| it’s a violent kind of spin (margot#1) |
| ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440 TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022 CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14) nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21) i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3) step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
TÉLÉPHONE : mac › mac (fb)
RPs EN ATTENTE :
(eli (scénario libre)) you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
RPs TERMINÉS : AVATAR : florence pugh. CRÉDITS : harley (avatar & gif profil & crackships) & phelto, pvris, grandson, dorothy (lyrics) & dessin by mapartche ♥ DC : cassie la wannabe (ft. reneé rapp) & dina la ninja (ft. melissa barrera) PSEUDO : harley. INSCRIT LE : 14/06/2020 | (#)Jeu 20 Avr - 13:53 | |
| it’s a violent kind of spin Spencer Blackwell & @Margot Imani
Si t’es là ce soir, c’est uniquement pour lui faire plaisir. Parce qu’elle t’a demandé, parce que ça fait longtemps que t’as plus montré ta tronche à une soirée organisée avec ses potes et surtout parce que dans le fond, tu peux pas lui refuser grand chose. T’es tout sauf à l’aise, tu sais pas si tu l’as jamais été au milieu de ces gens. Vous n’êtes pas du même monde. Et tu vois bien comment ils te regardent, tu peux qu’imaginer ce qu’ils disent, même. Y a ses copines de fac, forcément y a Margot aussi, et ça te serre le coeur d’assister à leurs échanges. Ça ne devrait pas t’affecter à ce point et malgré tout ça te fout en rogne autant que ça te donne envie de chialer. C’est rien, pourtant. Elles sont ensemble, Mac te doit rien, et c’est probablement juste ton côté un peu trop protecteur qui ressort, ça te passera. Si d’ordinaire tu fais des efforts pour ne pas les regarder, ce soir t’en es incapable. T’aurais mieux fait de pas venir, tu le savais. Comme souvent, t’as à peine adressé deux mots aux autres gens, t’as copieusement ignoré Margot et t’es partie te foutre en retrait dans un coin, un gobelet écrasé entre tes doigts en attendant que ça se passe. Comme toujours, toute ton attention est portée sur elle, sur la façon qu’elle a d’agiter les bras et de sourire en parlant de tu ne sais trop quoi. Elle a l’air heureuse, tellement vivante et tu demandes pas mieux, vraiment. T’écoutes même pas ce qui se dit autour de toi, t’as aucune envie de faire semblant, pas ce soir. Et puis d’un coup, ça te démange, c’est trop, t’en as marre. Sans un mot et dans l’indifférence la plus totale, tu te lèves et tu fais ce que tu fais le mieux ; fuir. T’as rien à foutre ici, avec ses potes pétés de thunes et bien trop hauts sur l’échelle sociale pour toi. T’as bien vu la façon dont ils te dévisagent la plupart du temps, les réflexes qu’ils ont à planquer leurs téléphones ou leurs portefeuilles comme si t’allais saisir la première opportunité pour leur piquer. T’es bien au courant des rumeurs qui circulent à ton sujet depuis l’époque du lycée. Elles sont probablement fondées pour la plupart, mais tu sais te tenir, faut pas déconner non plus. C’est définitivement pas ton monde, c’est le sien et elle a pas besoin de toi pour s’épanouir et être heureuse. Elle a ses amies, elle a Margot, et t’es juste de trop dans cette configuration. Tu lui enverras un message plus tard si t’oublies pas, ça sera facile de prétendre que tu te sentais pas très bien et que t’es rentrée chez toi ou un mensonge dans la même veine. Pour l’heure, c’est à Nick que t’envoies un texto, t’as besoin de savoir s’il est dispo pour te dépanner d’un peu de codéine, d’oxy ou même un simple joint, juste de quoi éteindre ton cerveau pour le reste de la soirée. La réponse ne tarde pas, il est libre, il t'en faut pas plus pour bouger. Avant de te barrer, tu dois récupérer ta veste qui doit être fourrée sous toutes les autres dans une des chambres et ça te fait chier d’avance de devoir tout retourner pour la retrouver. Sauf que forcément, forcément, sur le chemin pour y aller y a Margot qui est là aussi, plantée en plein milieu du couloir l’air d’attendre un truc, sûrement qu’elle attend après les chiottes ou qu'elle a perdu sa boucle d'oreille ou t’en sais rien, tu t’en fous carrément même, mais du coup elle bloque le passage et t’as pas la patience d’attendre qu’elle se mette en mouvement. « Bouge, j’suis pressée, » tu râles, toujours aussi agréable avec la meuf de ta pote. C’est même pas mérité en plus, t’es sur les nerfs à cause de plein de trucs et ça ressort sur elle vu qu’elle a le malheur de se trouver sur ton chemin. « Vraiment j’ai pas le temps. » T’as même pas envie de t’arrêter pour te prendre la tête avec elle ou taper la discute, tu veux juste récupérer ta veste de merde et te tirer au plus vite.
- Spoiler:
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| | | | (#)Ven 21 Avr - 13:30 | |
| it’s a violent kind of spin @Spencer Blackwell & Margot Imani
La soirée se passe bien, tu le sais, plus que ça même tu le sens. Tu t’entends bien avec les amies de Mac, tu te sentirais presque à ta place. Presque. Parce qu’il y a un irritant dans l’équation, comme d’habitude. Spencer souvent présente, toujours trop envahissante selon toi, et ce soir ne fait pas exception à la règle. Tu te doutes de la raison derrière sa présence, suppose (avec raison) que c’est Mac qui l’a invitée. Comme d’habitude, comme à toutes les autres fois où elle est apparue dans ton champ de vision comme une mauvaise surprise qui continue de se répéter. Et pourtant, tu sais que t’as pas de légitimité à lui en vouloir, que la pointe de possessivité qui te monte à la gorge n’a pas sa place. Parce que t’as compris assez vite l’importance qu’elle a pour ta copine, que t’es pas conne au point de t’imaginer des choses quant à ce qui se passerait s’il fallait que tu vocalises ton malaise. À avoir le choix entre Spencer et toi, Mac ne te choisirait sans doute pas. Alors il faut prendre ton mal en patience, accepter le fait qu’elle sera toujours dans ton champ de vision à quelque part. T’essaies de te concentrer sur les autres personnes présentes, sur celles avec qui tu t’entends bien, mieux. Tu discutes en forçant un sourire sur tes lèvres, sourire qui se fait un peu plus sincère au fur et à mesure que tu t’efforces d’oublier la présence du fantôme de ta relation. C’est fragile, c’est idiot surtout et tant pis si tu te détestes un peu plus alors que tu viens mettre ta main dans le dos de Mac, une vague tentative de marquer un territoire qui n’est pas le tien. Et c’est horrible de voir les choses ainsi, de t’abaisser à faire de celle que t’aimes un objet à préserver. C’est peut-être parce que tu sais que c’est faux tout ça, que l’amour qu’il y a entre elle et toi est factice plus qu’autre chose. T’as aucune satisfaction à avoir du fait qu’elle soit avec toi au fond et cette certitude fait mal.
Tu réussis quand même à oublier la présence indésirable après un moment. Tu te concentres sur les dires d’une des potes de ta copine qui te parle de ses projets de carrière. Tu trouves ça intéressant, t’aimes voir comment ça recoupe les tiens, comment vous pourriez collaborer à l’avenir. T’aurais surement du rester à côté d’elles comme ça à continuer de discuter, mais l’appel de la nature se fait sentir et tu te trouves forcées de mettre la discussion en pause. Et surtout de réaliser à quel point tu dois avoir un karma abyssal. Parce que t’es là, tranquille, à attendre que les toilettes se libèrent lorsqu’une voix familière s’élève. Tu braques ton regard sur la source, incapable de camoufler la grimace qui vient tordre tes traits lorsque tu réalises qu’il s’agit de Spencer. Gé-ni-al, t’avais définitivement besoin de ça. « Trop pressée pour être polie à ce que je vois. » Un bref coup d’oeil aux alentours pour t’assurer que Mac n’a pas eu l’ultra instinct de se rappliquer. C’est toujours comme ça vis-à-vis de la blonde : il faut préserver les apparences lorsque ta copine est dans les parages, mais les gants tombent dès que ce n’est que vous deux. Tu sais pas pourquoi t’insistes, pourquoi t’engages la discussion avec cette fille que t’apprécies même pas. C’est plus fort que toi en fait. « T’as pas le temps de dire au revoir à personne hm. » Elle devrait dire au revoir à Mac surtout, même si ça te fait chier, parce que c’est la chose à faire. Mais au fond, c’est pas ça que tu veux dire. T’as des envies beaucoup plus égoïstes et peut-être que c’est le verre que t’as bu, peut-être que c’est le ton bourru de Spencer qui vient te chercher de travers cette fois. « Pourquoi t’es venue si c’est pour te barrer comme ça ? » Tu sais pourquoi au fond, t’es pas complètement stupide, mais forcément, ça ne fait que venir te chercher encore plus. T’es énervée contre elle, contre Mac, mais surtout contre toi. « Qu’est-ce que tu cherches en fait Spencer ? Tu veux qu’elle court après toi pour t’empêcher de partir ? » T’as l’impression qu’elle cherche à montrer à Mac qu’elle pourrait avoir mieux et ça te fait peur. T’aimes pas devoir vivre avec une ombre sur ton couple, avec une menace toujours présente. C’est peut-être le temps de régler ça. |
| | | ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440 TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022 CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14) nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21) i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3) step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
TÉLÉPHONE : mac › mac (fb)
RPs EN ATTENTE :
(eli (scénario libre)) you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
RPs TERMINÉS : AVATAR : florence pugh. CRÉDITS : harley (avatar & gif profil & crackships) & phelto, pvris, grandson, dorothy (lyrics) & dessin by mapartche ♥ DC : cassie la wannabe (ft. reneé rapp) & dina la ninja (ft. melissa barrera) PSEUDO : harley. INSCRIT LE : 14/06/2020 | (#)Sam 22 Avr - 10:00 | |
| it’s a violent kind of spin Spencer Blackwell & @Margot Imani
D’accord, t’aurais pu être polie et assez sympathique pour ne pas l’agresser à la première occasion venue. Mais c’est pas ta faute, t’es d’une humeur de merde et c’est franchement la dernière personne que t’avais envie de voir. Alors voilà, t’es venue, t’as vu, t’as pas vaincu, tu comptais t'éclipser sans faire d’esclandre et sans même que ça ne se remarque. T’as été brusque, t’es désolée, mais tant pis, trop tard. « J'ai une urgence. » Que tu marmonnes pour toute réponse, elle s'appelle Codéine et elle t'attend d'ici une heure, alors ouais, t'as pas tellement le temps de traîner pour taper la discute avec Margot parce que t'as la moitié de la ville à traverser et que t’as même pas de chauffeur. « Elle est occupée et les autres j’les connais pas. » Aucun effort pour apprendre à le faire, cela-dit. Et puis merde, pourquoi tu te justifies auprès d’elle, déjà ? « Mais tu t’entends des fois ? » Elle est parano, c’est pas possible autrement. Okay, ça flatte toujours ton égo de savoir que tu passes toujours avant Margot, c’est sûr, mais c’est pas du tout le but de la manœuvre, ce soir. Ça l'a jamais été. Au contraire, elle devrait être contente que tu lui laisses de l’espace au lieu de t’accaparer la présence de ta meilleure amie. T’as pas envie d’être là, ça se voit assez pour qu’elle pose pas de questions, non ? « Et je cherche rien putain, j’veux juste aller récupérer ma veste et me barrer. » Que tu râles de nouveau en désignant l’autre côté du couloir, celui où t’as pas accès vu qu’elle fait barrière. « J’ai passé une journée de merde au boulot, j’suis fatiguée et j’ai envie de rentrer chez moi, ça te va ou faut que j’aille chercher une ordonnance du médecin ? » Tu mens parce que ça fait trois jours que t’as pas foutu les pieds à ton job. La dernière fois que tu t’es pointée là-bas tu t’es pris la tête avec un client et t’as piqué cinquante balles dans la caisse, mais personne n'a besoin de le savoir et certainement pas Margot. Ca pourrait s’arrêter là, tu pourrais forcer le passage, la bousculer un peu et carrément sortir de la maison par la fenêtre pour pas la recroiser en retournant vers l’entrée, mais faut croire que t’as envie de remettre de l’huile sur le feu. Tu t’approches d’un pas, presque menaçante du haut de ton mètre soixante à peine dépassé, et dans n’importe quel autre contexte ça serait juste drôle de te voir prendre tes aises à ce point-là. Sauf que là, t’as tout sauf envie de rire. « C’est quoi ton problème exactement ? Je t’ai fait quoi ? » T’as essayé d’être sympa avec elle. Un peu, quoi. Et dès le début t’as senti ses regards en coin et toutes les mauvaises vibes alors t’as arrêté de faire des efforts. Pour le reste, vous êtes au moins assez adultes pour ne pas vous bouffer la gueule lorsque Mac est dans la même pièce que vous. Manque de bol pour l’heure, elle n’y est pas. « T’as tant d’insécurités que ça pour croire que je fais ça pour l’attention ? » La personne présentement coincée aux toilettes doit bien se marrer, tiens, à vous écouter. « Si t’avais pas été là au milieu du couloir t’aurais même pas remarqué alors me fais pas chier. » Mac l’aurait fait, probablement plus tard dans la soirée et t’aurais eu le droit à un message avec plein de fautes parce qu’elle aurait été pompette ou tu sais pas quoi, mais rien de plus. Y a pas besoin d’en faire toute une histoire, c’est pas la première fois que ça arrive et c’est certainement pas la dernière. « Du coup est-ce que tu veux bien me laisser passer, s’il-te-plait ? » T’insistes bien sur la formule de politesse puisque visiblement c’est ça qui lui manquait.
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| | | | (#)Mer 26 Avr - 21:38 | |
| it’s a violent kind of spin @Spencer Blackwell & Margot Imani
Une urgence, tu peux pas t’empêcher de rouler des yeux devant cette réponse totalement stupide. Tu sais que ce n’est pas juste de ta part en soit, que t’es pas l’autorité sur les excuses, surtout pas les siennes. On ne peut même pas dire que tu la connais, pas vraiment et pourtant, te voilà à la juger presque ouvertement. C’est gratuit et ce n’est pas plus juste que l’idée de lui reprocher un départ digne d’un fantôme. Ouais, elle part sans rien dire, mais elle fait bien ce qu’elle veut non ? « C’est vrai que ça t’empêche d’être polie ça. » De pas les connaitre, le fait que Mac soit occupée, qui sait ce que tu vises exactement avec ton commentaire. L’évidence, c’est qu’elle te dérange, comme d’habitude, comme toujours. T’es meilleure pour le cacher d’habitude, meilleure dès que ta copine est dans les parages. Mais là elle ne l’est pas et c’est toute la bile qui ressort. Ça te fait te détester un peu plus, comme à chaque fois, mais t’es déjà là alors pourquoi reculer. Même devant le commentaire qui te frappe droit au coeur. Ouais, t’es parano, elle est à bien raison. Le problème, c’est que t’as assurément une raison de l’être. Ça aussi tu le sait. Alors tu réponds rien, tu lui donnes pas se plaisir, même si tout de ta personne lui donne raison. T’es mécontente, ça se voit, t’as plus de fausse sympathie que tu montres parfois pour la bonne cause. « Je m’en fiche, ça me saoule juste que ça tourne autour de toi comme d’habitude. » Parce que tu sais très bien que son départ ne sera pas la fin de sa présence dans les parages. Au moins si elle allait dire au revoir à Mac, y’aurait pas tout le cirque d’inquiétude qui viendra nécessairement après.
Au final, c’est à se demander pourquoi t’insistes, parce que tu pourrais juste te contenter de pouvoir te débarrasser d’elle le plus vite possible. Mais non, parce qu’elle avance vers toi et que toi tu le prends comme une provocation pour continuer les hostilités. Tu ne le fais pas physiquement, tu ne cherches pas à la pousser même si l’envie te prend les tripes, mais tout de ton non-verbal devient plus dur. T’es tendue, voilà l’euphémisme de l’année. « Ce que tu m’as fait ? Tu déconnes là ? » Comme si elle avait fait autre chose que te pourrir ton couple. Tu devrais peut-être lui donner le bénéfice du doute, te dire que ce n’est pas voulu, mais le problème, c’est que c’est impossible de croire à une telle chose. Surtout lorsqu’elle te renvoie tes insécurités sous le nez. Encore une fois, elle a raison, c’est ça le pire. Tu serres le poing, retenant l’envie idiote de lui asséner une droite. T’es pas violente, pas comme ça, mais l’envie elle est bien là malgré toi. « Mac l’aurait remarqué et ça aurait été un putain de drame comme à chaque fois. » Parce que Spencer arrive toujours à prendre tout l’espace, même quand elle le fait pas exprès. « Comme si tu le savais pas alors que tu fais le vautour depuis qu’on est ensemble elle et moi. » Toujours là, toujours à errer autour de vous. T’as l’impression qu’elle attend que ça, qu’il se passe quelque chose entre Mac et toi pour sauter sur l’occasion. Et visiblement, t’as décidé que c’était le moment d’en parler, de régler ça. Tu croises les bras lorsqu’elle te demande de te pousser, faisant preuve de la politesse que t’as réclamé en saupoudrant une dose de mauvaise fois en prime. « Non, pas avant que tu me dises ce que tu cherches. » C’est con, ça te ferait mal plus qu’autre chose, mais tu t’es lancée, autant en finir pour que le malêtre qui accompagne le tout ne soit pas là pour rien. « Parce que t’es toujours là, toujours prête à sauter sur n’importe quelle occasion. Elle est avec moi Spencer, je sais pas ce que tu comprends pas dans ça. » Toujours cette possessivité que tu ne reconnais pas chez toi. Tu te dégoutes, mais il est trop tard à présent. |
| | | ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440 TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022 CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14) nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21) i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3) step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
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RPs TERMINÉS : AVATAR : florence pugh. CRÉDITS : harley (avatar & gif profil & crackships) & phelto, pvris, grandson, dorothy (lyrics) & dessin by mapartche ♥ DC : cassie la wannabe (ft. reneé rapp) & dina la ninja (ft. melissa barrera) PSEUDO : harley. INSCRIT LE : 14/06/2020 | (#)Lun 1 Mai - 17:29 | |
| it’s a violent kind of spin Spencer Blackwell & @Margot Imani
« J’ai pas envie. » Au moins ça a le mérite d’être clair. Aucune envie ou intention d’être polie avec une bande de bourges qui te dévisagent comme si tu sortais tout droit d’un établissement carcéral ou comme si tu valais bien moins qu’eux. C’est sans doute le cas, t’en as bien conscience, mais t’as aucune envie qu’on te le rappelle en permanence. Tout ce que tu voulais ce soir c’était partir sans faire de vagues, aller te foutre un truc dans le nez et qu’on te foute la paix, c’est pourtant pas beaucoup demandé, si ? Surtout qu’elle s’en cogne pas mal dans le fond, que tu dises au revoir ou pas. « Mais merde j’lui aurai envoyé un message, lâche moi un peu. » Ce qu’elle est chiante quand elle s’y met, c’est fou ça. Parfois tu te demandes ce qui te retient de demander à Sutherland de la larguer celle-là, ça lui ferait les pieds tiens. Et puis tu te rappelles qu’elles ont l’air bien ensemble, que Mac a l’air suffisamment heureuse en sa compagnie pour ne pas que tu t’en mêles. Ca devrait être suffisant pour Margot, mais visiblement non. Alors elle continue, elle insiste et toi tu sais pas comment tu fais pour garder ton calme et ne pas l’encastrer dans le mur pour pouvoir enfin te barrer. « Le vautour ? » Tu t’offusques dans un ricanement comme si ça avait le moindre impact sur toi. Elle peut bien penser ce qu’elle veut si ça l’amuse, son opinion à ton sujet c’est bien la dernière chose dont tu te soucies. « Tu veux bien arrêter de te faire des films, ça devient usant là. » Y a rien entre Mac et toi, y aura jamais rien et si elle est pas foutue de combler sa copine c’est ni ta faute ni ton soucis. Depuis le temps qu’elles sont ensemble ça devrait lui être rentré dans le crâne, mais visiblement elle a la tête trop dure pour ça. « C’est ma meilleure pote, je vois pas ce qu’il y a de bizarre à ce que j’sois là si elle l’a demandé, hein. » Et puis de quoi elle se mêle, même ? T’es pas venue pour sa tronche aux dernières nouvelles, si ? « Si j’avais voulu la pécho, j’aurai pas attendu qu’elle me présente son emmerdeuse de meuf, hein. » Menteuse. T’as juste loupé le coche et l’opportunité t’es passée sous le nez, maintenant c’est trop tard pour ta gueule et t’as plus que tes yeux pour pleurer. Si au début t’étais persuadée que leur relation ferait comme avec toutes les autres et que ça ne durerait pas plus de quelques mois, aujourd’hui t’es bien obligée d’admettre que même toi t’y crois plus. Ca fait genre deux ans, ça a pas l’air de s’essouffler et même si ça fait mal de l’admettre, t’es contente pour Mac, vraiment, mais du coup tu sais plus bien où est ta place dans tout ça. Loin, si t’écoutais Margot et dans le fond elle a peut-être raison. T’as bien essayé de leur laisser de l’espace, de faire tes trucs de ton côté mais c’est bien plus compliqué qu’il n’y paraît. « Et puis tu sais pas, p’t-être que c’est toi que j’ai envie de pécho. » Ils sont là, le clin d'œil impertinent et le sourire insolent qui en rajoutent une couche juste pour la faire chier. « Mais en tout cas c’est bien, j’suis contente de savoir que tu lui fais pas suffisamment confiance pour la laisser traîner avec moi. » S’il avait dû se passer quelque chose, ça serait arrivé depuis bien longtemps maintenant. « Mais t'sais quoi on fait un deal, j’sors d’ici et j’lui dirais que j’ai plus envie de la voir comme ça tu pourras la consoler comme tu veux. J'passerai pour la méchante et toi t'auras le beau rôle que tu veux te donner là. » Putain ça te donne envie de gerber. Tu le feras pas, bien sûr que tu le feras pas, c’est la dernière chose dont t’as envie et ça n’arrivera pas à moins que la concernée te fasse comprendre qu’elle veut plus de toi dans sa vie. « Ca te va ou il te fallait encore autre chose ? »
- Spoiler:
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| | | | (#)Ven 19 Mai - 0:49 | |
| it’s a violent kind of spin @Spencer Blackwell & Margot Imani
Elle n’a pas envie et elle aurait envoyé un message plus tard. T’es pas surprise par l’une ou l’autre des réponses, mais à chaque fois tu ne peux pas t’empêcher de rouler les yeux. « Ou t’aurais oublié. Ce serait ton genre. » Bon ça c’est gratuit, encore plus que tes autres commentaires jusqu’à présent, mais il fallait s’y attendre. Elle arrive toujours à faire ressortir le pire de ta personne que ce soit par sa présence ou par le fait qu’elle parvienne toujours à tourner les situations autour d’elle - sans même le vouloir parfois. Pour ta défense, c’est difficile de ne pas t’énerver quand ça la concerne considérant qu’elle est toujours là, comme un vautour. À bien y penser, la comparaison est aussi peu flatteuse pour vous qu’elle l’est pour toi. Si Spencer est un vautour qui vole en cercle au-dessus de vous, ce serait parce que votre relation bat de l’aile, qu’elle est sur la fin. Pour une écrivaine, t’as pas le tour des comparaisons semblerait-il. Ça fait rire la principale concernée, pas dans un bon sens. T’entends bien le ricanement, le côté mauvais de la chose. « C’est pas un film si c’est la vérité. » Pas ton meilleur argument, mais à tes yeux, ça reste la vérité. Pas que ça t’aide dans le moment parce qu’elle réplique et toi tu trouves pas d’argument magique. Tu soupires bruyamment. « Parce que tu viens juste quand elle le demande, tu t’invites pas à chaque occasion voyons. » Enfin, en vérité, vu la situation t’as pas de mal à croire qu’elle soit venue juste pour les beaux yeux de Mac, mais en soit, c’est aussi un problème. « Et clairement, t’es au-dessus de d’essayer de la pécho parce qu’elle est couple avec moi. » Le sarcasme s’entend totalement, tout comme il est aisé de comprendre l’insulte qui se cache (à peine) dans tes mots. Tu ne serais pas surprise d’entendre qu’elle a fait des avances à Mac à plusieurs reprises depuis que vous êtes ensemble. C’est pas peu dire même si c’est sans doute une exagération de ta part.
Mais au fond, peut-on te blâmer quand elle vient en rajouter une couche ? T’aimerais dire que non, mais qui sait. Tu grinces des dents devant le petit clin d’oeil. « Ouais bien sur, tu t’y prends très bien en plus. » T’aurais surement du rien dire, parce que t’as l’impression de lui tendre une énième perche avec laquelle elle pourrait te taper. Qu’importe, il est à présent trop tard pour que tu le regrettes. L’entière conversation est une erreur de toute façon, t’es plus à ça près. « C’est pas à elle que je fais pas confiance, c’est à toi. » C’est un mensonge, t’aurais pas autant de problème avec Spencer si tu faisais confiance à Mac, si tu lui faisais pleinement confiance. Mais tu la sens cette distance entre vous deux, tu sens qu’elle n’est pas toujours avec toi, pas complètement. Et c’est encore pire quand la blonde est dans les parages, comme si ta présence perdait aussitôt en importance. Ça te fait mal à chaque fois, trop pour que tu puisses l’admettre de vive voix. La solution est là, proposée de mauvaise foi par ta vis-à-vis Elle est là, tu pourrais accepter et te contenter de vivre avec les remords d’avoir causé du mal à Mac par égoïsme. T’as envie, c’est évident dans l’hésitation qui se lit sur ton visage, mais malgré tout, tu n’en as pas le courage. Ou peut-être que t’es pas assez lâche. « Tu racontes n’importe quoi. » Comme si t’étais pas celle qui avait décidé de la provoquer, de lui faire savoir à quel point sa présence t’étouffe. « J’ai pas besoin que tu passes pour la méchante ou que tu lui brises le coeur. » En soit oui, t’en aurais besoin pour peut-être avoir une réelle chance avec ta copine, mais tu ne t’abaisserais pas à ça. « Je te l’ai dit, c’est toi mon problème. Je veux savoir pourquoi tu me respectes autant pas, pourquoi tu respectes pas notre couple. » Et si ça c’est pas tendre le bâton pour te faire frapper avec, tu ne sais pas ce que c’est. Tu le regretterais ça, mais c’est mieux de poser une question idiote que lui envoyer ton poing en plein visage. |
| | | ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440 TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022 CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14) nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21) i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3) step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
TÉLÉPHONE : mac › mac (fb)
RPs EN ATTENTE :
(eli (scénario libre)) you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
RPs TERMINÉS : AVATAR : florence pugh. CRÉDITS : harley (avatar & gif profil & crackships) & phelto, pvris, grandson, dorothy (lyrics) & dessin by mapartche ♥ DC : cassie la wannabe (ft. reneé rapp) & dina la ninja (ft. melissa barrera) PSEUDO : harley. INSCRIT LE : 14/06/2020 | (#)Mar 23 Mai - 12:20 | |
| it’s a violent kind of spin Spencer Blackwell & @Margot Imani
Ce qu’elle est bornée, c’est agaçant au possible. A force, tu sais même plus quoi lui opposer pour te dépêtrer de la situation et sortir de là avant que sa meuf débarque et que vous soyez obligées de faire comme si vous vous entendiez bien. « Ouais ok j’avoue tout, j’avais vraiment super envie de venir là pour passer la soirée avec vos connards de potes. » T’es super à l’aise au milieu de tous ces enfants de riches, clairement le genre de soirée où tu prends ton pied y a pas à dire. Ca se voit, d’ailleurs, que tu passes un excellent moment. Et une nouvelle fois, tu soupires lorsqu’elle ironise sur le fait que c’est pas parce qu’elles sont ensembles que tu vas pas tenter un truc; « Voilà t’as tout compris, j’attends juste que t’aies le dos tourné pour aller tenter ma chance. » C’est marrant comme lâcher une semi-vérité sous forme d’ironie ça marche toujours. Tu l’aurais peut-être tenté un jour, ta chance, si justement il n’y avait pas eu Margot. Sauf que voilà, Mac a fait son choix et c’était pas toi, la pilule a eu du mal à passer, c’est toujours le cas dans le fond mais t’as pas trop le choix que de faire avec. Tout ce temps, tous les signaux que t’as cru déceler, tu t’es rendue compte qu’ils étaient faux et que tu t’étais fait des idées. Ca pourrait être simple, tout ça, elle t’ignore et te laisse passer, et terminé. Sauf que non. « C’est vrai ? J’savais que tu serais grave séduite. » Un peu trop enthousiaste pour être réellement crédible. Dans d’autres circonstances, dans un autre monde, tu dis pas, t’aurais peut-être effectivement pu vouloir la pécho, Margot. En plus tu peux même pas dire que le genre jolie grande brune c’est pas ton type quoi. Mais dans les conditions actuelles, c’est tout sauf envisageable. Certes ça te fait un truc à l’estomac chaque fois que tu la vois, mais ça n’a rien à voir avec une quelconque envie de tenter ta chance. « Bein dommage pour toi parce que faut qu’tu fasses avec. » Ce que t’aurais vraiment dû dire c’est plus quelque chose comme “ouais, moi non plus j’me fais pas confiance”, mais hé, ça impliquerait d’assumer complètement les choses et c’est pas tellement dans tes plans. Tu préfères nettement jouer la mauvaise foi jusqu’au bout, quitte à proposer un plan à la con qui consiste à carrément couper les ponts. Tu le penses pas, bien sûr que tu le penses pas, et même elle sait que c’est pas une bonne idée. « Peut-être parce que t’es toujours là à me prendre de haut et à te croire meilleure pour elle ? » Elle a même pas tort, en plus. Elle a même carrément raison. Margot a tout l’air d’être une meuf équilibrée, droite dans ses bottes, avec une bonne situation et bien dans sa peau, alors que toi t’es carrément tout l’inverse. Elle est tout ce que tu ne seras jamais et c’est sans doute ça, que t’as du mal à assimiler. Tu parles plus à ta famille d’accueil, tes potes sont tous des cons qui n’en valent pas le coup, t’as un boulot de merde qui te fait chier et aucun projet d’avenir, sans parler du fait que t’es à deux doigts de te retrouver à la rue parce que t’as pas assez d’argent pour acheter tes doses et payer le loyer en même temps. Et dans tout ça, la seule stabilité que t’as dans ta vie bancale, c’est Mac. Mac que tu peux plus voir comme t’en as envie, Mac qui ne te comprend plus et que tu ne sais pas rassurer, Mac qui mérite mieux qu’un boulet au pied comme toi. Le fond du problème c’est pas Margot, bien sûr que c’est pas elle. Tu supportes juste pas le fait qu’elle soit mieux que toi sur tous les points et qu’elle peut être là pour ta meilleure amie alors que toi t’en es incapable, tu supportes pas qu’elle partage sa vie et qu’elle éloigne de toi la seule personne qui compte à tes yeux. Mais tout ça, tu lui diras pas, à Margot. « J’ai essayé que ça fonctionne, vraiment, parce que c’est important pour elle qu’on puisse s’entendre, » bon tes efforts ont duré bien peu de temps en vérité, t’as tout de suite senti que ça allait être compliqué. « Sauf que si je suis trop là, ça te convient pas et si j’veux partir, ça te va pas non plus visiblement, alors on fait quoi du coup ? » Allez, juste pour lui faire plaisir et voir où ça va, t’es prête à jouer le jeu et à faire ce qu’elle demande pour une fois. « Si j’vais la voir là, elle va faire son numéro pour qu’je reste et tu seras toujours coincée avec moi dans les parages. » C’est sûr et certain, et elle le sait aussi bien que toi. Et quand bien même elle n’arriverait pas à te convaincre de rester, elle va soit passer le reste de la soirée à faire la gueule, soit demander à rentrer, elle aussi. Dans tous les cas, Margot est perdante. Alors que si t’avais réussi à t’éclipser sans un bruit comme c’était prévu, tu sais que ça se serait vite réglé, qu’elle aurait pu cracher son venin sur toi en disant à quel point t’es mauvaise et que t’en vaut pas la peine. Elle aurait raison de le faire. « Dis moi, parce que j’ai l’impression que quoi qu’je fasse, tu vas m’tomber dessus de toute façon. » Peut-être que tout ce que tu demandes c’est une opportunité pour lui rentrer dedans une bonne fois pour toute, aussi. Peut-être que ça causera la dispute de trop avec Mac et qu’elle se décidera enfin à te rayer de sa vie. Peut-être aussi qu’après ça t’auras plus d’excuse pour complètement vriller et te laisser aller.
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| | | | (#)Lun 5 Juin - 18:34 | |
| it’s a violent kind of spin @Spencer Blackwell & Margot Imani
La chose mature à faire serait de rebrousser chemin et laisser Spencer disparaitre dans la ville. Ce serait la chose intelligente à faire en prime, parce que rester là, à t'entêter face à elle n’est pas une grande utilisation de ton temps ou de ton énergie. Et pourtant, te voilà, à croiser les bras dans un semblant de supériorité morale que tu n’as absolument pas. Tu soupires et tu viens encore la contredire. Rendu-là c’est peut-être plus au nom d’un faux principe inexistant plutôt que parce que tu le penses vraiment. Même, s’il faut s’entendre que défendre tes potes et celleux de Mac t’apparait naturel. « Tu les connais clairement pas assez pour les juger comme ça. » Certes, ils ne sont pas tous.tes géniaux.ales, mais iels sont bien mieux que ce que Spencer pense, de ça t’es certaine. Comme t’es certaine que le sarcasme dont fait preuve ta vis-à-vis en réponse au tien cache un fond de vérité. La confiance que tu lui portes est aussi peu existante que l’estime que tu lui réserves. « Ouais, c’est bien ce que je me disais. » Et peut-être que c’est con de la prendre un peu trop au mot, mais en même temps, est-ce que tu as tord de le faire ? T’es pas aveugle, tu la vois bien lorsque Mac est dans les parages. Tu peux pas croire que c’est juste platonique entre elles que ce soit de son côté… ou de celui de ta copine. Pas que t’as envie de penser jusque là. Avoir la certitude interne que celle avec qui tu partages ta vie voudrait être avec quelqu’un d’autre si elle le pouvait n’est certainement pas la pensée la plus réconfortante. Mais au fond, qu’est-ce qui pourrait t’aider face à elle ? Rien, probablement rien, sauf peut-être que Mac coupe les ponts avec elle - sauf que tu sais que ça arrivera jamais. T’as pas l’intention de le demander de quelque façon que ce soit. T’es peut-être mal à l’aise face à Spencer, réclamer une telle chose serait un abus impardonnable. T’es pas si cruelle et t’es capable de te crêper le chignon avec elle à la place. « Comment te résister en même temps ? » Y’a du venin dans ta voix, encore, ça te dépasse totalement. Peut-être parce que tu sais au fond que t’y peux rien, comme elle le souligne si bien. T’as beau ne pas lui faire confiance, t’es prise avec sa présence.
Ça va aussi au-delà d’un manque de confiance en sa personne. Ça ne fonctionne tout simplement pas entre vous. Tu la blâmes pour bien des choses, pour ne pas dire tout, mais au fond, t’es tout autant à blâmer. Tu voudrais la contredire lui faire savoir que tu la prends pas de haut, mais ce serait un mensonge éhonté. C’est même pas que tu te penses mieux qu’elle, pas vraiment. La plupart du temps, c’est un réflexe, c’est plus fort que toi. « Tu complexes toute seule. » C’est un faible dédouanement. La vérité, c’est que tu doutes être objectivement mieux pour Mac, ne serait-ce parce que t’es consciente que la principale concernée ne le verra pas ainsi. Alors ouais, peut-être qu’il t’arrive de prendre Spencer de haut, mais c’est plus des insécurités qu’autre chose. Des insécurités sur lesquelles elle joue constamment. Même si, supposément, elle a fait des efforts pour que ça fonctionne entre vous. Ouais à ce niveau-là t’en as fait aussi. Ça a jamais été suffisant, de ton côté ou du sien. « Ouais t’as essayé jusqu’à ce qu’elle nous présente, exagère pas non plus. » Parce que ça a été rapide avant que l’entente se brise entre vous deux, trop pour que ce soit crédible. Elle a peut-être jamais existé d’ailleurs. « C’est pas parce que j’apprécie pas ta compagnie ou que je te fais pas confiance que je veux que tu partes. » Tu soupires, ça aussi c’est un mensonge, parce que ta préférence serait évidemment qu’elle se barre loin de ta vie, loin de celle de Mac, mais c’est pas une option. Ta copine ne la laisserait pas ou pire, elle se morfondrait tout le temps que sa meilleure amie serait absente. Toutes ces réflexions devraient te pousser vers une conclusion : que le problème c’est peut-être que toi t’es avec Mac, si tu dois toujours passée deuxième, mais évidemment, tu l’acceptes pas cette réflexion. Tu secoues la tête et tu la chasses autant que possible. « Je te demande juste de me respecter Spencer, ça devrait pas être si compliqué. Si tu voulais essayer de te mettre avec Mac fallait le faire avant, putain c’est pas si compliqué. » Et bon, toi tu devrais pas t’énerver comme ça, mais il y a quelque chose chez elle qui parvient toujours à te déranger. Ça doit être pour ça que t’es la plus idiote de vous deux. |
| | | ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440 TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022 CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14) nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#21) i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3) step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
TÉLÉPHONE : mac › mac (fb)
RPs EN ATTENTE :
(eli (scénario libre)) you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
RPs TERMINÉS : AVATAR : florence pugh. CRÉDITS : harley (avatar & gif profil & crackships) & phelto, pvris, grandson, dorothy (lyrics) & dessin by mapartche ♥ DC : cassie la wannabe (ft. reneé rapp) & dina la ninja (ft. melissa barrera) PSEUDO : harley. INSCRIT LE : 14/06/2020 | (#)Ven 16 Juin - 9:39 | |
| it’s a violent kind of spin Spencer Blackwell & @Margot Imani
T’as beaucoup trop chaud et t’en as plein le cul d’être là, de devoir te justifier pour rien juste parce qu’elle a décidé de te faire chier. On t’attend ailleurs et tout ce que tu demandes c’est pouvoir t’éclipser sans faire de vagues et sans que ça engendre tout un drame pour rien. En plus, tout le monde ici serait ravi de voir que tu t’es barrée alors elle ne rend service à personne, là. « C’est vrai qu’eux ils se gênent pas pour le faire. » Tu peux pas t’empêcher de lâcher un ricanement amer et un poil dédaigneux. Leurs potes, là, ils se sont jamais retenus pour te regarder de haut et se permettre des commentaires à la con te concernant. Généralement tu bronches pas, t’as l’habitude et ça te passe complètement au-dessus, mais le fait qu’on te dise que tu les connais pas suffisamment pour te permettre de juger te fait doucement rire. Ils te connaissent pas non plus, les autres cons. Ils connaissent ton nom, ta réputation et ça s’arrête là. Elle continue de te tancer, d’appuyer là où ça fait mal et ça t’emmerde d’avouer que malgré tout, elle touche des points sensibles. T’es fatiguée, t’as même plus envie de répondre et la joute verbale t’irrite plus qu’elle ne t’amuse, maintenant. T’es pas conne, t’as vu les regards qu’on te lance en permanence, les jugements même pas si subtils et quand tu l’exprimes en face, ça n’assume même pas tant que ça. « Te fous pas de ma gueule, t’as fait aucun effort non plus. » Tu te souviens distinctement de la fois où elle t’a envoyé chier quand t’as proposé un truc pour l’anniversaire de Mac. Soit disant qu’elle avait déjà prévu quelque chose et du coup tu t’es retrouvée sur le carreau comme une conne, prenant doucement conscience que ta place dans l’équation était plus que branlante. T’as ravalé ton dégoût et tu t’es contentée d’une visite rapide accompagnée d’un cadeau bidon avant de laisser place libre. Y avait rien d’autre à faire et tu le savais, t’aurais dû t’y préparer avant. En réponse, les rares fois où Margot a pu prendre contact avec toi pour préparer des trucs, t’as pas tellement coopéré non plus, mais là n’est pas la question. C’est elle qui s’est immiscée, pas l’inverse. Et maintenant elle veut te faire croire qu’elle attend pas juste que tu te barres, quelle blague. Tout ce qu’elle réussi à faire dans l’immédiat, c’est à te faire perdre patience et t’es clairement pas en état d’avoir une discussion aussi chargée en émotion. Entre l’agacement qui monte et le sentiment déjà trop familier du manque qui te gratte l’intérieur du crâne, t’as de plus en plus de mal à garder une respiration régulière ou à masquer tes mains tremblantes. Tout ce que tu peux faire, c’est serrer les poings et les dents, et prier pour qu’elle ne continue pas à pousser tous tes boutons comme elle le fait depuis ces dernières minutes. Va falloir que tu sortes, vite, sinon tu réponds plus de rien. « Mais putain j’ai jamais voulu me mettre avec elle, tu comprends ? C’est ma meilleure pote et y aura jamais rien d’autre ! » Tu t’emportes pour de vrai, cette fois, attirant sûrement un ou deux regards au passage. Rien à foutre, t’es plus à ça près. « Faut que j’te dise quoi d’autre pour que t’arrêtes de m’emmerder avec ça et que tu te mettes dans le crâne qu’il se passera rien ? » A force tu vas finir par croire qu’elle aussi n’attend que ça, juste pour le plaisir de te pointer du doigts en te disant “ah, je le savais” et avoir raison au bout du compte. Tu souffles un coup, essayant au mieux d’évacuer un peu de pression avant que tu te mettes à la bousculer pour de vrai pour le regretter plus tard. « Tu peux m’accuser de plein de trucs si ça te chante, mais je suis pas du genre à courir après les meufs des autres, hein. En plus j’vois quelqu’un et c’est- C’est sérieux, okay ? » Ca l’est pas, c’est un énième fling qui ne donnera absolument rien et qui se finira très certainement dans des cris comme d’habitude, mais qui en a quelque chose à faire réellement ? T’as juste envie qu’elle arrête de te prendre la tête pour des conneries quand t’es catégorique sur le fait qu’il n’y aura jamais rien. Si elle s'inquiète tant que ça pour la sécurité de son couple, peut-être qu’elle devrait en parler à sa moitié, toi t’as rien à faire dans cette conversation. T’es pas une menace, tu le seras jamais et ça te fait chier qu’elle insiste autant là-dessus.
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| | | | (#)Jeu 29 Juin - 2:09 | |
| it’s a violent kind of spin @Spencer Blackwell & Margot Imani
Pour une fois (de plus) Spencer arrive à te faire taire. Tu sais que les ami.e.s de Mac la juge, te juge probablement aussi et t’as un semblant de réticence à l’idée de mentir ouvertement sur ce point. Alors quoi répondre ? Dois-tu défendre les ami.e.s de ta copine vis-à-vis de quelqu’un qui ne les apprécie pas et que tu n’apprécies pas ? Sans doute pas, et pourtant te voilà en train de t’y lancer comme si c’était si important que t’essaies de le faire. « Même si c’était le cas, pourquoi ta solution serait de juger en retour ? » Ouais comme si t’étais bien placée pour lui faire la morale sur ce point, comme si tu ne savais pas pertinemment qu’elle a raison, au moins sur ce point. Tant pis, la blonde arrive toujours à te faire sortir de tes gonds, à t’éloigner d’un semblant d’objectivité et de bon sens. Ça doit être pour ça que t’es là à débattre du fait qu’elle n’a pas fait d’effort te concernant alors qu’on peut à peine dire que tu en as fait bien plus. Puis, pour ta défense, elle prenait beaucoup de place dans la vie de Mac, trop pour que tu puisses y faire la tienne. Peut-être que la chose intelligente aurait été de voir les indices pour ce qu’ils étaient - des red flags de premier niveau - au lieu de t’en prendre à celle qui avait le coeur de ta copine. Mais bon, t’as pas fait ça et même maintenant, tu te refuses à le faire. Parce que t’aimes Mac, trop pour voir les choses rationnellement pour prendre soin de toi sur ce point. « T’exagères, j’ai essayé. » Pendant une demi-seconde probablement, mais bon, c’est un détail. « Tu m’as tout de suite fait comprendre que j’étais l’intruse dans l’histoire alors tu voulais que je fasse quoi d'autres ? » Et tu te sens toujours comme la pièce rapportée, comme celle qui n’avait pas sa place. Tu devrais peut-être l’assumer plutôt que lui dire effrontément que tu n’as pas envie qu’elle parte. Elle sait tout autant que toi que c’est un mensonge. Tu devrais en avoir honte, mais tu ne peux pas, parce que tu fais au mieux, tu défends le point de vue de Mac pour t’éviter de la voir triste. C’est égoïste, c’est pathétique, mais qu’est-ce que tu peux faire d’autre ?
Visiblement l’accuser un peu plus, voilà ton choix. Tu le fais avec une adresse étonnante vu comment elle s’emporte devant toi. Tu fronces les sourcils, peu convaincue par ce qu’elle affirme, trop préoccupée par ses affirmations pour remarquer les regards qui se posent un peu plus sur vous. « Ouais bien sur. » Qu’il se passera rien, que c’est pas ce qu’elle veut. T’aimerais croire au fait que c’est impossible, mais tu réalises bien vite que ta confiance envers Mac est fragile quand ça concerne Spencer. Définitivement quelque chose à adresser quand tu auras la tête légère et moins les nerfs à cran. Mais ta vis-à-vis t’achève, sans le vouloir, lorsqu’elle affirme qu’elle voit quelqu’un et que c’est sérieux. T’es prise de court, un peu trop et tu ne parviens pas à retenir un petit pouffement de rire. Il est nerveux, un peu jaune et surtout très inapproprié. « Si tu le dis. » Ça s’entend que tu ne la crois pas. Tu pourrais faire remarquer qu’elle ne l’a pas invité ce soir, que Mac t’en as même pas parlé - du moins tu crois pas c’est pas comme si t’étais d’une très bonne écoute quand ça concerne la blonde. « Okay alors dis moi pourquoi tu me regardes comme une menace depuis que je suis avec Mac si tu veux pas qu’il se passe quelque chose avec elle ? » C’est pas comme si t’avais l’intention de l’écarter de la vie de ta copine, du moins ce n’était pas du tout ton envie au début. « Tu me traites comme si j’étais de trop alors que je suis sa copine. » Et encore une fois, une personne extérieure te ferait remarquer que c’est plutôt un problème concernant Mac, parce que visiblement celle que tu aimes ne te donne pas la pleine place, ne cherche pas à la récupérer, mais bon, c’est plus simple de t’en prendre à Spencer. Elle arrive un peu trop à t’énerver pour que tu ne le fasses pas. |
| | | ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1230 POINTS : 180 TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS :
SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
daisy#1 -- marceline#4 -- spencer#20 -- margot#3.
uas, fbs : spencer - ua slasher -- spencer ua trophy wives -- spencer - ua fwb -- spencer - ua vampires -- spencer fb#19. RPs TERMINÉS : spencer n°1 -- marceline n°1 -- spencer n°3 -- marceline n°2 -- eleonora n°1 -- spencer n°4 -- spencer n°5 -- spencer n°6 -- spencer n°7 -- spencer n°2 (flashback) -- spencer n°8 -- spencer n°9 -- winx club n°1 -- spencer n°10 -- spencer n°11 -- spencer n°12 -- spencer n°13 (fb) spencer n°14 -- margot n°1 -- marceline n°3 -- spencer n°15 -- margot n°2 -- AVATAR : hailee steinfeld CRÉDITS : treasurebox (avatar), harley (crackships) DC : sloane jarecki, eden veliz, juno zhao. PSEUDO : princesse mononoprix/monononucléose/ mononoski INSCRIT LE : 09/01/2022 | (#)Dim 27 Aoû - 16:54 | |
| Je savais que c’était une idée de merde, mais à ma défense, il y a tellement de monde à la soirée que je pensais que ce serait possible que toutes les parties s’évitent et trouvent d’autres personnes auxquelles parler. De toute évidence, c’était naïf de ma part, et c’était sans escompter les pauses toilettes (et sérieusement, qui va s’embrouiller dans un endroit qui pue la pisse ?). Sitôt que je capte le regard en détresse de Margot, je m'élance à travers la pièce jusqu'aux toilettes où vous vous trouvez, elle et toi, et je me sens conne de ne pas vous avoir vues avant. Les joues rouges, le regard incendiaire, le ton est monté avant que je n'arrive et je m'en veux de ne pas avoir saisi l'ampleur de la situation avant.
Je brave la foule avec pour seule idée de vous séparer - et c’est peut-être stupide, parce que ni Margot ni toi n’avez besoin d’un médiateur, vous êtes assez grandes et responsables, mais la simple idée que vous soyez en face à face avec moi pour seul sujet de conversation me met profondément mal à l’aise. Tu ne l’aimes pas. C’est facile à donner, comme excuse, pour éviter toute sorte d’introspection qui me forcerait à me remettre en cause, mais le fait est là. J’ignore si ça serait plus simple, si vous vous entendiez bien. Sans doute que non. Des gouttes de mon verre brinquebalant trempent ma manche à chaque enjambée dans votre direction et ça m’interpelle à peine ; je pousse des gens, certains me hèlent, je les évite. Je suis si proche de vous que je vois ton dos s’agiter sous une colère que je connais par coeur, et c’est la première chose que je saisis avant que tes mots ne me frappent : je vois quelqu’un, et c’est sérieux.
« Hey. Je vous trouvais plus. » Ca sort instinctivement alors que le reste demeure coincé. Je ne comprends pas pourquoi j’en veux à Margot, je comprends encore moins pourquoi je t’en veux et je ne suis sûre que de ça : je n’ai aucune légitimité. Vous écumez toutes les deux d’une rage que je ne vous ai encore jamais connues, et la honte de ce que j’ai créé menace de me submerger. « Je venais vous voir pour savoir si vous vouliez encore un verre. » J’articule comme une demeurée à l’air de biche en pleins phares parce que je ne sais pas quoi faire d’autre, avec un coeur dans la gorge et la certitude d’être arrivée trop tard. Je passe devant l’accident de voiture que vous êtes, effarée et atterrée de l’avoir produit sans m’en rendre compte ; je passe et je m’arrête à peine pour prendre le pouls, parce que fuir me semble mieux. Derrière notre trio, la porte des toilettes se déverrouille pour laisser passer une tête rousse dans l’entrebâillement, l’air aussi perdu que moi, et encore plus penaud. Depuis combien de temps est-elle là ? « Oh hey, Daisy. Pardon, vas-y, passe. » Le premier réflexe que j’ai est de t’attirer vers moi pour lui donner l’espace de passer, et ma main relâche immédiatement ton avant-bras lorsque je reprends conscience de l’incongruité de la situation. Silence parfait, seulement interrompu par les shfoush shfoush de Daisy qui se lave les mains. C’est tellement tendu que j’ai l’impression d’inhaler de la barbapapa comme telle. « J’voulais aller fumer », j’informe, et je sais pas pourquoi je suis la seule qui parle. Pourquoi vous dites rien ? Pourquoi vous brisez pas la tension, d’une manière ou d’une autre, est-ce que c’est si grave, qu’est-ce que j’ai loupé ? J’humecte mes lèvres et les trempe dans mon verre quasi vide. Je me tourne vers Margot, plus pâle et fermée que jamais, et la culpabilité me prend de revers sans me laisser me dégager ; j’ai tellement été absorbée par tes mots que j’en ai oublié sa réaction. Rien ne va ici, et quel que fut l’objet de votre conversation (vraisemblablement moi), de toute évidence, j’arrive trop tard pour que la plaie ne se résorbe avant de s’ouvrir trop. Alors je fais la seule chose sensée et digne, je fous tes paroles au plus profond de mon crâne pour ne m’autoriser qu’à disséquer tes mots quand ils cesseront de faire aussi mal, et je saisis la main de Margot, me mettant dos à toi, comme pour t’exclure de la situation. « Ca va ? » j’insiste en la regardant, liant mes doigts aux siens. Une chose est certaine : ça devrait être elle, ma priorité, et j’ai trop longtemps évité d’y faire face. Tu as quelqu’un, et il est temps que j’agisse comme si c’était le cas pour moi aussi.
@Spencer Blackwell @Margot Imani je ne fais que passer |
| | | ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3760 POINTS : 440 TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022 CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#14) nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
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| it’s a violent kind of spin Spencer Blackwell & @Margot Imani
T’as jamais été un modèle de patience, encore moins quand un sujet en particulier t’irrite au plus haut point. Ça relève presque du miracle que la joute verbale en reste là et ne s’envenime pas plus. Ca te démange, pourtant, t’as le poing qui se serre à plusieurs reprises, ta mâchoire qui se contracte douloureusement et c’est tout juste bon à te niquer les dents. Seulement voilà, tu sais que Margot, elle est pas comme toutes les autres, rien à voir avec une meuf random de qui Mac s’est amourachée en un rien de temps, non. Margot, elle compte. Elle compte et elle reste, elle aime sa copine et c’est réciproque alors tu te retiens de lui sauter à la gorge parce t’as bien conscience que ça serait franchir la ligne de trop. Alors ouais, leurs fameux potes en commun que tu détestes autant qu’ils te méprisent, elle trouve bon de les défendre, eux aussi, et forcément, ça ne fait qu’ajouter à ta frustration déjà trop grande. « Faut qu’je fasse quoi, alors, je vais leur demander un par un c’est quoi leur problème avec moi ? » T’attends pas de réponse, bien sûr, c’est purement rhétorique et tu sais bien que t’es probablement un peu de mauvaise foi et que dans le fond, ils en ont rien à carrer de toi tant que tu les fais pas chier. Mais au moins, c’est facile de rediriger ta colère vers eux. « Merci mais ça ira. » T’ajoutes en roulant des yeux. Et encore la même rengaine que vous ressortez l’une comme l’autre, restant campées sur vos positions pour un rien. « Ouais, okay. » Tu lances dans un ricanement quand elle essaie de te faire croire d’avoir essayé. Elle l’a fait au moins autant que toi et elle le sait très bien. « Désolée si c’est c’que t’as interprété, » encore un mensonge pour te donner bonne conscience, pour prétendre que t’as un jour été autre chose qu’hostile à l’égard de Margot mais tu ne convainc personne et certainement pas la concernée. Preuve en est, elle continue d’insister « Mais parce que- » Aussi brusquement que t’as commencé ta réponse, tu t’interromps ; la faute à une voix familière qui s’élève derrière vous, « hey, » que tu lâches d’une petite voix à moitié étranglée, ton regard se portant instinctivement sur tes chaussures plutôt que d’avoir à affronter les éventuels regards de ta meilleure amie qui vient de vous surprendre en pleine conversation trop houleuse pour être amicale. Et là-dedans, la grande question c’est de savoir exactement ce qu’elle a entendu ou si elle a suffisamment bu pour ne pas y prêter attention. En tout cas, si elle a capté quoi que ce soit des mauvaises vibes qui se dégagent d’ici, elle n’en dit rien. Au lieu de ça, elle vous propose un nouveau verre et ça te rassure un peu. « Non merci, j’étais sur le point de rentrer. » Voilà, comme ça elle sait et Margot peut arrêter de te prendre la tête parce que t’as osé vouloir t’éclipser sans prévenir ta meilleure amie. Tu sursautes à moitié quand la porte des chiottes se déverrouille et tu lances un regard interdit à Daisy qui en sort, l’air toute penaude. Mac t’attrape pour la laisser passer et t’as même pas le temps d’avoir le moindre réflexe pour dégager ton bras qu’elle t’a déjà lâchée. Le silence qui suit est tellement pesant qu’il pourrait être tranché au couteau, et entre deux bruits d’éclaboussure de Daisy, tu lances des oeillades mauvaises vers Margot sans rien ajouter de plus pendant que Mac est la seule à dire quelque chose pour tenter d’apaiser la tension. Elle prend la main de sa copine, te tourne délibérément le dos en lui demandant si ça va, te faisant bien comprendre au passage ce que tu sais déjà ; c’est toi qui est de trop dans l’équation, t’aurais mieux faire de pas répondre à l’invitation ce soir et c’est la distraction que t’attendais pour te faufiler derrière sans rien dire d’autre qu’un « on s’voit plus tard » marmonné à la va-vite et probablement même pas suffisamment articulé pour être compréhensible. Et juste comme ça, sans attendre de réponse ou d’au revoir, tu files jusqu’à la sortie, oubliant même ta foutue veste que tu tenais tant à récupérer à la base. Tant pis, le temps que tu t’en rendes compte t’auras eu le temps de te calmer, mais faudra revenir la chercher un autre jour.
- Spoiler:
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| | | | (#)Sam 16 Sep - 2:07 | |
| it’s a violent kind of spin @Spencer Blackwell & Margot Imani
La conversation ne mène à rien, c’est évident depuis le début, mais tu ne peux pas t’empêcher de continuer le débat qui s’y installe. C’est parce qu’elle t’énerve, parce qu’elle vient te chercher en affirmant que c’est toi qui a interprété mal une hostilité qui a toujours évidente. Peut-être que t’es pas plus agréable qu’elle, mais t’as au moins la vague impression d’être plus légitime dans tout ça. T’es la copine de Mac, t’es celle qui est en couple avec elle. Qu’importe si t’es consciente au fond que que Spencer importe plus dans la vie de ta copine. C’est un détail que tu rejettes volontairement de ton esprit alors que tu fronces les sourcils. « Ce que j’ai interprété, bien sur. » Elle te renvoie ça dessus comme si ce n’était que dans ton esprit. T’aurais sans doute pu essayer de la contredire davantage sur ce point, mais tu te retiens au dernier moment. Parce que la blonde commence à te rétorquer quelque chose. Parce que quelqu’un d’autre s’invite dans la conversation surtout. Tu sursautes en entendant la voix de Mac s’élever et ton regard la trouve nécessairement l’instant d’après. Tu te demandes ce qu’elle a entendu dans tout ça. Tu ne sais pas quoi lui dire, ni comment rattraper la chose, parce qu’au final, il n’y a rien du crêpage de chignon que tu voudrais voir parvenir à ses oreilles. En même temps… il est peut-être un peu tard pour ça. Qu’importe si elle parle seulement d’un verre, t’as pas l’impression que ça va. Alors tu secoues la tête, l’air de dire non, incapable d’enfiler des mots pour autant. C’est peut-être parce que tu te sens encore trop remontée pour répondre correctement à celle que tu aimes, parce que tu penses que c’est risquer de sonner horriblement déplaisante, qui sait.
Disons que l’envie de parler ne te vient certainement pas plus alors que la porte des toilettes s’ouvre derrière votre petite troupe. En soit, ce n’est rien contre Daisy, elle doit être terriblement mal à l’aise de toute cette situation. Tu devrais t’excuser, tu le ferais très certainement si ce n’était de la réaction de Mac. Mac qui préfère attirer Spencer vers elle pour faire de l’espace. Est-ce que c’est idiot que tu en fasses un cas ? Très certainement, mais pour ta défense… qu’est-ce que tu peux faire d’autres. Tu détournes le regard et souffles un vague : « Désolée. » À l’attention de la pauvre Daisy qui doit se trouver bien regardée alors qu’elle se lave les mains. Disons que t’es pas très fière de toi, que tu supposes que ça n’a surement pas du donner une très bonne image de ta personne. Enfin, c’est mérité, ça t’apprendra à agir ainsi. Ça ne te fait certainement pas te sentir mieux, surtout pas quand les bruits de lavages de main cessent. Il n’y a qu’un silence malaisant, qu’une tension à couper au couteau. Tu devrais faire l’effort, parce que Mac est là, mais rien ne te vient. Même lorsque ta copine vous informe qu’elle voulait aller fumer. Encore une fois tu te retrouves à hocher la tête sans rien dire.
Et ce n’est qu’à ce moment, que trop tard que Mac se tourne pleinement vers toi. Tu ne peux pas t’empêcher, cette fois, de remarquer à quel point tu n’as pas été sa priorité, que tu ne l’es qu’après coup. L’amertume est là, dans ton coeur, dans le creux de ta gorge et pourtant, tu te retrouves à souffler quand sa main trouve la tienne. Est-ce que ça chasse tout ton énervement des dernières minutes ? Non, du tout, mais t’essaies tout de même de te concentrer sur ta copine plutôt que le reste. T’étouffe même le cynisme qui te pousserait à voir ses gestes comme faux, forcés. Le sentiment est là, à quelque part, mais tu t’efforces de l’ignorer. « Ça va aller. » Pas uniquement parce que Spencer décide de partir, mais parce que tu peux te concentrer sur Mac et faire semblant que tout va bien. On pourrait presque y croire. « Je suis fatiguée, c’est tout. » Ce n’est pas honnête, pas du tout, mais c’est tout ce que tu as à offrir. Et c’est suivi d’un « Désolée si tu t’es inquiétée. » Tout aussi peu honnête, en soit, tu ne cherchais pas à l’inquiéter, mais il est évident qu’il y avait des raison de l’être. |
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