Oui, le timing de mon départ n’est pas idéal. Mais on peut pas vraiment dire que j’ai eu le choix, puis ma sœur a commencé à devenir insistante, j’ai paniqué et je me suis dit qu’un peu de temps éloigné de Brisbane ne serai pas plus mal. La raison ? Mon clip. Une sortie national, sur la plupart des chaînes musicales. La presse dans le domaine a plutôt été élogieuse, que ça sois sur la musique, la chanson et justement, le clip, qui fais fureur. Notre chance, c’est qu’il n’a pas encore été diffuser sur les grandes antennes. Ça nous laisse un temps de répit. Faut dire que l’osmose qu’on a eu Marley et moi sur le tournage à envoyer du lourd. D’un point de vue purement artistique, c’est une véritable réussite. Le problème, c’est que Louisa et Jackson, je doute qu’ils vont avoir cette vision artistique, cet œil professionnel sur la performance qu’on a livré. Autant dire qu’on est loin d’avoir réfléchis à tous ça sur le moment, ça se saurai si nous étions réfléchis et sage. Et je connais ma sœur, je connais Jax. Les deux ont un sacré tempérament, les deux sont capable de partir au quart de tour. Et l’idée c’est pas que Marley sois dans la merde. Comme je l’ai déjà dit, je l’aime bien. Au de la de nos péripéties, Marley est l’une de mes véritables amies. Et on prend soin de ses amies.
C’est donc naturellement qu’à peine j’ai reposer un pied à Brisbane, et quel plaisir au passage. Non parce que le Canada c’est sympathique, c’est jolie, mais bon dieu, qu’est ce qu’il fais froid ! J’ai horreur de ça. Bref, c’est pas le sujet, une fois à bon port, j’envoie un message avec Marley. Simple mais efficace. « Faut qu’on se vois Lynch. Rdv au parc. See u soon sweetie. ». J’en dit pas trop, non, je ne suis pas très message de toute façon, je préfère parler en face à face. En espérant bien sûr que la jolie brune va pouvoir se libérer. A tout moment, elle aussi a eu vent de la sortie du clip, ce qui pour ma notoriété et ma carrière serai plutôt une bonne chose. Mais pour le reste, en revanche, beaucoup moins. L’idée est simple, on dois s’accorder, on dois discuter, on dois mettre au point notre défense, notre stratégie. Il faut que l’on sois infaillible. Jax et Louisa ne lâcheront sans doute pas le morceau, enfin je crois. Il y a un monde, merveilleux, où tous ça passe crème, aucun scandale. Mais sans être pessimiste de nature, j’admets ne pas beaucoup croire en cette éventualité.
Le taxi me dépose devant chez moi, je me contente de jeter ma valise dans mon salon, un rapide passage sous la douche, j’enfile une tenue des plus simples. Et aussi tôt, me voila dehors. Direction le point de rendez vous, un rapide coup d’œil sur mon téléphone. Pas d’annulation de la part de Marley, plutôt bon signe, ça va nous permettre de mettre tous ça à plat et surtout, d’avancer. Concernant le clip, ce qui c’est passé ensuite, je pense qu’on sait tous les deux que c’est une connerie. C’est pas la première fois, on espère que c’est la dernière ceci dit. Aussi plaisant soit il, on a de cesse de se répéter qu’il faut qu’on arrête avec nos bêtises. On est adulte non, on est mature, on est capable d’avoir du mental et de la volonté pour éviter les conneries, non ?
Comment tu va ?
Alors que je m’approche de celle qui viens d’arriver. Une légère étreinte, une petit baiser furtif sur sa joue. Oui, elle reste une amie que je n’ai pas vu depuis plusieurs semaines et que je suis content de retrouver.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
« Faut qu’on se voit Lynch. Rdv au parc. See u soon sweetie. » Ainsi il était de retour. Malik était revenu dans les parages. Marley répondit assez rapidement que c'était bon pour elle. Même si elle avait toujours apprécié passer du temps avec Malik elle appréhendait quelque peu ces retrouvailles. Ils ne s'étaient en effet pas revus depuis le tournage du clip de l'artiste. Si à l'origine elle s'était rendue là-bas pour du travail, tout avait très rapidement dérapé. Sur l'instant, la métisse n'avait pensé qu'à son bien-être et à son propre plaisir. Elle avait toujours adoré s'envoyer en l'air avec Fleming et cette fois-ci n'avait pas été différente des précédentes. Elle avait cédé à ses envies et à ses pulsions et n'avait absolument pas pensé aux conséquences. Après tout, ils savaient déjà couché ensemble par le passé et personne n'avait jamais rien su...
Oui mais voilà, cette fois-ci c'était différent. Elle avait revu Malik dans un cadre professionnel et rien n'était resté ainsi. Jouant sans cesse avec le feu, repoussant toujours les limites, les deux jeunes adultes n'avaient pas pris la peine de peser le pour et le contre. C'était ainsi que Marley s'était retrouvée à jouer les covedettes dans le clip du chanteur. Leur danse avait été langoureuse tout comme le baiser qu'ils avaient échangé à la fin. Sur le moment l'idée n'avait pas paru absurde à Marley mais désormais elle se rendait bien compte qu'elle avait sévèrement merdé. Si à l'époque du clip elle n'avait pas revu Jackson, désormais ce n'était plus le cas. Ils avaient renoué contact – de bien des manières différentes – et la jeune Lynch avait espoir que leurs relations s'améliorent. Malheureusement ce clip ne risquait pas d'aider...
Comme à son habitude, Marley était à l'heure sur le lieu de rendez-vous. Un petit sourire apparut lorsqu'elle vit Malik descendre du taxi. Il s'approcha d'elle et tout en lui déposant un baiser sur la joue demanda : « Comment tu vas ? » un frisson la parcourut au contact du jeune homme tandis que les souvenirs de leurs dernières retrouvailles lui venaient à l'esprit. Elle haussa les épaules et répondit : « On fait aller. Mais toi ? » Elle avait cru comprendre que Malik était reparti au Canada pour des raisons familiales mais n'avait pas eu plus de détails. Le fait qu'il parte du jour au lendemain n'annonçait rien de bon aux yeux de la demoiselle. Elle ne voulait pas paraître trop insistante avec ses questions donc avait préféré poser une question large. Malik lui répondrait juste ce dont il avait envie de partager avec elle.
Elle commença à avancer dans le parc avec son ami à ses côtés et après quelques instants, tourna la tête vers lui, une moue presque boudeuse aux coins des lèvres : « On a merdé hein ? » pas la peine de s'éterniser et d'en dire davantage, Malik savait très bien de quoi elle voulait parler. La maquilleuse était d'ailleurs intimement convaincue que c'était pour parler de ça que le chanteur lui avait donné rendez-vous.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Bien sûr qu’on a pas assurer, pas réfléchis. Mais, dans les fait, je suis certain qu’on peut s’en sortir. Il suffit des bonnes pirouettes, des bonnes excuses et des bons arguments. Ce qui c’est passé après le clip, chez moi, dans l’un appartement. Personne d’autre qu’elle et moi, si ce n’est mon chiot, n’est au courant. A priori, si elle n’en parle pas et que j’en fais de même, il y a peu de raison que cette péripéties s’ébruite. Le clip, pour moi, c’est plus facile à gérer. Si mon message pouvait paraître grave, ou sonner comme telle c’est surtout que je pense que l’on doit vite s’accorder. Pas de désordre, pas de flou à ce sujet là quand les questions vont commencer à affluer. On est jamais trop prudent, mieux vaut prévenir que guérir.
Je suis d’ailleurs vraiment content de revoir la frimousse de la jolie brune. Je m’approche, mes gestes sont naturel, rien n’est réfléchis. Même si bien sûr, la proximité et les contacts avec la tigresse australienne peuvent remémorer certains instants. Je sais me tenir, à peu près.
Quelques petites histoires à régler.
Haussant les épaules, à dire vrai, même si mon départ a été précipité. Que ça concerne mon père et son décès. J’ai fais le deuil, mais de là à en parler, y a un monde.
Des papiers à signer, des notaires à voir, de la famille qu’on se découvre venu d’ailleurs.
C’est fou ça comme dans ces moments là, des oncles, des tantes, des cousins et autres délires du genre surgisse de nul part. Heureusement, je ne suis pas du genre à me formaliser, à m’embêter avec tous ça. Si je suis allé c’est surtout parce que je suis son fils et par respect pour sa mémoire. Pas grand chose de plus.
A quel moment ? Avant, pendant ou après ?
Autrement dit, oui, sur toute la ligne. Avançant à ses côtés, mon regard navigue entre Lynch et notre environnement. Une grande inspiration et un soupir, voilà que je reprend, rivant mon regard sur la belle.
T’etais célibataire non ? Moi aussi. On est deux adultes. Ça nous regarde nous et personne d’autre.
En tous cas, elle peut me faire confiance. Je sais être une tombe, je la soutiendrai et l’épaulerais dans les décisions qu’elle prendra.
Pour le clip … Il va passer sur plusieurs chaînes, à plusieurs heures. Y a de forte chance que ça soit un grand succès. Difficile d’imaginer que certains passe à côté.
On sait très bien à qui je pense sans pour autant les désigner.
Mais y a rien de mal. Combien d’acteur s’embrasse pour des scènes ? T’as des notions de danse. Ma carrière est un chaos total. On peut expliquer ta participation comme une aide à un ami.
Que voulez vous, je suis d’un naturel optimiste, j’ai tendance à croire que les choses vont bien se passer. Que la pilule passera sans encombre. Et ça reste une possibilité. On a tourner un clip, la danse est chaude, le baiser est fougueux. Mais ça reste du spectacle.
J’pourrais même dire que j’ai implorer ton aide. Bon, ok, ça paraîtra gros. Mais sur un mal entendu, ça peut passer ! Le plus crédible c’est de reconnaître qu’il est impossible de résister à la superstar Fleming !
Grand sourire, léger rire. J’essaye d’en rire, d’en plaisanter. Parce que je suis comme ça, jovial, bon vivant. Mais aussi parce que je veut que la situation soit dédramatisée, pas de raison de se faire un sang d’encre.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
« Des papiers à signer, des notaires à voir, de la famille qu’on se découvre venu d’ailleurs. » Elle hocha la tête affirmativement, lui montrant qu'elle comprenait. Elle avait aussi saisi qu'il n'avait pas spécialement envie d'en parler, ni même de s'éterniser sur le sujet. C'était son choix et elle le respectait. Elle n'allait pas lui poser davantage de questions sur ce sujet, bien consciente que chacun gérait ses problèmes personnels comme bon leur semblait. Elle-même avait tendance à garder les choses pour elle. Elle n'aimait pas qu'on s’apitoie sur son sort et avait beaucoup de mal à se livrer. A cette pensée, elle se souvint cependant que c'était à Malik qu'elle avait parlé en premier de la demande en mariage de Davies. Quelle ironie. La discussion bascula rapidement vers le sujet tant craint et Malik lui répondit par une autre question : « A quel moment ? Avant, pendant ou après ? » Elle leva les yeux au ciel et faillit lui donner un coup dans les côtes pour lui faire ravaler les évidences qu'il prenait un malin plaisir à souligner. En effet, ils avaient merdé sur toute la ligne mais c'était fait et ils ne pouvaient pas revenir en arrière. « T’etais célibataire non ? Moi aussi. On est deux adultes. Ça nous regarde nous et personne d’autre. » Elle s'arrêta de marcher et le fixa, elle haussa les épaules et se contenta de répondre un : « Oui bien sûr. » Il avait raison dans ses propos mais cela ne l'empêchait pas de se dire que si pour une fois ils avaient agi avec plus de responsabilité, ils n'en seraient pas là aujourd'hui.
Leur partie de jambes en l'air n'était pas le plus difficile à gérer. Si Malik se taisait et qu'elle en faisait de même, personne ne saurait. Elle avait confiance en lui et savait qu'il ne la trahirait pas. Elle avait cependant davantage peur d'elle-même. Elle n'irait évidemment pas le crier sur tous les toits mais elle avait peur que Louisa ou Jackson lui pose clairement et franchement la question. Si cela venait à arriver, elle n'était pas sûre de pouvoir leur mentir. Elle avait peur que la vérité se lise sur son visage. Elle préféra garder ses craintes pour elle et se concentra sur la diffusion du clip dont lui parlait Malik. Elle était vraiment heureuse pour le garçon, savoir que la sortie de la chanson s'annonçait sous les meilleures hospices l'enchantait mais elle devait être honnête et admettre que cela n'arrangeait pas ses histoires à elle. « Mais y a rien de mal. Combien d’acteurs s’embrassent pour des scènes ? T’as des notions de danse. Ma carrière est un chaos total. On peut expliquer ta participation comme une aide à un ami. ». Elle fit une petite grimace comme pour lui signifier que cette explication bien que plausible ne parviendrait à convaincre personne mais c'était la meilleure carte qu'ils avaient à jouer. Le tournage du clip avait été tellement chaotique qu'ils pourraient en effet avancer le fait que les danseuses ne s'étaient pas pointées et que Marley avait dépanné Malik pour l'occasion.
« J’pourrais même dire que j’ai imploré ton aide. Bon, ok, ça paraîtra gros. Mais sur un mal entendu, ça peut passer ! Le plus crédible c’est de reconnaître qu’il est impossible de résister à la superstar Fleming ! » Elle lui donna un coup dans l'épaule tout en riant. Joueuse sa main glissa sur le torse du chanteur et elle répondit avec provocation : « Tu sais très bien que c'est toi qui n'as pas su me résister. » Elle laissa ses doigts s'éterniser un peu plus sur le tee-shirt du garçon et finit par retirer sa main. Elle soupira et finit par dire : « Il faut vraiment que j'arrête de faire ça... » C'était comme ça que tout dérapait à chaque fois entre eux. Elle jouait, provoquait, touchait, allumait et puis inévitablement ils se jetaient l'un sur l'autre.
Elle reprit sa marche et s'installa sur un banc un peu plus loin. Une jambe repliée sous ses fesses et l'autre se balançant elle dit à Malik : « En vrai ça me convient. J'ai été engagée comme maquilleuse, les danseuses sont pas venues, j'ai dû les remplacer. » S'ils restaient sur cette version et restaient cohérents, tout se passerait bien. Ils n'avaient rien fait de mal, juste leur travail. Et plus. Mais ça, personne n'avait besoin de le savoir. Elle soupira une dernière fois et lui demanda : « T'as conscience que Louisa va vriller hein ? Et qu'elle va nous garder à l'oeil... » Elle frissonna à cette pensée et s'interdit de laisser son esprit vagabonder vers Jackson. Sa réaction à lui risquait d'être terrible, mieux valait ne pas y penser. Même s'ils n'étaient pas ensemble et que le jeune homme ne semblait pas prêt à lui laisser une nouvelle chance, elle savait qu'il n'allait pas apprécier ce qu'il allait voir. Elle murmura alors : « En espérant que Jackson ne te casse pas la gueule. » Un petit rire lui échappa tandis qu'une pointe de vérité perçait dans sa voix.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
J’ai bien vite compris que la jolie brune s’inquiète, ce fait du soucis, crains que la situation dérape. Et je la comprends, elle a beaucoup plus à perdre que moi. J’ai beau essayer de la rassurer, de la faire sourire, de la rendre optimiste, qu’elle essaye de voir le bon côté des choses et que des chances que tous ce passe bien existe encore. Je vois que c’est en vain. Mais je ne compte pas la lâcher, c’est peut être là notre plus grande force. Peu importe le choix et la décision qu’elle prendra, je serai là et je serai un soutiens sans faille. Mes explications, ou plutôt mes justifications sont bancales, faut dire qu’on a aucune excuse. On c’est comporter comme deux adolescents en chaleur, ne réfléchissant pas au lendemain. Mais le lendemain approche à grand pas, tôt ou tard ce moment où il va falloir ce justifier va arriver. Et ça sera beaucoup moins plaisant que la connerie faites.
Puis Marley, fais du Marley. La jolie métisse balade sa main, ses doigts. Mon regard se rive dans le sien. Je reste à ma place, je ne dit rien dans un premier temps. Prenant une inspiration. Ça serai mentir que de dire qu’elle ne me fais pas de l’effet. Mais j’essaye, pour une fois, d’être raisonnable. On est là pour évoquer nos bêtises, pas pour en faire une autre.
C’est préférable.
Je ne m’étend pas, elle s’en ai rendu compte par elle même. Je ne vais pas en rajouter une couche. C’est aussi ma mission en tant qu’ami, si le naturel, la libido prend le pas sur la raison, il va falloir que je sois suffisamment fort pour éviter que ça dérape. Il va aussi falloir que je ne joue pas les jolies cœurs avec Marley. J’ai la fâcheuse tendance de me montrer sous mon meilleur jour quand la personne me plais. Charmeur sur les bords, je ne fais rien pour faciliter les choses.
Convenons d’ailleurs d’un pacte. La dernière fois, restera la dernière fois. A tout jamais.
Bon, on ne sais pas de quoi sera fais l’avenir. Qui sait ce que nous réserve le futur, qui sait comment les choses évoluer. Mais au moins, c’est ma façon de lui montrer que je peut être sérieux, pour elle, par amitié. Puis bon, y a bien un jour où je vais moi aussi trouver la perle rare. J’espère !
Deal ! Version difficilement vérifiable. Encore plus compliqué à contre dire. On la tiens notre ligne de conduite.
Pas de détail, une explication plausible. Pas besoin de plus, en faire des tonnes serai le meilleur moyen de nous griller. C’est pas le but. Alors, je me fixe devant Marley. Main dans les poches, regard rivé dans le sien.
Ma sœur, j’en fais mon affaire.
Louisa a beau être une tempête quand elle le veut, je la connais. Je suis sûr de pouvoir gérer. M’installant sur le banc, la suite est moins amusante. J’ai beau faire le clown en tendant mon bras, contractant le biceps comme pour dire que je suis fort. Faut se rendre à l’évidence.
J’espère aussi. Non parce que là, ça va être compliqué. Avec un peu de chance, je cours plus vite que lui.
J’en souris, mais j’espère que les choses ne vont pas vriller à ce point là. Pour Marley, pour Louisa. Que Jax et moi nous foutions sur la gueule serai peut être la pire des choses.
C’est pour lui que tu es revenu, n’est ce pas ?
Je tourne ma tête vers elle. Pas de jalousie, simple question. L’inquiétude qu’elle a de ce que Jackson peut penser de tous ça veut tout dire. Ça en dis long sur beaucoup de chose, sur pourquoi elle a fuis la demande en mariage de Davis, pourquoi c’est à Brisbane qu’elle est revenu. Tout prend sens. Et sans vraiment savoir les détails, je sais que les deux ensembles, ça a souvent été explosif.
Il le sait ?
Pas qu’elle sois revenu, évidemment. Mais que c’est pour lui. Ce genre de chose, c’est jamais facile à dire.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
« C’est préférable. » Elle haussa un sourcil surprise par l'attitude sérieuse et raisonnable de Malik. Il ne l'avait pas habituée à cela. Il jouait les adultes, les mecs responsables alors qu'elle savait qu'il était aussi irréfléchi qu'elle lorsqu'il s'agissait d'assouvir ses pulsions. Lorsqu'elle relaissa tomber sa main, elle le remercia intérieurement d'agir ainsi. Si elle n'était pas capable de garder sa petite culotte sèche, il fallait qu'il s'en charge pour eux deux. Il fallait bien qu'il y en ait un des deux qui se comporte comme un adulte sinon ils n'avanceraient jamais. « Convenons d’ailleurs d’un pacte. La dernière fois, restera la dernière fois. A tout jamais. » Elle hocha la tête de bas en haut, acceptant ce pacte. Elle se mordit la lèvre pour ne pas lui balancer que ce n'était pas la première fois qu'ils se promettaient ce genre de choses. Ils se l'étaient dit à maintes reprises : Ils devaient cesser. Pourtant, dès qu'ils en avaient l'occasion, ils oubliaient leur promesse et leur résolution. Rien n'avait d'importance que leurs corps qui s'unissaient. Cette fois-ci serait peut-être la bonne, après tout on ne savait jamais...
Le plan élaboré semblait tenir à peu près la route. Ils s'étaient tous les deux mis d'accord sur ce qu'ils raconteraient pour justifier la danse et le baiser du clip. Marley faisait assez confiance à Malik pour savoir qu'il ne la trahirait pas. Pour leur bien être à tous les deux, il ne fallait surtout pas qu'ils dévient de la scène qu'ils venaient tout juste d'inventer. « Ma sœur, j’en fais mon affaire. » Un léger rire jaune échappa à Marley tandis qu'elle levait les yeux au ciel. L'assurance de Malik concernant sa sœur l'amusait autant qu'elle l'inquiétait. Elle se fit la réflexion qu'il n'avait jamais dû affronter Louisa en pleine crise de nerfs. Elle savait la pilote capable du meilleur comme du pire. Elle était sceptique quant au fait qu'elle accepte cette histoire de clip sans broncher, mais après tout si le chanteur en était persuadé, peut-être que c'était elle qui se trompait. Malik s'installa sur le banc à ses côtés et lui montra son bras musclé, elle soupira d'exaspération et d'amusement et l'écouta lui dire : « J’espère aussi. Non parce que là, ça va être compliqué. Avec un peu de chance, je cours plus vite que lui. » Elle lui fit une petite grimace et avec une moue désolée, elle le contredit : « Je suis navrée, mais même sur la course je crois que tu perds. » Elle ne disait pas cela pour le piquer ou le rabaisser, seulement elle avait déjà observer Jackson s'entraîner... C'était une vraie machine. Elle avait du mal à concevoir que Malik – aussi sportif soit-il – soit capable d'aller plus vite que lui. Sur un malentendu, peut-être que Jackson ne dirait rien. Au fond d'elle, elle savait que c'était impossible mais l'espoir la maintenait en vie.
« C’est pour lui que tu es revenu, n’est ce pas ? » Elle tourna la tête vers lui, la bouche entre-ouverte de stupeur. Evidemment qu'elle était revenue pour lui, mais comment l'avait-il su ? La dernière fois elle lui avait juste parlé de la demande en mariage de Davies et du fait qu'elle avait fui. Elle avait justifié son retour à Brisbane par sa rupture mais à aucun moment elle ne lui avait parlé de Jackson. Elle soupira et vaincue répondit : « Ca a toujours été lui et ça l'sera toujours. » C'était d'un pathétique. C'était même affligeant pourtant c'était ce qu'elle ressentait. Elle avait beau s'envoyer en l'air avec des inconnus ou avec Malik, cela ne changeait en rien les véritables sentiments qu'elle éprouvait pour l'agent. « Il le sait ? » la questionna-t-il. Incapable de soutenir plus longtemps le regard de Malik, elle se remit droite et fixa au loin des enfants qui se couraient après. « Oui. Mais je ne suis pas sûre que cela lui importe. » Elle avait l'espoir que ce soit le cas, surtout depuis le réveillon de Noël qu'ils avaient passé ensemble mais une peur légitime croissait en elle à chaque instant. Elle n'était pas sûre qu'il parviendrait à passer outre leurs déboires du passé. « J'suis pas sûre qu'il me pardonne un jour d'être partie. » Ses doigts se crispèrent sur sa propre cuisse tandis que les souvenirs douloureux de leur dispute lors de ses trente ans la frappaient de plein fouet. Elle poussa un long soupir puis regarda à nouveau Malik : « Si ça continue comme ça, on va tous les deux devoir s'inscrire sur un site de rencontres ». Elle tentait de faire un peu d'humour pour détendre l'atmosphère mais le voile de tristesse qui glissa sur son visage prouvait que cela ne la faisait pas rire. Elle posa sa main sur l'avant-bras de Malik et demanda : « Et toi ? Depuis la dernière fois, personne en vue ? » Le fait que le jeune Fleming soit toujours célibataire était un grand mystère pour Marley. Elle ne comprenait pas pourquoi aucune femme ne s'était jetée sur lui. Il était beau, drôle, gentil et talentueux. Que cherchaient-elles d'autre ?
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Croyez pas que ça ne me demande pas un sacré effort. Rester de marbre, ne pas jouer, ne pas provoquer. Être raisonnable et ne pas voir si on est vraiment capable de se résister ou non. C’est difficile, compliqué, dur. Mais je le fait, je prend sur moi, j’essaye de réfléchir avec la tête pas avec mes attributs masculins. Ça a l’air d’être important pour Marley, ça a l’air de compter pour elle. Je l’ai toujours dit, je ne suis pas un sale type, encore moins avec ceux que j’apprécie. Si Marley vacille, je tacherai d’être suffisamment solide pour nous deux. Jusqu’où je tiendrai cette résolution, j’en sais rien, c’est impossible a prédire. L’attention est la, la motivation également. Mais on ne sais pas de quoi sera fait demain, je ne cherche même pas à savoir de quoi sera fait demain. L’avenir est bien à sa place, dans le futur. Trop y penser est problématique, toxique, contre productif.
Les conséquences, j’en rigole, j’en plaisante, mais je sais que ça peut être terrible. Je sais que ma sœur peut totalement s’énerver, je sais que Jackson a une forte tendance à la violence et l’impulsivité. Je n’ai pas peur, mais je sais pertinemment que je risque de déguster. Il est militaire, ou en tous cas agent spécial, j’ai jamais trop su. Les fait que son travail est d’être sur entraîner. J’ai et je suis sportif, mais rien de comparable.
Il me reste plus qu’une seul solution. Ma botte secrète, rappeler pourquoi j’étais champion de cache cache chaque année à l’école !
Un rire franc, oui autant en rire. Encore une fois inutile de tirer des plans sur la comète, impossible de prédire comment ils vont réagir. Et ça sert à rien d’y penser, arrivera ce qui arrivera et basta. Qui sait, quelques marques de bagarre me donnerai un petit air mauvais garçon, ça a son succès auprès de la gente féminine non ?
Je l’écoute, attentivement. Elle ne m’a rien dit, mais j’écoute, je regarde, je comprend. J’ai fais le rapprochement, sa crainte concernant la réaction de Jackson, son retour surprise à Brisbane après une demande en mariage qui l’a fais fuir. C’était une supposition, une possibilité, mais y a des chances que je vise juste.
Ça, y a qu’un seul moyen de le savoir.
Je veut pas m’avancer, pas trop. Jackson, je le connais depuis des années mais comme un pote. Je sais qu’il peut être imprévisible, ça doit pas être facile pour Marley de savoir sur quel pied danser avec lui. Mais elle n’aura sa réponse à ses questions qu’en essayant, en tentant sa chance, en recollant les morceaux avec le Mills.
On commence à être trop vieux pour ses conneries. On va finir à enchaîner des speed datings et autre rendez vous arranger. Quelle tristesse.
On est tous de même de bon partie non ? Ça serai quand même con d’en arriver là.
Personne. Le désert absolu ma jolie petite Lynch. Que veut tu, je vais finir avec Thésé, on vieillira ensemble au bords de la plage de Brisbane.
Un simple soupir, j’en rigole, j’essaye. Mais je désespère vraiment. A croire que l’envie de s’engager effraie. Des aventures, je pourrai en avoir à la pelle, mais c’est pas ce que je cherche. Alors je commence à me poser des questions, à me demander si vraiment ça va finir par se décanter ou non.
Vous êtes beaucoup trop chiante a comprendre les filles.
Sans tomber dans le cliché des filles à la recherche du prince charmant. Il doit bien y en avoir qui aspire à vivre une histoire qui dur plus qu’une nuit, ou en tous cas, une histoire qui se résume à autre chose qu’à faire grincer le matelas, non ?
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
« Il me reste plus qu’une seul solution. Ma botte secrète, rappeler pourquoi j’étais champion de cache cache chaque année à l’école ! » Il se mit à rire et même s'il n'y avait rien de drôle dans la situation, Marley ne put s'empêcher de rire à son tour. Elle imaginait très bien le petit Malik se cacher lorsqu'il était enfant mais elle l'imaginait encore plus faire un cache-cache géant dans la ville qu'était Brisbane. Elle aurait voulu lui dire que c'était peine perdue, parce que c'était le cas. Si Jackson décidait de le trouver, il le trouverait. Il était doué pour obtenir ce qu'il désirait et cela ne dérogerait pas à la règle.
La discussion redevint sérieuse lorsque Malik la questionna sur Jackson et sur ses intentions vis-à-vis du garçon. Si depuis son retour elle avait pris soin de n'en parler à personne et de garder pour elle les sentiments qu'elle éprouvait toujours pour son ancien compagnon, elle était désormais fatiguée de faire semblant. Garder le silence ne menait à rien. Dire la vérité était néanmoins difficile, cela la ramenait sans cesse au fait qu'elle l'avait perdu. Cela la ramenait sans cesse au fait qu'il ne voulait pas d'elle. « Ça, y a qu’un seul moyen de le savoir. » C'était plus facile à dire qu'à faire mais Marley s'abstint de tout commentaire. Elle s'était livrée à Jackson quelques jours auparavant. Elle avait joué cartes sur table et lui avait dit le fond de sa pensée et de son cœur. Il l'avait écoutée, mais il n'avait rien laissé transparaître des éventuels sentiments qu'il pouvait toujours avoir pour elle. A l'inverse elle avait plutôt vu qu'elle lui avait brisé le cœur et qu'il n'avait plus aucune confiance en elle. Cela avait dur à digérer, et d'ailleurs elle ne l'avait pas totalement fait encore. La maquilleuse ne désespérait pas de voir un jour la situation se décanter. Pour le moment, elle prenait juste son mal en patience. « On commence à être trop vieux pour ces conneries. On va finir à enchaîner des speed datings et autres rendez vous arrangés. Quelle tristesse. » Elle soupira tout en s'étirant sur le banc : « M'en parle pas, rien que d'y penser ça me file de l'urticaire. » Elle qui aimait par-dessus tout séduire avait perdu ces derniers temps cette envie. Elle s'était rendue compte que les coups d'un soir ne lui apportaient rien qu'un plaisir éphémère. Si elle aimait les plaisirs de la chair, elle ne rêvait désormais plus que d'une seule chose : que ce soit avec Jackson qu'elle salisse ses draps et non avec un mec rencontré au détour d'un verre.
Comme elle s'y était attendue, Malik lui expliqua qu'il n'avait rencontré personne et qu'il allait finir seul avec son chien. Elle l'avait bousculé en lui donnant un coup d'épaule, signe qu'elle désapprouvait les bêtises qu'il venait de lui énoncer. Impossible qu'il finisse sa vie comme ça, il était une trop bonne personne pour que ça arrive. « Vous êtes beaucoup trop chiante à comprendre les filles. » Elle sourit et hoche la tête de manière positive. « Tu m'étonnes ! Ca doit être les hormones... » plaisanta-t-elle. Il n'avait pas tort dans ce qu'il disait. Après tout, elle avait été très heureuse avec Davies, il n'y avait eu aucun signe avant coureur à son refus de l'épouser. Le pauvre homme n'avait pas dû comprendre pourquoi elle avait disparu du jour au lendemain. Elle était pourtant épanouie avec lui, du moins c'est ce qu'elle pensait, jusqu'au moment où il l'avait demandée en mariage et où elle avait vu l'image de Jackson flotter au-dessus d'eux. Elle plaça une jambe sous ses fesses et tourna son corps dans la direction de Malik. Elle fronça les sourcils et ajouta : « Vous n'êtes pas un cadeau non plus... On ne sait jamais si vous voulez vous engager, si vous n'êtes là que pour le cul. Et puis alors quand il faut exprimer des sentiments y a plus personne. » Peut-être projetait-elle les silences et les secrets de Jackson sur tous les hommes qu'elle croisait. C'était ces silences et ces absences de mots qui avaient en grande partie conduit leur relation à sa perte. Une moue désolée affichée sur son visage, elle caressa avec tendresse la joue de Malik et souffla : « On va bien finir par y arriver hein ? » et prenant conscience qu'elle le touchait encore elle leva les yeux au ciel et laissa retomber sa main sur sa propre cuisse. Elle rit doucement et s'excusant à moitié elle marmonna : « Bon, je dois encore bosser sur deux trois trucs je crois... » Si elle voulait que leur pacte tienne, il allait falloir qu'elle change d'attitude et qu'elle arrête de le toucher dès qu'elle en avait l'occasion. Cela ne semblait pas être une mince affaire, elle en prenait pleinement conscience.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Je ne redoute pas tant que ça la confrontation ou la révélation. Si bagarre il doit y avoir, alors ainsi soit il. C’est pas le plus gênant, non pas que j’aime prendre des coups, mais ça se soigne, c’est le genre de blessure qui guérisse. En revanche, ça me fais quand même beaucoup plus chier pour Marley, si jamais ça viens à lui attirer des soucis, des ennuies. Les engueulades et autres disputent, les mots, c’est ça qui blesse le plus, c’est ça qui marque le plus. Même si, pour l’heure, il n’y a rien que nous puissions faire si ce n’est d’attendre, patienter et voir ce que l’avenir nous réserve. C’est peut être bien ça le plus frustrant, ne rien pouvoir faire si ce n’est attendre, patienter.
Un sourire reviens sur mon visage, oui les applications de rencontre et tout autre chose destiné à faciliter la mise en couple, ça a de quoi déprimer. On est de bon partie quand même ? Enfin je veut dire, au de la du fake que physiquement, on a notre petit succès. Avec nos qualités et nos défauts, on devrait pouvoir trouver chaussure à notre pied sans avoir à passer par ça ? J’ose l’espérer, sans quoi, je remettrait en question pas mal de certitude que j’ai pu acquérir. Si le célibat ne pèse pas encore sur mon moral, il ne faudrait pas qu’il persiste trop longtemps non plus.
Si il n’y avait que ça !
Riant à ma connerie, j’exagère. Même si dans le fond, c’est ce qui fais le charme des relations. Qu’elle sois compliqué, difficile, tous sauf linéaire. On se ferai chier si c’était le cas, si tout était parfait de A à Z sans aucune turbulence.
Je te l’accorde, on est pas des cadeaux. Mais bon, tous ça vaut le coup quand on trouve le bon. Enfin, j’espère.
Non parce que sinon, autant tout abandonner tous de suite. Laissant la jolie métisse approcher sa main, je ne peut m’empêcher de sourire devant sa difficulté à se priver de contact, heureusement que j’ai pris de bonne résolution, tous du moins, que j’essaye. Sans quoi, j’aurai bien eu du mal d’entrée dans le jeu, de provoquer, de titiller les résistances de la belle brune. Toutefois, je m’allonge à moitié sur le banc, venant déposer mon tête sur les cuisses de Marley, ne relevant que mon regard vers elle.
T’inquiète ! Me concernant en tous cas, je serai aussi sage qu’un moine tibétain en ta compagnie.
Relevant simplement ma main et levant mon petit doigt vers elle.
Et en retour, je veut le numéro d’une de tes copines. Faut bien compenser non ?
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
« Je te l’accorde, on est pas des cadeaux. Mais bon, tout ça vaut le coup quand on trouve le bon. Enfin, j’espère. » Elle hocha la tête en silence constatant avec amertume que le bon elle l'avait déjà trouvé mais qu'elle l'avait perdu. Elle savait que c'était Jackson. C'était lui et pas un autre. Bien sûr leur relation était loin d'être un long fleuve tranquille, il y avait de nombreux hauts, comme des bas, mais elle l'aimait d'un amour sincère et il était seul à réellement réussir à la supporté dans son entièreté. Il connaissait le moindre de ses défauts et faisait avec, même si ce n'était jamais simple. Elle fut sortie de ses pensées lorsqu'elle sentit la tête de Malik se poser sur ses genoux. Elle fronça les sourcils tandis qu'il lui disait : « T’inquiète ! Me concernant en tous cas, je serai aussi sage qu’un moine tibétain en ta compagnie. » et finit par pousser un soupir amusé. Sage comme un moine ? Dans ces cas-là, que faisait-il allongé sur ses genoux alors qu'elle avait elle-même du mal à garder ses distances physiques ? Elle ne dit rien, observa simplement son doigt qui la pointait : « Et en retour, je veux le numéro d’une de tes copines. Faut bien compenser non ? » Elle lui mit une tape sur le haut du crâne et ronchonna : « Y en a aucune qui m'arrivera à la cheville. » Comment ça compenser ? Elle lui tira la langue et finit par accepter : « Tu veux quoi ? Danseuse ? Chanteuse ? Mannequin ? Comédienne ? Strip-teaseuse ? » un petit sourire taquin s'afficha aux coins de ses lèvres tandis qu'elle regardait à nouveau au loin.
Elle aimait la relation qu'elle avait avec Malik. Tout était si simple entre eux. Il n'y avait jamais eu de malentendu, tout avait toujours été clair et naturel. Elle ne se posait pas mille questions à ses côtés, ne cachait pas qui elle était. C'était toujours un plaisir de passer du temps avec lui. Machinalement alors qu'elle observait des enfants jouer au loin, elle passa une main dans ses cheveux et lui caressa la tête. L'esprit de la métisse était embrumé par cette histoire de clip et par le fait qu'elle ait couché avec Malik. Elle connaissait Jackson, elle savait que cela ne passerait pas, qu'il ne digérerait pas l'information et qu'il n'accepterait aucune explication. Ca la tétanisait. Au fond, elle n'avait rien fait de mal. A l'époque, elle était célibataire, elle n'avait pas encore revu l'agent. L'épisode de la laverie et tous ceux qui avaient suivi n'existaient pas. Elle n'avait rien fait de mal. Elle se le répétait en boucle mais n'arrivait pas à s'en convaincre. Au fond d'elle, elle savait qu'elle avait merdé en beauté. Sans oser regarder Malik elle murmura : « Il saura. » Il n'y avait aucun doute quant au « il » concerné. Evidemment qu'elle parlait de Mills, tout revenait toujours inlassablement vers lui. La maquilleuse baissa le visage et finit par exprimer le fond de sa pensée : « Il me connaît par cœur. Il saura que je mens. Je crois que je ne pourrai pas. Je n'y arriverai pas. » Si Jackson venait à lui demander si elle avait couché avec Malik, la jeune femme savait qu'elle allait céder et balancer la vérité. Tous les plans qu'ils auraient beau élaborer avec Malik n'y changerait rien. Elle savait qu'elle allait bousiller sa relation avec Jackson et qu'en plus de ça elle risquait de briser une amitié entre le rappeur et l'agent. « On est foutu » acheva-t-elle d'une voix étranglée par les remords.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Chasser le naturel et il reviens au galop. Je plaisante, mais le fait est que nous avons toujours eu cette proximité ou presque Marley et moi. Pour autant, les limites sont dorénavant fixer et je suis certain d’être capable de les tenir, pour nous deux si il le faut. Toutefois, Rome ne c’est pas faite en un jour et faut pas trop m’en demander d’un coup. Poser sur les cuisses de la jolie métisse, je n’ai que mon regard qui est relevé vers elle. Je ne peut m’empêcher de lever les yeux au ciel d’amusement face à la réplique de la maquilleuse. Dans le fond, est ce qu’elle a vraiment tort ? Est ce que d’autre lui arriveront à la cheville. Je ne pense pas, je ne compte pas faire de comparaison après tous. Ce que je sais en revanche, c’est que je cherche celle qui peut potentiellement partager ma vie. Désespérément. Bon, désespéré c’est peut être fort comme mot, mais je commence à me dire que je trouverai pas. Et auquel cas, avoir une conquête, un nouveau plan dans le secteur, ça serai pas trop.
Chanteuse ! Comme ça, en plus de passer de bon moment, qui sait, je trouverai peut être un feat intéressant pour le prochain album.
Tout sourire aux lèvres, la suite prête beaucoup moins à la joie. Le réalisme froid mais pourtant véridique de Marley plombe l’ambiance. Mais el’e a raison, on est foutu. Elle ne pourra pas mentir à Jackson, et je le comprend totalement. Dans le fond, j’ai pas envie de lui mentir non plus. Je veut juste couvrir la Lynch, je veut lui éviter des emmerdes. Ce que je ne sais pas, c’est que quelques jours plus tard, un genou sur la gorge plus tard, c’est moi qui balancerai la bombe. Et c’est peut être le plus intelligent à faire. La vérité, mieux vaut qu’il l’apprenne d’elle ou de moi qu’en fouillant par lui même.
Sans doute.
Qu’il le saura, qu’on est foutu, ça marche pour tout. Mais ce qui est fait est fait. On aurai dû y penser. Avant de se jeter l’un sur l’autre, avant de faire voler nos vêtements à travers la pièce. Il aurai fallu juste réfléchir. Maintenant, la faute est commise et va falloir faire avec. Ça va être compliqué, mais je ne le répéterai jamais assez. Je serai présent pour aider Marley.
Et on finira par s’en sortir. D’une manière ou d’une autre. Le temps fera son œuvre.
J’essaye de la rassurer, mais je sais que ça sert à rien. Je me doute que ça va droit dans le mur et sans freiner en prime. C’est là que mon portable sonne. Je le sort afin de regarder et découvrir le message d’un producteur, un acteur avec qui je vais travailler pour son prochain film.
Le devoir m’appelle. On se tiens au jus.
Je me redresse, passe un bras autour d’elle afin de la ramener contre moi et je fini par déposer un baiser sur son front.
Je suis là. Tu peut compter sur moi. On va gérer. D’une façon ou d’une autre.
Dire que je suis déjà prêt mentalement à une confrontation avec l’agent. Loin de me douter que finalement, on est jamais prêt pour ça. Finalement, je m’éloigne de la belle métisse. Faut dire que cette rencontre non prévu est importante pour ma carrière, je peut pas me permettre de passer à côté.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
« Chanteuse ! Comme ça, en plus de passer de bons moments, qui sait, je trouverai peut être un feat intéressant pour le prochain album. » Elle rit tout en roulant ses yeux en l'air. Jamais il ne perdait le nord celui-ci. Un soupir amusé échappa de ses lèvres tandis qu'elle répondit : « C'est noté. » Elle n'eut pas la force et le coeur de lui avouer qu'elle connaissait très peu de chanteuses. Ces dernières avaient tendance à choisir d'autres maquilleuses qu'elle. Une histoire d'égo sans doute. Marley avait toujours trouvé cela ridicule. C'étaient elles qui étaient sur le devant de la scène, sous les projecteurs. La métisse, elle, restait tapie dans l'ombre. La jalousie qu'elles pouvaient éprouver vis-à-vis de son physique ou de son assurance était ridicule mais Marley s'était fait une raison : Les femmes, en règle générale, n'aimaient pas travailler avec elle.
Malik acquiesça lorsqu'elle exprima ses craintes et qu'elle lui avoua que leur plan était voué à l'échec. Ni lui, ni elle n'étaient assez naïfs pour imaginer pouvoir se sortir de cette histoire indemnes. Ils avaient merdé, ils devraient dorénavant en assumer les conséquences. Marley était hypocrite sur ce coup-là et elle en avait pleinement conscience. Dire qu'elle regrettait ce qu'elle avait fait était un mensonge. Ce jour-là, sur le tournage, elle en avait eu envie. Dès qu'elle avait croisé le regard de Malik ou sentit sa peau sous ses doigts elle n'avait pensé qu'à cela : Finir la journée dans ses bras et dans son lit. C'était ce qui s'était passé et sur l'instant c'était ce dont elle avait eu besoin. A l'époque – comme aujourd'hui d'ailleurs – elle était célibataire, elle ne devait rien à personne. Là où l'erreur était sans doute impardonnable, c'était qu'elle avait choisi de coucher avec Malik. Les liens qui l'unissaient à Jackson étaient trop importants pour que cela ne soit effacé et pardonné d'un revers de main. Elle le savait pertinemment.
Plongée dans ses pensées, elle se redressa lorsqu'elle entendit le portable de Malik sonner. La main qu'elle avait dans ses cheveux retrouva une place adéquate, posée sur le banc à côté d'elle. « Le devoir m’appelle. On se tient au jus. » Elle se laissa entraînée contre Malik et ferma les yeux lorsqu'il déposa un baiser sur son front. Elle huma une dernière fois son odeur enveloppante et rassurante et lui fit un petit sourire lorsqu'il acheva : « Je suis là. Tu peux compter sur moi. On va gérer. D’une façon ou d’une autre. » Elle hocha affirmativement la tête et l'observa s'éloigner. « Malik ! » cria-t-elle assez fort pour qu'il s'arrête l'espace de quelques secondes. « Je suis heureuse de t'avoir. » Et elle laissa le jeune homme s'éloigner. La brune resta dans le parc quelques minutes de plus, assez pour accepter la fatalité qui risquait de lui tomber sur le coin du nez incessamment sous peur. Elle aurait beau tout imaginer, elle savait que rien ne pouvait la préparer à ce qu'elle allait devoir affronter. C'était un fait. Dans un soupir résigné, elle se leva et quitta le parc pour s'enfermer à nouveau chez elle.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on