ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Dix-huit heures. Cela faisait plus de dix-huit heures que Marley avait quitté l'Australie et donc Brisbane. La tête collée à la vitre du taxi, la jeune femme observait les rues d'Athènes défiler sous ses yeux. Epuisée par le trajet mais surexcitée par ce qu'elle allait vivre, la jeune femme avait l'impression d'être montée sur ressort. Son corps était las, ses muscles étaient tendus, tout en elle appelait à une bonne nuit réparatrice, au moins pour se remettre du décalage horaire, pourtant il n'était absolument pas question qu'elle dorme. Le jour se levait à peine sur le Grèce qu'elle n'avait vu en photo que dans les manuels scolaires ou en vidéos à la télévision. Le timing était serré, et Lynch savait qu'elle n'avait pas une minute à perdre. Lorsque le taxi s'arrêta devant l'hôtel qu'elle avait réservé, la brune s'extirpa du véhicule courbaturée par le trajet qui lui avait paru interminable. Elle prit son sac de voyage et rapidement alla jusqu'à l'accueil où on lui indiqua sa chambre. Elle s'y rendit sans plus attendre et fonça sous la douche. Les jets d'eau la réveilleraient peut-être et lui redonneraient peut-être de l'énergie.
Sous la douche, la jeune femme souriait devant ce qu'elle était en train de faire et face à ce qu'elle s'apprêtait à vivre. Elle-même n'en revenait pas. Les deux derniers mois avaient été terriblement longs et difficiles mais le grand jour était enfin arrivé : Jackson allait participer aux jeux olympiques. A cette pensée, la métisse se mit à rire seule. Elle n'en revenait toujours pas. Cela faisait deux mois qu'elle n'avait plus de nouvelles du garçon. Depuis ce fameux soir où tout avait basculé avec Mickey, le coureur avait dû rompre tout contact avec elle. Par deux fois elle avait reçu un sms, Jackson étant parvenu – par elle ne savait quel miracle – à subtiliser son portable auprès de son coach. A chaque fois qu'elle avait vu son nom s'afficher sur son téléphone, son cœur avait manqué un battement. Il lui manquait terriblement et chaque jour loin de lui ne faisait qu'accentuer la douleur et le manque qu'elle ressentait. Comment était-il parvenu en si peu de temps à la rendre autant accro ? Elle l'ignorait mais c'était pourtant ce qui s'était produit.
Les deux mois où elle avait été forcée de se tenir éloignée de lui avaient été très difficiles à vivre pour elle. Les conséquences de cette fameuse nuit où tout avait basculé auraient pu être terribles pour la jeune femme. Le fait qu'elle se soit éclipsée une bonne partie de la nuit, qu'elle ait « malencontreusement » effacé une vidéo de surveillance n'avaient clairement pas joué en sa faveur. Son capitaine, qui ne la portait pas spécialement dans son cœur, avait voulu lui donner un blâme et lui retirer ses deux galons de lieutenant. Heureusement pour elle, sa hiérarchie avait grincé des dents et refusé. Ce n'était pas parce qu'ils la portaient dans leur cœur, c'était plutôt pour éviter un quelconque scandale. Tout le monde connaissait Marley et son caractère bien trempé, tout le monde savait qu'elle n'avait pas sa langue dans sa poche. Rétrograder une jeune femme, qui plus est noire, pour une « erreur » informatique aurait fait tâche au sein de la police de Brisbane et aux yeux de la population. On lui avait donc tapé sévèrement sur les doigts et elle avait été collée à la circulation et aux petites infractions pendant un mois environ. Marley n'avait rien dit, avait serré les dents, avait fait son boulot – aussi ingrat soit-il – supporté les remarques désobligeantes de ses collègues sans jamais se plaindre. L'histoire de Mickey et de Jackson s'était tassée sans qu'elle n'ait réellement eu besoin de s'impliquer. Le dealer sur lequel elle avait tiré avait été interrogé. A aucun moment il n'avait mentionné la présence de Jackson. Aux yeux des flics, Mickey avait toujours été seul et aucune image ne pouvait montrer le contraire. Quant au cousin de Jackson, il avait été relâché, faute de preuves l'incriminant. Bien sûr, les flics l'avaient à l'oeil désormais. A la moindre incartade, il pouvait être sûr qu'il finirait en prison. Finalement, au bout d'un mois, ses qualités de lieutenant, mises en avant par certains collègues, l'aidèrent à retrouver sa place. Le fait qu'elle ait arrêté un tueur en série avait aussi fortement joué en sa faveur. Tout s'était plus ou moins arrangé, tout sauf sa relation avec Jackson.
Ce fut avec surprise qu'elle avait reçu quelques jours plus tôt un coup de téléphone du garçon. Elle s'était précipitée pour décrocher et s'était figée en constatant qu'il ne s'agissait pas de la voix chaude et réconfortante de l'athlète mais plutôt de celle bourrue du coach. Telle une enfant prise sur le fait, Marley avait balbutié et juré qu'elle avait laissé tranquille Jackson. Contre toute attente, la raison de son appel était tout autre : Il l'invitait à venir voir Jackson courir aux jeux. Le garçon n'était pas au courant bien sûr, mais si elle le désirait, une place était disponible dans le box du jeune homme. Marley n'avait pas hésité une seule seconde et avait accepté. Ne prenant que très rarement des vacances, sa hiérarchie lui avait accordé cinq jours de repos consécutifs. C'était donc pour cette raison que la jeune femme se retrouvait à Athènes sous la douche.
Elle finit d'ailleurs par sortir et se prépara rapidement. Il était à peine neuf heures du matin pourtant la jeune femme sentait la chaleur étouffante de la ville se répandre. Elle enfila un short et un petit débardeur, prit ses lunettes de soleil, son sac à main et sortit. En bas de l'hôtel l'attendait une personne du staff de l'équipe de Jackson. En grimpant dans la voiture, la brune trépignait. Oubliée la fatigue, disparues les courbatures. Bientôt elle allait le revoir, bientôt elle pourrait l'acclamer.
Assise dans les gradins depuis une bonne demi-heure, la lieutenant écoutait d'une oreille distraite les conversations autour d'elle. Elle souriait, répondait lorsque l'on s'adressait à elle mais en réalité son esprit et ses pensées étaient tournés ailleurs. Soudain, une musique retentit et l'écran géant du stade s'alluma. Le cœur de la brune s'emballa et elle commença à applaudir les différents coureurs qui arrivaient. L'américain reçut un tonnerre d'applaudissements, tout comme le jamaïcain, certains athlètes semblaient moins connus mais cela n'avait pas grande importance à ses yeux. C'est alors qu'elle le vit arriver. Son visage en grand sur l'écran, son prénom et son nom qui brillaient, son regard déterminé... Il était beau, puissant, il était tout simplement magnifique. Sans qu'elle ne contrôle son propre corps, Marley sauta sur ses deux pieds, se mit debout et hurla à tout rompre, applaudissant à s'en faire mal aux mains. Elle finit par se rasseoir et à son plus grand étonnement, sentit le stress grandir en elle. Elle posa ses bras sur la barrière devant elle, tenant fermement le bracelet qu'il lui avait offert. Jouant avec le cœur, elle ne le quittait pas des yeux. Bientôt il se mit en position, accroupi, concentré, la course allait bientôt démarrer.
Plus rien n'avait d'importance autour d'elle si ce n'était ce jeune homme pour qui elle avait parcouru des milliers de kilomètres. Sa poitrine se souleva lorsqu'elle vit un homme le bras levé, le pistolet en l'air. Trois, deux, un : PAN ! Alors qu'elle voyait les muscles du garçon se mettre en action, son cœur arrêta de battre. Médusée, Marley retenait sa respiration.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Tout est calme. Isolé du reste de l'équipe par un casque anti-bruit, assis sur son banc, Jackson observe les membres du staff aller et venir, parler au téléphone, discuter entre eux. Tout le monde porte le même t-shirt : celui designé spécialement pour l'équipe australienne. Tout le monde sauf Mills dont le corps musculeux est compressé dans sa combinaison de course. Ses cuisses aux quadriceps bodybuildés volent la vedette aux étoiles présentes sur son short. Des manches de son haut aux couleurs de l'Union Jack dépassent des biceps que personne ne souhaiterait défier au bras de fer. Lorsqu'il a croisé son reflet dans le miroir, ce matin, l'athlète s'est fait la réflexion que jamais son corps n'a été aussi profilé pour gagner. Tout y est : les épaules massives nécessaires à la synchronisation des bras durant la course, les abdos sculptés pour le redressement et la stabilisation du tronc, les fessiers en béton permettant à la foulée de gagner en agressivité dès le coup d'envoi ... Après 9 mois de préparation intensive, Jackson est devenu la machine que son coach lui a promis de forger aux prix de tous ces sacrifices à commencer par le plus évident de tous : être coupé de ses proches. Les membres de sa famille n'ont pas pu faire le déplacement et s'il les sait à 200% dans la fan zone que Brisbane réserve aux mordus d'athlétisme pendant la diffusion des jeux, Jax ne peut nier que leur présence lui manque en ce jour J. Louisa doit aller en cours, Idriss travaille 80 heures par semaine, Mickey n'a aucun intérêt à prendre l'avion compte tenu du viseur qu'il a dans le dos depuis la fusillade ... Comme à chaque fois qu'il sent la solitude le gagner, Mills inspire profondément, ferme les yeux, puis tâche de se vider l'esprit. Sa préparation mentale aussi est au top de ce qu'on est en droit d'attendre d'un prétendant au titre de champion. Il s'applique à chasser de sa tête tout ce qui pourrait le déconcentrer.
Soudain, une main se pause sur son épaule. L'athlète se lève. Lorsqu'il retire son casque, les bruits extérieurs l'assaillent. Jax entend tout : la foule qui gronde dans le stade, les voix des commentateurs amplifiées par les micros, la musique introduisant l'arrivée des coureurs, les encouragements du staff à son encontre et, juste avant qu'il ne franchisse la porte des vestiaires, la voix du coach : « C'est ton jour, champion. » Mills arrive sur le tartan drapé d'un sérieux contrastant avec l'assurance tape à l'œil de l'américain et le sourire amical du Jamaïcain. Le suédois est encore plus pâle que la veille, lors de leur repas d'avant course. Quant au français, impossible de comprendre ce qu'il dit, l'homme murmure dans sa langue natale une espèce de prière que lui seul comprend. À l'appel de son nom, Jackson lève les yeux en direction des écrans. Voir sa face sur une toile de 10 mètres de large l'impressionne et l'éblouit mais il n'en laisse rien paraître. Il profite simplement d'avoir l'attention sur lui pour tendre sa paume de main en direction des caméras. On peut il lire des initiales que seuls les concernés seront en mesure de comprendre : I. L. Mk. À son poignet, le demi-coeur brille sous les projecteurs. Mills ferme ses oreilles à tout autre son que celui du pistolet, ne veut pas entendre les commentaires sur sa façon d'utiliser l'écran pour communiquer avec ses proches. Il se met en place, le regard rivé au sol, les phalanges blanchies par le poids de son corps en appui sur ses doigts. Avant que le décompte ne se lance, l'athlète sort de sous son t-shirt le collier de prière qu'il embrasse rituellement. Sa fréquence cardiaque est étonnamment basse malgré le stress du départ imminent, preuve que son entraînement a payé, qu'il est désormais capable de se déconnecter des enjeux pour ne voir que l'objectif : gagner.
Citation :
WIN : Jackson fait un départ parfait. En seulement 20 mètres, il passe devant l'américain. Au bout de 50, il rattrape le jamaïcain. Arrivé à 80, il entend les présentateurs hurler des sons que son esprit focalisé sur l'effort ne comprend pas. Ce n'est que lorsqu'il franchit la ligne d'arrivée tête la première et qu'il entend le tonnerre de la foule qu'il comprend : Mills vient de battre le record du monde. 9'57 ! Médaillé d'or, il entre par la même occasion dans le guinness book des records. Les dieux grecques n'ont qu'a bien se tenir, la relève est assurée.
SO CLOSE : Excellent départ pour Jackson qui se retrouve au coude à coude avec le Français. En quelques enjambées, il parvient à le dépasser, s'attaquant alors à l'américain. Ce dernier, plus difficile à doubler, l'occupe jusqu'à la barre des 50 mètres ou tout semble joué d'avance car le jamaïcain à quelques dixièmes d'avance sur lui mais l'australien refuse de se plier à la fatalité. Mills lâche soudainement le barrage mental qu'il avait dressé entre lui et le reste du monde. Les visages de ses proches, de ses amis et de Marley qu'il imagine le regarder depuis l'autre bout du monde lui donne un second souffle. Le miracle se produit alors : 9'59 ! Non seulement le sommet du crâne du sprinteur passe la ligne d'arrivée le premier, mais en plus Mills vient de franchir un cap symbolique. Moins de 10 secondes. Il entre dans la légende aux côtés de son héros : Usain Bolt.
FAIL : Le départ est bon, la course est bien menée, Jax arrive à se placer en tête du peloton. Ambitieux, l'athlète se met à rêver du record en plus de la médaille. Perte de concentration infime : le coup d'œil qu'il jette au chrono le retarde dans sa plongée vers la ligne. 10,01' ! Jackson vient de décrocher l'or mais n'aura pas marqué l'histoire. À un centième près, c'est rageant, mais pas au point de lui gâcher sa joie : il est champion olympique et regarde le ciel sans nuage au dessus de sa tête. La promesse faite à sa mère est tenue, le rêve de Gloria est exhaussé.
(c) sweet.lips
Dernière édition par Jackson Mills le Ven 21 Avr - 15:26, édité 3 fois
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31459 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Jackson Mills' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Le souffle coupé, Marley suivait des yeux la course de Jackson. Une fusée. Voilà ce qu'il était. Les gens autour d'elle trépignaient, hurlaient, se levaient, applaudissaient, elle, en était incapable. Pétrifiée sur place les mains accrochées au bracelet, la flic priait tous les dieux. La course avait été d'une rapidité folle mais pourtant la jeune femme avait eu l'impression que le temps s'était écoulé avec une lenteur infernale. Lorsqu'elle vit la tête de Jackson passer la ligne d'arrivée, la brune sauta instantanément sur ses deux pieds et se mit à hurler aussi fort qu'elle le pouvait. Tremblante, elle regardait avec nervosité le tableau annonçant les résultats finaux. La course avait été si rapide, et les concurrents si proches les uns des autres que la métisse préférait d'avoir la confirmation d'une victoire avant de dévaler les marches qui menaient jusqu'au garçon. L'attente fut interminable mais en valait la peine. Jackson terminait premier, et passait sous la barre des dix secondes. Elle n'en revenait pas. Les yeux brillants d'émotion – et c'était si rare chez la demoiselle – elle se mit à serrer dans ses bras le staff du coureur. On finit par lui tendre un drapeau de l'Australie, et la jeune femme descendit les escaliers aussi vite qu'elle le pouvait. Evidemment, elle n'avait pas le droit d'entrer sur le stade, elle ne pouvait rester que dans les gradins.
Sur le bord de la piste, derrière la barrière de sécurité, Marley se mit à agiter le drapeau tout en criant le prénom de l'homme du jour. Etait-ce les couleurs du drapeau ou sa voix qui avait attiré l'attention de l'athlète ? Marley l'ignorait mais un immense sourire illumina son visage lorsqu'elle accrocha le regard du sprinter. Elle le vit s'approcher mais ne lui laissa pas le temps d'exprimer sa surprise quant à sa présence dans le stade. Alors qu'il n'était qu'à quelques centimètres d'elle, la brune se jeta dans ses bras. Elle plongea son visage dans son cou, déposa un baiser sur sa jugulaire et le cœur battant à tout rompre lui dit : « J'savais que t'étais le meilleur. » Elle passa une main dans ses cheveux et consciente que les caméras étaient braquées sur eux, finit par le relâcher. Elle mourait d'envie de le dévorer de baisers mais ne voulait pas faire quelque chose qui pourrait mettre mal à l'aise le garçon. Elle finit par lui tendre le drapeau et souffla : « Vas-y, c'est ton moment de gloire. » Et elle se mit à applaudir comme tous ceux autour d'elle. Elle le laissa s'éloigner, sortit son portable et choisit d'immortaliser la scène. Si ce qu'elle venait de voir risquait d'être inoubliable, elle voulait tout de même garder une trace de ce précieux moment.
Au bout d'un certain temps, elle sentit un main sur son épaule. La brune se retourna et fit face au coach : « Tu veux venir avec nous dans les vestiaires ? ». Lynch hocha avec vivacité la tête, bien trop heureuse de pouvoir retrouver son cher et tendre dans les coulisses du stade. Elle suivit donc l'entraîneur dont l'émotion était bien visible. Elle comprenait désormais pourquoi il s'était montré si exigeant avec Jackson, si intransigeant quant à ses fréquentations et à ses sorties. Soudainement, elle en voulait un peu moins à cet homme qui avait perturbé leur dernière soirée ensemble. Dans le couloir, Marley attendait que Jackson arrive. Les différents athlètes défilaient sous son nez mais toujours pas l'ombre du champion du jour. Finalement, elle l'aperçut au loin, le drapeau sur les épaules, son sourire victorieux accroché aux lèvres. Jamais elle ne l'avait trouvé aussi beau. La jeune femme resta quelque peu en retrait, observant les retrouvailles bien méritées entre Jackson et tout son staff. Elle avait su patienter deux mois avant de le revoir, elle n'était plus à quelques minutes près.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Ses jambes lancées à pleine vitesse continuent de courir bien après qu'il ait passé la ligne d'arrivée. Soudain, le tunnel de sa vision s'agrandit. Mills a atteint son objectif, sa concentration sans failles n'a plus de raisons d'être. Il prend alors conscience de la masse populaire face à lui, des dizaines et dizaines de gradins bourrés à craquer, des milliers de visages tournés dans sa direction. Les spectateurs lui hurlent des mots qu'il ne comprend pas dans des langues inconnues sous une pluie de paillettes venant se coller à sa peau moite. Essoufflé, l'athlète fait volte-face, cherche du regard le tableau d'affichage des résultats. C'est à ce moment précis qu'il comprend son exploit. 9.59'.
Abasourdi, Jax vacille quelque peu sous les tapes amicales que lui offrent les autres sprinteurs. Tous le félicitent pour ce record, même l'américain que sa réputation de mauvais perdant précède. Des hauts parleurs s'élèvent les voix des commentateurs locaux surexcités tandis qu'en marge de la piste les flashs fusent de toutes parts. « JAX ! » Tout va si vite. Jackson n'a pas fini d'assimiler les nouvelles - une médaille d'or, un record personnel, un cap historique à l'échelle de la discipline - qu'une autre information vient secouer son cerveau : Marley en chair et en os. Dans l'hystérie générale, la métisse lui apparait tel un ange en direction duquel il accourt sans réfléchir. « Comment ?! » Questionne-t-il tout en réceptionnant la brune qui se pend à son cou. Son cœur bat si vite qu'il se sent chavirer de l'intérieur. Jax n'obtient comme réponse qu'un « J'savais que t'étais le meilleur » parfaitement suffisant à ses yeux. Ivre d'adrénaline, il s'électrise au contact des lèvres féminines contre sa peau et tente de la retenir lorsqu'elle s'éloigne mais comprend bien vite la nécessité de l'action quand les journalistes, profitant de sa proximité, commencent à se rapprocher, appareils et caméras brandis afin d'immortaliser cet instant historique. La première fois qu'un adversaire rejoint la légende Bolt sous la barre de ce que la science estimait comme humainement possible en terme de vitesse.
« Vas-y, c'est ton moment de gloire. » Jax sourit de toutes ses dents. L'intensité de sa joie rayonne sur les écrans du stade tandis qu'il entame un tour de piste bras tendus au dessus de la tête, trainant dans son sillage le drapeau de son équipe. La foule ovationne le champion qui, lorsqu'il revient en bord de piste, se retrouve confronté au barrage des micros tendus dans sa direction, mur infranchissable derrière lequel Mills voit Marley disparaître avec le reste du staff. « Jackson, vous venez de passer sous la barre symbolique des 10 secondes ! Nous connaissons votre admiration pour le détenteur du record du monde, Usain Bolt, chronométré à 9.58' aux jeux de Berlin de 2009. Avez-vous un message à lui faire passer ? » Comprendre la question requiert au sprinteur un effort de concentration tant le cocktail hormonal circulant dans son système sanguin rend son attention volatile. Rattrapé par sa nature profonde, Mills répond en toute sincérité : « Regarde-moi bien Usain. » Interpelle-t-il la caméra tout en effectuant des allers-retours entre ses yeux et l'objectif à l'aide du couple indexe / majeur de sa main droite. « C'est la dernière fois que tu m'vois de face. » Jax tire la langue, arrachant au journaliste européen un « Jackson Mills provoque son idole à la course ! » D'autres journalistes jouent alors des coudes pour prendre la suite de leur confrère. S'en suit une cascade de questions venues des chaînes de télévision de tous les continents. L'athlète se plie au jeu. Quelques minutes de son temps contre l'assurance de millions de dollars en sponsors une fois les médailles remises aux vainqueurs du jour. « On vous a vu embrasser un collier avant le départ. Souhaitez-vous vous exprimer à ce sujet ? » Demande respectueusement le journaliste japonais. Mills hésite. « Je dédie cette victoire à ma famille et encourage ma sœur à courir après ses rêves. »
Enfin, on le libère de ses obligations. Sur la piste, l'épreuve du saut de haies se met en place. Désormais seul, le nouveau médaillé d'or retrouve le chemin des vestiaires, les épaules couvertes de son drapeau et la tête auréolée de gloire. Son arrivée en coulisses provoque autant de cris de joie que d'applaudissements. Au premier rang, son coach l'accueille à bras ouverts. Jackson, loin d'être rancunier, lui offre une étreinte à lui broyer les côtes. « Merci. » Souffle-t-il, reconnaissant. Les deux hommes viennent de marquer l'histoire. Cette collaboration n'a pas de prix. Le jeu en valait la chandelle tout comme les sacrifices que cela leur a demandé. Qu'on ne l'oublie pas : l'entraineur aussi se lève à 5 heures du matin tous les jours depuis 9 mois et l'affection avec laquelle il décoiffe le peu de cheveux présents sur le crâne de son champion témoigne du point auquel il s'est appliqué à jouer son rôle de mentor sans jamais céder à la tentation de se montrer plus flexible. L'homme sort alors de sa poche le téléphone de Jackson dont l'écran affiche des dizaines d'appels en absence. « J'ai dis à ton père que tu l'appelleras quand la presse te lâchera la grappe. » Dans le répertoire des appels, d'autres noms que celui des Mills s'affichent mais Jax n'a d'yeux que pour le numéro de son daron sur lequel il clique tout en se bouchant l'oreille libre de l'indexe. L'excitation de l'équipe australienne raisonne dans tout le vestiaire, obligeant l'athlète à s'éloigner du centre de la pièce et rendant la communication difficile, mais il saisit l'essentiel : Idris est fier de lui, lui assure que sa mère le serait également tandis que Louisa pleure toutes les larmes de son corps et que Mickey, en arrière plan, lui hurle de fêter sa victoire jusqu'au bout de la nuit. On entend les tamtam raisonner à l'autre bout du fil et la fan zone de Brisbane bouillonner de fierté. Jackson n'en finit plus de sourire. Il raccroche le cœur gonflé de tout cet amour, n'espérant désormais plus qu'une chose : retrouver Lynch.
Cette dernière se trouve à quelques mètres de lui, en grande discussion avec Sofia, la kiné de l'équipe. Jax ne peut s'empêcher de les interrompre. Il commence par remercier Shaw pour ses bons traitements. Cette dernière lui affirme qu'elle reste disponible pour le masser demain, s'il sent que ses jambes sont trop lourdes, puis s'éclipse en leur souhaitant bonne soirée à tous les deux. Mills plisse les yeux en direction de la métisse. Que se sont-elles raconté pour que la mexicaine s'éloigne avec ce regard complice à l'intention de Marley ? C'est un mystère que l'athlète note de résoudre, mais pas avant d'avoir attrapé Lynch par la taille afin de la hisser à sa hauteur, invitant ses cuisses à s'enrouler autour de ses hanches. Bras croisés sous les fesses de la jeune femme, il pourrait la porter ainsi des heures durant tant elle ne pèse au rien. « J'en reviens pas que tu sois là. » Dit-il, cette fois-ci plus rapide qu'elle pour fourrer son nez au creux de son cou. Jax inspire profondément l'odeur de la belle jusqu'à s'en faire tourner la tête. « Tu m'expliques ? » Le staff est compréhensif. Tout le monde ici sait bien que l'athlète s'est coupé de ses proches pour obtenir sa médaille. Personne ne viendra le déranger alors qu'il affiche clairement l'importance qu'il accorde à la femme lovée entre ses bras.
(c) sweet.lips
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Dans les couloirs du stade, les yeux de Marley fixaient la l'écran géant qui projetait ce qui se déroulait à l'extérieur. Suspendue aux lèvres du garçon, la jeune femme l'observait tandis qu'il répondait aux questions des journalistes. Il avait l'air parfaitement à l'aise, maître de ses émotions et de ses propos. Un petit rire échappa à la jeune femme lorsqu'il s'adressa directement à Usain Bolt. Elle roula des yeux au ciel, amusée de constater qu'il n'avait pas pu se retenir. Elle savait qu'il était fan de l'athlète et qu'il l'admirait, il le lui avait dit à plusieurs reprises. Si certains pouvaient voir en son intervention une sorte de prétention, ou encore une provocation, Marley savait qu'il s'agissait plus d'une marque de respect qu'autre chose. Jackson voulait se mesurer au meilleur. Il ferait tout pour un jour pouvoir battre l'athlète jamaïcain. Au fond d'elle, la jeune femme était persuadée qu'il en était largement capable. Alors qu'elle regardait toujours l'écran, les personnes du staff s'agitaient autour d'elle. Les rires éclataient à chaque coin, les gens se prenaient dans les bras, d'autres pleuraient. Ce fut à cet instant là que la métisse comprit que pour cette course il n'y avait pas que Jackson, il y avait toute une équipe qui avait bossé avec acharnement et qui avait dû aussi se sacrifier par moments. L'attention de la brune se focalisa à nouveau sur le nouveau champion qui dédiait sa victoire à ses proches. Le petit mot pour la sœur de Jackson toucha Marley au plus profond d'elle-même. Elle se reconnaissait dans les paroles du garçon, dans son envie d'obtenir le meilleur pour sa famille.
Lorsqu'elle vit qu'il quittait la zone des journalistes, elle comprit qu'il allait bientôt arriver. Lorsque ce fut le cas, tout le monde se mit à l'applaudir et à l'acclamer. La lieutenant fit de même. Elle laissa le coach s'approcher, Jackson prendre son téléphone et tourna la tête. Une petite brune se tenait à ses côtés. Celle-ci prit son poignet, toucha du bout des doigts le bracelet et murmura : « C'est donc toi celle qui a réussi à lui voler une partie de son cœur. » Marley s'empourpra légèrement et balbutia : « A moins que cela ne soit l'inverse... » Elle n'arrivait plus à déterminer lequel des deux avait réussi à piquer l'autre, lequel avait réussi à faire succomber l'autre. Un sourire amoureux, presque niais glissa sur le visage de la métisse. « En tout cas, ça y est : c'est fini les couvres-feu » ajouta l'autre jeune femme en riant. Marley ne savait pas qui elle était mais elle la trouvait plutôt amusante bien qu'elle ressentait une pointe de jalousie. Jamais elle n'avait envisagé que durant toute cette période où elle ne pouvait pas le voir, d'autres jeunes femmes – très jolies qui plus est – pouvaient profiter de sa présence. Elle se mordit la lèvre, cherchant à chasser ses pensées parasites. « Attention ton champion arrive... » le sourire complice qu'elle lui accorda la détendit quelque peu tandis que Marley accueillait Jackson avait un large sourire. Il prit le temps de remercier la jeune femme et à cet instant Lynch comprit qu'il s'agissait de sa kiné. Elle sentit son ventre se nouer lorsqu'elle lui proposa de le masser dès le lendemain. Elle prit sur elle pour ne pas lui demander de garder ses mains pour elle. Maintenant qu'elle savait qui s'occupait de masser Jackson et de le remettre d'aplomb, la brune était beaucoup plus inquiète qu'auparavant. Les deux avaient l'air si complices. Et si... Elle n'eut pas le temps de se questionner davantage que déjà le sprinter la soulevait du sol. Les jambes de la flic s'enroulèrent autour de la taille du jeune homme tandis qu'elle passait ses mains autour de son cou. Le contact de la paume de ses mains sur ses fesses la fit frémir. Deux mois... Deux mois qu'ils ne s'étaient pas vus, qu'ils ne s'étaient pas touchés. Si elle savait que cela lui avait manqué, elle en avait désormais la confirmation. Accrochée au garçon, Marley refusait de le lâcher. « J'en reviens pas que tu sois là. » Elle sourit avec tendresse, elle non plus ne se rendait pas vraiment compte de tout cela. Elle avait pu assister à sa victoire en direct, aux premières loges. Jamais elle n'avait envisagé une telle chose. Un gloussement lui échappa lorsqu'il fourra sa bouche dans son cou et qu'elle le sentit humer son odeur. « Tu m'expliques ? ». « Attends... D'abord... » Les mains délicates de la demoiselle encerclèrent le visage de Jackson qu'elle releva. Elle plongea longtemps son regard dans le sien, s'imprégnant de ses rétines et puis finalement ses lèvres foncèrent sur les siennes. Le goût de sa bouche l'enveloppa instantanément tandis que son baiser qu'elle avait voulu chaste devenait de plus en plus passionnel. Finalement, et à contre-coeur, elle recula son visage afin de reprendre son souffle. Si tout le monde les laissait tranquille, la jeune femme avait bien conscience qu'ils étaient toujours au milieu d'une mini fourmilière. Elle aurait pu attendre qu'ils ne soient plus que tous les deux mais elle en avait été incapable. Le manque était trop important pour qu'elle puisse lutter contre ses envies et ses pulsions.
« Finalement, ton coach n'est peut-être pas si terrible que cela » confessa-t-elle avec amusement lui faisant ainsi comprendre que si elle était là c'était grâce à lui. Sa main vint caresser avec tendresse le crâne du garçon tandis que l'autre restait fermement agrippée sur ses épaules. « Il m'a appelée pour savoir si je voulais vous rejoindre... » Elle fit une petite pause, laissa un suspense qui clairement ne servait à rien puis finit par admettre : « Il n'y avait aucun autre endroit où j'avais envie d'être. » Deux mois plus tôt, elle lui avait dit qu'elle était en train de tomber amoureuse, elle lui avait aussi dit qu'elle l'attendrait, qu'elle ne partirait pas. Elle avait fait mieux : Elle était venue jusqu'à lui. Toujours dans les bras du sprinter, elle posa sa tête sur son épaule, ayant un accès direct à son oreille et murmura : « J'espère que cela ne bouleverse pas trop tes plans de célébration... ». Elle parvint à faire glisser l'une de ses mains sur le torse de Jackson et acheva toujours au creux de son oreille : « ll me semble que je te dois une danse... » puis laissa vagabonder son souffle chaud dans sa nuque. Une promesse était une promesse et Marley comptait bien la respecter.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Confortablement calé dans le cou de Marley, Jax attend son explication mais la brune préfère l'extraire de sa cachette pour forcer leurs visages à se faire face. L'athlète soutient son regard. Des autoroutes de sentiments se créent d'une rétine à l'autre, instaurant entre la métisse et lui des ponts silencieux sur lesquels roulent tous ces mots qu'ils n'ont pas encore eu la chance de se dire à voix haute. Pas étonnant que le baiser qui s'en suit déraille en seulement quelques secondes. Le corps toujours gorgé d'adrénaline de Jackson répond instinctivement aux signaux envoyés par l'attitude de la brune, tant et si bien que ses doigts possessifs se referment sur ses fesses, avide de plus, qu'importe l'endroit où ils se trouvent. Par chance, la lucidité de Lynch permet de freiner leur course insensée. Cette reprise de souffle oblige le sprinteur à mieux se tenir, préservant ainsi le reste de l'équipe d'une intimité qui finalement ne les regarde pas.
« Finalement, ton coach n'est peut-être pas si terrible que cela »« Tu crois ? » Plaisante-t-il tout en jetant un coup d'œil en direction du tyran. Ce dernier le regarde en secouant l'indexe, ce qui arrache à Jackson un rire étouffé. Il ne se souvient que trop bien de l'épisode de la fenêtre en dessous de laquelle il s'est fait traiter de petit con. « Il m'a appelée pour savoir si je voulais vous rejoindre ... » Jax hausse les sourcils. « Ça veut dire qu'il a lu nos textos ... » Et leur contenu parfois olé-olé ... « Il n'y avait aucun autre endroit où j'avais envie d'être. » Cette réplique chasse de l'esprit du sportif toute inquiétude relative à ce que le coach pourrait penser de leurs écrits. Quelle importance après tout ? Qui irait encore croire que Marley n'est qu'une groupie parmi tant d'autres, tout juste bonne à le déconcentrer, alors qu'elle a traversé plusieurs fuseaux horaires afin d'être la première à lui tendre le drapeau ainsi qu'à le féliciter pour sa médaille ? Mills ronronne. Il n'avait pas prévu d'être aussi choyé et pensait devoir attendre son retour en Australie afin de partager sa joie avec elle. Tenir dans ses bras la métisse suffit à le rendre heureux, il n'en demande pas plus. « J'espère que cela ne bouleverse pas trop tes plans de célébration ... ll me semble que je te dois une danse ... » Ce rappel de promesse le renvoie sur le banc du Starbucks au sein duquel ils ont bu leur premier café. Le jour des sélections ... La prétention avec laquelle il avait prétendu gagner l'or et l'orgueil de se savoir aujourd'hui détenteur du titre étire sur ses lèvres un sourire insolent. Quel plus beau cadeau ? Mills pousse un grognement appréciateur. Des frisons naissent à la base de sa nuque puis descendent en cascade le long de sa colonne vertébrale dans une impression de vertige tout bonnement délicieuse. Plus de couvre-feu. Plus de coach pour les culpabiliser. Plus de barrières entre eux et ce besoin physique qu'ils répriment depuis 9 mois. « Tu sens ? » Chuchote-t-il en réponse, bien décidé à rentrer dans le jeu de la brune. Discrètement, Jax presse le bassin de Marley contre le sien. « Tu vas devoir rester dans mes bras un p'tit moment. » Explique-t-il, aussi excité qu'amusé par les réactions chimiques que provoque la métisse sur son anatomie. « Ce short est beaucoup trop moulant. » Car même si tout le staff ou presque l'a déjà vu nu soit sous la douche, soit pour une pesée, soit à tout autre moment de la vie d'un sportif dont la pudeur est le dernier des soucis en contexte de compétition, Mills n'a aucune envie de marquer les esprits de la bosse que forme sa queue par dessus son nombril. « Remise des médailles dans 3 minutes ! » Crie alors l'un des coordinateurs de l'évènement, la tête passée derrière la porte du vestiaire australien. Mills se recule ce qu'il faut pour à nouveau faire face au visage de Marley. Ses lèvres entre ouvertes et ses yeux ronds témoignent de sa surprise. Pris dans l'euphorie, il n'a pas vu le temps filer. Le saut de haies est probablement terminé depuis longtemps. Combien de minutes est-il resté avec les journalistes ?
* * *
« Tu bandes ? » S'exclame Davies, l'américain, tandis qu'ils s'avancent le long du couloir menant au stade. Jax choisit d'ignorer. Il tâche de penser à une chaise, à un cochon d'Inde ou à une brosse à dent mais les seules imagines lui venant en tête sont celles implantées par les propos de Marley quelques secondes avant qu'on ne l'invite à quitter le vestiaire. Des mois de fantasmes inavoués remontés à la surface par ce coup de pied que la métisse a donné dans la fourmilière et voilà que Mills ne sait plus quoi faire de cette trique malvenue. Ses adversaires partent en fou rire, chacun y allant de son pronostique sur les raisons de la fermeté qu'il affiche. « C'est la gloire. Il a pas l'habitude le petit nouveau. » Les deux autres n'en sont pas à leurs premiers jeux. « Tu parles, moi j'te dis que la gloire porte un mini short et qu'elle l'attend à l'hôtel comme elle l'attendait en bord de piste ! Bien roulée la petite, c'est quoi son nom ? »« La ferme ! » Jax ne sait plus quoi faire, il est trop tard pour reculer, déjà le ciel leur apparaît à la sortie du couloir. Paniqué, il enroule autour de sa taille le drapeau australien en guise de cache misère. « C'est pas grave, tu diras que t'étais content d'avoir gagné. » Le médaillé d'argent lui tapote l'épaule. « Il m'énerve. » Surenchérit Davies, « Il nous vole une place et maintenant toutes les go du village olympique vont vouloir lui passer dessus ! J'te préviens Mills, c'est moi qui baise la gymnaste russe, ça fait 3 jours que j'la drague ! » Jax fronce les sourcils, en désaccord avec les façons de faire du médaillé de bronze. L'appel de leurs noms coupe court à cette conversation. Un à un les champions s'avancent, montent sur leur marche. Lorsque vient son tour, Mills parvient à faire abstraction de sa gêne, se penche afin de recevoir sa médaille et chante l'hymne australien. Davies en profite pour tirer sur le drapeau. Voilà : la photo officielle du 100 mètres des JO d'Athènes 2012 immortalise la vigueur australienne ainsi que le fou rire de ses dauphins.
* * *
Le coach lui a fourni l'adresse de l'hôtel de Lynch. Après la remise des médailles, la métisse n'a pas été acceptée en zone réservée au comité. Évidemment Jax a eu le temps de redescendre en pression, de se doucher et de manger un morceau, mais il reste impatient de la rejoindre et grimpe les escaliers 4 à 4 munit d'un énorme bouquets de roses. Lorsqu'il sonne à sa porte, le sprinteur se cache derrière les fleurs en attendant qu'elle lui ouvre. « Dois-moi que c'était pas aussi terrible que ce que j'imagine ... » Lance-t-il, un sourire résigné aux lèvres, tandis que le battant pivote sur le visage de la métisse. Mills n'a pas souhaité regarder la photo, pas non plus souhaité répondre aux appels de Mickey ayant bombardé son téléphone à sa descente du podium. C'est sûr, son cousin va le charrier jusqu'à la fin des temps. Tout ce que Jax espère, c'est que cette photo insolite ne ternira pas son image de sportif fraichement médaillé et que les sponsors ne lui tiendront pas rigueur de cette érection fortuite. « Parce que si c'est le cas, tu vas avoir des choses à te faire pardonner lieutenant Lynch. » Il porte autour du cou l'or en guise de laissé passé et tapote la médaille pour rappeler à la brune qu'elle lui doit quelque chose en échange.
(c) sweet.lips
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Lorsqu'elle avait émis le fait de peut-être perturber ses plans du fait de sa présence, la jeune femme savait au fond d'elle qu'il était au contraire ravi qu'elle soit à ses côtés. Elle l'avait compris dès qu'il l'avait soulevée du sol. Sa façon de répondre à son baiser n'avait que confirmé le fait qu'il partageait la même joie qu'elle. Lorsque les doigts de Jackson s'étaient agrippés à ses fesses, Marley avait étouffé un gémissement alors que sa bouche dévorait avec encore plus d'envie celle de l'athlète. Ses neuf mois d'abstinence arrivaient bientôt à leur terme et le corps de la métisse semblait l'avoir parfaitement compris. Plus Jackson la touchait, plus les jambes fines de Lynch s'accrochaient à son bassin. Provocatrice, elle n'avait pu s'empêcher de remettre sur le tapis le pari qu'il lui avait lancé et qu'elle se devait désormais de respecter. Le grognement appréciateur qui laissa échapper vint remuer un peu plus l'estomac de Marley. Lorsqu'il murmura à son tour : « Tu sens ? » et qu'il plaqua son bassin au sien, les yeux de la brune s'écarquillèrent de surprise tandis qu'incapable de se contrôler, elle se cambrait un peu plus. Cette trique, elle en avait rêvé dès le premier soir où elle l'avait vu. Il était debout, face à elle, nu, le pénis au garde-à-vous. Jamais elle n'avait à ce point désiré un homme, jamais non plus elle n'avait été à ce point frustrée. Aujourd'hui tout était différent, il s'agissait juste d'une question de temps. Plus rien ne les empêchait d'enfin pouvoir passer à l'acte. En plus de le sentir en elle et de pouvoir enfin profiter de son corps, Marley avait aussi hâte de pouvoir passer une nuit complète à ses côtés, allongée dans ses bras. Jax la tira de ses pensées en poursuivant : « Tu vas devoir rester dans mes bras un p'tit moment. » Elle se mordit la lèvre alors que contre son ventre continuait de gonfler le sexe de Jackson. Dommage qu'ils ne soient pas totalement seuls, Marley se serait chargée de cette érection sur le champ. « Ce short est beaucoup trop moulant. » Elle se mit à rire alors qu'elle sentait que de son côté ses sous-vêtements devenaient de plus en plus humides. Elle s'apprêtait d'ailleurs à le lui confesser lorsque la porte s'ouvrit découvrant ainsi un organisateur du tournoi : « Remise des médailles dans 3 minutes ! ». La réaction des tourtereaux fut similaire. Chacun observa l'autre avec incrédulité. Trois minutes ? Impossible que Jackson parvienne à dissimuler son érection en si peu de temps. Marley sauta hors de ses bras, se reculant. Elle observa le short de Jackson... Si elle mourait d'envie de lui sauter dessus pour le lui enlever elle s'abstint, bien consciente que la situation était déjà assez critique. « Pense à un abattoir avec plein de cochons qu'on égorge ! » lui dit-elle alors qu'il s'apprêtait à sortir. Il lui lança un regard perplexe et Marley haussa les épaules avec un air mi-désolé, mi-amusé. C'était la seule chose qui lui était venue en tête.
* * *
La jeune femme rejoignit le staff de Jackson, et baissa la tête devant le regard réprobateur du coach. Apparemment le « petit » incident n'était pas passé inaperçu. Si une part de Marley était fière - après tout c'était elle qui lui faisait autant d'effet - une autre culpabilisait. Ils sortirent tous et retournèrent dans les gradins afin d'assister au sacre de leur champion. Lorsque Jackson sortit avec le drapeau de l'Australie enroulé autour de lui, la flic sourit devant son ingéniosité. C'était parfait. Personne ne pouvait se douter de ce qui était dissimulé sous le morceau de tissu. Elle applaudit à tout rompre lorsqu'on lui remit sa médaille et se mit à chanter elle aussi l'hymne australien. L'émotion était en train de la gagner et elle aurait presque pu verser une larme si à cet instant-là l'américain n'avait pas tiré sur le drapeau de Jackson découvrant ainsi aux yeux du monde entier son érection impressionnante. Les lèvres de la métisse s'entrouvrirent tandis qu'elle sentait les regards de tout le staff posés sur elle. Mal à l'aise, elle n'osait tourner la tête. Ce fut presque avec soulagement qu'elle reçut l'information selon laquelle elle n'avait pas le droit de les suivre dans la zone réservée aux membres des jeux olympiques. La belle en profita alors pour retourner à son hôtel.
* * *
Elle trépignait d'impatience, ne parvenait pas à tenir en place. Elle avait eu le temps de prendre une douche, de se changer et d'enfiler une robe rouge moulante – qui elle l'espérait ferait succomber le garçon – de se coiffer, de se maquiller et même de commander une bouteille de champagne au room service. A tout moment Jackson pouvait débarquer et la métisse n'attendait que ça. Savoir que dans quelques instants elle allait pouvoir le retrouver, l'avoir juste pour elle, et allait passer la soirée et la nuit avec lui, excitait la jeune femme qui sentait déjà son rythme cardiaque augmenter. Soudain elle entendit frapper à sa porte, sans perdre une seule seconde, elle se précipita jusqu'à celle-ci pour l'ouvrir. Un immense sourire apparut sur son visage lorsqu'elle découvrit le magnifique bouquet qu'il venait de lui apporter : « Dis-moi que c'était pas aussi terrible que ce que j'imagine ... » Elle se pinça quelque peu les lèvres et elle haussa un sourcil avec un air concupiscent. Elle préféra le taquiner tout en essayant de dédramatiser la situation. La vérité était que l'on voyait en effet son érection mais que cela ne sautait pas spécialement aux yeux sur la photo. Si le drapeau était tombé, Jackson avait pris soin de croiser ses mains devant ses jambes, dissimulant au passage une partie de son anatomie. Lorsque Marley était allée voir les photos officielles présentes sur le site internet, le cadrage avait été fait de sorte que seuls les visages et les médailles des athlètes soient visibles. La performance hors du commun de Jackson était plus évoquée que ce petit incident qui – elle l'espérait – se révélerait n'être qu'une anecdote incongrue dans les années à venir. Evidemment que certains journaux en parleraient, mais pour le moment tout le monde mettait sur un piédestal celui qui avait failli battre Usain Bolt. « Parce que si c'est le cas, tu vas avoir des choses à te faire pardonner lieutenant Lynch. » Elle attrapa le bouquet, glissa son autre main dans celle de Jackson et alors qu'elle le faisait entrer dans sa chambre répondit : « Terrible non. Impressionnant par contre... ». Et ses yeux descendirent au niveau de l'entre-jambes de Jackson. Elle prit un air boudeur et faussement contrarié lorsqu'elle constata que l'érection n'était plus. Elle lâcha ses doigts, laissa malencontreusement et furtivement glisser sa main sur le pénis du garçon et murmura : « Il va falloir remédier à cela... » Et elle lui offrit un immense sourire. Elle finit par se diriger vers un coin de la chambre où se dressait une table sur laquelle trônaient un seau à champagne et deux verres. Elle remplit les deux coupes et en tendit une à Jackson. Elle trinqua avec lui : « A ta victoire si méritée ! » Elle but une gorgée puis approcha sa main libre de la médaille qu'il avait autour du cou. Du bout des doigts elle la toucha, ne cachant à aucun moment son admiration et son émerveillement. « Ca valait les sacrifices... Et dire que dans trois ans il faudra remettre ça... » Et elle lui fit un petit clin d'oeil. Marley se projetait dans l'avenir, et n'avait pas peur de faire comprendre à Jackson qu'elle était dans sa vie désormais et qu'elle ne comptait pas en bouger. Si elle était obligée de vivre loin de lui pendant un an pour qu'il prépare les jeux, alors elle le ferait. Elle lâcha enfin la médaille et déposa tendrement ses lèvres sur les siennes, goûtant au passage la boisson qu'il venait de boire. La soirée s'annonçait festive et rien ne pourrait venir ternir leur bonheur.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Il entre dans la chambre à la suite de Marley, impressionné par cette robe qu'il détaille avec gourmandise, se faisant la réflexion qu'elle n'aura pas beaucoup de mal à se donner pour remédier à ce " ça " boudeur qu'elle articule en lui effleurant le pantalon. « J'vois que tu plaisantes pas. » Répondit-il après lui avoir rendu la pareille et caressé du bout des doigts le tissu rouge recouvrant la taille de la métisse. Des picotements d'excitation lui courent dans le creux des reins mais l'athlète prend sur lui, se contient et rejoint chastement son hôte autour de la coupe de champagne qu'elle lui tend. Plus que la joie de se retrouver, ils partagent ce soir la fierté de la victoire. Une victoire pour laquelle ils ont tous deux concédé le sacrifice de ne pas se voir, de ne pas jouir ensemble de cette relation fraîchement officialisée et de ces promesses faites sous la fenêtre, le soir de la fusillade. « A ma plus grande fan ! » Les verres s'entrechoquent. Jax n'a pas besoin de boire à outrance pour d'ores et déjà ressentir l'ivresse de la nuit qui s'annonce. Un poil vaniteux, il laisse à la jeune femme tout le loisir de tripoter la médaille. Cette dernière ne pèse rien autour de son cou mais l'athlète sait qu'elle pèsera lourd dans sa vie désormais, que des jours meilleurs s'en viennent pour lui comme pour ses proches. Cette certitude à elle seule suffit à faire s'esquisser un sourire de satisfaction au coin de ses lèvres. « Ca valait les sacrifices... Et dire que dans trois ans il faudra remettre ça... » Sourire que la remarque de Marley vient agrandir jusqu'à découvrir la blancheur de ses dents carnassières. « J'vais le faire, tu sais. » Affrime-t-il, « J'vais le battre ! » Usain. Le record du monde. Mills se le donne comme nouvel objectif maintenant que sa carrière de sportif professionnel est lancée, que la barre a été placée si haut qu'il se prend à rêver de gloire éternelle. Peut-être qu'Athènes et son passé mythologique lui tournent la tête, l'incitent à vouloir marquer l'histoire comme Achille avant lui. Qu'importe l'explication. Lorsque Marley l'embrasse, le sprinteur ne pense plus à rien d'autre qu'à lui rendre son baiser. Instinctivement, l'un de ses bras s'enroule autour d'elle, cherche à la rapprocher d'avantage. Jax capte parfaitement le message implicite que lui fait passer la brune. Il l'imagine à ses côtés dans trois ans, secouant une fois de plus le drapeau dans sa direction, détrompant les prédictions de Davies par sa simple présence en bord de piste. Ce soir, Mills ne souhaiterait se trouver à aucun autre endroit que dans la chambre de la métisse, n'en déplaise aux sportives olympiques se languissant de lui au village des athlètes.
« Comment se sont passés tes deux derniers mois ? » Reprend-il après une nouvelle gorgée de champagne, le regard perdu dans celui de Lynch toujours collée à lui. S'il est impatient de recevoir sa danse, Jax est également curieux d'en apprendre d'avantage sur le quotidien de sa douce pendant qu'il était enfermé au centre. Deux textos, ce n'est pas assez pour prétendre être au courant de l'actualité de l'autre. « Tu m'as tellement manqué ... » Il n'a pas peur de le lui avouer. Ça crève les yeux, de toute façon. Cette manière qu'il a de se coller à elle, comme s'il fallait absolument éviter que le moindre courant d'air n'immisce du froid entre la chaleur de leurs corps se languissant de celui de l'autre. À proximité de Marley, malgré la finesse de sa chemise blanche et le lin de son pantalon noir, Jackson bouillonne.
(c) sweet.lips
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
La seule présence de l'athlète dans sa chambre d'hôtel suffisait à rendre toute chose Marley. Elle l'avait déjà constaté dès la première fois qu'elle l'avait rencontré. En sa présence elle se sentait électrisée, elle perdait tous ses moyens, elle perdait le contrôle. Ce soir ne faisait pas exception à la règle. Lorsqu'elle avait senti ses doigts frôler sa hanche, son bas ventre s'était contracté de plaisir et de longs frissons avaient parcouru sa colonne vertébrale. Elle était incapable d'expliquer avec rationalité son comportement et les réactions physiques que son corps subissait. Tout ce qu'elle savait c'était qu'elle n'aurait pas pu être plus heureuse qu'à cet instant précis. Ils finirent par trinquer à la victoire de Jackson et au fait qu'elle soit sa plus grande fan, ce à quoi elle répondit en lui offrant son plus joli sourire. « J'vais le faire, tu sais... J'vais le battre ! ». Le regard plongé dans le sien, Marley n'eut aucun mal à le croire, aucun mal à voir sa détermination. Elle posa avec tendresse une main sur son torse et répondit : « Je sais. Je n'en ai jamais douté. » Il lui avait toujours dit que son but ultime à atteindre était de détrôner Usain Bolt. Si au début cela avait amusé la flic plus qu'autre chose, aujourd'hui plus que jamais elle croyait en cet avenir. Elle l'avait vu courir, elle l'avait vu en retard sur la piste et puis surtout elle l'avait vu doublé un à un tous ses adversaire. Son engagement sur la piste n'avait d'égal que celui qu'elle avait dans son travail. Il était acharné dans ce qu'il faisait, ne baissait jamais les bras, se battait jusqu'au bout. En plus d'être fière de lui, la jeune femme était aussi fortement impressionnée. Elle avait hâte de suivre la suite de ses aventures et de le voir ravir tous les records un à un. A cet instant elle eut besoin de lui prouver tout ce qu'elle ressentait à travers des mots mais aussi des gestes. Son baiser qu'elle avait d'abord donné tendrement s'était une nouvelle fois transformé en un échange passionné. Ils avaient tellement dû attendre afin de pouvoir profiter l'un de l'autre que désormais garder un peu de retenue semblait trop difficile pour eux deux. Elle colla son corps au sien lorsqu'elle sentit l'un de ses bras s'enrouler autour d'elle. L'une de ses mains à elle s'accrocha à la nuque du garçon. Elle n'avait aucune envie de se détacher de lui. Alors elle décolla juste ses lèvres mais resta blotti dans ses bras.
« Comment se sont passés tes deux derniers mois ? » Le corps de la brune se crispa quelque peu face à cette question. Merdiques. Voilà comment ils avaient été. Elle avait failli être rétrogradée, punie parce qu'elle l'avait protégé. Certains de ses collègues avaient pris un malin plaisir à l'humilier, à la rabaisser. Elle n'avait rien dit, avait tout encaissé, mais elle n'oubliait rien, jamais. Maintenant qu'elle avait retrouvé son statut de lieutenant et qu'elle était de retour sur le terrain, elle se ferait un malin plaisir de les remettre à leur place à un par un. Son regard plongé dans celui de Jackson elle murmura : « C'était terriblement long. » puis elle plongea son nez dans le cou du jeune homme, humant avec délice les effluves de son parfum. « Tu m'as tellement manqué ... ». Cette fois-ci le corps de la brune se tendit de plaisir. Entendre ces mots chatouiller ses oreilles lui procurait un bien fou. Sans réfléchir davantage, elle se colla un peu plus au sprinter, l'obligeant à reculer jusqu'au fauteuil présent dans la chambre. Une fois qu'il fut assis dessus, elle remonta légèrement sa robe afin de pouvoir s'asseoir à califourchon sur ses genoux. Ses jambes nues semblaient appelées les mains de Jackson tandis que celles de la jeune femme se posèrent sur ses joues : « Ma seule motivation pour tenir durant ces deux mois, c'était de m'imaginer ainsi à tes côtés. » C'était niais au possible pourtant c'était vrai. Chaque jour avait été une épreuve, mais la satisfaction de se dire qu'une journée passée était une journée en moins qui la tenait à distance de l'athlète lui avait permis d'affronter chaque jour avec un peu plus de volonté. Elle déposa un baiser sur son front, puis un sur son nez, un autre sur chaque joue, et enfin cesse le supplice et attrapa ses lèvres, laissant son corps commencer à onduler sur ses genoux. Consciente que la passion qui la dévorait lui faisait peu à peu perdre le contrôle elle stoppa sa course effrénée et chuchota : « Je crois que c'est l'heure de ton cadeau. ». Elle se pencha doucement, attrapa la télécommande posée sur la commode à côté et lança la musique. Que le show commence.
Le destin a écrit:
WIN : Marley se redressa et s'éloigna quelque peu de Jackson. La lumière tamisée de la pièce ainsi que la musique qui résonnaient les mirent rapidement dans l'ambiance. Elle s'approcha de lui en chaloupant, son corps ondulant au rythme des notes. Marley se faisait tentatrice, ne lâchant jamais le regard de Jackson tandis que ses propres mains glissaient sur son propre corps. La tigresse devenait de plus en plus joueuse, laissant volontairement la bretelle de sa robe glisser, découvrant ainsi la dentelle noire de son soutien-gorge. Elle continua de s'approcher de Jackson, le frôlant sans jamais véritablement le toucher. Soudainement la musique accéléra et la belle se cambra, laissant à la vue de l'athlète ses fesses rebondies. Au point culminant de la chanson, Lynch se redressa, et sans prévenir, fit glisser entièrement la fermeture de sa robe qu'elle laissa tomber au sol. En sous-vêtements devant le jeune homme, elle se mordit la lèvre, emplie de désir, et lorsque la musique s'arrêta elle lui fit une petite révérence. Son petit spectacle était loin d'être aussi parfait et excitant que celui de Jackson, mais nul doute qu'il était réussi tant la température venait de grimper violemment d'un cran. Marley avait même l'impression de voir une bosse naître sous le pantalon du garçon
SO CLOSE : La musique démarra, Marley se leva, quelque peu hésitante. Son sourire carnassier dévoilant le fond de ses pensées. Elle se mit à danser pour le sprinter sans trop savoir ce qu'elle faisait. Ses mouvements n'étaient pas aussi fluides qu'ils auraient dû l'être mais elle donnait tout ce qu'elle avait. Le résultat, loin d'être parfait fit rire Marley qui s'approcha de Jackson. A défaut de lui proposer un strip-tease de qualité, elle pouvait au moins commencer à l'émoustiller. Elle laissa glisser sa main sur le torse du jeune homme et murmura : « Il n'y a pas qu'à la course que tu es meilleur que moi. » et tenta maladroitement de défaire sa robe. Elle dut s'y reprendre à plusieurs reprises avant d'enfin pouvoir dévoiler son corps à moitié nu au jeune homme. Cette danse était loin d'être une réussite mais c'était aussi loin d'être une catastrophe.
LOSE : Dès les premières notes, Marley se redressa. Alors qu'elle descendait des genoux de Jackson, elle perdit quelque peu l'équilibre et se rattrapa à la commode. Le démarrage était laborieux, mais Marley ne baissa pas les bras. Elle commença à danser mais ses gestes maladroits et peu coordonnés rendaient la scène plus ridicule que tentatrice. Elle essayait d'onduler comme elle avait vu Jackson le faire mais se sentait parfaitement ridicule. Peu à peu la jeune femme si sûre d'elle commençait à perdre ses moyens. Alors que la musique arrivait presque à sa fin, Marley mit sa main sur la fermeture éclaire de sa robe et tenta de la descendre. Impossible. Les sourcils froncés, contrariées, la brune s'acharnait sur le morceau métallique qui ne voulait pas céder. Elle tira de toutes ses forces mais sans succès. La musique s'arrêta et Marley n'eut d'autre choix que de constater que cette danse était un véritable fiasco. Honteuse, elle releva la tête, croisa le regard de Jackson et marmonna : « C'est pas de ma faute, c'est resté coincé. » S'il n'y avait eu que le problème de robe, cela aurait pu passer, le problème était que la danse avait sans doute dû être terrible à voir. La lieutenant n'avait désormais qu'une seule envie : se cacher.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Dernière édition par Marley Lynch le Mer 26 Avr - 20:22, édité 1 fois
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31459 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Jax est docile. Son corps aimanté à celui de Marley recule lorsque la métisse le pousse, finissant sa course sur le fauteuil de la chambre. Le premier réflexe du sprinteur est de tendre le bras afin de se débarrasser de sa flute qu'il pose au sol, à côté de l'assise. Libérée, ses mains peuvent alors se poser à leur guise sur les cuisses que la brune découvre en s'asseyant sur lui. « Ma seule motivation pour tenir durant ces deux mois, c'était de m'imaginer ainsi à tes côtés. » Mills frémit sous ses lèvres douces et chaudes. Les yeux fermés, il accueille ses mamours et sent son rythme cardiaque s'accélérer à mesure de Marley ondule contre lui. Sa langue, à défaut de mettre des mots sur ses émotions, traduit la vitesse avec laquelle la passion enflamme son être. Le coureur s'essouffle à rendre le baiser, remonte l'une de ses mains le long des courbes de la métisse jusqu'à ses cheveux dans lesquels ses doigts se perdent. « Je crois que c'est l'heure de ton cadeau. » Le chuchotement de la jeune femme lui parvient tel un écho lointain, atténué par la couche épaisse de désir qu'il a à traverser avant d'atteindre la conscience de Jackson. Dans un premier temps, ce dernier refuse de lâcher prise. Mais lorsque Marley lance la musique, l'appât du gain l'aide à prendre sur lui. Mills ne ratera ce spectacle pour rien au monde, pas même pour précipiter les choses qu'il s'imagine lui faire maintenant qu'elle a ouvert les hostilités en se frottant de la sorte contre lui ...
Obnubilé par son regard provoquant, Jax commence par s'enfoncer plus confortablement dans le fauteuil. Inconsciemment, l'athlète se mord les lèvres. Le changement d'attitude est notable, pour ne pas dire flagrant. Toute réserve a disparu. Là où Barrett, prétendant au titre de champion, prenait grand soin de ne rien laisser paraître, de réprimer ce qui aurait pu lui porter préjudice, le médaillé d'or fraîchement consacré, lui, affiche clairement la concupiscence de ses pensées. Sa posture, jambes écartées et menton rentré, rappellent celles des fauves tapit en embuscade. Mills, patient, attend son heure en se léchant les babines. Ses yeux observateurs parcourent le corps de Marley, passant de son visage à l'angle de ses épaules, l'arrondi de sa poitrine, le creux de sa taille, la courbe de ses hanches ... Lorsqu'elle tourne sur elle-même, il sent des pulsions lui chatouiller les entrailles à la vision de sa chute de reins. Jax n'a même pas relevé l'hésitation de la métisse ou le manque de synchronisation entre ses mouvements et la musique dont ses oreilles n'ont de toute façon rien capté des paroles. Toute sa concentration est monopolisée par le sens de la vue jusqu'à brusquement basculer dans celui du toucher lorsque la brune se rapproche et s'attèle à lui caresser le torse. « Il n'y a pas qu'à la course que tu es meilleur que moi. » « Tu dis n'importe quoi. » Répond-il d'une voix rauque trahissant l'état d'excitation dans lequel il se trouve. Marley rit, Marley joue avec ses nerfs en s'y reprenant à plusieurs reprises avant d'enfin se débarrasser de sa robe. Mills pourrait tomber à la renverse s'il n'était pas déjà assis. « C'que t'es belle ... » Lâche-t-il, médusé face au corps à moitié nu de la métisse. N'y tenant plus, il se redresse et profite qu'elle soit à portée de main pour refermer sa paume brûlante sur sa taille. « T'oublies quelque chose ... » Ses doigts glissent de quelques centimètres jusqu'à s'emparer du rebord de son string sur lequel ils tirent avec une lenteur calculée, quand bien même il lui coute de prendre son temps. Jackson ne laissera pas son envie dévorante écourter la nuit. « Laisse-moi te débarrasser de ça. »
(c) sweet.lips
Dernière édition par Jackson Mills le Dim 30 Avr - 13:11, édité 1 fois
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
« Tu dis n'importe quoi. » Marley frémit devant le ton assuré du garçon. Elle sut à ce moment-là que sa petite danse avait fonctionné, ou plutôt que ses charmes avaient opéré. Si Jackson semblait aveugle face à son manque de technique, à ses hésitations, à ses maladresses, la lieutenant savait elle, que la danse qu'elle lui avait offerte était loin d'être parfaite. Le fait qu'il ferme les yeux ou qu'il ne s'en soit pas rendu compte traduisait toute l'attraction qu'il éprouvait pour elle, tout ce désir qu'il avait réprimé durant des mois tout comme elle. En sous-vêtements devant le coureur, la brune sentit son estomac se contracter lorsqu'il déclara : « C'que t'es belle ... » Elle se mordit la lèvre, garda le silence alors qu'elle n'avait qu'une seule envie : qu'il se retrouve à son tour dans sa tenue d'Adam. Elle ne savait pas combien de temps elle allait encore pouvoir tenir avant de lui sauter littéralement dessus mais elle était prête à parier que ce temps serait très court. Elle en eut la certitude lorsqu'elle sentit sa main chaude électriser sa hanche. Les doigts de Jackson glissèrent sous le rebord de son string et arrachèrent par la même occasion à long frisson à la demoiselle. « Laisse-moi te débarrasser de ça. » Un gémissement échappa à la jeune femme qui voyait enfin arriver le moment tant attendu. Enfin ils allaient pouvoir goûter ensemble aux plaisirs de la chair, désormais plus rien ne les retenait. Soudain il se leva, la surplombant de toute sa carrure, de toute sa prestance. La jeune femme se laissa faire, recula jusqu'au lit sans jamais détacher son regard du sien. Lorsqu'il lui avoua qu'il attendait ça depuis le premier soir, un sourire provocateur et complice glissa sur le visage de Lynch. Elle n'avait pas besoin de lui dire qu'elle aussi attendait ça depuis ce fameux soir puisqu'à ce moment-là, elle s'était montrée plus qu'explicite. Il l'avait repoussée, lui avait dit non, elle était repartie frustrée mais ce soir, dans cette chambre, elle lui en était presque reconnaissante. L'attente avait été interminable mais elle en valait la peine, la flic en prenait désormais la pleine conscience.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Dernière édition par Jackson Mills le Mar 2 Mai - 16:50, édité 1 fois
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on