relâcher la pression.
décembre 2022 L’amertume est clairement présente chez Iris encore, le fait d’être passé à côté de ce contrat important ayant mis un coup à son moral. Mais c’est plus de la colère qu’elle ressent pour l’heure actuelle, pas envers elle-même et Michael, mais envers cet homme qui semblait avoir fait son choix bien avant de les rencontrer. Tout argument qu’ils pouvaient avancer avait trouvé une réponse négative en retour… “On en aura d’autres ne t'en fais pas.” Elle hausse les épaules puis acquiesce doucement, peut-être peu convaincue sur l’instant, l’échec encore trop présent pour voir le positif. Elle sait qu’elle a une jeune entreprise, elle sait que cela peut effrayer certains clients mais, au fil des années – un peu plus de trois pour être exacte – elle et ses associés ont doré le blason de Archiris company. Et le petit coup de pouce indéniable de son meilleur ami, à la tête du Walker Group, avec qui elle a scellé un partenariat occasionnel aide clairement à l’image de l’entreprise. Bref, les deux compères cherchent pour l’heure à se changer les idées et cela commence par un peu de shopping car leurs tenues sont définitivement inadaptés aux conditions météorologiques mais aussi à leur envie de parcourir le marché de Noël dans une tenue plus confortable. “ça ne me surprend même plus.” La maladresse de Micah n’est plus à prouver, Iris y est habituée et en rit toujours autant. Tout comme à la réponse qu’il lui fournit lorsqu’elle lui dit qu’elle n’est pas certaine qu’il ait envie d’acheter une jupe “Non ça n’irait pas du tout avec mes chaussures.” Elle tourne doucement la tête de gauche à droite et ne peut s’empêcher de jeter un regard à ses fameuses chaussures. Non, ça n’irait définitivement pas. “Très bon choix !” Les voilà alors qu’ils se dirigent vers le Myers pour faire leurs emplettes.
“Là tout est parfait. Tu peux pas savoir à quel point je suis ravi d’être débarrassé de ce costume.” C’est au bout d’une vingtaine de minutes qu’ils retrouvent la sortie du grand centre commercial, tous deux vêtus plus légèrement et surtout flanqués d’un t-shirt de Noël, d’un bonnet du même thème pour Micah et un serre-tête renne à clochettes pour Iris. De la sorte, au vu de sa petite taille, il aura un peu moins de mal à la repérer s’ils se perdent – et il pourra l’entendre aussi, c’est parfait.
Ils parcourent les allées du marché de Noël et il semblerait que l’appel de l’estomac soit plus fort que tout le reste, attiré par les effluves émanant d’un stand un peu plus loin. “Oh ça sent bon par là-bas.” Le regard de la mexicaine se tourne vers l’endroit désigné et elle acquiesce d’un simple signe de tête “Des marrons, j’ai jamais goûté, ça a l’air bon, ça te tente ?" « Tu penses bien que je ne vais pas refuser de manger » ça compense pas mal face à la déception et c’est aussi pour cette raison qu’ils sont ici. Elle n’a jamais goûté à ce met spécialement français et sa curiosité la titille. "Pas de risque de tâches avec ça.” « Uhm, avec toi, on est à l’abri de rien » ne peut-t-elle s’empêcher de rétorquer, non sans rire doucement. « D’ailleurs, je tiendrai le cornet. Tu serais capable de le faire tomber » et ce serait un vrai gâchis. Et alors que Micah passe commande, Iris s’approche du vin chaud duquel émane des odeurs agréables « Tu as déjà goûté ? On essaye ? » Pas un verre chacun mais un verre à partager peut éviter un certain gâchis, surtout quand les deux sont loin d’être friand d’alcool. Elle passe commande à son tour et ils s’éloignent la seconde suivante du stand. “Ah mais ils ont même un cinéma en plein air, c’est génial ça.” Iris, concentré sur son verre de vin qu’elle tente de ne pas renverser – surtout quand le zigoto à ses côtés s’agite soudainement – relève cependant son regard « C’est plus pour le film ou pour la bouffe que tu vas pouvoir t’enfiler en même temps que ça te tente ? » dit-t-elle avec malice alors qu’elle s’approche pour regarder la programmation. « Il y a une séance à 19h… elle regarde sa montre qui indique qu’il est passé 17h ça nous laisse le temps de parcourir le marché et de revenir ensuite. Surtout que j’adore ce film » fait-t-elle sans pouvoir s’agiter cependant car son verre de vin finirait soit sur elle, soit sur Micah « Tiens, goûte » oui elle ne s’y risque pas la première, tendant le verre à l’attention de son ami, non sans un sourire aux lèvres « promis je goûte après » ou pas, faisant confiance à son jugement et s’il vient à lui dire que ce n’est pas bon, elle ne s’y risquera pas. En attendant qu’il trempe ses lèvres à l’intérieur, Iris parcourt le marché brièvement du regard pour trouver leur prochaine activité « Oh, regarde ! Il y a un labyrinthe là bas » lui fait-t-elle remarquer en venant saisir son bras et en l’agitant telle une enfant pour attirer son attention…
Oopsie…:
Win : Micah tenait fermement le verre de vin et échappe à une nouvelle tâche. So close : Le liquide bouge mais ne se renverse pas. En revanche, il perd un ou deux marrons au passage « Donne moi ça ! » elle lui prend le cornet pour éviter une autre catastrophe – la blague Iris, c’est de ta faute. Fail : Ce qui devait arriver arriva. Micah se retrouve avec une tache sur son pantalon. « Je suis désolée, Micah. Lo siento »
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ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
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Une fois la déception de cet entretien raté passée, nous décidons d’aller faire un tour au marché de noël. Ce n’est quand même pas un vieux con -bourré de fric certes- qui va nous mettre le moral à zéro. Alors quoi de mieux pour se remonter le moral que de manger de bonnes choses au marché de noël ? Enfin si il y a mieux, c’est à dire faire un tour au marché de noël dans une tenue adaptée, et pas en costume et en robe bien trop formelle -mais ravissante-. Ce qui justifie la proposition d’Iris d’aller d’abord faire un tour chez Myers pour changer de tenue, une proposition que je ne refuse pas, surtout après avoir fait une belle tâche sur mon pantalon à cause des tamales.
Une fois sortis de chez Myers nous sommes enfin prêts pour passer une bonne après-midi au marché de noël et pour essayer de nous changer les idées. Et même au-delà de penser à autre chose et de relâcher la pression ça me fait plaisir qu’on passe du temps ensemble. Bien sûr on se voit tous les jours au bureau, on passe énormément de temps ensemble à travailler sur des projets mais ce n’est pas pareil. A côté nous sommes quand même amis et ça m’avait manqué qu’on passe du temps déconnectés du boulot, y a de quoi me donner le sourire.
De retour au marché de noël nous déambulons quand une odeur envoûtante m’attire vers le stand français. Je fais part à Iris de ce constat et je suis plus que tenté par les marrons. « Tu penses bien que je ne vais pas refuser de manger » Là je la retrouve bien. Je lui réponds par un petit sourire amusé avant d’ajouter qu’avec les marrons au moins on ne risque pas de se tâcher. « Uhm, avec toi, on est à l’abri de rien. D’ailleurs, je tiendrai le cornet. Tu serais capable de le faire tomber » Je prends un air faussement outré avant de répondre. “Tu oses insinuer que je suis maladroit ?” Avant d’avoir un petit rire. “Bah tu as totalement raison. Bon je vais nous commander un cornet du coup.” Je suis dans la file d’attente et je l’observe regarder le vin chaud. « Tu as déjà goûté ? On essaye ? » Les boissons alcoolisées ce n’est vraiment pas mon truc alors une boisson française c’est encore moins quelque chose que je connais. J’ai quelques doutes sur le fait d’aimer ça, ça sent quand même très fort et l’odeur est beaucoup moins agréable que le punch que nous avons bu tout à l’heure. “On peut mais ça te dérange si on partage ? Histoire de ne pas gaspiller si on n’aime pas ?” Puis elle part passer commande pendant que je récupère les marrons. Juste à côté du stand quelque chose attire mon attention : un cinéma en plein air. C’est une chouette idée de profiter du beau temps et ça fait des siècles que je n’ai pas pris le temps d’aller au cinéma, alors l’idée me tente beaucoup. « C’est plus pour le film ou pour la bouffe que tu vas pouvoir t’enfiler en même temps que ça te tente ? » Elle me connaît trop bien. “Les deux ?” Nous approchons pour observer de plus près le programme des séances pour voir ce qu’ils proposent. « Il y a une séance à 19h… ça nous laisse le temps de parcourir le marché et de revenir ensuite. Surtout que j’adore ce film » 2 heures c’est plus que bien pour profiter de l’ensemble du marché de noël, peut-être même un peu long. Et surtout, je ne sais pas si mon estomac supportera deux heures de plus à se goinfrer à chaque stand du marché. “L’idée me tente bien.” Elle me tend le verre de vin chaud. « Tiens, goûte » Si je traduis bien : elle n’a pas franchement l’air emballée à l’idée de goûter ça la première, j’ai l’impression que le goût va être atroce et je me prépare à faire une tête écoeurée. “Ah bon ? L’aventurière que tu es ne veux pas goûter en premier ?” J’aime bien la taquiner, je sais qu’elle ne se vexera pas et j’aime beaucoup notre complicité. « promis je goûte après » Je viens d’attraper le verre qu’elle me tendait pour goûter le vin chaud quand je la vois s’agiter et attraper mon bras « Oh, regarde ! Il y a un labyrinthe là bas » Le liquide tremble mais -je ne sais par quel miracle- je réussis à éviter la catastrophe et seules quelques gouttes tombent par terre sans tâcher nos vêtements. “Wowowow doucement !” J’attire son attention pour qu’elle arrête de me secouer. “Et après c’est moi qu’on appelle mister oopsie hein !” La situation me fait rire, ah on ne s’ennuie jamais avec Iris. Je regarde dans la direction qu’elle m’indique et je vois la pancarte qui annonce le labyrinthe. L’idée est plutôt drôle et je pense que pour le bien de mon estomac c’est une bonne solution. “On peut aller y faire un tour oui, mais on devrait d’abord finir notre verre” Je prends une première gorgée avant de faire une drôle de tête : effectivement c’est bien ce que je pensais, je n’aime pas du tout, c’est même écœurant. “Ah, oui…hum bon c’est spécial ce truc.” Je croise les doigts pour qu’elle aime et qu’elle décide de tout finir, sinon tant pis on le jettera.
Nous nous dirigeons vers le labyrinthe et je décide de me lancer pour choisir la première direction. “Hum je pense qu’on devrait aller à droite !” Mon sens de l’orientation est aussi performant que ma capacité à manger sans me tâcher alors je sens qu’on est loin d’être sortis de ce truc, heureusement que le film n’est que dans deux heures.
Spoiler:
Win : La droite était un bon choix pour travers le labyrinthe, nous sommes sur la bonne voie So close : La droite n’était pas un choix idéal mais il est possible de se rattraper rapidement Fail : Il fallait partir à gauche, rien n’est perdu mais ça part mal.
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TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 16/12/2014
décembre 2022 “Tu oses insinuer que je suis maladroit ?” C’est lui qui le dit, pas elle, et c’est pour cette raison qu’elle hausse les épaules d’un air faussement innocent. “Bah tu as totalement raison. Bon je vais nous commander un cornet du coup.” Qu’il réagisse comme ça ne manque pas de la faire rire, le suivant ensuite jusqu’au stand de marrons. C’est à cet instant qu’elle repère – ou plutôt sent – l’odeur de vin chaud et, même si celle-ci est particulière, cela éveille suffisamment sa curiosité pour qu’elle soit tentée d’y goûter. Qui sait, ils ne seront peut-être pas déçu “On peut mais ça te dérange si on partage ? Histoire de ne pas gaspiller si on n’aime pas ?” « Excellente idée ». Il serait dommage de gâcher un verre supplémentaire, surtout quand on sait que les deux sont peu friands de boissons alcoolisées. Et ce serait prendre un risque inutile quand ils ne connaissent absolument pas les saveurs du vin chaud et, si jamais, leurs papilles venaient à l'apprécier, ils auraient tout le loisir de reprendre un verre de plus. Les mets commandés, Michael voit que des séances de cinéma en plein air sont proposées. Il propose à Iris qu’ils s'en fassent une et la mexicaine ne peut s’empêcher de le taquiner en lui demandant s’il est vraiment intéressé par le film ou plus par cette possibilité de pouvoir s’empiffrer durant tout le long de celui-ci “Les deux ?” Elle rit et, elle ne peut le nier, si elle accepte à son tour, c’est pour ces deux mêmes raisons. Pas étonnant qu’ils s’entendent aussi bien. “L’idée me tente bien.” Ils iront à la séance de 19h, ce qui leur laisse le temps de profiter pleinement du marché de Noël, en attendant.
Et de déguster ce verre de vin chaud – qui ne risque pas de refroidir au vu de la chaleur encore écrasante qu’il fait à cette heure-ci de l’après-midi. “Ah bon ? L’aventurière que tu es ne veux pas goûter en premier ?” « Non, je te laisse le rôle de l’aventurier pour cette fois » fait-t-elle toujours avec cet air angélique auquel il est tout à fait en droit de ne pas croire. Et alors qu’elle observe autour d’elle, Iris repère un labyrinthe de pain d’épices qui lui semble être une excellente idée pour passer le temps avant le début du film. Elle secoue le bras de Micah pour lui montrer sa trouvaille mais il manque de se renverser le verre de vin chaud sur lui. “Wowowow doucement !” Mais catastrophe évitée de justesse, Iris grimace avec un air désolé “Et après c’est moi qu’on appelle mister oopsie hein !” « Je suis désolée, Micah » Il a raison, pour le coup, c’est elle qui fait preuve de maladresse et il aurait été bien dommage que Michael finisse encore avec une tâche, quand ils sortent tout juste d’une mini séance de shopping pour les mêmes raisons. “On peut aller y faire un tour oui, mais on devrait d’abord finir notre verre” Elle acquiesce, laissant alors son ami déguster le verre d’alcool, plissant des yeux alors qu’elle attend son verdict – elle ne manque pas de remarquer ce léger air de dégout qui vient déformer ses traits “Ah, oui…hum bon c’est spécial ce truc.” « C’est pas bon, c’est ça ? » Iris prend alors le verre de la main de Micah et porte celui-ci à ses lèvres. L’odeur est d’autant plus forte rien qu’en approchant le nez du gobelet, quant au gout « Ok, ce n’est définitivement pas pour moi » fait-t-elle après avoir bu à peine une gorgée, tendant à nouveau le verre à Micah « Finis-le, toi ». Elle n’en prendra pas une goutte de plus, c’est certain.
Après cette dégustation ratée, les deux amis et associés prennent la direction du labyrinthe. Une fois l’entrée de celui-ci passé, Michael prend les devants “Hum je pense qu’on devrait aller à droite !” Iris le suit sans mot dire et ils n’exécutent que quelques pas pour se rendre compte qu’ils sont dans la mauvaise direction « Il y a un domaine dans lequel tu es bon, Ackerman ? » ne peut-t-elle s’empêcher de le taquiner alors qu’ils bifurquent du bon côté cette fois. Ils marchent à nouveau quelques pas, doivent faire un premier puis un deuxième choix de direction, ceux qu'ils font avec succès. Et alors qu’ils bifurquent à droite une nouvelle fois « Dios mio » un énorme pain d’épices sort de nulle part et ne manque pas de faire sursauter Iris qui vient à s’accrocher au bras de son ami. Elle ronchonne dans sa barbe en espagnol – signe qu’elle est légèrement en colère de la peur bleue que ce pantin vient de lui donner, avant de retrouver ses esprits « Bon, partons par-là ». Ils ne sont qu’à la moitié à peine du chemin et déjà, on ressent une certaine impatience chez la jeune femme … mauvaise joueuse vous dites ?
Spoiler:
Win : au bout d’une bonne demi-heure, ils parviennent à sortir du labyrinthe « On est pas une si mauvaise team finalement », clin d’œil évidemment à leur début de journée chaotique avec le client dont on ne citera plus le nom. So close : au bout d’une quarantaine de minutes, ils pensent être près du but – et de la sortie surtout mais, en réalité… ils ont encore un bon bout de chemin à parcourir. Fail : plus d’une heure qu’ils tournent en rond et quand ils pensent afin être arrivés à la sortie « Je rêve ! » Non, elle ne rêve pas, c’est presque un retour à la case départ – en réalité, ils se retrouvent en plein centre du labyrinthe… une fois de plus. En voilà une qui râle encore et qui s’impatiente
codage par aqua
Spoiler:
Je suis vraiment vraiment désolée pour le retard
Dernière édition par Iris Castillo le Dim 26 Fév 2023 - 21:31, édité 2 fois
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 16/12/2014
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'dé action' :
Kendall Harding
la traversée du désert
ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0
TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légalesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : (maj le 5/09/2024)
Barbie et Ken #6 > I hate you, I love you. I hate that I love you. Don't want to, but I can't put nobody else above you #1 > #2 > #3; #4; #5; #6
I'll be there for you, when the rain starts to pour. I'll be there for you, like I've been there before. I'll be there for you, 'cause you're there for me too... > Shiloh #1 ; Lewis #1
Arthur #1 ; Arthur #2AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell Sutton PSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 06/04/2022
“Excellente idée » Je suis ravi qu’elle accepte que l’on partage le verre de vin chaud parce que l’expérience ne me tente pas beaucoup. Les odeurs qui s’en dégagent sont agréables mais j’émets de gros doutes sur le fait que toutes ces épices combinées à une boisson alcoolisée chaude soit un bon mélange. Je pense que si elle avait proposé qu’on prenne chacun le sien j’aurais refusé et je l’aurais laissée toute seule sur ce coup-là. Elle préfère que je goûte en premier et ça me fait rire, où est passé son esprit d’aventurière ? « Non, je te laisse le rôle de l’aventurier pour cette fois » Je secoue la tête avec un petit sourire. « Bon je m’y colle en premier alors. » Je regarde le gobelet sans trop de convictions et alors que j’allais goûter Iris secoue mon bras pour me montrer quelque chose, provoquant de grosses secousses qui me font renverser quelques gouttes par terre. Ouf la catastrophe est évitée et je ne suis pas tâché, mais c’est pas passé loin. J’en profite pour la charrier, parce que d’habitude c’est elle qui me fait remarquer ma maladresse. « Je suis désolée, Micah » Il y a plus grave, et puis ce n’est pas comme si renverser du vin chaud était une grosse perte. « Mais non c’est rien t’en fais pas. » Je lui propose ensuite d’aller faire un tour dans ce fameux labyrinthe de pain d’épice mais avant ça il serait plus sage de finir notre verre avant d’éviter une bêtise. Je n’ose même pas imaginer la galère que ça doit être pour faire partir une tâche comme ça sur des vêtements. Je goûte donc et effectivement c’est aussi mauvais que ce que j’imaginais. Pour rester poli je réponds que c’est spécial pour ne pas dire immonde. « C’est pas bon, c’est ça ? » Je lui passe ensuite le verre pour qu’elle goûte à son tour. « Disons que je n’aime pas plutôt. » C’est peut-être bon pour des amateurs de vin, mais de mon côté ce n’est pas mon truc. « Ok, ce n’est définitivement pas pour moi » Je reprends le verre, effectivement on a bien fait de n’en prendre qu’un. « Finis-le, toi » Je regarde le verre avant de lâcher un petit soupir. « Bon d’accord mais c’est vraiment pour ne pas gaspiller. » Je finis le verre d’un trait parce que je sais bien que si je traine trop ça sera encore pire pour finir le verre. Finalement je regrette qu’Iris n’ait pas renversé davantage de vin tout à l’heure.
Nous entrons après cet échec dans le labyrinthe qu’Iris a tant envie de visiter. Si j’étais venu tout seul je n’y aurais jamais mis les pieds mais je vois que ça lui ferait extrêmement plaisir qu’on fasse cette activité ensemble, alors je fais un effort. Je prends l’initiative et nous allons à droite, forcément dans le mauvais sens. « Il y a un domaine dans lequel tu es bon, Ackerman ? » Je la suis lorsqu’elle nous redirige dans la bonne direction. « J’ai jamais dit que j’avais un bon sens de l’orientation. » Je réponds avec un sourire amusé. J’ai toujours eu un très mauvais sens de l’orientation, si je n’avais pas de gps je serais complètement perdu au quotidien. « Dios mio » Elle sursaute et s’accroche à mon bras en voyant un bonhomme de pain d’épices et j’ai un léger mouvement de recul aussi à cause de la surprise. « Je m’attendais pas à voir un truc comme ça non plus. » Bon visiblement c’était une fausse piste, il faut changer de trajet et je sens que ça va être très long. « Bon, partons par-là » Je la suis et au bout de plusieurs dizaines de minutes et j’ai l’impression que nous touchons au but. Mais c’est une énorme déception quand nous tombons -encore- nez à nez avec un mur. « Non mais c’est pas possible. » Foutu labyrinthe. J’ai dû mal à dire combien de chemin il nous reste à parcourir, sûrement une bonne moitié mais difficile de faire une estimation précise. Je commence à regretter, on aurait été mieux assis sur un banc au soleil en attendant la séance de cinéma. Je sens bien qu’Iris est tendue et je commence à m’agacer aussi. Soudain j’entends des voix non loin de nous et je me dis qu’aller demander de l’aide ne serait pas une mauvaise idée. « Suis moi on va leur demander. » Et j’attrape sa main pour l’entraîner vers le groupe que nous entendons non loin. Main dans la main nous les trouvons rapidement, des ados qui doivent avoir 15 ou 16 ans à tout casser, pas plus. Bon ce n’est pas forcément le genre de personne que j’espérais voir mais bon, ils sont peut-être plus dégourdis que nous. « Ah vous tombez bien, je crois qu’on a besoin d’aide ! »
Spoiler:
Win : Les ados sont effectivement bien plus doués pour s’orienter dans un labyrinthe que les deux compères architectes et le petit groupe trouve rapidement la sortie du labyrinthe. So close : Les ados sont une aide pour sortir du labyrinthe mais ne sont pas non plus des experts, ils aident cependant Iris et Mica à sortir du labyrinthe mais cela prend du temps. Fail : Les ados ne font qu’embrouiller davantage les deux amis qui sont loin d’être tirés d’affaire. Retour à la case départ
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 16/12/2014