(cosigan #24) make the music stop before it starts
Megan Williams
la détresse des roses
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
RPs EN ATTENTE :
milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
make the music stop before it starts Megan Williams & @Damon Williams ☆ crédit/katysgifs
L’an dernier, je n’ai pas profité du succès de la campagne de publicité faite pour MHI bien longtemps. Un ou une inconnu s’est essayé à l’archéologie pour déterrer de quoi m’enterrer, et il a trouvé : des photos de charmes - comprendre des photos où je suis nue - ont été envoyées à quelqu’un travaillant pour l’entreprise de mon beau père avant d’être diffusées. Si je n’en ai pas honte, elles m’ont discréditée aux yeux de Saül - si toutefois il m’accordait un peu de crédit - et des responsables de campagnes publicitaires de l’entreprise. MHI est synonyme de luxe, et on m’a rapidement fait comprendre qu’une future collaboration avec moi était inenvisageable, et qu’il valait mieux que je fasse profil bas. Alors, si ce n’est la soirée de lancement de la collection, je n’ai pas assisté aux restes des événements publics organisés par la marque. Heureusement, le scandale a été étouffé et n’a jamais passé les portes de la tour de verre hébergeant les locaux de l’entreprise de Joaillerie. Je n’ai pas été publiquement discréditée et cela m’a permis de décrocher d’autres contrats, tout au long de l’année. Sauf que je ne suis pas idiote : les gens parlent, et je doute qu’il existe encore une personne au sein de la MHI qui n’a pas vu mes photos.
Sauf que me cacher n’est pas une solution pérenne. J’ai envie de pouvoir m’afficher au bras de Damon en toutes circonstances, surtout depuis que nous sommes devenus un vrai couple, et plus uniquement une jolie publicité pour Saül Williams, montrant à tout le monde la réussite de la chair de sa chair. J’ai envie de pouvoir accompagner mon mari à tous les galas de charité organisés par l’entreprise et, ce soir, j’ai décidé que je ferai mon retour à son bras. Après tout, cela fait presque un an que tout cela s’est produit, les gens sont passés à autre chose, non ? Certes, la moitié de la ville a pu m’admirer en maillot de bain depuis ma dernière campagne, mon partenariat avec une marque de bikinis. Mais nous sommes en 2023, n’est-ce pas synonyme d’ouverture d’esprit, ne vivons nous pas dans une décennie où montrer son corps n’a plus rien de honteux, que l’on soit né homme ou femme ? Si Damon n’a pas de souci à l’idée que je pose pour ce genre de clichés, pourquoi quiconque devrait en avoir ? Et surtout, pourquoi ce que je fais de mon corps devrait rejaillir sur lui, et devenir un sujet de conversation acceptable en haute société ?
Non, je suis confiance, rien ne peut mal se passer. « On va être en retard, tu veux que je t’aide à faire ton nœud papillon ? » Le gala de ce soir est d’assez haut standing pour qu’il ait troqué son éternelle cravate au profit de cet accessoire, plus distingué encore. « Je sais pas si on te l’a déjà dit, mais t’es particulièrement mignon quand t’es sur ton trente et un. » J’esquisse un sourire malicieux, en me glissant derrière lui. De mon côté, j’ai mis toutes les chances de mon côté, j’ai choisi ma tenue en m’assurant qu’elle ne tendrait aucun bâton pour nous battre, l’Italien et moi. Le col de robe or griffée que j’ai enfilé est particulièrement sage : chaque centimètre carré de la peau de ma poitrine est couvert. J’ai certes choisi de dévoiler mes jambes, mais la robe n’est pas assez courte pour être jugée de vulgaire, ni même sexy ou osée. « Je sais que j’ai déjà posé la question mais… » Je suis un peu plus hésitante, certes consciente que je m’engage sur une pente glissante mais, surtout, encore marquée par ce qu’il s’est passé l’an dernier, à cause des fameuses photos. « Redis moi encore une fois que t’es certain qu’il sera pas là. » Je ne le nomme pas mais nous savons tous les deux de qui il est question. Saül, qui d’autre ?
:
Damon Williams
l'héritier du vide
ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
what did the buffalo say to his son when he left for college ?:
AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
Qu’importait le temps qui pouvait passer, qu’importait les événements qui pouvaient y être associés, il semblait que certaines choses ne changeraient donc jamais. Ainsi, alors qu’il enfilait sa veste de costume dans le dressing et qu’il regardait d’un air distrait à travers le miroir plus par habitude que par réelle nécessité en cet instant, ses gestes se faisaient avec un mécanisme bien huilé presque à faire peur - mais lui permettait de garder un peu de contrôle sur une situation qu’il ne supportait pas avoir entre les mains. A chaque fois qu’il avait été invité à ce type d’événement, il avait été empli d’une nervosité à faire peur à qui pouvait s’en rendre compte. Il s’était dit qu’avec le temps, cela cesserait de se passer de la sorte et qu’enfin un jour, il arriverait à se préparer pour se rendre à un gala quelconque sans ressembler à un petit agneau apeuré. Il fallait croire que ce n’était pas tout à fait possible - et ce côté là de la réalité l’énervait, tout comme elle lui faisait peur, en réalité. Damon avait beau savoir parfaitement qu’il se rendait sur place pour lui-même, en tant que lui-même, il avait mille et un souvenirs d’une vie qui lui semblait désormais passée et révolue pour lui rappeler qu’avant, ce n’était pas ça. Pour lui mettre sur le devant de la scène des souvenirs qu’il aurait préféré oublier.
« On va être en retard, tu veux que je t’aide à faire ton nœud papillon ? » Mais ce soir, les choses seraient différentes. Rien que de poser son regard sur Megan s’approchant de lui et de lui tendre son noeud papillon, un petit sourire distrait accroché à ses lèvres, prouvait que tout serait différent cette fois-là. Dans ses souvenirs, ce n’était pas lui le personne principal sous le nom Williams, et il se devait de suivre dans la lumière sans faire de frasques, bien sur. Ce soir, tout serait différent. « Je veux bien, oui, merci. » Au moins, il aurait quelqu’un sur qui compter et qui n’irait pas ailleurs qu’à ses côtés pour une raison qui lui resterait obscur pour le restant de ses jours. « Je sais pas si on te l’a déjà dit, mais t’es particulièrement mignon quand t’es sur ton trente et un. » Au petit sourire malicieux de la jeune femme, il secoua légèrement la tête - ne sachant faire autrement que d’agrandir un brin son sourire également, malgré toutes les pensées et les ressentis qui se faisaient présents en son sein en cet instant. « Regarde qui me parle surtout. » Elle serait la plus belle femme de l’assistance, il pouvait parier d’avance et savoir gagner les enjeux posés sur la table avec une telle affirmation.
« Je sais que j’ai déjà posé la question mais… » Megan était désormais postée derrière lui pour lui donner un coup de main avec son noeud papillon, mais pouvait parfaitement voir son visage si elle le souhaitait car ce dernier se reflétait dans le miroir; ainsi, elle pourrait remarquer si cela lui chantait que la moindre trace d’amusement sur les traits du jeune italien avait disparu au même moment où elle avait repris la parole. Pas qu’il n’était pas heureux qu’elle lui parle, mais simplement que le début de sa phrase ne lui indiquait pas forcément une suite très appréciable. « Redis moi encore une fois que t’es certain qu’il sera pas là. » Bien sur qu’il n’y avait aucun besoin de préciser de qui elle parlait en cet instant. Surtout pas dans le contexte dans lequel ils se trouvaient présentement. Retenant un petit soupire, Damon finit par se tourner pour faire face à la blonde et pouvoir la regarder dans les yeux plutôt que par miroir interposé - tant pis pour le noeud papillon, il serait terminé après. « Je suis sur et certain qu’il ne sera pas là. » Comme dans ses paroles à elle, la précision ne serait pas apportée ici sur la personne concernée. « J’y serais pas allé même seul s’il avait répondu venir aussi. » Parce-que ce n’était pas seulement Megan qui ne souhaitait plus croiser le chemin de cet homme qui, même s’il avait réussi à leur apporter sur le plan personnel, les avait ruiné à petit feu pendant des mois et des mois. « Et il est pas question que je te laisse m’accompagner quelque part où il se trouve de toutes façons. Même si dit comme ça, ça fait un peu goujat. » Les dernières paroles étaient ajoutées sans réellement d’humour, puisqu’il se rendait bien compte que c’était réellement le cas: Megan faisait bien ce qu’elle voulait, mais de son côté il ne désirait plus qu’elle se retrouve dans une pièce, aussi grande cette dernière puisse t-être, où celui qui avait joué le rôle de père toute sa vie pouvait se trouver également.
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Megan Williams
la détresse des roses
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
RPs EN ATTENTE :
milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
make the music stop before it starts Megan Williams & @Damon Williams ☆ crédit/katysgifs
Aider Damon à choisir sa tenue après avoir enfilé la mienne, m’être maquillée et coiffée devient une habitude à laquelle je n’ai pas envie de déroger, pas parce que mon époux n’a pas de style – il se défend bien pour quelqu’un à qui son boulot ne laisse de toute façon pas beaucoup d’amplitude – mais parce que ce sont toujours des instants teintés d’intimité. Nous faisons chambre commune depuis notre retour de Bali, mais le dressing de Damon reste l’unique pièce de l’appartement dans lequel je ne mets pratiquement jamais les pieds pas par interdiction, mais par manque d’opportunité. La pièce a toutefois des allures d’inconnu, presque d’interdit et si nous n’avions pas été déjà légèrement en retard, j’aurais tenté d’entraîner Damon dans la passion pour baptiser cette pièce qui ne l’a pas encore été. Mais je me tiens : je garde mes mains pour moi ou plutôt je le faisais jusqu’à ce que Damon accepte un peu d’aide avec son nœud papillon. Il est parfaitement capable de le nouer seul, je n’ai pas le moindre doute à ce sujet. Mais l’aider me permets de m’approcher assez de lui pour pouvoir sentir la chaleur de son corps à travers sa chemise, de frôler la peau de sa nuque l’air de rien, tout en attachant la pièce en tissu et je ne boude pas ce plaisir. « Regarde qui me parle surtout. » - « Je vais plus passer les portes si tu continues comme ça. » Dans les faits, je suis habituée aux compliments sur mon physiques. Ce ne sont pas ceux qui me touchent le plus mais c’est toujours agréable, d’être mise en valeur par Damon après avoir eu trop longtemps le sentiment de ne pas être remarquée.
Mais même d’innocents jeux de séductions ne parviennent pas à effacer ma nervosité à l’idée de montrer à nouveau ma frimousse parmi les collaborateurs de MHI, presque un an après mon humiliation publique qui, comme Saül me l’a très bien fait comprendre, a fatalement eu des répercussions sur Damon. Ma honte a dû être sienne et si j’ai échappé aux regards en coin et aux remarques dégradantes, je doute que cela ait été son cas. Il n’en a que parlé, mais je suis persuadée qu’il ne l’a pas fait pour m’éviter de me sentir plus coupable que c’était déjà le cas, et parce qu’il a jaugé que j’allais déjà assez mal comme ça, après avoir été maltraitée par son propre père. « Je suis sûr et certain qu’il ne sera pas là. J’y serais pas allé même seul s’il avait répondu venir aussi. » Je pousse un soupir de soulagement en hochant la tête, désolée d’avoir certainement rouvert de vieilles blessures. Damon et son père – peut-être pas son géniteur, mais cet homme l’a élevé – ne se parlent plus et j’ignore à quel point le jeune homme souffre de la situation. Damon est un paradoxe ambulant : si sensible et ouvert pour parler de ses sentiments (la plupart du temps ils parlent pour lui), il garde aussi beaucoup de choses pour lui, par crainte certainement de déranger, je suppose. « Et il est pas question que je te laisse m’accompagner quelque part où il se trouve de toute façon. Même si dit comme ça, ça fait un peu goujat. » Je ne me sens pas surprotégée et je n’ai pas l’impression que cela fasse goujat. J’ai toujours aspiré à ce que l’on prenne soin de moi et Damon ignore surement à quel point. « Non, ça fait pas goujat. Ça fait plutôt mari parfait. » Je ne fais pas partie de ces femmes qui clament haut et fort leur indépendance. Pour Damon et pour avoir le sentiment que je suis aimée, je serais prête à me plier à bien des exigences et, dans le cas présent, je n’ai pas la moindre envie de me trouver en présence de Saül, de toutes façon. « Ta mère avait l’air de me détester un peu moins la dernière fois qu’on a mangé chez elle, c’est déjà ça. » Ou peut-être pas. Peut-être vois-je ce que j’ai envie de voir mais je m’en moque : je ne nourris pas le moindre espoir de devenir un jour la belle-fille adorée d’Elise Williams. Elle est cordiale, et ça me suffit. « Tu es certain que tu as envie que je vienne ? Je le prendrai pas mal si tu me dis que tu veux pas que je me rende à une soirée avec autant de gens de… » Autant de gens qui m’ont vue nue, observée sous toutes mes coutures avant de railler Damon aussi souvent qu’ils ont pu le faire. « De ton travail. » Je ne veux pas être un vilain secret. Je veux qu’il m’affiche fièrement à son bras alors en vérité, si, je serais profondément blessée s’il me demandait de rester en arrière pour cette fois. Cela fait suffisamment de temps, je n’ai plus envie de me cacher.
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Dernière édition par Megan Williams le Dim 9 Avr 2023 - 15:43, édité 1 fois
Damon Williams
l'héritier du vide
ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
what did the buffalo say to his son when he left for college ?:
AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
« Je vais plus passer les portes si tu continues comme ça. » Bien sur qu’en plus de celui qu’il portait déjà, la remarque de la jeune femme lui tira un nouveau petit sourire. Oh, ce n’était pas là un argument qui fonctionnerait pour qu’il cesse de lui faire des compliments dès qu’il en aurait l’occasion; il n’était pas du genre à être radin dans ce domaine d’ordinaire, mais il était vrai qu’il se retrouvait à être particulièrement généreux quand il s’agissait de Megan - autant parce-qu’il savait à quel point cela pouvait lui faire plaisir d’en recevoir que parce-qu’il y trouvait une certaine satisfaction à les formuler à haute voix, ces compliments. « Pour de vrai, c’est une très jolie robe. » Elle pourrait porter un sac poubelle qu’elle serait toujours aussi belle, mais son choix devait être souligné pour ce soir - et malheureusement, ce n’était pas forcément pour les bonnes raisons. Pas que ce soit elle qui soit en tort, loin de là, mais parce-que cette soirée avait forcément un gout particulier et un brin amer pour tout le monde, surement.
Puisque le visage de Megan n’avait pas été revu au sein de la MHI ou de toute chose s’y apparentant depuis que les collaborateurs de l’entreprise avaient pu apposer leurs yeux et leurs commentaires sur des photos que la blonde aurait préféré ne pas révéler dans de telles conditions. Damon n’était pas idiot: il savait que son inquiétude quant à la présence de Saül découlait également de cet épisode là, et des conséquences que ce dernier pouvait avoir sur le comportement de autres personnes présentes ce soir. Il était certain cependant: son père ne serait pas là ce soir; de toutes façons, il n’était plus souvent aperçu au sein des locaux de la MHI, et n’aurait plus à l’être au fil des mois qui s’écouleront. « Non, ça fait pas goujat. Ça fait plutôt mari parfait. » Son sourire était un brin moins volontaire que celui qu’il avait pu porter jusque là. « C’est pas le but. Vraiment, je te proposerais pas de venir avec moi si je sais qu’il est là. C’est… pas envisageable. » Il soupira légèrement sur les derniers mots, soupire qui marquait à quel point il pouvait toujours être autant désolé quant à tous les aspects de cette situation. « Ta mère avait l’air de me détester un peu moins la dernière fois qu’on a mangé chez elle, c’est déjà ça. » Il était vrai qu’Elise avait commencé à se montrer un peu moins amère envers Megan qu’elle avait pu l’être lors de leur rencontre. « C’est parce-qu’elle sait voir que tu me rends heureux. » Surtout qu’elle en a assez quelque-chose à faire pour le remarquer auraient été les mots parfaits à être ajoutés ici, mais Damon ne souhaitait pas pousser de trop le bouchon pour aujourd’hui. Sa mère saurait apprécier la blonde à sa juste valeur avec le temps, juste parce-qu’elle ne se verrait pas faire autrement que des efforts pour son fils: c’était aussi simple que cela. Si Damon n’avait pas gagné au change avec Saül, au moins il n’avait pas à se plaindre de la façon dont Elise le traitait de son côté, c’était toujours ça de pris.
« Tu es certain que tu as envie que je vienne ? Je le prendrai pas mal si tu me dis que tu veux pas que je me rende à une soirée avant autant de gens de… » Elle hésita un instant. « De ton travail. » Pendant de longues secondes, Damon regarda le visage de la jeune femme sans dire un mot. Oh, bien des pensées se bousculaient dans son esprit, mais celles qui ressortaient le plus et qui avaient vocation à être dites dans cette discussion étaient bien moins nombreuses - si bien qu’en réalité, il n’hésita pas un instant sur ce qu’il voulait répondre aux paroles de Megan. « C’est même pas juste une question d’avoir envie que tu viennes ou non: j’irai pas si tu viens pas avec moi. » Parce-que qu’en réalité, il n’avait presque plus aucune bonne raison de se rendre sur place, surtout avec les événements des derniers mois et la façon dont les choses entre Saül et lui au sujet de l’entreprise avaient tourné. Cependant, il avait conscience que les efforts qui lui restaient à faire n’étaient pas bien nombreux désormais, et dans peu de temps il passerait la porte de la tour de verre une bonne fois pour toutes et n’avait pas l’intention de se retourner pour y jeter un dernier regard. « Tu sais très bien à quel point j’en ai marre de tout ça, je cherche plus à te le cacher. » Il avait tenté, mais au fil des discussions elle avait pu voir l’ampleur de l’ombre que représentait la MHI sur Damon; et surtout, à quel point il était à deux doigts d’imploser au sein de cette mascarade. De nos jours, avec les termes utilisés et existants, il était possible de dire qu’il était au bord du burn-out. A vingt-deux ans, ô joie. « C’est aussi surement la dernière soirée où j’ai besoin de me rendre sur place et après je serai tranquille. Tout ça sera terminé. Alors, y’a pas d’autres versions de cette soirée où t’es pas à mes côtés. » Esquissant une petite moue, il finit par passer ses bras autour de la taille de la jeune femme pour l’attirer contre lui, et poser son front contre le sien. « Je m’en fous d’eux, vraiment on fait une apparition, on profite des petits fours et du champagne, et on rentre. » Rouvrant les yeux qu’il avait fermé un instant, Damon plongea ses azurs dans celles de sa femme. « Si tu préfères pas y aller, que t’as pas envie, qu’importe la raison t’as qu’à me le dire. Ma présence sur place est plutôt de type attendu et obligatoire, mais si tu veux pas y aller, c’est toi qui passe en priorité sur eux. » Encore une fois: c’était aussi simple que ça. A sa petite moue, il ajouta un mince sourire en coin. « Mais petits fours et champagne à volonté. »
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Megan Williams
la détresse des roses
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
RPs EN ATTENTE :
milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
make the music stop before it starts Megan Williams & @Damon Williams ☆ crédit/katysgifs
« Pour de vrai, c’est une très jolie robe. » Oh, elle peut. Ce n’est pas parce que je n’ai plus à me soucier du prix des choses ou de manquer un jour de quoi que ce soit que je ne les vois même plus. Des années à faire attention à la moindre dépense font systématiquement dévier votre regard sur les étiquettes au moindre achat et, bien que je puisse me le permettre, il y a toujours des fois où je manque de m’étrangler lorsque je rentre dans une boutique de luxe et que je réalise le prix de certaines pièces. J’aime croire que je suis à vie immunisée contre ce syndrome qui frappe souvent les gens qui vivent dans le luxe : ne plus réellement connaître le prix des choses, ne pas avoir la moindre idée de la valeur de leur argent. Elise Williams est comme ça ou, en tout cas, c’est ainsi que je la perçois et cela ne m’aide pas à l’apprécier, ma belle-mère. Elle a toujours vécu dans l’opulence et ne réalise pas que, pour certain, il ne s’agit pas seulement de faire quelques sacrifice mais que, parfois on est pas toujours certain de pouvoir payer son loyer si on ne saute pas les repas du soir. Je suis sortie de la précarité avant de rencontrer Damon grâce à un boulot souvent décrié. Mais je n’oublie pas d’où je viens. Toutefois, la sommes de mes réflexion ne se matérialise que par un « Merci » et un baiser que je dépose sur les lèvres de Damon. « Pas un peu trop sage ? » J’esquisse un sourire amusé et provocateur. Bien sûr qu’elle l’est, mais il est hors de question de développer le pourquoi maintenant.
« C’est pas le but. Vraiment, je te proposerais pas de venir avec moi si je sais qu’il est là. C’est… pas envisageable. » Soulagée, je hoche la tête et je l’attire contre moi. « Je sais. » Et puisque ce soir, notre courageux chien de garde (non) restera à la maison, je m’en remets entièrement à Damon pour tenir tête à son père s’il rendait à ses anciens collaborateurs une visite surprise. « S’il débarque, on quitte la soirée dès l’instant où il passe les portes. » Je l’affirme, mais j’aimerais voir Damon le confirmer à voix haute pour éteindre mes peurs et faire décroître ma nervosité. « C’est parce qu’elle sait voir que tu me rends heureux. » C’est parce qu’elle a surtout compris que je n’irais nulle part, il me semble à moi. « Attends que tu me mettes enceinte, on verra si elle est toujours aussi heureuse pour nous ! » La phrase n’était qu’une blague, une blague vouée à pointer du doigt le fait que, à mon sens, Elise me tolère puisqu’elle espère encore que je ne sois pour Damon qu’une passade, une tocade temporaire. Toutefois, mes joues rougissent d’avoir abordé sans vouloir un sujet comme celui-ci. Il n’a jamais été question dans mon esprit de vouloir donner à mes paroles le moindre sérieux, il n’a jamais été question non plus de chercher à le piéger pour aborder délicatement un sujet que je n’ose pas aborder plus sérieusement. Alors, je change de sujet. Je recentre la conversation sur la réception du soir, je sonde Damon pour savoir si ma participation le trouble d’une façon ou d’une autre, s’il estime qu’il serait plus raisonnable qu’il y ailler seul et que je reste à l’appartement puisque, quand nous aurons passé la porte de l’immeuble, il sera trop tard. « C’est même pas juste une question d’avoir envie que tu viennes ou non: j’irai pas si tu viens pas avec moi. » C’est adorablement kitch autant que c’est le genre de chose que j’ai toujours rêvé d’entendre. Damon attrape ma taille et moi, je pose mes mains sur ses épaules et mon front contre le sien. « Tu sais très bien à quel point j’en ai marre de tout ça, je cherche plus à te le cacher. » - « Je sais. Mais je sais aussi comment sont les hommes. » Ma plastique m’a habituée à avoir à faire à la partie la moins plaisante de leur personnalité, à la plus insultante. « Et pour la plupart d’entre eux, même si c’était y’a un an, y’a des chance que je sois encore la fille qu’ils ont vue nue dans leur boîte mail. » La tournure employée laisse à désirer, mais je n’apprends de toute façon rien à Damon. « Je voulais être sûre que tu le savais. » Parce que j’ignore si on lui fait encore de remarques ou si les choses se sont tassées. Et si c’est le cas, je n’ai pas envie de mettre à nouveau le feu aux poudres.
« C’est aussi surement la dernière soirée où j’ai besoin de me rendre sur place et après je serai tranquille. Tout ça sera terminé. Alors, y’a pas d’autres versions de cette soirée où t’es pas à mes côtés. » Damon mérite un environnement de travail plus sain, un où les autres soient bienveillants et où on l’autorise à être un débutant et à commettre des erreurs. La MHI n’aurait jamais pu être ça pour lui, en grande partie à cause de Saül qui a voulu faire de lui un homme quand ça n’a pas le moindre sens et qu’il était encore à moitié un enfant qui aurait dû être autorisé à le rester. Rassurée par ses mots, je passe mes bras autour de son cou pour l’embrasser. « Je m’en fous d’eux, vraiment on fait une apparition, on profite des petits fours et du champagne, et on rentre. » - « Monsieur Williams, quand vous me parlez comme ça je n’ai pas vraiment le choix. » Je n’ai pas envie de laisser les autre me faire oublier que j’aime ça, m’habiller, m’apprêter, me faire belle pour faire tourner les têtes et sortir en société. Être bien dans les bras de Damon, être bien avec Damon n’a pas entamé mon envie de plaire, juste de plaire parce que c’est flatteur, d’être remarquée. « Si tu préfères pas y aller, que t’as pas envie, qu’importe la raison t’as qu’à me le dire. Ma présence sur place est plutôt de type attendu et obligatoire, mais si tu veux pas y aller, c’est toi qui passe en priorité sur eux. » - « C’est tout ce que j’avais besoin d’entendre. » Que dans le cas hypothétique où j’aurais choisi la fuite, il aurait fui avec moi. « Mais petits fours et champagne à volonté. » - « J’étais déjà convaincue la première fois. » Et j’étais déjà convaincue à l’instant où m’a invitée à l’événement à vrai dire, me prouvant qu’il n’avait pas honte de m’afficher à son bras. « Et si c’est nul, on aura qu’à aller ailleurs. Tes collègues coincés en costume cravate ont pas le monopole de la bonne bouffe et des cocktails qui se la racontent. » A quand remonte notre dernier vrai rencard ? En avons-nous seulement déjà fait un, en dehors de cette parenthèse à Bali pendant laquelle tout a changé ? « Allez. Tu me brieferas sur à qui parler et qui éviter dans la voiture. »
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Damon Williams
l'héritier du vide
ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
what did the buffalo say to his son when he left for college ?:
AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
« Merci. » Elle déposa un doux baiser sur ses lèvres, auquel il répondit du bout des siennes. « Pas un peu trop sage ? » Bien sur que l’expression que prit son visage fut similaire à celle affichée désormais sur celui de la jeune femme. « A peine. » Elle l’était bien sur de trop, mais c’était peut-être le meilleur moyen qu’ils se sortent de cette soirée sans trop de dégâts - ou en mettant toutes les chances de leur côté pour que ce soit le cas. Ils ne sortiraient jamais indemnes d’un passage à la MHI, l’ambiance imprégnée dans cette société n’était pas propice à ce type de chose, mais au moins peut-être qu’ils pourraient rentrer chez eux ce soir sans s’être ajoutés une couche supplémentaire d’émotions négatives. Cela était également possible, d’ailleurs, parce-que Damon savait que son père n’était pas présent ce soir et n’avait pas prévu de passer une tête. Il n’aurait pas envisagé d’amener Megan avec lui, si ça avait été le cas. « Je sais. S’il débarque, on quitte la soirée dès l’instant où il passe les portes. » - « On déguerpira avant même qu’il ait la possibilité de nous apercevoir. J’ai aussi peu envie de croiser son chemin que toi, crois moi. » Pour des raisons qui n’étaient pas si différentes que ça, qui plus était; pour des raisons qui n’étaient en rien agréables à mentionner à haute voix.
« Attends que tu me mettes enceinte, on verra si elle est toujours aussi heureuse pour nous ! » De toutes les remarques que Megan aurait pu faire associées à Elise, Damon n’aurait pas pensé que ce soit celle là qu’elle pourrait prononcer en première intention. La surprise dut d’ailleurs se lire autant dans son regard que sur les traits de son visage, alors que ses sourcils s’levaient quelque peu et que ses joues viraient au rouge vif. Il n’en fallait d’ordinaire déjà pas beaucoup au jeune homme pour être gêné dans n’importe quelle conversation, mais là c’était viser très haut; il avait beau être à l’aise aux côtés de la blonde, il n’en était pas à l’être assez pour discuter de ce type de sujets - cela n’avait d’ailleurs rien à voir avec elle, mais c’était là une vérité de façon générale car il ne se sentait tout simplement pas prêt à envisager un tel avenir. Et c’était peut-être idiot, mais à être mis devant le sujet, il se sentait idiot de ne pas avoir pensé à cette partie là de la réalité plus tôt: bien sur qu’il s’agissait là d’une discussion importante, et qu’à leur place il était nécessaire d’avoir. Simplement, ils faisaient tant les choses dans le mauvais sens qu’ils prenaient un peu les choses comme elles venaient, comme ils le pouvaient. Etait-ce une façon de la part de sa femme d’aborder un sujet peut-être tabou pour elle, ou du moins de son point de vue, là où il n’y avait en réalité pas pensé une seule fois de son côté ? Bon dieu, il se sentait désormais presque engoncé dans son costume, avait un brin trop chaud à l’intérieur de la chambre.
De tous les moments où elle aurait pu aborder le sujet si cela était volontaire, Megan n’avait pas choisi le meilleur - mais étant donné qu’elle sembla finalement assez rapidement changer de sujet, Damon ne revint pas sur l’autre, préférant la tournure que prenait la conversation; finalement, parler de Saül et de la MHI, ce n’était pas si pire. Cela permettrait de faire redescendre d’un cran la température dans ses joues, et la couleur qu’elles portaient surement par la même occasion. « Je sais. Mais je sais aussi comment sont les hommes. Et pour la plupart d’entre eux, même si c’était y’a un an, y’a des chance que je sois encore la fille qu’ils ont vue nue dans leur boîte mail. » Il plissa le nez. « Je voulais être sûre que tu le savais. » De paire avec la première réaction, il fronça un brin les sourcils et grogna légèrement. « Je sais. » Pas qu’il était ravi de savoir, bien au contraire; simplement il assistait déjà au quotidien aux remarques, bien que finalement étonnement peu nombreuses, de ses collègues. Il savait parfaitement de quoi pouvaient être possiblement composées leurs remarques de la soirée - mais ce n’était pas pour autant que cette partie là représentait un frein à ses yeux. Disons que ce n’était pas lui qui serait gêné en tous cas, et qui courberait l’échine alors qu’aucun d’eux deux avait quelque-chose à se reprocher. « Ca change rien au fait que je veuille que tu sois à mes côtés. » Il resterait ferme sur cette idée. « Monsieur Williams, quand vous me parlez comme ça je n’ai pas vraiment le choix. » Même si son argument était les petits fours et le champagne, apparemment cela donnait un poids supplémentaire à son argumentaire. Et bien sur que cela lui tira cette fois-ci un petit sourire amusé. Ils disparaîtraient au premier signe de lourdeur de la part de n’importe qui, ou si Megan ne se sentait plus de naviguer au sein de cette soirée, c’était là au moins une promesse qu’il pouvait lui faire. « C’est tout ce que j’avais besoin d’entendre. » Il déposa un baiser chaste sur ses lèvres. « J’étais déjà convaincue la première fois. Et si c’est nul, on aura qu’à aller ailleurs. Tes collègues coincés en costume cravate ont pas le monopole de la bonne bouffe et des cocktails qui se la racontent. » - « C’est bien vrai ça. » Ils trouveraient même plutôt facile bonheur ailleurs, dans ce domaine. « Allez. Tu me brieferas sur à qui parler et qui éviter dans la voiture. » Il affichait un air déjà bien plus amusé, bien plus détendu aussi. « Facile ça: me parler à moi et éviter tous les autres. C’est ce que je compte faire avec toi. » Il comptait réellement faire acte de présence sans se forcer le moins du monde sur les efforts; c’était déjà énorme de sa part de venir alors que le contexte entourant sa présence à la MHI était lourd et controversé; bien sur que personne sur place ne serait au courant de tout ce que les rideaux pouvaient cacher, lorsque la pièce de théâtre était terminée, mais Megan et lui savaient - ça suffisait pour comprendre que ce n’était pas pour les bonnes raisons qu’il se rendait sur place, pas pour les bonnes finalités qu’il se forçait la main.
***
Ne sachant pas exactement combien de temps ils resteraient sur place, Damon n’eut pas d’autre choix que de congédier le chauffeur qui les avaient amené sur place pour le reste de la soirée. S’ils voulaient partir plus rapidement, pour une raison ou une autre, il leur faudrait donc commander une nouvelle voiture ou un taxi pour aller plus vite, mais tant pis. Une fois qu’ils furent tous les deux sortis de la voiture, se tournant dos à l’entrée du lieu de réception, Damon inspira longuement avant de planter son regard dans celui de Megan, apposant une de ses mains avec douceur contre son visage. « Je suis ultra nerveux, j’aime pas du tout ça, donc en fait je pense que je serais celui de nous deux qui en aurait marre en premier. » Ses émotions pouvaient se lire dans son regard, ce n’était pas là une grande surprise; et face à sa femme de toutes façons, il n’avait jamais cherché à cacher ce qu’il pouvait ressentir à l’intérieur. Cependant, à ce gala, les autres ne devaient pas être au courant des états d’âme de Damon Williams: il ne pouvait pas leur donner le peu de cartes en main qui lui restait, pas si facilement. « Je suis désolé d’avance, je suis pas le même quand je suis au boulot et je risque franchement d’être chiant à mourir. Promis, on rentre vite. » Il ne savait même pas qui il tentait de convaincre en cet instant, mais la réponse était surement lui-même. « Juste: ne lâche pas mon bras, je saurais pas tenir sans toi ce soir. » Presque comme un supplice, le jeune italien avait prononcé ces mots avant de se tourner pour tendre le dit-bras à hauteur de Megan, qu’elle puisse passer sa main dessus et ne plus déloger cette dernière pour tout le temps que cela serait nécessaire.
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Megan Williams
la détresse des roses
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
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joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
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morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
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milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
make the music stop before it starts Megan Williams & @Damon Williams ☆ crédit/katysgifs
« On déguerpira avant même qu’il ait la possibilité de nous apercevoir. J’ai aussi peu envie de croiser son chemin que toi, crois-moi. » Toute décision concernant l’odieux Saül Williams étant prise, mon cœur est apaisé. Cet homme, qui a été mon ticket d’entrée vers une vie meilleure et vers le cœur de mon petit ami slash mari, me terrorise et fait office de rappel constant du fait que, parfois, je suis capable d’aller trop loin, et que cela me met en danger. J’ignore si l’on peut considérer que je me suis assagie, mais j’ai toutefois réalisé que je n’étais pas prête à affronter certains types de conséquences. Heureusement pour moi comme pour Damon, l’homme d’affaires semble avoir décidé de se reconvertir dans la politique, surement à la recherche d’un peu plus de pouvoir qu’il en a déjà. Un désastre pour l’Australie, mais une aubaine pour son fils et moi, si on me demande mon avis.
Mes relations avec la mère du jeune homme, si elles ne sont pas aussi violentes que celle que j’entretiens avec son ex-mari, ne peuvent pas non plus être qualifiées d’agréables. Au mieux, Elise Williams me tolère et même le terme cordial semble exagéré en ce qui nous concerne. Du reste, imaginer la réaction de l’Italienne à l’annonce d’une grossesse reste une plaisanterie, une façon de grossir le trait et de pointer du doigt le peu d’affection et d’estime qu’elle ressent malgré tout pour moi et, à aucun moment, je ne tente de faire passer un quelconque message. Pourtant, les joues de Damon prennent immédiatement une teinte rouge et il semble avoir avalé quelque chose de travers. Incapable de prononcer le moindre mot il m’observe avec la bouche ouverte, comme s’il était un poisson sorti de son bocal en train d’agoniser, et je me demande ce qu’il croît. Se dit-il que je tente de faire passer un message ? Que je lui partage mon envie d’envisager de fonder une famille, et ce dès maintenant ? Je veux des enfants ; plus que ça, je veux une chance de faire mieux que mes parents. Mais je ne les envisage pas maintenant, pas plus que je n’envisage ma relation avec Damon assez mature pour que nous échangions sur le sujet. Alors, si sa réaction reste vexante – l’idée a l’air de le rebuter plus que je ne l’imaginais – je le rassure avant de changer de sujet. « Respire Damon. C’était une plaisanterie. » Et rien de plus. Passer à autre chose, c’est aussi l’occasion pour moi de masquer mon malaise face à sa réaction qui, à mon sens, était disproportionnée.
Certains hommes auraient honte de se présenter avec une femme comme moi à leur bras, pas parce que je suis fade – au contraire, je me sais envoûtante, je ne suis pas assez modeste pour prétendre le contraire – mais parce que les clichés vieux de plusieurs années qui ont été mis entre les mains de ses collègues de travail sont certainement qualifiés de vulgaires par ses dernières. Je suis une femme pulpeuse, une femme pulpeuse ayant fait des photos de nu et je ne suis pas assez naïve pour ne pas imaginer que j’ai été raillée, et Damon avec moi, pendant des mois. Mais malgré tout ça, Damon semble déterminer et je suis plus touchée qu’il ne peut l’imaginer. « Je sais. Ça change rien au fait que je veuille que tu sois à mes côtés. » Il est ferme, et j’esquisse un sourire qui veut autant dire merci que tu ignores ce que ça représente pour moi. « C’est bien vrai ça. » J’explose de rire, avant de finir de lisser le nœud papillon de mon époux de lisser sa veste de costume d’un dernier glissement de mes doigts sur le tissu, et de reculer d’un pas. « Facile ça: me parler à moi et éviter tous les autres. C’est ce que je compte faire avec toi. » - « C’est une stratégie qui me semble acceptable. » Et je ne vais pas m’en plaindre : je me fiche de sociabiliser avec ces hypocrites en costume qui appartiendront bientôt au passé pour Damon. Mais je l’aurais fait pour lui.
***
La voiture qui nous a conduit à la soirée s’éloigne et, avec elle, nos espoirs de nous échapper tout de suite, avant même d’avoir mis un seul pied dans ce guet-apens. Mais Damon se doit de faire acte de présence et, moi, j’essaie chaque jour un peu plus d’être moins égoïste. Les rechutes sont récurrentes et nombreuses mais, au moins, je parviens à faire certaines choses en pensant à d’autres personnes que moi-même. Le regard à moitié dans le vague, à moitié dirigé contre la façade du bâtiment au pied duquel nous nous trouvons, je pousse un soupir avant de prendre mon courage à deux mains. Mais celle de Damon noué à la mienne m’arrête et je me retourne pour l’observer et constater qu’il n’a pas l’air prêt, qu’il a besoin d’une minute de plus. Je ne peux m’empêcher de penser que c’est à cause de moi : il voit ces gens tous les jours, il ne devrait pas être angoissé à l’idée d’ajouter une soirée à ça. La seule différence, c’est que je suis là et que ma présence est loin d’être anodine. « Je suis ultra nerveux, j’aime pas du tout ça, donc en fait je pense que je serais celui de nous deux qui en aura marre en premier. » - « Tu sais composer avec eux, non ? Ça devrait être une promenade de santé pour toi. » Certes, en tant que jeune recrue il ne doit pas croiser les collaborateurs les plus anciens et proches de son père tous les jours, mais il avance malgré tout en terrain connu. « C’est moi qui devrait être nerveuse. Je vais trouver tout ce qui sort de leur bouche assommant et incompréhensible. » Je lui adresse un clin d’œil, et dépose un baiser sur ses lèvres du bout des miennes. « Je suis désolé d’avance, je suis pas le même quand je suis au boulot et je risque franchement d’être chiant à mourir. Promis, on rentre vite. » - « Mais non, ça te concerne pas toi. Je suis certaine que tout ce que tu as à dire sur ton boulot est pa-ssio-nant. » Je lui adresse un clin d’œil, puis je lisse ma robe pour prendre quelques secondes de plus : un peu de recul avant le grand saut. La petite voix dans ma tête me rappelle que je suis loin d’être aussi intelligente et éduquée que la plupart des gens présents ici, mais je tente de la faire taire en me mordant l’intérieur de la joue. « Juste: ne lâche pas mon bras, je saurais pas tenir sans toi ce soir. » - « C’est promis. Et toi, remplis les blancs quand on me parle et quand tu vois sur mon visage que j’ai pas la moindre idée de ce qu’on est en train de me raconter. » Je suis gênée à cette idée, gênée au point de lâcher sa main pour jouer nerveusement avec mes doigts.
A peine entrés, nous sommes accaparés par un homme en costume d’une quarantaine d’années qui s’approche de nous, sa femme à son bras – tous les collègues de Damon se ressemblent tous, cette soirée et d’une conformité affolante – et, avant qu’il n’arrive à notre niveau, je me penche discrètement vers Damon pour lui parler à voix basse. « N’hésite pas à me glisser les noms que je suis supposée connaître à l’oreille. » Puisque je n’ai pas la moindre idée de l’identité de qui que ce soit ici, je ne connais que les visage qui ont participé à la campagne dont j’ai été l’égérie, et je ne les aperçois pas, pour l’instant. « Damon ! » L’homme tend sa main au jeune Italien, de toute évidence pour qu’il la serre en retour. « Et vous êtes venu accompagné pour une fois, à ce que je vois. » Si j’en crois le discret sourire en coin de notre interlocuteur, il semblerait qu’il fasse parti des chanceux ayant eu mes photos entre les mains. Que le massacre commence.
:
Damon Williams
l'héritier du vide
ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
what did the buffalo say to his son when he left for college ?:
AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
Bien sur que le silence de Damon était trop long, trop pensant, et pas réellement adapté à la situation. Megan avait parlé d’un sujet qui n’aurait pas du le faire réagir de la sorte, surtout qu’elle le faisait sous le ton de la plaisanterie afin d’alléger une conversation qui avait cruellement besoin de l’être; malheureusement c’était l’effet inverse qui se produisit, réduisant l’italien à une boule de nerfs particulièrement secouée en cet instant. « Respire Damon. C’était une plaisanterie. » Soupirant de façon désorganisée, esquissant un sourire on ne pouvait plus crispé, il se frotta l’arrière de la nuque d’une main sans réussir à ajouter le moindre mot pour autant. Il y avait tant de raisons pour lesquelles il n’était pas prêt à aborder un tel sujet, le premier étant tout simplement parce-qu’il n’avait pas pensé qu’effectivement il serait mis à ce moment là de leur relation et dans de telles conditions sur le tapis. Heureusement pour lui, et pour le moment c’était peut-être la meilleure des choses à faire, Megan redirigea l’attention de la conversation vers un autre sujet qui ne demandait pas au blondinet d’ouvrir son coeur sur l’idée de devenir père. Rien qu’à le formuler de la sorte dans son esprit, il sentit une slave de frisson parcourir son échine. Se concentrer sur le reste de la conversation, faire fi du reste pour le moment: ils avaient assez de pain sur la planche comme ça. Une longue soirée les attendait, et c’était sur cette partie là de la réalité qu’il se devait de se concentrer; le monde des requins était le pire, surtout celui anciennement dirigé par celui dénommé Crocodilo. Ils allaient devoir affronter regards de travers et ceux emplis de dédain, mais Damon continuait de se persuader que c’était pour la bonne cause: après cette soirée, il serait enfin défait de ce type d’engagements et il n’aurait plus à prétendre apprécier les instants passés sur place. Et puis cette fois, il ne ferait pas face à cette jungle seul, et c’était ce qui le rassurait: il ne comptait pas porter volontairement son attention ailleurs que sur Megan. « C’est une stratégie qui me semble acceptable. » Même si elle râlerait surement parce-qu’elle avait fini depuis longtemps d’ajuster son rouge à lèvres, il lui vola un baiser avant de se diriger vers la sortie de l’appartement.
***
Si c’était plus l’agacement de devoir se rendre à cette soirée qui avait primé chez Damon jusque maintenant, une fois devant la bâtisse il se sentait plus nerveux que n’importe quoi d’autre. Et comme de toutes façons, ça allait rapidement se voir sur les traits de son visage que quelque-chose le tracassait, autant le formuler à haute voix dès maintenant pour au pire tenter d’évacuer une partie de ce stress en parlant de ce dernier. « Tu sais composer avec eux, non ? Ça devrait être une promenade de santé pour toi. » Pinçant les lèvres, il soupira. « J’ai l’habitude, mais j’ai aussi l’habitude de toujours être super neveux avant d’arriver quelque-part. Jusque maintenant, c’était la peur qui me poussait à pas manquer ce type de rendez-vous… » Ses yeux fixaient l’entrée du bâtiment, avec un mélange d’émotions qu’il n’appréciait que très peu. Jusque maintenant, il se rendait à ce type d’événements organisés par la boite parce-qu’il n’avait pas le choix et qu’il avait davantage peur des remontrances de Saül que d’affronter le reste des collègues qu’il pouvait potentiellement croiser tous les jours et ceux qu’il ne voyait qu’une fois l’année. Aujourd’hui, n’ayant pas besoin d’avoir peur puisque son paternel ne serait pas sur place, c’était l’angoisse qui prenait le dessus. « C’est moi qui devrait être nerveuse. Je vais trouver tout ce qui sort de leur bouche assommant et incompréhensible. » Le petit clin d’oeil de la part de Megan et le baiser allant de paire avec tirèrent un petit sourire en coin à Damon. C’était exactement pour ce type de raison qu’elle était à ses côtés ce soir et qu’il n’aurait pas été capable de venir sans elle. « Tu vas t’en sortir comme une chef toi. » Elle n’avait pas grandi dans ce type de milieu, pourtant elle semblait plus adaptée que Damon qui lui avait appris dès son plus jeune âge à se conformer au moule conçu pour justement participer à des soirées de cette sorte. C’était d’ailleurs ce moule là qui faisait de lui un autre homme, et le change qu’il donnait quand c’était le cas n’était pas appréciable, à ses yeux; il préférait prévenir sa femme de suite pour ne pas qu’elle soit étonnée si son comportement était bien différent de ce qu’elle pouvait connaitre. « Mais non, ça te concerne pas toi. Je suis certaine que tout ce que tu as à dire sur ton boulot est pa-ssio-nant. » Il leva les yeux au ciel mais avec humour. « Tu peux pas savoir. » - « C’est promis. Et toi, remplis les blancs quand on me parle et quand tu vois sur mon visage que j’ai pas la moindre idée de ce qu’on est en train de me raconter. » Là où la main de Megan se déroba à la sienne lorsqu’elle prononça ces mots, là où Damon voyait déjà qu’elle se mettait nerveusement à jouer avec ses doits, il prit les deux mains de Megan entre ses paumes pour les embrasser. Ce fut à son tour de lui adresser un petit clin d’oeil complice. « Promis, je te laisse pas tomber. Mais si ça peut te rassurer, je sais pas quoi les gens parlent la moitié du temps non plus, c’est pour ça que j’ai appris plein d’autres trucs à côté sur d’autres sujets pour détourner les conversations. » Parce-qu’il avait appris qu’il fallait toujours savoir quoi répondre en toutes circonstances; alors, à défaut de savoir véritablement le faire, il était devenu expert pour converser sur d’autres sujets qu’il maitrisait davantage.
Oh, que la soirée allait être longue - il pouvait le prédire alors qu’ils venaient tout juste de passer le seuil du lieu de réception et que déjà, un couple se rapprochait d’eux. « N’hésite pas à me glisser les noms que je suis supposée connaître à l’oreille. » Alors il se pencha à l’oreille de Megan. « Powell, George et… Karen je crois. Ennuyants à mourir les deux, elle va te détailler de la tête aux pieds et juger toutes tes manières parce-qu’elle est bloquée au siècle dernier. » Ils avaient fait quelques pas et arrivaient désormais à hauteur du dit-couple, et Damon avait déjà dégainé son plus beau sourire. « Damon ! » - « George, ça fait longtemps. » Il fit sa plus brave poignée de main à l’homme, avant d’attraper délicatement la main de sa femme pour y déposer un baiser. Vraiment, il connaissait les bonnes manières, et c’était peut-être pour ça que l’homme face à eux les accueillait aussi bien finalement. « Et vous êtes venu accompagné pour une fois, à ce que je vois. » Garder son sourire en toutes circonstances était la conduite de mise. « Bien sur, il n’était pas question de venir sans ma femme à ce type d’événement. Tout comme vous. » Parce-que si George portait un regard qui en disait long sur Megan, il ne fallait pas qu’il oublie que de son côté, l’italien côtoyait la boite depuis assez longtemps pour connaitre certains secrets qui feraient mieux de rester cachés. Comme par exemple le fait que ce n’était pas toujours madame Powell qui se trouvait au bras de son cher et tendre, selon les événements. « Ca fait longtemps qu’on vous a pas croisé, madame Powell. Ravi de voir que vous vous portez bien que la dernière fois. » Et au petit sourire crispé que gardait George, il avait compris que Damon savait; c’était suffisant pour au moins calmer ce badaud là. « Oh, mon petit, je vais toujours bien voyons. Vous semblez bien vous porter aussi, à ce que je vois. » Elle jeta un regard à sa femme, mais pour d’autres raisons - celles qu’il avait précisé à Megan avant qu’ils n’arrivent à la hauteur du couple. « Votre femme, alors ? Vous ne la présentez pas ? » Il se retint de lever les yeux au ciel, mais obtempéra pour ne pas jeter des froids là où les combats n’étaient pas spécialement utiles. « Karen, je vous présente Megan, ma femme. » Il se décala d’un pas, pas plus, pour que Megan puisse être mise en avant cette fois-ci.
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Megan Williams
la détresse des roses
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
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« J’ai l’habitude, mais j’ai aussi l’habitude de toujours être super neveux avant d’arriver quelque-part. Jusque maintenant, c’était la peur qui me poussait à pas manquer ce type de rendez-vous… » Je n’avais jamais vu la chose sous cet angle-là. J’ai compris que le boulot qu’il fera encore jusqu’à la fin de l’année n’était pas forcément en adéquation avec ses aspirations, mais j’ignorais que c’était la peur qui le motivait à se présenter au travail tous les matins. Craignait-il les répercutions et un potentiel coup de sang violent de son paternel ? Fait-il simplement allusion à la peur de le décevoir ? Je réalise qu’il y a encore beaucoup de choses que je ne sais pas, peut-être parce que lui-même n’en a pas conscience et notamment celle-ci : Damon passera certainement plusieurs années à tenter d’accepter et d’être assez soigné pour pouvoir aller de l’avant, lorsqu’il s’agit de sa relation avec son père. Avoir découvert qu’il ne l’est pas génétiquement n’y changera rien, c’est Saül qui l’a élevé. C’est lui qui est et restera certainement sa figure paternelle, et le seul exemple auquel il pourra se référer. A partir de là, ce n’est guère surprenant que même une blague au sujet d’une potentielle grossesse le mette dans tous ses états. « On s’assurera que c’est l’une des dernières à laquelle t’es obligé de participer dans ce cas. » Et je serai la première à lui rappeler la façon dont il se sent aujourd’hui si d’aventure il était un jour tenté de sacrifier ses rêves et une carrière épanouissante au profit de sécurité financière, de statut au que sais-je. Bien sûr, il y a peu de chance que j’applique ces mêmes préceptes à moi-même. Le statut, c’est l’une des choses qui compte le plus à mes yeux. Je suis convaincue que, de toute façon, sans lui je ne peux être heureuse. « Tu vas t’en sortir comme une chef toi. » - « Je serais pas aussi confiance si j’étais toi. » Mais je sais faire semblant, j’ai appris à prétendre et mentir avant même d’épouser Damon et d’être forcée de le faire chaque jour pendant une année entière. Damon qui, en parfait mari devenu petit-ami – et non l’inverse – attrape maintenant mes deux mains pour y déposer un baiser avec tendresse. « Promis, je te laisse pas tomber. Mais si ça peut te rassurer, je sais pas quoi les gens parlent la moitié du temps non plus, c’est pour ça que j’ai appris plein d’autres trucs à côté sur d’autres sujets pour détourner les conversations. » De toute façon, j’ai l’intention de me fier à lui, à ses réflexes, et de le laisser me guider au travers de cette soirée. Je n’ai pas assez de fierté pour m’offusquer de le laisser prendre l’intégralité des initiatives dans ce monde de requin dans lequel je suis loin d’être à l’aise.
« Powell, George et… Karen je crois. Ennuyants à mourir les deux, elle va te détailler de la tête aux pieds et juger toutes tes manières parce-qu’elle est bloquée au siècle dernier. » George et Karen donc, arrivent à notre niveau et ma gorge me semble bien sèche, d’un coup. J’ai toujours voulu être invitée et présente à ce genre d’événement. J’ai toujours considéré que c’était ça, de compter. Mais au fond, je ne me suis jamais demandé si j’en étais capable. Si j’étais assez intéressante pour passer pour autre chose qu’une intruse dans ce genre de soirée, dans ce genre de cercle. Le décolleté de ma robe, qui monte décidément bien trop haut, me donne l’impression que je vais m’étouffer. Il me suffit d’un coup d’œil à l’homme qui nous salue à présent pour savoir qu’il sait exactement qui je suis. A l’époque et lorsque j’ai posé pour ces photos, je m’étais bien gardée de tenter de personnifier les hommes qui les verraient. Réaliser que, dans le lot, il y a certainement des types mariés et en route pour la cinquantaine me révulse, d’un coup. « Bien sur, il n’était pas question de venir sans ma femme à ce type d’événement. Tout comme vous. Ça fait longtemps qu’on vous a pas croisé, madame Powell. Ravi de voir que vous vous portez mieux que la dernière fois. » Heureusement, Damon ne me laisse pas le temps de tenter de répondre et donc, de me décomposer. A son bras, c’est un sourire poli que j’arbore et que je tente de garder fièrement accroché à mes lèvres. Je ne fronce pas les sourcils mais je note la touche de provocation de Damon, assez intelligente pour comprendre ce qu’il sous-entend dès lors que je réalise que George Powell semble sur le point de s’étouffer avec son petit four. L’infidélité est un fléau qui fait rage, dans des milieux comme celui-là et, grâce à Scott, je suis bien placée pour le savoir. « Oh, mon petit, je vais toujours bien voyons. Vous semblez bien vous porter aussi, à ce que je vois. » La quadragénaire me détaille de la tête au pied avec, sur le visage, à peu près le même air qu’avait Elise la première fois qu’elle a posé le regard sur moi, et toutes celles d’après. Un dégoût non dissimulé, donc. « Votre femme, alors ? Vous ne la présentez pas ? » Entendre parler de soi à la troisième personne est assez déroutant pour que, à mon tour, je plisse le nez et esquisse une grimace fugace, qui disparaît aussi vite qu’elle est apparue sur mon minois. « Karen, je vous présente Megan, ma femme. » J’arrive à composer à nouveau un sourire poli, avant de faire enfin entendre le son de ma voix. « Enchantée. Damon parle souvent des soirées et galas organisés par son entreprise, j’étais curieuse et pressée de découvrir ça par moi-même. » Mais jusque-là, pour des raisons connues de George, Damon et moi, je me suis abstenue pour éviter de jeter de l’huile sur le feu. Il y a de grandes chances pour que Karen ne sache rien : lorsqu’on se rince l’œil sur les photos de nu d’une jeune fille qui vient d’avoir dix-huit ans, j’imagine qu’on n’en informe généralement pas son épouse. « Le mariage est tout récent, alors ? » C’est plus compliqué que ça. « Non, nous sommes mariées depuis plus d’un an. » Elle échange un regard étonné avec son époux, qui semble résolu à ne pas faire la moindre réflexion, avant de s’adresser directement à Damon. « Vous nous la cachiez pendant tout ce temps, Damon ? » Pas exactement. Peut-être.
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Damon Williams
l'héritier du vide
ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
what did the buffalo say to his son when he left for college ?:
AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
« On s’assurera que c’est l’une des dernières à laquelle t’es obligé de participer dans ce cas. » Soupirant légèrement, Damon opina du chef. « Ce sera la dernière dans tous les cas. » Il ne comptait en aucun cas participer à ce type d’événement là de ci-tôt, que ce soit pour la MHI ou pour n’importe quelle autre occasion en réalité. Il participait à des représentations théâtrales de ce genre depuis qu’il était tout petit, et même à l’époque où les gens étaient plutôt admiratifs du calme dont il faisait preuve et de ses grands yeux bleus comme son père, il n’appréciait guère ce qui se tramait autour de lui. En grandissant, cela n’avait pas changé - et maintenant, il avait au moins la prétention de pouvoir choisir s’il désirait y participer ou non. Sans Megan à ses côtés, autant ce soir que de façon générale, il n’aurait surement pas réussi à arriver à une telle conclusion ni à se rendre compte à quel point son entourage était pourri jusque la moelle. « Je serais pas aussi confiance si j’étais toi. » Reposant son regard sur la jeune femme, il étira un petit sourire. « Je sais que je peux l’être. » Elle était bien plus solide que lui, elle avait une force de caractère qu’il enviait souvent; elle saurait se sortir de toutes les situations qui pourraient se présenter à eux aujourd’hui, il n’avait pas le moindre doute. Il s’apprêtait à être un personnage de soutien à ses côtés, là où il ne saurait traverser le reste de la soirée sans qu’elle ne soit accrochée à son bras. Pour bien des choses, finalement, ils s’étaient bien trouvés - même s’ils n’avaient jamais cherché à faire en sorte que leurs chemins se croisent.
Damon n'avait jamais été du genre à colporter les ragots au sein de l’entreprise, en revanche il avait rapidement appris depuis son plus jeune âge que c’était là le genre de choses importantes à retenir et à stocker dans un coin de son esprit. Aujourd’hui, cette habitude servait enfin car là où George Powell avait commencé à s’élancer sur un terrain qu’aucun du jeune couple souhaitait aborder, il avait pu parer rapidement avec des sous-entendus qui avaient presque failli faire étouffer le vieille homme. Il dut retenir un petit sourire, mais il était satisfait de son coup; surtout que Karen, à ses côtés, ne semblait pas soupçonner ce que pouvaient réellement signifier les paroles de Damon. Tant mieux: il avait donc un avantage pour le moment non-négligeable. Ce fut de toutes évidences madame Powell qui continua avec politesse la discussion, souhaitant être présentée à Megan - ce que l’italien fit rapidement. « Enchantée. Damon parle souvent des soirées et galas organisés par son entreprise, j’étais curieuse et pressée de découvrir ça par moi-même. » - « Le mariage est tout récent, alors ? » Elle faisait donc partie des personnes qui avaient évincées de la liste des invités au vin d’honneur, apparemment, puisque sinon elle se serait rappelée que ce n’était plus si récent que ça, l’union entre les deux jeunes gens. Ou alors, elle avait déjà oublié le visage de Megan - ce qui pourrait être tout à fait exact également. « Non, nous sommes mariées depuis plus d’un an. » Et à voir le regard qu’elle lança à George, c’était donc la première catégorie à laquelle elle appartenait: ceux qui n’avaient pas entendu parler de l’union. Etrange, puisque Damon était presque sur que la nouvelle avait fait le tour de tous les bureaux - George avait-il cherché à garder sa femme loin de ce type d’événement ? « Vous nous la cachiez pendant tout ce temps, Damon ? » C’était donc sur lui que Karen avait finalement reporté son attention. Il haussa un sourcil, laissa son regard un instant se porter sur sa femme, avant de retourner un sourire plein de fierté vers madame Powell. « Oui. » Il n’avait pas besoin de tant mentir que ça, en réalité; il lui suffisait de réinventer les raisons qui avaient poussé Damon à ne pas se montrer avec Megan à son bras lors de ce type d’événements et le tour serait joué. « J’avais envie de profiter de sa compagnie seul le plus longtemps possible avant de partager une telle merveille avec le reste du monde. » Troquer la véritable raison pour une qui pourrait l’être tout autant, ce n’était presque pas mentir en plus. « Et puis, même si on passe du bon temps ici, je sais aussi que ce type de soirée peut être ennuyant à mourir quand on est pas du domaine. »
« T’as raison en vrai Damon: à ta place, j’aurais cherché à la cacher le plus longtemps possible. » La voix qui s’était élevée venait cette fois-ci de derrière eux, et n’avait rien à voir avec le couple Powell malheureusement. Parce-que oh, qu’il connaissait et reconnaissait cette voix entre mille, Damon, là où il aurait préféré ne jamais avoir à la croiser. Perdant toute trace de sourire sur son visage, sentant tous les muscles de son corps se tendent sous la présence de l’homme qu’il devinait derrière eux désormais, il finit par soupirer lourdement avant de se tourner légèrement pour lui faire face. « Mark. » Et rien qu’à voir les traits de son visage, une certaine dose d’animosité se déversa dans la bouche du jeune italien. « Encore à trainer dans le coin, toi ? » Et rien qu’à entendre la façon dont son ton pour discuter avait changer, il était facile de comprendre que la suite de cette discussion n’allait pas être aussi douce que la première partie qu’ils avaient pu avoir. Car si les Powell pouvaient être un brin trop guindés et pouvaient faire partie des personnes, surtout George, posant problème ce soir, Mark avait une catégorie à lui tout seul. Bras droit de Saül depuis des années, ami du couple Williams depuis autant de temps, il connaissait tout ce qui avait pu se passer jusqu’au dernier jour du père de Damon au sein de la MHI. Supposé parrain du blond qui resserrait sa prise sur la main de sa femme, aussi, Mark faisait partie des personnes dangereuses ici ce soir car n’ayant rien à perdre et tout à gagner à toujours se ranger du côté de ceux qui frappaient le plus fort, bien sur qu’il n’avait aucune raison de laisser Megan et Damon tranquilles ce soir. « Tu veux que j’aille où ? J’ai aucune raison de pas me pointer ici ce soir, moi. » Le regard de Mark alla de Damon à Megan, où il resta posé trop longtemps pour que ce puisse pas être problématique. « Mark… » - « Jolie robe, Megan. Pas ma tenue préférée pour toi, mais je dois admettre les efforts pour la soirée au moins. » Si Damon n’avait pas été aussi bien élevé et aussi peu enclin à la violence, il se serait déjà retrouvé avec son poing dans la figure pour sur. « On se passera de tes commentaires, t’as pas d’autres gens à aller voir ? » Même les Powell ne savaient plus où se mettre, en cet instant, eux qui étaient pourtant à l’aise partout, tout le temps.
:
Megan Williams
la détresse des roses
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
RPs EN ATTENTE :
milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
make the music stop before it starts Megan Williams & @Damon Williams ☆ crédit/katysgifs
« Oui. » Je tente de ne pas monter ma surprise mais heureusement que je ne suis pas en train de boire l’un des verres de champagnes que je vois sur un table un peu plus loin, sans quoi je me serais étouffée. Damon est maladroit, mais s’il n’y a pas de suite à cette réponse-là, il battra des records. « J’avais envie de profiter de sa compagnie seul le plus longtemps possible avant de partager une telle merveille avec le reste du monde. » La voilà, la suite qui me fait retrouver des couleurs. Nous sommes donc sur quelques choses d’un peu différent d’un oui j’avais honte de la sortir et, sans plus avoir besoin de me sortir depuis un moment à présent, je serre un peu plus la main de Damon dans la mienne et me hisse sur la pointe des pieds pour gagner quelques centimètres et déposer un baiser sur sa joue. Avec un peu de chance – et beaucoup d’espoir – Karen Powell sera conquise par l’image que nous renvoyons et oubliera ses aprioris, dictés uniquement je suppose par mon apparence physique qui me donne des allures de bimbo. « Et puis, même si on passe du bon temps ici, je sais aussi que ce type de soirée peut être ennuyant à mourir quand on est pas du domaine. » Mon bras s’appuie de façon nonchalante sur ses épaules, ma main glisse dans sa nuque et mes doigts caressent les cheveux les plus fin qui y prennent naissance. « Je connais un peu l’entreprise. J’ai posé pour la nouvelle collection, l’an dernier. » Je l’ajoute, un sourire sur les lèvres, décidant que je me moque des qu’en dira-t-on et du fait que cette campagne a été l’étincelle qui a allumé la mèche du scandale. Si je ne peux même plus me satisfaire de mes réussites, alors la personne qui a envoyé ces photos, qui qu’elle soit, aura gagné.
Sauf que ma détermination retombe comme un soufflet lorsque j’entends une voix bien moins bienveillante s’élever dans mon dos. Instinctivement et parce que je reconnais son propriétaire – le plus proche collaborateur de Saül, un homme bâti dans le même bois que mon beau-père – je m’accroche un peu plus fort au bras de Damon. « T’as raison en vrai Damon: à ta place, j’aurais cherché à la cacher le plus longtemps possible. » Damon pivote légèrement pour se retrouver face à son parrain – avec lequel il n’a pas plus de points commun qu’avec son père – et je distingue sa mâchoire qui tressaute. Ma main glisse alors de sa nuque jusqu’à son dos, où elle se pose à plat pour tenter de l’apaiser. « Mark. Encore à trainer dans le coin, toi ? » J’ignore pourquoi j’ai supposé qu’en partant, Saül emporterait le détestable homme d’affaires avec lui. Mais je ne m’attendais pas à une attaque aussi frontale, quoi qu’il en soit : Mark sait que son ami de toujours déteste les scandales. « Tu veux que j’aille où ? J’ai aucune raison de pas me pointer ici ce soir, moi. » Le regard de l’homme change de cible et, à présent, c’est moi qu’il détaille de la tête aux pieds, s’attardant un peu trop longtemps sur mes courbes. « Mark… » - « Jolie robe, Megan. Pas ma tenue préférée pour toi, mais je dois admettre les efforts pour la soirée au moins. » Ma gorge se noue et je pique soudainement un fard. Les hommes comme Saül et Mark manie les sous-entendus comme personne et, j’ai beau le savoir, cela ne m’aide pas à le contrer et réagir autrement qu’en ayant l’impression que le sol est en train de se dérober sous mes pieds. « On se passera de tes commentaires, t’as pas d’autres gens à aller voir ? » Doucement, j’effectue une pression un peu plus marqué dans le dos de Damon pour lui communiquer de ne pas s’essouffler avec cet imbécile. « Bonjour Mark. Je pensais que vous auriez suivi Saül dans sa conquête du milieu politique. » Le quarantenaire me déstabilise, mais je n’ai pas envie de le lui montrer et donc, de le laisser gagner. « Vous parlez certainement des tenues du shooting. Malheureusement, et même si elles mettaient parfaitement en valeur vos créations, je n’ai pas été autorisée à les garder. » Dans ma tête, je prétends que tout ça ne m’atteint pas pour ne pas fondre en larme devant les Powell et le parrain de Damon. « Sinon, je ne vois pas à quoi vous faites allusion. » Le garde-fou que représente la menace du courroux de Saül l’empêchera de répliquer de façon plus directe et frontale ou, en tout cas, c’est là-dessus que mise et sur cette base là que repose mon coup de bluff. « Je serai plus que ravie de travailler à nouveau avec la marque d’ailleurs. Vous êtes directeur artistique n’est-ce pas, c’est vous qui prenez ce genre de décision. » - « Oh oui, votre visage me revient, ma mignonne. » A son visage qui s’éclaire, rien à craindre : elle parle de la campagne pour laquelle j’ai posée. « Excellente idée d’ailleurs de faire participer votre épouse, Damon. Cela donne une image d’entreprise familiale à Michael Hills. Vous comptez reprendre les rênes de votre père ? Est-ce indiscret de vous poser la question ? » Je lui adresse un grand sourire : certainement sans le savoir, Karen Powell vient de voler à mon secours.
:
Damon Williams
l'héritier du vide
ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
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AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
Il accueillit le baiser qu’elle déposa sur sa joue avec un petit sourire en coin plus qu’heureux de recevoir ce dernier. Aucun des deux jeunes gens n’avait besoin de forcer l’image qu’ils renvoyaient, désormais: cette dernière était authentique. Effectivement, cela n’avait pas toujours été le cas, mais personne n’avait à connaitre tous les détails - et surtout pas des personnes comme les Powell; eux pouvaient largement se contenter du reflet que le jeune couple Williams désirait renvoyer. « Je connais un peu l’entreprise. J’ai posé pour la nouvelle collection, l’an dernier. » Ce n’était pas ce type d’intervention là de la part de Megan qui allait défaire Damon de son sourire, qui plus était, se trouvant être fier du travail et du succès de la campagne pour laquelle elle avait posé.
Et il aurait désiré rebondir sur cette partie là de la discussion plus longtemps, si seulement l’opportunité lui avait été laissée; à la place, Mark s’était imposé à eux avec son plus beau sourire et le regard que Damon ne pouvait plus supporter, surtout lorsque ce dernier se posait sur sa femme pour lui accorder une attention comme celle qui était démontrée en cet instant. Et si Megan n’avait d’ailleurs pas majoré la pression exercée désormais par sa main dans le dos de son mari, ce dernier serait surement monté au créneau même si ce type de réaction n’était d’ordinaire en rien sienne. Mark, autant que Saül, faisait désormais partie des peu de personnes existant sur cette planète réussissant à lui faire perdre trop facilement son sang-froid. Il faisait également partie du club très sélectif de ceux envers qui il n’arrivait plus à ressentir le moindre respect, ce qui était un exercice rare et difficile face au jeune italien. « Bonjour Mark. Je pensais que vous auriez suivi Saül dans sa conquête du milieu politique. » Il aurait mieux valu, surement. « Vous parlez certainement des tenues du shooting. Malheureusement, et même si elles mettaient parfaitement en valeur vos créations, je n’ai pas été autorisée à les garder. » Les mâchoires du blond restaient serrées, là où Megan réussissait à s’en sortir seule comme une professionnelle; à croire que c’était elle qui avait passé toute sa vie à naviguer dans ce banc de requins. « Sinon, je ne vois pas à quoi vous faites allusion. » C’était malin, comme démarche: si Mark cherchait à nier, il serait obligé d’en découvrir un peu plus sur les allusions qui étaient faites devant le couple Powell, et bien sur personne ne voulait de ça. « Je serai plus que ravie de travailler à nouveau avec la marque d’ailleurs. Vous êtes directeur artistique n’est-ce pas, c’est vous qui prenez ce genre de décision. » Il dut retenir une expression de surprise, puisqu’il ne s’attendait pas à ce que ce soit là la répartie de Megan - désirait-elle réellement travailler de nouveau pour l’entreprise ? Ou cherchait-elle simplement à ferrer un poisson qui naviguait dans des eaux troubles présentement ? « Oh oui, votre visage me revient, ma mignonne. » Lentement, le regard quelque peu assombri de Damon passa de Mark - qu’il aurait carrément préféré voir disparaitre de leur champ de vision - à Karen, pour qui il dut étirer un petit sourire bien plus poli. « Excellente idée d’ailleurs de faire participer votre épouse, Damon. Cela donne une image d’entreprise familiale à Michael Hills. Vous comptez reprendre les rênes de votre père ? Est-ce indiscret de vous poser la question ? » Dans toute autre situation, il n’aurait en rien était heureux d’aborder un tel sujet il était vrai - et ce pour environ un million de raisons. En cet instant, la proposition de dame Powell était une aubaine sans qu’elle ne s’en aperçoit et il n’avait même pas besoin de tourner son regard vers Megan pour savoir qu’elle était sur une longueur d’ondes similaire à la sienne.
Et encore une fois, il aurait désiré pouvoir rebondir comme il l’entendait sur certaines questions posées dans cette discussion, mais il fallait que d’autres fassent leurs intéressants. « On aurait pu croire qu’avec toutes les clefs en main, c’est la décision qu’il aurait prise. Mais il faut croire que la MHI n’est pas assez bien pour Damon. » La main de Mark se posa avec fermenté sur l’épaule de Damon, du côté opposé à celui où se tenait Megan. Il tenta de la dégager en affaissant son bras légèrement, mais la poigne de son parrain était plus solide qu’il ne le laissait paraître aux autres présents dans cette discussion. « Simplement que j’ai pas envie de suivre les traces de mon père, rien de plus. » Karen Powell semblait plutôt étonnée de la réponse du jeune homme, en mettant de côté la tension qui régnait entre les deux hommes face à elle. Son regard se posa d’ailleurs tour à tour sur Mark, Damon puis enfin Megan, alors qu’elle fronça les sourcils un instant. « C’est dommage, enfin. Ca vous aurait permis d’assurer un avenir pour votre famille, Damon. » Peut-être qu’il y avait du bon dans ses paroles, peut-être; mais le jeune italien était plus dérangé par la présence de Mark trop proche de lui et de sa femme plutôt que par les paroles de Karen. Ce fut en regardant ce dernier droit dans les yeux qu’il fit entendre sa réponse, d’ailleurs. « C’est exactement ce que je fais: j’assure l’avenir de ma famille. » Dégageant sa main de celle de Megan, il attrapa le poignet de Mark de son épaule pour repousser l’homme plus loin d’un geste surement un brin trop brusque pour être adapté et de circonstance - mais il n’en avait que faire en cet instant. Son parrain laissa un petit rire lui échappé, trop amusé pour ne pas être en réalité contrôlé. « Vous savez Karen, les jeunes de nos jours ont tout entre leurs mains mais ne savent plus rien faire et ne connaissent plus la valeur des choses. » Et bien sur que le regard du bras droit de Saül passait de Damon à Megan lorsqu’il parlait, comme si son rôle ce soir était de persécuter la jeune femme pour absolument aucune raison. « Ils cherchent toujours à avoir plus que ce qui devrait leur être accordé. Ils ne savent plus rester à leur place. » - « Ferme là Mark. » Il n’y avait plus de bienséance ou de comportement exemplaire à garder face à d’autres: il était hors de question, aux yeux de Damon, que l’homme dont ils ne savaient se débarrasser en cet instant adopte de telles paroles, avec de tels sous-entendus. « Ferme la ou c’est moi qui te la fait fermer. » Karen laissa une expression d’étonnement prendre part de ses traits, alors que le jeune héritier sortait du cadre qui lui avait été imposé. Bien sur qu’il en avait longtemps voulu lui-même à Megan d’avoir eu les yeux plus gros que le ventre, mais il était hors de question à ses yeux que d’autres lui adressent des reproches qui ne les regardaient pas.
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Megan Williams
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ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
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milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
make the music stop before it starts Megan Williams & @Damon Williams ☆ crédit/katysgifs
Même en réfléchissant, je me demande comment les choses auraient réellement pu plus mal se passer. Nous sommes proches du cataclysme et, la seule personne plus désagréable sur laquelle nous aurions pu tomber c’est Saül. Mark est une pâle copie de son créateur – il donne l’impression d’avoir été façonné par le patriarche Williams – mais une copie toute aussi désagréable et agressive. Comme Saül, il a une vision de la réussite particulière. Il ne jure que par l’argent et le statut social et si, de mon côté, je ne peux pas cacher que j’adhère en partie à cette vision restrictive, je suis parfaitement consciente qu’elle n’est pas faite pour Damon et que d’être entouré d’homme comme son père et son parrain a été destructeur pour lui. J’ambitionne donc de faire mon chemin, de me faire ma place dans cet univers de requin d’une façon ou d’une autre mais sans jamais que cela ne rejaillisse sur Damon d’une quelconque façon. Bien sûr, être l’épouse du directeur général de Michael Hills aurait été un tremplin dans mon ascension sociale. Sauf que depuis que j’ai rencontré Damon, je me suis profondément attaché à lui et je n’ai pas l’intention d’en faire un dommage collatéral – pas une fois de plus. Alors, j’ai été la première à l’encourager à quitter ce milieu toxique pour lui. « On aurait pu croire qu’avec toutes les clefs en main, c’est la décision qu’il aurait prise. Mais il faut croire que la MHI n’est pas assez bien pour Damon. » - « Et ? Qu’est-ce qu’il y aurait de mal à ça ? » Je n’aime pas les hommes comme le parrain du jeune italien. Ces brutes qui molestes les personnes plus fragiles qu’eux, qui profitent de leur ascendant pour faire régner la terreur. J’ai subi leur sadisme plus jeune, à l’époque des cours de récréation, celle où je n’avais pas encore appris à me défendre, et tout me dégoute chez eux. Alors, je ne me prive pas de tenir tête au bras droit de Saül. J’affirme ce qu’il a sous-entendu : Damon vaut bien mieux qu’eux tous. Un sourire mauvais se dessine sur son visage : oh, nul doute qu’il doit être en train de se dire que son filleul est obligé de compter sur sa femme pour le défendre et qu’il est incapable de le faire seul, mais tout le monde se moque de ce qu’il pense. Il attaque, je montre les dents : je ne réfléchis pas aux conséquences. « Simplement que j’ai pas envie de suivre les traces de mon père, rien de plus. » J’échange un regard avec Damon, et je le laisse reprendre le contrôle de la danse. Pour l’instant, il est calme et réagit mieux que j’aurais pu m’y attendre, surtout alors qu’un sujet si sensible est abordé. « C’est dommage, enfin. Ça vous aurait permis d’assurer un avenir pour votre famille, Damon. » Après une blague regrettable concernant une potentielle grossesse, voilà que quelqu’un lui parle de famille dans la même soirée : à en croire sa réaction tout à l’heure, le pauvre Damon doit suer à grosses gouttes. « C’est exactement ce que je fais: j’assure l’avenir de ma famille. »
Damon lâche ma main, mais pour mieux repousser Mark loin de nous et, je le sais, loin de moi. Comment pourrais-je ne pas être touchée qu’il agisse de la sorte, démontrant un instinct de protection qui refait surface à chaque fois que je suis attaquée, qui était là même lorsque nous n’étions pas réellement ensemble mais seulement mariés aux yeux du reste du monde. Je sens que la situation nous échappe. Je sens que les choses risquent de déraper mais je suis incapable de trouver une solution pour l’empêcher : il semble que ma simple présence agace Mark au point de le rendre virulent et déplacé. « Vous savez Karen, les jeunes de nos jours ont tout entre leurs mains mais ne savent plus rien faire et ne connaissent plus la valeur des choses. » Son regard qui passe sur mon est glaçant. Je sais qu’il fait partie de ceux qui savent. Mais qu’il aille se faire foutre : moi aussi, je sais des choses qui pourraient mettre à mal son entreprise chérie. « Ils cherchent toujours à avoir plus que ce qui devrait leur être accordé. Ils ne savent plus rester à leur place. » - « Ferme là Mark. » La réaction de Damon me surprend parce qu’elle ne colle pas au lieu et à l’événement. Si je l’ai déjà vu en colère – lorsque Saül s’en est pris à moi – c’était dans la sphère privé et jamais devant un tel public potentiel. J’ai l’impression que les conversations autour de nous se stoppent, et j’ignore s’il s’agit d’une hallucination. « Ferme là où c’est moi qui te la fait fermer. » Les Powell n’osent plus prononcer le moindre mot et, même moi, je reste pétrifiée l’espace d’un instant. Sauf que je ne veux pas que les choses dérapent à cause de ma présence : Damon a encore presque un an à passer dans l’entreprise. Qu’il lève la main ou ait un geste brusque à l’égard de l’un des directeurs de la boîte pourrait mettre en péril son apprentissage, et ce alors qu’il a pris sur lui pendant tant d’années et qu’il est si près du but. Je décide de ne pas le laisser faire, quoi qu’il m’en coûte en fierté. « Damon. » Doucement, je pose une main sur son épaule. « J’ai le ventre vide. Viens, on va aller manger quelque chose. » Loin de l’associé de son père, loin de l’insipide couple qui n’ose pas intervenir. Que c’est lâche : ils ont bien plus d’expérience de vie que Damon et moi réunis. « Vous avez raison Mark, j’ai les yeux plus gros que le ventre. Et ça m’a permis d’apprendre des choses. » Le détournement de fonds dont s’est rendu coupable Saül, et qu’ils ont tous couvert, au fond. Je ne prends même pas la peine de voiler ma menace : à quoi bon ? La situation est déjà sortie du cadre imposé par ce genre d’évènement. Mon bras glisse de l’épaule de Damon pour s’enrouler autour du sien. J’adresse un sourire aux Powell, et pas même un dernier regard au parrain du jeune homme, avant de l’entraîner vers le buffet, simplement pour nous éloigner de tout ça. « Respire. C’est qu’un sale con. » Un con qui m’a touchée, mais qui m’a surtout fait peur : je n’aime pas que l’on rappelle à mon époux comment je me suis faite une place à ses côtés, même s’il me jure tous les jours m’avoir pardonnée.
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Damon Williams
l'héritier du vide
ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
what did the buffalo say to his son when he left for college ?:
AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
« Et ? Qu’est-ce qu’il y aurait de mal à ça ? » Megan montrait déjà les dents, mais elle avait toujours montré les dents beaucoup plus rapidement que lui. Tant que Mark restait dans la sphère qu’il lui avait été un jour attribuée, au moins très proche du bord, Damon savait garder son calme de son côté; il avait vécu pendant des années aux côtés d’un homme qui agissait d’une façon bien trop similaire à celle de son parrain, et avait donc de l’entrainement dans le domaine. Malheureusement.
Cependant, malgré toute l’expérience qu’il avait pu absorber aux côtés de son père, il fut un moment où Mark dépassa les bornes même aux yeux de Damon. Tant qu’il attaquait la situation de façon générale, ou lorsqu’il incluait son filleul dans ses sous-entendus, ce dernier pouvait tolérer. En revanche, à partir du moment où il impliqua Megan dans la danse alors que cette dernière n’avait rien demandé et était celle qui justement s’en sortait le mieux ce soir comptes tenus des circonstances dans lesquelles ils se trouvaient tous, le jeune italien sortit de ses gonds. Il se retint physiquement de ne pas montrer son agacement, sa colère - sa frustration, surtout; mais ses paroles sortirent du cadre qui lui avait été naturellement imposé et qu’il avait été entrainé à respecter. Ce fut les Powell, et bien sur Karen, qui furent les premiers surpris par ce retournement de situation, alors que quelques minutes encore plus tôt le blondinet leur tenait un discours parfait et sans faute. Le regard azur de Damon s’était ancré sur le visage de Mark, qui ne savait arboré autre chose qu’un rictus satisfait: il avait du parier avec lui-même avant de les aborder qu’il réussirait à en faire craquer un. Il avait du miser davantage sur Cosimo, car ce n’était pas là une façon habituelle pour lui de réagir et cela devait rapporter gros en points. « C’est amusant, j’ai pas souvenir que t’es été élevé comme ça pourtant. » Il continuait de provoquer, de piquer là où il savait que cela pouvait faire extrêmement mal - car même dans ce domaine là, il avait des connaissances dont Damon roussissait au quart de tour.
Et surtout que ce n’étaient pas les joues du jeune italien pour une fois qui étaient prêtes à prendre une teinte rougeâtre, mais plutôt les jointures de ses mains - si ça n’avait pas été pour l’intervention de sa femme en cet instant. « Damon. » Le savant mélange de sa voix, de son prénom prononcé et de la main sur l’épaule évitèrent qu’il ne franchisse la dernière marche d’un escalier qu’il n’aimait guère - et il reporta presque instinctivement ses yeux sur celle qui saurait lui faire comprendre ce qui se passait réellement en cet instant. « J’ai le ventre vide. Viens, on va aller manger quelque chose. » Il serrait les mâchoires, autant pour se retenir d’agir comme un idiot que pour retenir les larmes de frustration et de colère, de honte aussi peut-être, qui menaçaient de couler: ce n’était pas le moment, même s’il n’était pas pleinement lucide il sentait qu’il ne pouvait se permettre de se montre faible pour une fois. « Vous avez raison Mark, j’ai les yeux plus gros que le ventre. Et ça m’a permis d’apprendre des choses. » Elle s’adressa une dernière fois à Mark, elle fit signe aux Powell avant qu’ils ne s’éclipsent mais ce ne fut sur aucun de ces détails là que Damon ne s’attarda: s’il détournait son regard de Megan, il savait qu’il perdait pied.
Leurs pas finirent par rapidement les mener loin de la menace, alors que cette dernière ne semblait pas avoir eu le désir de les suivre. Peut-être avait-il sans s’en apercevoir accéléré le pas, peut-être était-ce la jeune femme qui le pressait pour être sure qu’il ne se retrouve pas; dans tous les cas, le brouhaha de la foule les accueillit rapidement dans les instants qui suivirent leur départ de la bulle d’une conversation que Damon aurait préféré à tout prix éviter. « Respire. C’est qu’un sale con. » - « Un sale con qui mériterait mon poing dans sa gueule. » Ce n’était pas dans les habitudes du jeune italien de parler de la sorte, autant parce-qu’il avait été éduqué autrement que parce-qu’il n’était pas en phase avec de tels agissements. Soupirant, ralentissant son pas pour finalement l’arrêter complètement, il se servit de ses deux paumes de mains pour les appuyer sur ses yeux. « En attendant, c’est moi qu’ai joué au con. » Ses mots étaient plus murmurés qu’autre chose, mais ce n’était pas grave: l’essentiel, c’était que la colère était en train de redescendre à l’intérieur de lui, aussi vite qu’elle était arrivée, et qu’il se rendait compte de la scène à laquelle il avait participé malgré lui. Lâchant son visage, Damon reporta finalement son regard rougi et embué, bien sur, sur sa femme. Après un instant d’hésitation - elle allait le lui reprocher, c’était sur mais tant pis -, il fronça les sourcils légèrement. « Je suis désolé. » Il déglutit. « C’était idiot de venir ici ce soir, je savais que ça pouvait arriver mais j’ai préféré te proposer égoïstement de quand même venir avoir moi. Parce-que je voulais que tu sois avec moi, qu’on passe la soirée ensemble. » Il était presque mignon, à d’abord statuer sur cette partie là de l’histoire. « Je voulais pas… Je voulais pas de ça, justement. » Ses mains posées sur ses hanches, il secouait quelque peu sa tête. Quel idiot il avait pu être, d’avoir osé espérer que la soirée puisse bien se passer. Il n’y avait aucune version pré-existante de cette soirée où les choses se déroulaient sans encombre, et pourtant naïf comme il pouvait l’être, il avait quand même voulu y croire.
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Megan Williams
la détresse des roses
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
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milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
make the music stop before it starts Megan Williams & @Damon Williams ☆ crédit/katysgifs
Damon n’a peut-être pas été élevé comme ça mais il se rebiffe face à son parrain et j’aime croire que c’est un peu grâce à moi et l’influence positive que j’ai sur lui. Saül voulait que j’apprenne à son fils à s’endurcir ? Il aurait dû se douter que c’était à double tranchant. Si j’ai en effet essayé de pousser le jeune Italien à ne plus se laisser marcher dessus, cela commence par son père et certainement ne l’avait-il pas anticipé. Aveuglé par l’envie que son fils devienne un homme, il a certainement oublié que, ce faisant, ce dernier couperait le cordon ombilical par la même occasion, et qu’il pointerait du doigt tous les dysfonctionnements de l’homme d’affaires en tant que père voire en tant qu’être humain. En résumé : Saül Williams est un sale type, et plus Damon s’en émancipe, puis je suis fière de lui et d’être à ses côtés.
Avec un peu de chance, après Marc c’est directement à son paternel que le jeune homme tiendra tête de la sorte mais, en attendant, je l’éloigne et nous écarte du petit groupe afin de ne pas provoquer un esclandre. La dernière fois que je l’ai vu dans un état semblable à celui-là, c’est lorsqu’il est rentré à l’appartement au "bon moment" pour voir son père me violenter. Ce n’était pas la première fois, mais certainement la pire et celle qui a laissé des marques indélébiles dans mon esprit : j’ai peur de lui, même si je ne l’admets que les mauvais jours. « Un sale con qui mériterait mon poing dans sa gueule. » - « Il le mériterait et moi je donnerais chez pour te voir l’étaler. » Cela va sans dire puisque je ne suis pas une sainte : je me sens humiliée par les sous-entendus de l’homme d’affaires et par les regards lubriques qu’il a posé sur moi. J’avais tort tout compte fait : l’eau n’a pas fini de couler sous les ponts. Il y a même fort à parier que c’est tout ce dont on se souviendra lorsqu’il est question de moi à la MHI pendant encore des années, ce sont ces photos. Damon comme moi nous sentirons mieux lorsqu’il aura pris ses distances avec cette boîte pour enfin découvrir une voie qui lui conviendra mieux. « Mais lui donne pas la satisfaction d’avoir raison et de prouver qu’on est juste deux petits ingrats incontrôlables. » Choisis la voie la plus noble, donc. Je suis souvent douée pour prodiguer de bons conseils que j’ai du mal à suivre moi-même, de toute évidence. Si je ressemblais à autre chose, si j’étais un homme capable de rivaliser physiquement avec ce genre de brute, nul doute que mon poing aurait atterri dans le nez du prétentieux sans que quiconque n’ait le loisir de m’en empêcher.
« En attendant, c’est moi qu’ai joué au con. » Je fronce les sourcils et, avant-même qu’il ne m’explique d’où lui vient cette idée, je secoue la tête. Damon s’est défendu, il m’a défendue moi et jamais je ne penserais à le lui reprocher. Au contraire, à chaque fois qu’il me fais me sentir soutenue et protégée, je l’adore un peu plus. « Je suis désolé. » - « Y’a aucune raison pour que tu sois désolé, je te jure. » Les joues de Damon sont rouges et ses yeux sont brillants. Est-ce bien étonnant de la part d’un garçon qui, jusque-là, a toujours eu du mal à ne pas fondre en larme pour exprimer n’importe quel sentiment, même la colère, surtout la colère ? Moi, je garde une de ses mains dans la mienne, et je dépose l’autre sur sa joue pour la caresser, espérant que la douceur l’aide à redevenir lui-même. « C’était idiot de venir ici ce soir, je savais que ça pouvait arriver mais j’ai préféré te proposer égoïstement de quand même venir avoir moi. Parce-que je voulais que tu sois avec moi, qu’on passe la soirée ensemble. Je voulais pas… Je voulais pas de ça, justement. » - « Dis pas ça. Je voulais venir moi aussi, tu m’as pas forcée. » Au contraire, même si je connaissais les risques, j’étais ravie qu’il me le propose. Ces derniers mois, à chaque fois qu’il s’est rendu à ce genre d’événement sans moi, je me suis sentie non légitime, j’ai eu l’impression que je n’avais pas ma place à ses côtés et c’était bien plus destructeur que n’importe quelle autre force extérieure. « Je voulais me montrer avec toi pour rappeler à tout le monde qu’on est ensemble et qu’on est solides. Et pas pour les apparences comme c’était le cas avant. » Autrement, seules ces dernières comptait entre nous autrefois, pour vendre notre soi-disant conte de fées au reste du monde et le rendre crédible, mais aujourd’hui ce n’est plus le cas. Aujourd’hui, il est simplement question de ma tendance territorialiste. Le prouvant, j’ajoute même. « T’étais déjà venu accompagné à ce genre de soirée ? » Accompagné de quelqu’un d’autre que moi ?