ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Well maybe it's me and my blind optimism to blame Maybe it's you and your sick need to give love then take it away And you'll add my name to your long list of traitors who don't understand And I'll look back and regret how I ignored when they said "run as fast as you can" (...) You are an expert at sorry, And keeping the lines blurry Never impressed by me acing your tests All the girls that you've run dry Have tired, lifeless eyes 'Cause you burned them out
Mon dimanche matin était délicieux. Je m’étais levée tard, j’avais trainé au lit, puis j’avais été me faire une théière d’un nouveau thé que j’avais acheté la veille, je m’étais mise deux pancakes dans une poêle et je m’étais installée dans mon salon avec mon livre, laissant mon téléphone et ses notifications sur ma table de chevet. Les rayons du soleil jouait avec les feuilles des arbres du jardin, projetant des ombres sur les murs colorés de la pièce. Mon enceinte jouait de la musique classique, beaucoup plus calme que les cris du karaoké où j’avais fini hier soir. Il faisait bon dehors, j’avais ouvert la fenêtre, et le bruit de Brisbane qui s’éveille résonnait dans ma maison.
J’étais d’excellente d’humeur.
C’est toujours un peu comme ça, me dirai-je plus tard, en repensant à ce moment. On ne savait jamais trop quand les choses basculaientt. Tout se ressemblait, au début. Le soleil s’était lêvé comme tous les matins. Le goût du thé, l’odeur de la lessive sur ma robe bleu en coton, les bruits de la vie qui sort de sa torpeur. Rien n’avait changé, tout était encore parfaitement à sa place, dans cet équilibre précaire dans lequel j’avais laissé mon quotidien la veille, avant de m’endormir.
Mais ce matin-là, sur les coups de midi, je pris mon téléphone et remarquai que j’avais beaucoup trop d’appels en absence. Trois de ma publiciste, deux de mon agente. Suzy m’avait appelé deux fois aussi, et un texto de Théo qui me demandait comment je me sentais. Comment je me sentais ? Mais, très bien ? Je fronçai les sourcils et j’ouvris twitter, me demandant si j’avais raté une information. Est-ce qu’un vieux tweet à moi avait été retrouvé, une photo stupide de moi en soirée, est-ce que j’avais perdu un prix pour lequel j’étais nommée et que j’avais oublié ? J’ouvris mes notifications. On m’avait taggé dans des centaines de tweets. Mon nom était trending sur twitter. Un frisson remonta le long de mon dos, et je cliquai sur le premier tweet que je trouvai.
“good morning to @itsmarceline and to her only because she needs all the love she can get today. nobody deserves to go through this. my poor precious little angel!!! ”
…Quelqu’un était mort et je n’étais pas au courant ? Je scrollai et cliquai sur un autre tweet. Celui-là avait une photo. Je plissai les yeux, détaillant ce que je voyais, et je compris.
Oh.
Mon coeur tomba dans mes poumons, puis dans mon estomac. J’inspirai. Oh. Je continuai de scroller, regardant les diverses photos, les tweets, les rumeurs. Ma peau brûlait, l’humiliation, la colère, la tristesse, la rage, l’hystérie, tout se mélangeait dans mon sang qui pompait à chaque battement affolé de mon coeur. Je me levai sans réfléchir et commandai un taxi, ne prenant même pas le temps de répondre à qui que ce soit, de prévenir Jiyeon que j’arrivais. Je n’arrivais pas à décrocher mes yeux des notifications Twitter et Instagram.
J’arrivai devant chez elle, ne me préoccupant même pas de savoir si elle était seule, si son frère était là. Je ne savais même s’il savait que j’existais. Nous n’allions jamais chez Jiyeon, elle me gardait bien loin de sa vie quotidienne, de ses amis. Je comprenais mieux pourquoi. Qu’est-ce que j’étais conne, putain.
« Jiyeon, ouvre moi, » dis-je en tambourinant contre la porte sans m’inquiéter de faire une scène devant les voisins. Je m’en foutai. « Ouvre moi ou je défonce ta porte, » menaçai-je. La porte s’entreouvrit et je la poussai pour rentrer dans l’appartement sans demander la permission. Il me fallut toute la force du monde pour ne pas pousser Jiyeon contre un mur en même temps. Je sentais une telle énergie irradier de moi, j’avais l’impression que j’étais devenue un feu qui allait tout détruire sur son passage. Mais ça m’était égale, puisque Jiyeon avait déjà tout détruit. Je me tournai vers elle, affrontant son regard. J’avais envie de lui hurler dessus et ma voix tremblait déjà : « Non mais t’aimes me prendre publiquement pour une conne, c’est ça ? Quoi, t’as un kink d’humiliation en fait ? » Mon ton était sec, accusateur, j’avais les mains qui fourmillaient de toute la rage que j’essayais de contenir. « Je serai curieuse de savoir quelle excuse tu vas encore te chercher cette fois-ci, mais économise ta salive, c’est plus la peine maintenant. J’arrive pas à croire que t’ais tout gâché, » sifflai-je entre mes dents serrées, mon téléphone dans ma main droite, l’écran toujours allumé, laissant deviner une photo floue de Jiyeon toute contre un mec que je reconnaissais être son ex, ses lèvres contre les siennes, à peine éclairé par les néons de la boite de nuit où ils dansaient.
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
:
Gina Cooper
le charme des paillettes
ÂGE : 28 ans (27/05/1996) Gemini sun, Leo moon and Virgo rising. (duality, narcissism and perfectionism) SURNOM : Gigi, Gi (pour les plus fainéant), Ari, Barbie (don't use that, she hates it), Blondie, Bitch, Cooper, Coop. STATUT : Célibataire avec une réputation de fille qui papillonne un peu trop. She's a big flirt. MÉTIER : Personnalité du petit écran (parfois du grand aussi). Elle s'est faite connaitre par une télé-réalité avant de dominer les audiences avec son talk show : The Gina Cooper Show. LOGEMENT : Une maison trop grande pour elle, avec une déco blanche épurée qui rend sa femme de ménage folle et quasiment un hectare de jardin pour garder tout le monde bien loin, au 33 hardgrave road à West End. POSTS : 2436 POINTS : 1790
TW IN RP : Homophobie - Sexe - Eating disorder - Manipulation - Usage de drogue GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ESTP-A ≈ mesure 1,52m ≈ New Yorkaise élevée par une famille de républicains conservateurs catholiques. ≈ A fait ses études à Science Po Paris pour faire plaisir à ses parents. Mais ils ne lui parlent plus depuis son coming out. ≈ Très secrète sur sa vie privée, elle raconte pas mal de petit mensonge à la télévision. ≈ Présentatrice télé préférée des 18 - 30 ans. ≈ Mauvaise cuisinière. ≈ Addict à Starbucks. ≈ Control freak sur beaucoup trop de chose. ≈ Selfish bitch qui s'assume. ≈ Chronically online.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Est chiante en #6633cc, en anglais ou en français. RPs EN COURS :
ISABEL ♡ I could eat that girl for lunch. Yeah, she dances on my tongue. Tastes like she might be the one And I could never get enough. I could buy her so much stuff, It's a craving, not a crush, huh - #1 - #2 - #3 - #4
Dimanche matin, beaucoup trop tôt pour elle, les sonneries a répétition de son téléphone avait finit par la tirer de son lourd sommeil. Elle avait attraper le smartphone, prête à le mettre en silencieux, ou le jeter à l’autre bout de sa chambre, quand ses yeux tombait sur le flot de notification qui inondait son écran.
Marceline4ever @jiyeonpark you’re a heartless slut.
05:27 am
JilineEndGame waking up to see jiline is over. What????? @jiyeonpark @itsmarceline
06:03 am
SparklingMoon94 @jiyeonpark @itsmarceline please say it’s a prank or some kind of early April’s fool???? Please????
Twitter, Instagram, TikTok, tout les réseaux y passaient. Ses postes étaient pris d’assaut par des fans en colère, des haters qui la menaçaient de mort dans les commentaires. Elle fronçait les sourcils, ne comprenant pas cette soudaine vague de haine, alors qu’elle ouvrait l’onglet des photos dans lesquels elle avait été taggués. « Fuck… » soufflait-elle en tombant sur une ribambelle de photo, de elle et Marvin, se roulant un patin dans un club. La soirée lui revenait par flash. Marvin qui avait bu, lui qui ne buvait pas une goute d’alcool, elle qui avait trouvé ça trop drôle, puis tout ça qui avait bien vite dérapé... Elle laissait sa tête retomber lourdement on fond de son oreiller, passant ses mains sur son visage fatigué et toujours maquillée de la veille. Elle avait envie de se rendormir et que tout ça ne soit qu’un mauvais rêve à son réveil. Et pendant quelques secondes c’est ce qu’elle faisait, sentant ses yeux lourds, avant de sursauter en entendant que quelqu’un toquait à la porte. Merde, ça y est, un anti-fan, totalement cinglé, venait pour la tuer. C’était certain. Elle se tirait de son lit dans un soupire, attrapant un peignoir pour s’enrouler dedans avant de trainer les pieds vers l’entrée de l’appartement. « Jiyeon, ouvre moi, » Le sang de la coréenne ne faisait qu’un tour. Elle aurait peut-être préféré faire face à un fan colérique muni d’un couteau qu'à Marceline en personne. La porte tremblait de nouveau sur les coups de la blonde. « Ouvre moi ou je défonce ta porte, » Jiyeon échappait un énième soupire, repoussant ses longues mèches sombres dans son dos avant d’enfin ouvrir la porte. Porte qui, à peine entre-ouverte, s’ouvrait à la voler, poussée par une Marceline bien bien remontée. Jiyeon manquait presque de se prendre la porte dans la tronche, reculant d’un pas, n’ayant d’autre choix que de laisser Marceline rentrer avant de refermer la porte derrière elle et de s’adosser à cette dernière. « Non mais t’aimes me prendre publiquement pour une conne, c’est ça ? Quoi, t’as un kink d’humiliation en fait ? » Ne pas rire, ne pas rire, ne pas rire. Pourtant un micro rictus se dessinait sur ses lèvres alors qu’elle baissait bien vite les yeux, préférant se faire toute petite. « Je serai curieuse de savoir quelle excuse tu vas encore te chercher cette fois-ci, mais économise ta salive, c’est plus la peine maintenant. J’arrive pas à croire que t’ais tout gâché, » Jiyeon posait ses yeux sur le téléphone de Marceline, et l’une des photos qui se trouvait sur l’écran. Evidemment c’était pour ça qu’elle était là, pas pour autre chose. En même temps, comment passer à côté de l’information qui inondait les réseaux depuis tôt ce matin. « Je … je viens de me lever, j’ai pas eu le temps de réfléchir à une excuse. » lâchait-elle, se réfugiant dans le sarcasme, alors qu’elle était dans une merde sans nom et qu’il n’était clairement pas le moment de plaisanter. « On avait bu et il boit jamais. C’est des trucs qui arrive. Ça veut rien dire. » ajoutait-elle quand même, venant se frotter les yeux doucement, évitant machinalement le regard accusateur de Marceline. « Est ce qu’il faut que je t’offre un thé ou un café ? Ou est ce que tu vas me le jeter au visage et me faire une brulure au second degré ? » Demandait-elle enfin, d’un air nonchalant, décollant son dos de la porte pour passer à côté de Marceline et rejoindre la cuisine. Elle n'avait as envie de s'engueuler pour ça, à ses yeux c'était pas si grave que ça. Oui elle avait dérapé un peu, mais ça ne changeait rien à leur relation.
♡ Since the good ones call their exes wasted And since the Lord forgot my gay awakening. Then I'll just be here in the kitchen Servin' up some moanin' and bitchin'
:
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Well maybe it's me and my blind optimism to blame Maybe it's you and your sick need to give love then take it away And you'll add my name to your long list of traitors who don't understand And I'll look back and regret how I ignored when they said "run as fast as you can" (...) You are an expert at sorry, And keeping the lines blurry Never impressed by me acing your tests All the girls that you've run dry Have tired, lifeless eyes 'Cause you burned them out
Je connaissais assez Jiyeon pour savoir qu’elle ne me donnerait pas la réponse que je voulais, mais je ne savais pas exactement quelle attitude elle allait choisir. Essayerait-elle de mentir ? De se défendre ? Ou de plaisanter ? Mon sang battait dans mes tempes, j’observais Jiyeon tout en sentant que le moindre de ses mouvements m’exaspérait, que chacune de ses mimiques me donnait envie de lui crier dessus. Dans ma main, mon téléphone continuait de s’allumer au rythme des notifications frénétiques de mes amis qui me contactaient et je n’imaginais même pas l’état de mes mentions instagrams. Je me demandais à quoi celles de Jiyeon ressemblaient. De ce que j’avais vu ce matin sur Twitter, elle était principalement insultée ce qui, je devais l’avouer, m’allait très bien pour l’instant. J’étais tellement en colère que je n’avais pas le temps de me dire que le harcèlement de masses sur les réseaux était affreux, j’avais simplement envie que Jiyeon souffre autant que moi, parce que je savais que son éternelle légèreté ferait qu’elle s’en sortirait le mieux dans cette rupture. N’était-ce pas ce qu’elle m’avait dit, depuis le début ? Qu’elle n’avait jamais vraiment eu le coeur brisé ? On ne pouvait pas dire que je ne l’avais pas vu venir…
« Je … je viens de me lever, j’ai pas eu le temps de réfléchir à une excuse. » Elle choississait donc le sarcasme. Sa remarque redoubla ma colère, elle occupait le moindre interstice de mon corps, elle se logeait entre mes organes, pressait mes poumons et m’empêchait de respirer. J’avais une affreuse impression de déjà-vu : je me souvenais apprendre que Mac avait une petite-amie, la confronter. Deux relations en une année, et pour la seconde fois j’étais trompée. Je n’en pouvais plus. Mac, ça avait été pire, elle avait deux relations en même temps, mais la notre avait été si brève et intense que je m’étais convaincue que c’était un blip dans ma matrix. Mais j’étais avec Jiyeon depuis quatre mois. Je pensais que nous construisions quelque chose. Quelle conne, pensais-je. J’étais vraiment trop conne. « Parfait, je n’en veux pas, » crachai-je. Une horrible pression m’appuyait sur la poitrine et la désinvolture de Jiyeon n’arrangeait rien. « On avait bu et il boit jamais. C’est des trucs qui arrive. Ça veut rien dire. » Je fixai Jiyeon, interdite. Non mais sérieusement ? C’était ça, son plan ? J’étais tellement prise de court par son ton posé, son haussement d’épaule, que je n’arrivais même pas à organiser mes pensées. Ce n’était pas possible, c’était une mauvaise plaisanterie ou quoi ? « Est ce qu’il faut que je t’offre un thé ou un café ? Ou est ce que tu vas me le jeter au visage et me faire une brulure au second degré ? »
Et elle partit vers la cuisine comme si de rien était. Comme si nous n’avions qu’une stupide dispute sur ce qu’on allait manger ce soir. Elle n’essayait même pas de se justifier, de s’excuser. C’était pire que tout. Je la suivis dans la cuisine, sentant que la rage débordait hors de moi. « Non mais tu te fous de ma gueule ? Tu vas même pas t’excuser ? » J’entendais l’hystérie dans ma propre voix mais ça m’était égale. Jiyeon s’afferait dans sa cuisine comme si de rien était, faisant son café comme un dimanche matin tranquille. « MAIS PUTAIN REGARDE MOI QUAND JE TE PARLE ! » Criiai-je en tapant ma main sur le plan de travail, provoquant un bruit mat qui résonna entre les murs. « Je crois que t’as pas compris, j’suis pas là pour le café, j’suis là pour te dire que je veux plus jamais te voir de ma vie. C’est bon j’ai ton attention là ? » Si elle pensait que j’allais passer par dessus cette histoire comme le flirt qu’elel avait fait sous mon nez avec une autre fille à notre dernière soirée, je crois qu’elle n’avait rien compris. « Non mais tu te rends compte que t’as chopé ton ex là ? En public ? Ton putain d’ex Jiyeon. Un mec en plus de tout ?! » Continuai-je les dents serrées, la respiration courte. Super pour les clichés sur les bisexuels. Je ne savais pas vraiment pourquoi mais ça me rendait encore plus folle qu’il s’agisse d’un mec. « Je m’en fous que ça ne veuille rien dire pour toi, Jiyeon, ça veut dire quelque chose pour moi et tu le savais très bien. »
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but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
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Gina Cooper
le charme des paillettes
ÂGE : 28 ans (27/05/1996) Gemini sun, Leo moon and Virgo rising. (duality, narcissism and perfectionism) SURNOM : Gigi, Gi (pour les plus fainéant), Ari, Barbie (don't use that, she hates it), Blondie, Bitch, Cooper, Coop. STATUT : Célibataire avec une réputation de fille qui papillonne un peu trop. She's a big flirt. MÉTIER : Personnalité du petit écran (parfois du grand aussi). Elle s'est faite connaitre par une télé-réalité avant de dominer les audiences avec son talk show : The Gina Cooper Show. LOGEMENT : Une maison trop grande pour elle, avec une déco blanche épurée qui rend sa femme de ménage folle et quasiment un hectare de jardin pour garder tout le monde bien loin, au 33 hardgrave road à West End. POSTS : 2436 POINTS : 1790
TW IN RP : Homophobie - Sexe - Eating disorder - Manipulation - Usage de drogue GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ESTP-A ≈ mesure 1,52m ≈ New Yorkaise élevée par une famille de républicains conservateurs catholiques. ≈ A fait ses études à Science Po Paris pour faire plaisir à ses parents. Mais ils ne lui parlent plus depuis son coming out. ≈ Très secrète sur sa vie privée, elle raconte pas mal de petit mensonge à la télévision. ≈ Présentatrice télé préférée des 18 - 30 ans. ≈ Mauvaise cuisinière. ≈ Addict à Starbucks. ≈ Control freak sur beaucoup trop de chose. ≈ Selfish bitch qui s'assume. ≈ Chronically online.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Est chiante en #6633cc, en anglais ou en français. RPs EN COURS :
ISABEL ♡ I could eat that girl for lunch. Yeah, she dances on my tongue. Tastes like she might be the one And I could never get enough. I could buy her so much stuff, It's a craving, not a crush, huh - #1 - #2 - #3 - #4
« Parfait, je n’en veux pas, » et ça ne tombait pas dans l’oreille d’une sourde puisque Jiyeon ne s’excusait pas, loin de là, elle se trouvait des excuses, rejetant en partie la faute sur Marvin. C’est vrai que le pauvre ne buvait pas d’alcool en temps normal, donc tout avait très vite dérapé, mais bon, elle ne l’avait pas non plus empêché de tenter quoi que ce soit... Pour autant elle ne voyait pas ce qu’il y avait de dramatique dans cette histoire, ce n’était pas grand chose à ses yeux et elle s’éclipsait bien vite vers la cuisine pour se servir un café. « Non mais tu te fous de ma gueule ? Tu vas même pas t’excuser ? » « Tu viens de dire que t’u voulais pas d'excuse, faudrait savoir. » rétorquait aussitôt Jiyeon, le bruit de la machine à café couvrant un peu le son de sa voix. Une fois sa tasse remplie, elle attrapait un grand verre, s'avançant vers le frigo pour y mettre un poignet de glaçons au fond. Elle retournait le dos à Marceline pour verser le contenue de sa tasse de café sur ses glaçons. « MAIS PUTAIN REGARDE MOI QUAND JE TE PARLE ! » Jiyeon sursautait un peu au bruit de la main de Marceline contre le plan de travail de la cuisine. Elle se retournait plantant enfin son regard blasé sur la blonde, telle une ado en pleine crise, plus saoulée par cette situation qu’autre chose. « Je crois que t’as pas compris, j’suis pas là pour le café, j’suis là pour te dire que je veux plus jamais te voir de ma vie. C’est bon j’ai ton attention là ? » La mâchoire de la coréenne se serrait à ces mots, et ses mains se crispaient autour de son verre de café dans lequel il manquait encore le lait, mais elle restaient de marbre, le regard sombre, toujours posé sur Marceline, attendant la suite. Puisque clairement il y avait une suite, Marceline ne pouvait décemment pas se contenter de ça. « Non mais tu te rends compte que t’as chopé ton ex là ? En public ? Ton putain d’ex Jiyeon. Un mec en plus de tout ?! » Jiyeon échappait presque malgré elle un soupire, levant les yeux au ciel avant de retourner vers le frigo pour sortir le lait d'avoine et finir de remplir son verre, ne préférant plus regarder Marceline. « Je m’en fous que ça ne veuille rien dire pour toi, Jiyeon, ça veut dire quelque chose pour moi et tu le savais très bien. » Elle rangeait le lait et retrouvait sa place près de la machine à café, sirotant sa boisson glacée et caféinée, laissant un silence s’installer dans la cuisine, réfléchissant à ce qu’elle allait pouvoir bien dire maintenant. Déjà elle comptait, évidemment, corriger Marceline, parce que non, elle n’avait chopé personne, et ensuite… elle improviserait. Il fallait qu'elle trouve un moyen de calmer le jeu. « C’était juste un petit baiser. J'ai chopé personne. » notait-elle enfin, reposant son dos contre le plan de travail qui se trouvait derrière elle, prenant une nouvelle gorgée de café dans l’espoir que ça l’aide a se réveiller un peu mieux. « Tu pètes vraiment une crise pour rien. C’est pas dramatique, y’a pas mort d’homme à ce que je sache. Tu roules bien des patins à des inconnus pour le boulot toi ! Et je dis rien à ce que je sache?! Donc j’vois pas pourquoi je pourrais pas rouler un patin à mon ex après avoir beaucoup trop bu. » elle haussait les épaules d'un air nonchalant. Mauvaise foi ultime, trainant le boulot de Marceline dans l'équation comme si un baiser scripté était la même chose que d'embrasser son ex en soirée. « C’est pas comme si je lui déclarais ma flamme ou quoi… c’est juste un baiser de rien du tout. Pas besoin de read into it. » Un baiser de circonstance, enfin de compte, rien de profondément sentimental ou sincère, même si elle aimait beaucoup Marvin. Il n'y avait rien à analyser là dedans, aucune signification. Elle aimait toujours Marceline, il fallait vraiment que la blonde respire et se calme. « ça me fatigue que tu t’énerves pour si peu. Autant c’est un peu sexy, autant c’est super prise de tête de bon matin comme ça. » ajoutait-elle, très sincèrement et calmement, entre deux gorgées de café, les glaçons s'entrechoquant dans son verre.
♡ Since the good ones call their exes wasted And since the Lord forgot my gay awakening. Then I'll just be here in the kitchen Servin' up some moanin' and bitchin'
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Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Well maybe it's me and my blind optimism to blame Maybe it's you and your sick need to give love then take it away And you'll add my name to your long list of traitors who don't understand And I'll look back and regret how I ignored when they said "run as fast as you can" (...) You are an expert at sorry, And keeping the lines blurry Never impressed by me acing your tests All the girls that you've run dry Have tired, lifeless eyes 'Cause you burned them out
Je ne pouvais pas atteindre Jiyeon. Elle était comme ça, j’étais conne, je le savais, j’aurais dû me douter qu’elle se drapperait dans sa légéreté, son dédain. Je ne savais même pas comment faire, j’étais habituée aux disputes où on se criait dessus, aux émotions à fond, aux accusations. Mais elle était si dédaigneuse que je n’avais aucune prise et ma colère redoublait à chaque minute qui passait, à peine étouffée par l’énorme boule dans ma gorge qui menaçait d’exploser à tout moment.
« C’était juste un petit baiser. J'ai chopé personne. » Elle était d’une telle mauvaise foi que je ressentais une bouffée de violence physique en moi. Je réalisai que j’avais envie de la prendre et la secouer, simplement pour provoquer une seule réaction chez elle. « Tu pètes vraiment une crise pour rien. C’est pas dramatique, y’a pas mort d’homme à ce que je sache. Tu roules bien des patins à des inconnus pour le boulot toi ! Et je dis rien à ce que je sache?! Donc j’vois pas pourquoi je pourrais pas rouler un patin à mon ex après avoir beaucoup trop bu. » Je la regardai, estomaquée. Elle osait vraiment faire cette comparaison. J’étais tellement prise de court que je la fixai juste avec mes yeux écarquillés. « Mais t’es sérieuse là ? C’est mon travail putain je suis pas en train d’embrasser mes exs avec qui j’ai eu une putain de relation ! » C’était encore pire qu’embrasser un inconnu, je n’arrivais pas à croire que Jiyeon essayait de renverser la dispute ainsi. Je l’avais connue plus douée pour mentir et flatter un auditoir, pensai-je avec amertume. « C’est pas comme si je lui déclarais ma flamme ou quoi… c’est juste un baiser de rien du tout. Pas besoin de read into it. » Elle n’allait sérieusement pas se remettre en question. Je sentai que mes mains tremblaient, la colère pulsant dans mes veines, tandis que Jiyeon se faisait son petit café comme si de rien était : « Tu m’avais dit que tu ne franchirais pas la limite, je te l’avais demandé, tu savais très bien ce que tu faisais, je te l’avais demandé, » répétai-je stupidement, comme une enfant peinée à qui on avait menti. Mais tout ça, c’était égal pour Jiyeon. « Comment je suis censée te croire, te faire confiance après ça ? Qui me dit que tu n’as pas couché avec ton ex, hein ? »
Tout ce qu’elle me disait pouvait être des mensonges, après tout.
« ça me fatigue que tu t’énerves pour si peu. Autant c’est un peu sexy, autant c’est super prise de tête de bon matin comme ça. »
Je fixai Jiyeon, interdite. Elle s’en fichait réellement. Tout ces derniers mois, je m’étais complètement romancée une personne qui n’existait pas, j’imaginais que derrière son armure se trouvait quelqu’un de sensible qui était simplement pudique. Mais elle n’avait pas d’émotions. Tout ceci ne lui faisait rien.
Et, malgré moi, honteuse, je sentis que je me mettais à pleurer.
« Mais… Mais t’es une sociopathe, en fait, » lâchai-je entre deux sanglots. « Tu n’as aucune émotion. Je te dis que je vais rompre avec toi et tu me parles de sexe. » J’hoquetai, butant sur les mots, incapable de me contenir. « Je… Je pensais qu’on avait quand même quelque chose après ces mois ensemble, mais non. » Je portai ma main à ma bouche, essayant de contenir mes larmes, de me reprendre. « Continue à sortir avec gens pour le cul, Jiyeon, s’il n’y a que ça qui t’intéresse, et arrête de prétendre que tu veux une vraie relation si c’est pour briser l’autre personne avec autant de légéreté. Je savais que tu étais de mauvaise foi, mais là, t’es juste cruelle. » Mes épaules se soulevaient, je tentais de reprendre ma respiration. « Je suis trop conne, j’aurais dû faire confiance à mon instinct qui me disait de fuir. T’es encore pire que je ne l’imaginais. »
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
:
Gina Cooper
le charme des paillettes
ÂGE : 28 ans (27/05/1996) Gemini sun, Leo moon and Virgo rising. (duality, narcissism and perfectionism) SURNOM : Gigi, Gi (pour les plus fainéant), Ari, Barbie (don't use that, she hates it), Blondie, Bitch, Cooper, Coop. STATUT : Célibataire avec une réputation de fille qui papillonne un peu trop. She's a big flirt. MÉTIER : Personnalité du petit écran (parfois du grand aussi). Elle s'est faite connaitre par une télé-réalité avant de dominer les audiences avec son talk show : The Gina Cooper Show. LOGEMENT : Une maison trop grande pour elle, avec une déco blanche épurée qui rend sa femme de ménage folle et quasiment un hectare de jardin pour garder tout le monde bien loin, au 33 hardgrave road à West End. POSTS : 2436 POINTS : 1790
TW IN RP : Homophobie - Sexe - Eating disorder - Manipulation - Usage de drogue GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ESTP-A ≈ mesure 1,52m ≈ New Yorkaise élevée par une famille de républicains conservateurs catholiques. ≈ A fait ses études à Science Po Paris pour faire plaisir à ses parents. Mais ils ne lui parlent plus depuis son coming out. ≈ Très secrète sur sa vie privée, elle raconte pas mal de petit mensonge à la télévision. ≈ Présentatrice télé préférée des 18 - 30 ans. ≈ Mauvaise cuisinière. ≈ Addict à Starbucks. ≈ Control freak sur beaucoup trop de chose. ≈ Selfish bitch qui s'assume. ≈ Chronically online.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Est chiante en #6633cc, en anglais ou en français. RPs EN COURS :
ISABEL ♡ I could eat that girl for lunch. Yeah, she dances on my tongue. Tastes like she might be the one And I could never get enough. I could buy her so much stuff, It's a craving, not a crush, huh - #1 - #2 - #3 - #4
« Mais t’es sérieuse là ? C’est mon travail putain je suis pas en train d’embrasser mes exs avec qui j’ai eu une putain de relation ! » Une relation ? Avec Marvin ? Ouais, si on pouvait appeler 'une semaine' une relation, enfin bon Jiyeon ne mentionnait pas ce détail, préférant préciser qu’elle n’avait pas particulièrement de sentiments pour Marvin. C’était vrai, mais clairement ça ne suffisait pas pour Marceline. « Tu m’avais dit que tu ne franchirais pas la limite, je te l’avais demandé, tu savais très bien ce que tu faisais, je te l’avais demandé, » La limite était bien floue pour Jiyeon et là était le problème. Elle avait fait une pseudo-promesse, qu’elle pensait, en un sens, avoir tenu. Elle n’avait couché avec personne d’autre que Marceline, c’était pas ça le deal? « Comment je suis censée te croire, te faire confiance après ça ? Qui me dit que tu n’as pas couché avec ton ex, hein ? » Jiyeon haussait les épaules prenant quelques gorgée de café. Effectivement, elle n’en avait pas la preuve, elle ne pouvait que croire ce que Jiyeon lui affirmait et clairement Marceline n’avait pas envie de la croire. Jiyeon se permettait tout de même de râler, trouvant le comportement de Marceline bien agaçant, surtout de bon matin. « Mais… Mais t’es une sociopathe, en fait, » Sociopathe? On ne lui avait jamais sortie celle là! Les yeux de Marceline se remplissaient de larmes et Jiyeon préférait regarder les glaçons qui flottaient dans son café plutôt que de voir Marceline dans cet état, sentant son coeur se serrer. « Tu n’as aucune émotion. Je te dis que je vais rompre avec toi et tu me parles de sexe. » Faux, elle n’avait pas parler de sexe, elle avait dit que Marceline en colère était 'sexy', nuance. Et elle l’aurait bien corrigé, restant dans sa mauvaise foi, mais préférait prendre une gorgée de café, laissant Marceline enchainer. « Je… Je pensais qu’on avait quand même quelque chose après ces mois ensemble, mais non. » Mais si, évidemment qu’elles avaient quelque chose. Aux yeux de Jiyeon elles avaient quelque chose de spécial, quelque chose qu’elle n’avait jamais ressenti avant…« Continue à sortir avec des gens pour le cul, Jiyeon, s’il n’y a que ça qui t’intéresse, et arrête de prétendre que tu veux une vraie relation si c’est pour briser l’autre personne avec autant de légèreté. Je savais que tu étais de mauvaise foi, mais là, t’es juste cruelle. » Jiyeon échappait un petit soupire, reprenant une gorgée de café pour se retenir de ronchonner, alors que Marceline sanglotait presque. « Je suis trop conne, j’aurais dû faire confiance à mon instinct qui me disait de fuir. T’es encore pire que je ne l’imaginais. » « Arrête de pleurer… » soufflait-elle enfin, le nez dans son verre. Elle reposait ce dernier le le comptoir derrière elle. « J’ai couché avec personne d’autre que toi. Je suis pas cruelle, je t’aime vraiment, t’en fait juste des tonnes pour rien. Un baiser comme ça, ça n'veut rien dire. » insistait-elle. Elle était bornée, surtout sur ce point là. Avec l’alcool dans l’équation, clairement c’était comme si ce baiser ne comptait pas, limite c'était aussi inoffensif qu'une poignée de main. « Et évidemment qu’il y a quelque chose entre toi et moi. » Elle avait envie de lui dire qu’elle avait fait des efforts pour être avec elle, qu’elle avait essayé de s’ouvrir un peu, essayé de ne pas sortir autant, évité de flirter avec tout le monde… Elle c’était vraiment donnée du mal, mais ça Marceline n’avait pas envie de le voir, simplement à cause d’un ridicule baiser échangé avec Marvin. Toute fois, elle commençait petit à petit à réaliser ce qui était entrain de lui arriver. Marceline n’était pas venue pour plaisanter, elle était véritablement entrain de la larguer et il n’était pas question que Jiyeon la laisse faire. « J’ai merdé, ça arrive. Si tu m’aimes vraiment tu peux pas rompre pour ça. C'est ridicule. » concluait-elle. Pour elle c’était simple : une vraie relation c’était un contrat tacite entre deux personnes, une promesse de faire des efforts, promesse d’accepter les défauts de l’autre aussi, et surtout, promesse de se battre pour que ça marche. Jiyeon avait l’impression désagréable d’être la seule à faire des efforts, l’impression que Marceline s’attendait à ce qu’elle change du tout au tout pour ses beaux yeux, qu’elle devienne une sorte de chiot docile…« J’ai des émotions. Tout un tas, même. J’ai juste pas envie de me prendre la tête pour une connerie comme ça. Je t’ai dis que ça voulait rien dire ce baiser, je vois pas pourquoi je te mentirais, surtout vu la situation. Si t’as pas envie de me croire et de me faire confiance, je peux pas faire grand chose de plus. » concluait-elle, un brin fataliste face à la situation. Elle ne pouvait pas forcer Marceline à la croire. « J’suis désolée si t’aimes pas ce que je suis… J’ai essayé de changer pour toi, mais si ça te convient pas, je n'sais pas quoi faire de plus. » Elle sentait des larmes lui monter aux yeux, mais préférait récupérer son verre de café pour se concentrer sur autre chose.
♡ Since the good ones call their exes wasted And since the Lord forgot my gay awakening. Then I'll just be here in the kitchen Servin' up some moanin' and bitchin'
:
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Well maybe it's me and my blind optimism to blame Maybe it's you and your sick need to give love then take it away And you'll add my name to your long list of traitors who don't understand And I'll look back and regret how I ignored when they said "run as fast as you can" (...) You are an expert at sorry, And keeping the lines blurry Never impressed by me acing your tests All the girls that you've run dry Have tired, lifeless eyes 'Cause you burned them out
Je voulais rester forte et froide, que la colère prenne le pas et maintienne ma tête hors de l’eau. Mais évidemment, c’était les larmes et le ridicule qui me prenaient. J’aurais voulu convoquer la qualité typiquement Griffith de savoir tenir les apparences, que je savais pourtant si bien utiliser à mon avantage dans mon quotidien. “Marceline est charmante”, n’était-ce pas ce qu’avait dit mon enseignante alors que je n’avais que six ans ? Je savais faire des sourires, plaire, manipuler juste ce qu’il fallait. Jusqu’à que je sois prise dans cette intimité de l’amour, où ma vulnérabilité était à fleurs de peau et toutes mes barrières tombaient. Je les avais gardé longtemps avec Jiyeon, pourtant, pour me protéger. J’avais jouer le jeu du flirt, de la séduction, le chat et la souris, j’avais craqué, j’avais cru faire craquer Jiyeon. Mais elle ne changerait pas.
« Arrête de pleurer… »
Elle ne changerait vraiment pas.
« J’ai couché avec personne d’autre que toi. Je suis pas cruelle, je t’aime vraiment, t’en fait juste des tonnes pour rien. Un baiser comme ça, ça n'veut rien dire. » Jiyeon repoussait ma blessure avec une telle force et c’était pire que tout. J’avais l’impression d’être à moitié folle, d’être celle qui avait un problème, alors que je savais bien au fond que c’était Jiyeon qui avait mal agit. « Et évidemment qu’il y a quelque chose entre toi et moi. » Je ne savais même plus sur quel pied danser : si Jiyeon avait seulement admis son erreur, véritablement admis, j’aurais pu croire qu’elle ne le referait pas. Mais elle ne voyait pas le mal à ça, elle ne le verrait jamais.« J’ai merdé, ça arrive. Si tu m’aimes vraiment tu peux pas rompre pour ça. C'est ridicule. » J’eus un rire jaune. « Je serais ridicule, alors, je préfère ça à être infidèle, » répliquai-je, acide malgré les larmes qui coulaient toujours. Je n’arrivais pas à croire que la première fois que je voyais l’appartement de Jiyeon c’était pour rompre avec elle. « J’ai des émotions. Tout un tas, même. J’ai juste pas envie de me prendre la tête pour une connerie comme ça. Je t’ai dis que ça voulait rien dire ce baiser, je vois pas pourquoi je te mentirais, surtout vu la situation. Si t’as pas envie de me croire et de me faire confiance, je peux pas faire grand chose de plus. »
Mon coeur brûlait dans ma poitrine. J’étais venue ici pour rompre avec elle, je le savais depuis que j’avais vu les photos, mais devant l’évidence, le monde entier s’écroulait sur mes épaules et j’avais envie de faire demi-tour. J’avais envie de tout balayer, tout oublier, que notre relation ne s’écroule pas, mais tous les signes étaient là. J’eus une pensée pour mes mentions instagram et twitter, à l’humiliation que je subissais, et la colère me piqua à nouveau. Hors de question de revenir en arrière.
« Je m’en fou que ça ne veuille rien dire pour toi Jiyeon, ça veut dire quelque chose pour moi, tu peux le comprendre ça ? Tu n’as même pas l’air de réaliser le mal que tu me fais, comment je peux te faire confiance ?! »
En vérité, je ne lui avais jamais vraiment fait confiance, je le savais. J’avais vécu quatre mois avec une épée de damoclès au-dessus de ma tête.
« J’suis désolée si t’aimes pas ce que je suis… J’ai essayé de changer pour toi, mais si ça te convient pas, je n'sais pas quoi faire de plus. » Je relevai les yeux vers Jiyeon et je remarquai pour la première que son visage trahissait enfin une certaine agitation émotionnelle. Elle ressentait enfin quelque chose. Au lieu de me soulager, je sentis que mes larmes redoublaient.
J’étais injuste avec elle, je le savais. Même si elle m’avait trahi, je l’avais trahi en retour en lui demandant d’être quelqu’un qu’elle n’était pas et qu’elle ne serait jamais. Et je me trahissais aussi en prétendant être ok avec ça, à me comporter comme quelqu’un que je n’étais pas. Ce n’était pas sain. J’avais eu assez d’échec amoureux pour le savoir.
« Je crois qu’on s’est bercées d’illusions, » articulai-je le coeur brisé. « Je ne suis pas ce que tu veux, je suis trop investie émotionnellement, je veux plus que tu peux me donner. » Et j’aurais voulu être différente, moi aussi, manquai-je d’ajouter. « Et tu n’es pas ce que je veux et c’est injuste de te le demander. » glissai-je avec une grimace au milieu de mes sanglots. « On ne peut pas être ensemble Jiyeon. On ne se rend pas heureuse. Je sais que tu n’as pas beaucoup d’expérience, mais je t’assure, quand tu trouveras quelqu’un qui te correspond, tu n’auras pas l’impression de devoir changer pour eux. » J’avais parlé à voix basse, avec une étrange compassion pour la fille qui venait de me pulvériser ce qui restait de mon coeur déjà trop en miettes de trop d’échecs. « J’aurais simplement aimé qu’on s’en rende compte avant que tu me trompes publiquement. Et j’espère qu’un jour tu comprendras à quel point ce que tu as fait est fucked-up quoi que tu te racontes à toi-même. »
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but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
:
Gina Cooper
le charme des paillettes
ÂGE : 28 ans (27/05/1996) Gemini sun, Leo moon and Virgo rising. (duality, narcissism and perfectionism) SURNOM : Gigi, Gi (pour les plus fainéant), Ari, Barbie (don't use that, she hates it), Blondie, Bitch, Cooper, Coop. STATUT : Célibataire avec une réputation de fille qui papillonne un peu trop. She's a big flirt. MÉTIER : Personnalité du petit écran (parfois du grand aussi). Elle s'est faite connaitre par une télé-réalité avant de dominer les audiences avec son talk show : The Gina Cooper Show. LOGEMENT : Une maison trop grande pour elle, avec une déco blanche épurée qui rend sa femme de ménage folle et quasiment un hectare de jardin pour garder tout le monde bien loin, au 33 hardgrave road à West End. POSTS : 2436 POINTS : 1790
TW IN RP : Homophobie - Sexe - Eating disorder - Manipulation - Usage de drogue GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ESTP-A ≈ mesure 1,52m ≈ New Yorkaise élevée par une famille de républicains conservateurs catholiques. ≈ A fait ses études à Science Po Paris pour faire plaisir à ses parents. Mais ils ne lui parlent plus depuis son coming out. ≈ Très secrète sur sa vie privée, elle raconte pas mal de petit mensonge à la télévision. ≈ Présentatrice télé préférée des 18 - 30 ans. ≈ Mauvaise cuisinière. ≈ Addict à Starbucks. ≈ Control freak sur beaucoup trop de chose. ≈ Selfish bitch qui s'assume. ≈ Chronically online.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Est chiante en #6633cc, en anglais ou en français. RPs EN COURS :
ISABEL ♡ I could eat that girl for lunch. Yeah, she dances on my tongue. Tastes like she might be the one And I could never get enough. I could buy her so much stuff, It's a craving, not a crush, huh - #1 - #2 - #3 - #4
« Je serais ridicule, alors, je préfère ça à être infidèle, » Bon l’unique tentative de lui faire changer d’avis ne menait à nul part. Jiyeon passait à la phase B du plan : d’abord continuer de nier en bloque et jouer sur la corde sensible. « Je m’en fou que ça ne veuille rien dire pour toi Jiyeon, ça veut dire quelque chose pour moi, tu peux le comprendre ça ? Tu n’as même pas l’air de réaliser le mal que tu me fais, comment je peux te faire confiance ?! » Bon… plan C ? s’excuser, sans vraiment s’excuser ? Rien à faire, les yeux de Marceline étaient rougis par les larmes et le regard de Jiyeon passait de son café, à la blonde, sans trop savoir quoi faire dans une telle situation. Elle avait envie de s’excuser pour de vrai, de la prendre dans ses bras, de lui promettre la lune, mais elle n’avait, en même temps, pas envie d’aller dans son sens, ayant trop peur que ça revienne a signé un contrat disant que son comportement n’était pas correcte, que ça revienne a dire ‘j’ai tort, tu as raison’, alors qu’elle était persuadée qu’elle n’était pas totalement en faute, l’alcool jouant pour beaucoup dans cette histoire. « Je crois qu’on s’est bercées d’illusions, » Jiyeon tentait de sécher ses larmes, cachée derrière son verre de café, alors que Marceline semblait prendre un couteau pour couper la dernière corde du fragile pond qui les reliait. « Je ne suis pas ce que tu veux, je suis trop investie émotionnellement, je veux plus que tu peux me donner. » Jiyeon était pourtant certaine de pouvoir lui donner plus, elle avait vraiment envie d’y croire. Quand elle était avec Marceline il n’y avait qu’elle qui comptait, du moment que la blonde lui prêtait attention (pas comme that one night at the club), mais dès que Marceline était loin… Jiyeon se laissait rapidement distraire, comme une enfant dans un magasin de jouet. Une fois qu’on lui lâchait la main, elle s’égarait bien vite. « J’peux— » pas le temps de la contredire, Marceline enchainait. « Et tu n’es pas ce que je veux et c’est injuste de te le demander. » Ouch, petit coup dans l’égo surdimensionnée de Jiyeon, qui pensait être ce que tout le monde voulait… enfin presque tout le monde, puisque ses exs lui avaient bien fait comprendre qu’elle n’était pas le total package qu’elle pensait être. Et voilà que Marceline rejoignait cette longue liste d’ex lovers (they’ll tell you i’m insane) seulement ce coup si ça ne semblait pas anecdotique pour Jiyeon, ce n’était pas comme les rupture précédente ou elle se disait ‘ah ok’ et passait à autre chose. « On ne peut pas être ensemble Jiyeon. On ne se rend pas heureuse. Je sais que tu n’as pas beaucoup d’expérience, mais je t’assure, quand tu trouveras quelqu’un qui te correspond, tu n’auras pas l’impression de devoir changer pour eux. » Elle sentait son coeur tomber au fond de sa cage thoracique. Alors c’était ça l’amour en fait ? Juste une grande déception ? Pas étonnant qu’elle l’ai évité jusque là, c’était tout sauf un sentiment agréable. Elle sentait le bout de son nez picoté et ses yeux brulés alors qu’elle prenait une nouvelle gorgée de café, ravalant de potentiels sanglots au passage, allant jusqu’à prendre un glaçon dans sa bouche et le croquer pour penser à autre chose, se distraire de ce qui était entrain de se passer, de son petit monde qui semblait s’écrouler devant elle. « J’aurais simplement aimé qu’on s’en rende compte avant que tu me trompes publiquement. Et j’espère qu’un jour tu comprendras à quel point ce que tu as fait est fucked-up quoi que tu te racontes à toi-même. » « Ok. » Lâchait-elle. Paraitre détachée, indifférente, comme un dernier rampera pour ne pas éclater en sanglot devant la blonde. Pas question de craquer maintenant. Elle l’aurait bien supplié un peu, mais n’avait pas la force de le faire sans finir en larme. Et c’était bien la dernière chose qu’elle voulait en cet instant. Elle décollait son derrière du plan de travail contre lequel elle était appuyée, passant, son café à la main, à côté de Marceline, sans un regard. Elle ferait comme elle avait toujours fait dans ce cas : passer à autre chose, comme si de rien n’était. Il n’y avait pas de raison que ce soit différent… right ? « Tu connais le chemin de la sortie. » déclarait-elle froidement, en se laissant tomber dans le canapé, récupérant la télécommande pour allumer la télé et lancer une télé-réalité coréenne. Elle prenait une profonde inspiration, se remettant à siroter son café, presque vide, les yeux rivés sur la télé, alors que toute son attention était en réalité portée sur Marceline.
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Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Well maybe it's me and my blind optimism to blame Maybe it's you and your sick need to give love then take it away And you'll add my name to your long list of traitors who don't understand And I'll look back and regret how I ignored when they said "run as fast as you can" (...) You are an expert at sorry, And keeping the lines blurry Never impressed by me acing your tests All the girls that you've run dry Have tired, lifeless eyes 'Cause you burned them out
Pendant un instant, j’eus l’impression que Jiyeon m’écoutait, m’entendait, que nous allions enfin avoir une conversation à cœur ouvert. Que cette rupture pourrait me bousiller mais qu’elle finirait avec plus de maturité qu’elle n’avait commencé, que l’on pourrait se regarder honnêtement dans les yeux et s’admettre ce qu’on ressentait, toutes les choses difficiles mais réelles. Je mettais ma colère et mon égo de côté, j’ôtais mon armure pour reconnaître que j’avais moi-même des torts. Rien ne justifiait pourtant la tromperie de Jiyeon mais je pouvais être sincère et me dire que je l’avais poussée dans une relation où elle ne pouvait pas être elle-même, où je ne la rendais pas heureuse. Je pouvais le dire à voix haute, en la regardant, je pouvais lui tendre cette main et être transparente. Je pouvais essayer de limiter les dégâts. Jiyeon pouvait aussi, non ?
Mais elle se ferma. Ou plutôt, elle se referma, emportant avec elle l’éclat de vulnérabilité qui s’était lôgé dans ses yeux brillants quelques instants auparavant.
« Ok. » Je la fixai, sonnée par la froideur de son ton. Ce n’était pas comme quand j’étais arrivée et que ma colère m’avait servi de protection face au déni de Jiyeon. Là, j’étais le coeur à vif, sans défense. Et elle en profitait. « Tu connais le chemin de la sortie. »
Elle s’installa sur son canapé avec son café, alluma sa télé. Je restais immobile quelques secondes, les émotions tellement fortes dans mes poumons qu’elles me coupaient la respiration. Je me tournai vers Jiyeon, l’observant alors qu’elle faisait semblant de ne pas me prêter attention. Je sentis la folie monter en moi, me déchirant, questionnant toute ma réalité, me demandant si j’avais complétement inventé l’humanité de Jiyeon maintenant qu’elle semblait en être complètement dénuée.
Je fis quelques pas et me mis entre elle et sa télé, lui bloquant la vue.
« T’es vraiment une connasse. » Mon ton n’était plus brûlant de colère. Non, cette colère avait muté en une froideur si glaçante qu’elle mordait, comme un glaçon qu’on pressait contre une peau nue. « J’essayais d’être honnête avec toi, qu’on puisse terminer cette relation de façon mature. Mais continue à faire ton numéro de meuf détachée qui s’en fou, raconte toi les histoires que tu veux. C’est comme ça que tu veux terminer la première relation sérieuse de ta vie ? » J’eus un rire cruel, comme si je regardais un petit insecte qui se tordait de douleur. Le coeur de Jiyeon, je l’espérais méchamment, si un jour elle pouvait être assez honnête pour admettre souffrir. « Tu vas finir seule, Jiyeon. Personne ne voudra d’une meuf aussi immature et ravagée. » Je savais que j’allais trop loin, je le savais parce qu’une ex m’avait déjà dit la même chose, m’avait dit que personne ne voudrait de moi. Mais j’étais acculée et c’était mes dernières armes pour blesser la personne qui me blesser. « Je ne souhaite à personne de croiser ta route, en tout cas, » concluai-je, résistant à l’envie de renverser son café dans sa figure, et je quittai tout simplement son appartement, retenant mes larmes pour partir une dernière fois avec fierté.
Terminé (dans tous les sens du terme mdr) @Jiyeon Park
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company