ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
A la seconde où il l’observe dans le hall des locaux, Ambrose ferme les yeux et se mord la lèvre, bien plus exaspéré qu’autre chose. Il sait déjà qu’elle n’est pas là par hasard et que non, bien sûr que non elle ne faisait pas que passer dans le coin en se disant qu’elle pourrait finalement attendre qu’il finisse le travail. Preuve en est, il sort avec près d’une heure de retard, ce qui est pourtant son habitude tant les horaires notées sur sa fiche de paie ne correspondent pas à la réalité. Peu importe, il préfère la qualité à tout le reste et n’a pas peur de s’essouffler à la tâche. Il sait très bien que Zoya s’est imposée dans son quotidien justement parce qu’il ne lui laisse plus la possibilité de le faire au travers de leurs messages, réduits au minimum, et de leurs rencontres, réduites à zéro. Il a fêté son anniversaire, et par la même occasion celui de la mort de sa mère, ce qui à ses yeux est une excuse suffisante pour refuser toute entrevue durant les deux semaines qui précèdent l’événement et, de toute évidence, le mois entier qui le succède.
“Je reprends le travail dans six heures, j’ai pas le temps pour ça Zoya.” Après avoir descendu les marches à un rythme étonnement lent, c’est avec une toute autre vitesse qu’il parle et lui annonce ce dont il est question. Sa main balaie l’air, son regard lui dit pourtant qu’il est désolé, au fond, tout au fond. En réalité, il pense surtout qu’elle le mérite, parce qu’elle seule est la raison pour laquelle il réagit de cette façon. Elle, et ses habitudes, elle et sa façon de faire qu’il n’arrive décidément pas à comprendre. “Peu importe ce dont il est question.” Il doute qu’elle vienne pour s’excuser, alors il anticipe déjà sa colère face aux maigres réponses qu’il offre à ses messages de différentes sortes. Oui, je vais bien. Joyeux Noël, bonne année à toi aussi. Merci pour mon anniversaire. Non, ce soir j’ai un gros dossier et je ne peux pas sortir. Rien de plus, rien de moins non plus. Un silence radio aurait mis le feu aux poudres, Ambrose ne le sait que trop bien, et c’est justement pour cette raison qu’il prend toujours la peine de répondre un quelque chose, pour repousser l’inévitable moment où elle comprendra purement et simplement qu’il existe bel et bien un problème. L’inévitable moment tel que celui-ci, par exemple. “Je te l’aurais dit, si tu avais envoyé un message.” Il lui en veut toujours, mais pas au point de vouloir la faire patienter des heures durant pour ne rien recevoir en retour. Il est sans doute rancunier, mais il ne lui veut certainement pas du mal, quoiqu’il puisse parfois dire ou avoir l’air de penser. Simplement, tout est bien plus simple lorsqu’il s’agit de réfléchir pour son travail. Dès qu’il en retourne de sa vie personnelle, il n’est plus aussi doué.
Le silence n’a pas été le maitre mot cette fois. Mais la distance, elle, s’est immiscée lentement mais sûrement dans leur relation, celle que Zoya était heureuse de voir s’améliorer de jour en jour. Leur dernière rencontre réelle remonte au mois dernier, quand elle l’a entraîné avec elle à assister au concert des Sand Witches -le groupe de son frère Cameron. Leur premier retour sur scène qui aurait pu être un véritable fiasco lorsque le chanteur du groupe s’est défilé mais c’est haut la main finalement qu’Ambrose l’a remplacé, après que Zoya l’ait supplié de le faire. Une performance qu’elle a photographié sous tous les angles et il est fort probable que les clichés du Constantine soient bien plus nombreux que ceux des autres membres du groupe. Des photos qu’elle fait défiler à cet instant même sur l’écran de son téléphone, alors qu’elle s’impatiente déjà de ne pas le voir sortir à une heure raisonnable. Il faut dire qu’elle aurait pu s’éviter une attente interminable si elle avait daigné lui dire qu’elle comptait le rejoindre ici mais à quoi bon, quand Zoya sait que le politicien en herbe n’aurait pas manqué de lui trouver, encore, une excuse bien ficelée – ce qui montre qu’il est plutôt bon dans le domaine, d’ailleurs – et qu’il aurait décliné tout simplement qu’ils se voient, une fois encore.
Parce qu’elle s’est impatientée de le voir débarquer le jour de Noël à cet annuel grand festin organisé par les Lewis auquel elle l’a convié – sans aucune obligation cependant. Mais Zoya a vraiment eu espoir qu’il finirait par pointer le bout de son nez, a attendu jusqu’à très tardivement qu’il arrive – elle savait qu’il ne pourrait venir qu’en fin de journée – mais aucune ombre d’Ambrose s’est profilée à l’horizon ce jour-là. Elle ne lui en a pas tenu rigueur, savait qu’il n’y avait rien de sur et pourtant, au fond d’elle, elle sentait que quelque chose n’allait pas. D’autant plus quand, leurs seuls échanges, qui s’en tenaient donc à des échanges sms, n’étaient que simplement cordiaux et banals à souhait depuis le soir du concert. Aucune proposition de la part du chanteur pour qu’ils se voient tout comme il n’a pas manqué de décliner les invitations qu’elle a pu lancer après ça. Des indices donc qui, mis bout à bout, n’ont pas manqué d’éveiller des soupçons chez la Lewis et c’est pour ces raisons qu’aujourd’hui elle souhaite le prendre au dépourvu.
Zoya se lève du fauteuil confortable dans lequel elle a trouvé refuge depuis bien une heure déjà en le voyant descendre les escaliers avec une lenteur qui l’agace un peu plus qu’elle ne peut l’être déjà. Et ce n’est certainement pas les mots du jeune homme, balancés à toute vitesse dans l’air, qui vont aider la photographe à retrouver un certain calme “Je reprends le travail dans six heures, j’ai pas le temps pour ça Zoya.” Et alors que ses pas la conduisent tout droit vers le bas de l’escalier pour l’y rejoindre, elle se stoppe alors que les mots pour ça la frappe. Pour ça quoi, au juste ? Elle ? Son air se renfrogne, ses bras se croisent sur sa poitrine alors qu’elle attend qu’il arrive à sa hauteur – même si ce n’est que pour lui passer à côté sans même lui accorder au moins une étreinte ou une petite attention. “Peu importe ce dont il est question(…) Je te l’aurais dit, si tu avais envoyé un message.” « Pour que tu déclines encore une fois, parce que monsieur est et elle prend soin de mimer les guillemets "trop occupé" ? » . Et parce qu’il semble prendre tout le temps du monde pour la rejoindre, elle s’avance et sa main vient à se saisir de la sienne pour le stopper dans une quelconque fuite qu’il souhaiterait entreprendre. Le hall est désert à cette heure-ci et peut-être est-ce mieux ainsi pour eux – surtout pour Ambrose – car Zoya n’est là qu’une bombe à retardement « Tu sais très bien pourquoi je suis là » Il le sait, il la connait à force et il est conscient de ce qu’il lui fait volontairement subir ces derniers temps « Ton silence aurait exactement le même effet Le même effet que ses réponses détachées qu’il peut bien lui accorder alors dis moi sincèrement quel est le problème ? » Parce qu’il y en a un et qu’il ne cherche pas à prétendre le contraire, il le regretterait amèrement.
(c) ANAPHORE
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
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amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
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RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Il sait très bien ce qu’il est en train de semer, tout comme il se doute de la gravité de la tempête qui se profile. Pourtant, Ambrose ne regrette pas, et il ne réfléchit pas à ses mots outre mesure non plus. Pour cause, il pense chacun d’eux: il n’a pas le temps pour ça, quoique puisse vouloir dire à Zoya à son tour. Après tout, ce n’est que de sa faute à elle, s’il réagit à son tour avec une certaine véhémence farouche. « Pour que tu déclines encore une fois, parce que monsieur est "trop occupé" ? » Et si effectivement son travail est la parfaite excuse pour ne pas avoir à passer plus de temps qu’il ne le souhaite avec elle, ce n’est justement qu’à moitié une excuse. Il est un homme occupé, oui. Il es tterriblement occupé et il a beaucoup de choses à faire, des choses importantes qui n’ont rien à voir avec le fait de coucher avec tous les amis de son frère, par exemple. Simple exemple. “Je le suis, comme tu peux le voir.” N’en démontre simplement l’heure à laquelle il sort du bureau. Il ne gagne pas son pain en prenant des inconnus en photo, lui.
Sa main prise en otage sans que cela n’ait rien d’un hasard, il se résout bien malgré lui à s’arrêter dans son avancée, non sans laisser un regard agacé se reposer sur Zoya, qui ne sait décidément pas accepter de refus. « Tu sais très bien pourquoi je suis là. » A vrai dire, il hésite. Il sait qu’elle veut le revoir, oui, mais il n’est pas certain des raisons. Peut-être qu’elle veut reprendre leur jeu de touche-pipi, peut-être qu’elle en a déjà marre, peut-être qu’elle veut lui raconter sa journée, peut-être qu’elle veut lui montrer d’autres photos du concert. Elle pourrait avoir beaucoup de raisons de venir le voir, ou tout du moins de vouloir le voir, mais la vérité c’est qu’il s’en moque, ne trouvant aucune d’elles valables. « Ton silence aurait exactement le même effet alors dis moi sincèrement quel est le problème ? » Froidement, il sourit. Si elle pense avoir la science infuse, soudainement, alors elle devrait être en capacité de deviner ce qui ne va pas ; parce que oui, bien sûr qu’Edison n’allait pas être capable de passer une soirée entière, qui plus est alcoolisée, sans vanter ses mérites au lit. Bien sûr qu’il y résisterait encore moins face à Cameron. “Ecoute Zoya, je suis déjà sur ta liste de baise, bravo, maintenant passe à autre chose.” Elle est longue, cette liste, et peut-être qu’elle a même oublié qu’ils ont passé ce genre de temps ensemble - après tout, encore une fois, elle a sûrement beaucoup de visages (entre autres parties de l’anatomie humaine) dont elle doit se souvenir. En cet instant, il redevient un jeune homme amer, lui qui a largement abandonné tout masque de politicien sans même plus chercher à cacher sa déception. “Tu veux le numéro d’autres bons coups, peut-être ? Des filles ? Des garçons ? J’ai de tout, dis moi.” Il reprend possession de sa main, n’ayant aucune envie de ressentir le contact de sa peau contre la sienne en cet instant. “J’en ai beaucoup moins que toi, par contre, bien sûr.” Puisqu’elle semble sauter tout ce qui ressemble à un être humain potable et que c’est une idée qu’Ambrose n’arrive pas à comprendre alors oui, sa liste serait sans doute bien misérable en comparaison de la sienne, quand bien même ce n’est au moins pas un terrain sur lequel il compte véritablement agir en compétiteur.
“Je le suis, comme tu peux le voir.” l’excuse est bien trop facile aujourd’hui, toute trouvée alors qu’il termine à peine sa journée de travail. Elle est justifiée même mais, pour autant, Zoya ne la tolère pas. Parce que cette excuse est usée à tout bout de champ, une excuse qu’elle trouve ridicule quand ce n’est là qu’une façon de l’ignorer. Une façon de camoufler un problème, de ne pas être honnête avec elle sur les raisons exactes de son éloignement à son égard, et qu’Ambrose la prenne pour une nana aussi stupide, l’agace davantage. Il joue avec ses nerfs, surtout en usant d’une telle nonchalance à son égard, et c’est pour cette raison qu’elle le tient prisonnier l’instant suivant, pour l’obliger à l’affronter et faire preuve d’un peu plus de franchise. “Ecoute Zoya, je suis déjà sur ta liste de baise, bravo, maintenant passe à autre chose.” Il la prend au dépourvu et sa tête, qui marque un mouvement de recul, le prouve. Son air ahuri également, alors qu’elle se prend leur histoire de fesses en pleine figure et qu’elle ne comprend pas pourquoi il fait illusion à une quelconque liste qu’il a rejoint depuis bien longtemps – il est vrai. « Mais de quoi tu parles, Ambrose ? » Pour le coup, elle ne peut pas se prétendre plus maligne que lui, étant totalement dans l’ignorance de ce sujet de conversation soudainement abordé, tombant tel un cheveu sur la soupe “Tu veux le numéro d’autres bons coups, peut-être ? Des filles ? Des garçons ? J’ai de tout, dis moi.” Ambrose détache sa main de la sienne, ce qui lui déplait, mais sûrement moins que la brèche dans laquelle il est en train de s’engouffrer. Elle ne lui a jamais connu un air aussi mauvais – si ce n’est quand elle l’a retrouvée dans ce garage après le silence dont elle avait été, cette fois, à l’origine – et elle se demande s’il cherche là à provoquer une réelle dispute entre eux du fait d’un besoin de se venger encore – elle pensait cet épisode loin derrière eux – ou du fait d’une possible jalousie – qu’elle lui ignorait soit dit en passant. J’en ai beaucoup moins que toi, par contre, bien sûr.” « Ok, c’est moi où t’es en train de me taper une putain de crise de jalousie là ? » Elle ne sait pas d’où elle sort d’ailleurs, surtout d’où sortent ces illusions qu’il fait alors que, de mémoire, elle n’a fricoté avec personne en privé ou en public depuis leur dernière rencontre – il aurait pu la prendre sur le fait avec un autre et, dans ce cas, elle aurait compris. « Et d’où elle sort d’ailleurs ? Son regard est mauvais pour lui, alors qu’elle n’aime pas l’image qu’il tend à lui renvoyer en pleine figure la concernant. Cette image qu’il semble avoir d’elle alors qu’elle estime n’avoir rien à se reprocher et si c’est son passé qui l’intéresse tant ou lui pose problème, il va devoir simplement faire avec Tu veux la voir cette liste peut-être ? pour faire un comparatif par rapport à la tienne ? Quoi la tienne est moins longue c’est pour ça ? Ou c’est ton putain d’ego qui parle parce que tu as peur de ne pas avoir été aussi bien que certains ou certaines que j’ai pu me taper ? ». Zoya n’arrange sûrement en rien l’état de cette conversation, ajoute même du feu aux poudres quand celles-ci sont déjà suffisamment alimentées mais le comportement du jeune politicien l’agace et jamais elle n’aurait pensé une seule seconde que ce sujet en soit un entre eux. « Je ne savais pas qu’on se devait des comptes à ce sujet, ce n’est pas comme si je t’appartenais… ou que tu m’appartenais » juste soit dit en passant, parce que, de mémoire, ils ne sont encore rien l’un pour l’autre.
(c) ANAPHORE
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
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amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
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RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Il est autant vexé et blessé, Ambrose, mais c’est surtout le timing qui joue contre Zoya, en réalité. S’il l’avait appris plus tôt, ou même plus tard, il aurait sûrement eu une réaction bien plus calme et mesurée. Dans l’état actuel des choses, il ne sait pas se canaliser, et il préfère encore occuper toutes ses pensées à la façon dont il la déteste plutôt que de penser outre mesure à son travail ou à l’éternel deuil de sa mère, dont l’anniversaire de sa mort est à peine passé. « Mais de quoi tu parles, Ambrose ? » - “Tu veux un dessin ?” Il choisit volontairement d’interpréter ses mots de la mauvaise façon, agissant comme si elle ne faisait que lui demander de quelle baise il parle. Sur ce sujet, pourtant, il se doute bien qu’elle n’a rien oublié. Elle l’interroge plutôt sur son revirement soudain d’attitude et sa demande de passer à autre chose, là où il est le premier à demander à ce qu’ils prennent leur temps dans l’espoir de construire quelque chose, plutôt. Maintenant, il n’a plus aucune certitude de toujours le vouloir, n’hésitant pas à faire s’effondrer le château de carte tout entier au moindre coup de vent.
La seule raison pour laquelle il daigne arrêter ses pas, ce n’est que pour balancer au visage de Zoya des mots terriblement injustes, soulignant encore et toujours le fait qu’elle puisse avoir eu une vie sexuelle remplie. « Ok, c’est moi où t’es en train de me taper une putain de crise de jalousie là ? Et d’où elle sort d’ailleurs ? - “Tu veux s’avoir d’où elle vient ? Edison.” Il ne cherche même plus à nier l’idée qu’il est bel et bien jaloux. Bien sûr qu’il l’est. Jaloux et blessé, voilà ce dont est fait la réalité des choses. Le garçon ne savait pas le moins du monde qu’il aurait pu provoquer une dispute entre Zoya et Ambrose, tout comme il se doute sûrement qu’il existe quoi que ce soit entre eux, et les voilà pourtant aujourd’hui à se déchirer autour de son prénom. “Tu baises vraiment tout ce qui bouge, pas vrai ?” Et c’est ça, en réalité, qui lui fait du mal. Pas qu’elle ait eu une vie avant, mais bien la simple idée qu’elle puisse avoir eu des histoires avec tout Brisbane, jusqu’à oser toucher aux plus proches amis de son frère. Si elle a osé même avec Edison, alors cela veut dire que la liste de ses conquêtes est terriblement longue, et Ambrose se débecte de l’idée de n’être qu’un nom parmi tant d’autres. Tu veux la voir cette liste peut-être ? pour faire un comparatif par rapport à la tienne ? Quoi la tienne est moins longue c’est pour ça ? Ou c’est ton putain d’ego qui parle parce que tu as peur de ne pas avoir été aussi bien que certains ou certaines que j’ai pu me taper ? » Sur ces sujets-là, il ne s’emporte pas. Ce n’est pas le problème, ce n’est même pas la question. Il sait qu’elle se contente de mordre parce qu’il a attaqué le premier, et c’est bien la raison pour laquelle ses mots n’ont aucune force à ses yeux. Sa liste est bien plus courte, c’est un fait, et c’est surtout un fait dont il n’a pas honte, pour bien des raisons. “Tu devrais retourner les voir.” Parce qu’Ambrose peut au moins attester d’une chose: elle ne risque pas de lui remettre la main dessus avant un long, long moment.
« Je ne savais pas qu’on se devait des comptes à ce sujet, ce n’est pas comme si je t’appartenais… ou que tu m’appartenais. » - “Ce n’est pas le cas. On ne se doit rien.” L’important n’est pas que ce soit la vérité ; l’important réside dans le fait que personne ne découvre que ce ne l’est justement pas. Ambrose n’aurait jamais osé émettre l’idée qu’elle lui appartient, ou bien le contraire, mais il pensait néanmoins qu’il existait une sorte d’accord tacite entre eux. Un quelque chose sur lequel il ne met pas de mots, à défaut d’y poser pourtant quelques sentiments épars. Il le pensait, jusqu’à peu. “Oublie moi, d’accord ?” Ce sera bien plus simple de cette façon et, à défaut d’être naïf au point de croire que leur discussion peut déjà s’arrêter là, il continue néanmoins de marcher jusqu’à la sortie du bâtiment, n’ayant aucune envie de faire une scène dans les locaux. Ils continueront à se déchirer dans la rue sans que cela ne change quoi que ce soit à leurs propos ou pensées.
“Tu veux un dessin ?” « Funny » Sa réponse est puérile et n’aide en rien Zoya à comprendre quelle mouche l’a piqué. Sa manière d’agir lui déplait, la sensation de retomber dans le schéma de leur relation d’il y a quelques mois lui étant désagréable. Elle pensait qu’ils étaient passés outre les éclats de voix, qu’ils parvenaient à dialoguer suffisamment pour ne plus avoir de raisons de se crier dessus. Mais il semblerait que la tempête ne soit jamais bien loin et menace toujours d’éclater à tout moment entre eux.
“Tu veux savoir d’où elle vient ? Edison.” Il aurait été sûrement le dernier à qui elle aurait pensé pour attribuer un nom à cette perturbation et c’est pour cette raison qu’elle a ce mouvement de recul de la tête. Que vient faire Edison dans l’histoire ? Et peu à peu, le cheminement dans sa tête se fait. Ambrose qui a rejoint les Sand Witches le soir de leur concert en décembre dernier, suivie d’une soirée privée entre les membres du groupe, à laquelle elle n’a pas assisté. Alcool ou non, Edison a dû avoir la langue bien pendue et a porté à la connaissance d’Ambrose leur relation particulière. Et, à en prenant conscience, elle soupire. Fortement. Elle s’occupera du cas du Dorn un peu plus tard, pour le moment, c’est la jalousie d’Ambrose qu’elle doit affronter “Tu baises vraiment tout ce qui bouge, pas vrai ?” « Oh, s’il te plait ne joue pas la sainte-nitouche, tu ne dois pas être si irréprochable que ça, toi aussi ». Elle ne nie pas non plus et elle ne comprend pas ce qu’il lui reproche. Est-ce une question d’égo ? Se pense-t-il inférieur à Edison, dont la carrure peut effectivement impressionner ? Elle s’emporte – parce qu’elle ne peut agir autrement – quand cette dispute n’a pas de sens et qu’elle ne comprend pas pourquoi il réagit aussi vivement à cette relation charnelle qu’elle a pu partager avec Edison – et d’autres – à une période de sa vie où elle ignorait jusqu’à son existence “Tu devrais retourner les voir.” « T’es ridicule, Ambrose ». Zoya le pensait plus mature, c’est tout ce qu’elle appréciait d’ailleurs chez lui alors qu’il est plus jeune qu’elle mais, cette fois, elle a l’impression de faire face à un enfant. Il ne répond que par des bribes de phrases qui n’ont aucun sens et cela ne peut que mettre les nerfs de la jeune femme à rude épreuve. “Ce n’est pas le cas. On ne se doit rien.” « Alors pourquoi tu m’emmerdes avec ça ? ». Ils ne sont rien, après tout, il n’y a pas de mots sur leur relation, ils ne s’appartiennent pas et connaitre les conquêtes passées de chacun n’est aucunement une question que, même s’ils avaient été quoi que ce soit, elle aurait mis sur le tapis. “Oublie moi, d’accord ?” Et il fuit. Zoya le regarde, stoïque, prendre la direction de la sortie du building, sans un regard en arrière pour elle. Putain, il fait chier. C’est ce qu’elle pense et pourtant ses pieds la poussent à suivre ses pas et à le rejoindre dans la lueur obscure extérieure. « Rose, putain, attends ! ». Elle le rattrape à nouveau, se voyant dans l’obligation de lui courir après et vient à lui barrer la route en se postant devant lui « Je suis pas d’accord ! » On dirait elle-même une enfant, maintenant « J’ai pas envie de t’oublier, putain ! » et elle le bouscule de ses deux mains, comme si elle cherchait à le secouer et le faire réagir. « Je me tape plus Edison si c’est ce qui t’inquiète tant ! » Peut-être s’abstiendra-t-elle de préciser les raisons des fois – occasionnelles – où elle s’est retrouvée dans les draps du Dorn. Cela ne ferait que l’effrayer davantage, elle le sait, surtout quand elle lui confirmerait qu’il a très certainement été son pansement après qu’il l’ait repoussé en mars dernier. Sauf que la différence entre Edison et Ambrose, c’est que jamais elle n’utiliserait le dernier comme elle a pu le faire avec le premier. Parce que, là encore, ce qu’elle ressent pour le Constantine, elle ne l’a jamais ressenti pour le Dorn.
(c) ANAPHORE
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Faites ce que je dis, pas ce que je fais est une des maximes qui convient le mieux à un Ambrose qui s’insurge que Zoya ait eue une vie sexuelle avant de le connaître, lui qui n’est pas en reste à ce sujet non plus. Tout ce qu’il lui reproche, en réalité, c’est la vitesse à laquelle ses histoires peuvent se répandre. Ce n’est jamais une bonne chose, à aucun niveau, et sans doute encore moins pour son estime personnelle. « Oh, s’il te plait ne joue pas la sainte-nitouche, tu ne dois pas être si irréprochable que ça, toi aussi. » Il ne l’est pas, bien sûr, mais à la différence de Zoya il n’a pas une aventure ou une autre qui risque de faire répandre le bruit à tout va. Millie ne dira rien, Damon en dira encore moins. Et c’est très bien ainsi, parce que ce n’est pas ce qu’il veut qu’on retienne de sa personne, sa vie privée ayant vocation à rester privée. “Non, ne nous compare pas.” Il prévient et menace presque. Il apprécie Zoya, certes, mais ils n’ont absolument rien en commun, et il n’a pas vocation à ce que ce soit le cas. « T’es ridicule, Ambrose. » Et il fronce les sourcils et s’énerve encore plus en son sein parce qu’il sait que pour une fois, elle a raison et il a tort.
« Alors pourquoi tu m’emmerdes avec ça ? » “T’as pensé une seconde à ton image ?”
Non, bien sûr que non Zoya n’y pense pas. Elle s’en moque et même elle s’en amuse, de son image. Elle pourrait trouver amusant qu’on lui prête des mensonges, elle serait sans doute même la première à rajouter de l’huile sur le feu. Mais Ambrose, lui, il n’y a rien de tout ceci qui puisse l’amuser. Il travaille sur son image depuis aussi longtemps qu’il s’en souvienne, et il ne peut ni ne veut prendre le risque d’être associé à Zoya qui connaît autant de prénoms que d’histoires d’un soir. Il n’agit pas par jalousie, il veut qu’elle le croit, quand bien même ce sentiment joue sans doute à un certain niveau du processus.
Sa silhouette se dégage déjà de la sienne autant que de l’intérieur du bâtiment, peu envieux à l’idée de continuer cette discussion dans un endroit où il est celui qui sera mis en cause s’ils continuent de parler avec autant de zèle. « Rose, putain, attends ! » Sa voix se rapproche, presque aussi rapidement que le bruit de ses pas battant les pavés. « Je suis pas d’accord ! J’ai pas envie de t’oublier, putain ! Je me tape plus Edison si c’est ce qui t’inquiète tant ! » Son corps est secoué par les mains de la jeune femme, il maugrée dans sa barbe avant d’effectivement ralentir le pas et se retourner vers elle, le regard noir. “Je serai pas juste un nom que tu coches plusieurs fois sur une foutue liste, Zoya.” Peut-être qu’Edison n’est plus d’actualité, mais dans ce cas-là il anticipe déjà que beaucoup d’autres l’ont remplacé, tout comme beaucoup d’autres ont existé avant. Il ne cherche pas le grand amour et n’est même pas certain d’y croire, mais il croit au moins en les relations stables et épanouissantes, ce qui sont deux termes qu’il peine terriblement à associer à la Lewis. “J’ai pas le temps pour ça. J’ai pas deux secondes à moi, je peux pas me permettre de les utiliser pour jouer au flic avec toi ou me demander avec qui t’es en cet instant.” Il a besoin de calme, de stabilité, et surtout de confiance. Et peu importe à quel point il apprécie sincèrement la brune, il n’arrive pas à faire le lien entre elle et ces termes, et cela ne fait que s’ajouter à la longue, longue liste de ses problèmes. "Tu... T'es impossible, tu le sais ça ?" Elle agit sans schéma prédéfini, elle ne répond à aucune logique et encore moins à une règle. Elle est imprévisible, dans une vie qu'Ambrose a planifié sur les trente années à venir.
“Non, ne nous compare pas.” Il semble offenser qu’elle ait osé le faire et elle est blessée de voir qu’il ne veut rien avoir de commun avec sa personne. Ce qui la blesse d’autant plus c’est le portrait qu’il est en train de dépeindre d’elle, contrastant avec l’image si parfaite qu’il tente de s’attribuer. Sa colère n’en est que plus vive face à ce dédain qu’il manifeste à son égard, et c’est pour cette raison qu’elle s’emporte, en lui attribuant le qualificatif de ridicule en premier lieu avant de lui demander pourquoi il l’emmerde avec cette connerie de listes de conquêtes qu’elle a pu avoir “T’as pensé une seconde à ton image ?” Son image ? Elle ne peut réprimer un rire et c’est là où elle prend conscience qu’Ambrose n’a pas compris la personne qu’elle est. Ou il le sait, mais il espère peut-être qu’elle en change « J’en ai rien à faire de mon image, Rose ! », elle use d’un vocabulaire poli quand elle pourrait accentuer ses propos en utilisant un lexique plus familier pour lui répondre. Il n’a jamais été question de plaire à quiconque pour Zoya. Jamais. Même lorsqu’elle a débuté dans le domaine photographique, elle n’a jamais caché sa réelle personnalité. C’est ainsi qu’elle est, user de faux semblants n’ayant jamais été sa tasse de thé. Et ce n’est sûrement pas pour Ambrose qu’elle changera. Non pas qu’il ne mérite pas qu’elle s’apaise – et d’ailleurs, sur ce point, elle estime avoir fait des efforts pour lui, quand il lui a demandé et lui demande toujours d’être patiente concernant leur relation – mais parce qu’elle garde des séquelles qu’il ignore quand elle a été prête à des sacrifices par amour et qu’elle s’est bien pris sa stupidité en pleine figure. Alors, qu’importe l’opinion que peuvent avoir certains à son sujet, elle ne s’en préoccupe guère et sera effectivement la première à s’en amuser, tant elle ne cherche plus à plaire à quiconque. On l’aime comme elle est ou alors on passe son chemin.
“Je serai pas juste un nom que tu coches plusieurs fois sur une foutue liste, Zoya.” Il accepte de se retourner pour lui parler, après qu’elle l’ait un peu secoué et les mots qui lui parviennent lui font comprendre qu’il ne veut pas être qu’un vulgaire nom sur sa longue liste. Il veut être plus, sans pour autant l’admettre explicitement et cela laisse Zoya quelque peu interloquée “J’ai pas le temps pour ça. J’ai pas deux secondes à moi, je peux pas me permettre de les utiliser pour jouer au flic avec toi ou me demander avec qui t’es en cet instant.” Un sourire nait alors sur ses lèvres. Parce qu’elle est touchée. Touchée qu’il se soucie de tout ça, alors qu’il est le premier à appeler à une certaine patience dans leur relation. Et pourtant, par ses mots, tout ce qui transparait est le contraire. Qu’il veuille l’admettre ou non, il la veut pour lui, souhaite une certaine exclusivité quand leur relation ne peut être aussi flou qu’elle ne l’est actuellement, celle sur laquelle il n’y a aucune étiquette apposée. Il n’apprécie surement pas ce sourire qu’elle arbore soudainement, alors que la colère semble l’avoir quitté momentanément. "Tu... T'es impossible, tu le sais ça ?" Elle rit, posément, acquiesce même, ne cherchant pas à le contredire. « Je sais… Mais tu le sais aussi » Et il ne peut pas dire qu’il le découvre, il l’a su dès l’instant où il l’a rencontré. Elle est pleine de surprise, cela fait partie de sa personnalité et elle suppose que c’est aussi ce qui a pu lui plaire chez elle, à un moment ou à un autre. « Mais je n’ai rien fait de mal, Ambrose. Et je ne peux pas effacer mon passé juste pour une question… d’images » et surtout de jalousie, la sienne en l’occurrence. Un soupir s’échappe d’entre ses lèvres, alors qu’elle reprend, toujours sur un ton qui se veut à la fois posé mais ferme « Rose, je ne sais pas ce que tu attends de moi. Tu me demandes d’être patiente et c’est ce que je fais. Pour le reste, tu dois me faire confiance. Et même si cette crise de jalousie que tu viens de me faire me flatte d’une certaine manière, ça m’agace aussi parce que tu n’es pas fichu de reconnaitre tout simplement que tu veux de cette putain de relation et me le dire explicitement » En somme, elle veut qu’il assume et qu’il se laisse aller un petit peu, sa patience ayant sûrement atteint ses limites de son côté. « Tu es tout autant incompréhensible que moi ». Il l’est pour elle, en tout cas.
(c) ANAPHORE
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
« J’en ai rien à faire de mon image, Rose ! » Il le sait, oui. Il le sait bien, et c’est justement ça le problème, parce que de son côté Constantine en a quelque chose à foutre pour deux, surtout dans la mesure où ce qui touche à Zoya pourrait potentiellement le toucher à son tour aussi. Le plus jeune s’agace, souffle, se demande pourquoi il continue de perdre son temps à tenter de lui faire ouvrir les yeux sur la situation. Alors, il a au moins le mérite de le lui dire. Avec ses mots, avec son agacement, mais tout de même. Il lui dépeint rapidement le tableau de la situation, avec l’espoir que cela suffise à ce qu’elle s’assagisse. Pour autant, de toutes les réactions qu’il aurait pu anticiper du côté de Zoya, le sourire qu’elle affiche désormais sur son visage n’en faisait décidément pas partie, et force est de constater qu’il déstabilise profondément le brun, qui ne trouve soudainement pas quoi dire. « Je sais… Mais tu le sais aussi. » Il le sait maintenant, oui. Mais ce n’était pas écrit sur son front. Il le sait, maintenant qu’ils passent leur temps à se disputer bien plus qu’à se réconcilier. Le savoir n’excuse rien, voilà aussi ce qu’il en dit, Constantine. “Ça ne change rien.” qu’il statue donc, toujours aussi froidement.
« Mais je n’ai rien fait de mal, Ambrose. Et je ne peux pas effacer mon passé juste pour une question… d’images. » Ambrose souffle. Oui, bien sûr qu’il le sait - même si faire disparaître des histoires compromettantes est ce qu’il fait au quotidien ou presque. Des histoires de ce genre ne sont pas immenses, elles pourraient disparaître d’un claquement de doigts s’ils le voulaient, mais en réalité le problème est bien plus profond encore: il lui en veut de faire de tous ses désirs la réalité, tout comme il lui en veut que son désir ait un jour pris la forme du meilleur ami de son frère, parce que cela signifie qu’elle n’a pas de limites. « Rose, je ne sais pas ce que tu attends de moi. Tu me demandes d’être patiente et c’est ce que je fais. Pour le reste, tu dois me faire confiance. Et même si cette crise de jalousie que tu viens de me faire me flatte d’une certaine manière, ça m’agace aussi parce que tu n’es pas fichu de reconnaître tout simplement que tu veux de cette putain de relation et me le dire explicitement. » Il rigolerait presque à l’idée d’avoir besoin de faire confiance à Zoya. A ses yeux, cela voudrait surtout dire qu’il devrait fermer les yeux sur tous les écarts que sont les siens ; ce n’est pas de la confiance, c’est de la bêtise. “Tu peux me citer un seul homme politique, ou femme, dont le compagnon est connu pour ses excès ?” Il ne parle pas seulement de ses aventures, il parle aussi de son tempérament, de sa capacité à accepter un verre d’alcool dès qu’on le lui présente. Il parle de tout, absolument tout, même de sa famille qui est loin d’être parfaitement clean. Qu’il souhaite une véritable relation avec elle n’est pas la question, du moins ce n’est pas celle que Constantine se pose. Ses désirs passent après son ambition. “J’espère sincèrement que tu peux te contenter de ce genre de flatterie.” Parce qu’il est déjà à peu près certain qu’il ne pourra pas lui offrir davantage. Elle ne changera pas pour lui, et il ne changera pas pour elle. “J’ai travaillé toute ma vie pour obtenir le boulot que je veux tout en jonglant avec le reste. Je ne prendrai pas le risque de voir tout ça s’effondrer, que ce soit pour toi ou pour qui que ce soit.” L’équilibre est instable mais il existe bien. Il arrive à mettre de l’argent de côté pour son père, il rend Norman fier, il jure qu’il arrivera un jour à louer son propre appartement pour enfin faire place nette, il est un élément essentiel de la campagne de Camil. Pas à pas, il se fait une place en ce monde, et s’il sait qu’il ne pourra pas rester seul bien longtemps, il sait aussi qu’il ne peut pas se permettre de faire jouer ses sentiments avant la raison - les vieux livres anglais le diraient, eux aussi.
« Tu es tout autant incompréhensible que moi. » - “Je te dis pas ce que tu veux entendre, c’est différent.” Et il n’est pas heureux du constat. Il lui souhaite d’être heureux, à Zoya, et à en témoigner par ses mots, l’idée qu’elle le soit auprès d’un autre a tout pour le blesser à son tour. Mais il devra s’y faire malgré tout, ne pouvant gagner sur tous les terrains. “Je voulais pas te blesser.” Enfin, il explique les raisons de son silence. Lui-même blessé, il ne voulait pas lui renvoyer la pareille, bien conscient que ce jeu est aussi enfantin que surfait, et c’est pourtant ce qu’il a fait ce soir.
“Ça ne change rien.” Qu’il le sache ou non ne change rien, il a raison, parce que Zoya n’est de toute façon pas prête de changer ni la personne qu’elle est ni l’image qu’elle peut renvoyer. Et si Ambrose ne peut le supporter, leur situation n’est, elle non plus, pas prête d’évoluer et à la manière avec laquelle il ponctue ses mots, il ne peut se montrer plus catégorique à ce sujet qu’à cet instant.
“Tu peux me citer un seul homme politique, ou femme, dont le compagnon est connu pour ses excès ?” Ses cils battent lentement face à cette question inattendue. Non, elle n’est pas calée en politique, comme lui, s’y intéresse pour ainsi dire pas du tout, contrairement à lui, et ce n’est clairement pas un terrain sur lequel elle pourrait lui faire concurrence – et de toute évidence, avec ce qu’il dit, elle ne ferait pas long feu, puisque son image n’est pas faite pour ce milieu « J’en sais rien, Ambrose ! » L’agacement est perceptible dans sa voix et elle s’abstient d’user de mots plus vulgaire pour lui dire qu’elle en a complètement rien à faire de ces hommes politiques qui trichent pour paraitre irréprochable aux yeux de tous. A la place, elle rit jaune en poursuivant « Et puis mes excès ? Quels autres excès te déplaisent chez moi ? Je t’écoute ! » En dehors de ceux à l’origine de leur dispute, de cette longue liste de prétendants et prétendantes qu’elle a pu avoir dans son lit. Elle est blessée du tableau qu’il dépeint de sa personne et le regard qu’elle adopte la seconde suivante est marquée aussi par la déception « J’imagine que l’abandon de ma fille en est un, n’est-ce pas ? » et si la colère est toujours présente dans son regard, sa voix, elle, trahit le sujet sensible que ce point peut être. “J’espère sincèrement que tu peux te contenter de ce genre de flatterie.” « et toi te contenter de cette vie sans saveur » Parce qu’il s’interdit de vivre pour ce qu’elle juge n’être qu’éphémère, tant ce milieu est vorace et malsain à ses yeux, et qu’il aura tout le loisir de le regretter par la suite. En attendant, il passe à côté de plaisirs simples, s’interdit toutes relations pour entrer dans le moule et si cette vie là lui convient, ce n’est sûrement pas le cas de la photographe. “J’ai travaillé toute ma vie pour obtenir le boulot que je veux tout en jonglant avec le reste. Je ne prendrai pas le risque de voir tout ça s’effondrer, que ce soit pour toi ou pour qui que ce soit.” Les mots blessent encore parce qu’il lui fait clairement comprendre que jamais il ne fera de sacrifices pour elle, là où lui aimerait qu’elle change pour lui, surtout si elle veut de cette relation. Les concessions doivent être de son fait, et s’il y a bien une chose qu’une de ses précédentes relations lui a enseignée, c’est de ne jamais chercher à changer pour quelqu’un. S’il ne l’accepte pas telle qu’elle est, alors ils n’ont plus rien à voir ensemble « Le message ne peut être on ne peut plus clair, Ambrose ! ». Même si elle admire cette hargne et cette détermination qu’il peut avoir, les moyens qu’il a su se donner et qu’il se donne quotidiennement pour réussir, Zoya n’apprécie pas la façon qu’il a de la repousser et de la faire se sentir illégitime à ses côtés. Cette façon de la mettre à l’écart et d’être aussi le seul à pouvoir déterminer l’état de leur relation et surtout le seul juge de celle-ci est désormais inacceptable pour elle tant elle n’a jamais accepté que quiconque décide à sa place.
Il est celui qui a émis le souhait d’une relation plus sérieuse entre eux, quand elle lui a donné l’impression qu’il n’était qu’un passe-temps à ses yeux. Il lui a demandé d’être patiente, nourrissant l’espoir en elle qu’il finirait par être quelque chose. Et c’est pour cette raison qu’elle lui dit être incompréhensible, quand lui l’a fait un peu plus tôt en la définissant d’impossible – c’est du pareil au même. “Je te dis pas ce que tu veux entendre, c’est différent.” « Tu as surtout changé de discours ! » Là est la nuance. Et cela semble marquer aussi la fin de tout espoir à ce que quelque chose puisse naitre entre eux. L’espoir d’une relation s’évanouit alors et ce n’est sûrement pas ce à quoi Zoya s’attendait lorsque ses pas l’ont menée jusqu’ici. “Je voulais pas te blesser.” Que ce soit par son silence, par le fait de l’avoir évité ou les mots qu’ils viennent d’échanger, il l’a pourtant fait. « Et moi te faire perdre ton temps ». Le calme olympien qu’elle parvient à conserver est étonnant, même si la lassitude est aussi présente dans le ton qu’elle emprunte. Qu’elle soit dans un tel état ne lui ressemble pas, preuve qu’elle n’a jamais fait semblant à ses côtés et c’est au moins un point qu’il ne pourra lui reprocher.
(c) ANAPHORE
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
« J’en sais rien, Ambrose ! » “La réponse est non. Parce qu’il n’en existe pas.”
Des personnalités politiques connues pour leurs excès peuvent exister, oui, mais pas leurs compagnons. Dans ce sens là, ce n’est pas permis, et s’il est prêt à se battre pour changer bien des choses, ceci ne sera certainement pas son cheval de bataille. « Et puis mes excès ? Quels autres excès te déplaisent chez moi ? Je t’écoute ! » Il ferme les yeux un instant et secoue la tête celui d’après. Elle sait déjà très bien ce dont il parle, ou tout du moins Ambrose l’espère puisque les choses lui semblent évidentes: elle est excessive dans chaque aspect de la vie, et il refuse de croire qu’elle ne s’en rend pas compte. « J’imagine que l’abandon de ma fille en est un, n’est-ce pas ? » - “Entre autres, oui.” Ambrose adopte le point de vue du public, et il sait aussitôt que ce n’est pas le genre d’acte qui peut trouver ses raisons, surtout pas dans un pays aussi conservateur que continue de l’être l’Australie. La politique se résume peut-être à se mettre en avant, mais bien souvent les propres idées et pensées se retrouvent au second plan, derrière les priorités de la stratégie. « et toi te contenter de cette vie sans saveur » Il y a d’autres bons côtés. Il doit y en avoir. Il sait qu’il y en a. Elle n’y voit que les inconvénients, les conséquences, les problèmes. Elle ne pense qu’à un eux qui s’éloigne de plus en plus, et lui voit un avenir qui comporte ses bons comme ses mauvais côtés - comme n’importe quel avenir. La seule différence du sien, c’est qu’il ne plaît pas à Zoya, parce qu’elle ne semble pas avoir la place qu’elle désire, ce dont Ambrose est sincèrement désolé. “C’est ce qu’elle représente pour toi. Pas pour moi.” Et ce n’est finalement qu’une preuve de plus qu’ils ne sont pas faits pour suivre le même chemin.
Tout ce qu’il ajoute se résume à un nouveau couteau qu’il tourne et retourne dans la plaie de Zoya. Il ne veut pas la blesser, il souhaite simplement lui dire tout ce qu’il peut, une bonne fois pour toutes. Peut-être qu’après ça, ils n’auront plus jamais à avoir ce genre de discussion difficile. Peut-être qu’après ça, ils pourraient arriver à être amis. C’est sans doute déjà pas mal, une amitié. « Le message ne peut être on ne peut plus clair, Ambrose ! » Il esquisse une moue de plus, bien au fait de toute la colère et sans doute même la frustration, autant qu’un bon autre millier d’adjectifs, qui imprègnent désormais le cœur de la Lewis. Il est celui à qui on fait comprendre ce genre de choses généralement ; jamais l’inverse. « Tu as surtout changé de discours ! » Il retire les nuances qui avaient caractérisé ses mots jusqu’alors, voilà tout. Il retire aussi certainement la plupart de leurs espoirs, maintenant qu’il se rend compte bien malgré lui que les choses ne peuvent pas évoluer dans le bon sens. Du moins, elles ne le font pas. « Et moi te faire perdre ton temps » Leur discussion semble s’apaiser, peut-être, mais elle n’en fait pas moins laisser le cœur de l’australien se briser. Il jure ne jamais avoir voulu la blesser d’aucune façon, mais il jure aussi faire la meilleure chose pour eux deux à ainsi mettre les points sur les i: il a besoin de quelqu’un capable de jouer parfaitement le jeu devant les caméras et sur son cv, chose dont Zoya semble être incapable. Peut-être qu’une partie de lui lui envie son éternelle liberté de toutes choses, mais certainement pas assez pour qu’il renonce à ses ambitions. “Je te souhaite d’être heureuse.” Il souffle, résigné, et incapable de rajouter de l’huile sur le feu. Qu’elle le soit auprès d’Edison, si c’est ce dont elle a envie. Peu importe, maintenant.