| (mine #9) fire is great, but we're made of water |
| ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Ven 13 Jan 2023 - 15:13 | |
| fire is great, but we're made of water Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
C’était à ça qu’elle ressemblait alors, quand elle pétait une durite, et que sa colère se répandait sur autrui sans qu’elle n’en ait rien à foutre de faire des dégâts ou pas ? Sur le moment, Jo aurait bien rappelé à Cassie qu’elle n’était pas son assistante, qu’elle n’avait pas besoin de monter au créneau pour lui exposer les tenants et les aboutissants d’une situation qu’elle ne comprenait pas elle-même, et tout ça en lui gueulant joyeusement dessus. Mais la vérité, c’était que l'annonce qu’elle lui avait faite en s’engouffrant dans la pièce, telle une tornade dévastatrice de la même espèce que la sienne, l’avait sonnée au point que pendant tout le laïus moralisateur de la blonde, elle était restée incroyablement silencieuse ; à suivre des yeux les mouvements qu’elle faisait de long en large de sa chambre d’hôtel, ses mains s’agitant devant elle pour marquer et souligner des paroles que Jo essayait de suivre tant que bien que mal, sagement assise au bord de son lit. Il a décidé d’abandonner. C’était comme ça que Cassie s’était annoncée. Il s’avérant être Midas, qui d’autre ? L’espace d’un instant, Jo s’était retrouvée la bouche entrouverte, restant derrière la porte qu’elle avait ouverte à l’assistante du jeune homme en se disant putain, non. C’était prévisible pourtant, elle aurait dû le voir venir ; parce que leurs intentions étaient les mêmes dans le fond, que l’un était là parce que l’autre l’était aussi, et que compte tenu du traitement de silence avec lequel ils se soignaient l’un et l’autre depuis le premier prime, c’était une question de temps avant que la tension soit trop difficile à supporter pour à peu près tout leur entourage et que ça fasse jaser sans qu’ils ne puissent se défendre et expliquer ce qu’il s’était vraiment passé. Rien. Absolument rien, et c’était bien ça qui serait le plus compliqué à justifier. Le deal n’était pas celui-ci, elle l’avait déjà entendu dire de la part d’un des producteurs du programme qui se désolait d’observer les remparts qu’il y avait entre eux, malgré leurs maigres efforts pour respecter la promesse tacite faite à la signature de leur contrat. Reste professionnelle, putain, c’était ce que Midas lui avait dit, et c’était ce qu’elle faisait depuis, Jo. Mais c’était tout ; pas de complicité, pas de dialogues, pas de regards… pas par manque d’envie, de la part de la jeune femme en tout cas, mais parce qu’elle se sentait honteuse d’avoir démontré qu’elle était peut-être bien la peste qu’on l’accusait d’être sous l’unique prétexte qu’elle ne supportait pas de sentir qu’il y avait quelque chose qui grouillait dans l’espace qui les séparait plus que jamais et qu’elle ne savait pas comment faire pour le gérer sans que ça ne détruise à peu près tout ce en quoi elle croyait, elle-même inclus. On pouvait s’amuser de son caractère volcanique, il commençait pourtant à lui causer assez de tort pour qu’elle comprenne peu à peu que c’était devenu un vrai problème ; et sa pensée se synchronisa avec la mise en garde de Cassie qui lui avait craché je sais pas ce que c’est votre problème, mais c’est hors de question qu’il abandonne. Elles étaient d’accord sur ça "Il est où, là ?" s’était-elle entendue lui demander en se levant du bord de son lit, se ranimant doucement de sa léthargie en fronçant les sourcils et en resserrant le chouchou de sa queue de cheval dans une inspiration profonde et inutile tant elle ne sentait pas soulagée d’avoir recommencé à respirer. Elle mentirait si dans le fond, l’irruption de Cassie n’arrivait pas à point nommé ; celui où elle en était venue à se dire que, puisqu’elle en avait envie, il lui suffisait d’aller le trouver pour lui présenter des excuses sans se cacher derrière des prétextes histoire de préserver sa si rutilante fierté. Elle avait pourtant du mal à se dire que c’était une bonne chose, qu’il prenne cette décision, qu’il lui offre l’opportunité d’aller le trouver à ce sujet, refusant tout bonnement d’envisager son départ comme la solution du problème qui leur causait autant de souci à rester sereins lorsqu’ils se retrouvaient dans la même pièce. Lorsqu’elle lui répondit qu’il était dans sa chambre, Cassie ajouta du sel à son discours pour lui faire entendre que c’était à elle de faire en sorte de le faire changer d’avis, et elle n’avait pas tort. Jo savait qu’il en était rendu à prendre cette décision à cause d’elle, et à cause de personne d’autre.
Elle n’avait eu qu’à faire quelques mètres pour se retrouver devant la porte de la chambre de Midas, l’étage réservé aux candidats les mettant tous plus ou moins sur le même piédestal. Pour autant, elle ne s’annonça pas tout de suite. D’abord, elle prit une profonde inspiration en se frottant les mains l’une contre l’autre tout en s’agitant sur ses jambes, un peu comme si elle s’apprêtait à entamer un sprint qui l’épuiserait, et puis elle baissa le bord de sa robe de part est d’autre de sa silhouette, se redressant dans la foulée en soufflant fort et longtemps. La nervosité, ce n’était pas un sentiment qu’elle avait l’habitude de ressentir, et pourtant il avait fait partie des dernières semaines qu’elle avait passé sur place à se demander comment faire pour se faire pardonner quand elle avait agi comme — comment avait-elle dit une fois, déjà ? — la pire des salopes. Une inspiration supplémentaire, et elle ferma le poing pour frapper résolument contre le bois de la porte, la tête tournée vers sa gauche où elle remarqua que Cassie l’encourageait d’un pouce levé qui termina en transversale de sa gorge dans une menace sans équivoque. L’entame était toute trouvée quand Midas ouvrit la porte, et que affrontant son regard pour la première fois depuis des jours, elle lui dit maladroitement, et sans délai "Je crois que j’ai compris pourquoi t’avais aussi peur de Cassie tu sais." Il ne comprendrait rien, et elle s’en fichait. Si ça lui permettait d’amorcer un semblant de dialogue, elle s’en cognait de parler javanais. Elle ne voulait pas s’adresser à lui trop frontalement, lui dire directement qu’elle avait appris la nouvelle, qu’elle était là pour le faire changer d’avis ; le frontal, ça ne fonctionnait pas, ou alors elle ne l’envisageait pas de la bonne manière, ce qui devait être le cas, elle l’avait appris à ses dépens. En décalé, Jo cligna des yeux, ne sachant quoi faire de ses mains qu’elle agrippa finalement à l’ourlet de sa robe pour en lever une juste après, désignant la pièce derrière Midas du bout des doigts "Je peux entrer ? T’as le droit de dire non." Elle le mériterait, mais ça lui ferait de la peine — ce qu’elle mériterait de ressentir aussi au passage, elle goûterait à sa propre médecine. Et une pause s’étira, juste assez pour qu’elle se fasse happer par la responsabilité qu’elle avait dans le délitement rapide de la relation qu’ils entretenaient, et qui était assez importante pour elle pour que, dans une tentative maladroite d’alléger l’atmosphère, elle ajouta finalement, un peu pour le convaincre de ne pas la repousser trop rapidement "Mais sache qu’elle a menacé de me tuer. T’as pas envie d’avoir ça sur la conscience." Ou au contraire : ça le soulagerait que quelqu’un le fasse à sa place, qu’est-ce qu’elle en savait. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Sam 14 Jan 2023 - 18:30 | |
| fire is great, but we're made of water Midas Sterling & @Jo Carter
Je ne vois pas ce que je fais encore ici.
Cette conclusion s’est imposée à moi et, étrangement, elle s’est parée des couleurs de la certitudes. Je ne suis pas ici pour remporter à nouveau un trophée qui m’est acquis, si je décide de le réclamer. Je ne suis pas ici pour reprendre des titres d’autres artistes devant un public bien moindre par rapport à celui des stades que je remplis. A la rigueur, je pourrais avancer que je suis là pour gagner du temps pour l’écriture de mon album, mais ne suis-je pas en train de prendre le risque que le label, motivé par l’envie de surfer sur la vague X-Factor me mette encore plus de pression à la sortie ?
Je serai prêt à prendre ce risque, s’il n’y avait pas Jo et l’état des choses entre nous. J’ai écris une chanson, au moins, pendant ces dernières semaines que je passe dans ma chambre d’hôtel quand je ne peux pas rentrer auprès de ma fille. Elle parle d’étincelle amoureuse qui n’a pas le temps de devenir un brasier, pas le bon combustible peut-être, elle parle d’espoirs qui font mal et elle parle de désillusion. C’est une bonne chanson. Une belle ballade comme en ont besoin tous les albums. Les ballades ne deviennent que rarement des single et, même dans le cas où elle ravirait et rassurerait le label, elle ne suffirait pas à définir la ligne conductrice de mon prochain projet. Pourtant, revigoré par le fait d’arriver à écrire quelque chose pour la première fois depuis des mois, quelque chose d’abouti, je me jette corps et âme là dedans. Je teste des accords de guitare et, bientôt, j’entends une mélodie. La vérité, c’est que je fais tout pour éviter de laisser mes pensées voguer jusqu’à Jo Carter. C’est un échec : bien sûr que cette chanson parle d’elle, de nous, ou plutôt de ce que nous aurions peut-être pu être, si elle ne me haissait pas.
Je ne vois pas ce que je fous encore ici, je l’ai annoncé à la production ce matin. J’ai affirmé vouloir partir, être prêt à jouer le jeu et prétendre à l’écran que j’abandonne la compétition pour problèmes familiaux, puisque c’est de monnaie courante dans les émissions de télé-réalité ou les télé-crochets. Tout le monde est révolté, mais je m’en fous. Qu’il me fasse payer une amende pour avoir rompu mon contrat : j’ai largement de quoi couvrir les dépenses sans que cela ne constitue pas la moindre différence pour mon compte en banque après ça. Même Cassie n’a réussi à me faire flancher, changer d’avis ou même promettre que j’allais y réfléchir. Ma décision est prise, c’est ce que je me répète quand on frappe à la porte. Je me promets que quelle que soit la personne, production ou manager envoyé par la chaîne, cela n’y changera rien.
Je m’attends à tout le monde, sauf à Jo.
Pourquoi le ferais-je ? Elle m’a demandé de la laisser tranquille. Elle préfèrerait que je ne sois jamais revenu dans sa vie. Elle a dit toutes ces choses et plus encore, trop pour que j’arrive à me dire qu’il ne s’agit que d’un coup de sang. « Je crois que j’ai compris pourquoi t’avais aussi peur de Cassie tu sais. » Foutue Cassie. Puisqu’elle n’as pas réussi à me faire manger dans sa main - c’est sa spécialité - elle a envoyé la seule personne capable de me sortir de ma léthargie. Elle doit être bien désespérée, pour avoir demandé à Jo d’intervenir puisqu’elle sait qu’elle prend des risques, que ce sera quitte ou double. « Elle aurait pas dû t’emmerder. Je suis désolée si elle - » - « Je peux entrer ? T’as le droit de dire non. » Pourquoi demanderait-elle à entrer si elle est là pour mettre les points sur les i et me demander de tenir ma jeune assistance en laisse ? Je reste coi et muet face à une Jo qui a l’air plus mal à l’aise que je ne l’ai jamais vue l’être. Elle a confiance en elle et sa valeur, la chanteuse. Personne ne peut la faire douter ou la dévier du chemin qu’elle a choisi. Elle n’a rien à voir avec cette jeune femme hésitante et visiblement angoissée que j’ai face à moi. Si je n’aime pas ce spectacle, c’est parce que je n’aime pas l’idée d’en être la cause. « Mais sache qu’elle a menacé de me tuer. T’as pas envie d’avoir ça sur la conscience. » Je secoue la tête - non, je ne veux pas ça, pas parce que je ne veux pas qu’elle entre, avant de reculer d’un pas et d’ouvrir la porte de la chambre d’hôtel un peu plus grand. « Entre. Je sais qu’elle en est capable, et après elle viendra pour moi. » La petite blonde n’est pas vraiment effrayante, mais je n’ai pas envie de m’attirer ses foudres. « Je pensais que si quelqu’un était assez dure à cuire pour lui tenir tête, c’était toi. » Je pâlis à l’idée qu’elle ait été dans la même pièce et qu’elles se soient vraiment écharpées. Que Cassie lui a-t-elle dit ? « Qu’est ce qu’elle t’a dit ? » Certainement lui parler de ma décision, elle a de la ressource, mon assistante, je ne peux pas lui enlever ça. « Elle aurait pas dû te mêler à ça. C’est la dernière chose que je veux. » Je connais le goût de la culpabilité. Je ne veux pas de ça pour elle. Pas alors qu'elle a été claire sur ce qu'elle ressent dans toute cette histoire.
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Dernière édition par Midas Sterling le Dim 15 Jan 2023 - 20:08, édité 1 fois |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Dim 15 Jan 2023 - 9:25 | |
| fire is great, but we're made of water Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
Le signe de négation de Midas, Jo le prit d’abord comme un refus qui lui fit pencher la tête sur sa propre épaule en fronçant les sourcils, prête à réceptionner un coup qu’elle aurait accepté de recevoir sans riposter. Mais ça, ce fût avant qu’il n’ouvre enfin la bouche pour lui donner le feu vert. Elle n’hésita même pas, elle entra sans demander son reste, passant, tête baissée, devant lui pour laisser la harpie de Cassie à l’angle du couloir de l’hôtel, pressée d’échapper à la pression de son regard furax qu’elle sentait peser sur ses intentions qui, croyez-le ou pas, étaient pures à ce moment-là. Elle laissa un soupir de soulagement lui échapper en profitant d’être la première à entrer dans la pièce, ses doigts triturant toujours l’ourlet de sa robe qui lui tombait à peine au-dessus des genoux, pour ne pas donner l’impression que s’il l’avait repoussé, ça lui aurait définitivement brisé le coeur, bien que de nouveau, elle ne prétendait pas ne pas le mériter. C’était tout le contraire. Elle savait quel genre de personne elle était, elle savait qu’elle était capable de dire tout et son contraire pour obtenir le dernier mot, et ce sans jamais vraiment penser ce qui dépassait la barrière de ses lèvres redessinées au crayon. En partie, c’était pour ça qu’elle avait besoin de la musique, Jo : ça canalisait ses pensées, ça les remettait dans le bon ordre pour la rendre un peu plus apte à exprimer les choses comme elle les ressentait sans pour autant les dire, préférant plus que tout les chanter. Elle posa un regard à demi absent dans la pièce qu’ils rejoignirent, la voix de Midas résonnant de nouveau comme elle se tournait vers lui pour, le regardant tâtonner autant qu’elle le faisait, se demander ce qu’il pensait vraiment de tout ça. Et la sensation de gâchis qui lui tordit le ventre et qu’elle avait été la seule à causer lui fit immédiatement regretter de s’être amenée sans avoir rien préparé de concret à lui dire, craignant sa propre capacité à tout détruire, même quand elle ne le souhaitait pas. Il méritait pourtant des excuses, des vraies "Ouais, et ben j’essaye d’être moins dure à cuire et plus gentille fille depuis quelques temps." Même s’ils s’évitaient, il l’avait sans doute remarqué, son calme ayant été source d’inquiétude de la part de certains membres de l’équipe au cours de ces dernières semaines "Et franchement, elle est persuasive. J’ai même pas essayé de parler plus fort qu’elle." Elle lui demanderait pardon plus tard, elle se laissait le temps de mieux mûrir les choses, et ce même si elle n’avait pensé qu’à ça ces derniers temps. Elle le plaignait dans le fond, de devoir les supporter à intervalles réguliers, elle et ses sautes d’humeur. L’avantage, c’était qu’elle savait en effet qu’elle n’était pas facile, ça ne voulait pas pour autant dire qu’elle se gargarisait de l’idée qu’elle était difficile à cerner, ne sachant pas véritablement ce qui la faisait agir de cette façon plutôt que d’une autre, s’étant trop habituée à laisser ses impulsions parler pour elle et la sensibilité qu’elle dissimulait derrière plus par commodité que par volonté. Elle refusait d’entendre quand on la qualifiait de compliquée, comme Midas lui-même l’avait déjà fait à de maintes reprises, mais le fait était qu’elle l’était un peu, c’était vrai.
Se détournant de lui, ne sachant pas comment le regarder, elle resta sur sa ligne de conduite, celle qui l’empêchait d’être trop frontale pour une fois. Lorsqu’elle remarqua un ensemble de cannettes de Red Bull abandonnées sur sa table de chevet, elle sauta sur l’occasion pour les pointer du doigt au lieu d’en venir tout de suite à lui parler de ce que Cassie lui avait dit exactement pour que ça l’incite à se pointer à pas d’heure à la porte de sa chambre d’hôtel "Tu sais que des gens sont morts pour avoir dévalés trop de Red Bull ?" Comme si elle était venue le voir pour lui faire un bilan de santé, comme si elle était venue pour faire comme elle faisait à chaque fois qu’ils se retrouvaient tous les deux dans son studio et qu’elle se chargeait de jeter toutes les cannettes de toutes sortes qui traînaient. Là, elle ne le fit pas, restant un instant sans savoir quoi faire, quoi dire de plus, avant de reprendre d’une voix blanche, faisant mine que son attention était happée par autre chose que l’espace qui les séparait "Elle m’a dit que t’avais décidé de partir." Ça se résumait à ça, il n’y avait pas vraiment eu d’autres annonces que celle-ci — c’était déjà celle de trop, celle dont elle avait eu personnellement besoin pour se dire qu’elle n’était qu’une conne et qu’à défaut de savoir quoi dire, elle pouvait au moins faire ce qu’on lui demandait quand on le lui demandait sur le ton que Cassie avait employé pour lui faire entendre que c’était sa responsabilité, qu’elle devait se débrouiller pour le convaincre que c’était une mauvaise idée. Elle eut un léger rire, du genre un peu sarcastique à ce que Midas ajouta. Et elle reprit vie, Jo, abandonnant l’ourlet de sa robe pour lever l’une de ses mains histoire de suivre la ligne épaisse de sa queue de cheval du bout des doigts tout en marchant au hasard dans sa chambre. Elle se posa, debout, près d’une commode à côté de laquelle elle campa, mal à l’aise, et la tête rentrée dans les épaules quand elle rétorqua "Puisque tout le monde semble penser que c’est de ma faute, je crois que c’est pas tellement important que ce que tu veux, Midas." Et franchement, elle ne le disait même pas dans le but de raviver leurs tentions, elle le disait parce que dans tous les cas, c’était comme ça qu’elle le ressentait, elle aussi. Elle avait beau être une peste, elle n’était pas idiote : elle savait que c’était la vérité, et elle s’en voulait à un point qu’elle n’aurait jamais pu penser possible, au point que quand elle reprit la parole, ses yeux cherchant les siens à distance pour lui demander de confirmer, d’abord par la pensée, elle entendit sa voix accuser une fêlure qui lui donna envie de se taper la tête contre les murs "C’est vrai, t’as décidé de t’en aller ?" i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Dim 15 Jan 2023 - 20:36 | |
| fire is great, but we're made of water Midas Sterling & @Jo Carter
Jo est là, et elle me prend de court. Au point que je me sente particulièrement con. Je n’attendais pas le moindre geste de sa part, même malgré mon départ. Je ne l’ai pas annoncé en l’espérant qu’il pousserait la blonde dans ma direction, pas plus que je n’ai tenté la moindre manipulation. J’espère qu’elle le sait. J’espère qu’elle sait que ce n’est pas un geste désespéré de ma part dans le but d’attirer l’attention sur moi. Je m’accroche à l’idée que, qu’elle me haïsse ou pas, elle me connaît un petit peu. « Ouais, et ben j’essaye d’être moins dure à cuire et plus gentille fille depuis quelques temps. » - « C’est quoi, un genre de résolution de la nouvelle année ? » Je n’ai pourtant pas l’impression que la brune fasse partie des gens qui estiment qu’ils ont quelque chose à changer. Au contraire, elle est assez sûre d’elle et de sa valeur pour avoir - trop - tendance à remettre la faute sur les autres et, ce petit inconvénient mis de côté, je l’ai toujours beaucoup admirée pour la confiance qu’elle dégage. Jo, elle donne l’impression qu’elle a un chemin tout tracé et que rien ne la fera dévier de sa route. J’aimerais dégager la même assurance. Moi, je n’en suis capable qu’une fois sur scène : face à un public, je me transforme. « Et franchement, elle est persuasive. J’ai même pas essayé de parler plus fort qu’elle. » - « Mauvaise idée, elle aurait certainement ameuté tout l’étage. » Quand elle décide de ne pas laisser qui que ce soit en placer une, mon assistante est capable de tels extrêmes. La plupart du temps, elle emploie ses talents à mon avantage, pour ma protection ou celle de mes intérêts, donc je n’envisage pas de m’en plaindre. Mes je me souviens encore des rares fois où je me suis attiré ses foudres.
Je n’envisage pas de ne pas laisser Jo entrer. Je ne la repousse pas à cause des mots durs qu’elle a eu à mon égard, même si elle l’aurait peut-être - sans doute - mérité. Je n’en suis tout simplement pas capable et, si j’ai l’impression que je n’ai pas fini de prendre des coups dans la gueule à cause d’elle ou en tout cas à cause de l’effet qu’elle me fait et que je ne sais pas contrôler, je suis incapable de la repousser pour autant. Je me fais l’impression d’un idiot, d’un type pathétique prêt à acourir si on le siffle mais, la vérité, c’est que ce que j’ai fait l’autre soir - la remettre à sa place sans violence mais sans délicatesse puis m’échapper - c’est le maximum que je suis capable de faire, la concernant. Et là, tout de suite, je n’en ai pas envie, pas alors que je sais qu’une fois que j’aurais quitté l’émission, nous risquons de redevenir des étranger. « Tu sais que des gens sont morts pour avoir dévalés trop de Red Bull ? » J’esquisse un sourire sans âme en jetant un coup d'œil aux cadavres des canettes abandonnés sur une bonne partie des meubles de la pièce. Pour m’occuper les mains, j’attrape l’un deux - le plus près de là où je me suis arrêté, je n’ose pas bouger bien plus - avant de hausser les épaules. « Je suis presque certain que c’est une légende urbaine, ça. » Ou peut-être pas, mais j’ai besoin de ce shoot supplémentaire d’énergie pour être concentré, pour créer sans pensées parasites et… C’est plus sain que de la drogue ou de l’alcool. « C’est ma coke. Je suis une rockstar en carton. » Bien loin d’en imiter le train de vie décadent en tout cas. « Tu pourrais dire au monde entier que Midas Sterling est accro à la caféine et la taurine, et qu’une petite blonde d’un mètre soixante lui hurle dessus dès qu’il sort du rang. » Mon sourire est un peu plus franc, mais bien timide, quand j’évoque la possibilité qu’elle vienne ternir mon image de bad boy en la remplaçant par celle d’un enfant sage.
« Elle m’a dit que t’avais décidé de partir. » - « Ah ça. » Je dois avoir l’air particulièrement con, à prétendre que je suis surpris alors qu’il n’y a pas d’autre explication plausible. Mal à l’aise, je continue à jouer avec la canette dans mes mains, sans oser la regarder droit dans les yeux plus d’une ou deux seconde d’affilée. « Puisque tout le monde semble penser que c’est de ma faute, je crois que c’est pas tellement important que ce que tu veux, Midas. » - « Faut pas que tu le penses. J’ai pas envie que ça te sorte de la compétition. » Parce qu’elle mérite de gagner et que, avec moi sorti du paysage, elle a toutes ses chances de devenir la favorite de la production, si elle arrive à garder son contrôle son tempérament excessif et indomptable. « C’est vrai, t’as décidé de t’en aller ? » Je pousse un soupir et, avant de lui confesser que oui, évidemment que c’est vrai, je décide qu’elle mérite que je la regarde dans les yeux, en lui disant ça. « Ouais. Mais pas de départ dramatique, je veux pas attirer la lumière sur moi. J’annoncerai que j’ai des problèmes familiaux qui me forcent à rentrer à Brisbane, et que j’ai pas d’autre choix que d’arrêter la compétition. Je sais pas pourquoi Cassie et mon manager en font tout un plat, c’est pas le genre de truc qui peut faire du mal à ma carrière. » C’est même monnaie courante, dans le monde du divertissement. Personne n’est dupe, tout le monde sait que cela cache souvent autre chose, mais personne n’ose demander, au regard du côté personnel de l’excuse donnée.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Lun 16 Jan 2023 - 10:34 | |
| fire is great, but we're made of water Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
"Quelque chose comme ça." Non, ce n’était pas une résolution pour la nouvelle année. Les résolutions, elles étaient faites pour ne pas être tenues et pour se donner bonne conscience. Pour le côté bonne conscience, ça aurait pu matcher, mais pour le reste, elle essayait vraiment, et ça aurait dû compter pour quelque chose. Elle s’échinait rarement à adopter une certaine conduite, Jo était trop intuitive et impulsive pour ça, sauf que depuis près d’un mois, elle se tenait à des principes simples, pour le moins difficiles à respecter pour elle cependant. Le premier, le plus important en vérité, c’était d’éviter de se faire remarquer une fois les caméras braquées ailleurs que sur elle, et surtout de réduire l’impact de ses travers de drama queen — elle n’avait pas insulté Bethany une seule fois à haute voix depuis le premier prime, ce qui constituait un vrai exploit de sa part. Elle le savait, qu’elle avait gagné la sympathie de l’équipe durant toute la période de préparation du premier prime, elle savait aussi qu’elle l’avait perdue à la seconde où elle avait fait valoir ses caprices, mettant Midas en porte-à-faux en l’obligeant à la remettre à sa place. Aussi curieux que ça pouvait paraître quand on connaissait un minimum le personnage qu’elle s’était crée au fil des années, elle qui adorait l’idée d’être à la fois crainte et admirée, elle ne voulait pas qu’on la considère comme une bombe à désamorcer. Et pourtant, c’était ce qu’elle était. De fait, elle la bouclait plus souvent qu’à son tour, se faisant discrète parce que c’était plus facile comme ça, et que sans Midas pour faire la balance, elle ne voyait pas de raison d’agir autrement. D’autant que c’était pour lui aussi, qu’elle ménageait ses effets, pour que la production ne le juge responsable de leur choix de la faire revenir quand elle savait qu’il avait oeuvré pour ça tout du long, leur faisant miroiter sa propre participation à une seule et unique condition. Il avait perdu au change, il devait le regretter, et c’était bien normal. La seule chose qu’elle pouvait vraiment faire pour ne pas envenimer la situation, pour éviter de le mettre dans une position plus délicate encore, c’était de prendre sur elle. C’était ce qu’elle avait fait face à Cassie dont elle reconnaissait le tempérament, assez similaire au sien, pour qu’elle sache sans que Midas n’ait vraiment besoin de lui confirmer qu’elle avait eu raison de l’écouter et d’obtempérer.
"Tu diras pas ça quand tu mourras après avoir dévalé trop de Red Bull." L’impression d’évoluer comme un éléphant dans un magasin de porcelaine s’immisça dans la façon qu’elle eut de se tenir ; droite, les mains pesant lourd au bout de ses bras, tellement qu’elle ne savait pas quoi en faire. Elle détesta la manière qu’ils eurent de tourner autour du pot. C’était étrange, il y avait rarement eu des moments de flottement avec Midas, et là tout était en suspens, et pas d’une façon agréable. C’était angoissant, de se dire qu’elle était là pour une raison particulière tout en en couvant une autre, et c’était parce qu’elle ne savait pas tempérer son énergie agressive qu’elle préférait d’abord envisager un autre sujet, quitte à donner la sensation d’être là par dépit. Elle ne savait juste pas comment aborder le sujet sans paraître trop brusque et vindicative, quand dans le fond, une seule manière s’imposait à elle comme la meilleure à considérer : lui demander de revoir sa copie et de rester. Passant le bout de sa langue sur ses lèvres qu’elle sentait sèches, elle le laissa se caler sur le tempo qu’elle avait choisi sans avoir besoin de se mettre d’accord avec lui avant toute chose. Et la façon qu'il avait de prendre le train en marche sans donner l’air que ce n’était pas naturel pour lui, s’en remettant à sa cadence sans chercher à la faire ralentir ou accélérer, ça lui fit du mal d’une façon curieuse, de celle qui vous font réaliser que vous êtes le responsable d’une bêtise que vous avez imputé à autrui par lâcheté. Marchant au petit bonheur la chance, elle pinça finalement les lèvres lorsqu’elle s’arrêta dans un coin de la chambre, marquant un signe de négation de son côté lorsqu’il ajouta qu’elle pourrait ruiner son image si elle le voulait "Crois-le ou pas, je parle rarement de Midas Sterling à qui que ce soit." Il ne fallait pas qu’il se méprenne sur ces paroles-ci. Jo ne parlait pas de lui parce qu’il faisait partie de ses secrets, pas de ses tabous. Doucement, elle se laissa incliner en arrière, contre le mur sur lequel elle appuya son dos, ses mains se croisant entre ses reins et la surface qui la soutenait "Je vais pas commencer maintenant, surtout pas pour propager des rumeurs. Même si je crois que je pourrais en tirer un bon prix. T'es au courant que tu fais vendre du papier, hm ?" Bien sûr qu’il le savait, c’était pour gagner du temps qu’elle prit cette petite seconde pour jouer la comédie, l’imminence de la vraie raison pour laquelle elle était venue le trouver pesant sur la distance qu’ils maintenaient.
Jusqu’à ce qu’elle se décide à la partager avec lui sans que ça ne change grand-chose finalement, toujours l’un et l’autre reclus dans un coin de la pièce. En l’entendant prendre la parole, soutenant que l’avis des autres ne devaient pas la sortir de la compétition, Jo eut un froncement de sourcils, puis un très léger rire expulsé par les narines quand, remuant sur ses jambes pour les croiser, toujours appuyée contre le mur, elle rétorqua sans le regarder, préférant arrêter ses yeux sur le plafond de la chambre "Parce que tu crois vraiment que je vais rester si tu pars ?" Si l’idée en elle-même était révoltante sur un plan plus intime qu’elle n’oserait l’avouer tout de suite, ça l’était aussi parce que la vérité c’était que, sans Midas, le suspens n’en serait plus un. Avec les guignols qu’ils avaient en concurrents, la rumeur qui courrait à propos de la bonne place de Jo dans le classement final se confirmerait ; et elle aimait la compétition. Alors, à quoi bon ? Elle n’était pas remontée en selle pour que ce soit facile, Jo. Et sans Midas, ça le deviendrait. Elle ne voulait pas de ça. Mais avait-elle vraiment voix au chapitre ? Lorsqu’il lui confirma, affrontant son regard en même temps, qu’il s’en allait en déroulant l’excuse qu’il avait préparé avec la production pour expliquer sa décision, elle sentit quelque chose se rétracter dans sa gorge, et son regard flancher pour se détourner sur le premier mur qu’elle trouva quand elle tourna la tête pour la secouer doucement. Dans son dos, ses doigts se serrèrent les uns avec les autres pour lui rappeler qu’elle devait prendre les choses calmement — se faire un peu de mal, ça l’aidait souvent à restée concentrée sur un objectif "C’est quoi ta vraie raison ?" Elle osait lui demander, mais pas en le regardant. Elle ne le fit qu’une fois qu’il mentionna Cassie et son manager et qu’elle poursuivit à sa suite "Mais ça peut faire mal à ta réputation." Elle haussa les épaules en laissant son visage marquer l’emphase sur la déception profonde qu’elle ressentait à cet instant-ci, et qui n’était pas tellement dirigée contre lui "Ça te donne l’image de quelqu’un qui tient pas ses engagements. T’as signé un contrat, les gens attendent que tu sois là, et pas ailleurs." lui rappela-t-elle comme une femme d’affaire de pacotille qui avait signé le sien, de contrat, sans lire les petites lignes en bas de page. Reposant graduellement son regard sur lui, et ce après avoir laissé ses pupilles vadrouiller sur la cannette qu’il tenait entre ses mains, elle ne défroissa pas la ligne de ses sourcils lorsqu’elle ajouta sur le même ton, ses doigts se refermant résolument les uns sur les autres pour l’ancrer dans l’action de prendre les choses sereinement, quand elle sentait son coeur battre rapidement sous le fin liseré de son décolleté et chaque cellule de son corps se rétracter en prenant sens qu’elle avait une carte à jouer maintenant — et que ce n’était pas la plus jolie, mais au point où elle en était après tout "T’avais pas dit que tu me laisserais pas tomber ?" Elle sentit ses yeux se verrouiller si fort aux siens qu’elle s’en sentit troublée le temps d’un instant ; celui dont elle eut besoin pour déglutir difficilement et lui demander, avec une pointe de supplication qui la rendit si mal à l’aise qu’elle eut besoin de se repositionner brutalement contre le mur pour se donner une bonne contenance, sa tête s’inclinant un peu sur le côté en même temps "Fais pas ça." Reste, aurait-elle pu ajouter, mais elle ne le fit pas, comptant sur le bon sens du jeune homme pour qu’il comprenne que c’était ce qu’elle lui demandait, là. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Lun 16 Jan 2023 - 17:36 | |
| fire is great, but we're made of water Midas Sterling & @Jo Carter
« Crois-le ou pas, je parle rarement de Midas Sterling à qui que ce soit. » Je crois que la réponse adaptée serait je pourrais pas t’en vouloir de le faire puisque, sans surprise, je suis incapable d’en vouloir à grand chose à Jo. Si elle décidait de raconter tous mes petits secrets à la presse, je serais blessé mais je ne trouverai pas la force en moi de me dire que ce n’est pas mérité. Pas alors que j’ai parfaitement conscience de ce que je lui cache. Pas alors que, si j’avais été intègre, peut-être aurait-elle remporté le trophée. Je me suis souvent posé cette question : à ma place, qu’aurait fait Jo ? Les aurait-elle tous envoyé chier ou, comme moi, aurait-elle vendu son âme à la production ? Aurait-elle réussi à renoncer sur un futur brillant et toutes les opportunités que la victoire lui apportait ? J’étais déjà enfoncé dans mon mensonge jusqu’au cou, lorsque la brune et moi nous sommes rapprochés. Si elle était survenue plus tard pendant le concours, aurais-je été capable de dire non ? La chose qui me fait me sentir le plus coupable, c’est peut-être ça : de ne pas être certain de la réponse à cette question. Je voudrais dire que oui. Je voudrais dire que j’aurais été plus fort que ça mais je n’en suis pas sûr, et à chaque fois que j’y pense, dieu que j’ai du mal à soutenir le regard de Jo. « Je vais pas commencer maintenant, surtout pas pour propager des rumeurs. Même si je crois que je pourrais en tirer un bon prix. T'es au courant que tu fais vendre du papier, hm ? » - « Ouais, malheureusement, je suis au courant. » Je suis assez poursuivi par les paparazzis pour l’être. Je déteste ces vendeurs de scandales. Je déteste qu’ils me tiennent éloignés de ma fille et qu’ils la mettent en danger. « Mais t’as certainement des trucs plus intéressants que ça à leur raconter. » A quoi est-ce que je fais allusion, exactement ? Notre baiser, ou bien toutes l’électricité dont est chargé l’air dès que nous sommes dans la même pièce ? Jo n’a jamais utilisé notre histoire, ou pseudo-histoire après le concours pour attirer la lumière sur elle. Elle vaut bien mieux que ça, nous le savons l’un comme l’autre. Elle mérite de se faire un nom autrement qu’en parlant d’un autre, même si cet autre c’est moi.
« Parce que tu crois vraiment que je vais rester si tu pars ? » - « Fais pas ça Jo… » Ne me dis pas que tu me hais, que tu me déteste de toute ton âme et que tu aurais préféré que je ne vienne pas te chercher pour faire peser ma participation à l’émission dans la balance de la sienne. Ne me souffle pas le chaud puis le froid, je ne suis pas un garçon fait pour l’inconsistance. Peu rompu à l’art de la psychologie, j’ai besoin de pouvoir m’accrocher à des certitudes. Je sépare mes mains, je les présente mes paumes en signe d’impuissance. « T’as été claire la dernière fois et même si c’était pas agréable à entendre, je comprends que tu puisses ressentir… Ce que tu ressens. » Je n’ose même pas répéter ses mots à voix haute. ”Je te hais.” « C’est quoi ta vraie raison ? » Elle la connaît, la vraie raison. Je suis ici pour elle, pas pour remporter une victoire dont je n’ai pas besoin, une victoire que je lui ai d’ailleurs déjà concédée dans le plus grand des secrets. Je n’étais pas là pour moi, c’était clair dans mon esprit depuis le début. Alors si m’effacer est la meilleure chose à faire pour elle, je l’accepte. Cela me tord le ventre, mais je l’accepte malgré tout. « J’essaye juste de faire les choses bien, complique pas tout. » Je ne supporte plus cette distance entre nous quand nous sommes dans la même pièce. Je ne supporte plus de revivre cette expérience qui nous a rapprochés la première fois, cette nouvelle chance que je rêvais salvatrice, et d’assister impuissants au gâchis de ce qu’elle aurait pu être.
« Mais ça peut faire mal à ta réputation. » Je hausse les épaules. D’autres ont essayé de me convaincre en utilisant ces arguments là, mais ils ne font pas le poids. Je ne réfléchis pas avec mes intérêt en tête, mais avec mes tripes. « Ça te donne l’image de quelqu’un qui tient pas ses engagements. T’as signé un contrat, les gens attendent que tu sois là, et pas ailleurs. » Je pousse un soupir, et d’une main que je porte à ma nuque je me gratte la base du crâne. « C’est pas un abandon à X-Factor qui ternira mon image. La prochaine fois que je remplirai un stade, les gens auront oublié. » Et je le dis sans suffisance, mais avec la foi du type qui s’est inscrit au Revival en sachant très bien qu’il n’avait pas grand chose à perdre. Mes albums et mon nom rapportent bien trop d’argent pour qu’un abandon pèse lourd dans la balance, somme-tout. Et Jo le sait aussi bien que moi, alors je me demande pourquoi elle utilise de si futil argument quand elle en a d’autres à sa portée.
Les voilà, d’ailleurs. « T’avais pas dit que tu me laisserais pas tomber ? » Je ferme les yeux et secoue la tête. Bien sûr qu’elle va par là. C’est presque cruel, après m’avoir fait comprendre de façon on ne peut plus claire qu’elle ne voulait même plus chanter avec moi. « Fais pas ça. » - « Arrête Jo. » Mon ton n’a rien d’accusateur : au contraire, il est presque plutôt suppliant. « C’est pas ce que je suis en train de faire. Si t’as besoin de moi, je serais toujours là. » J’abandonne finalement ma canette, torturé par mes soins, et je fais quelques pas dans sa direction. « On sait tous les deux pourquoi je faisais cette émission. Tu l’as dit toi-même : j’avais rien à gagner. » La seule chose que je voulais récupérer, c’était elle. « Je le faisais pas pour ma carrière, et je le faisais à peine pour pallier mes problèmes d’inspiration. » Au mieux, le Revival m’accordait un délai supplémentaire pour ces derniers. « Je t’abandonne pas. Mais je supporterai pas deux mois supplémentaires à te voir faire tout ce que tu peux pour m’éviter. Je t’ai pas convaincue de faire ça avec moi pour que tu me détestes. » Je l’ai fait pour des raisons bien égoïstes.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Lun 16 Jan 2023 - 21:43 | |
| fire is great, but we're made of water Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
Elle n’avait pas le coeur à plaisanter. À un autre moment, la réplique aurait été toute simple et un rieur I don't kiss and tell, Midas lui aurait permis de reprendre la main sans se départir de la lueur de défi qu’elle avait parfois dans le fond des yeux lorsqu’elle voulait marquer son point, ou lorsqu’elle voulait lire dans les siens qu’il pensait exactement à la même chose qu’elle. Seulement là, elle se rendit compte qu’elle n’était pas venue pour jouer, Jo. Bien sûr qu’elle en aurait eu des choses plus intéressantes à raconter que ses habitudes de rockstar en carton, mais ses lèvres étaient scellées. Pour la presse, même pour ses amis, si tant était qu’elle en avait quelques-uns, et c’était le cas. Jo, elle traçait une limite tangible entre elle et Midas et les autres, c’était comme ça. Elle avait déjà la sensation d’en donner trop à l’écran, prise de court quand on lui demandait ce que ça voulait dire, le genre de regards qu’ils échangeaient entre deux phrases d’une chanson, pour en plus vouloir qu’on lui prenne de force ce qu’ils avaient réussi à construire en dehors des plateaux de télévision et qui, jusqu’à preuve du contraire, ne regardait qu’eux. Même si ce n’était pas très clair, même si ça restait au stade de fondations trop fragiles pour soutenir quelque chose de plus solide, il y avait bien quelque chose, et elle en était possesseuse de la moitié dont elle jouissait comme elle l’entendait, c’est-à-dire avec une pudeur étonnante venant d’elle et qui flirtait avec le secret jalousement gardé.
"J’arrive même pas à comprendre moi-même ce que je ressens, comment tu le pourrais." lui fit-elle avec un sarcasme de trop. Il y avait des moments, beaucoup de moments, où elle s’était dit qu’il la connaissait mieux qu’elle ne se connaissait elle-même, mais ça s’était effondré un peu plus chaque fois qu’il lui disait qu’elle était trop compliquée. Il l’était aussi, dans une mesure différente, qui la fit doucement secouer la tête lorsqu’il reprit la parole pour lui répondre sans vraiment le faire. Bien qu’elle connaissait la vraie raison de sa décision, la sentant envahir l’espace vide qu’elle ressentait au niveau de son estomac, elle avait besoin de l’entendre dire pour faire quelque chose de plus concret que d’essayer de le faire changer d’avis sous la menace de son assistante. Et fatalement, la frustration de se retrouver à devoir démêler un non-dit lui fit ouvrir la bouche trop vite et rétorquer "Non, tu penches juste vers le plus simple à faire pour te sortir de quelque chose que t’arrives pas à gérer. Je suis pas là pour compliquer quoi que ce soit, je tiendrai pas ce rôle-là ce soir." Ses doigts serrés entre eux dans son dos, elle les fit s’enrouler autour de son poignet pour exercer une pression féroce autour histoire de canaliser ses excès de verve, histoire aussi de se rappeler qu’elle n’était pas là pour lancer de nouvelles hostilités. Et si ça lui fit un peu mal d’enfoncer ses ongles dans sa peau à ce moment-là, ça lui fit beaucoup moins mal que de comprendre que cette fois, elle n’aurait pas gain de cause.
Il semblait déterminé, Midas, plus qu’elle ne l’avait jamais vu l’être auparavant. Elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même, et la panique s’empara d’elle sans qu’elle ne sache quoi faire d’autre que de rester-là, appuyée contre le mur de sa chambre d’hôtel, à le regarder remuer à l’endroit qu’il avait décidé d’occuper, ne sachant quoi faire de la cannette qu’il tenait entre ses mains. Dans le fond, le prendre par les sentiments, c’était à peu près tout ce qui lui paraissait habile pour le faire revenir en arrière — parce qu’elle n’était pas idiote au point de croire que le pouvoir qu'il avait sur elle, elle ne l’avait pas sur lui. Et bien qu’elle se détestait de le penser comme ça, elle n’était pas assez malhonnête pour ne pas s’avouer à elle-même que si elle versait dans le sentimentalisme à ce moment-là, remettant sur le tapis une promesse qu’il lui avait faite lors de la soirée de lancement de l’émission, c’était pour piquer quelque chose en lui qui le ferait reconsidérer les choses selon un point de vue simple, mais immuable : il était un homme de parole, Midas Sterling. Elle, elle en était persuadée en tout cas "J’arrêterai pas, Midas." D’une poussée avec ses omoplates, elle se décolla du mur au moment où il fit quelques pas dans sa direction, lâchant son propre poignet qu’elle sentait pulser lorsqu’elle balaya la longueur de sa queue de cheval avec sa main, rebondissant immédiatement sur ce qu’il ajouta, et ce sur un ton bien moins calme que quelques instants plus tôt. C’était difficile, de rester neutre quand on a la sensation que la situation vous file entre les doigts "C’est ça, comme si ton départ allait t’inciter à garder un oeil sur moi. À la seconde où t’annonceras au public que tu pars, tu refermeras la porte sur tout ça et tu vivras ta vie, et ce sera normal, prétends pas le contraire pour te sentir moins coupa…" Très brusquement, elle s’arrêta de parler simplement pour prendre une inspiration ; qui fut si profonde d’ailleurs, que sa tête s’inclina en arrière et que ses yeux se fermèrent fort, ses mains ayant marqué un stop physique juste devant elle tandis qu’elle réalisait qu’elle s’apprêtait à être dure et cassante. Elle devait gérer la colère qu’elle ressentait et qui n’était même pas dirigée vers Midas en réalité, et c’est ce qu’elle s’obstina à faire quelques secondes encore, ses yeux se rouvrant pour observer le plafond en l’entendant continuer de parler. Elle finit par baisser de nouveau la tête vers lui, trouvant son regard rapidement pour mettre tout aussi rapidement quelque chose au clair — et ses mains se baissèrent le long de son corps lorsque ses lèvres remuèrent pour lui dire "Je t’évite parce que je sais pas comment te dire que je suis désolée." Juste ça, elle ne voulait pas qu’il croit que c’était facile de le voir là et de rester à distance. Aussi, la manière dont elle affronta son regard lui servit à le lui faire comprendre pendant une poignée de secondes supplémentaires ; quand enfin, elle cligna des yeux pour finalement redresser la tête, et ajouter après un soupir hachuré, douloureux aussi "Et je te déteste pas." Le prenant de court à ce sujet juste au cas où il aurait envie de la mettre face à ses contradictions, elle secoua la tête pour l’arrêter et marquer son point en même temps "Je sais, j’ai dit le contraire. Si tu t’arrêtes sur toutes les saloperies que je dis Midas, on risque de jamais s’en sortir." Si elle apprenait à fermer sa gueule, ce serait plus facile aussi, mais faites ce que je dis, pas ce que je fais, c’était une politique qu’elle aurait pu porter sur un putain de t-shirt comme une marque déposée en son nom.
De nouveau, elle ferma les yeux en remuant juste assez la tête pour que ce soit perceptible, pinçant ses lèvres l’une contre l’autre pour retenir quelques instants encore ce qu’elle voulait ajouter à ce moment-là, et qui finit par sortir doucement, sans doute un peu trop doucement si on considérait qu’elle passait son temps à aboyer sur la première caravane qui lui passait devant la truffe "Tu me déstabilises." Et ça sonnait tellement pas elle qu’elle se sentit se désintégrer à l’instant où elle prit conscience qu’elle devait expliciter — ce qu’elle fit, pas de gaieté de coeur au demeurant, mais elle resta relativement droite sur ses appuis, la tête vrillée juste assez pour que son regard ne rencontre pas celui du jeune homme à ce moment-ci "Tu me dis des trucs auxquels je sais jamais comment réagir parce que j’ai pas l’habitude de les entendre." Et que ça la terrifiait un peu, de devoir y prêter autant d’importance quand elle savait que ça pouvait être aussi éphémère qu’une chanson de quatre minutes. Dans la foulée, elle fronça les sourcils pour continuer "Et tu m’accordes une importance que je sais que je mérite pas. J’ai toujours été injuste avec toi, et je sais pas pourquoi, comme je sais pas pourquoi c’est si important pour toi que je fasse partie de tout ça. J’ai l’impression qu’il y a un truc, mais j’arrive pas à mettre le doigt dessus, et ça me frustre." Comme un bon nombre de choses concernant Midas, d’ailleurs, et cette pensée lui fit prendre une nouvelle et profonde inspiration. Sentant son ton marquer sa volonté de ne pas flancher, Jo avait cependant le sentiment que c’était peut-être le meilleur moment pour elle de dire ces choses-là sans les regretter "Je sais que je suis pas une bonne personne. Je sais que je suis une bonne chanteuse, je vais pas faire semblant de pas croire en mon talent. Mais tu sais quoi ? Je suis tellement meilleure quand t’es là." Elle le savait, ça aussi, qu’elle avait dit qu’elle n’avait pas besoin de lui pour briller. C’était vrai. Pour autant, elle n’était pas ingrate au point de ne pas reconnaître que leur duo, c’était quelque chose comparé à ce qu’ils faisaient lorsqu’ils étaient seuls en scène "Et c’est ça que j’aime pas, c’est pas toi ; c’est juste le fait que ça là, ça me rend dépendante et vulnérable." Inutile de préciser qu’il s’agissait là de deux choses qu’elle refusait d’être sur une base quasi-quotidienne. Le silence pointa, et Jo marqua un temps juste pour, celui d’après, laisser un léger rire lui échapper pour faire descendre la pression, celle qu’elle sentait peser sur tout son corps qu’elle mut juste un peu, histoire de se donner le sentiment de ne pas avoir l’air idiote, flanquée à quelques mètres de lui, à affiner un discours qu’elle n’avait même pas préparé "Et pourtant, je suis là parce que t’y es, et je veux pas que tu partes." Alors que franchement, tout bien considéré, ça lui faciliterait la tache de ne plus le voir battre de ses longs cils plus souvent qu’à son tour. Putain de Midas. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Mar 17 Jan 2023 - 14:08 | |
| fire is great, but we're made of water Midas Sterling & @Jo Carter
« J’arrive même pas à comprendre moi-même ce que je ressens, comment tu le pourrais. » C’est l’un des problèmes de Jo - l’un des nombreux, diraient ses détracteurs - c’est qu’elle réagit, parle, s’emporte et gâche potentiellement des choses sous couvert de sentiments qu’elle ne comprend pas. Malheureux, démuni et impuissant, je la regarde avec tristesse, un regard qui semble dire ”pourquoi tu m’as dit ces choses-là Jo, si tu ne les penses pas ?” Moi, je me dis qu’elle n’assume plus. Qu’elle a parlé le soir du premier prime avec le cœur mais qu'à présent, elle a peur des conséquences. Pourtant, je fais tout pour lui faciliter les choses. Je n’ai pas fait de scène. Je n’ai pas refusé de me produire avec elle ces dernières semaines. Je ne l’ai pas logée à l’enseigne du silence. Je tente de rendre les choses moins désagréables pour tout le monde, et j’ignore ce que je pourrais faire de plus. « Non, tu penches juste vers le plus simple à faire pour te sortir de quelque chose que t’arrives pas à gérer. Je suis pas là pour compliquer quoi que ce soit, je tiendrai pas ce rôle-là ce soir. » - « Ouais peut-être. Je nous sort tous les deux d’une situation désagréable pour tout le monde. » Et non, je ne tomberai pas dans les bassesses qui consistent à tout lui mettre sur le dos. J’ai certainement mon lot de torts, des torts qui l’ont poussée à me dire toutes ces choses, alors j’ai décidé de baisser les armes. La seule chose dont je suis persuadé, c’est que tout ça, c’est un putain de gâchis.
« C’est ça, comme si ton départ allait t’inciter à garder un oeil sur moi. À la seconde où t’annonceras au public que tu pars, tu refermeras la porte sur tout ça et tu vivras ta vie, et ce sera normal, prétends pas le contraire pour te sentir moins coupa… » Je secoue la tête mais sans interrompre la chanteuse. Ce n’est pas à cause de moi qu’elle s’interrompt comme si elle avait le souffle coupé. Elle ferme les yeux, penche la tête en arrière, certainement pour chasser ses émotions, et je ne romps le silence que lorsque je suis certain de ne pas l’interrompre. « Tu peux pas penser ce que tu m’as dit et vouloir que je tienne ma promesse malgré tout Jo. C’est sain pour aucun de nous deux. » Et cela me désole, qu’elle dépeigne mon geste comme égoïste alors que bon sang, c’est tout le contraire. Je n’ai pas la moindre envie de m’éloigner d’elle, comment peut-elle seulement le penser ? Et pourquoi ? J’ai beau repasser notre dernière discussion en boucle dans ma tête, je ne comprends pas.
« Je t’évite parce que je sais pas comment te dire que je suis désolée. » Je n’aime pas la situation dans laquelle je suis : ses mots font renaître chez moi un peu d’espoir, et je préfèrerais largement savoir à quoi m’en tenir. « T’es désolée pourquoi ? Pour la façon dont t’as géré les choses où pour ce que t’as dit ? Si c’est le premier, t’as pas à l’être. T’es humaine, les coups de sang ça arrive, et t’as rattrapé le coup derrière, alors je suppose que c’est tout ce qui compte. » Elle est montée sur scène. Elle est revenue à elle in extremis et personne n’a eu à improviser parce qu’elle se serait comportée comme une diva. Et du reste, je n’ose espérer qu’elle regrette et soit prête à reprendre tout ce qu’elle a dit. J’en rêve, pourtant. « Et je te déteste pas. Je sais, j’ai dit le contraire. Si tu t’arrêtes sur toutes les saloperies que je dis Midas, on risque de jamais s’en sortir. » Tu peux pas balancer ce genre de choses à tort et à travers, Jo. « Non ? » Je lève un sourcil, tentant de garder une apparence détachée mais sans y parvenir le moins du monde. Au contraire, mes doigts grattent à présent la canette de boisson énergétique comme tentant d’en érafler la peinture. Au contraire, je suis fébrile, et j’ai du mal à le cacher. « Tu peux plus dire ça si tu le penses pas Jo. » Parce que les mots ont un sens, et les mots ont des conséquences.
« Tu me déstabilises. Tu me dis des trucs auxquels je sais jamais comment réagir parce que j’ai pas l’habitude de les entendre. » J’abandonne la torture de la canette et je croise mes bras sur mon torse, pour éviter que mes mains ne cherchent à nouveau comment s’occuper. « Et tu m’accordes une importance que je sais que je mérite pas. J’ai toujours été injuste avec toi, et je sais pas pourquoi, comme je sais pas pourquoi c’est si important pour toi que je fasse partie de tout ça. J’ai l’impression qu’il y a un truc, mais j’arrive pas à mettre le doigt dessus, et ça me frustre. » - « T’es en train de me dire que t'arrêteras aussi si j’abandonne. Comment tu peux pas comprendre pourquoi c’est important pour moi de t’avoir avec moi ici ? » N’est-elle pas animée par les mêmes sentiments ? Les mêmes motivations égoïstes et qu’elle ne doit pas réellement comprendre non plus, parce que notre relation n’a jamais été claire ? « Y’a que toi qui considères que tu le mérites pas Jo. Et c’est fatiguant de se battre sans arrêt contre tes mécanismes de défense. » Je ne suis pas taillé dans le bois de l’indifférence. A chaque fois que les choses dérapent, qu’elle balance des saloperies, elle me fait mal au cœur et il y une limite à ce que je suis capable d’encaisser. Évidemment, je resterai accroché à elle encore longtemps. Mais est-ce utile de le préciser, quand le risque est de passer pour un pauvre type pathétique ?
« Je sais que je suis pas une bonne personne. Je sais que je suis une bonne chanteuse, je vais pas faire semblant de pas croire en mon talent. Mais tu sais quoi ? Je suis tellement meilleure quand t’es là. » Attristé par la teneur de son discours - je ne crois pas qu’elle ait quoi que ce soit de mauvais, Jo, et je la trouve injuste avec elle-même, je l’observe sans jamais la lâcher des yeux. C’est malsain, mais je dois avouer qu’en revanche, j’aime entendre qu’elle se trouve meilleure avec moi. Je ne crois pas que ce soit vrai, mais j’aime entendre qu’elle le pense, que pour elle aussi, notre duo a quelque chose de spécial, une place spéciale. Moi aussi, je suis meilleur avec elle, à ses côtés. Moi aussi, j’ai essayé de retrouver ça pendant des années tout en sachant que c’était impossible, parce qu’il n’y a qu’avec elle que se produit ce phénomène particulier ou j’ai l’impression que tout s’emboîte et que ce que je fais à du sens, comme si j’étais né pour ça. « Et c’est ça que j’aime pas, c’est pas toi ; c’est juste le fait que ça là, ça me rend dépendante et vulnérable. » Au fil des mots de Joséphine, je m’adoucis parce que je suis comme ça, parce que c’est elle et parce que je ne sais pas faire autrement que de ressentir de l’empathie pour elle et l’envie de la préserver de tout ce qui peut lui faire du mal. « Et pourtant, je suis là parce que t’y es, et je veux pas que tu partes. » - « J’ai pas envie de partir non plus. » C’est dit, parce que c’est la vérité. Mais j’ai l’impression que le faire, c’est comme arracher un pansement. Ce sera douloureux, mais cela vaut mieux. « T’es pas une mauvaise personne. Et t’es plus qu’une bonne chanteuse, t’as pas besoin de moi pour être excellente. » Même si sans elle, je ne ressens pas cette flamme qui caractérise nos performances en duo. « Ça fait trois semaines que t’es excellente. Je vis pas dans une grotte depuis tout ce temps, je sais que tu reçois que de la bonne presse. » Je sais que sa performance est à l’unanimité applaudie par les critiques. Je sais que, si elle s’en donne la peine, elle aura certainement sa chance cette fois, mais ça, je l’ai toujours su. « Et j’ai pas besoin de ça pour savoir que t’es celle qui a le plus de talent parmi les candidats. Je l’ai toujours pensé. » Je fais encore un pas dans sa direction, m’arrêtant toutefois avant de dépasser des limites que je ne suis pas certain d’avoir le droit d’outrepasser. « J’ai accepté le Revival pour passer du temps avec toi, tout le monde le sait. » Tout le monde le sait sauf toi. Alors il suffit que tu me demande de rester pour que je reste : c’est ce qu’il y a à comprendre entre les lignes. « Mais si tu fais tout ça pour prendre ta revanche, si c’est ça la seule raison qui te pousse à vouloir que je reste, dis-le moi maintenant, s’il te plait. » Je l’implore du regard de m’épargner. « Joue pas avec moi Jo, c’est tout ce que je te demande. »
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Mar 17 Jan 2023 - 20:25 | |
| fire is great, but we're made of water Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
"Je sais." Que ce n’était pas sain, de lui dire des choses un jour pour lui dire son contraire le lendemain. Elle n’avait pas besoin de lui pour l’éclairer à propos de ça, elle était tout même assez grande pour savoir quand elle avait merdé dans les règles de l’art. Jo réagissait souvent à chaud, sans considérer ça utile de réfléchir avant de dégueuler sa bile sur le premier qui passait, et ensuite, elle ressassait, parce qu’elle avait beau prétendre le contraire, montant sur ses grands chevaux chaque fois qu’on lui donnait l’occasion de prouver qu’elle était bien plus qu’une gamine mal embouchée, il y avait des moments où elle était assez humble pour ruminer ses erreurs. C’était vrai, elle s’en voulait de ne pas être capable de faire comme tout le monde : d’avoir assez de jugeote pour savoir mettre sa colère de côté, d’en avoir encore plus pour caresser la certitude qu’il y avait des choses qui n’étaient pas bonnes à dire. Mais à côté de ça, elle pourrait très bien affirmer qu’elle ne le faisait pas exprès, de tomber précisément sur ce qui faisait mal lorsqu’elle sentait la colère monter en elle, sauf qu’elle ne se rendrait pas service en se mentant à elle-même. Une fois sur deux, elle savait parfaitement ce qu’elle disait. C’était un autre de ses problèmes ; elle adorait la satisfaction d’obtenir le dernier mot, celui qui faisait mal, autant qu’elle avait parfois mal lorsqu’elle s’apercevait qu’elle n’était pas apte à gérer sa colère et sa frustration, lorsqu’elle s’apercevait aussi qu’elle aurait beau faire un travail sur elle, il y aurait toujours des choses qui lui échapperaient et dont elle souffrirait sans être assez courageuse pour l’avouer sans cri ni haine. "Pour tout." Elle était désolée pour tout, lui répondit-elle, et elle était sincère, autant qu’il faudrait l’être pour qu’il comprenne qu’elle s’en voulait véritablement d’avoir été aussi tranchante dans ses affirmations quand elle s’était simplement exprimée de travers pour lui expliquer, blessée par l’entrain qu’il avait déployé pour lui faire entendre qu’il n’était pas amoureux d’elle — c’était ça qui avait mis le feu aux poudres, et rien d’autre. Jo ne pouvait pas croire que toutes les chansons qu’il avait écrites à son sujet partaient du simple fait de vouloir la mettre dans son lit, autrement le pas aurait été passé il y avait bien longtemps déjà. Et c’était ces contradictions-là qui la faisait péter des durites quand elle refusait d’être le seule idiote à être tombée dans le panneau à l’époque. Ce n’était pas une excuse, toutefois elle devait être honnête sur le fait que c’était beaucoup trop troublant de se retrouver dans une conjoncture similaire à celle d’il y avait six ans, et que tout s’entremêlant, elle ne savait plus où elle en était. Qu’elle le veuille ou non, qu’elle bataille férocement avec ses souvenirs pour qu’ils ne l’atteignent pas, ça laissait planer une expectative sur leur duo, de ne pas savoir transpercer l’épaisseur de la tension qui régnait entre eux, et qui là encore, n’était saine pour aucun d’eux.
Son souffle se hachura lorsqu’elle soupira "Je peux pas te jurer que je le dirais plus jamais. Je sais pas toujours contrôler ce genre de choses." Pas toujours. En lui-même, son choix de vocabulaire la rendait coupable du fait que, parfois, elle savait le contrôler ; quand elle y mettait du sien, quand elle passait à autre chose pour mieux préserver les intérêts de ceux à qui elle tenait assez pour ne pas vouloir les blesser. Elle ajouta doucement "Je m’exprime comme ça. Je veux bien faire des efforts, mais je peux pas changer du tout au tout. Je serais jamais rompue aux belles déclarations, j’ai pas ton talent pour ça." Et elle secoua la tête, sentant une tension dans sa nuque qui la lui fit baisser juste après, se laissant asseoir sur le bord du lit de Midas lorsqu’elle annexa quelques mots de plus, résignée "Je sais que j’ai un problème." admit-elle en n’étant pas surprise que lui cracher qu’elle le détestait — quelle le haïssait, plus précisément — ça l’avait peiné au point qu’il en venait à abattre une carte pour lui faire enregistrer pour de bon qu’elle n’avait pas le droit de jouer avec ces mots-là. Elle ne le ferait plus, si ce n’était que ça. Elle essayerait du moins, sans le promettre, encore moins rompue à cet exercice-là.
Peu à peu, Jo eut le sentiment d’être une enfant à qui on faisait la leçon. Elle savait qu’elle le méritait, quand bien même elle venait de s’ouvrir juste pour justifier une partie de ce qu’elle ressentait, il avait le droit de revenir sur chaque chose qu’elle lui disait pour les démanteler et en analyser chaque divergence pour la mettre devant le fait accompli. Elle ne lui en voulait pas de le faire parce qu’elle l’avait blessé, elle pouvait le sentir sans même poser son regard sur lui, elle l’avait senti ces derniers jours alors qu’elle l'avait évité de toutes ses forces, se sentant officiellement trop mal pour considérer ça juste à son encontre de soutenir son regard, même quand ils chantaient tous les deux. Comme lorsque Cassie était venue la trouver, elle resta soudain bien silencieuse pendant que Midas mit en avant la similarité de leur raisonnement duquel elle disait ne rien comprendre. Pourtant, il y avait une part d’elle qui savait très bien pourquoi tout ça était si important pour elle. Elle tenait à lui, beaucoup trop fort pour que ça ne soit pas douloureux. Elle ne le réalisait pas maintenant, ayant eu le temps d’alimenter cette bêtise au fil du temps, seulement c’était la menace de son départ qui lui faisait l’admettre sans le tourner en dérision, sans juger que c’était une passade ou un caprice. Ça durait depuis six ans, ce n’était pas une passade.
La suite de ses paroles, à propos de ses mécanismes de défense, elles lui serrèrent le coeur au point qu’elle prit le temps de déglutir difficilement, la tête toujours baissée pour dignement accueillir cette nouvelle façon qu'il avait de lui dire qu’elle était compliquée. Je sais, qu’elle aurait pu lui répondre de nouveau, mais parler pour brasser des paroles déjà dites, trop peu pour elle. Et puis elle avait peur d’entendre sa propre voix se briser quand elle en viendrait à le supplier de rester. Parce qu’elle envisageait de le faire avant qu’il ne lui dise qu’il n’avait pas envie de partir. Immédiatement, elle releva la tête, sentant une sorte de soulagement émaner de lui en même temps qu’il émanait d’elle sans pour autant se dire que la suite de leur discussion serait simple à mener. Elle ne préférait rien anticiper, pas quand elle n’était pas capable de se contrôler "Arrête, je veux pas que tu penses que je t’ai dit tout ça pour te soutirer des compliments. Je sais bien ce que tu penses de moi." Parce que je pense pareil de toi termina-t-elle dans son esprit, se mordant la lèvre inférieure pendant un instant, ses sourcils se fronçant en même temps qu’elle se dérobait à son regard en baissant de nouveau la tête pour qu’il ne se rende pas compte que, si elle lui disait de ménager ses éloges, elle sentait quelque chose se manifester à l’intérieur d’elle-même en réalisant qu’il avait veillé sur les critiques autant qu’elle l’avait fait de son côté le concernant. Le sentir s’approcher plus près d’elle, alors qu’elle était toujours assise sur le bord de son lit, ça lui fit relever les yeux et les affronter dans une conjoncture inconfortable, sa nuque étant toujours désagréablement chargée en tension, tandis qu’il lui disait les choses sans les détourner, lui faisant définitivement comprendre qu’au fond, ils avaient exactement les mêmes intentions. Et que c’était putain de ridicule, cette façon qu’ils avaient de rien assumer quand ça concernait ce qu’il y avait entre eux, à ce stade ce n’était même pas la peine de prétendre qu’il n'y avait rien. Si un autre jour elle en aurait souri, là elle garda son sérieux lorsqu’elle rétorqua, les yeux toujours levés vers lui, son coeur se mettant à battre si fort dans sa poitrine qu’elle se demanda l’espace d’un instant si elle faisait fait de musique de fond "T’aurais pas pu juste me le dire au lieu de faire redémarrer une franchise dont tout le monde se cogne ?" Il n’était pas l’instigateur du projet, cependant elle ne sous-estimait pas l’influence qu’il avait. Sans la star interplanétaire qu’il était, le Revival qui avait lieu en ce moment-même, il serait resté au stade de fantasme d’une production avide de jouer sur la nostalgie de son public.
Elle marqua un temps, Jo, juste pour continuer de le regarder en se demandant si c’était elle qui le rendait aussi complexe, ou si l’impression de facilité qui formait l’ensemble de tout ce qui la rassurait à l’époque, lorsqu’elle se retrouvait seule avec lui, n’avait été qu’une excuse supplémentaire pour la faire adhérer à l’idée qu’il était son âme-soeur. Puis ses yeux se déportèrent juste un temps sur l’ailleurs qu’elle choisit pour mieux supporter ce qu’elle décela dans les siens une fois qu’elle le regarda de nouveau, prête à se défendre sans animosité — avant de changer d’avis et de simplement se lever pour s’approcher de lui, aussi posément qu’elle était déterminée à ce qu’il sache combien elle aussi, elle s’en cognait pas mal de sa revanche. Elle leva ses mains à hauteur de sa poitrine qu’elle ne toucha pas sur l’instant, faisant le point sur ses pensées en fermant brièvement les yeux avant de les rouvrir pour les verrouiller aux siens et lui demander presque tout bas, affirmant l’intimité de cet aparté qu’elle lui imposait presque en donnant l’impression qu’elle s’attendait à ce qu’il la repousse — d’où l’idée qu’elle ne le toucha pas tout de suite, ses yeux passant d’un oeil à l’autre du jeune homme "Tu vas vraiment me laisser te supplier alors que tu sais très bien pourquoi je suis ici ? Je te l’ai déjà dit", elle murmura cette fois "j’y suis parce que t’y es, et pas seulement parce que je veux chanter avec toi. Tu m’as trop manqué, Midas." Doucement, presque précautionneusement, elle posa enfin ses mains sur lui. Sur sa poitrine d’abord, pour les remonter à la base de son cou sur lequel elle glissa ses doigts en s’inclinant en avant pour, qu’une fois juchée sur la pointe de ses pieds, elle puisse poser son front contre le sien en continuant de lui murmurer "On est pareils." Elle aurait pu calquer ses mots sur les siens, lui dévaler un j’ai accepté le Revival pour passer du temps avec toi, mais elle ne le fit pas. Dans une inspiration rapide, elle se recula sans vraiment le faire, affirmant la prise de ses doigts sur les côtés de son cou avec une force douce, ses yeux observant brièvement la trajectoire qu’elle comptait faire prendre à ses lèvres quand elle ajouta dans un souffle "Reste." Une requête qu’elle affirma par un baiser doux sur sa bouche, sans aucune fioriture autre que son souffle qu’elle sentit vacillant quand elle rompit ce contact sans battre en retraite le moins du monde, prête au contraire à refaire la même chose après avoir répété, l’une de ses mains retrouvant sa place sur la poitrine de Midas qu’elle regarda fixement en même temps "Reste." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Mer 18 Jan 2023 - 17:38 | |
| fire is great, but we're made of water Midas Sterling & @Jo Carter
Elle est désolée pour tout et je suis incapable de faire autre chose que de la croire. Dans une autre vie, je serais capable d’objectivité la concernant mais ce n’est pas le cas dans celle-ci : elle pourrait me mener jusqu’à l’échafaud que je me laisserais faire. La réaction que j’ai eue lors du premier prime est, j’en ai bien peur, le maximum que je sois capable de faire lorsqu’il est question d’elle. En a-t-elle conscience ? Sait-elle qu’il suffit qu’elle s’adoucisse et batte des cils pour me mettre dans sa poche ? L’utilise-t-elle, ce constat ? Est-ce qu’elle est en train de faire actuellement, me disant ce qu’elle pense que je veux ou ai besoin d’entendre pour que je reste ? J’en m’en moque. Je l’écoute et je dois me retenir de lui dire - comme le dernier des cons - que je n’ai même pas besoin qu’elle s’excuse pour à nouveau faire tourner mon monde autour du sien. « Je peux pas te jurer que je le dirais plus jamais. Je sais pas toujours contrôler ce genre de choses. » Alors apprends. Apprends à ne pas repousser tout le monde, à ne pas être constamment en rogne contre ceux qui tiennent à toi. « Je tiens à toi Jo. Mais j’étais sérieux quand j’ai dit que j’étais pas ton sac de frappe. » Je peux comprendre qu’elle ait de la colère à faire sortir, mais il faut qu’elle trouve un autre exutoire si nous voulons que tout ça - ce qu’il y a entre nous quoi que ce soit - fonctionne. Et c’est ce que je veux. J’ai détesté chaque seconde des derniers primes. J’ai détesté chaque seconde des dernières semaines. « Je m’exprime comme ça. Je veux bien faire des efforts, mais je peux pas changer du tout au tout. Je serais jamais rompue aux belles déclarations, j’ai pas ton talent pour ça. » - « Je m’en fous des déclarations. » Je n’ai jamais tenté de la brusquer ou de lui tirer les vers du nez. Ce serait hypocrite puisque, moi-même je réagis mal lorsqu’elle le fait. Ce que je souhaite, c’est simplement une relation qui ressemble un peu moins à un trajet de montagnes russes perpétuelles. J’aime qu’on ne s’ennuie jamais à ses côtés. Je déteste ne jamais savoir si elle va me détester ou si je vais être sa personne préférée au monde, quand j’entre dans une pièce. Jo me fait l’impression d’une enfant qui tente de se défendre en expliquant qu’elle ne peut peut pas me promettre la lune, alors que je ne demande rien de tel. « Je sais que j’ai un problème. » Je ferme les yeux une seconde, puis je secoue la tête et expire tout l’air de mes poumons par le nez, avant de poser à nouveau mon regard sur Jo. Elle est si belle, me semble si vulnérable que je n’ai qu’une seule envie : lui dire que rien n’a plus d’importance, la prendre dans mes bras et la rassurer en lui affirmant que non, elle n’a pas de problème, qu’elle est parfaite. Rester de marbre face à ses fêlures me demande une force titanesque. J’ai le souffle coupé, je suis incapable d’articuler le moindre mot, par peur d’être tenté de rendre les armes à l’instant ou j’ouvrirai la bouche.
C’est un mystère pour moi, la réponse à cette question simple : Jo a-t-elle toujours été si compliquée et remplie de colère, ou a-t-elle changé en six ans à cause de son vécu ? J’ai peur de la réponse à cette question, pas parce qu’elle changerait la façon dont moi je la vois, mais parce que je n’ai pas envie d’entendre que d’une certaine façon, je suis responsable. « Arrête, je veux pas que tu penses que je t’ai dit tout ça pour te soutirer des compliments. Je sais bien ce que tu penses de moi. » - « C’est pas juste ce que je pense de toi. T’es pas parfaite, moi non plus, mais je veux pas que tu penses que t’es pas une bonne personne. » Je ne veux pas qu’elle pense que c’est ce que j’estime, mais je ne veux pas non plus qu’elle se convainque que c’est ainsi qu’elle est perçue par les quidams. « T’aurais pas pu juste me le dire au lieu de faire redémarrer une franchise dont tout le monde se cogne ? » Je laisse échapper quelque chose qui ressemble plus à un grognement qu’à une phrase sujet verbe et complément, agacé d’être ainsi obligé de me mettre à nu et qu’elle pointe du doigt mes manoeuvres certes dénuées de malveillance, mais qui en disent long sur ce qu’elle représente pour moi. Chez les Sterling comme chez les Taylor, on ne parle pas de ses sentiments. On est pudique, on se prend dans les bras ou on se soutient pendant les coups durs plutôt que de se dire qu’on s’aime, et c’est très certainement pour ça que si peu d’entre nous ne sont actuellement dans une relation amoureuse saine et épanouie. Amos fait office d’exception. « Tu te souviens comment ça c’est passé la première fois qu’on s’est revus ? » Comme un con, je suis venu dans la boîte de nuit ou elle travaillait à l’époque, parce que je ne savais pas quoi faire d’autre pour essayer d’entrer en contact avec elle. Elle m’a renvoyé d’où je venais sans délicatesse, façon Carter. « Mais je sais. Je savais juste pas quoi faire d’autre. » La chaîne m’a présenté une opportunité loin d’être en or pour ma carrière, mais de diamant pour mes relations avec Jo. J’y ai vu la chance de renouer avec elle sans qu’elle n’ait trop le choix dans un premier temps, en espérant qu’elle finirait par s’ouvrir à nouveau à tout ce qui nous animait avant.
« Tu vas vraiment me laisser te supplier alors que tu sais très bien pourquoi je suis ici ? Je te l’ai déjà dit. J’y suis parce que t’y es, et pas seulement parce que je veux chanter avec toi. Tu m’as trop manqué, Midas. » C’est pas ce que je t’ai demandé, Jo. Je t’ai demandé de me dire que tu ne jouais pas. C’est ce que j’aurais voulu répondre, mais le contact de ses mains sur mon torse m’a pétrifié. Parce que je suis un homme et, surtout, parce que c’est elle que je ne lui ai jamais été indifférent, j’oublie jusqu’à mon prénom quand elle s’approche et me touche. Je me moque qu’elle ne réponde pas à ma question. Je me moque que ce soit certainement volontaire et que le risque qu’elle soit en train de me mener par le bout du nez n’est pas inexistant. Je suis suspendu à ses lèvres et, quant à mes mains, elles me semblent de trop : je ne sais qu’en faire alors que j’ai peur de me brûler si je l’imite et les pose sur ses épaules ou sur sa taille. Je ne suis toutefois pas au bout de mes peines : ses doigts glissent dans mon cou, quittant la protection que m’offrait mon t-shirt pour se poser à même ma peau, et elle se hisse sur la pointe des pieds pour coller son front contre le mien. Nos souffles se mêlent : la brune est bien trop proche pour que la situation ne m’échappe pas d’un moment à l’autre. C’est dangereux, mais bordel, que c’est bon de respirer son parfum envoûtant. « On est pareils. » Pour être honnête, elle pourrait m’affirmer qu’elle est à l’origine de tous les maux du monde que j’entendrai à peine. Mon sang me donne l’impression d’être en ébullition, et je suis à peine bon à fixer ses lèvres. En pleine possession de mes moyens, j’affirmerais que non, que nous sommes plutôt deux faces d’une même pièce puisque nous sommes opposés à bien des égards, comme si nous étions tous les deux faits pour tempérer l’autre dans des traits de caractères les plus dangereux pour lui et pour le reste du monde. Je sais ce qu’il va se passer. Parce que si elle n’efface pas la distance entre nos lèvres d’un moment à l’autre, je le ferai à sa place : l’issue est donc la même. « Reste. » Ses lèvres se posent sur les miennes pour un baiser d’une douceur qui ne lui ressemble pas. Peut-être tient-elle à garder des barrières, des ralentisseurs pour ne pas être noyée par l’intensité de notre duo. Sauf que si c’était le cas, il ne fallait pas qu’elle aille juste là puisqu’à présent, ce sont les miennes qui sautent : je suis incapable de respirer, incapable de garder la tête froide, incapable de faire autre chose que de lui en demander plus. « Reste. » Elle a à nouveau posé ses mains sur mon torse, et je prie pour que ce ne soit pas pour me repousser, pour garder des distances en cas de besoin, puisque c’est à mon tour de fondre ses ses lèvres.
Et je le fais sans délicatesse aucune. Le baiser n’a rien à voir avec celui qu’elle vient de me donner, ou même avec celui que nous avons échangé il y a six ans. Mes mains se posent de part et d’autre de son cou et je l’embrasse avec ardeur, fièvre, et un soupçon d’urgence. Je l’embrasse jusqu’à avoir le vertige, jusqu’à voir des étoiles et avoir la tête qui tourne. Elle m’a dans sa poche, et c’est peut-être ce ce constat là qui m’astreint à un peu de tempérance. Je garde son visage en coupe, ses lèvres à quelques centimètres de miennes, mais je rouvre les yeux pour planter mon regard dans le sien. « Dis-moi que tu joues pas Jo. » Je n’attends que ça pour la renverser sur le lit et oublier toute retenue et toute promesse que j’ai pu me faire au nom de la culpabilité. « Dis-le. J’ai besoin de l’entendre. » Parce que je n’en suis pas certain. Parce que j’ai peur qu’elle soit simplement en train d’avancer ses pions de façon à ce que je ne quitte pas l’émission.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Jeu 19 Jan 2023 - 10:34 | |
| fire is great, but we're made of water Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
Elle s’en trouverait un autre, de sac de frappe. Elle aurait pu lui dire qu’en ça, il n’était pas logé à meilleure enseigne que les autres, que ça ne le rendait pas spécial qu’elle s’obstine à lui faire indirectement payer des choses en faisant pleuvoir insultes et reproches sur lui. Seulement, elle craignait que ça ne détruise ses efforts immédiats, elle qui s’ouvrait sur des sujets qu’elle avait mûri trop longtemps pour se sentir encore capable de les garder pour elle, ressentant le sentiment d’être remplie de quelque chose qui la rendait insupportable à vivre comme elle ne savait pas comment évacuer sainement ce qu’elle cachait. Ce qui le rendait vraiment spécial, Midas, c’était qu’elle admettait ses défauts en face de lui, avec une humilité qui n’était pas naturelle pour elle, et qu’elle s’échinait à vouloir les gommer pour qu’il la voit telle qu’elle était et pas comme celle qu’elle voulait qu’on voit. Elle savait qu’à ses yeux, elle avait une image différente que celle que les autres avaient d’elle et qui partait de son propre constat, qui était sans appel, à savoir qu’elle n’était pas quelqu’un de bien. Elle était presque en paix avec ça, quand bien même il lui avait soutenu le contraire quelques instants plus tôt seulement. Il était adorable avec elle, patient, avenant et foutrement subjectif, mais un autre constat s’imposait à elle : il ne savait pas tout, et sans doute que c’était pour le mieux. Elle ne lui avouerait jamais ce qu’elle était capable de faire parce que ça n’avait pas vocation à faire changer quoi que ce soit entre eux dans tous les cas et pourtant, à l’heure où ils s’expliquaient, elle s’était mise à dos une partie de ceux qu’elle avait un jour considéré comme des amis juste parce qu’ils avaient osé lui cracher son nom à la figure. Charlie, Laurie, le point commun qu’elles avaient, c’était qu’elles avaient trop vite mis le doigt sur son point faible et qu’en retour, elle s’était jouée des leurs pour leur faire payer leur clairvoyance, ne supportant pas qu’on se serve de Midas contre elle comme d’une arme, quand elle l’avait toujours vu comme un élément salvateur à son propre équilibre. D’un côté, lui qui se foutait des déclarations, comme il le lui dit après qu’elle eut terminé de se justifier, c’en était une autre sorte qu’elle préférait enterrer sous le sceau du secret pour garder encore un peu le contrôle sur l’effet qu’il lui faisait. Et encore une fois, il insista pour lui dire qu’il ne voulait pas qu’elle pense qu’elle était une mauvaise personne. Elle n’avait pas envie de se battre ce soir, Jo, pas comme ça en tout cas, et si l’opinion à laquelle il la soumettait ne prenait pas chez elle, elle n’en rajouta pas étant donné que, ça aussi, ça ruinerait tous ses efforts immédiats "Tu m’as prise par surprise. Je m’attendais pas à te voir là. Si ça avait pas été aussi soudain, j’aurais accepté d’écouter ce que t’avais à me dire à ce moment-là." C’était lui, elle aurait trouvé du temps pour lui, même si elle avait évité de confronter son image pendant six ans, malheureuse de le voir mener sa vie sans qu’elle ne soit invitée à y prendre part, et peu aurait importé la manière. Aussi, lorsqu’il remit sur le tapis la fois où ils s’étaient revus pour la première fois, et ce pour arguer à propos de son choix de ne pas lui dire textuellement qu’il voulait reprendre contact, qu’il voulait passer du temps avec elle, Jo se sentit mal à l’aise. Elle secoua la tête, essayant de tempérer ce qu’elle lui dit juste après pour que ça ne sorte pas brut, même si le sentiment qui s’était emparé d’elle cette fois-là se rappela à elle avec une volonté puissante de faire vaciller la sienne, de volonté, alors qu’elle faisait tout et son possible pour ne pas gâcher ce qui était en train de se passer "J’aurais bien voulu t’y voir si les rôles avaient été inversés et si j’avais fini par débarquer un beau jour sans m’annoncer après plusieurs putains d’années." Si elle avait été lui, s’il avait été elle ; c’était quelque chose dont ils avaient déjà parlé, du fait qu’ils ne pouvaient pas se glisser dans les chaussures de l’autre puisque, même s’ils avaient vécu la même histoire, la fin de cette dernière n’avait pas été écrite de la même façon jusqu’à les mener là, maintenant, où tout ce qu’ils essayaient de mettre en commun prenait des allures de duel sur les vestiges d’un passé pas si lointain que ça.
Ça la fatiguait au fond de faire la focale sur ce que leur histoire aurait pu être, et au-delà de la requête de Midas, celle à propos de ses intentions de le faire rester, elle se demanda si ça n’aurait pas été pas plus simple de juste reprendre où ils s’étaient arrêtés à l’époque. Sans apporter aucune explication inutile aux choix qu’ils avaient fait entre temps, acceptant le fait qu’ils avaient chacun eu leur vie et que ça ne changeait pas grand-chose de ce qu’ils ressentaient — ou pas — l’un pour l’autre, et d’admettre enfin qu’avancer ça avait toujours été plus productif que de reculer sans cesse en campant sur des possibilités. C’était un risque à prendre, de préférer agir que se répandre de nouveau en paroles, et c’est pour ça qu’elle se montra si magnanime en occupant le rôle qu'il avait occupé à l’époque : celle de l’instigatrice de quelque chose dont elle avait crevé d’envie depuis tellement longtemps qu’à la seconde où ses lèvres touchèrent les siennes, elle sut qu’elle ne pourrait plus se passer de la sensation que ça lui procurait. A côté du désir qu’elle avait toujours ressenti pour lui, qu’elle ressentait presque douloureusement à cet instant-ci, ses sourcils s’étant doucement froncés lorsqu’elle avait pris sens de ce qu’elle s’apprêtait à faire, de ce qu’elle s’apprêtait à perdre aussi, ça l’aidait plus que tout à marquer son point sans le dire. Néanmoins, elle savait que ça ne serait pas suffisant, comme elle savait que ce baiser chaste qu’elle venait de lui donner ne le serait pas parce qu’il ne l’avait pas été il avait six ans de ça. À peine ses lèvres avaient effleuré les siennes, et elle en voulait déjà plus, plus fort. Seulement, elle devait admettre que sur le moment, l’infime possibilité qu’il la repousse lui fit marquer une pause… qu’il interrompit en fondant sur sa bouche avec une absence de délicatesse qui ne lui ressemblait pas, qu’elle se surprit à adorer sans se sentir gênée d’en profiter, un léger sourire naissant sur son visage quand celui de Midas se souda au sien.
Elle l’avait toujours beaucoup fantasmé ce moment, si bien que la marche à suivre était simple à réaliser, déjà inscrite en elle comme toutes ces choses qu’elle faisait par instinct ; et la sensation d’abuser d’une friandise dont l’arôme se rappelait à elle comme un souvenir qu’elle avait chéri sans jamais en parler à personne, ça la fit accepter l’ardeur qu’il manifesta à lui rendre son baiser en se calant elle-même sur son rythme, sans se poser de questions. Ses mains ne restèrent pas là où elle étaient, elles remontèrent doucement le long de son torse, s’accrochant d’abord du bout de ses longs ongles au tissu de son t-shirt, pour finalement suivre la ligne de sa mâchoire sur laquelle elle les posa en se grandissant assez pour que ça devienne inconfortable pour elle qui était si petite. Elle n’en avait strictement rien à foutre, si elle devait être tout à fait honnête. À côté du sentiment d'émulation qu’elle ressentait en s’agrippant à lui de cette façon, une main finissant par dériver de sa mâchoire pour se poser sur l’épaule opposée, son bras s’enroulant autour de son cou, son corps se pressant contre le sien, ça n’était pas grand-chose, et elle sut qu’elle serait prête à supporter pas mal de choses d'inconfortables tant qu’elle aurait la certitude que ce baiser-là ne serait pas le dernier. Même manquer d’air, c’était une torture à laquelle elle était prête à se soumettre, et c’est ce qui la fit panteler doucement quand il rompit leur baiser pour revenir sur ce qu’il lui avait demandé quelques minutes plus tôt à peine, et qui était assez important pour lui pour qu’il insiste avec une détermination douce et ferme à la fois. Jo comprenait pourquoi. Le timing était étrange, les conditions l’étaient encore plus — une autre fois, elle l’aurait mis devant une nouvelle de ses contradictions en lui disant qu’il ne pouvait pas lui affirmer qu’elle n’était pas une mauvaise personne pour vouloir lui demander d’éclaircir ce genre de choses l’instant d’après, faisant ainsi peser de lourds soupçons sur ses intentions alors que depuis qu’elle était entrée dans sa chambre d’hôtel, elle n’en avait pas eu une seule qui avait été mauvaises. Mais son sytème était saturé d'une anticipation différente de ces dernières années, celle qui lui disait d’aller droit au but au lieu de chercher des chemins détournés, histoire de reprendre ce qu’ils étaient en train de faire. Elle rouvrit les yeux, qu’elle avait laissé fermés jusque-là en tachant de contrôler son souffle mêlé à celui du jeune homme, ce qui s’avérait plus difficile à faire que lorsqu’elle avait un micro entre les mains, et affronta le sien pour lui répondre "Je suis beaucoup de choses, mais je suis pas une manipulatrice tu sais." Elle n’avait pas cet esprit-là, elle n’était pas aussi maline que ça, Jo. Elle reprit, un petit air de provocation passant sur son visage en même temps qu’elle se penchait sur lui pour initier un nouveau baiser qu’elle ne lui donna pas finalement, dominant difficilement sa pulsion pour faire le point sur les besoins du jeune homme avant toute chose "J’en ai rien à foutre de l’émission, j’en ai rien à foutre des menaces de Cassie. J’aurais fini par venir te trouver dans tous les cas, elle m’a juste donnée l’occasion parfaite pour le faire plus tôt que prévu." Cassie avait au moins eu le mérite de lui faire surmonter sa peur de se prendre un mur, l’annihilant par celle de le voir s’éloigner d’elle de nouveau. La main qu’elle avait de posé sur son épaule, Jo la fit glisser pour la mettre sur sa nuque où ses doigts se perdirent dans la ligne de ses cheveux. Après un temps à s’accommoder de la chaleur de ses paumes qui encadraient son visage, elle lui dit enfin, sans aucune malice "Je joue pas Midas." Il devait bien le savoir, c’était forcé. D’habitude, il le savait quand elle le faisait, parce qu’il avait fini par devenir son partenaire de jeu tout désigné.
Elle aurait pu ajouter que ça faisait six ans qu’elle attendait ça, qu’il ne pouvait pas douter de ça quand bien même son timing était foireux. Seulement, elle avait saisi que l’économie de mots seraient leur allié à ce moment-là, qu’il valait mieux, en effet, aller droit au but. Suite à ses propres paroles, elle pinça doucement les lèvres juste pour sentir la sensation que celles de Midas y avaient laissée avant de lui demander en retour, le bout de son nez rentrant en contact avec le sien "Est-ce que c’est utile que je te retourne la question ?" Puisqu’elle lui avait fait le même reproche la dernière fois, autant en profiter pour qu’ils soient sur un pied d’égalité à ce sujet. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Jeu 19 Jan 2023 - 21:21 | |
| fire is great, but we're made of water Midas Sterling & @Jo Carter
« Tu m’as prise par surprise. Je m’attendais pas à te voir là. Si ça avait pas été aussi soudain, j’aurais accepté d’écouter ce que t’avais à me dire à ce moment-là. » C’est vrai. C’était encore un putain de moove égoïste alors que je ne le suis pourtant habituellement pas. Ou peut-être que si ? Peut-être que je me voile la face et que je me vois comme une bien meilleure personne que je ne le suis réellement, à l’inverse de Jo. N’est-ce pas évident ? Ne devrais-je pas arrêter de courir après une femme à laquelle je mens depuis des années, et à laquelle je devrais continuer de mentir si je ne veux pas qu’elle me glisse entre les doigts ? La chose la plus désintéressée à faire, ne serait-ce pas de lui dire la vérité et d’accepter les conséquences de ce sur quoi j’ai fermé les yeux il y a six ans, ce qui m’a profité ? Est-ce pour la garder à mes côtés que je mens, ou pour préserver tout ce que j’ai gagné grâce à ce mensonge ? J’aimerais pouvoir dire que c’est pour Jo, uniquement pour Jo, mais la vérité c’est qu’il y a certainement un peu des deux. « J’aurais bien voulu t’y voir si les rôles avaient été inversés et si j’avais fini par débarquer un beau jour sans m’annoncer après plusieurs putains d’années. » - « Je te reproche rien. T’avais tes raisons de réagir comme tu l’as fait et elles étaient légitimes. » Ce n’était pas ça, le but de ma remarque. C’était de lui faire comprendre que pour le garçon incapable de parler de sentiments que je suis, le Revival était la seule façon que j’ai trouvée de la retrouver, même si la possiblité que ce soit éphémère était belle et bien réelle. J’ai fermé les yeux sur la certitude de souffrir bien plus du manque si nos chemins devaient à nouveau se croiser pour se séparer, parce que j’en voulais, de cette extase temporaire. « Mais c’est pas facile de te parler tu sais. Tu me pousses dans mes retranchements, et ça aussi c’est déstabilisant. » A ajouter à la longue liste des choses qui nous troublent à propos de l’autre, donc.
La situation m’échappe totalement, et en même temps, tout va exactement dans un sens que j’ai longtemps imaginé, l’orage entre nous semble prendre la route d’une résolution à laquelle j’ai longtemps rêvé sans oser réellement l’admettre ou l’assumer. C’est elle qui provoque la première étincelle cette fois, mais c’est bien moi qui allume un brasier parce que je n’ai pas l’intention de laisser passer ma chance une nouvelle fois et de me demander pendant six années supplémentaires ce que les choses pourraient être si je n’étais pas si lâche. J’ai beau m’être enrôlé dans l’émission avec un paquet de nobles résolutions - ne pas me brûler auprès de Jo, parce que je sais pertinemment que je passerai pour un salaud si un jour elle découvre la vérité à propos de ma victoire, six ans auparavant - je ne suis pas fait de marbre. Je suis un garçon qui voit la fille qu’il convoite depuis bien trop longtemps lui tomber dans les bras, et je n’aurais pas la noblesse de l’arrêter au nom de la chevalerie. Si je le fais, c’est d’une part temporaire, et d’autre pour avoir la confirmation qu’elle n’est pas en train de me manipuler pour avoir exactement ce qu’elle veut, que je ne parte pas, que je reste à ses côtés. Ce serait de bonne guerre, et je me sens dégueulasse d’être celui qui pose la question quand j’ai tant de choses à me reprocher. Mais elle m’a supplié de rester entre deux baisers. J’ai besoin de me débarrasser de la désagréable sensation que c’est pour que j’accède à sa requête qu’elle l’a fait pour pouvoir laisser libre cours à tout ce que j’ai envie de faire avec Jo Carter dans une chambre d’hôtel, et ce depuis bien trop longtemps. Un indice ? Ca n’inclut pas de se regarder dans le blanc des yeux pendant des yeures. « Je suis beaucoup de choses, mais je suis pas une manipulatrice tu sais. » Mes mains n’ont pas quitté sa nuque. Elles l’attirent toujours avec moi en manquant peut-être un peu de douceur, la faute à l’empressement. Les doigts de l’un d’entre elle se referme, et c’est quelques cheveux bruns que j’enferme avec. Je la supplie du regard de me dire les choses sans détour, de ne pas éviter ma question comme elle en a la spécialité. Elle ne sait pas dire les choses Jo, alors elle préfère les noyer dans du sarcasme et des traits d’esprit. Aujourd’hui, j’ai besoin qu’elles ne fasse aucun détour. Et j’ai honte, de sous-entendre qu’elle pourrait l’être, manipulatrice. Mais je réponds à un besoin autrement plus pressant : celui d’être rassuré. « J’en ai rien à foutre de l’émission, j’en ai rien à foutre des menaces de Cassie. J’aurais fini par venir te trouver dans tous les cas, elle m’a juste donné l’occasion parfaite pour le faire plus tôt que prévu. » - « Tu veux me faire plaisir ? Arrête d’attendre, j’ai assez attendu. » Certes, à côté de six ans, trois semaines ne représentent pas grand-chose. Mais trois semaines à me figurer qu’elle me déteste de toute son âme sont trois semaines de trop. « Je joue pas Midas. » Elle l’affirme et putain, qu’est-ce qu’elle est belle, dans toute son authenticité. Elle ne rougit pas, elle ne détourne pas le regard et ne cherche pas ses mots. Je pensais ne pas pouvoir la désirer plus, mais je me trompais royalement. J’esquisse un mouvement, un vers ses lèvres, mais elle m’interrompt. Je sais être patient, mais j’en ai assez d’attendre. « Est-ce que c’est utile que je te retourne la question ? » L’une de mes mains glisse derrière sa nuque et s’y agrippe avec douceur. « Non. Je joue pas. » Je l’ai jamais fait, je manque de ce qu’il faut d’audace et de malice pour ça. « Mais tu pourrais me poser toutes les questions que tu veux. » Plus tard, de toute évidence, puisque maintenant, mes mains descendent dans son dos, l’effleurant, pour se frayer un chemin sur ses flancs, sous la barrière de tissu que représente son t-shirt, à présent. « Mais je préfèrerais que tu le fasses plus tard. Tu veux bien faire ça pour moi ? » Je m’accroche à ses hanches pour l'attirer contre moi et l’embrasser langoureusement à nouveau, la tête qui tourne et les tripes en feu. « Parce que maintenant, si tu le veux bien, je vais enlever ce t-shirt - » Je m’exécute en même temps que je parle, conscient que d’ici quelques minutes, je serais bien incapable de faire preuve de la moindre éloquence, tant je suis obsedé par l’idée de découvrir le goût de sa peau. Je fais chuter à terre le morceau de tissu caressant sa peau des bout des doigts, comme un adolescent - presque - sage. L’une de mes mains se loge au creux de ses reins, et l’autre se glisse à nouveau contre sa nuque pour l’attirer contre moi, et déposer un baiser à la naissance de sa mâchoire. Je profite d’être si prêt de son oreille pour lui murmurer quelques mots. « - et si c’est ok pour toi, je vais faire ce que j’ai envie de faire depuis que j’ai posé les yeux sur toi. » Et ce qui m’a hanté pendant les six années qui ont suivi.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Ven 20 Jan 2023 - 14:27 | |
| fire is great, but we're made of water Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
J’ai compris, je suis une emmerdeuse, c’était la réplique qu’elle lui aurait donné si elle n’était pas si focalisée sur la promesse de ce qui allait bientôt se passer. Ils pourraient palabrer encore longtemps, elle se savait plutôt douée pour le faire puisque ça avait été une prérogative de la peur qu’elle avait ressenti jusqu’ici et qui l’avait toujours contrainte à ne pas agir. Comme quoi, dans certaines circonstances, dans celles qui nécessitaient un peu de délicatesse, elle savait parfois se tenir.
Mais elle n’y parviendrait plus très longtemps, et dans la présente, laisser son impulsivité se manifester lui paraissait la chose la plus facile à envisager comme elle sentait qu’elle n’était pas la seule à bouillir de l’intérieur — et pas de colère. Comme pour cette alchimie qui précédait la réputation de leur duo, ce qu’elle ressentait maintenant n’avait pas d’égal dans sa mémoire, quand bien même elle n’en était pas à ses premiers galons. L’intensité de leur baiser, du contact des doigts de Midas contre sa peau et de son souffle contre son visage, elle ne rivaliserait jamais avec toutes ces fois où elle avait tenté de se figurer ce que ça lui ferait vraiment d’être dans cette occurence avec lui. Et chaque fois, leurs lèvres se repoussant pour mieux se retrouver, chaque fois un peu plus précipitamment, la sensation que ça lui suffirait se confrontait au caprice de son corps qui ne faisait qu’en réclamer davantage. La situation lui échappait autant qu’à lui, d’une façon qui la rendait pourtant maîtresse d’une seule certitude. Elle le voulait. Lui. Maintenant. C’était déconcertant de s’autoriser le droit de le penser comme ça, sans se chercher d’excuses, sans se le reprocher non plus. Néanmoins, c’était quelque chose qui l’avait accompagnée assez longtemps pour qu’elle en soit sûre, vacillant seulement parce qu’elle en voulait plus de lui qu’elle sentait si proche, ses mains posées sur elle, les siennes posées sur lui, que parce qu’elle lui affirma sans hésitation qu’elle ne jouait pas. Elle ne le lui dit pas parce que c’était ce qu’il avait besoin d’entendre — elle n’était pas du genre à se plier à ce genre de choses, ça aussi, il aurait dû le savoir —, elle le disait parce que, si elle n’était pas toujours certaine de penser ce qu’elle laissait échapper parfois, s’il y avait bien une chose dont elle ne doutait plus depuis longtemps, c’était que tout ce qui avait attrait à Midas Sterling comptait trop pour elle pour qu’elle se risque à jouer justement. Elle l’avait à peine fait lors du premier prime et elle avait failli le perdre ; et il était celui qui pouvait le mieux se représenter à quel point elle n’était pas taillée pour la défaite.
"J’avais trop peur que tu me dises d’aller me faire voir et que tu me détestes, c’est pour ça que j’ai attendu." En d’autres termes, elle avait eu peur qu’il lui dise exactement ce qu’elle lui avait dit, ce qui la contraindrait à ménager ses putains de sorties dramatiques, c’était clair "Mais je le ferais plus, si c’est ce que tu veux." Une confession qu’elle lui fit près de sa bouche, un sourire imperceptible l’accompagnant, sa voix perdant en intensité tandis que l’électricité qui passait entre eux ne faisait qu’en gagner et que le bout de ses doigts grouillaient de tout un tas de possibilités sur lesquelles elle n’arrivait pas à porter son choix — avant qu’il ne lui assure en retour qu’il ne jouait pas. Ses mains étant posées sur son torse à ce moment-là, Jo les fit glisser sur le tissu qui les séparait de la sensation de le sentir pour de bon jusqu’à la limite de son t-shirt et fit ce qu’il ferait quelques secondes plus tard de son côté ; le toucher par-dessous et sentir se dessiner les reliefs de sa peau, de ses muscles, sous ses doigts explorateurs, le bout de ses ongles annonçant leur volonté en traçant prudemment leur marque sur sa peau. Elle se tendit doucement quand, en retour, elle sentit la chaleur de ses paumes contre ses flancs, et l’arc de ses hanches se creusa quand il s’y accrocha en faisant poindre une impatience qu’elle ne lui avait jamais connue auparavant. La pression de ses propres mains sous son t-shirt se raffermit juste un peu jusqu’à s’attarder sur les cavités de son abdomen, ses doigts se déployant en retour contre ses flancs quand il l’embrassa de nouveau après lui avoir demandé, façon Midas, de se taire. C’était si poli que, de nouveau, un léger sourire lui échappa, en même temps qu’un soupçon de rire, quand elle se laissa faire sans protester. Elle lui rendit son baiser avec la même intention, son corps ondulant déjà contre le sien lorsqu’elle prit un temps pour lui chuchoter après qu’il lui eut demandé si elle voulait bien faire quelque chose pour lui "Ce que tu voudras." Et ce n’était pas qu’un effet de style — il pouvait se targuer de faire partie de la très courte liste de ceux qui pouvaient faire picorer Jo Carter dans le creux de leur main "Mais j’ai quand même besoin de te demander quelque chose. Juste ça, juré." La promesse était faite pour palier la moindre protestation de la part du jeune homme qu’elle rassura dans la continuité "Moi non plus je veux plus attendre." lui affirma-telle en poursuivant, ses mains quittant le dessous de son t-shirt pour venir de nouveau trouver son visage, ses yeux ne quittant par les siens lorsqu’elle se lança sans délai "Tu restes ?"
Le sourire graduel qu’elle lui offrit, il s’étendit jusqu’à ce qu’il la prévienne de ses intentions qu’elle ne discuta pas, à laquelle elle répondit plutôt en levant juste assez les bras pour qu’il lui enlève son t-shirt. La brûlure de ses doigts qui marqua sa peau lorsqu’il la caressa, elle eut le don de lui faire perdre juste un instant le sens de la raison et fermer les yeux pour mieux supporter le pic de frustration qu’elle ressentit en le sentant aller si précautionneusement. Pourtant elle ne lui demanda pas d’accélérer, elle apprenait à canaliser son besoin de brusquerie ; et il n’y avait pas meilleur exercice pour ça "Ça t’ennuie pas que je fasse la même chose ?" finit-elle par lui demander, s’exécutant dans la seconde pour le dégager de son t-shirt qui rejoignit le sien sur le sol. Jo marqua une observation de ses mains sur lui pour mieux réaliser que ça y était, que c’était elle qu’il le touchait désormais — elle ne résista pas à l’envie qu’elle avait de le faire avec ses lèvres, quand après s’être penchée sur lui, elle déposa quelques baisers à hauteur de sa clavicule —, qu’elle en avait son autorisation, et que si elle ne ferait jamais rien pour l’outrepasser, elle ne ferait pourtant pas mine de ne pas en être digne. Elle bascula la tête en arrière lorsqu’elle sentit la bouche de Midas se poser sur la ligne de sa mâchoire, et que sa voix si précieuse pour elle résonna doucement à son oreille, sa main remontant jusqu’à la sienne, qui était posée sur sa nuque, entrelaçant ses doigts aux siens, quand après avoir pincé les lèvres pour mieux faire le point sur ses sensations qui étaient multiples, sa respiration devenant peu à peu plus lourde, elle décida de délicatement guider sa trajectoire pour le faire asseoir sur le bord de son lit. Rendus à la même hauteur, Jo posa ses deux mains sur les épaules nues de Midas, et prit le temps de plonger son regard dans le sien tout en venant défaire la fermeture éclair de sa jupe qu’elle laissa tomber au sol dans la foulée. Un genou se glissant entre ceux du jeune homme, debout devant lui, et ses deux mains s’affirmant tendrement de part et d’autre de son cou, ses pouces suivirent la ligne épaisse de ses putains de longs cils lorsque, tout en effleurant très brièvement son front avec le sien, elle lui murmura "Arrête d’être aussi poli, Sterling." Elle, elle ne le serait pas, le prouva le nouveau baiser lascif qu’elle lui donna et qui se termina par une morsure délicate de sa lèvre inférieure, se reculant juste un peu pour terminer sa phrase dans un murmure "Considère que tout ce dont t’as envie, j’en crève autant d’envie que toi depuis que j'ai posé les yeux sur toi." Et c’était vrai. Sur ça, ils étaient bel et bien similaires. De son côté, elle ne feindrait pas de ne pas sentir le désir émaner de lui à ce moment-là, davantage quand elle s’assit enfin sur ses genoux pour lui faire face, ses jambes dénudées de part et d’autre de sa silhouette, ses doigts se coulant du bout des ongles le long de son buste qui brûlait sous ses doigts pour atteindre la ceinture de son pantalon qu’elle commença lentement à défaire pendant que ses yeux ne lâchaient pas les siens quand elle ajouta sur le même ton lent, mais résolu "T’as pas besoin de me demander l’autorisation." Je suis toute à toi, et comme pour le lui affirmer de nouveau, sa bouche se posa de nouveau sur la sienne avec le sentiment qu’elle ne s’en lasserait pas.
rp terminé. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | | | | | (mine #9) fire is great, but we're made of water |
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