ÂGE : 35 ans (24.05.89) SURNOM : CeCe, plus ususel que Cecilia - Javotte lui sied plutôt bien STATUT : Célibataire. It's not about the money, money, money...mais si en fait. MÉTIER : Serveuse au rabais au DBD LOGEMENT : #406 montague road - west end. Glow up : le nouvel appart. Glow down : Finnley en colocataire. POSTS : 1155 POINTS : 100
TW IN RP : age gap, chantage ORIENTATION : J'aime tout le monde. RPs EN COURS : Danaë - Chris - Raelyn #2 - Finnley #3
You call me on the telephone, you feel so far away. You tell me to come over, there's some games you want to play. I'm walking to your house, nobody's home, just me and you and you and me alone. We're just playing hide and seek, it's getting hard to breathe under the sheets with you. @Sergio Gutiérrez
« Dis-moi Sergio…tu ne serais pas un véritable rêve éveillé ? » Un sourire à la fois ébahi et exalté étirait ses lèvres alors que son regard balayait l’horizon, le ciel bleu, la surface tranquille du lac, les reflets dans l’eau des arbres qui isolaient la maison du reste du monde. Elle l’aurait bien volontiers dévoré des yeux comme à son habitude, mais elle devait reconnaître qu’installée à ses côtés sur ce canapé donnant sur le lac, elle avait bien du mal à regarder autre chose que le paysage. Elle était distraite par le moindre rayon de lumière changeant et le plus petit bruissement de feuille qui se faisait entendre. Son attention était éparpillée, mais ses doigts s’étaient instinctivement enroulés autour du poignet de Sergio, comme pour se rattacher à la seule chose qu’elle savait bel et bien réelle. Quand il lui avait proposé de partir en week-end, elle ne s’attendait pas vraiment à ça. Elle ne s’attendait d’ailleurs à rien de particulier en réalité. Parce que depuis le début, leur relation n’était faite que de rencontres fortuites et qu’il leur avait fallu plus d’une soirée frustrante avant d’enfin prendre les choses en main et s’organiser pour se voir lors de rendez-vous officiels. Enfin devaient-ils vraiment parler de rendez-vous quand ils restaient sans cesse dans une bulle d’insouciance qui les isolait de leur réalité respective ? Y avait-il quelque chose de véritablement sérieux entre eux ? Probablement pas suffisamment pour que Maze ne s’inquiète réellement du fait que le mexicain ait passé la fin de l’année sans lui donner de nouvelles. Elle ne savait pas ce qu’ils étaient exactement et elle n’avait pas l’intention de le harceler pour le découvrir. Ils s’étaient bien amusés et si cela devait en rester là, alors elle saurait s’en accommoder. D’autant plus que les derniers moments qu’elle avait passés avec Nino n’étaient pas de tout repos pour son cœur ou sa tranquillité d’esprit. Elle se sentait perdue et ne faisait pour autant rien pour y voir plus clair. Ayant suffisamment été dans le contrôle jusqu’à présent, elle avait décidé de vivre dans le moment présent sans se poser de questions. Les choses finiraient par se dérouler quoi qu’il en soit, alors pourquoi se donner du mal pour changer ce qui ne pouvait pas l’être ou qui ne gagnerait pas à être modifié ? C’était dans cette optique là qu’elle avait accepté la proposition de Sergio sans se poser de questions lorsqu’il était réapparu quelques jours plus tôt. Et c’était toujours dans cette optique là qu’elle avait relégué dans un coin lointain de sa tête tout ce qui n’appartenait pas au moment qu’ils étaient en train de vivre. Lâchant le poignet de Sergio pour se pencher vers la table basse, elle avait attrapé les verres de champagne servis quelques minutes auparavant -avant qu’elle ne se perde définitivement dans une contemplation émerveillée de l’endroit où ils étaient- puis lui avait tendu le sien avant de lancer dans un sourire amusé : « On trinque à quoi ? » Son regard s’était égaré une nouvelle fois en direction du lac, réfléchissant aux occasions qu’ils pourraient célébrer mais elle était bien trop absorbée par tout ce qui les entourait pour réfléchir à la moindre proposition cohérente. « L’agréable température ? La tranquillité ? La perspective de pouvoir se baigner ? Ou…mh… » Elle se tourna à nouveau vers lui, le balayant du regard de bas en haut avant d’ajouter plus sérieusement et avec juste ce qu’il fallait d’insistance pour s’assurer de bien se faire comprendre : « …la vue ? » Oh non, elle ne parlait pas du lac cette fois-ci.
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Hey homecoming queen
look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you.
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I wanna take the train with you. I wanna run away with you. Come on run away, run away with me. I got a secret window from there you can see it all. Don't be afraid to reach it, don't be afraid to fall. Respect the fact that everything you hate, your thoughts, your words, and everything you say defines you
Après ces derniers mois, Sergio avait cruellement ressenti le besoin de prendre des vacances, de s’éloigner de toutes les responsabilités qui l’incombaient au moins le temps de quelques jours. Depuis la naissance de Paola, le repos n’avait semblé être plus qu’un lointain souvenir. Un sacrifice qu’il aurait été heureux de faire si les réveils nocturnes et les couches étaient le principal problème. Mais il y avait eu la mort de Maria pour tout chambouler, et pour faire voler en morceaux le peu de stabilité qu’il semblait avoir trouvé dans sa vie. Le deuil avait heurté la famille de plein fouet, ne donnant d’autre choix à l’homme que de se montrer présent, à défaut de l’avoir été ces dernières années. La culpabilité ne lui lâchait plus vraiment les tripes, plus présente que jamais. Il avait l’impression d’être directement puni par le destin, et ce de la pire des manières. Il aurait pu l’accepter si les Gutiérrez au complet n’en payaient pas les conséquences. Entre l’énergie dépensée auprès de ses enfants, celle passée à accorder le plus de temps possible à Pao et Maddy, et le travail qui ne se calmait plus depuis le départ de May, Sergio avait enfin atteint ses limites. Il rêvait juste de passer ce week-end loin de tout, son téléphone programmé pour ne sonner qu’en cas d’urgence. Et pour la première fois depuis des semaines, il s’était autorisé à penser un peu à lui. Il n’avait eu aucune certitude que Maze lui répondrait, encore moins qu’elle accepterait son invitation. Il lui avait promis que cela vaudrait le coup et à en juger par ses expressions, il n’avait pas failli à sa promesse. « Tu n’en méritais pas moins. » Car ce qu’il avait devant les yeux était tout ce qu’il espérait en cette fin d’après-midi. Un décor aussi serein que magique, le bruit de la nature qui les entourait, et surtout la présence de cette femme qui lui faisait perdre la tête. Il avait du mal à décrocher son regard de son visage, de ses traits étirés dans un sourire franc. L’anglaise avait ce quelque chose de solaire qui lui faisait perdre le fil du temps depuis leur première rencontre. Il ne parvenait pas à saisir pourquoi elle lui accordait son attention, mais comptait bien savourer cette chance. Le contact de ses doigts sur son poignet n’incitait pas à bouger mais bien à profiter de cet instant. Ce n’était pas souvent qu’il pouvait se vanter de ressentir une telle paix. Perdu dans sa contemplation, il se retrouva presque décontenancé quand elle s’agita finalement pour venir récupérer le champagne -une attention que Sergio avait incluse dans sa liste bien trop longue de choses à préparer dans cette maison avant leur arrivée. Il releva les yeux pour accrocher les prunelles sombres des siennes et récupéra sa coupe. S’il devait être honnête, alors il était juste heureux d’être là. A l’écart du monde, tout semblait absolument parfait, et c’était tout ce qu’il pouvait réclamer. La météo idéale et l’accès direct au lac étaient un bon argument, mais sûrement pas autant que la présence de Maze en face de lui. Elle avait ce don pour tout rendre séduisant, pour le faire succomber à chaque fois qu’elle décidait de flirter. Bon sang ce qu’il aimait son assurance. « La vue est définitivement à couper le souffle. » confirma-t-il sans la lâcher des yeux, un sourire conquis aux lèvres. Lui non plus ne parlait pas du lac. « Trinquons au moment présent. » Il n’y avait guère mieux à demander. Tout semblait parfait. Les coupes s’entrechoquèrent et le mexicain y plongea les lèvres, réfléchissant à ses prochaines paroles. Le fait est que la proposition de ce week-end n’était pas tout à fait innocente. Même après des mois aussi compliqués, il était incapable de se sortir la brune de la tête. Elle était toujours enveloppée de cette aura de mystère, et ils semblaient s’être lancés dans cette relation faite de rencontres inattendues. Sauf que cette fois, il ne comptait plus attendre des mois avant de la rappeler. « Je n’aurais pas pu imaginer de meilleures conditions pour ce week-end. » Que ce soit l’endroit, la météo, ou la compagnie. « Il faudra au moins cela pour que je rattrape ce que j’ai manqué ces derniers temps. » Il était irrésolument curieux de savoir ce qui avait pu se passer dans la vie de la brune depuis. Sa présence ici répondait déjà à la question de sa vie romantique.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Cecilia Barker
la sans-un-sou
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« Tu n’en méritais pas moins. » Elle n’était pas certaine de ce qu’elle méritait ou non. En revanche elle avait une vraie question qui lui brûlait les lèvres à présent : « Tu déploies toujours autant d’énergie et de…moyens pour tes conquêtes ? » Loin d’elle l’idée d’émettre là une critique, preuve en était le sourire à la fois amusé et curieux qui étirait le coin de ses lèvres. « Je me permets cette question parce que maintenant qu’on est là, c’est un peu tard pour faire marche arrière. Tu n’oserais tout de même pas me mettre dehors parce que je me suis montrée un peu trop impertinente, si ? » Qu’il essaye seulement. Elle s’accrocherait certainement coûte que coûte à ce canapé. Et à lui. Parce qu’ils avaient beau se revoir toujours bien plus tard que ce qu’ils ne se promettaient sans que cela ne semble les gêner aucunement, cela ne changeait absolument rien au fait que Maze était indéniablement attirée par lui dès qu’il entrait à nouveau dans son champ de vision. Elle aurait eu bien du mal à devoir se résoudre à le laisser pour une question mal placée. Quelque chose lui disait qu’il n’était pas du genre à s’offusquer pour si peu, mais qu’en savait-elle finalement ? Dans le fond, ils ne se connaissaient pas. Et était-ce vraiment quelque chose qu’ils voulaient changer ? N’était-ce pas aussi cet inconnu qui les séduisait l’un chez l’autre ? « La vue est définitivement à couper le souffle. » Sa tête se pencha légèrement sur le côté, acceptant bien volontiers le compliment qu’il venait de lui renvoyer. Elle leva son verre pour venir le faire tinter avec le sien : « A ce délicieux moment présent alors. » La brune avait véritablement l’impression d’être coupée du reste du monde, et ça n’était pas pour lui déplaire. Plus de problèmes de boulot, plus de problèmes personnels, plus de stress, plus d’image calculée à renvoyer à ses proches pour qu’ils ne s’inquiètent pas. Sergio ne savait rien de son passé ni de sa vie, de ses traumatismes, du chaos qui lui collait à la peau. Et tout cela contribuait sans nul doute à la bulle d’insouciance et hors du temps qu’ils s’étaient créés. Mais n’était-ce pas une question de temps avant que cette dernière n’éclate ? « Il faudra au moins cela pour que je rattrape ce que j’ai manqué ces derniers temps. » Ca n’était pas un franc coup d’épingle dans leur bulle, mais un très léger accroc suffisamment marqué pour qu’elle commence à perdre de sa splendeur et à se dégonfler quelque peu. La question avait été en tout cas suffisamment claire pour provoquer un tic nerveux qui avait fait se resserrer les doigts de la jeune femme autour de sa coupe, la faisant pencher au passage l’espace d’une seconde avant qu’elle ne reprenne possession de ses mouvements et évite une catastrophe qui se serait soldée en champagne gâché et en canapé tâché. « Aheum. » Son regard s’était égaré sur son verre, réfléchissant au meilleur moyen de lui répondre. Elle avait été suffisamment déstabilisée pour perdre de sa spontanéité, et si Sergio ne pouvait pas savoir précisément ce à quoi elle pensait, il ne faisait aucun doute qu’elle était en proie à un débat intérieur. Plusieurs options s’offraient à elle : lui dire la vérité, partir sur une vérité partielle et quelques omissions, ou bien mentir pour leur permettre de tenter de conserver un semblant de naïveté. La première option nécessiterait de longues explications : difficile de parler ce qui s’était passé dans sa vie ces derniers temps sans parler de tout ce qui avait précédé. Un terrain incroyablement complexe et glissant. L’air sérieux, elle releva finalement les yeux pour accrocher à nouveau le regard de Sergio. Mais pourquoi ne pas lui demander ce qu’il en pensait lui finalement ? « Je vais jouer cartes sur table… » L’option où il pouvait encore la mettre dehors allait-elle être elle aussi à nouveau sur la table ? « Est-ce que tu as vraiment envie de rattraper le temps perdu ou de savoir quoi que ce soit sur moi…en sachant que ça va définitivement…je pense…changer la perspective que tu peux avoir de moi pour l’instant, et donc notre dynamique par la même occasion ? » Ses mots étaient parfaitement clairs pour elle, parce qu’elle savait précisément ce qu’elle mettait derrière chacun d’eux, mais elle réalisait aussi qu’ils devaient avoir l’air incroyablement flous et confus pour Sergio. « Ce que je veux dire c’est : est-ce qu’on ne ferait pas mieux de se contenter du peu d’informations qu’on a l’un sur l’autre pour profiter du week-end ? » Voulait-il vraiment savoir qui était Maze Crawley ? Connaître toutes les casseroles et tous les traumatismes qui venaient avec sa personne ? Risquer de la découvrir sous un nouveau jour ? « Te méprends pas Sergio…je serais vraiment heureuse que tu te confies davantage et que tu m’en apprennes plus sur qui tu es, et sur ce que j’ai loupé ces derniers mois…mais je…mh…je sais pas, je viens de donner une tournure vraiment dramatique à une simple question et je crois qu’il est temps de me resservir un verre au lieu de continuer à parler, non ? » La Maze si assurée et séductrice à laquelle elle l’avait habitué venait déjà de laisser une trop grande importance à la Maze maladroite, sans filtre et victime de logorrhées incontrôlées. Alors faire taire cette dernière en lui faisant finir sa coupe pour se resservir dans la foulée était la seule solution qu’elle avait trouvée pour l’instant.
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ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
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AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I wanna take the train with you. I wanna run away with you. Come on run away, run away with me. I got a secret window from there you can see it all. Don't be afraid to reach it, don't be afraid to fall. Respect the fact that everything you hate, your thoughts, your words, and everything you say defines you
Une chose qu’il aimait chez Maze était cette incapacité qu’il avait à prévoir ce qu’elle pourrait bien dire, faire. Elle était impossible à cerner, ce qui ne faisait qu’agrandir sa fascination. Pour autant, il aurait dû voir la question des conquêtes venir. Il ne put que rire légèrement, secouer la tête en signe de négation. L’impertinence était le mot adéquat pour la décrire, mais il ne pourrait guère lui en vouloir tant il aimait ce sourire mutin qu’elle pouvait avoir aux lèvres. « Pour te répondre, non. Tu as droit à un traitement de faveur. » S’il devait être parfaitement honnête, il serait incapable de compter le nombre de conquêtes qu’il avait pu avoir dans sa vie. Il ne rechignait jamais à dépenser ou à se montrer gentleman envers la gent féminine. Mais cela avait rarement abouti à quoique ce soit de sérieux, encore moins cette dernière année. Il n’avait pas organisé ce week-end par simple envie de profiter d’une conquête réceptive. La présence de Maze lui avait juste manqué, d’une manière qu’il ne saurait vraiment présenter. « Et entre nous, j’ai toujours trouvé un côté extrêmement séduisant à l’impertinence. Mais si j’interprétais mal tes paroles, je pourrais croire que tu regrettes d’être venue. » Il gardait un ton léger, préférant s’en amuser. Le langage corporel de la brune n’indiquait pas une quelconque hésitation, que ce soit dans la manière qu’avaient ses doigts de l’effleurer ou dans l’insistance de son regard quand elle accrochait le sien. Quoiqu’ils soient, la britannique savait exactement ce dans quoi elle s’engageait en le suivant pour ces quelques jours, l’ultime surprise étant sans doute cette maison sur le lac. Un lac qu’il ne regardait même plus quand la brune était sous ses yeux, un spectacle dépassant de loin tout ce que le lieu aurait à lui offrir. La flatterie n’avait aucun besoin d’être forcée, dans ces circonstances. Ils trinquèrent, et pour la première fois depuis bien des semaines, Sergio se sentit un peu plus serein. Comme si coupés du monde, rien ne pouvait leur arriver. Il pourrait avoir tout le loisir de se concentrer sur la jeune femme sans qu’ils ne soient forcés d’honorer des obligations professionnelles, personnelles, qu’ils soient pris par un emploi du temps serré ou par un brutal retour à la réalité. Si bien qu le mexicain ne douta de rien en orientant subtilement la discussion vers la vie de Maze, et tout ce qu’elle pourrait avoir à raconter. Cela aurait pu être absolument n’importe quoi. Elle aurait pu évincer la question d’une réponse bateau. A la place, quelque chose en elle changea. Son sourire se fana étrangement, la lueur dans son regard se fit bien plus lointaine, sa spontanéité se déclara soudainement aux abonnés absents. Il n’eut pour réponse que des secondes de silence, une atmosphère pesante qui le rendit appréhensif. Que pouvait-elle avoir à annoncer ? Une histoire amoureuse ? Un pépin de santé ? Un drame ? Une raison qui ferait qu’elle ne devrait sans doute pas être là avec lui ? L’agent s’efforça de ne pas sauter sur les conclusions, mais un mauvais pressentiment vint lui étreindre la poitrine. Son assurance à lui se mua en incompréhension. Envolée, la légèreté qui habitait généralement la britannique, ou même sa franchise qui pouvait laisser croire qu’elle n’avait pas la langue dans sa poche. Plus il l’écoutait parler, moins il saisissait où elle voulait en venir, ce qui lui fit froncer les sourcils. Jusqu’à aujourd’hui, il pensait que les choses étaient faciles entre eux, au point de ne pas nécessiter de mots. Mais désormais, il n’en était plus vraiment sûr ; comme si Maze venait de le mettre face à un choix. Celui de rester à une relation superficielle, charnelle, distrayante, ou réellement apprendre à se connaître et prendre le risque de ne pas aimer les réponses. La brune se resservait et Sergio ne savait pas réellement où commencer, subitement conscient que la transparence pourrait être à double tranchant. « Apprendre à te connaître un peu mieux faisait partie de ce que j’avais à l’esprit pour le programme de ce week-end. » répondit-il finalement tout en s’efforçant à rester détendu. Il eut un léger rire face à la nervosité de la brune, ne pouvant clairement pas nier qu’elle venait de totalement anéantir la bulle d’allégresse dans laquelle ils étaient depuis leur arrivée. Il ne lui en voulait pas ; cette conversation était probablement bonne à avoir. Il venait avec un sacré lot de bagages et préférait ne pas se voiler la face quant à la possibilité d’une quelconque relation sérieuse. Mais Maze ne lui donnait pas envie de se contenter du peu que leur apportaient leurs rencontres fortuites. « Et si tu préfères qu’on ne parte pas sur ce terrain, je comprendrais totalement. Dans le pire des cas, la maison est assez grande pour nous deux et le canapé a l’air particulièrement confortable. » Il n’espérait franchement pas en arriver à de tels extrêmes, mais s’il fallait mettre les distances pour éviter toute gêne, alors il n’hésiterait pas. Il n’avait clairement pas la tête à s’avancer dans quoique ce soit de compliqué. « Si cela peut être d’un quelconque réconfort, la perspective que tu as de moi changerait également. Je pourrais même parier que tu seras la première à prendre tes jambes à ton cou. » Il termina sa coupe à son tour dans une lenteur qui se voulait rassurante. Si la brune avait peur d’avoir des bagages, il voyait difficilement ce qu’elle pourrait avoir qui ruinerait cet étrange lien entre eux. « Est-ce qu’on prend ce risque ? » Lui était partant.
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Maze accueillit la réponse de Sergio avec un sourire bien trop angélique et innocent pour être crédible. Il était facile de lire dans son regard qu’elle était pleinement satisfaite et que, bien qu’elle ne se serait certainement pas montrée jalouse à l’idée que d’autres femmes aient eu le privilège de s’asseoir à l’endroit où ils se trouvaient actuellement, elle était ravie de savoir que ça n’était pas le cas. Et pour une raison qu’elle ne parvenait pas à s’expliquer, elle le croyait. Purement et simplement, sans se poser la moindre question. Il n’était pas difficile de voir que Sergio faisait partie de la catégorie des grands séducteurs. Il aurait très bien pu lui mentir ou éviter la question ; mais elle avait la ferme impression qu’aucun d’eux n’avaient menti depuis le début et qu’ils avaient même été effrontément honnêtes. Si l’on ne comptait pas quelques omissions ici et là. « Et entre nous, j’ai toujours trouvé un côté extrêmement séduisant à l’impertinence. Mais si j’interprétais mal tes paroles, je pourrais croire que tu regrettes d’être venue. » Elle aurait pu jouer une nouvelle fois la carte de l’impertinence, mais elle avait été bien trop prompte à secouer légèrement la tête pour le détromper face à cette supposition. « Loin de là. Si ça ne tenait qu’à moi, je te demanderais tout de suite s’il y a vraiment besoin de rentrer à la fin du week-end. » Un doux rêve bien loin d’une réalité pesante et qui avait tendance à réclamer leur présence dans les moments les moins adéquats. La brune avait d’ailleurs choisi de prendre les devants cette fois-ci en coupant son téléphone. Les urgences attendraient. Ou tout du moins elle l’espérait. Sans qu’elle ne réalise exactement comment ce basculement s’était produit quand bien même elle en était à l’origine, elle s’était sentie soudain démunie et acculée par son passé et tout ce qu’elle avait choisi de ne pas dévoiler au mexicain. Son cerveau semblait avoir cessé de fonctionner d’un seul coup, ne lui permettant plus de déterminer où ils allaient exactement avec leur relation, ce qu’elle pouvait et voulait en attendre et par conséquent ce qu’elle pouvait ou non lui dire. Alors les mots avaient fini par s’échapper de ses lèvres sans qu’elle ne puisse les retenir. Elle était impuissante face à elle-même et ne pouvait à présent qu’observer Sergio avec un air désolé en attendant de savoir s’il était parvenu à suivre son raisonnement des plus sinueux et, le cas échéant, ce qu’il advenait maintenant de faire. « Apprendre à te connaître un peu mieux faisait partie de ce que j’avais à l’esprit pour le programme de ce week-end. » Elle sentit ses épaules se détendre quelque peu, ses muscles se décrisper et son expression se faire plus douce. Même si elle ne maîtrisait et n’assumait toujours pas la conversation qui allait probablement suivre, elle ne pouvait s’empêcher de s’avouer heureuse de ce programme qu’il avait imaginé. « Je sais pas ce qu’on est l’un pour l’autre exactement…mais j’ai le sentiment que c’est pas juste physique et…je dois avouer que j’aime bien cette idée. » Même si elle ne souhaitait pas pour autant mettre des mots sur ce qu’ils pouvaient être justement. « Enfin soyons clairs : la partie physique est bien loin de me déranger. » Des fois que cela ne soit pas suffisamment évident. Se montrer un peu plus légère était sa manière à elle de tenter de détendre l’atmosphère qu’elle avait contribué à plomber quelque peu, mais cela ne signifiait en rien que ses propos étaient moins sincères pour autant. Ils étaient à la fois prometteurs et flous, comme leur relation. « Alors en ce qui concerne le canapé sur lequel on est installés présentement, je te laisse bien volontiers le lit pour l’occuper pour la nuit et pouvoir égoïstement profiter de la vue. » Même si la vue de Sergio lui était tout aussi agréable et que son sourire trahissait le fait qu’elle espérait surtout que la suite leur permettrait peut-être de continuer d’occuper ce canapé à deux. « Si cela peut être d’un quelconque réconfort, la perspective que tu as de moi changerait également. Je pourrais même parier que tu seras la première à prendre tes jambes à ton cou. » Elle reprit cette fois-ci son sérieux, scrutant son visage pour détecter une quelconque plaisanterie. Mais elle n’en vit aucune. Que pouvait-il donc bien avoir à révéler de son côté ? Et est-ce que cela serait vraiment équivalent à ce qu’elle avait elle-même à annoncer ? Non pas qu’il s’agisse d’un quelconque concours un peu glauque sur les bords. « Est-ce qu’on prend ce risque ? » Elle resta silencieuse encore quelques secondes, continuant de l’observer avec curiosité et appréhension. « Try me. » Elle se pencha pour déposer sa coupe sur la table avant de se redresser et pivoter vers l’agent artistique, venant replier sa jambe gauche sous elle sur le canapé afin de pouvoir plus facilement lui faire face. « Une vérité chacun, l’un après l’autre ? » Combien pouvait-il en avoir ? Sa liste lui semblait bien longue, chacune de ses vérités découlant les unes des autres. Son regard s’abaissa un instant alors qu’elle réfléchissait à la meilleure manière de formuler ce qu’elle avait à dire même si, au fond, elle savait parfaitement qu’il n’y avait pas de bonne ou de mauvaise manière de dire ce genre de choses. Elle releva donc simplement son regard pour le poser dans celui de Sergio, ses sourcils légèrement froncés et une expression résolument préoccupée sur le visage. « Il y a 4 ans de cela maintenant…je me suis retrouvée au cœur d’un trafic d’êtres humains. » Cette réalité lui semblait encore difficile à accepter aujourd’hui, et le dire à voix haute la ramenait à une période de sa vie qu’elle cherchait à tout prix à effacer mais qui faisait bien malgré elle partie de son quotidien. « Je m’en suis vraiment bien sortie par rapport à d’autres…mais c’est compliqué pour moi encore aujourd’hui sur beaucoup d’aspects… » Sa voix s’était faite plus discrète, moins audible, cohérente avec la confidence qu’elle était en train de partager mais aussi avec le fait qu’elle aurait peut-être préféré la garder pour elle. Mais les mots étaient sortis, et elle ne pouvait à présent qu’observer la réaction du mexicain en étant bien consciente que leur relation -quelle qu’elle soit- était vouée à changer.
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Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I wanna take the train with you. I wanna run away with you. Come on run away, run away with me. I got a secret window from there you can see it all. Don't be afraid to reach it, don't be afraid to fall. Respect the fact that everything you hate, your thoughts, your words, and everything you say defines you
Ils ne faisaient rien dans les règles. Depuis leur rencontre, rien n’avait jamais vraiment eu de cohérence. Maze avait eu plus d’une fois l’occasion de perdre patience et de ne jamais le rappeler, et Sergio ne comprenait toujours pas ce qu’elle trouvait chez lui d’assez intéressant pour lui accorder son week-end entier. Mais il comptait bien saisir l’opportunité pour en faire quelque chose. Cette fois-ci, il n’y avait aucune raison pour que le monde extérieur vienne les déranger. L’ultime interrogation que le mexicain avait se trouvaient dans les intentions de la brune. Il avait bien du mal à la cerner, ou même à se faire confiance à lui-même tant il savait se perdre dans ses sourires et ses airs enjôleurs. Il avait envie de la croire, de penser lui aussi que ce week-end ne pourrait rien faire d’autre que de leur donner envie de retenter l’expérience. « J’imagine que l’on pourrait rester. Ce ne serait juste pas très… raisonnable. » Il appuya ce mot avec un sourire en coin et un regard complice. Il avait des obligations dès le lundi mais s’il le souhaitait vraiment, il pourrait trouver un moyen de tout décaler. Il pourrait aussi faillir à quelques-unes de ses responsabilités si ce n’était que ça. Ce n’était pas quelque chose qu’il accepterait de faire en temps normal, sauf qu’il soupçonnait la britannique d’être en mesure de le convaincre. Il n’opposerait pas de grande résistance à cette idée, surtout si le week-end se déroulait comme il l’espérait. S’ils se comportaient de manière si familière avec l’autre, Maze était en réalité totalement inconnue à ses yeux. Il faudrait bien plus de deux jours pour poser toutes les questions qui lui viendraient en tête, pour ne serait-ce que commencer à comprendre qui elle pouvait bien être derrière ce masque qui le décontenançait à chaque fois qu’il la regardait. Il ne prit pas la peine de cacher sa satisfaction à l’idée que l’envie soit réciproque. « Je suis rassuré si la partie physique te convient aussi… C’était un peu mon dernier recours pour sauver le week-end si le reste se révélait décevant. » Une demi-vérité. Pour avoir essayé, il était indéniable que l’alchimie physique entre eux existait bien, et il n’aurait rien eu contre se rabattre sur cette méthode pour combler le temps s’ils arrivaient à cours de discussion. Et d’un autre côté, il ne faudrait pas attendre d’épuiser les sujets de conversation pour qu’il ait envie de la retrouver de cette manière. Après tout, le cadre s’y prêtait à merveille. Le calme, l’intimité, la vue. « Tu n’as pas encore visité la chambre. » souffla-t-il en guise d’argument. La vue de la chambre était en réalité très similaire à celle du salon, un lit gigantesque en plus. Il espérait sincèrement qu’ils n’auraient pas à devoir choisir qui irait dormir où, car il appréciait bien trop cette proximité entre eux et le simple contact de la main de la brune sur son bras. Même si pour l’heure, il se trouvait surtout distrait par la promesse des confessions et le sérieux qui prenait place dans la discussion. C’était nouveau pour eux, plus grave qu’il ne l’aurait fallu peut-être. Mais cela signifiait quelque chose. S’ils se mettaient à parler, à s’ouvrir à l’autre, ce ne serait plus cette relation légère et sans attache à laquelle ils s’étaient habitués. Il ne pouvait pas deviner pour l’anglaise mais le concernant, il savait que parler de sa vie impliquerait des sujets peu glorieux qui risquaient de saboter l’image qu’il avait essayé de se créer aux yeux de la brune. C’était un risque à prendre, ni plus ni moins. S’il fut le premier à poser la question, de son côté, la décision était déjà toute faite. Il voulait savoir, avoir accès au bon comme au moins bon. « Je ne demande que ça. » Il n’eut pas le réflexe de poser sa coupe, vint au contraire se resservir, son regard ayant toujours du mal à se séparer de celui de la brune. « Tu veux commencer ? » Il ne la forçait à rien, espérait juste qu’elle dirait oui. Qu’il sache à quel niveau situer sa prochaine vérité, s’il partait directement dans le vif du sujet ou essayait d’approcher quelque chose de léger avant. Maze était subitement silencieuse, son visage plus grave qu’il ne l’avait jamais vue. Ce fut assez pour instinctivement l’inquiéter, lui faire imaginer le pire. Qu’est-ce qui pouvait être si terrible qu’elle craigne que cela influe irrémédiablement leur relation ? Il avait des hypothèses. Rien qui ne se rapprochait de près ou de loin de la vérité, néanmoins. Entendre le terme de trafic d’êtres humains lui donna l’impression de recevoir un coup dans l’estomac. Cela dut se voir sur son visage hébété ou sur son absence de mots, malgré la bouche entre-ouverte. Il la regardait, et il l’imaginait dans les pires situations possibles. Le trafic d’êtres humains était quelque chose dont il avait entendu parler, un acte tellement inhumain qu’il avait tendance à oublier que cela pouvait arriver à des gens proches de lui. Il comprenait ce qu’elle lui disait tout en sachant qu’il ne serait certainement jamais capable de comprendre ce qu’elle avait traversé. Comment devait-il réagir face à ça ? « Je suis désolé. Personne ne devrait avoir à traverser ça. » S’il pensait avoir une multitude de questions pour elle en arrivant ici, ce n’était rien comparé tout ce à quoi il pouvait penser avec cette nouvelle information. « Est-ce… est-ce qu’il y a quelque chose que je devrais savoir à ce sujet ? Des choses que je devrais éviter de faire, de dire ? » Elle ne lui avait pas eu l’air farouche, mais même cette aisance se retrouvait remise en question. « Je ne sais pas si c’est quelque chose dont tu as envie de parler mais si tu en as envie, tu peux. » Il ne lui tirerait pas les vers du nez plus que nécessaire. D’une part parce qu’il ne voulait pas la forcer à se replonger dans ce passé chaotique, d’une autre parce qu’il ne saurait probablement pas comment le gérer. « Tu mets la barre très haute pour les informations sensibles. » L’embarras était palpable, car cela ne lui laissait pas d’autre choix que d’opter directement pour la pire information qu’il pouvait avoir à divulguer. Il soupira, laissa son regard se perdre sur le lac une seconde avant de se lancer. « Ce n’est rien d’aussi terrible mais il faut que tu saches… J’ai 8 enfants. Âgés de 31 ans à 7 mois. » En d’autres termes, un aîné qui avait quasiment l’âge de la brune et une petite dernière qu’il aurait à charge pendant au moins 18 ans. La situation était même pire que ce qu’il annonçait.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Cecilia Barker
la sans-un-sou
ÂGE : 35 ans (24.05.89) SURNOM : CeCe, plus ususel que Cecilia - Javotte lui sied plutôt bien STATUT : Célibataire. It's not about the money, money, money...mais si en fait. MÉTIER : Serveuse au rabais au DBD LOGEMENT : #406 montague road - west end. Glow up : le nouvel appart. Glow down : Finnley en colocataire. POSTS : 1155 POINTS : 100
TW IN RP : age gap, chantage ORIENTATION : J'aime tout le monde. RPs EN COURS : Danaë - Chris - Raelyn #2 - Finnley #3
You call me on the telephone, you feel so far away. You tell me to come over, there's some games you want to play. I'm walking to your house, nobody's home, just me and you and you and me alone. We're just playing hide and seek, it's getting hard to breathe under the sheets with you. @Sergio Gutiérrez
« J’imagine que l’on pourrait rester. Ce ne serait juste pas très… raisonnable. » Son expression amusée était témoin du fait qu’elle trouvait cette idée séduisante. « Ca se saurait si on savait être raisonnables j’imagine… » Elle n’était définitivement plus totalement maîtresse de ses décisions quand elle était en compagnie de Sergio. En revanche, si elle n’était pas capable de prendre des décisions éclairées, le mariage qu’elle devait coordonner et qui avait lieu dans 3 jours saurait certainement être raisonnable à sa place. « Je suis rassuré si la partie physique te convient aussi… C’était un peu mon dernier recours pour sauver le week-end si le reste se révélait décevant. » Elle afficha une mine faussement concernée et inquiète, secouant légèrement la tête comme si elle réfléchissait réellement à la probabilité que cette option puisse se produire. C’est finalement dans un demi-sourire provocateur qu’elle choisit de répondre « Quel que soit mon ressenti sur ce week-end, je note donc de feindre la déception à un moment ou l’autre. » Dommage qu’elle soit une bien piètre actrice et que ses sentiments se soient toujours reflétés et lus bien facilement sur les traits de son visage. Elle avait beau avoir déjà tenté l’expérience à plusieurs reprises pour ne pas inquiéter ses proches, la dissimulation de ce qu’elle ressentait vraiment au fond d’elle relevait presque de l’impossible. « Tu n’as pas encore visité la chambre. » Ses yeux s’égarèrent un instant sur ses lèvres, sa main glissant instinctivement le long de son bras pour venir s’échouer sur sa cuisse. Elle s’était imperceptiblement et sans même le réaliser rapprochée de Sergio à la suite de ces mots qui sonnaient comme une tentatrice invitation. Le canapé. La chambre. Ca n’était pas vraiment ce qui occupait son esprit actuellement et, malgré ses menaces, il ne faisait aucun doute qu’elle se satisferait pleinement de l’endroit où ils finiraient tant qu’elle pouvait rester à ses côtés. Mais en glissant sur un sujet bien plus séreux et comme pour se préparer psychologiquement à la discussion qui les attendait, la brune avait remis quelques centimètres de distance entre eux, récupérant sa main et un semblant de contenance pour trouver le meilleur moyen d’évoquer ce qui lui était arrivé. Avant de finalement décider de ne pas y aller par quatre chemins. Arracher le pensement d’un coup sec, tout ça. Quitte à s’arracher un bout de peau au passage. « Je suis désolé. Personne ne devrait avoir à traverser ça. » Même si les mois et les années étaient passés par là, Maze avait l’impression de raviver la douleur dès qu’elle faisait mention de ce traumatisme. Les souvenirs étaient toujours aussi frais dans son esprit et bien loin de s’être affaiblis avec les jours qui s’étaient écoulés. Au contraire, son cerveau semblait s’évertuer à conserver en mémoire le moindre détail de ce qui lui était arrivé. Son air grave avait laissé place à un léger mais tendre sourire face à la réaction de Sergio. Il n’y avait pas de feuille de route pour annoncer ce genre de nouvelles, tout comme il n’y en avait pas pour y réagir. Mais elle était touchée qu’il se préoccupe de ce qu’elle pouvait ressentir et de la possibilité qu’il faille pour lui changer des choses dans sa façon de se comporter avec elle. « Je réponds aux questions que mes proches me posent quand ils en ont. Mais je crois qu’au fond de moi je préfère toujours ne pas en parler. La fuite, c’est tout ce que j’ai trouvé comme solution pour l’instant pour continuer de vivre le plus normalement possible. Donc non, ne change absolument rien. Tout est parfait tel quel. » Son regard appuyé dans le sien se voulait sincère. Il n’y avait aucune hésitation à trouver dans ses paroles ou à lire sur son visage. Elle avait des jours avec et des jours sans, et cette confession lui permettrait peut-être de mieux comprendre ceux où elle irait moins bien s’ils étaient amenés à continuer à se voir à l’avenir. Mais pour rien au monde elle n’aurait voulu qu’il risque de modifier ne serait-ce qu’un infime détail qui aurait pu nuire à leur dynamique chaotique et pourtant ô combien fonctionnelle. « Tu mets la barre très haute pour les informations sensibles. » Maze étant ce qu’elle était, elle se pencha légèrement en avant pour effectuer une sorte de révérence. Elle ne se sentait toujours pas détendue, mais elle était toutefois suffisamment plus légère pour que ses touches d’humour douteux reprennent le dessus et apaisent quelque peu l’ambiance qu’elle avait contribuée à rendre lourde très rapidement. « Ce n’est rien d’aussi terrible mais il faut que tu saches… J’ai 8 enfants. Âgés de 31 ans à 7 mois. » Ses sourcils se soulevèrent légèrement et elle resta silencieuse de longues secondes avant qu’un rire ne lui échappe. « Non mais sans rire. Une vérité, une vraie maintenant. » Comme si cette vérité là était dans son esprit bien plus énorme que celle qu’elle venait de lui partager. Comment Sergio pouvait-il avoir un enfant de 31 ans ? Et pourquoi aurait-il un nouveau-né ? ca n’était pas possible. A moins que…Maze se mit bien malgré elle à faire quelques calculs avant de comprendre que l’âge de Sergio était loin d’être incompatible avec cette information. Son expression rieuse disparut bien vite en même temps qu’une boule fit son apparition au creux de son ventre. « T’es sérieux ?? » Ca n’était certainement pas la meilleure des réactions, surtout face à la compréhension dont lui-même avait fait preuve pour sa propre révélation. Mais la brune était beaucoup trop impulsive pour cacher sa surprise. Elle ne savait plus dans quel ordre prendre ces informations. Huit enfants ? Un nouveau-né qui impliquait potentiellement une femme dans l’équation ? « Est-ce que je suis la maîtresse dans cette histoire ? » Les traits de son visage s’étaient à nouveau faits plus sévères. Elle ne parvenait pas à trier les informations ni à contrôler ses réactions. Elle n’avait jamais eu dans l’idée de briser un couple et c’était maintenant sa préoccupation principale…ou presque : « 31 ans ?? » A peine plus jeune qu’elle donc. A quel point avait-elle déconné dans cette histoire ? Maze ne s’était jamais projetée avec des enfants. Comment se retrouvait-elle soudain avec un homme qui en avait huit. « J’ai un certain nombre de questions qui me traversent l’esprit là Sergio…comme…est-ce que c’était voulu ? Est-ce que je vais avoir besoin de te refaire une présentation du concept de préservatif ? Est-ce que t’es au courant que je serais probablement une horrible belle-mère ? Et quel âge tu as exactement ? » Liste non exhaustive. La mention du rôle de belle-mère était au moins là pour signifier, même sans qu’elle en ait conscience, qu’elle n’était pas prête de partir en courant et pouvait encore imaginer un futur, aussi flou et chaotique puisse-t-il être mais… « 31 ans ??? » Qu’il revienne en arrière et lui annonce avoir lui aussi été kidnappé, l’information la choquerait probablement moins que celle-ci.
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Hey homecoming queen
look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you.
Sergio Gutiérrez
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AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I wanna take the train with you. I wanna run away with you. Come on run away, run away with me. I got a secret window from there you can see it all. Don't be afraid to reach it, don't be afraid to fall. Respect the fact that everything you hate, your thoughts, your words, and everything you say defines you
C’était à se demander pourquoi il leur avait fallu tant de mois avant de finalement décider de passer du temps ensemble. Les dernières semaines avaient porté leur lot d’excuses mais plus Sergio regardait la brune, plus la curiosité s’aiguisait. Elle lui donnait envie d’apprendre à la connaître, de déceler tous les mystères qui pouvaient bien se cacher derrière ce regard sombre. Il avait des questions, bien évidemment, la première étant certainement pourquoi est-ce qu’elle avait accepté cette invitation. Il ne le demanderait néanmoins pas, n’appréciant que trop la légèreté du moment et la quasi certitude que quoiqu’il advienne, ils ne regretteraient pas de s’être enfuis ensemble. Mais ce n'était encore que le début du week-end, après tout. Son ego espérait juste que si elle devait être déçue, ce ne serait pas par ses performances. Une mention qui le fit rire, doucement secouer la tête. « Essaye de garder la déception pour quand on devra se séparer. » répondit-il d’un air malicieux, sa manière à lui de l’inciter à bien choisir son timing. Mais avant d’y arriver, il préférait encore profiter de tout ce que cette maison sur le lac avait à offrir, de sa vue à ses activités, en passant par sa tranquillité naturelle. Ici, ils étaient hors du monde. Personne ne viendrait les déranger ou avoir quoique ce soit à redire sur ce qui pouvait bien se passer. Une nouvelle guerre pourrait se déclencher qu’ils n’en sauraient rien, et c’était précisément ce dont le mexicain avait besoin après la période qu’il venait de traverser. Il aurait été impossible d’imaginer que dans cette sérénité, un raz-de-marée viendrait s’échouer sur eux, rendre lointaine toute notion de légèreté dans cette discussion. Parmi tous les aspects de vie qu’il aurait pu imaginer chez la britannique, un trafic d’êtres humains n’en faisait considérablement pas partie. Il avait même du mal à visualiser ce que cela pouvait bien représenter, les séquelles que cela pouvait laisser. Une réaction qui oscillait entre le choc, l’empathie, la pitié, l’admiration d’être encore capable de tenir bon après ça. C’était à se demander jusqu’à quel point cette apparence assurée était un masque, car l’homme n’en voyait pas les craquelures. Il discernait juste ce regard fuyant et ce malaise palpable. Comment l’en blâmer ? Ce n’était pas exactement le genre de sujet que l’on pouvait avoir envie d’aborder, aussi bien avec ses proches qu’avec de nouvelles relations. La psychologie de bas étage voudrait dire que fuir le problème ne le réglait pas, ne faisait que l’enterrer et alimenter de nouveaux traumatismes. Mais si c’était ainsi que Maze avait trouvé la force de continuer sa vie et de tenir bon, alors c’était sans doute pour le mieux. « Tu sais ce qui est le mieux pour toi. Sache juste que si un jour tu as besoin de t’épancher, je serai là. » Il ne voulait pas rendre leur relation bizarre, surtout pas alors qu’elle était à ses balbutiements, était même trop confuse pour être considérée comme solide. Il n’aurait cependant rien contre juste l’écouter, aussi lourd que soit le sujet. Sergio sous-estimait peut-être combien ils tenaient à un rien. Il eut un parfait aperçu grâce à la réaction qu’elle eut face à son aveu. Pendant un instant, il fut tenté de faire demi-tour, de faire passer ce sujet délicat de sa vie pour une blague. A la place, ce fut un sourire contrit qui étira ses traits, et une franche appréhension qui le prit. Pour la première fois de sa vie, il réalisait à quel point il avait peur du jugement d’une femme sur son historique familial. Cela avait du sens après tout, quand Maze était la première femme avec qui il était prêt à tenter quelque chose depuis bien longtemps. Pendant des années, le fait qu’il ne soit pas dans la vie de ses enfants avait suffi comme argument pour juste passer l’information sous silence. Aujourd’hui, il avait promis d’être présent, faisait de son mieux au quotidien. Si par miracle ils se revoyaient après ce week-end, l’anglaise finirait forcément par croiser l’un de ces enfants. Savoir combien il en avait n’était que la partie émergée de l’iceberg. Alors oui, malheureusement, il était sérieux. « Ce n’est pas une information que j’aime divulguer au premier rendez-vous. » Il préféra en plaisanter, mais son air détendu n’avait rien d’authentique. Il pouvait sentir le cerveau de la brune tourner à plein régime, sans doute pour faire sens de ce qu’il venait de dévoiler. Tout allait trop vite, les questions s’enchaînaient, et l’homme réalisait lentement que la situation était pire qu’il ne voulait bien l’admettre. Il devrait justifier pour Maddy, discuter du problème de la différence d’âge, de pourquoi il avait tant merdé sur l’usage des contraceptifs, pourquoi est-ce que la moitié de ses enfants n’aurait rien contre le voir à nouveau sortir de leur vie. Il ne savait pas ce qui était le plus compliqué, mais l’insistance de la belle sur les 31 ans l’inquiétait, lui faisant réaliser qu’il n’avait aucune idée de l’âge que Maze pouvait bien avoir au final. « J’ai bien conscience que sans le contexte, cela peut paraître confus. » Il se resservit une coupe de champagne, regrettant instantanément d’avoir ouvert sa bouche et de ne pas avoir un alcool plus fort à disposition. « Tu n’es pas ma maîtresse, non. J’ai des défauts, mais je n’ai jamais été infidèle. Je suis divorcé de la mère des sept premiers, et j’ai eu une histoire d’un soir avec une collaboratrice qui a visiblement impliqué trop d’alcool. Je n’en suis pas vraiment fier. » Il n’y avait aucune manière de présenter la chose en sa faveur, mais aucune option non plus pour en échapper étant donné qu’il aurait la responsabilité de Pao pendant encore bien des années. « Mon ex-femme voulait une famille nombreuse. J’étais d’accord, jusqu’à un certain point. Disons juste qu’ensuite, le sujet de la religion et l’aspect sacré des enfants a pesé sur les histoires de contraception dans notre mariage. C’était la raison de notre divorce. » Il n’arrivait pas à croire qu’il en parlait à une personne totalement extérieure. A ce stade, il avait du mal à continuer de faire bonne figure, incapable de deviner comment Maze réagirait. « Tu n’auras jamais à prendre de responsabilités quelles qu’elles soient avec mes enfants. Ou à me faire un cours sur les préservatifs. Crois-moi, je sais. » Il garderait l’aveu de la vasectomie pour un autre jour. Quant à l’âge… « J’ai eu mon fils tôt. » Pas assez pour considérablement réduire l’écart d’âge. « Mais s’il te plaît, ne me dis pas que je fais du détournement de mineurs ici. » La qualité de l’humour qui soulignait parfaitement combien il se sentait incertain, tout de suite.
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Maze ne savait pas comment elle se sentait à ce moment précis. Elle était partagée entre le soulagement d’avoir confessé l’un de ses plus lourds secrets à quelqu’un entré dans sa vie récemment et qui n’avait fort heureusement pas pris ses jambes à son cou, et le sentiment d’oppression en ayant été contrainte de se replonger dans des souvenirs qu’elle s’évertuait à garder enfouis aussi profondément que possible. Ca n’était clairement pas la meilleure solution à adopter sur le long terme, mais c’était la seule qu’elle était pour le moment en mesure de tolérer pour tenter de vivre une vie normale. « Tu sais ce qui est le mieux pour toi. Sache juste que si un jour tu as besoin de t’épancher, je serai là. » Elle était perdue, confuse, et cela se voyait dans son regard, dans sa façon de parler, dans ses hésitations, dans la manière dont elle se tenait. Pourtant, quand elle vint chercher le regard du mexicain, c’est une pointe de sérénité et de certitude qui se lut dans ses yeux l’espace de quelques secondes. L’infime espoir que les jours, les semaines, les mois qui l’attendaient seraient un peu plus calmes et joyeux, et que les moments difficiles seraient plus supportables s’il restait à proximité pour lui permettre de les affronter. « Je prends note de cette information précieuse. Merci. » Et si la brune ne voulait pas céder à une telle projection entre eux alors que leur relation, si cela en était seulement une, n’était qu’à ses débuts, elle s’autorisait toutefois à laisser un peu de place à un flou artistique optimiste pour la suite. Pour ce qui les attendait ensemble. La révélation de Sergio n’était pas venue abattre en plein vol cet optimisme, mais il l’avait vraisemblablement bien secoué. Et assez brutalement. Pas plus qu’elle ne devait l’avoir elle-même secoué avec son traumatisme…alors pourquoi n’arrivait-elle pas à y voir clair ? Pourquoi les questions se bousculaient-elles de manière désorganisée et chaotique dans son esprit ? « Ce n’est pas une information que j’aime divulguer au premier rendez-vous. » Un rire à la fois sincère mais nerveux lui échappa. « Oui. Je comprends. Y a mieux pour faire connaissance avec quelqu’un. » A quel stade d’une quelconque relation ce genre d’informations pouvaient-elles être divulguées de toutes façons ? « J’ai bien conscience que sans le contexte, cela peut paraître confus. » Elle hocha doucement la tête, essayant tant bien que mal de dissimuler une partie de son incompréhension. Oui, c’est totalement confus. Je ne comprends rien à ce qui est en train de se passer. Je t’en supplie, donne moi des explications cohérentes et qui feront passer la pilule. A ce stade-là, Maze n’était plus en mesure de distinguer ce qu’elle pensait des mots qui franchissaient effectivement la barrière de ses lèvres. Mais son besoin d’en savoir plus se lisait aisément sur son visage. Tout comme le soulagement qui traversa son corps tout entier quand il lui affirma qu’elle n’était la maîtresse de personne dans cette histoire. Suivi assez rapidement d’un nouveau choc quand il fit mention de ses sept enfants. Sept. SEPT. Plus un nouveau-né donc. « Mon ex-femme voulait une famille nombreuse. J’étais d’accord, jusqu’à un certain point. Disons juste qu’ensuite, le sujet de la religion et l’aspect sacré des enfants a pesé sur les histoires de contraception dans notre mariage. C’était la raison de notre divorce. » Maze ne savait pas quoi dire et n’aurait de toute manière pas réussi à articuler quoi que ce soit de cohérent pour l’instant. Elle se contentait d’écouter les explications de Sergio, emmagasinant les informations, essayant de les relier entre elles, de voir de quelle manière elles faisaient sens pour lui. Pour elle. Pour eux. Comment pouvait-elle exister au milieu de tout ça ? D’une ex-femme avec qui il avait partagé des valeurs, une famille, une vie ? Elle était si éloignée de cette réalité-là. « J’ai bien trop souvent l’impression d’être encore une adolescente immature bien loin des responsabilités de la vie d’adulte alors…je…pardon mais j’ai du mal à assimiler le fait que tu en sois à ce stade-là dans ta vie. » Ca n’était pas une façon élégante de lui rappeler la différence d’âge qui existait entre eux, mais bel et bien sa manière à elle de lui dire qu’elle ne se sentait pas concernée par ce genre de préoccupations et qu’elle avait de ce fait du mal à croire qu’il ait déjà construit une telle partie de sa vie quand elle était elle-même incapable de simplement se projeter dans la sienne. « Tu n’auras jamais à prendre de responsabilités quelles qu’elles soient avec mes enfants. Ou à me faire un cours sur les préservatifs. Crois-moi, je sais. » La deuxième partie de sa phrase prêtait à sourire, mais elle était bien trop focalisée sur la première. Elle ne voulait toujours pas se projeter trop loin dans leur relation, et pourtant elle ne parvenait pas à penser à autre chose qu’au fait qu’elle finirait inévitablement par devoir entrer dans leur vie d’une manière ou d’une autre et qu’elle ne pourrait pas rester éternellement le flirt d’un soir caché dans l’ombre. Ou bien ? Etait-ce une option finalement ? « J’ai eu mon fils tôt. » Ha oui. Les 31 ans vinrent lui rouler dessus sans ménagement une nouvelle fois. « Mais s’il te plaît, ne me dis pas que je fais du détournement de mineurs ici. » Elle resta silencieuse un long moment. Non pas pour le faire hésiter sur cette plaisanterie que son cerveau n’avait même pas encore totalement saisie, mais bien parce que les informations et les questions continuaient de se bousculer dangereusement dans sa tête. Elle était visiblement complètement perdue dans ce flot de pensées et ne savait pas ni quoi faire, ni quoi dire. Finalement, elle se pencha quelque peu vers lui avant de stopper son geste. Son regard confus essayait de se raccrocher désespérément au sien comme s’il était en mesure de faire sens de tout ça. Son cerveau étant incapable de fonctionner ; c’est son corps qui prit la main. Son bras droit se leva, ses doigts allant se déposer dans la nuque du mexicain pour le rapprocher d’elle jusqu’à ce que ses lèvres viennent s’emparer des siennes. Un baiser dans lequel Maze laissa sa confusion et sa passion s’exprimer à la place des mots qu’elle ne parvenait pas à trouver. Elle s’écarta finalement de quelques centimètres, son regard toujours perdu dans le sien, avant de retrouver la parole : « Excuse-moi. J’avais besoin de vérifier que ça en valait la peine. » Et c’était le cas. Du moins elle l’espérait de tout son cœur. Elle vint doucement frotter son nez contre le sien avant de répondre à son inquiétude : « J’aurai 34 ans cette année… » Majeure donc. Mais bien proche de l’âge de son aîné. Elle aurait voulu pouvoir penser à autre chose, mais elle n’était pas capable de faire abstraction de cette donnée. Mais puisqu’il fallait affronter la réalité, autant aller au bout des choses maintenant qu’ils avaient commencé. Elle vint enfouir son visage dans sa nuque, son corps se rapprochant du sien pour l’enlacer dans une étreinte censée lui apporter un quelconque réconfort face aux vérités qui étaient avouées ce soir-là. Elle soupira avant de murmurer : « C’est quoi la suite de tes confessions Sergio ? » Parce qu’il y en avait forcément une non ? Parce que leur relation était compliquée depuis leur rencontre. Il y avait forcément encore des informations sensibles, d’un côté comme de l’autre, pour leur mettre des battons dans les roues.
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Hey homecoming queen
look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you.
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I wanna take the train with you. I wanna run away with you. Come on run away, run away with me. I got a secret window from there you can see it all. Don't be afraid to reach it, don't be afraid to fall. Respect the fact that everything you hate, your thoughts, your words, and everything you say defines you
Dans un sens, c’était ce que Sergio espérait de ce week-end. Parler, se découvrir, ne plus être des inconnus avec une claire attraction pour l’autre. Il ne se serait néanmoins pas attendu à ce qu’ils démarrent sur de tels chapeaux de roues. Dans sa ligne de métier, il était bien placé pour savoir que les apparences pouvaient cacher leur lot de secrets. Mais jamais il n’aurait pu imaginer Maze porter de tels bagages. Elle lui apparaissait comme une personne forte, intrépide, maîtresse de son destin. Tout ce qu’une expérience comme la sienne aurait dû lui arracher. De toute évidence, Sergio n’avait pas les détails de l’histoire, il ne savait pas jusqu’à quel point la situation avait pu être grave. Il ne connaissait pas l’étendue des dégâts et des traumatismes qui restaient. Pour autant, il aurait fallu bien plus pour le dissuader de s’approcher de trop près ou pire, de prendre Maze en pitié. C’était son passé, et il ne tenait qu’à elle de le partager ou de plutôt décider de l’enterrer. L’un comme l’autre, il n'aurait aucun problème à être aussi bien une épaule sur laquelle s’appuyer qu’une distraction. Son offre n’avait pas de date d’expiration et si jamais l’anglaise décidait de même oublier qu’elle lui avait parlé de cette facette de sa vie, il ne lui en tiendrait absolument pas rigueur. Cela ne changerait de toute manière rien à la façon dont il la percevait, à part peut-être renforcer l’admiration qu’il avait pour ce brin de femme. Elle ne ferait pas le moindre mal à leur début de relation hasardeuse. Lui, c’était bien moins sûr. Et autant dire qu’il regretta presque instantanément d’en avoir parlé. Il n’était pas habitué à dévoiler des pans de sa vie privée, encore plus les parties les moins glorieuses. Car chacun de ses enfants -à l’exception de la dernière- aurait sans doute de quoi donner envie à la brune de ne plus jamais le revoir. Il n’avait aucune idée d’où est-ce qu’ils iraient, si le jour des rencontres arriverait. Mais partir sur un mensonge lui paraissait être la pire idée possible. Surtout à en juger par la nervosité soudaine de Maze. « Je pense que c’est mieux de t’en parler dès maintenant. » Le problème était qu’un tel fait ne venait pas sans son histoire et se lancer dans les explications de pourquoi tant d’enfants et quelle était sa situation familiale n’arrangeait franchement pas son cas. Il tenta au mieux de rester détaché dans son récit, léger, de survoler les détails pour ne pas laisser penser que son passif était encore bien plus houleux que ce qu’il laissait croire. Instinctivement, son regard avait tendance à glisser, déraper de celui de la jeune femme plutôt que d’affronter le fait qu’elle semblait de plus en plus décontenancée. Très franchement, il n’avait aucune idée de la bonne approche à avoir, des sujets à inclure ou à omettre. Tout ce dont il était certain, c’était qu’il n’y avait pas besoin d’être un expert pour sentir que Maze semblait prête à décamper à peine eut-il fini de parler. Dans les apparences, il garda contenance. Mais intérieurement, le mexicain craignait bien que le week-end soit déjà terminé. « Les responsabilités parentales sont un choix. Ne pas les avoir prises ne fait pas de toi quelqu’un d’immature. Pour tout te dire, je n’étais vraiment pas prêt quand j’ai eu les premiers. Je ne me suis jamais vraiment retrouvé dans la vie de père. » Il n’avait aucun argument pour contrer le fait qu’ils soient dans deux stades de vie totalement différents. Il avait un paquet d’années d’écart, et même s’il aimait penser qu’il était bien plus jeune dans son mental et dans sa vie active que ce que son année de naissance voulait laisser croire, le temps n’était pas de cet avis. Il ne pourrait pas blâmer l’anglaise de subitement réaliser que ce serait un obstacle. Quoiqu’il advienne entre eux, il n’attendait pas d’elle qu’elle adopte totalement sa vie, qu’elle se retrouve mêlée à la vie de ses enfants, ou qu’elle fréquente le Sergio qu’il était quand il était père. Le retour à la réalité était brutal pour lui aussi, car il réalisait qu’il ne connaissait même pas l’âge de la brune. Pour ce qu’il savait, elle pourrait avoir l’âge de son aîné. Il ne savait pas dire à quel point cela le perturbait. Il lui était arrivé par le passé d’avoir des aventures avec des femmes plus jeunes mais toujours le temps d’une nuit et jamais ne s’était-il demandé s’il y aurait quelque chose de plus sérieux à créer. Il aurait aimé que Maze décide pour eux deux, détermine si ce serait un problème. Il guettait une réaction qui mettait du temps à venir. Les secondes s’étiraient de manière interminable. Au même titre que son corps qui se rapprocha, trop hésitant à son goût. Il sondait son regard du sien à la recherche d’une réponse, quelle qu’elle soit. Il s’attendait à tout, sauf à ce qu’elle vienne le chercher. Instinctivement, il vint déposer sa main sur la joue de la jeune femme, la caressa de son pouce alors qu’il se laissa volontiers distraire par ce baiser. Il y avait de quoi lui faire oublier tout le reste. Il voulait ça. Est-ce que le reste ne pouvait pas juste disparaître ? Cette femme avait le don pour le tenir en haleine, lui faire perdre ce contrôle auquel il s’accrochait tant en temps normal. « Et est-ce que ça en valait le coup ? » souffla-t-il en retour, son nez se frottant en sien tandis que ses lèvres vinrent encore se tendre pour voler un baiser. 34 ans, donc. Plus âgée que son fils, mais toujours assez jeune pour être sa fille. « Quelle date ? » Il préférait encore éviter un oubli d’anniversaire que de prendre le risque de s’exprimer sur ce qu’il pensait, à ce moment précis. Heureusement pour eux deux, elle leur facilita la tâche à l’étreindre de la sorte. Naturellement, il fit de même, enroula ses bras autour de la belle, son menton se posant sur son crâne. Le geste était réconfortant, le fait qu’il ne puisse pas la voir, moins. Il ne parvenait pas à interpréter cet élan de tendresse. Était-ce de l’acceptation ou de la résignation ? « On avait dit que ce serait chacun notre tour pour les vérités. » rappela-t-il doucement. Il ne lui dénigrerait pas cette question, il avait juste besoin de réfléchir à ce qu’il pourrait dire. Il avait l’impression de jouer avec les limites du tolérable. Malheureusement, il avait encore un bon stock de sujets sensibles à aborder. Il ferma les yeux, soupira franchement. Au diable les secrets. Maze finirait forcément par découvrir ce qu’il laisserait volontairement de côté. « La raison pour laquelle tu n’aurais hypothétiquement pas à fréquenter mes enfants, c’est parce que nos relations ne sont pas bonnes. J’ai été un père absent et je suis revenu vraiment trop tard. » Un doux euphémisme. Ses doigts caressaient distraitement la chevelure brune désormais. « Ils te donneraient facilement envie de me brûler sur la place publique. » Si cette méthode s’utilisait encore. « Ce sont mes gros bagages. Mes mauvais choix de vie. » Il espérait qu’elle ne partirait pas en courant, maintenant.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Cecilia Barker
la sans-un-sou
ÂGE : 35 ans (24.05.89) SURNOM : CeCe, plus ususel que Cecilia - Javotte lui sied plutôt bien STATUT : Célibataire. It's not about the money, money, money...mais si en fait. MÉTIER : Serveuse au rabais au DBD LOGEMENT : #406 montague road - west end. Glow up : le nouvel appart. Glow down : Finnley en colocataire. POSTS : 1155 POINTS : 100
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You call me on the telephone, you feel so far away. You tell me to come over, there's some games you want to play. I'm walking to your house, nobody's home, just me and you and you and me alone. We're just playing hide and seek, it's getting hard to breathe under the sheets with you. @Sergio Gutiérrez
Il était étrangement grisant ce sentiment que l’on ressentait en se confiant à quelqu’un qui en faisait de même en retour. Aussi dramatiques les informations partagées puissent-elles être, cette curieuse intimité verbale leur permettait d’apprendre à se connaître. A ce stade-là il était difficile pour Maze de maintenir que ce qui se passait entre eux n’était qu’une passade, un bon moment, une parenthèse agréable mais évidemment éphémère. Pas quand elle abattait petit à petit les murs qu’elle avait érigés autour d’elle pour se protéger. Pas quand elle acceptait de se livrer de la sorte et de revenir sur des événements qu’elle aurait préféré oublier. Et pas quand elle continuait de lui parler, de le questionner pour en savoir plus, et de réfléchir pour comprendre ce que cela signifiait exactement pour elle et pour eux. Elle pouvait afficher n’importe quel air surpris et dubitatif face à toutes les informations qu’il lui donnait, il n’en restait pas moins qu’elle était toujours là et qu’elle cherchait à comprendre et à aller au fond des choses pour mieux les accepter et trouver des arguments pour se défaire de ses doutes. « Les responsabilités parentales sont un choix. Ne pas les avoir prises ne fait pas de toi quelqu’un d’immature. Pour tout te dire, je n’étais vraiment pas prêt quand j’ai eu les premiers. Je ne me suis jamais vraiment retrouvé dans la vie de père. » Son regard n’en restait pas moins aussi sérieux que la conversation. Les questions se succédaient à une vitesse vertigineuse dans son esprit et elle se réfrénait pour ne pas toutes les laisser s’échapper et risquer de donner l’impression qu’elle était en train de faire passer un interrogatoire au mexicain. « Tu as des regrets par rapport à ça ? » Parmi toutes les questions qu’elle aurait pu choisir, elle se rendait compte trop tard que celle-ci n’était de loin pas la plus pertinente. Mais elle n’arrivait pas à faire le tri, et elle se questionnait maintenant sur la relation qu’il entretenait avec ses enfants. Comment faire pour gérer un foyer dont on ne voulait pas réellement ? Cette question la renvoyait elle-même à ses propres contradictions : si elle ne voulait pas d’enfants actuellement et qu’elle ne se sentait pas d’endosser le rôle de mère, qu’arriverait-il si cette envie-là se manifestait plus tard ? Trop tard ? Valait-il mieux se lancer tant qu’elle le pouvait et improviser en espérant se découvrir une fibre maternelle sur le moment, ou bien attendre d’être prête au risque de ne pouvoir concrétiser d’hypothétiques futurs espoirs ? Elle était en train de se perdre bien trop loin dans ses considérations existentielles. Ca n’était pas le but du week-end, ni le sujet de la conversation. « Et est-ce que ça en valait le coup ? » Ce baiser soudain lui avait permis de refocaliser son attention sur Sergio, non sans la troubler pour autant par la même occasion. « Comme toujours. S’il y a bien une chose dont je suis certaine au milieu de tout ce…bazar…c’est qu’il s’agisse d’un lapin posé dans une boîte de nuit, de SMS échangés, de confessions très personnelles ou de la plus anodine des conversations, tu ne me laisses jamais indifférente Sergio. » Depuis le premier jour en fait. Quoi qu’il arrive, quelle que soit la situation, il subsistait toujours cette irrésistible attirance et cette alchimie qui la faisait frissonner au moindre regard, et défaillir au plus léger des contacts. « Quelle date ? » En sécurité toute relative mais qui faisait pour l’instant illusion au creux de ses bras, elle sentit ses muscles se détendre et un fin sourire venir étirer ses lèvres. « Le 17 juillet. » Elle ne lui avait toujours pas demandé son âge. Le devait-elle ? Voulait-elle vraiment le savoir ? Probablement. Mais qu’est-ce que ça changerait à la situation finalement ? « On avait dit que ce serait chacun notre tour pour les vérités. » Vrai. Son sourire s’étira un peu plus encore sans qu’il ne puisse le voir. « C’est pas comme si respecter les règles du jeu était dans notre ADN de toutes façons. » Et avait-elle vraiment envie de passer à la confession suivante alors qu’elle voyait parfaitement de laquelle il s’agissait ? Pas si sûr. « La raison pour laquelle tu n’aurais hypothétiquement pas à fréquenter mes enfants, c’est parce que nos relations ne sont pas bonnes. J’ai été un père absent et je suis revenu vraiment trop tard. » Son sourire s’était estompé cette fois-ci. Elle était restée silencieuse, le laissant parler et aller au bout de cette nouvelle information sans le couper. Son cerveau continuait d’essayer d’assimiler cette discussion en lui imposant une dizaine de questions pour chaque nouvelle information. « J’ai l’impression que t’as eu plusieurs vies Sergio. » Elle avait doucement quitté le confort de ses bras pour se redresser et pouvoir le regarder à nouveau, sa main glissant jusqu’à la sienne pour entrelacer ses doigts aux siens. Elle avait besoin de ce contact. Quel père avait-il été ? Qu’avait-il bien pu faire pour penser que ses enfants seraient capables de tenir de tels propos ? Et était-il toujours cette personne aujourd’hui ? « Et si j’ai envie de savoir qui tu étais à cette époque-là…je sais que c’est le Sergio d’aujourd’hui qui m’a conquise. » Rien de ce qu’il avait pu faire par le passé ne pourrait la faire fuir tant qu’il pouvait lui affirmer qu’il avait changé. Elle n’arrivait pas à retrouver l’homme qu’elle avait rencontré et qu’elle avait l’impression de connaître dans les propos qu’il tenait au sujet de ses enfants. Ce qui lui faisait surtout peur en lui affirmant que le présent était tout ce qui importait, c’était justement que sa prochaine confession était bel et bien ancré dans le présent et non dans le passé. Son expression s’était faite plus hésitante alors qu’elle cherchait le meilleur moyen de la lui expliquer. Ses doigts s’étaient instinctivement resserrés autour des siens, comme pour l’empêcher lui de partir. « J’ai un ami…dont je suis vraiment très proche. On n’est pas en couple. » C’était un très mauvais début. Et la suite n’était malheureusement pas mieux. « Mais depuis quelques temps notre relation est assez…ambiguë. » Terrain glissant. Chute en approche. Blessés à l’arrivée. « Je le connais depuis plusieurs années. Depuis que je suis arrivée à Brisbane. » Et, ironiquement, lui aussi avait un passé bien chargé qu’il était enfin parvenu à lui confesser après toutes ces années. « Il est…possible…que j’ai des sentiments pour lui. » Elle était complètement larguée dans cette histoire. Pourquoi avait-il fallu que la première personne à qui elle avoue enfin cette information (avant de se l’avouer à elle-même ?) soit Sergio ? « Le problème étant que, quels qu’ils soient, j’en ai aussi pour toi. » Son regard s’accrochait désespérément au sien alors qu’elle se demandait si cette confession-là ne valait pas au moins huit enfants surprises. Pouvaient-ils vraiment faire plus chaotique que ça comme soirée ?
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I wanna take the train with you. I wanna run away with you. Come on run away, run away with me. I got a secret window from there you can see it all. Don't be afraid to reach it, don't be afraid to fall. Respect the fact that everything you hate, your thoughts, your words, and everything you say defines you
S’il avait espéré qu’ils pourraient discuter durant ce week-end, Sergio n’aurait jamais pensé qu’ils arriveraient directement dans le dur du sujet. Une partie de lui était heureuse de la tournure des événements, y voyant l’occasion de créer un lien de confiance à travers ces confessions. L’autre était sur la défensive, particulièrement appréhensive de chaque mot qu’il pourrait bien prononcer. Il n’était pas le genre d’homme qui se dévoilait réellement ou osait parler de son histoire, trop conscient que cela ne lui faisait pas honneur. Il avait fait des erreurs, échoué en tant que père et que mari à un niveau impardonnable. Il était tout ce qu’il y avait de plus accompli en professionnel ou en homme célibataire, cependant. Le problème était qu’après plus de vingt ans, il s’était enfin promis de réconcilier ces deux aspects de sa vie. Il n’avait aucune idée de ce pour quoi cela pouvait bien le faire passer. Ce fut notamment pour cette raison qu’il n’osa pas répondre trop spontanément, observant plutôt la brune en penchant légèrement la tête. Il faisait mine de réfléchir quand la réponse, en réalité, était toute trouvée. Il regrettait amèrement d’avoir eu des envies si tôt et surtout, d’en avoir eu autant. Il regrettait de ne pas être allé contre leurs principes quand il avait connu Maritza pour les empêcher de se jeter trop tôt dans l’aventure de la parentalité. Dans d’autres conditions, ils auraient été incroyablement heureux ensemble. A la place, c’était un ressentiment mutuel qui avait grandi dans leur mariage et dans leur famille. « Disons que si c’était à refaire, je ferais tout différemment. » Il esquissait volontairement la question, laissait la réponse libre d’interprétation. C’était un aveu de ses regrets, juste sans spécificités. Peu importe combien il le pensait, il n’assumerait pas de s’entendre dire ouvertement regretter que ses enfants soient venus au monde. Il n’en accueillit que plus volontiers ce baiser qu’elle vint lui offrir, ce genre de distraction qui aurait pu le convaincre de se taire à jamais. Il ne voulait pas parler de l’homme qu’il avait été quand tout ce qu’il désirait était de donner une raison à l’anglaise de rester. C’était absurde quand ils regardaient à quoi leur histoire avait ressemblé jusqu’ici. Du hasard, des contre-temps, de l’éphémère audacieux. « Tu es loin de me laisser indifférent non plus. C’était ma principale motivation pour provoquer un peu le destin. » Et ne pas attendre que ce dernier accepte de les réunir une nouvelle fois. Il appréciait la surprise de la croiser, moins l’attente qui allait avec. S’il fallait leur créer des occasions, Sergio le ferait volontiers. Sa question n’était pas anodine par exemple. Il se contenta de simplement hocher la tête en notant la date de son anniversaire, réalisant avec une certaine ironie qu’il ne saurait même pas à quelle adresse se pointer pour lui faire une surprise, ou à boîte exactement faire livrer un bouquet de fleurs pour l’occasion. La réflexion de la brune fit écho à ses propres pensées sur le désordre de leur histoire, lui arrachant un léger sourire au passage. « J’ai proposé de respecter les règles si tu te souviens bien… » Lui en tout cas se rappelait lui avoir proposé de boire un verre et de passer par la case discussion avant de décider de la fin de soirée. Il se souvenait aussi avoir été plus qu’heureux qu’elle soit aussi impatiente que lui. Dans tous les cas, elle avait raison. Ils ne faisaient rien dans les règles, et il était encore celui qui se retrouvait à parler et à avancer dans les aveux dangereux. A ce stade, Sergio n’avait plus aucune idée de ce qu’il essayait de faire, si l’intention était d’éviter les mauvaises surprises qui viendraient inévitablement, ou juste la rassurer sur le fait qu’elle n’aurait pas à être confrontée à cet aspect de sa vie si elle ne le désirait pas. C’était du quitte ou double et à la sentir s’éloigner de ses bras, le mexicain commençait à se dire qu’il aurait sans doute dû se taire. « J’ai cette impression aussi. » Il s’efforçait de paraître détendu, serra instinctivement les doigts entremêlés aux siens. Cela ne changeait rien au fait que l’homme qu’elle connaissait aujourd’hui était la version la plus honnête qu’il avait à offrir, la plus proche de tout ce à quoi il avait un jour aspiré. Il avait la sensation d’attendre un verdict et Maze était forte pour ne rien laisser paraître de ce qui pouvait bien se passer derrière ces prunelles sombres. Son cœur s’agita dans sa poitrine en même temps qu’elle leva finalement le doute. Il tentait d’interpréter, mais le choc passé, rien ne laissait croire à une réaction de rejet, de dégoût, de mépris. D’une manière presque trop exceptionnelle, elle ne prenait pas la fuite, semblait même prête à tenter sa chance. « Je pense qu’il pourrait te plaire. » Il ferait le nécessaire pour, en tout cas. Cependant, son sourire revenu ne dura pas longtemps. Quelque chose clochait dans la réaction de l’anglaise. Ce regard subitement fuyant, la moue sur ses lèvres, les secondes de silence. C’était assez pour le faire déchanter et sentir arriver l’orage. Le problème étant que ce soir, Maze lui avait prouvé être capable de dissimuler le pire du pire. Malgré cela, aucun de scénarios qu’il aurait pu imaginer n’arrivait à la cheville de ce que la jeune femme lui présenta. Il y avait quelqu’un d’autre, donc. Pas une relation du passée, pas une blessure qui restait. Juste un autre homme dans l’équation. C’était suffisant pour créer un cruel mélange de déception, d’incompréhension et de vexation, tout autant de sentiments qui s’exprimèrent seulement par un « Oh. » désarçonné. Il baissa les yeux sur leurs doigts toujours enlacés, comme si subitement ce geste pouvait être déplacé. C’était un brutal retour à la réalité et une situation inédite pour celui qui n’avait jamais été habitué à être le deuxième homme dans l’histoire. « C’était inattendu. » Il eut un léger rire, comme pour essayer de se défaire de son malaise. De qui se moquait-il au fond ? Il était celui qui n’avait jamais cessé d’être profondément amoureux de la mère de ses enfants. « Les sentiments sont quelque chose de complexe. Je ne peux pas te le reprocher. » Elle n’était pas à blâmer pour son honnêteté. La décision de partir ou de rester et d’en assumer les risques revenait au mexicain. « Est-ce que je peux te demander pourquoi votre relation est restée au stade de l’ambiguïté ? » Était-il seulement au courant des sentiments de l’anglaise ? Car si c’était la seule barrière entre eux, le jeu ne valait sans doute pas la chandelle. « Je ne pense pas vouloir reculer à cause de… possibilités. » Il leva sa main libre pour attraper une mèche brune qui barrait le visage de la belle. Si cette information risquait de le contrarier plus qu’il ne le faudrait ? Complètement. S’il préférerait couper court à ce qu’il y avait entre eux car il était possible qu’elle ait des sentiments pour un autre, possible qu’elle lui échappe, possible que leur histoire ne soit jamais viable ? Il n’en était franchement pas certain. Tout ce qu’elle leur avait prouvé jusqu’ici était qu’il était aussi possible que leurs rencontres, aussi brèves soient-elles, le fassent se sentir incroyablement vivant.
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