ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
(janvier) “Pourquoi est-ce que c’est déjà le second à t’appeler Weatherton ?” Je demande, curieux et intrigué à la suite du passage d’une énième petite souris de l’atelier qui n’a de cesse de demander qui est Flora Weatherton, et si j’ai pu passer ça sous le coup d’une simple étourderie à en juger par le nom même du créateur de la maison, je finis par ne plus croire en cette hypothèse moi-même. Elle répond avec bien trop d’assurance et bien trop de naturel, comme si elle avait été habituée toute sa vie durant à voir son nom de famille se confondre avec un autre ; comme s’il n’y avait que pour moi, finalement, que rien ne faisait le moindre sens. Je me moque de bien des choses, bien souvent, mais sur certains sujets je suis bien trop peu capable de laisser une part d’ombre exister et s’étendre et faire comme si de rien n’était. Mon ton n’accable personne, mon sourire prouve que je le prends encore largement sous le signe d’une blague, et pourtant les yeux que je garde ancrés dans ceux de Flora prouvent bien que j’attends une véritable réponse de sa part et qu’il n’y a rien qui pourrait me faire changer d’avis.
L’atelier est en plein effervescence, les différentes robes et accessoires et autres tenues reviennent peu à peu de Paris et du défilé. Elles sont inventoriées, soignées, stockées, consignées. Tout le monde s’affaire, le travail est immense, et pourtant je n’ai aucune honte à accaparer l’attention de la jeune femme, n’ayant jamais rien inventé à son égard quand je disais la trouver fascinante. Maintenant, elle le sait, tout comme elle se doute que cela ne s’arrête pas à l’aspect charnel, la seule nuit que nous ayons passé ensemble remontant à plus d’un mois déjà. Les récents événements me laissent penser qu’elle ne se conjuguera pas au pluriel et même si j’en tiens un excellent souvenir, peut-être qu’une part de moi estime déjà que c’est pour le meilleure ; James n’aimerait pas que je touche à ses petites mains dans l’atelier, et de mon côté je ne cherche pas à le contenter, mais je cherche au moins à éviter un sujet de dispute quand je le peux. Je ne la détournerai pas de son travail outre mesure, voilà tout ce que j’en pense, et voilà tout ce qui ne m’empêche en rien d’entamer une discussion. Je pourrais le faire avec n’importe quel autre employé, qui plus est, si tant est que j’en avais la moindre envie. Qui plus est, mon alliance trône plus que jamais à mon doigt. “Tu n’as pas vraiment l’air de t’appeler Norman ou James, sans vouloir te vexer.” Mais ça, les deux hommes en question le savaient, puisqu’ils l’ont appelé Flora, et c’est une nouvelle interrogation qui ne fait que donner davantage de poids aux précédentes, et à mon désarroi le plus total.
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Flora Constantine
la petite souris
ÂGE : trente-et-un ans (21.07.1993) SURNOM : flo sonne comme une évidence, elle entend également constantine de temps à autre STATUT : elle a du mal à y croire mais flirte le parfait amour avec Elijah. il est celui dont elle a toujours rêvé, et il fait d'elle la plus heureuse des petites souris MÉTIER : ses rêves abandonnés, elle est à présent barista au dbd en journée et barmaid à l'electric playground le soir LOGEMENT : au #03 james street à fortitude valley. elle partage cet appartement avec Millie, des cochonneries entassées dans les placards et de précieux rouleaux de tissus dans un coin du salon POSTS : 526 POINTS : 0
TW IN RP : ptsd, achluophobie, maladie, deuil. mentions : overdose, addiction, drogue, relation abusive GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : née à Sydney, elle vit à Brisbane depuis ses six ans › terrible cuisinière, elle mange toutes les cochonneries qui lui tombent sous la main › rêve de devenir styliste › elle a développé une peur phobique de l'obscurité suite à un accident de voiture › artiste, elle passe des heures à dessiner tous les jours › elle adore les animaux, peu importe qu'ils soient mignons ou non › maladroite, deux pieds gauches et un sourire innocent pour s'excuser d'avoir renversé votre café › elle rêve de voyages et d'évasion › très douce, grande enfantDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7380B5 RPs EN COURS :
ELIORA › you still know of dawn, but you always return. when you hid under my black wings, they couldn't have protected you from anything. once in flight they would have let go. you would have once again wound up below. only broken, indeed, its wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light.
CONSTANTINE › under the surface, you don't know what you'll find until it's your time. no second chances but all we can do is try. i made up my mind. i can't see you but i hear your call. baby, hold on now, we're going home. if we make it or we don't, we won't be alone. if you're waiting all your life, you won't ever go. when I see your light shine, i know i'm home.
Elle ne pensait pas le voir aujourd'hui, Flora. Elle apprécie sa compagnie, ses grands yeux bruns qui la scrutent et son éternel air désinvolte qui se déride lorsqu'il se risque à sourire, mais elle ne s'attendait pas à le voir déambuler dans les couloirs de Weatherton en pleine heure de pointe. Ils sont nombreux à s'affairer pour orienter chaque pièce revenue tout droit de Paris vers son espace de stockage, pour s'aider les uns les autres dans les tâches leur ayant été réparties, et elle aurait cru que cette effervescence n'était pas une dans lesquelles l'artiste voulait se retrouver. Ses yeux chocolat s'étaient arrêtés sur Auden uniquement pour l'informer qu'aucun cagibi n'avait été préalablement préparé pour le recevoir, et elle avait dans un premier temps cru que l'italien aurait continué sa route en la gratifiant d'un air réprobateur - mais il s'était installé à ses côtés, et avec la facilité gagnée au fil de leurs rencontres, les deux bruns s'étaient mis à papoter entre deux consignes. Flora aimait leurs retrouvailles impromptues, l'esprit aussi troublant qu'attrayant de l'italien, et elle avait continuellement l'impression d'apprendre un peu davantage à le connaître. Ils s'étaient même retrouvés, sans vraiment s'être orientés sur cette voie dès le départ, à coucher ensemble le mois dernier - et si le moment avait été tout ce qu'ils avaient pu en attendre, Flora n'était pas certaine qu'ils recommenceraient. Ce qui ne la frustrait pas, même si elle ne refuserait pas de retrouver sa peau si la proposition lui en était faite. “Pourquoi est-ce que c’est déjà le second à t’appeler Weatherton ?” Elle redresse le regard vers lui, abandonnant une seconde l'étiquette de la robe sur laquelle elle appuie la mine de son stylo bille. Son sourire s'amuse et sa commissure s'étire, son attention se reportant à la dérobée sur un employé à qui elle confie la tenue. « Je les encourage à continuer en y répondant. » lance-t-elle d'un air faussement distrait, tombant pour le sourire habituel de celui à ses côtés sans se douter qu'il puisse être de façade. Le nom de la maison lui avait été attribué très tôt - enfin, celui de James, et la demoiselle n'avait pas cherché à s'en défaire. Flora pose son stylo après l'avoir protégé de son capuchon - une trace ferait désordre sur n'importe lequel de ces tissus, et ses yeux retrouvent avec plus d'attention ceux qui se préoccupent d'un détail, pour elle, insignifiant. “Tu n’as pas vraiment l’air de t’appeler Norman ou James, sans vouloir te vexer.” Loin de s'offenser, elle hausse mollement les épaules en agrémentant sa réaction d'une moue. Être associée à son oncle ou son cousin ne serait jamais vu comme quelque chose de péjoratif, et Auden avait pris le temps d'apprendre à la connaître sans le faire uniquement sous ce prétexte - raison pour laquelle, à présent, elle ne voyait aucun problème à lui partager ce petit détail la concernant. « Weatherton n'est pas mon nom mais celui de mon cousin. » avoue-t-elle sans se défaire de son léger sourire, prête à s'amuser de la surprise du peintre - mais loin d'en imaginer l'ampleur ou les conséquences. « James. » précise-t-elle dans le soucis de ne pas laisser place à un quelconque doute maintenant qu'elle lui partageait cette information, se reportant l'instant suivant sur une nouvelle consigne fraîchement apportée par une petite main. « Ce n'est un secret pour personne - alors Constantine ou Weatherton, je réponds aux deux. » Flora se reporte sur lui sans croiser son regard, lui confiant un cintre pour qu'il tienne une robe sur laquelle elle ajuste le tombé, l'en débarrassant peu après pour la remettre à un énième employé. « Est-ce que ça va ? » s'inquiète-t-elle en retrouvant son regard, jurant l'avoir vu moins pâle il y a quelques secondes.
rainmaker
the innocence of my lips ☽ smear the innocence of my lips, feel you bruising me its boundless, you kill me and show me a world i feel whole in, never felt closer to demise, floating over all the stop signs and still i write pages of promise and cadence its quite alright baby
Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
« Je les encourage à continuer en y répondant. » Ce n’est pas la réponse que j’attends pour autant, et elle le sait très bien. Mon pourquoi ne portait pas en ce sens là. Je sais très bien qu’elle y répond, ce n’est pas une surprise. Ce que je ne sais toujours pas, c’est pourquoi autant semblent avoir ce réflexe là où, pour ma part, je n’aurais jamais eu une telle idée. Elle ne se fait pas appeler ainsi parce qu’elle travaille chez Weatherton: les autres employés n’ont nullement ce traitement de faveur. Alors, je questionne, je cherche à comprendre et, surtout, je ne dégage pas mon regard du sien avant d’avoir obtenu la réponse désirée. Sans donner plus d’importance à ma question, ce que je n’ai aucun mal à comprendre, la jeune femme continue de travailler sur la robe sous ses yeux, à laquelle je ne dédie pas le moindre regard. « Weatherton n'est pas mon nom mais celui de mon cousin. » Les mots arrivent, la sentence tombe et pendant un instant je crois à une blague de mauvais goût. J’accuse le coup, ai besoin d’une seconde pour accepter la nouvelle, et fronce tout de même des sourcils. “Pardon ?” Elle en sourit. Ce n’est pas mon cas. Loin de là. « James. » - “Ouais, ça j’avais compris.” Je réponds abruptement, n’appréciant pas qu’elle enfonce le couteau dans la plaie, quand bien même elle ignore sûrement même l’existence et la raison de ce dernier.
« Ce n'est un secret pour personne - alors Constantine ou Weatherton, je réponds aux deux. » Les mots de la jeune femme dont du sens, je suis bien obligé de l’avouer, mais ils sont bien loin de toute vérité que je pensais avoir à écouter. Ils surgissent de nulle part et, surtout, ils rebattent totalement la donne, sans que ce soit à l’avantage de qui que ce soit. Mon regard fébrile passe de son oeil droit à celui de gauche, encore et encore, comme si j’espérais qu’elle finisse par m’avouer que tout n’est qu’une blague et que non, bien sûr que non elle ne partage pas de sang en commun avec lui. « Est-ce que ça va ? » Ce n’était un secret pour personne sauf pour Auden. Et maintenant, cela doit devenir un secret pour tout le monde. Absolument tout le monde. “T’as déjà parlé de moi à quelqu’un ?” Je cherche à savoir, toute sorte d’ironie ou de joie ayant été éclipsée de mon ton de voix. La conversation est plus sérieuse que jamais, et Flora n’aura aucun mal à le comprendre, bien qu’elle puisse être étrangère aux raisons de ce changement. “De nous ?” Il n’y a pas de nous à proprement parler, je serais bien le dernier à le penser, mais elle est bien placée pour savoir ce dont je parle. Je ne l’imagine pas coucher avec le premier venu, encore moins avec beaucoup d’employés de la maison, et je veux savoir si elle a eu ne serait-ce l’idée d’en parler à sa coloc pendant une soirée pyjama - c’est ce que font les femmes, non ? “T’es proche de lui ?” Ce n’est pas tant de sa coloc que je me méfie, et pour James le terme ‘se méfier’ n’est pas approprié non plus, mais c’est pourtant de lui que je compte tenir cette information la plus éloignée que possible. Il ne doit pas l’apprendre. Jamais.
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Flora Constantine
la petite souris
ÂGE : trente-et-un ans (21.07.1993) SURNOM : flo sonne comme une évidence, elle entend également constantine de temps à autre STATUT : elle a du mal à y croire mais flirte le parfait amour avec Elijah. il est celui dont elle a toujours rêvé, et il fait d'elle la plus heureuse des petites souris MÉTIER : ses rêves abandonnés, elle est à présent barista au dbd en journée et barmaid à l'electric playground le soir LOGEMENT : au #03 james street à fortitude valley. elle partage cet appartement avec Millie, des cochonneries entassées dans les placards et de précieux rouleaux de tissus dans un coin du salon POSTS : 526 POINTS : 0
TW IN RP : ptsd, achluophobie, maladie, deuil. mentions : overdose, addiction, drogue, relation abusive GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : née à Sydney, elle vit à Brisbane depuis ses six ans › terrible cuisinière, elle mange toutes les cochonneries qui lui tombent sous la main › rêve de devenir styliste › elle a développé une peur phobique de l'obscurité suite à un accident de voiture › artiste, elle passe des heures à dessiner tous les jours › elle adore les animaux, peu importe qu'ils soient mignons ou non › maladroite, deux pieds gauches et un sourire innocent pour s'excuser d'avoir renversé votre café › elle rêve de voyages et d'évasion › très douce, grande enfantDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7380B5 RPs EN COURS :
ELIORA › you still know of dawn, but you always return. when you hid under my black wings, they couldn't have protected you from anything. once in flight they would have let go. you would have once again wound up below. only broken, indeed, its wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light.
CONSTANTINE › under the surface, you don't know what you'll find until it's your time. no second chances but all we can do is try. i made up my mind. i can't see you but i hear your call. baby, hold on now, we're going home. if we make it or we don't, we won't be alone. if you're waiting all your life, you won't ever go. when I see your light shine, i know i'm home.
Elle ne se doute pas une seule seconde de la portée de l'aveu qu'elle s'apprête à lui faire. Comment le pourrait-elle ? Ils parlent de choses et d'autres à chacune de leurs entrevues, rebondissent sur des détails insignifiants et s'appliquent ensemble à les rendre captivants, et Flora est prête à en partager concernant l'histoire de Weatherton pour transformer leur moment en l'un de ceux qu'ils savent si bien embellir. Elle est prête à le faire, mais la façon dont le visage de l'italien change et celle dont son regard se fait plus sérieux l'en dissuade - que lui arrive-t-il ? “Pardon ?” Il ne plaisante plus - déjà qu'il ne plaisante pas souvent, même si elle aime se vanter de parvenir à le faire sourire à des idioties. Soucieuse de l'apaiser et corriger ce malentendu, Flora se fait plus précise dans ses explications. à tord. Elle ne fait visiblement qu'enfoncer un couteau dans une plaie dans elle ignore l'existence, celle-ci s'avérant en plus de ça particulièrement vive. “Ouais, ça j’avais compris.” et en répondant ainsi, le brun achève de capter son sérieux. Elle s'interrompt dans ses gestes, fronçant légèrement les sourcils et levant brièvement les mains en signe de rédemption. « Je pensais pas que ça te dérangerait autant que je sois pistonnée. » déduit-elle d'un ton un peu moins tendre à son tour, plus bas également, même s'il n'est pas rancunier pour autant. Simplement surpris, à raison. Elle repose ses mains sur les robes, haussant les épaules. « et si tu connais un peu James, tu devrais savoir que c'est pas dans son genre. » Parce-que favorisée, elle l'avait été seulement pour pouvoir travailler dans la maison sans un cv long comme le bras. Pour le reste, Flora plus que quiconque ici devait faire ses preuves. Elle n'était pas déjà styliste ou au sommet de son art, loin de là, et trimballait bien plus souvent des dossiers d'un étage à un autre qu'elle ne passait de temps à se perfectionner dans les ateliers.
Il ne lâche pas son regard et elle le soutient sans vraiment savoir pourquoi - peut-être parce qu'elle ne se juge pas coupable de ce qu'il semble, brusquement, lui reprocher en se comportant ainsi. Ses sourcils toujours sensiblement froncés, ses mains s'affairent plus lentement sur les tissus qui maculent la table face à elle, et Flora s'y reporte d'un drôle d'air après lui avoir demandé s'il allait. “T’as déjà parlé de moi à quelqu’un ?” Alors maintenant, il est vraiment suspect. Elle termine l'étiquette sur laquelle elle a commencé à noter des informations, relevant une imperfection sur le tissu et l'orientant vers les ateliers pour y parer, puis se débarrasse pour de bon de son stylo. Elle croise mollement les bras sur sa poitrine et se tourne vers lui, secouant la tête d'un air désabusé toujours sans comprendre où il veut en venir. “De nous ?” - « Je peux savoir ce que ça vient faire là-dedans ? » Elle est coopérative d'ordinaire, Flora. Elle répond aux questions après les avoir contourné pour le plaisir, et n'en pose de nouvelles qu'après que les premières aient été assouvies. Mais pas cette fois, et elle est persuadée de ne pas avoir en sa connaissance un élément capital de cette conversation - qu'est-ce qui justifierait sa réaction si pas un détail très important ? “T’es proche de lui ?” Elle garde le silence et essaie de répondre à ses propres interrogations en parcourant ses yeux chocolat. À se comporter ainsi, il lui ferait presque croire être le voleur auquel elle l'avait comparé lors de leur rencontre. Pourquoi se souciait-il de savoir si James et elle étaient proches ? « Assez. » lui accorde-t-elle toujours sans comprendre. « Il est comme un frère pour moi. Auden - qu'est-ce qui se passe ? » poursuit-elle d'une voix plus basse, concernée. Un peu de contexte, c'est tout ce qu'elle lui demande. Aux yeux de tous, ses rapports avec James sont particulièrement stricts et le directeur artistique ne lui fait pas le moindre cadeau. Dans l'intimité de leur relation, ils sont bien plus proches et bienveillants, mais ça ceux qui les entourent n'ont pas à le savoir.
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ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
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damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
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« Je pensais pas que ça te dérangerait autant que je sois pistonnée. » Elle a le cran de me répondre sans se démonter, mais ce n’est pas pour autant qu’elle vise juste. J’apprécie les caractères comme le sien, je ne dis pas le contraire. Ce que je dis, c’est qu’elle se retrouve désormais au milieu d’une situation et de tout un contexte dont elle ne peut rien comprendre, parce qu’elle en ignore tout. “C’est pas le sujet.” Je me moque de la façon dont elle a pu obtenir un travail à Weatherton, que ce soit grâce à ses compétences ou à la cuillère en argent obtenue à la naissance. Ce ne sont pas mes oignons, et si je me garde de tout commentaire, ce n’est pas pour être désagréable. « et si tu connais un peu James, tu devrais savoir que c'est pas dans son genre. » Je sais quel est le genre de James, pour le travail, ou pour tout le reste, tout comme je sais qu’elle a obtenu ce travail parce qu’elle vaut quelque chose et non parce qu’ils ont du sang en commun. Mais encore une fois, la vie de Flora est le cadet de mes soucis. Elle feint déjà de retourner à son travail, justement, alors que de mon côté je sais que la discussion ne fait que commencer et que le coeur du sujet n’a même pas été abordé encore.
Alors, j’interroge, je cherche, je fouille. Je veux savoir ce qu’elle a déjà partagé à d’autres et, surtout, je veux trouver un moyen que cela ne s’ébruite pas davantage. « Je peux savoir ce que ça vient faire là-dedans ? » Les gens devraient apprendre que répondre à une question par une autre n’est définitivement pas le but recherché, et c’est bel et bien la raison pour laquelle je souffle un instant. Face à elle, je ne cherche pas à prétendre être le good cop du coin. “Réponds juste aux questions.” Ce sera plus simple et plus rapide, pour tout le monde. C’est ce qu’elle recherche autant que moi, sans même le savoir. Et puisqu’elle ne semble pas encline à répondre aux premières, j’en improvise une nouvelle, pour désormais lui demander si elle est proche de son cousin. Je préférerais une réponse négative, ce qu’elle ne m’apporte pas. « Assez. Il est comme un frère pour moi. Auden - qu'est-ce qui se passe ? » Fait chier. Voilà tout ce que j’ai à dire: ça fait chier. Si elle s’estime proche de lui, alors je devine aisément qu’il l’estime en retour, parce qu’il a un regard différent sur les membres de sa famille que sur le reste du monde. “Il faut pas qu’il l’apprenne. Pour nous deux.” Je finis par statuer, aussi simplement que cela, mes doigts remontant le long de mes cheveux alors que je penche la tête en avant et souffle longuement à nouveau, pour des raisons bien différentes. “Tu sais que je travaille avec lui mais on est aussi… proches, tous les deux.” De toute évidence, je ne parle pas de la même proximité qu’elle entretient avec le créateur, et mes mots autant que ma réaction ne laissent peu de place au doute. Je ne cherche pas à m’étendre sur le sujet ni à en parler outre mesure. Cela n’a rien d’un secret, tout comme cela n’a rien d’un faire valoir non plus. Les choses sont simplement ainsi. “Et il tient sa famille en estime autant que je le fais avec la mienne.” Ce qui veut simplement dire que j’imagine aisément sa réaction s’il venait à apprendre pour nous deux, et ce n’est pas quelque chose que je cherche à faire exister, d’une façon ou d’une autre. “Et si j’avais su que tu étais de la sienne, j’aurais jamais joué à ça avec toi.” Je ne me serais pas empêché de lui parler, parce que j’apprécie sincèrement la jeune femme, mais jamais ô grand jamais les choses n’auraient été plus loin et, au contraire, j’aurais sûrement trouvé le moyen de rendre James fou en sous-entendant des faits qui n’auraient jamais existé. Mais dans la réalité des choses, ces faits sont bel et bien existé, et je ne risque pas d’être celui qui vendra la mèche un jour.
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Flora Constantine
la petite souris
ÂGE : trente-et-un ans (21.07.1993) SURNOM : flo sonne comme une évidence, elle entend également constantine de temps à autre STATUT : elle a du mal à y croire mais flirte le parfait amour avec Elijah. il est celui dont elle a toujours rêvé, et il fait d'elle la plus heureuse des petites souris MÉTIER : ses rêves abandonnés, elle est à présent barista au dbd en journée et barmaid à l'electric playground le soir LOGEMENT : au #03 james street à fortitude valley. elle partage cet appartement avec Millie, des cochonneries entassées dans les placards et de précieux rouleaux de tissus dans un coin du salon POSTS : 526 POINTS : 0
TW IN RP : ptsd, achluophobie, maladie, deuil. mentions : overdose, addiction, drogue, relation abusive GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : née à Sydney, elle vit à Brisbane depuis ses six ans › terrible cuisinière, elle mange toutes les cochonneries qui lui tombent sous la main › rêve de devenir styliste › elle a développé une peur phobique de l'obscurité suite à un accident de voiture › artiste, elle passe des heures à dessiner tous les jours › elle adore les animaux, peu importe qu'ils soient mignons ou non › maladroite, deux pieds gauches et un sourire innocent pour s'excuser d'avoir renversé votre café › elle rêve de voyages et d'évasion › très douce, grande enfantDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7380B5 RPs EN COURS :
ELIORA › you still know of dawn, but you always return. when you hid under my black wings, they couldn't have protected you from anything. once in flight they would have let go. you would have once again wound up below. only broken, indeed, its wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light.
CONSTANTINE › under the surface, you don't know what you'll find until it's your time. no second chances but all we can do is try. i made up my mind. i can't see you but i hear your call. baby, hold on now, we're going home. if we make it or we don't, we won't be alone. if you're waiting all your life, you won't ever go. when I see your light shine, i know i'm home.
“C’est pas le sujet.” Alors quoi, quel est le sujet si pas celui-ci ? Il parle bien Auden, mais s'exprime terriblement mal. Il est inspirant à propos d'un tas de choses, la fait se pendre à ses lèvres en quelques mots, puis tout aussi simplement décrocher en butant sur des faits simples. Elle ne lui demande pas de parler à coeur ouvert, de se confier sur sa vie privée ou de lui avouer ses pires péchés - du moins, ce n'est pas l'impression qu'elle a compte tenu de ce qu'elle sait. Mais l'italien se renferme sur lui-même, occulte ceux qui l'entourent, et tient à conserver un ascendant qu'il a déjà perdu sur la conversation qu'ils entretiennent. et aussi simplement que ça, Flora se détourne de lui pour se focaliser sur les gestes qu'exécutent machinalement ses mains sur les tissus qui défilent sur la table. S'il veut éclairer sa lanterne, elle conserve une oreille tendue dans sa direction. “Réponds juste aux questions.” - « Change de ton. » souffle-t-elle sans le regarder, juste assez fort pour qu'il l'entende mais pas avec pour but de le provoquer - simplement pour le freiner dans sa démarche. Elle ne se démonte pas la brunette, sûrement trop peu consciente de son tempérament plus sanguin - elle n'y a jamais été confrontée. Mais même si cela venait à être le cas, elle doute s'assouplir pour autant. Elle est gentille Flora, adorable même, un peu naïve, mais pas du genre à plier face à l'impolitesse et le caractère pouvant se révéler acariâtre de ses interlocuteurs. et peu importe que l'italien incarne un artiste qui l'inspire et la fascine particulièrement, elle attend de lui le même respect que celui dont elle l'afflige. Cela devrait être dans ses cordes.
“Il faut pas qu’il l’apprenne. Pour nous deux.” À la façon dont ses traits changent, celle dont ses doigts remontent dans ses cheveux et dont un souffle franchit la barrière de ses lèvres, Flora accepte de le considérer avec plus de sérieux et de bienveillance. Qu'est-ce qui peut bien le faire réagir de la sorte ? Pourquoi est-ce si grave que James soit son cousin et qu'il ne la considère pas comme n'importe quelle petite main de la maison ? Un quelconque traitement de faveur ne le ferait pas s'apitoyer ainsi - autant que Auden Williams puisse s'apitoyer. “Tu sais que je travaille avec lui mais on est aussi… proches, tous les deux.” Elle a besoin de quelques minutes pour analyser l'information. Ils sont proches. Proches, mais pas de la même façon dont elle est proche de James. Ils ne le sont pas non plus de la façon dont devraient l'être deux hommes mariés, peu importe les termes de leurs mariages - même si cette partie-ci est celle qui la concerne le moins. Ses mains ont cessé de s'agiter et il a désormais toute son attention, ses lèvres légèrement entrouvertes tandis qu'elle ne trouve rien à dire immédiatement, se contentant de le regarder comme si elle avait vu un fantôme. “Et il tient sa famille en estime autant que je le fais avec la mienne.” Bien sûr qu'il tient aux siens, de la même façon que lui. et évidemment que, s'il venait à apprendre les concernant, nul doute que ses yeux chocolat perdraient de leur douceur. « et il fallait que de toute la maison, tu sois le seul à ignorer qu'il soit mon cousin. » murmure-t-elle sans rancœur aucune, simplement secouée. Elle ne lui avait pas dit clairement pour s'épargner un regard ou traitement différent, mais ignorait à quel point il aurait pu l'être. Ce n'était pas de leur faute, mais James ne les croirait pas - et à raison, elle non plus n'y croirait pas. “Et si j’avais su que tu étais de la sienne, j’aurais jamais joué à ça avec toi.” - « Bien sûr que non. » Elle le savait, et la réciproque était vraie - elle non plus n'aurait jamais joué à ça avec l'amant de celui qu'elle considérait comme son frère. Elle inspire posément en baissant un instant les yeux, secouant mollement la tête avant de se reporter sur lui, sa bouche se froissant en une moue. « Je n'aime pas l'idée, parce que je lui confie beaucoup de choses. Mais celle-ci fera exception. » Elle ne lui donne pas sa parole, ne fait pas de promesse ou de serment du petit doigt - si James venait à lui poser la question de bout en bout, à lui demander si oui ou non Auden et elle avaient franchi une limite, Flora serait incapable de lui mentir. Mais si le directeur artistique ne soupçonnait jamais ce qu'ils avaient partagé, elle ne serait pas celle à vendre la mèche. « Sois tranquille. » ajoute-t-elle pour le rassurer, esquissant un sourire à la dérobée. De tous les aveux, Flora n'aurait jamais imaginé celui-ci. « Au moins, tu as un type. Kind of. » plaisante-t-elle après une pause sans pouvoir s'empêcher de sourire d'un air légèrement moqueur, griffonnant à nouveau sur une étiquette après l'avoir regardé, et ce simplement pour s'empêcher de rire nerveusement. Elle n'y prend pas à la légère, mais ne tient pas non plus à les encourager à sauter d'un immeuble d'ici la fin de la semaine.
rainmaker
the innocence of my lips ☽ smear the innocence of my lips, feel you bruising me its boundless, you kill me and show me a world i feel whole in, never felt closer to demise, floating over all the stop signs and still i write pages of promise and cadence its quite alright baby
Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
« Change de ton. » Mes yeux remontent dans les siens et, bien qu’elle ne me regarde pas, ils ont tout pour lui faire comprendre que ce n’est pas le moment pour me reprendre sur le ton de mes propos et qu’elle devrait s’en garder. Je ne suis pas d’humeur à gérer ce genre de connerie, et encore moins à me tenir. Puisque ce n’est pourtant pas ma priorité pour l’heure, je passe outre son ordre et me concentre sur le mien à la place: ne pas en parler, pour que jamais ô grand jamais James n’apprenne la situation. Il ne faut pas qu’il apprenne ce qu’il s’est passé entre nous, parce que je ne peux que deviner quelles en seraient les conséquences, et je ne veux pas les vivre et nous les imposer. Ce que je prends le temps de préciser, aussi, et enfin, c’est le fait que je ne suis pas seulement un collaborateur de James. Je travaille avec lui, cela n’a rien d’une couverture, mais il existe bien plus entre nous, le genre dont je n’ai pas honte et dont je ne fais aucun secret ; mais le genre, aussi, dont je ne parle pas, encore moins entre les murs de Weatherton, parce que cela ne regarde personne si ce n’est nous deux. Maintenant, à sa façon, ça concerne aussi Flora. « et il fallait que de toute la maison, tu sois le seul à ignorer qu'il soit mon cousin. » Certes. “Ouais, bah vous portez même pas le même foutu nom, aussi.” Leur lien de parenté n’était pas inscrit sur leur front, et je suis à peu près certain qu’il ne m’a jamais parlé d’elle ; tout comme je ne parle pas beaucoup de mes sœurs ou de mon frère, et encore moins de mes cousins. Le sujet n’est jamais venu et, jusqu’à maintenant, je ne le regrettais absolument pas. Maintenant, la donne toute entière vient de changer, évidemment.
« Je n'aime pas l'idée, parce que je lui confie beaucoup de choses. Mais celle-ci fera exception. » Je n’aime pas l’idée non plus, et je ne le cache pas, mais c’est la seule solution que je trouve dans cette impasse, et le fait que Flora soit du même avis est un certain soulagement. Elle a bien moins à y perdre que moi, à commencer parce que je suis déjà assuré que je recevrai toute la colère de James et elle sûrement un simple regard désabusé. Et encore une fois, je ne peux pas reprocher à James cette réaction, même hypothétique. Même dans notre monde à nous, celui où on emmerde le monde et le simple besoin de dormir plutôt que de passer nos nuits à peindre et dessiner, il existe une règle tellement évidente qu’elle n’a jamais été proférée: personne ne touche à la famille. Jamais. Sous aucun prétexte. J’hoche finalement la tête après quelques secondes, pour lui signifier que j’ai bien entendu et sûrement pour la remercier par la même occasion. « Sois tranquille. » - “Cela n’arrivera pas.” Je réponds rapidement, terre à terre. Il existe un moment, proche ou lointain, où ce sera n’en sera plus un. C’est évident. Même si elle garde sa bouche cousue, ce n’est pas quelque chose de viable, et encore une fois, je ne peux pas lui en vouloir. « Au moins, tu as un type. Kind of. » Mon sourire est terriblement fin, preuve qu’il revient de loin, mais j’essaie au moins de lui faire se sentir utile - bien que là, en cet instant, ce ne soit absolument pas le cas. “Trop tôt.” Je rectifie, pourtant pas certain que je serai pleinement capable de rire du sujet avant un certain temps. “Il finira par l’apprendre un jour, de toute façon.” Je finis par souffle, terre à terre à défaut d’être pessimiste. Elle doit le savoir, elle aussi, parce qu’elle a besoin de s’y préparer. “Je laisserai pas le moindre indice ou Dieu sait quoi, mais s’il pose la question pour une raison ou pour une autre, je lui mentirai pas.” Parce que ce serait rendre les choses plus difficiles encore, et personne n’en a besoin. “Tu peux en faire de même. Je t’en voudrais pas.” Elle se moquera sûrement de mon avis sur la question, mais en lui disant j’ai au moins l’infime impression de contrôler quelque chose à ma vie.
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Flora Constantine
la petite souris
ÂGE : trente-et-un ans (21.07.1993) SURNOM : flo sonne comme une évidence, elle entend également constantine de temps à autre STATUT : elle a du mal à y croire mais flirte le parfait amour avec Elijah. il est celui dont elle a toujours rêvé, et il fait d'elle la plus heureuse des petites souris MÉTIER : ses rêves abandonnés, elle est à présent barista au dbd en journée et barmaid à l'electric playground le soir LOGEMENT : au #03 james street à fortitude valley. elle partage cet appartement avec Millie, des cochonneries entassées dans les placards et de précieux rouleaux de tissus dans un coin du salon POSTS : 526 POINTS : 0
TW IN RP : ptsd, achluophobie, maladie, deuil. mentions : overdose, addiction, drogue, relation abusive GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : née à Sydney, elle vit à Brisbane depuis ses six ans › terrible cuisinière, elle mange toutes les cochonneries qui lui tombent sous la main › rêve de devenir styliste › elle a développé une peur phobique de l'obscurité suite à un accident de voiture › artiste, elle passe des heures à dessiner tous les jours › elle adore les animaux, peu importe qu'ils soient mignons ou non › maladroite, deux pieds gauches et un sourire innocent pour s'excuser d'avoir renversé votre café › elle rêve de voyages et d'évasion › très douce, grande enfantDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7380B5 RPs EN COURS :
ELIORA › you still know of dawn, but you always return. when you hid under my black wings, they couldn't have protected you from anything. once in flight they would have let go. you would have once again wound up below. only broken, indeed, its wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light.
CONSTANTINE › under the surface, you don't know what you'll find until it's your time. no second chances but all we can do is try. i made up my mind. i can't see you but i hear your call. baby, hold on now, we're going home. if we make it or we don't, we won't be alone. if you're waiting all your life, you won't ever go. when I see your light shine, i know i'm home.
“Ouais, bah vous portez même pas le même foutu nom, aussi.” Il est frustré et elle le comprend. Ils ne portent pas le même nom, n'ont pas de ressemblance physique frappante, ni se comportent comme tels. et si Auden ne se juge pas vraiment responsable de tout ça, cela ne l'empêche pas de considérer le scénario où il aurait pu éviter de coucher avec la nièce de son amant - et elle aussi aurait préféré qu'ils s'épargnent cette situation. Mais maintenant qu'ils y sont confrontés, elle préfère en rire davantage qu'en pleurer - James ferait la grimace si elle lui annonçait la nouvelle, mais elle ne s'attirerait pas les foudres du directeur artistique qui se contenterait probablement de s'excuser d'un sourire avant de se mettre en quête de l'italien. Elle n'était pas fière, mais pas terrifiée non plus la brune, et n'était pas celle dont la position était la plus délicate dans cette histoire. “Cela n’arrivera pas.” Ses yeux trouvent les siens et elle se contente d'une moue peu convaincante, préférant poursuivre avec une touche d'humour dans l'espoir de dérider les traits du brun - et elle y parvient, pour ce que cela vaut. “Trop tôt.” « Bien trop tôt. » acquiesce-t-elle dans un sourire plissé, réfrénant un rire en baissant brièvement les yeux. Ils en plaisanteront peut-être d'ici quelques temps, mais pas maintenant. “Il finira par l’apprendre un jour, de toute façon.” Leurs regards se retrouvent et son expression est plus sérieuse. James va l'apprendre, évidemment, même si les conditions et la date restent à définir - mais il ne restera pas éternellement dans l'ignorance, il ne le mérite pas. Pas plus qu'eux. Ses yeux retrouvent la robe sur laquelle elle s'affaire machinalement, et elle l'écoute poursuivre d'une oreille. “Je laisserai pas le moindre indice ou Dieu sait quoi, mais s’il pose la question pour une raison ou pour une autre, je lui mentirai pas.” et même s'il avait considéré le faire, elle le lui aurait déconseillé. Mais ils le connaissent probablement aussi bien l'un que l'autre, d'une certaine façon, et s'ils sont peut-être des idiots ils ne sont pas des menteurs pour autant. “Tu peux en faire de même. Je t’en voudrais pas.” Elle le regarde à nouveau et sourit en se saisissant du cintre de la tenue, prête à partir tandis qu'elle marque une pause. « Je ne lui dirais pas, non. Mais je ne lui mentirais pas non plus, on est d'accord sur le principe Auden. » Elle le contourne et s'éloigne, un mélange d'amusement et de culpabilité sur le visage - même si la malice l'emporte. À la dérobée, elle se reporte sur lui avant de disparaître dans un atelier, et mime un sourire rayonnant pour l'encourager à en faire de même - sinon, James risque de l'interroger bien plus tôt que prévu en croisant sa mine déconfite.
rainmaker
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