| (jolie #9) fiend for your demons |
| | (#)Mar 25 Avr 2023 - 12:37 | |
| @jo carter
tu veux venir à mon fitting pour un shoot le mois prochain? Evidemment. Est-ce que Charlie pouvait penser à une autre réponse que celle-ci ? Elle a attendu quelques secondes avant de répondre à son message, pour préserver les apparences, mais elle n’a pas cherché à jouer la difficile pour s’amuser de Jo. La proposition a été acceptée dans la seconde, autant parce qu’elle en avait envie que parce qu’elle sait qu’elle aura toujours besoin de se changer les idées d’ici un mois. L’impression d’avoir été prise pour une conne est difficile à faire partir. Il y a des mots qui n’appartiennent pas à son monde, entre le fitting et le shooting, là où Charlie se contente comme tout un chacun d’avoir sa garde-robe et de poster ses photos sur Instagram. Mais Jo est une star, maintenant, et elle ne pourrait jamais le lui reprocher, pas alors que cela lui va si bien au teint. L’avantage, au moins, c’est qu’elle a toujours été exécrable et que personne ne pourrait penser qu’elle a attendu de remporter un concours à la con pour prendre le melon.
Elle a montré patte blanche à l’entrée, a appuyé avoir été invitée par Jo, a même souri. Sa seconde option aurait été de dire qu’elle est dans la police avant d’en montrer les preuves, mais si elle peut s’en passer alors elle continue de le faire, incapable de trouver une excuse pour expliquer la venue d’une policière jusqu’à un lieu de shooting, qui plus est alors qu’elle travaille dans la brigade des homicides. Mais après tout, le monde sous-estime sûrement le nombre de valises qui servent en réalité à cacher des corps, alors qui sait. Le regard de Charlie se pose brièvement sur les lieux, sur les parapluies et lumières déjà en place, sur les habits pendus de tous les côtés aussi. Ce monde n’est pas le sien et elle ne voudrait jamais en faire partie, mais en être une témoin le temps d’une après-midi a tout pour l’amuser. Cela l’amuse surtout parce qu’elle sait que Jo est dans les environs et qu’elle sourit faiblement lorsqu’elle reconnaît effectivement sa silhouette et se rapproche d’elle sans y penser à deux fois.
Elles ont rivalisé de noms d’oiseaux lors de leur dernière rencontre, et aujourd’hui Charlie est occupée à agir comme si de rien n’était, bien consciente que le prénom de “Midas” est banni de ses lèvres pour la journée. “J’ai déjà vu ce que je voulais voler.” Elle l’enlace maladroitement sans oser effectuer la moindre pression, ses doigts touchant à peine son dos. Son sourire, au moins, n’a pas peur d’exister pour lui-même. “J’espère que t’as pas oublié de faire livrer de la glace, c’est le seul argument qui m’a vraiment convaincu.” Elle aurait surtout voulu le livreur torse nu façon Magic Mike, mais sans doute que cela ne serait pas compris dans le prix. Il faut sans doute faire sans, donc. “C’est pour quoi ? Préparer un événement, ou genre tu fais la couverture d’un magazine ? Me dis pas que c’est Playboy.” Elle vaut mieux que Playboy, bien mieux, et c’est tout ce dont Charlie est assurée quant à ce milieu de paillettes et de strass. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10988 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Mer 26 Avr 2023 - 10:07 | |
| fiend for your demons @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
"Tu peux faire livrer ici un milk-shake à la vanille et une portion de frites ?" "T’as des essayages Jo." Si elle en avait eu le courage, sans doute qu’elle aurait expliqué à Cathy — cette pétasse avait réussi à se faire rabattre pour faire partie de son équipe post-victoire, et ce probablement parce qu’elle en savait plus qu’elle en donnait l’air, avec ses grands yeux bleus qui puaient la niaiserie et ses rondeurs réconfortantes — que ce menu digne d’une enfant de sept ans n’était pas pour elle, qu’elle ne devait pas s’inquiéter et que son compteur de calories resterait en-dessous de la limite tout du long de la journée s’il n’y avait que ça pour la faire kiffer. Mais en plus de ne pas en avoir le courage, Jo n’en avait pas la patience, et le soupir qu’elle lâcha en roulant des yeux, ses paupières surmontées d’une rangée aérée de cils allongés par le maquillage papillonnant simultanément firent le job sans qu’elle n’eut besoin de s’échiner à ne serait-ce qu’ouvrir la bouche "Ce sera son premier repas en deux jours. Si elle veut du putain de caviar, tu lui fais livrer du putain de caviar. C’est ton job." Au moins son attaché de presse avait appris à parler son langage, et c’était une bonne chose. Passons sur l’idée qu’il venait de la call-out sur son refus catégorique d’avaler quoi que ce soit autre que du Cherry Coke depuis plus de deux jours en vérité, et elle l’aurait trouvé parfait. Selon les termes de Josephine, ça voulait dire beaucoup.
Tandis qu’il envoyait bouler la pauvre Cathy d’un signe de la main nonchalant, la renvoyant à la niche, ou plutôt à sa commande Uber Eats, Jo se leva de la chaise de sa coiffeuse pour se retourner vers lui et voir briller dans ses yeux une lueur qu’elle lui reconnaissait comme étant celle des bonnes nouvelles "J’ai une bonne nouvelle." Bingo "Du genre ?" "Du genre ton tout premier festival, ma grande." Elle ne put cacher son sourire Jo, ses pommettes saillants sous l’intention qu’elle mit à ne pas le faire trop, même si après une seconde à maintenir la face, elle ne put s’empêcher de laisser un tout petit cri d’excitation lui échapper en prenant sens de ce que ça voulait dire. Si la minute suivante, Thomas la passa à lui faire un rapport complet de ce qui s’était décidé avec le reste de l’équipe en amonts de ce fitting prévu depuis longtemps, Jo ne pensa qu’à une seule chose, et c’était de prévenir Midas. C’était bête et inconsidéré étant donné les circonstances, et le mouvement vers son téléphone portable, elle le fit sans même y penser — pour s’interrompre nette finalement, et rester comme une conne à regarder son écran en se demandant pourquoi elle se sentait obligée de le mettre au courant. Sans doute parce qu’il était le seul à pouvoir vraiment mesurer ce que ça voulait dire. Mais non, elle changea d’avis, et reposa résolument son portable sur sa coiffeuse, ravalant en même temps la boule qu’elle avait dans la gorge et perdit le fil de ce que Thomas était en train de lui dire quand elle tendit la main pour attraper sa cannette de soda et en tirer une gorgée fadasse qui lui resta dans la gorge, au même niveau que cette putain de tension qui lui obstruait la trachée depuis des semaines maintenant. Détournant son attention de lui pendant un instant, elle vit s’avancer la silhouette de Charlie qu’elle avait invité à assister à ses essayages du jour sans trop savoir pourquoi. Mais la voir là, ça lui fit assez plaisir pour qu’elle dise brusquement à Thomas, secouant la tête pour se remettre les idées dans le bon sens "OK, une chose à la fois. On s’occupe des essayages pour le shooting, c’est le plus urgent. On discutera de ma set list ce soir. Tu peux prévenir les autres ?" Il opina, et en parfaite synchronie avec son geste, Jo toupilla sur la semelle moelleuse des chaussons qu’elle portait en complément du peignoir en soie qui lui donnait une bonne allure de diva qu’elle n’avait pas besoin de travailler, et s’avança vers Charlie après avoir pris une nouvelle gorgée de son soda qu’elle laissa derrière elle.
Elle se laissa enlacer timidement par la jeune femme en songeant que c’était la première fois depuis leur dernière dispute qu’elles se revoyaient. Ses mains se déployèrent sur les épaules de la blonde lorsqu’elle lui rendit son étreinte, son menton se posant très brièvement sur son épaule. Pour lui faire réaliser qu’elle avait senti son hésitation, elle lui dit avec un sourire en coin "Je suis pas en porcelaine." Elle l’était quand même un peu, pour une raison particulière qui ne ferait même pas partie de la conversation de ce jour puisqu’elle reprenait déjà "Milk-shake à la vanille et frites, j’ai retenu la leçon. T’as l’air bien." lui fit-elle alors, montrant sa silhouette d’un signe du menton pour illustrer son propos qui, s’il était prononcé sans conviction, voulait au moins dire qu’elle la trouvait en forme — assez pour lui tendre la perche qu’il lui fallait pour redevenir elle-même, et ce n’était sans doute pas grand-chose pour elle, mais pour Jo ça voulait dire quelque chose dont elle lui était reconnaissante sur le moment, ayant tendance à s’enfoncer trop loin dans sa tête ces derniers temps. Replaçant la mèche laissée hors sa queue de cheval autour de son visage, elle fit mine de s’offusquer "Commence pas à être insultante." Elle la toisa avec plus dédain, et puis elle ajouta dans la foulée "Je fais pas la couverture, mais j’ai fait une interview pour The Music Network la semaine dernière, ils veulent des photos qui complèteront l’article. La ligne éditoriale, c’est la nouvelle génération, je leur ai juste demandé d’éviter de me foutre des oreilles de Mickey et une baguette magique là où tu sais." Charlie comprendrait l’idée. Elle reprit en toupillant sur ses pieds, commençant à marcher vers un portant saturé de vêtements, certains protégés par une housse signifiant que ça ne venait pas de l’enseigne grand public du coin "Je viens d’apprendre que j’étais bookée pour le Long Sunset Festival, ils vont sûrement vouloir que je fasse des repérages de tenues pour ça aussi." Comme si Charlie en avait quelque chose à foutre dans le fond, de ce que Jo faisait ou pas, de ce que ça voulait dire pour elle quand elle ne le savait pas toujours elle-même, son humeur située entre l’apathie et le surmenage d’une campagne intense pour faire durer l’attention autour d’elle et qui, pour la première fois, elle avait l’impression de ne pas mériter. Elle eut un soupir hachuré, se rendant compte que ce n’était pas son monde, à Charlie, qu’elle avait accepté de venir sans doute pour des raisons aussi nébuleuses que celles de Jo lorsqu’elle l’avait invitée, et que ce n’était peut-être pas le moment de l’ensevelir sous des détails dont elle se cognait royalement. Pour donner le change, elle lui demanda, se posant près du portant de vêtements en feignant l’impatience "Montre-moi ce que t’as repéré avant qu’ils débarquent pour jouer à la poupée avec moi." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Sam 29 Avr 2023 - 18:19 | |
| "Je suis pas en porcelaine." “Non mais tu vaux une blinde, maintenant. Du pareil au même.”
Ce n’est pas ce dont Jo parlait, elle n’est pas assez naïve pour croire une telle chose, mais c’est au moins l’issue de secours qu’elle a décidé de prendre. "Milk-shake à la vanille et frites, j’ai retenu la leçon. T’as l’air bien." Elle joue aussi le jeu du tout va bien et cela rassure Charlie qui n’avait certainement pas envie de reprendre leurs disputes là où elles l’avaient laissé, si proche du nouvel an. Elles ont peut-être toutes les deux pris les bonnes résolutions en rapport, qui sait - rien qui ne soit en rapport avec le fait de stabiliser leurs couples, cependant, et de toute évidence. Ce n’est toujours pas ce dont Charlie a déjà envie de parler, alors elle préfère plutôt s’intéresser à la raison de tout le remue ménage autour de la personne de son amie: des photos pour compléter une interview, donc. Le nom du magazine n’est pas aussi mondialement connu que Playboy, mais il implique bien moins qu’on voit ses seins - ce qui, aux yeux de Charlie, n’est pas une si bonne nouvelle que ça en réalité. “T’as insulté combien de personnes dans cette interview ?” C’est amusant que de toujours tourner autour du même sujet, surtout quand il s’agit de Jo insultant des inconnus au lieu de Charlie elle-même. “Ariana Grande est sexy avec des oreilles de lapin, tu pourrais t’en sortir avec Mickey.” Mais elle comprend l’idée qui se résume à un “absolument pas” en ce qui concerne l’usage de ce genre de costume, surtout alors que la salle est remplie de couleurs et de tissus plus moulants les uns que les autres. Si c’est comme au MET Gala, le thème peut rapidement être oublié et tout le monde sera toujours heureux. A ce rythme là, Jo y sera peut-être invitée l’an prochain, qui sait.
"Je viens d’apprendre que j’étais bookée pour le Long Sunset Festival, ils vont sûrement vouloir que je fasse des repérages de tenues pour ça aussi." Ses pas suivent littéralement les siens, les talons de Charlie résonnant bien plus que les pantoufles de princesse de Jo. Pourtant, dans son dos, la blonde sourit doucement. “J’aurai des tickets pour ça ?” Elle demande déjà, un sourire bien plus malicieux accroché à ses lèvres cette fois. “C’est chouette. Genre, vraiment vraiment chouette.” Ce n’est pas son monde, mais elle sait reconnaître un accomplissement lorsqu’elle en voit un. Et merde, Jo le mérite de toute façon. "Montre-moi ce que t’as repéré avant qu’ils débarquent pour jouer à la poupée avec moi." - “Pas grand chose où je peux rentrer plus d’un bras, déjà.” Soyons honnêtes: la taille de guêpe de Charlie n’est rien en comparaison de celle de Jo, et les centimètres qui les séparent ne jouent pas en faveur de l’inspectrice. “Mais je peux toujours te piquer les paillettes pour le maquillage, par contre. Et cette magnifique jupe que j’ai repérée, si jamais je compte pas la descendre plus bas que mes fesses évidemment.” Il n’y a pas la moindre censure à ses côtés, et pourtant Charlie a l’impression de marcher sur des œufs à chaque nouveau mot tant leur dernière dispute se résumait à “tu es une pute” “non, toi” et qu’elles en sont réduire à aujourd’hui choisir dans un dressing qui correspond tout de même énormément à ce genre d’hypersexualisation. “Et entre toi et moi, j’en ai rien à foutre.” Elle l’annonce dans un grand sourire qui n’a pas grand chose de joyeux mais se résume surtout à un énorme doigt d’honneur à celui qu’elle peut aujourd’hui qualifier d’ex-petit-ami. Ses mots sont suivis d’un rapide coup d’oeil en arrière pour vérifier que toute l’équipe est occupée ailleurs, son pantalon se retrouvant rapidement troqué contre ladite jupe pour un changement express sous les yeux d’une Jo qu’elle promet ne même plus chercher à avoir dans son lit - pas de la façon dont tout le monde pourrait le penser, du moins. “Je me ferais virer si je faisais la une de Playboy, mais quand même.” Ses mains marquent la courbe de son corps, son sourire s’élargit simplement. Quand même, elle ne comprend pas comment son connard d’ex a eu l’idée de larguer une bombe pareille ; voilà ce que signifient ses mots. “Tu choisis ou on le fait pour toi ?” Jo veut avoir le dernier mot, c’est déjà évident, mais Charlie sait aussi que cela n’est pas toujours possible: dans la police, par exemple, mais peut-être aussi dans le milieu de la mode-chanson-peu-importe-quoi. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10988 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Dim 30 Avr 2023 - 20:27 | |
| fiend for your demons @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
"Personne. J’essaye de bien me tenir, c’est dans mon contrat." Ça ne l’était pas, mais elle comptait bien sur les journalistes du journal avec lequel elle avait papoté longuement pour édulcorer un peu son discours aux moments où elle avait perdu le contrôle — notamment en parlant de ses anciens concurrents, Midas excepté. Jouant l’ingénue comme elle savait si bien le faire, elle battit des cils en faisant remonter son épaule pour que Charlie apprécie sa petite comédie, mais elle sembla perdre un peu de sa superbe lorsque le nom d’Ariana Grande fut mentionné. Rien qui méritait vraiment qu’elle monte sur ses grands chevaux pour lui faire regretter de la comparer à celle dont on avait voulu qu’elle soit la copie durant son parcours, il y avait six ans de ça. Inutile de mettre l’ambiance à mal. Elle était heureuse de voir Charlie, sincèrement, encore qu’elle ne comprenait pas comment elle pouvait être si garce avec elle par texto pour se montrer aussi adorable en chair et en os. On a les copines qu’on mérite, et le moins qu’on puisse dire, c’était que Jo n’avait jamais été du genre à ménager les peines de la blonde — qui elle, en revanche, une fois son écran de téléphone posé paraissait bien décidée à se caler sur une conduite raisonnable, dépourvue de toute animosité.
C’était tant mieux, Jo n’avait pas envie d’être revêche. Oh, elle le redeviendrait à un moment où un autre, les anxiolytiques avaient leur limite, et son organisme s’étant déjà acclimaté à la fréquence de ses prises depuis sa victoire, sans doute qu’ils n’annihileraient bientôt plus son tempérament de feu. Mais pour l’heure, ce n’était pas ce qui importait "T’en auras si tu veux venir." Quelle bonté d’âme Josephine "Et si tu me promets que tu seras là pour assister à mon set. Sinon à quoi ça sert, t’as vu l’affiche ? Je suis la seule à valoir le coup." La mauvaise foi dans toute sa splendeur. C’était son premier festival, c’était sa première scène après sa pseudo-victoire : elle ne ferait pas les choses à moitié, son équipe non plus, quand bien même les chansons ne seraient pas les siennes, et qu’elle n’aurait qu’un nombre limité de titres à interpréter pour satisfaire la foule de curieux venus voir si elle chantait comme à la télé. Elle s’imaginait déjà occuper l’espace et faire murmurer à ceux qui la connaissaient elle méritait vraiment de gagner — cette pensée-là, elle lui fit mal au ventre et soudainement se détourner de Charlie pour se diriger vers le portant de vêtements qu’elle convoitait des yeux. Passant sur le semblant de félicitations de la jeune femme, elle n’avait pas envie de paraître ingrate quand elle se rendait compte qu’en vérité, tout le monde aurait eu le privilège de cette participation : elle était la gagnante par défaut d’un concours bidon, ça devait être inscrit quelque part dans son contrat finalement qu’elle devait y être.
Pour penser à autre chose, elle écouta, puis elle regarda Charlie se changer devant ses yeux sans vraiment la voir, s’approchant juste d’elle pour l’aider à rajuster le tissu sur ses hanches quand la taille était un peu juste, mais pas moins saillante pour une silhouette comme la sienne "Ta mère avait raison, t’aurais fait un putain de top model." Elle avait la taille, elle avait le visage taillé à la serpe — là n’était pas la question, et si elle s’amusa un court instant des propos irrévérencieux de la jeune femme, Jo finit par lui demander avec un très léger sourire en coin "Il s’est passé quoi alors avec…" Elle ne connaissait même pas le nom de celui qu’elle avait défini comme son copain à nouvel an. Est-ce qu’elle en avait quelque chose à carrer ? Pas vraiment en toute franchise, mais c’était connu : le malheur des uns fait le bonheur des autres, et Jo puisait son salut dans la misère de ceux qui ramaient plus qu’elle. Ça devait être le cas de Charlie étant donné qu’elle semblait bien décidé à faire regretter à ce type de l’avoir laissée sur le bas-côté de la route. Enfin, elle le supposait, elle n’en savait rien en vérité, et tandis qu’elle se laissait asseoir sur le bras d’un canapé installé juste à côté des portants, elle lui conseilla dans la foulée, son doigt surplombé de paillettes pointé dans une certaine direction "Le bustier en dentelle à côté de la housse marron, il ira super bien avec la jupe. Il est transparent, mais puisque t’as l’air d’en avoir rien à foutre." lui dit-elle, haussant les épaules en répondant ensuite à sa question "On me propose, je choisis. J’ai déjà essuyé des remarques sur la longueur de mes jupes, mais je vais pas me mettre à porter des pantalons parce que c’est trendy de sortir de chez soi en pyjama. J’ai une image de marque, je tiens à la garder." Jamais de la vie elle ne sortirait en pyjama — en déshabillé en dentelle à la rigueur, ce n’était sûrement pas exclu "Tu sais que je suis à ça de bientôt plus être obligée d’ouvrir moi-même une porte ? Tu peux me dire que t’es jalouse, je te croirais sur parole." Et là, elle se laissa tomber théâtralement sur le canapé, en quittant le bras pour retomber avec l’élégance de la diva modèle réduit qu’elle était. Il fallait bien s’en amuser de tout ça, même si elle avait l’impression d’avoir volé la vie de quelqu’un d’autre depuis un mois : sur la forme, tout était comme elle l’avait toujours rêvé, elle avait juste un putain de mal à l’apprécier parce que ce n’était pas elle qui l’avait gagné, mais ce n’était pas une option d’en parler. De fait, à la place, ne se redressant pas, installée comme une reine sur sa causeuse, elle fit danser ses sourcils bien dessinés sur son front, ses yeux toisant la silhouette longiligne de Charlie pendant qu’elle surélevait sa tête en la posant dans le creux de sa main, et lui dit avec taquinerie "À quel point je dois faire un caprice pour que t’acceptes de défiler pour moi ? Allez, je te promets que je t’applaudirai à la fin." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Mer 3 Mai 2023 - 11:21 | |
| Charlie exige et demande et elle est la première à s’en amuser, en réalité incapable de savoir si elle pourrait se rendre disponible le jour de son concert. Elle joue à l’adulte depuis plusieurs années maintenant, et cela aussi avec son lot de conséquences, à commencer par ne pas pouvoir partir en vacances avec ses copines dès que l’idée émerge au détour d’une conversation. "T’en auras si tu veux venir." Mais elle a l’impression d’avoir gagné quelque chose, quand bien même Jo lui aurait proposé des billets qu’elle lui ait demandé ou non. Cela pousse tout de même Charlie à étirer un sourire fier et amusé. "Et si tu me promets que tu seras là pour assister à mon set. Sinon à quoi ça sert, t’as vu l’affiche ? Je suis la seule à valoir le coup." - “Je viendrai à ton set pour dire à qui veut bien l’entendre que c’est la bombe sur scène qui m’a invité en personne.” Et ça, ça n’a rien d’une blague pour garder l’ambiance apaisée: elle le dira réellement à qui veut bien l’entendre, et même à qui ne veut pas, parce qu’elle est sincèrement fière d’avoir une amie au parcours telle que Joséphine. Elle a beau ne pas savoir comment le lui dire en l’instant, cela ne l’empêche pas de le penser: elle mérite tout ce qui s’enchaîne pour elle dernièrement pour sa carrière. “Et pour t’écouter, aussi.” C’est évident, mais cela vaut sans doute la peine d’être souligné. Charlie ne connaît même pas le reste de l’affiche et quand bien même elle soupçonne Jo de mentir quelque peu en disant être la seule à en valoir la peine, elle ne ment pas de son côté quand elle dit que les autres noms ne l’intéressent pas.
Elles jouent plus que jamais le cliché des filles qui se retrouvent pour parler fringues et mecs, et pourtant Charlie ne tente pas un seul instant d’aller contre. Elles se sont disputées, elles se sont hurlées dessus, il a été question de sa grand-mère au poste de police et encore une infinité de problèmes alors oui, merde, elle veut jouer au cliché de la poupée Barbie pour une après-midi au moins. "Il s’est passé quoi alors avec…" Jo ne le nomme pas parce qu’elle ne saurait pas quel prénom lui donner, et c’est une idée qui amuse Charlie. Peut-être que c’est aussi un indice de plus qui aurait pu lui faire dire dès le départ que cette relation n’était qu’une chimère. “Il est parti en cure pendant un mois, tu sais le cliché du chanteur qui se drogue - cliché auquel t’as pas intérêt à appartenir, Josephine Carter.” Le rythme de paroles est bien plus rapide lorsqu’elle met directement Jo en garde, son index vrillé en sa direction malgré le peu de sérieux de la situation alors que la jupe manque de peu d’afficher ses fesses. “Eeet en rentrant il m’a annoncé avoir bien réfléchi, et il se pourrait qu’il ne m’aime finalement pas.” Le sourire de Charlie est présent, plus faux que jamais. Elle ne va pas pleurer sur son sort, non, mais elle va continuer à détester Cameron pendant un très long moment. Elle simplement sa propre façon de gérer une rupture, Fawcett, et cela n’a absolument rien de mâture. “Et le tien ? On doit le détester ?” Cette fois-ci, elle connaît parfaitement le prénom du petit-ami giflé devant les caméras curieuses du pays, mais elle le lui épargne, si jamais il a fait une vraiment grosse bêtise.
"Le bustier en dentelle à côté de la housse marron, il ira super bien avec la jupe. Il est transparent, mais puisque t’as l’air d’en avoir rien à foutre." Le cliché reprend rapidement, faisant dire à la blonde que Jo a très certainement manqué une carrière dans le monde de la mode à en juger par sa rapidité d’esprit en ce qui concerne les choix de couleurs et de tissus - ou de non-tissu, à en juger par le bustier proposé. “Je suis célibataire et j’ai aucune vocation à devenir nonne, alors en effet j’en ai rien à foutre.” Cela n’interfère pas avec son travail - pour lequel elle en a quelque chose à foutre, oui. Elle pose son regard et ses doigts dessus, l’adoptant immédiatement au passage. Cette fois-ci, elle prend au moins la peine de se tourner pour échanger son t-shirt actuel contre le bustier, n’offrant que son dos à Jo, comme si elle ne s’apprêtait pas à voir au travers du tissu à la seconde où Charlie se retourne. Ses anecdotes de diva l’occupent bien assez pour que la blonde oublie rapidement sa nudité relative, occupée à s’amuser de la vie que son amie mène, sans pour autant la jalouser un seul instant, ni même vouloir la même. Ce qu’elle peut faire, au moins, c’est défiler pour elle comme convenu, se tenant sur la pointe des pieds pour mimer l’existence de talons aiguilles pour affiner encore un peu plus sa silhouette. Main sur la hanche, menton relevé, le défi n’a rien de difficile pour une femme comme elle qui connaît ses qualités et, surtout, n’a pas de temps à perdre avec les insécurités, surtout physiques. Elle s’en lasse pourtant rapidement et se laisse retomber contre le canapé près de Jo, occupée à baisser d’un cran sa jupe dès qu’elle se pose sur les coussins. “T’as le droit de choisir tes propres tenues ? Tu vas prendre quoi pour les photos de ton article ?” Parce que si elle comptait porter la jupe, il faudra l’enlever du cadavre de Charlie qui compte bien repartir avec, qui à en payer le prix (littéralement, le prix de la jupe). Son regard se pose un instant sur Jo avant de déjà voler ailleurs, à la recherche des frites et du milk-shake promis. Ce qu’elle aime surtout avec les clichés, c’est les mettre à mal. “Je te tiendrai pas de portes et je te mettrai encore moins les frites dans la bouche, si jamais t’as peur que je te traite différemment maintenant que t’es une diva.” Aucun traitement de faveur, même pour celle qui vient de lui offrir les billets pour quelques jours s’annonçant particulièrement amusants. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10988 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Ven 5 Mai 2023 - 12:49 | |
| fiend for your demons @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
L’avantage d’avoir un entourage comme celui de Jo, c’était qu’il la confortait dans son besoin vital de prendre soin de son énorme ego. Là où Megan le faisait avec une honnêteté brute, mais pas moins tendre sur le fond, Charlie le faisait sous le prisme de la convoitise révolue, et Jo ne cracherait certainement pas dessus, pas dans une période où elle avait l’impression d’avoir été grugé à bien des niveaux par quelqu’un dont l’avis avait une vraie valeur à ses yeux. Alors elle battit des cils comme elle le faisait si bien lorsque le terme bombe fût employé, ne faisant pas démentir la blonde à ce sujet parce que c’était vrai putain, qu’elle en était une de bombe. Ce qui avait vocation à le devenir aussi, c’était la conversation qu’elle choisit d’entamer pour déplacer un instant le curseur de sa propre personne. Pas le genre de bombe qui fait tourner des têtes et exploser des coeurs, mais qui détruit tout sur son passage : les récents déboires amoureux de Charlie à qui elle demanda enfin ce qui s’était passé avec cet homme qu’elle avait côtoyé un temps. Elle ne ferait pas mine d’être vraiment intéressée par le sujet, seulement la curiosité naturelle de Jo étant ce qu’elle était, savoir au moins de quoi il en retournait, c’était quelque chose dont elle avait envie sur le moment, peut-être pour se rassurer quant à sa propre expérience en la matière, allez savoir.
Elle fronça les sourcils en l’entendant soulever la cure du type qui l’avait largué, prenant la mise en garde qu’elle lui fit avec un petit sourire en biais, se redressant sur son canapé en levant les mains devant elle, comme prise sur le fait d’une erreur par encore commise, qu’elle repoussa d’un haussement d’épaules "On se donne rendez-vous dans un an pour voir si je suis devenue ce genre de cliché. Mais tu sais ce qu’on dit, c’est pas une ou deux lignes de coke qui font du mal." Et de la bouche de quelqu’un qui n’avait jamais pris autre chose que de la drogue douce en soirée, ça valait sans doute pas grand-chose. Elle plaisantant. Sa discipline en la matière était impeccable : Jo buvait à peine de l’alcool. Elle ne voulait pas ruiner sa voix sous le prétexte qu’elle avait besoin de s’évader de sa tête. Des divas qui avaient enterré leur carrière pour avoir leur fixe de dope, elle en comptait plus qu’il n’était acceptable de le faire et elle refusait, en effet, de faire partie de cette liste ; les anxiolytiques ne comptaient pas, c’était médicamenteux, c’était encadré, et c’était temporaire "Il tourne à quoi ?" lui demanda-t-elle, finissant par ouvrir grand la bouche lorsque Charlie continua son récit et que dans la foulée, Jo laissa échapper "Sur quel genre de bâtard t’es tombée encore une fois ? Ton goût en matière de meufs est impeccable —" Et elle pensait à elle-même quand elle disait ça évidemment "— mais putain en ce qui concerne les mecs, c’est vraiment à revoir. Tu l’as attendu ? Tu lui as fait payer ça j’espère ?" En s’énervant contre lui, en l’insultant, en le giflant — aïe. Elle eut un très profond soupir, se prenant un revers dans la gueule, et ne pouvant pas prétendre être surprise par la question de Charlie, à croire qu’elle lui avait tendu la perche exprès alors que déjà, ses yeux se remplissaient de larmes sans qu’elle ne le veuille vraiment, le détournant juste assez pour que Charlie ne s’en rende pas compte quand elle lui répondit sans faire dans le détail "J’ai pas encore décidé. Mais si t’as du temps à perdre, tu peux le détester pour deux, je prendrais le train en route." Et c’était presque un aveu de quelque chose, de l’idée qu’elle avait beau en vouloir à mort à Midas, celle de le compter parmi sa liste d’ennemis ne lui frôlait même pas l’esprit.
Reprenant rapidement sur elle, laissant un sourire dont elle avait le secret masquer la blessure de son petit coeur fragile, elle applaudit Charlie après qu’elle avait consenti à défiler pour elle. Elle finit par l’accueillir à ses côtés par une tête posée sur son épaule, ses jambes s’étendant pour que ses talons viennent se poser sur la table-basse alors qu’elle lui répondait en même temps "J’en sais rien encore. J’ai envie de faire un truc différent. J’ai envie de me faire couper les cheveux aussi, mais c’est peut-être trop radical pour un photoshoot." Cela dit, il y en avait bien qui se teignait les cheveux exprès pour le MET Gala alors qui savait si l’équipe en charge du côté artistique du shoot ne valideraient pas son idée ? La tête toujours posée sur l’épaule de Charlie, elle eut un légère rire lorsqu’elle ne sembla pas vraiment impressionnée par la portée de la nouvelle vie de Jo qui venait avec des à côté qui la faisait passer pour une assistée quand elle s’était occupée d’elle-même toute sa vie ; la différence était notoire, mais pas si désagréable dans le fond, elle finirait par l’apprécier "J’étais déjà une diva quand tu m’as rencontrée, je sais que tu vas pas changer maintenant que c’est officiel pour tout le monde." Levant les yeux vers elle avec une malice légèrement surjouée, elle garda le silence un instant pour mieux se redresser, faisant quitter sa tête à son épaule pour ne pas la lâcher du regard cependant, se recalant contre le dossier du canapé tandis que son sourire s’élargissait un peu "Tu m’as un peu manqué quand même." lui fit-elle savoir en même temps qu’enfin, Cathy venait déposer sur la table un plateau avec le milk-shake à la vanille et les frites de Charlie.
D’un signe de tête, Jo l’invita à entamer son pseudo-repas. Une fois qu’elle lui tourna légèrement le dos, elle prit un instant pour mûrir la question qu’elle avait dans la tête à ce moment-là, ses jambes remontant sur le canapé pour lui faire reprendre une posture de souveraine, son regard perdu brièvement dans un vide qu’elle décida de combler en rouvrant la bouche, son coude posé contre l’appui-tête, ses doigts furetant dans la masse épaisse de sa propre queue de cheval "Tu lui écris parfois ?" À Midas, pas à son mec en carton qu’elle avait décidé de mettre d’emblée dans la catégorie de ses ennemis mortels — parce qu'il avait l’air d’être un sacré connard, et elle s’y connaissait assez, en digne représentante de l’espèce, pour ne pas en douter. Roulant des yeux dans la foulée, elle ajouta tout de suite après "C’est pas une question piège." Ou un moyen de faire tourner la situation de la mauvaise façon en s’offusquant qu’elle le fasse — ça ne la regardait pas, ça restait certain malgré tout ce qui s’était passé depuis l’époque où elle avait appris leurs histoires. Et c’était important qu’elle soit claire sur ça ; assez en tout cas pour que, détournant les yeux sur ses genoux couverts par l’épaisseur relative de son peignoir en soie, elle précisa avec précaution "Je veux juste savoir s’il va bien." Juste ça. Rien d’autre. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Mar 9 Mai 2023 - 14:54 | |
| "Il tourne à quoi ?" “Cocaïne. Rien de moins.”
Il n’a pas su se contenter de fumer un peu d’herbe, non, bien sûr que non. "Sur quel genre de bâtard t’es tombée encore une fois ? Ton goût en matière de meufs est impeccable mais putain en ce qui concerne les mecs, c’est vraiment à revoir. Tu l’as attendu ? Tu lui as fait payer ça j’espère ?" Evidemment qu’elle pense que son choix dans la gente féminine est bien plus aiguisé: son commentaire n’étonne personne, et certainement pas Charlie. Cela la fait même sourire, surtout parce qu’elle commence à se faire à l’idée que le problème venait de Cameron et non pas d’elle - non, évidemment que non, elle n’a aucun problème. Elle devrait simplement arrêter de s’entêter avec les unijambistes, cela lui rendrait un grand service puisqu’ils semblent un peu trop occupés à tous lui briser le cœur. “J’ai rien à te dire qui te rendrait fière, là.” Elle l’a attendu, oui, et elle ne lui a pas fait payer, non. Charlie a été bien trop prise de court pour penser à quoi que ce soit sur l’instant, et maintenant elle a trop de respect pour sa fille pour oser lui nuire. Elle ne voudrait pas que cela se répercute sur Hannah, et ce serait presque immédiat, peu importe ce qu’elle tenterait. En retour, Jo n’attrape pas la perde tendue au sujet de son couple, ce dont la blonde ne se formalise pas outre mesure: elle a sûrement besoin d’un peu plus de temps de son côté. “C’est pas un mauvais gars, dans le fond, mais ça l’empêche pas d’être dans la catégorie “connard” pour le moment.” Il a un bon fond et elle en reste convaincue, mais elle est aujourd’hui tout autant convaincue de sa grande capacité à prendre les mauvaises décisions, et peut-être même les pires qui soient. Il a besoin d’aide, et elle n’aura pas ce rôle dans sa vie, à commencer parce qu’il en a décidé ainsi.
"J’en sais rien encore. J’ai envie de faire un truc différent. J’ai envie de me faire couper les cheveux aussi, mais c’est peut-être trop radical pour un photoshoot." Jo posée contre son épaule, Charlie tourne difficilement la tête pour en observer ses cheveux, au travers desquels elle passe brièvement sa main, comme si elle y connaissait quoi que ce soit. “Ça t’irait bien. Photoshoot ou pas.” Elle aurait un peu plus l’air d’une enfant, sans doute, mais pour ça il n’y aurait besoin que de rester à côté d’elle durant une seconde pour savoir qu’elle n’en est pas une. Le moindre mot sorti de sa bouche et la magie serait envolée, pour sûr. "J’étais déjà une diva quand tu m’as rencontrée, je sais que tu vas pas changer maintenant que c’est officiel pour tout le monde." Elle a toujours été une diva, mais pendant un certain temps elle l’était simplement dans son attitude. Aujourd’hui, le monde entier sait ce qu’il en est, et elle est sûrement de ceux qu’on prend en photo dans la rue sans demander la moindre permission, la popularité amenant son immense lot de contreparties et de déshumanisation. “Tant mieux.” Elle souffle dans un sourire, soulagée de ne plus ressentir la pression d’un problème qui n’en a pourtant jamais été: Jo a sûrement toujours pensé ces mots, tout comme Charlie ne s’est jamais imaginée changer d’attitude face au degré de popularité de ses amies. Certaines choses ne devraient jamais être corrélées. Le visage de la chanteuse-diva se décolle d’elle, suffisamment pour que la blonde se replace à son tour contre le canapé, dans le même élan que Jo de son côté. "Tu m’as un peu manqué quand même." Malgré tout, et surtout après tout ce qu’il s’est passé et ce qu’elles se sont dit, les aveux sont plaisants à entendre. Être en couple a fait du bien à Jo, même si cela semble aujourd’hui compromis. Plus que jamais, son amie pense que Midas a une bonne influence sur elle, comme un chien en aurait auprès de son propriétaire constamment aigri et enfermé chez lui. Du pareil au même.
Le repas est disposé devant elles et le sourire de Charlie se fane doucement, pour que Jo ne trouve pas le moyen de lui reprocher d’être trop heureuse non plus. "Tu lui écris parfois ?" La question ne la surprend pas, mais le fait qu’elle ne soit pas accompagnée d’insultes ou de regard sombre a tout pour la déstabiliser. Elle n’en a pas l’habitude, disons simplement. "C’est pas une question piège. Je veux juste savoir s’il va bien." Charlie prend le temps d’attraper un milkshake et penche légèrement la tête, comme si le monde était toujours plus beau sous un angle légèrement différent. Son regard se pose doucement sur Jo. “Non, on se parle pas.” Et elle ne ment pas. “Mais je peux lui envoyer un message. Ça serait pas bizarre.” Elle peut le faire, si Jo veut une réponse. Midas n’a pas à savoir le pourquoi du comment, et surtout elle ne l’imagine pas se poser des questions outre mesure: après tout, il ne sait pas qu’elles sont ensemble en cet instant même. “C’est lui qui a merdé quelque part ou c’est toi ?” Elle demande pas les détails et ça ne l’intéresse même pas, elle tente simplement de comprendre la nouvelle dynamique. La gifle qu’il a reçue tend pourtant à lui dire que c’est lui qui a merdé, tout comme elle lui dit que Jo doit sacrément être amoureuse pour déjà travailler sur la rédemption de Midas au travers de Charlie. “Dis moi que vous faites juste une pause, je me suis toujours pas remise de la séparation de Brad et Angelina.” Et le cataclysme serait similaire, oui. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10988 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Sam 13 Mai 2023 - 8:54 | |
| fiend for your demons @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
"Au moins c’est pas du crack. Tu sais ce que disait Whitney à propos du crack." Ou peut-être pas, elle était sans doute la seule à prendre les discours des grandes divas pour des paroles d’évangiles. Ca importait peu sur le moment, comme ça importerait peu plus tard en vérité, et parce que Jo ne serait pas Jo si elle ne mettait pas les pieds dans le plat à sa façon, à savoir sans trop de délicatesse tout en restant foutrement belle pourtant, elle demanda à Charlie "Tu l’aimais beaucoup, ou c’était qu’une passade ?" Son regard tourné vers elle, elle n’essaya pas d’anticiper sa réponse, attendant qu’elle la lui donne en concluant juste derrière "Tu m’en voudras pas si je retiens pas son prénom et que je parle de lui qu’en l’appelant le connard alors." Puisque visiblement, c’était ce qu’il était, pourquoi s’en priver.
Sous le prétexte de la faire venir faire des essayages dont elle n’avait même pas besoin au demeurant — Charlie, pas Jo —, c’était certainement le besoin de parler un peu qui pointait sans en donner l’air. Le renvoi de balle était inéluctable, mais il était douloureux. Dans un futur proche, Jo apprendrait de ses erreurs ; ne pas questionner si on ne veut pas être questionné en retour, c’était d’une logique implacable, mais ça lui échappait un peu parce qu’elle espérait toujours au fond que les autres redoutent ses réactions pour oser faire ce qu’elle-même faisait sur une base régulière, à savoir mettre son nez là où ça ne la regardait pas. Charlie s’y risqua sans donner l’impression qu’elle redoutait quoi que ce soit au contraire, et c’était de bonne guerre, même si l’espace d’un instant, Jo hésita à répondre quand c’était elle qui avait commencé à poser des questions. Mettant de côté leur discussion sur ses projets capillaires, ne s’arrêtant pas davantage sur l’aveu de Jo qui avait fait savoir à la blonde qu’elle lui avait manqué, elle regretta un peu d’avoir bifurqué. Étant donné que c’était trop tard, elle se laissa porter.
Le repas de Charlie fût apporté, une part unique qui ne faisait pas envie à Jo de toute façon dont le regard se détourna au moment où la jeune femme répondit à sa question. Elle secoua la tête de droite à gauche pour lui faire entendre avec un peu d’avance que non, elle ne voulait pas qu’elle envoie de message à Midas "Ce serait un peu pathétique de me servir de toi comme intermédiaire quand je t’ai fait une scène à propos de lui l’année dernière." Et Midas n’était pas idiot malgré ce dont elle était essayait de se convaincre en repensant à ses décisions récentes, il ferait rapidement le lien. On pouvait la targuer de manquer de maturité à certaines occasions, mais certainement pas à propos de celle-ci : elle apprenait à lave son linge à l’abri des regards, personne ne le lui reprocherait. Quand bien même elle crevait d’envie de savoir s’il pensait à elle, ce qu’il faisait, où il le faisait et avec qui : elle ne se servirait pas de Charlie. Elle continuait de l’interroger et Jo marqua un temps d’arrêt, ses doigts passés dans ses propres cheveux, son coude posé sur le dossier du fauteuil sur lequel elle était assise, à se demander comment expliquer les choses sans trop en dire non plus, consciente des répercussions que ça pourrait engendrer — que ce soit au sujet de Posy ou au sujet de leur victoire mutuelle, c’était devoir choisir entre la peste et le choléra. Elle préférait encore pourrir de l’intérieur à cause de sa tristesse et le sentiment de trahison qui l’animait, c’était comme ça "Ça t’étonnerait si je te disais que c’est lui ?" Probablement. Haussant les épaules, ses paroles reprirent d’une voix assez blanche pour que quiconque la connaissant un peu devine qu’elle prenait sur elle, et pas parce qu’elle était en colère, même si elle l’était tout de même encore beaucoup "Mais tu l’as dit toi-même, je suis la connasse de service de beaucoup d’histoires, ça aurait sûrement été le cas de celle-ci aussi." Elle l’était déjà selon le point de vue extérieur à tout ça de toute façon "J’ai juste pas eu le temps d’agir avant qu’il le fasse. C’était pas réel là-bas, on était dans une bulle. Ça aurait été différent ici, il aurait réalisé dans quoi il s’engageait à un moment donné." Mais ça aussi, ce serait sous-estimer l’intelligence de Midas de lui incomber l’éventualité qu’il ne le savait pas déjà. Elle essayait juste de se convaincre qu’elle aussi, elle aurait pu tout gâcher, pas en se basant sur les mêmes méfaits, mais l’effet aurait été le même : ils avaient la capacité de se blesser l’un et l’autre, Midas avait juste pris de l’avance sans penser à mal pourtant, c’était bien ça le plus pénible à accepter. Se mordillant l’intérieur de la lèvre inférieure en posant de nouveau son regard sur Charlie, Jo inclina la tête comme elle l’avait fait quelques instants plus tôt seulement pour lui répondre "Je crois pas que ce soit une pause, non." Elle n’en savait rien en vérité, elle y pensait déjà bien assez pour vouloir s’y pencher sur l’instant, sentant une petite émotion la gagner et ses yeux lui picoter de nouveau. Presque trop brusquement, elle se leva "C’est pas important. Je vais essayer la Miu Miu, tu m’aides ?" Faire diversion, c’était une technique qui avait fait ses preuves. Le portant de vêtements à proximité était une échappatoire idéale, et se posant devant pour descendre le fermeture éclair de la housse opaque sur laquelle elle jeta son dévolu, c’est en se focalisant dessus que Jo ravala ses émotions. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Mer 24 Mai 2023 - 19:04 | |
| "Au moins c’est pas du crack. Tu sais ce que disait Whitney à propos du crack." Non, pas vraiment, mais elle imagine qu’elle devait dire quelque chose de sacrément difficile au sujet du crack pour que même la cocaïne passe pour la Sainte Vierge à côté. “J’ai juste pas envie de risquer mon job parce que mon gars sniffe tout ce qui lui passe sous le nez.” Et elle n’avait pas non plus envie qu’il foute la vie de sa fille en l’air, entre autres choses. Il peut se tuer s’il veut, littéralement, mais elle ne devrait pas avoir à payer pour ses erreurs, et même grandir sans présence paternelle est un véritable problème à part entière. Maintenant, il y a fort à parier qu’elle ne saura pas ce qu’il advient de lui, sauf peut-être au travers de Zoya. Pour l’heure, elle reste trop occupée à digérer pour vouloir prendre des nouvelles de son ex-petit-ami. "Tu l’aimais beaucoup, ou c’était qu’une passade ?" Charlie hausse tristement les épaules, incapable de trouver les mots justes pour définir ses sentiments dès qu’ils se rapprochent plus ou moins de l’amour. Elle l’aimait bien et elle avait pris le temps de faire les choses bien, mais est-ce que ça faisait pour autant de lui l’amour de sa vie ? Elle n’en sait rien, trop occupée à collectionner les échecs et mauvaises expériences plutôt que n’importe quoi d’autre. “Je m’imaginais pas élever une armée d’enfants avec lui pour le moment, mais je l’aurais pas qualifié de passade, non.” Ce qu’elle sait vraiment, au fond, c’est qu’elle est en pleine période de deuil, et à chez elle c’est à s’y méprendre avec une période de fêtes et de coucheries perpétuelles. Chacun gère à sa façon, dira-t-on. "Tu m’en voudras pas si je retiens pas son prénom et que je parle de lui qu’en l’appelant le connard alors." - “Je t’en voudrais si on continue à parler de lui. On passerait même pas le test de Bechdel, là, c’est la honte.” Charlie n’a pas besoin de lui pour vivre, ni même de qui que ce soit, et il n’y a pas à en discuter davantage. Ça fait chier, ça fait mal, mais ça finira par passer.
Elle ne passerait pas le stupide tête de Bechdel, et pourtant cette réalisation ne l’empêche pas de tendre à son tour la perche à Jo pour y voir un peu plus clair sur la situation entre elle et Midas. Ils sont deux opposés qui s’attirent, et malgré l’histoire qu’elle a connu avec le brun le temps d’une nuit (ou plusieurs, mais ne le dites pas à Jo), elle root parfaitement pour eux, pour qu’ils soient ensemble, et pour qu’ils arrêtent de jouer au plus stupide chacun dans leur coin. Simplement, Jo ne lui accorde pas pour autant le devoir de jouer les entremetteuses, ce qui aurait pourtant plus à Charlie. Mais en nouvelle adulte qu’elle est depuis peu, elle accepte sa décision et ne la négocie pas. "Ce serait un peu pathétique de me servir de toi comme intermédiaire quand je t’ai fait une scène à propos de lui l’année dernière." A son tour d’hausser les épaules, prouvant ainsi qu’elle s’est distanciée de cette période de leur vie et de la dispute qui en a suivie. “Le contexte était différent.” Et elle ne le rappellera pas, parce qu’elle sait parfaitement que Jo ne risque pas de l’avoir oublié. Tout ce qu’elle dit, c’est parmi tous les adjectifs et autres insultes qu’elle peut parfois associer à Jo Carter, pathétique n’en fait pas partie. Mais si elle n’aide pas la réconciliation, alors elle essaie au moins d’y voir plus clair, non (uniquement) par curiosité, mais bien parce qu’elle souhaite aussi savoir où elle met les pieds. Elle est certaine qu’aucun ne considère l’autre comme une “passade”, là où de son côté elle ne pourrait pas en dire autant pour Cameron, et c’est pour cette raison qu’elle cherche à savoir quelle faute assez grave a pu subitement obliger leurs chemins à se séparer. "Ça t’étonnerait si je te disais que c’est lui ?" Non, pas vraiment. Il est gentil et personne ne pourrait le lui enlever, mais il est évident qu’il est aussi bourré de maladresse. Certaines sont attendrissantes, d’autres impardonnables. Il a visé la mauvaise catégorie, d’une façon assez sombre pour que Jo refuse de donner les détails. Charlie la respecte trop pour demander à nouveau: si elle avait voulu parler, elle aurait craché son venin. "Mais tu l’as dit toi-même, je suis la connasse de service de beaucoup d’histoires, ça aurait sûrement été le cas de celle-ci aussi." - “Tu me convaincras pas que c’était voué à l’échec, mais tu peux toujours continuer à essayer de t’auto persuader.” Elle répond simplement, sans le moindre justement dans sa voix. Jo se concentre sur le négatif parce que c’est tout ce qu’elle veut en retenir, et au fond Charlie n’a aucun mal à comprendre la démarche, ce qui est aussi la raison pour laquelle elle ne la blâme en rien. A sa place aussi, si elle était tombée amoureuse d’un bon gars tel que lui plutôt que d’un nouveau toxicomane, elle aurait été dévastée d’en voir la fin bien trop rapidement. "J’ai juste pas eu le temps d’agir avant qu’il le fasse. C’était pas réel là-bas, on était dans une bulle. Ça aurait été différent ici, il aurait réalisé dans quoi il s’engageait à un moment donné." Cette fois-ci, Charlie peine à cacher ce qu’elle en pense réellement, comme en témoigne son dos qui se courbe et son visage qui se penche légèrement sur la droite, ses yeux posés contre ceux de la brune. Elle souffle doucement, empathique de nature. “Il savait très bien dans quoi il s’engageait.” Elle ne connaît pas beaucoup Midas, c’est évident, et elle ne se permettra pas de parler pour lui outre mesure, mais Charlie peut au moins dire ça: Jo est la même personne, peu importe qu’ils soient sous la chaleur des projecteurs ou dans un canapé à manger tout le sucre du monde. Elle s’adapte à l’environnement, elle s’adapte (un peu) aux personnes, mais au fond elle reste toujours Jo. Son caractère est évident, dans ses bons comme dans ses mauvais plis, et Midas le connaît sûrement bien plus que quiconque. Peu importe l’erreur dont il a été question entre eux, elle est bien malheureuse. "Je crois pas que ce soit une pause, non." Elle est assurément malheureuse, donc.
Toujours égale à elle-même, Jo chasse justement toute la tristesse de la discussion autant que de ses mots, déjà occupée à utiliser l’environnement autour d’elles comme le parfait alibi. "C’est pas important. Je vais essayer la Miu Miu, tu m’aides ?" Charlie la regarde tristement sans rien dire, et elle ne se lève que lorsque ladite tenue est exposée à l’air libre. Elle baisse une fois de plus sa propre jupe, définitivement bien trop courte, et se lève pour se placer auprès de Jo, à qui elle fait face brièvement. “Tu m’as manqué aussi, tu sais.” Miu Miu pouvait attendre trois secondes de plus, l’aveu était plus important. Pourtant bien consciente que tomber dans l’excès de sentiments ne ressemblerait pas à Jo, elle lui offre une porte de sortie en détournant son regard du sien pour mieux se concentrer sur la précieuse tenue, qu’elle ose à peine toucher de la pulpe de ses doigts. “Je savais que j’aurais dû apprendre à chanter en étant gamine.” Pour la vie de star, les beaux habits, les voyages, le champagne. Pour tout ce que vit Jo et ce qu’elle ne lui envie pourtant pas réellement, bien trop heureuse de vivre sa vie discrètement, sans avoir à être jugée par tout le monde à la moindre occasion. “Mais pour ce que ça vaut, je trouve la couleur dégueulasse.” Elle rajoute, un sourire en coin grandissant au même instant où elle tourne sa tête en direction de Jo. Si elle l’a invité, c’est aussi pour son franc parler, lequel se fait bien plus ressentir maintenant qu’elles parlent de choses sans importance et non plus d’un homme qu’elle aimait sans doute plutôt bien. |
| | | | | | | | (jolie #9) fiend for your demons |
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