≈ ≈ ≈ {You know that I'm gon' be extra when that camera go "pop, pop, pop"} crédit/(karolinadeanwrites) ✰ w/ @Marley Lynch
Les conseils de Catherine Wright pour se préparer à une séance photos ont été plutôt simples maintenant que tu y penses : prendre un bon bain la veille, ainsi qu'un repas chaud, mais tout de même léger, se coucher à une bonne heure après s'être exfoliée tous les pores de la peau et boire beaucoup, beaucoup d'eau. Et privilégier les vêtements confortables jusqu'au moment où on est devant un appareil photo. Oui, vraiment, ta mère a été de bons conseils et quand tu te réveilles reposée et avec une bonne mine à sept heures du matin très précisément, tu te dis intérieurement que cela va être une bonne journée. La routine est la même, la même depuis que tu as posé tes cartons ici et que tu passes dans la salle de bain : se brosser les dents, se laver le visage, prendre une rapide douche, ne surtout pas oublier ton toner et ta crème solaire. Le silence est de mine dans l'appartement, tu t'y fais depuis peu et même, tu l'apprécies. Fini les chambres d'hôtels impersonnelles et froides, tu es chez toi et c'est un vrai plaisir de se dire que c'est ton espace. Et ce même si l'argent pour ce dernier a été obtenu de façon plus que douteuse... tu ne peux pas retourner en arrière. Tu ne peux que aller de l'avant, voilà ce que tu te dis en vissant tes écouteurs dans tes oreilles dans le bus, ton jogging clashe un peu avec les gens bien apprêtés pour leur journée, mais toi aussi, tu vas au boulot. Tu vas de l'avant, c'est pour cela que tu as accepté de te relancer dans le monde du mannequinat. Parce que c'est du boulot, et que si on te juge assez jolie et féminine pour être la tête d'une des campagnes d'ASOS alors pourquoi pas... L'échange a été fait rapidement sur Instagram et emails et te voilà maintenant, à pousser la porte des locaux et prête pour plus. Selon tes propres termes, sans écraser qui que ce soit. Tu as à peine le temps de capter l'attention de quelqu'un que déjà, un sourire, déjà, on te fait signe de suivre. "Ah, tu es là, et à l'heure, parfait..." Shannon, voilà ce que proclame son badge et il est clair qu'elle a du café dans le sang et pas toi. "Entre nous, on avait peur que tu joues un peu les divas et que tu arrives avec une heure de retard... mais les choses vont pouvoir se dérouler à l'heure et tout va bien se passer." "C'est compréhensible.." Que tu marmonnes, tu la suis, repoussant tes mèches blondes sur ton épaule droite, et parce que jouer les divas, c'est ta marque de fabrique. C'est pour cela que ton nombre d'abonnés grimpe, pour cela que l'on t'a contactée et pour cela que tu es sous contrat. La paperasse chiante a été signée bien en amont et tu suis Shannon à travers un dédale de couloirs et de personnes occupées et de vêtements. Cela pique ta curiosité, tu n'as pas encore vu les vêtements en question et tu espères qu'on a compris ton style. Ou que tu pourras t'adapter et ne pas passer pour une de ces mannequins qui ont vendu leur âme au diable et qui sont juste jolies, sans aucune personnalité, sans conséquence."... Juste de l'eau et du thé pour le moment, on va attendre de prendre quelques photos avant d'ouvrir la cafétéria et…" Shannon et ses talons font un tour sur la droite et il te faut plus d'une minute pour la suivre, tu devrais sûrement demander du thé, sans ça, tu vas être incapable de suivre son rythme, quoique, pour le moment, tu n'as pas besoin d'être réveillée. Si tu as tout bien compris, c'est le temps que maquillage et si tu te rendors sur la chaise alors... alors c'est juste une possibilité que personne ne pouvait repousser, pas vrai ? "Marley, je te présente Laurie, tu sais quoi faire, hein ?" Une porte s'ouvre et tu es bien face à beaucoup de produits, une lumière parfaite et... quelqu'un que tu connais déjà. "On se connait déjà." Que tu articules, tu as un petit signe de la main pour Marley avant de te mordre la lèvre inférieure. Merde, oui, vous vous connaissez déjà, Marley a déjà subi les effets d'un de tes excès de panique et de colère. Tu agis vraiment sans réfléchir parfois... non correction, tout le temps, il serait sûrement temps de modérer cela un peu plus. "Parfait ! Cela rend mon boulot beaucoup plus facile, je vous laisse entre vous." Shannon a pour toi une petite tape sur l'épaule et tu lui renvoies un sourire. Quand vous êtes seules, Marley et toi, tu hoches la tête, bien décidée à ne pas tout faire foirer. "Hey... comment tu vas depuis... tout ce temps ?" Tu te maudis au moment où les mots quittent tes lèvres, tu peux faire mieux, beaucoup mieux que cela. "Je te dois des excuses, non ?" Pourquoi est-ce que cela est tournée comme une question, tu n'en sais rien.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Remettre de l'ordre dans sa vie, repartir à zéro, se reconstruire, tous ces titres tape à l'oeil que l'on trouvait régulièrement à la une des magazines féminins et des revues psychologiques avaient tendance à hérisser le poil de Marley. Elle trouvait cela pompeux et tout bonnement manipulateur. On tentait de faire croire aux hommes, mais surtout aux femmes qu'il était nécessaire de se réinventer, qu'il était possible de tirer un trait sur un passé raté ou parfois douloureux. Elle n'y avait jamais cru jusqu'au jour où elle s'était rendue compte qu'il était nécessaire pour elle d'apprendre à se connaître à nouveau. Elle avait pris trop de mauvaises décisions par le passé, avait adopté un comportement parfois borderline, s'était moqué de trop de choses, avait agi bien des fois sans réfléchir. C'était pour toutes ces raisons qu'elle s'était retrouvée dans cette ruelle complètement bourrée, à deux doigts de se faire violer. Le drame avait été évité de peu mais l'agression avait bien eu lieu. Le traumatisme avait été effroyable et les conséquences lourdes. Lynch avait eu du mal à sortir la tête de l'eau. Son quotidien avait volé en éclats, tout comme l'image qu'elle avait d'elle-même. Elle avait mis du temps avant de pouvoir à nouveau se regarder dans le miroir, désormais elle parvenait à observer son reflet quelques secondes, quelques minutes tout au plus. Ce n'était pas une guérison totale mais au moins elle remontait peu à peu la pente.
Ce matin-là, la jeune femme s'était levée aux aurores. Comme à son habitude depuis quelques semaines désormais, elle avait enfilé un jogging, une veste de sur-vêtement, ses baskets et était partie faire son footing. Jamais auparavant elle n'aurait imaginé faire une telle chose mais désormais ce rituel était devenu essentiel à son bien-être. La brune avait besoin de repères, de stabilité, courir en faisait désormais partie. Cela lui permettait de se vider l'esprit, de s'entretenir, de se sentir un peu mieux dans sa peau, dans ce corps qu'elle ne reconnaissait plus. Depuis son agression, elle ne supportait plus qu'un homme pose son regard sur elle, elle avait du mal à ne pas se sentir mal à l'aise. Lorsqu'on la frôlait ou qu'on la touchait, elle sentait tous ses muscles se crisper, son cœur s'emballer, sa tête tourner. Le soir de l'agression, alors que Jackson était venu la sauver et qu'elle avait par la suite pris un bain, elle n'avait eu de cesse de lui répéter qu'elle était sale, qu'elle se sentait sale. Cette image, cette sensation ne l'avaient jamais vraiment quitté depuis même si elle tentait de le dissimuler.
Elle avait couru un peu plus d'une heure et était rentrée chez elle afin de prendre une douche et de se préparer pour le boulot qui l'attendait. Elle avait été contactée par la compagnie ASOS afin de maquiller les mannequins qui poseraient pour leur prochaine campagne. La métisse avait été ravie par cette proposition et n'avait pas perdu de temps pour accepter. Une fois prête, elle se rendit donc dans les locaux. Lorsqu'elle se présenta, elle lut la surprise sur le visage de la jeune femme qui venait de l'accueillir. Cette dernière fronça les sourcils, jeta un coup d'oeil à sa montre et lui dit : « On vous attendait pour 9h30, sachant qu'il est 8h45 et que les mannequins sont généralement en retard... Je pense que vous êtes bien trop en avance. » La jeune femme lui fit un sourire amusé, et Marley haussa les épaules et répondit : « Ce n'est pas grave. J'en profiterai pour voir les vêtements et pour me faire une idée des maquillages que je peux créer. » La ponctualité était quelque chose de primordial pour Marley qui détestait que l'on soit en retard et qui par conséquent prenait un grand soin d'arriver à l'heure partout où elle se rendait.
Après avoir fait le tour du personnel, avoir discuté avec le directeur artistique concernant ce qu'il désirait obtenir comme résultat final, la métisse alla dans la loge que l'on avait mis à sa disposition pour pouvoir travailler. Elle en profita pour installer tout son matériel et pour boire une tasse de thé qu'on lui avait gentiment apportée. En règle générale elle ne buvait que du café mais elle n'avait aucune envie de faire un petit caprice pour en obtenir un. Alors qu'elle portait la tasse jusqu'à ses lèvres, elle entendit la porte s'ouvrir. Elle fronça les sourcils devant les deux femmes qui lui faisaient face : « Marley, je te présente Laurie, tu sais quoi faire, hein ? ». La brune hocha affirmativement la tête tandis que Laurie précisait qu'elles se connaissaient déjà. Shannon finit par quitter la pièce, les laissant seules. La métisse ne comprenait pas vraiment ce qui était en train de se passer. Laurie avait-elle été engagée comme seconde maquilleuse ? Après tout, la fois où elle l'avait rencontrée elles étaient toutes les deux en train de passer une sorte de casting. Elle n'eut pas vraiment le temps de se questionner que déjà la blonde s'adressait à elle : « Hey... comment tu vas depuis... tout ce temps ? » Si Laurie semblait mal à l'aise, Marley l'était tout autant. Elle se souvenait parfaitement de leur rencontre et du désastre que cela avait été à la fin. A l'époque Marley ne s'était pas montrée à l'écoute, elle n'en avait fait qu'à sa tête, imposant une décision à Laurie qui n'était pas la sienne. Elle s'en était voulue et aujourd'hui son erreur lui revenait en pleine face. Elle s'apprêtait à lui répondre mais fut coupée dans son élan : « Je te dois des excuses, non ? » Marley fronça les sourcils et retrouvant enfin l'usage de son corps, posa sa tasse sur une table basse et s'approcha de la jeune femme. Elle posa sa main sur l'avant-bras de Laurie et lui dit dans un sourire : « S'il y a une personne ici qui doit présenter des excuses à l'autre, c'est bien moi... » Alors oui Laurie s'était montrée vindicative et n'avait pas caché sa colère mais Marley ne pouvait rien lui reprocher. C'était elle qui avait mal agi ce jour-là. Elle soupira quelque peu et ajouta : « Je suis désolée, j'aurais jamais dû te forcer à faire un truc que tu ne voulais pas. » Le consentement tout ça, Marley semblait avoir par moments un sérieux problème avec. Elle se souvenait parfaitement du jour où elle n'avait pas voulu entendre les refus de Jackson dans la laverie, tout comme les désirs de partir de Laurie. Elle finit par sourire et par aller récupérer sa tasse de thé. Après avoir bu une gorgée elle poursuivit : « Par contre, il va falloir m'expliquer... La dernière fois tu étais à mes côtés pour maquiller, et aujourd'hui si j'ai bien compris, tu es la mannequin qui doit passer entre mes mains ? » parce que Marley avait fini par comprendre, Shannon lui avait dit qu'elle savait ce qu'elle devait faire et ce qu'elle devait faire c'était maquiller la mannequin qu'on lui présentait. Elle n'était pas surprise que Laurie fasse du mannequinat. Elle avait le physique pour. Son corps était magnifique, son regard hypnotique, son sourire étincelant. La jeune femme était une beauté pure. La maquilleuse se demandait néanmoins pourquoi il y avait eu un tel revirement de situation.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
≈ ≈ ≈ {You know that I'm gon' be extra when that camera go "pop, pop, pop"} crédit/(karolinadeanwrites) ✰ w/ @Marley Lynch
Est-ce que les gens peuvent véritablement changer ? Tu n'en sais rien, cependant, si tu te fiais à ta très petite existence et tes quelques années avec ce cœur qui bat si fort, tu dirais que non. Après tout, tu fonces dans les mêmes murs depuis des années, tu fais les mêmes erreurs, coups après coups, sans jamais ne rien apprendre. Tu es odieuse, hautaine, opportuniste et égoïste et tu passes de tout à rien comme ça, d'un claquement de doigts... La vérité, c'est que c'est fatiguant et que tu n'as pas envie de passer du temps à fuir ton propre reflet dans un miroir. Tu es la personne qui a écrasé sa soi-disant meilleure amie, qui lui a fait mal et qui a tenté de profiter de son succès, et tu as accepté le chèque qui allait avec. C'est toi la responsable de tout ça et tu ne veux plus penser de la sorte ou être cette fille-là, alors autant aller dans l'autre direction. Et cela commence avec des excuses. Marley prend les devants, se montrant plus mature et plus adulte et tu hoches négativement la tête à ses mots, parce que tu ne comprends pas ce qu'elle est en train de faire. "Non, non, vraiment, c'est moi, je te dois des excuses." Tu ne cherches pas à gagner cette bataille-là, mais ça reste important à tes yeux. De le dire, qu'elle l'entende, ça enlèvera un poids sur ta conscience et te prouvera que tu peux le faire. Peut-être que tu iras de nouveau t'excuser auprès de Jo qui sait ? Tu n'y penses pas pour le moment et tu reprends la parole, un peu plus assurée. "J'aurais simplement dû te dire que j'avais atteint mes limites et que je ne souhaitais pas continuer en fait... je suis désolée, t'essayait juste de soutenir une autre personne du métier, si tout le monde était comme toi, il y aurait beaucoup moins de problèmes." Il y a des façons plus efficaces et moins blessantes pour s'exprimer, que de verser des larmes, que de hausser le ton et utiliser tout ça pour repousser les gens loin de soi. Tu dois l'apprendre, en réalité, tu as tout à apprendre et tu ne peux même plus mettre ton ignorance sur ton jeune âge. Ou le fait que la vie ne t'a pas gâté dès le début. Oui, tu as eu des difficultés, oui, le chemin a été long pour avoir tout ce que tu veux et il y a eu beaucoup de larmes versées, mais tu es là pour rester. Tu fais un pas de plus dans la pièce et tu finis par poser ton sac sur le sol, tu retires ensuite ton hoodie, pour donner un meilleur accès à Marley, révélant le débardeur blanc que tu portes en dessous de ce dernier. "Ouais, la mannequin, c'est moi aujourd'hui.... ils m'ont contacté sur mon Insta, au début je pensais que c'était une blague, mais pas du tout." Tu retrouves un peu de ton sourire en expliquant cela à l'autre femme, cela fait du bien de pouvoir en parler, oui, tu n'as pas pu annoncer la nouvelle à tes abonnés ou qui que ce soit avant aujourd'hui, tu vas pouvoir le faire après la séance photo et quand tout sera rendu public. Tu as hâte, tu ne sais pas dans quoi tu mets les pieds, mais c'est toi qu'on a choisi et c'est le genre de sentiment dont tu raffoles. Cela, tu ne peux pas le nier et hors de question de jouer les filles surprises et qui ne sait pas quoi faire de toute cette attention. Ça ne te va pas au teint et le comprendre et l'exploiter ne fait pas de toi une mauvaise personne. "Je n'ai aucune expérience dans le mannequinat, enfin... participer à des concours de beauté pendant une partie de son enfance, ça compte ou pas ? Parce que si c'est oui, j'ai des tonnes d'expérience." Le rire que tu lâches là est un peu plus nerveux, alors que tu fais référence à une période de ta vie que tu voudrais oublier. Pas de Catherine aujourd'hui, elle ne sera pas là pour te dire de te tenir bien droite, ou d'arrêter de jouer avec tes cuticules, non juste toi. Tu te laisses enfin retomber sur la chaise, continuant sur ta lancée et donnant à Marley des informations qu'elle ne t'a pas demandées. C'est toi la grande bavarde. "Je me suis dit pourquoi pas, je n'ai rien à perdre, j'ai toujours mon contrat d'ambassadrice chez MAC, ici c'est bien payé aussi, ça me fera plus d'expérience." Dans le monde de la mode, celui de l'esthétique, l'industrie en général, tu vas élargir ta liste de contacts, pour pouvoir enfin monter quelque chose de concret et avoir ta propre marque. Un jour. Dans un futur loin et très incertain. "Bref, assez parlé, je suis tout à toi." Marley a le droit à un autre sourire avant que tu ne sois de nouveau en mouvement, cette fois-ci, tu fais face au miroir, déterminée à la laisser faire son boulot sans interférence.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
« Non, non, vraiment, c'est moi, je te dois des excuses. » Marley esquissa un petit sourire en coin devant la volonté de Laurie de s'excuser. Elle n'allait pas la contredire, si la jeune femme en sentait le besoin tout comme elle l'avait ressenti, elle se devait de la laisser s'exprimer. C'est d'ailleurs ce que la mannequin fit en poursuivant ses explications. « J'aurais simplement dû te dire que j'avais atteint mes limites et que je ne souhaitais pas continuer en fait... je suis désolée, t'essayait juste de soutenir une autre personne du métier, si tout le monde était comme toi, il y aurait beaucoup moins de problèmes. ». Elles avaient toutes les deux leurs torts dans cette histoire. Marley avait volontairement ignoré les souhaits de la jeune femme et cette dernière s'était emportée beaucoup trop rapidement, laissant échapper sa colère. La métisse lui adressa un sourire sincère et finit par lui dire : « Allez, on passe à autre chose. On a toutes les deux notre part de responsabilité dans cette histoire. » Elles admettaient chacune de leur côté avoir mal agi, elles s'excusaient mutuellement, il n'y avait aucune raison que cette incident pèse sur leur travail ou sur leur entente. Si la brune pouvait être rancunière, elle savait aussi excuser et pardonner avec simplicité. Elle savait à quel point cela pouvait être difficile de se faire pardonner et ne tenait vraiment pas à infliger ça à quelqu'un.
Laurie finit par poser son sac sur le sol et enleva son haut afin de laisser apparaître son débardeur. Lorsqu'elle expliqua à Marley comment elle avait été contactée et qu'elle lui dit qu'elle avait pensé à une blague, la maquilleuse roula ses yeux en l'air et riant doucement ne put s'empêcher de la contredire : « Une blague ? La blague ça aurait été de ne pas te contacter ! ». La beauté de Laurie était pure, loin des standards habituels, elle avait ce petit truc en plus qui faisait qu'il était difficile de détacher son regard d'elle. Lorsqu'elles s'étaient rencontrées, Marley avait eu l'occasion de l'observer en pleine action. A plusieurs reprises elle s'était faite la réflexion que la maquilleuse aurait largement eu sa place parmi les mannequins présents. Laurie lui expliqua par la suite qu'elle n'avait aucune expérience dans le mannequinat ce qui étonna Lynch. Elle se demandait si la demoiselle ignorait tout de son physique avantageux ou si elle avait volontairement évité les podiums. Lorsqu'elle lui parla des concours de beauté pour enfant, la métisse fit une petite grimace. Elle était déjà tombée devant des émissions télévisées sur des Mini Miss et cela lui avait toujours glacé le sang. Les petites étaient grimées telles des adultes, parfois sexualisées dans leur tenue, exploitées par des mères qui avaient échoué en tant que mannequin et qui reposaient tous leurs rêves et toutes leurs attentes sur leurs enfants qui n'avaient rien demandé. Marley aurait voulu la questionner davantage sur ce sujet mais en entendant son rire nerveux, elle choisit de s'abstenir. Il y avait une sorte de gêne dans le regard de Laurie, et la maquilleuse n'avait aucune envie de la mettre mal à l'aise ou d'aborder des sujets qui pourraient la contrarier. Pour la rassurer elle lui dit simplement : « Ne t'en fais pas, une fois en tenue, coiffée et maquillée, ce sera un jeu d'enfant. » et elle lui fit un petit clin d'oeil. Elle avait souvent observé ce genre de phénomènes. Dès que les mannequins étaient vêtues et prêtes, elles se transcendaient. C'était comme si les vêtements et le maquillage les transformaient et leur donnaient une confiance et un courage à toute épreuve.
Laurie s'installa sur la chaise et lui expliqua que le contrat était plus qu'attrayant. Marley hocha la tête, confirmant ses propos. Elle aussi avait reçu une proposition alléchante pour être l'une des maquilleuses de ce shooting photo. Lynch se recula de quelques pas, sa tasse de thé toujours dans la main et observa en silence le visage de la jeune femme. Par moments elle penchait la tête d'un côté puis de l'autre, elle fronçait les sourcils, acquiesçait en silence. Dans sa tête elle visualisait parfaitement ce qu'elle allait faire. Les différentes étapes défilaient dans son esprit tandis qu'une image mentale se créait. Après quelques secondes d'observation, elle finit son thé, s'installa en face de Laurie et commença à lui expliquer ce qu'elle allait faire. « On ne va rien faire de trop extravagant, tu n'en as pas besoin pour être jolie. » Elle ne disait pas cela simplement pour flatter son égo, elle était sincère et préférait être claire et directe dans ses explications. Elle poursuivit : « Tu as un regard perçant et c'est ça qu'on va mettre en avant. ». Les lèvres de Laurie étaient très jolies et un rouge-à-lèvres clair mais brillant suffirait à embellir sa bouche. L'un des points forts de la blonde était ses yeux et Marley avait vraiment envie de les mettre en valeur. Elle se retourna, prit un poudrier et commença à étaler la base du teint sur les visage de la jeune femme à l'aide d'un pinceau. Si Laurie n'avait pas l'habitude de travailler en tant que mannequin, peut-être n'avait-elle pas l'habitude d'être maquillée par une professionnelle. Afin de la détendre, Marley choisit de discuter un peu plus. Ses gestes étaient précis et agiles, elle faisait ça de manière naturelle et n'avait pas besoin de se concentrer pour que le travail soit réussi. Elle lui demanda donc avec intérêt : « Tu as donc mis de côté tes envies de devenir maquilleuse ? ». Elle se fit la réflexion que de son côté, elle ne pourrait jamais laisser tomber les pinceaux pour les remplacer par des talons aiguilles et des podiums.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
≈ ≈ ≈ {You know that I'm gon' be extra when that camera go "pop, pop, pop"} crédit/(karolinadeanwrites) ✰ w/ @Marley Lynch
“Je suis d’accord, on s’est excusées, maintenant, on peut passer à autre chose.” Tu as un sourire sur le visage en disant cela, et oui, tu sens que tu as le cœur un peu plus léger. Alors que tu venais juste de rencontrer Marley, pourtant, la maquilleuse te prouve bien que le pardon est possible, qu’on peut tourner la page et repartir du bon pied. Quand on est sincère et que l’on s’excuse sans cynisme et sans arrière-pensée. Ce n’est pas un exercice que tu affectionnes, et, très sincèrement, ce n’est pas quelque chose que tu fais souvent. Quand il faut élever la voix, faire son intéressante, être la plus bruyante, la plus dynamique, la plus jolie, alors tu es là, tu es présente. Tu laisses un souvenir chaud et vif dans l’esprit des gens, ça, tu en as toujours eu conscience et ça ne date pas d’hier. C’est comme ça, que tu fonctionnes, l’attention est une monnaie d’échange dans ton monde et plus, tu en as et mieux, tu te portes. Ce qui n’a jamais été sain, on te l’a fait remarquer, mais tu n’es pas là pour te remettre en question ou changer qui tu vas être. Tu es juste là pour toi et parce qu’on t’a contacté toi et pas une autre, c’est la réalité des choses et pas une illusion qui aurait été conjurée par tous les cœurs sur ton téléphone ou tes abonnés. “On va dire que ce genre de message fait vraiment plaisir et ça booste l’ego.” Que tu réponds à Marley avec un petit rire avant de te mettre un peu plus à l’aise. Tu sais que pour la prochaine heure au moins, tout ce que tu as à faire, c’est la laisser faire son boulot. Ce qui n’est pas bien compliqué, tu en as vu des gens passer dans une de ces fameuses chaises, tu leur conseilles toujours de se détendre. Et maintenant que tu te retrouves dans le rôle de la mannequin, tu sais quoi faire. Tu laisses Marley te dévisager, alors que toi, tu alternes entre ton propre reflet et la brune, elle te dit ne pas t’en faire et ... tu espères qu’elle a raison. Qu’une fois qu’une caméra sera braquée sur toi, la partie de toi qui a été très bien dressée par Catherine Wright reprendra le dessus et saura quoi faire. Pour se tenir droite, faire un tour sur elle-même et montrer son meilleur profil. Ni plus, ni moins. Marley t’indique sur quel look elle va partir et tu hoches la tête, tu aurais pris la même décision à sa place, il faut dire que tu en passes du temps à observer tes propres traits. À les analyser, à te dire ce que tu pourrais corriger, ce qui est bien, ce qui ne va pas... cela fait partie du jeu quand on se sert de son image pour vivre. “Je te fais confiance, et puis je ne vais pas te mentir, mes yeux bleus... c’est ce que j’aime le plus chez moi.” Pour le reste, tu n’en sais rien, tu sais que ta grande taille est un avantage, mais ça veut également dire devoir repenser quelques tenues et même paires de chaussures. Tes cheveux blonds ont connu de meilleurs jours tu le sais et tu es un peu trop maigre à ton goût, et ce, sans avoir un régime plus qu’exemplaire. Marley te pose une question valide la question suivante et plutôt que de hocher la tête, tu réponds à voix haute. “Du tout, je bosse toujours pour MAC, à la boutique du Queen Street Mall et j’ai été promue ambassadrice depuis qu’on s’est vues... C’est un titre pompeux pour dire que je dois faire encore plus de postes pour la marque, organiser des événements et juste respirer MAC à longueur de journée.” Cela te fait bizarre de le dire à voix haute, mais en gros, c’est ton rôle. Ce qui t’a fait gagner un nombre conséquent d’abonnés et te rend un peu plus crédible. Ce qui est bien, c’est le début de beaucoup de choses, tu le sais, et tu ne veux pas que tout cela s’arrête. “Je suis même aux commandes de l’Instagram de la marque parfois et pendant des soirées.” Attention, que Marley soit impressionnée... ou pas. “Je veux toujours faire... ce que tu fais, l’idéal serait d’avoir ma propre marque, mes produits, mes palettes, de bosser pour moi et juste pour moi.” Est-ce la première fois que tu dis tout cela à voix haute à une autre personne ? Oui, ça te fait drôle, tu es contente de réaliser que le monde ne s’est pas effondré, du tout même. “Mais, je ne me fais pas d’illusion, il me faut des contacts, et je ne suis qu’une novice.” Tu n’es pas si importante que cela, certes, dans ton coin de la toile, tu as une certaine influence, mais en dehors de cela ? Ce n’est pas le cas et ça, tu ne veux pas qu’on te le rappelle encore une fois ou que ça se retourne contre toi.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Maintenant qu'elles avaient mis les choses à plat et qu'elles repartaient sur de nouvelles bases plus saines, Marley pouvait se mettre au travail sans crainte et en étant beaucoup plus détendue. La métisse n'en oubliait néanmoins pas que Laurie s'y connaissait dans le domaine du maquillage. C'était toujours plus difficile de maquiller quelqu'un qui appartenait à ce milieu. Si l'on disait que les cordonniers étaient toujours les moins bien chaussés, cela s'appliquait sans doute aussi aux maquilleurs. Lynch aimait prendre soin d'elle et elle adorait qu'on la chouchoute. Si elle n'avait aucun mal à laisser ses cheveux entre les mains d'inconnus, elle avait beaucoup plus de difficultés à accepter qu'on la maquille. Son regard critique analysait le moindre geste du maquilleur, jugeait le moindre choix opéré. Elle devait souvent prendre sur elle pour ne pas corriger les gestes ou bien les choix faits. C'était pour cette raison qu'elle évitait un maximum de se faire maquiller par quelqu'un d'autre. Elle avait du mal lorsque l'on remettait son travail en question mais elle savait aussi qu'elle ne pouvait pas s'empêcher de le faire lorsqu'il s'agissait de son visage. Laurie était-elle pareille ? Elle allait bien vite le découvrir. Marley avait pris son temps avant d'exposer son plan et ce qu'elle allait faire. Elle voulait être sûre d'avoir pris les bonnes décisions et ne voulait surtout pas commettre d'impairs. Lorsqu'elle indiqua à Laurie ce qu'elle comptait faire de son si joli visage et que celle-ci confirma qu'elle aurait fait la même chose, la brune afficha un petit sourire rassuré et satisfait. Au moins elle ne s'était pas plantée sur la voie à suivre et elle partait sur de bonnes bases.
Tandis que Marley s'occupait à mettre un peu plus en beauté la jeune femme, celle-ci lui expliqua qu'elle n'avait pas abandonné son envie de devenir maquilleuse mais qu'elle était très occupée avec la marque MAC. Marley écouta attentivement, se demandant si c'était quelque chose qui lui plairait. Sans doute mais pas entièrement. Être l'ambassadrice d'une marque devait être gratifiant tout comme prêter son image. Pour le reste, la métisse était moins convaincue. Devoir des comptes à une marque ne la faisait pas rêver, bien au contraire. La maquilleuse était bien trop indépendante et sauvage pour se laisser dompter de la sorte. Le point positif à travailler en tant qu'indépendante était qu'elle pouvait faire ce que bon lui chantait. « Je suis même aux commandes de l’Instagram de la marque parfois et pendant des soirées. » Marley se pinça les lèvres avant de confesser en riant : « Je suis une catastrophe ambulante avec les réseaux... Je ne sais absolument pas comment cela fonctionne. » Pour appuyer ses propos, elle écrasa sa main contre son front, fatiguée par sa propre personne. Elle n'avait pas encore 35 ans et pourtant elle avait l'impression de faire partie de l'équipe des dinosaures, de ceux incapables de cliquer sur trois boutons d'affilée sans faire une catastrophe. Laurie finit par aller dans son sens concernant son besoin de travailler en tant qu'indépendante. Lorsqu'elle évoqua son envie de créer sa propre marque, la maquilleuse sentit un frisson la parcourir. Cette idée lui avait traversé l'esprit il y avait quelques semaines de cela maintenant mais elle n'en avait jamais parlé à personne. Elle se sentait incapable de mener un tel projet à bout et la possibilité de lamentablement échouer la terrifiait. Elle savait qu'elle excellait dans son domaine et préférait se reposer sur ses acquis plutôt que de risquer de se ramasser. « C'est un joli rêve » souffla-t-elle dans un murmure, bien incapable de lui confier en retour qu'elle adorerait faire ça aussi. « Mais, je ne me fais pas d’illusion, il me faut des contacts, et je ne suis qu’une novice. » Un soupir de compassion mais aussi de compréhension échappa à Lynch tandis qu'elle sortait sa palette de fards à paupières. Se faire un nom et trouver les bons contacts étaient un exercice particulièrement difficile.
Alors qu'elle commençait à appliquer le fard couleur bronze qui mettrait parfaitement en avant les iris bleues de Laurie, Marley lui dit : « Je n'ai malheureusement pas de contact concernant la création d'entreprises mais pour ce qui est du maquillage... » Elle marqua une courte pause, hésitant quelques instants. La dernière fois qu'elle avait proposé – imposé – son aide à la blonde, l'ambiance avait rapidement changé et les deux jeunes femmes s'étaient violemment disputé. Elle choisit néanmoins de poursuivre, après tout, elle ne lui faisait qu'une simple proposition : « Je travaille sur le tournage d'une série, et je sais qu'ils recherchent encore des maquilleuses. Peut-être qu'en mettant un pied là-dedans tu pourrais rencontrer du monde... » Il y avait toujours des investisseurs sur les plateaux, ou du beau monde à approcher aux avants-premières. Marley n'était pas sûre que cela pourrait aboutir à quelque chose ou aider Laurie à lancer sa propre marque, mais cela ne leur coûtait rien d'essayer. « Enfin c'est juste si ça te dit hein ! » précisa-t-elle pour enlever tout malentendu éventuel. Il n'était pas question qu'elle lui force la main cette fois-ci.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
≈ ≈ ≈ {You know that I'm gon' be extra when that camera go "pop, pop, pop"} crédit/(karolinadeanwrites) ✰ w/ @Marley Lynch
Comme tu l'as dit à Marley lors de votre première rencontre, tu navigues dans ce milieu depuis longtemps. Celui de la beauté et de l'esthétique et malheureusement, tu n'as pas pu te faire des alliées au fil des années, du tout. La plupart des femmes que tu as croisées dans cet univers étaient soit trop obnubilées par leur propre reflet dans un miroir (ce que tu peux comprendre, tu es pareille par certains aspects) ou cassantes et hautaines, tout ça pour s'élever elle-même. Et, tu es certes beaucoup de choses, un peu trop selon certains, cependant, tu n'es pas médisante et insultante juste pour l'être. Oui, tu prends de la place, tu fais du bruit, mais le plus souvent, tu vas vers les autres, posant les questions avant qu'on ne te les pose, parce que c'est un bon moyen de cacher ton cœur sensible et tes propres insécurités. Parce que oui, tu as beau jouer les grandes gueules, sans les caméras, sans tout cela, tu serais perdue. Mais cela, Marley n'a pas besoin de le savoir, elle sera une vraie alliée elle, une autre maquilleuse avec de l'expérience et la preuve qu'on peut payer ses factures avec ce métier-là, quelque chose que tu aimes bien savoir et qui te réconforte un peu d'ailleurs. Tu dois te concentrer pour ne pas rire alors que le brune t'avoue que ce n'est pas son univers et que vous ne vous ressemblez pas sur le point des réseaux sociaux. "Vraiment ? Si tu as besoin d'un petit coup de main, n'hésite pas, c'est un peu mon univers tout ça, et je crois que si tu me disais de ne pas utiliser Insta pendant toute une journée... je ne tiendrais pas... du tout." Ce serait une forme de torture qui fonctionnerait très bien sur toi et le pire dans tout ça ? C'est que tu n'exagères pas du tout, tu as bien conscience que ta relation avec la plateforme n'a rien de saine mais... cela pourrait être pire. Tu n'es pas accro à une substance qui pourrait te tuer, toi, tu aimes juste étaler ta vie devant un banc d'anonymes et attendre qu'on te renvoie de l'attention et de l'adoration en retour. Et c'est tout. Tu sais que tu donnes beaucoup plus que tu ne reçois, cependant, la plupart des relations que tu as eues, romantiques ou simplement amicales, ont toujours été comme ça et tu ne vois pas le problème. Encore moins maintenant qu'Instagram et ton statut d'influenceuse sont ton véritable gagne-pain, okay, la façon dont tu as obtenu tout ceci n'a pas été jolie, tu es là maintenant, aucun moyen de retourner en arrière. Tu exposes tes souhaits et tes envies à Marley simplement et elle confirme que c'est un joli rêve. Oui, tu le sais que ce n'est qu'hypothétique et un peu nébuleux par certains aspects pour le moment, se fixer des objectifs est important, pas vrai ? Marley te dit de quoi est fait son quotidien à elle maintenant et ta curiosité a été piquée. Tout comme Marley qui s'efforce de respecter tes limites et tu t'en veux un peu la seconde suivante, peut-être que tu aurais dû la contacter un peu plus tôt. "Merci, je vais réfléchir, mon emploi du temps se remplit vraiment vite, entre la boutique et ça maintenant, mais je ne dis pas non, ça pourrait être une bonne expérience." Avoir son talent et ses looks sur le petit écran, ce n'est pas rien et tu n'en reviens pas qu'elle te le propose cela immédiatement, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Qu'est-ce qui lui dit que tu es toujours aussi douée ? Tu l'es, ce n'est pas le propos, mais cela fait bizarre de voir quelqu'un te tendre quelque chose, sans se dire que tu vas tout faire foirer. "Qu'est-ce que c'est comme série ? Et t'as le droit à des exclus ou de trainer sur les plateaux ou pas ?" Vu que Marley ne s'occupe pas de tes sourcils, tu en profites pour les lever dans une expression suggestive, histoire de."Oui, c'est le moment où je te demande de me raconter des vilaines choses sur les stars de la ville." Pour faire passer le temps, parce que cela te fera du bien d'écouter des rumeurs sur des gens que tu ne connais absolument pas et que tu ne risques pas de croiser. "Tu n'es pas obligée hein..." Tu le précises la seconde suivante, te disant que Marley a dû signer un contrat plus que strict pour que rien ne filtre, cela se fait dans les grandes productions et c'est plus que réglementaire. Et en parlant de filmer, tu passes à côté de contenu, ça tu le sais. "Cela ne te dérange si je te filme pendant que tu fais ça d'ailleurs ?" Marley t'a dit qu'elle ne connaissait pas tout ça, autant lui poser la question avant de se lancer dans tout ça et surtout, le but n'est pas de la filmer sans son accord.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Alors qu'elle discutait des réseaux sociaux et de l'incapacité chronique de Marley à s'en servir, cette dernière fut surprise de voir à quel point Laurie pouvait être addict à ce genre de choses. Elle savait que les jeunes et ceux de sa génération étaient nés avec des téléphones dans les mains. Il suffisait de se balader dans les rues de Brisbane en pleine journée pour se rendre compte que tout le monde était scotché à son portable. Marley avait cependant du mal avec ce besoin de tout montrer, de tout dévoiler. Elle n'envisageait pas une seule seconde d'exposer sa vie sur les réseaux, aux yeux de tous. Pour une ancienne strip-teaseuse qui passait ses soirées à se dévêtir et à littéralement se mettre à nu devant des inconnus, cela était plutôt paradoxal. Il y avait néanmoins quelque chose qui la chiffonnait dans ce procédé. Elle avait l'impression que rien n'était naturel sur internet, que tout était toujours montré sous son meilleur jour et que la vérité était en réalité toute autre. C'était sans doute pour cela qu'elle préférait rester dans l'ombre des caméras, à maquiller dans les coulisses. Elle qui s'aimait énormément – cela ne servait à rien de mentir – frissonnait à la simple idée d'être sous le feu des projecteurs. Lorsque Laurie lui proposa de l'aider, Marley fit une petite moue hésitante. Elle passa une main dans sa nuque et puis répondit : « Pourquoi pas oui... Mais juste pour montrer mon travail... » Pas question qu'elle apparaisse sur son compte instagram. Si elle devait se créer un compte, elle ne montrerait que les maquillages qu'elle avait faits et rien d'autre.
Au tour de la métisse de proposer son aide. Quelques années auparavant, Lynch n'aurait jamais agi ainsi. Opportuniste et désireuse d'être reconnue pour son talent, la jeune femme était prête à écraser toute concurrence. En vieillissant néanmoins, elle s'était rendue compte qu'elle pouvait exceller sans pour autant mettre des bâtons dans les roues des autres. On lui avait plusieurs fois tendu la main, on l'avait pistonnée pour certains contrats, on l'avait soutenue et désormais c'était cette voie qu'elle voulait emprunter. Ce fut donc tout naturellement qu'elle lui parla du tournage de la série sur laquelle elle travaillait actuellement. Laurie la remercia et lui expliqua qu'il fallait qu'elle y réfléchisse parce que son emploi du temps était des plus chargés. Marley comprenait parfaitement et hoche la tête en répondant : « Bien sûr, si un jour tu as un moment et que tu veux juste passer sur le plateau pour voir comment ça se passe, n'hésite pas. » Un sourire glissa sur ses lèvres alors qu'elle continuait de maquiller les yeux de la demoiselle. Rapidement la mannequin qui se trouvait sous ses doigts de fée commença à s'intéresser à ce qu'elle faisait : « Qu'est-ce que c'est comme série ? Et t'as le droit à des exclus ou de traîner sur les plateaux ou pas ? » Marley pinça quelque peu les lèvres, espérant que Laurie ne chercherait pas à savoir plus de choses que cela. Si elle espérait obtenir des potins, elle était tombée sur la mauvaise personne. Comme elle en avait discuté avec Mabel quelques semaines plus tôt, Marley détestait les commérages. Si elle était autant appréciée sur les plateaux, c'était à la fois pour son talent mais aussi pour le fait que rien ne sortait jamais. Muette comme une tombe, Lynch avait vite compris qu'il valait mieux qu'elle garde pour elle ce qu'elle savait. Malheureusement elle n'eut pas le temps de répondre puisque Laurie poursuivit : « Oui, c'est le moment où je te demande de me raconter des vilaines choses sur les stars de la ville. ». Marley suspendit son geste, son regard plongé dans celui de la blonde. Cette dernière lut sans doute le trouble dans le regard de la maquilleuse puisqu'elle s'empressa d'ajouter qu'elle n'était pas obligée. Le visage de la brune se détendit quelque peu tandis qu'elle répondait enfin : « Je travaille sur une série avec les sœurs Griffiths. C'est une série d'époque, avec les corsets et tout le tralala. Les costumes sont magnifiques. » A chaque fois que Marley passait dans les coulisses elle ne pouvait s'empêcher de laisser ses doigts glisser sur les différents morceaux de tissu. Elle poursuivit : « Pour les potins... Je ne dirai rien, pas qu'il n'y en a pas pas, simplement j'ai appris à tenir ma langue si je veux pouvoir garder mon job. » Un petit rire lui échappa alors qu'elle reprenait son pinceau. Marley préférait lui dire que cela venait d'un contrat de non divulgation signé ou de la peur de perdre son boulot plutôt que d'admettre qu'elle n'était pas comme elle et qu'elle n'était pas du genre à parler dans le dos des autres ou à discuter de rumeurs et potins. Elle n'avait pas envie que la situation se tende de nouveau avec la jeune femme qu'elle trouvait plutôt sympathique.
« Cela ne te dérange si je te filme pendant que tu fais ça d'ailleurs ? » Prise au dépourvu Marley sursauta. La filmer ? Mais pour quelles raisons ? Elle fronça les sourcils, cherchant à peser le pour et le contre. Avait-elle vraiment envie d'être affichée sur les réseaux ? La jeune femme hésita et puis lui dit : « J'sais pas... » elle marqua une courte pause pour trouver les bons mots mais consciente qu'il n'y en avait pas poursuivit : « Qu'est-ce que je dois faire ? Et si je suis nulle ? » Il était en grande partie là le problème. La métisse avait beau être sûre d'elle, l'idée que son travail puisse être critiqué par des milliers d'inconnus lui faisait froid dans le dos. Gênée elle demanda : « Tu vas diffuser en direct ou tu vas enregistrer et on pourra regarder avant ? » Peut-être que si elle avait son mot à dire sur le contenu de la vidéo alors elle accepterait, si c'était en direct cela risquait d'être un peu plus difficile de la convaincre. Elle se sentait parfaitement ridicule d'agir ainsi et de poser de telles questions mais elle préférait être honnête plutôt que de se lancer à l'aveugle dans quelque chose qu'elle ne maîtrisait absolument pas.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
≈ ≈ ≈ {You know that I'm gon' be extra when that camera go "pop, pop, pop"} crédit/(karolinadeanwrites) ✰ w/ @Marley Lynch
Oui, tu es du genre curieuse. Et, tu adores entendre la vie des autres et tous les drames qui s'y passent. C'est un bon moyen d'oublier la pression ainsi que les hauts et les bas de ta propre vie. Ou de recoller les morceaux de cette dernière. Ce que tu n'aimes pas faire, surtout quand tu t'es jurée d'aller de l'avant. Le positif ? Tu as ton appartement, tu as cette opportunité de mannequinat, tu as toujours ton boulot et fait non négligeable, ton nombre d'abonnés grimpe de jour en jour. Donc tout espoir n'est pas perdu pour toi, la preuve en est que tu arrives à avoir une conversation civile avec Marley et la conversation ne tourne pas autour de toi, tu as bien posé des questions à l'autre maquilleuse. Qui te donne une bribe d'information tellement croustillante que tu dois te concentrer pour ne pas hausser les sourcils. Et devenir une de ces clientes chiantes, non vraiment, ce n'est pas ce que tu souhaites. "Oh, le spin-off de Games of Thrones ? J'avoue, je ne suis pas très télé, mais c'est le genre de séries que ma mère adore, et elle aime bien faire des résumés à qui veut bien l'écouter alors..." Catherine aurait sûrement des questions à poser à Marley, elle connaitrait un peu plus l'identité des soeurs Griffiths et... Tu connectes enfin les éléments la seconde suivante, réalisant que Marceline Griffiths, c'est la copine de Jiyeon. Enfin ça l'était, enfin tu ne suis pas l'actualité de la vie de la corréenne, mais, il y avait bien quelque chose là. Est-ce que tu dois le partager avec Marley ? Non, autant garder la vie privée de Jiyeon privée et ne pas mêler tout ça. "Je vois de quoi tu parles, c'est super pour toi et ton CV dans tous les cas, et je ne poserais pas plus de questions." Pour ne pas que Marley se sente obligée d'y répondre et pour qu'elle ne se retrouve pas acculée, autant changer de sujet de conversations, c'est totalement ce que tu fais la seconde suivante. Et face aux réponses de la brune, tu lui fais signe que tu vas bouger, et toujours assise, tu te tournes vers Marley. "Alors déjà respire..." Que tu dis avec tes yeux bleus posés sur Marley et avec un sourire sur le visage. Parce que si tu avais des raisons de douter que cela n'est pas son univers, elle t'en offre la preuve tout de suite avec ses questions et l'expression qu'elle a sur le visage. Déjà, tu fais des directs le plus souvent seule, avec d'autres influenceuses et autres personnes que la boutique MAC te met sous le nez, et ils sont généralement annoncés une vingtaine de minutes en avance. Pour que tes abonnés ne loupent rien... donc Marley n'a aucun soucis à se faire à ce sujet. "Ensuite, je vais passer pour la plus grande narcissique du monde et garder la caméra sur moi, on ne verra que tes mains." Le but est de voir comment tu es maquillée, quels coups de pinceaux sont fait, quel produit sont utilisés. Malheureusement, et c'est triste à dire, pour faire tout ça, Marley doit littéralement être au second plan, pendant que tu es l'élément central."Tu as juste besoin de faire ton boulot, je vais enregistrer ça et sûrement rajouter une chanson et accélérer la vitesse et poster ça quand la campagne sera rendue publique..." Les gens ne se rendent pas compte de tout le temps que tu passes à analyser tout le contenu que tu postes, avant d'appuyer sur le bouton publier. Il ne s'agit pas juste de prendre quelques selfies et de récolter des produits gratuits, oui, certaines le font, mais tu prends ton métier un peu plus au sérieux, merci beaucoup. "J'ai dit à mes abonnés que j'avais de gros projets de prévus et ils sont là pour les exclus et ce qui se passe dans les coulisses." Et ils sont aussi là pour voir les déboires de ta vie et te voir te planter, il faut bien l'avouer. Dès que tu pleures ou que tu fais une confession plus honnête que les autres, tu vois ton nombre d'abonnés augmenter. Cela ne loupe pas, tu ne l'expliques pas, les gens ne veulent définitivement pas de la perfection mais bien quelqu'un qui a les mêmes soucis et quotidien que le leur... Avec juste une petite touche de glamour. "Mais si c'est non pour toi, alors on oublie, je ne suis pas là pour te forcer à faire quoi que ce soit, Marley." Vraiment pas, c'est elle qui décide pour le coup.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Un rire échappa à Marley lorsque Laurie lui confia que sa mère était fan de Games of thrones et des séries télévisées. Cela ne l'étonnait pas que sa mère veuille en parler autour d'elle et discuter de ce qu'elle voyait. A une époque, la métisse allait au cinéma dès qu'elle le pouvait. Elle ne loupait aucune sortie cinématographique et adorait commenter ce qu'elle venait de voir. Depuis quelques années néanmoins, ses passages au cinéma s'étaient faits plus rares. Elle était même incapable de citer le dernier film qu'elle avait vu. Sans doute était-ce un film dans lequel Heather apparaissait. Concernant la télévision, Marley ne s'intéressait que trop peu à ce qui était diffusé. Il y avait bien des séries qu'elle appréciait mais les suivre avec attention et régularité était beaucoup trop chronophage pour elle et elle se retrouvait toujours à laisser tomber en cours de route. Peut-être que si elle avait plus de temps pour elle elle en profiterait pour s'installer confortablement sur son canapé mais ce n'était pas le cas.
Marley offrit un sourire soulagé et reconnaissant à la mannequin qui venait de la féliciter et qui lui promettait de ne pas poser davantage de questions pour ne pas la mettre dans l'embarras. Savoir qu'elle n'allait plus se faire cuisiner était une délivrance, elle pourrait ainsi parler sans craindre de commettre un impair. Le soulagement fut néanmoins de courte durée puisqu'à cet instant Laurie proposa de la filmer. La respiration de la maquilleuse s'était faite plus rapide et plus difficile. Les pulsations qu'elle ressentait dans sa poitrine laissait entrevoir le stress qu'elle ressentait. Elle était incapable d'expliquer avec rationalité ce phénomène. Elle avait dansé nue durant des années, pourquoi s'inquiétait-elle tant d'une vidéo ? Sans doute était-ce parce que l'image resterait gravée et que les gens pourraient la regarder tout à loisir, la passer en arrière, la décrypter, la juger... Le flot de pensées parasites qui venait de l'envahir devait être visible puisque la blonde lui dit avec douceur : « Alors déjà respire... ». La métisse fit une petite moue gênée. Elle se sentait parfaitement ridicule d'avoir réagi de la sorte. Elle repensa alors à leur première rencontre, à cet instant où elle n'avait su écouter les besoins de la demoiselle. Marley avait cherché à la forcer à présenter son travail alors qu'elle lui avait clairement dit qu'elle ne le désirait pas. Lynch se mordit l'intérieur de la joue, s'insultant au passage de tous les noms. Qu'est-ce qu'elle avait pu être conne ce jour-là !
Laurie prit ensuite le temps de lui expliquer les différentes étapes de la vidéo. Marley ne put s'empêcher de rire lorsque la jeune femme lui dit qu'elle allait passer pour une narcissique. Pour être honnête cela ne dérangeait pas le moins du monde la maquilleuse qui était au contraire soulagée de savoir que l'on ne verrait que ses mains et le visage de Laurie. Elle écouta avec attention les explications données, les procédés qui allaient être mis en place, la démarche pour laquelle Laurie voulait faire ça. Plus la blonde parlait plus Marley ne voyait aucune objection à émettre à ce projet. Après tout si elle n'apparaissait pas sur la vidéo, il n'y avait aucune raison pour qu'elle refuse, c'est pourquoi lorsque la mannequin finit par lui dire : « Mais si c'est non pour toi, alors on oublie, je ne suis pas là pour te forcer à faire quoi que ce soit, Marley. » la brune secoua la tête négativement et répondit : « Non c'est bon, tu m'as convaincue. » Elle lui adressa un petit sourire, inspira profondément pour retrouver son calme – et pour s'assurer que ses mains ne trembleraient pas – et alors qu'elle reprenait son pinceau lui dit : « Je me lance. ». Elle s'appliqua à déposer le fard à paupières, le crayon noir sous l'oeil et puis le mascara. Ses gestes étaient aussi habiles que les autres jours, la seule différence était qu'elle ne parlait pas. A aucun moment elle ne fit le moindre commentaire. Elle ne savait pas si elle en avait le droit ou non. Laurie lui avait dit qu'elle mettrait une musique par-dessus mais peut-être qu'avec sa voix en fond cela gâcherait tout. La métisse ne pouvait s'empêcher de constater qu'elle n'y connaissait vraiment rien. Une fois son travail sur les yeux terminé elle lui dit : « Tu peux couper la vidéo, il nous reste un peu de temps avant que je fasse tes lèvres. » Un coup d'oeil jeté à l'horloge lui indiqua qu'elles avaient le temps de boire un café ou un thé avant de s'y remettre. Si elle maquillait dès à présent la bouche de la mannequin son travail risquait d'être ruiné avant même que la séance photo n'ait débuté. Elle s'installa plus confortablement sur le fauteuil et observant Laurie lui demanda : « C'est quoi ce qui te plaît le plus dans ton métier ? » Cela semblait si varié que la jeune femme s'interrogeait. Préférait-elle le moment du maquillage, le moment où elle posait ? Ou bien préférait-elle tout ce qui touchait de près ou de loin aux réseaux sociaux. A cette pensée elle osa demander : « Comment tu gères... Ce que tu lis sur les réseaux ? » Marley n'était pas naïve, elle se doutait bien que Laurie devait passer son temps à lire à la fois des choses positive et négatives sur elle. Comment faisait-elle pour ne pas sombrer dans la prétention ou au contraire dans la dépression ? La maquilleuse n'était pas certaine d'être capable d'une telle prouesse.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
≈ ≈ ≈ {You know that I'm gon' be extra when that camera go "pop, pop, pop"} crédit/(karolinadeanwrites) ✰ w/ @Marley Lynch
"Vraiment ?" Que tu laisses échapper à mi-voix en entendant la réplique de Marley, tu t'attendais déjà à un refus plus que négatif, ferme et définitif. Parce que tu réalises bien que ce que tu fais peu paraitre complètement stupide et même un peu inutile d'un point de vue extérieur, ou au contraire, ça peut paraitre de trop, toi, ton nombre d'abonnés et tout ce que tu es prête à faire pour récolter des commentaires et de l'amour virtuel. Tu ne sais même plus comment être une autre personne et il est clair qu'il y a la Laurie de la vie de tous les jours, et cette personne que tu deviens une fois qu'une caméra est braquée sur toi. Est-ce si mal que cela ? Tu n'en sais rien, tu donnes aux gens ce qu'ils veulent et tu t'es promis, non, tu t'es jurée de ne plus jamais blesser qui que ce soit alors... "Parfait alors." Voilà, si tu as l'accord et le consentement de Marley, tu peux lever un peu le rideau et lui montrer une partie de ce que tu fais au quotidien, cela ne changera très certainement pas l'opinion de la jeune femme à ton sujet. Tu hoches la tête et tu navigues à travers les différentes applications de ton téléphone pour trouver la caméra, qui est tournée vers toi et quand Marley est prête, tu commences la vidéo. Tu as un léger sourire pour tes abonnés et pour ton futur public, mais cela reste discret au possible et comme tu le lui as dit un peu plus tôt, la caméra reste focalisée sur toi et uniquement sur toi. Les mains de Marley sont dans le champ, mais ce n'est le plus important. Tu arrêtes la vidéo à la seconde où elle en fait la demande, n'étant pas pressante et n'insistant pas outre mesure, tu en profites pour te pencher vers le miroir et pour admirer son travail à elle. "Wow... tu es vraiment douée, c'est toi qui devrais te lancer dans tout ça et avoir ta propre marque et oui, c'est un compliment." Tu as bien observé sa technique, mais il est clair que vous avez deux styles complètement différents, ce qui n'est pas une mauvaise chose à tes yeux et pas du tout une mauvaise chose en règle générale. "Tu parles du maquillage ou ...?" Que tu demandes en voyant Marley s'installer confortablement et tu sais qu'elle ne parle pas de cela, de l'autre côté, ton métier d'influenceuse, ce truc que tu fais où tu filmes et documentes chaque moment de ta vie comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. "La partie la plus narcissique de moi, et c'est une grosse partie, te dirait que toute publicité est bonne apprendre et que du moment qu'on parle de moi, je suis satisfaite. Heureuse même." Le dire à voix haute te donne l'air d'être encore plus pathétique mais... tu ne te fais pas d'illusion de ce côté-là, oui, il y a quelque chose qui cloche chez toi, depuis longtemps, ça ne date pas d'hier. On t'a appris que l'attention et les regards des autres permettaient de vivre et même de survivre. Et puis, il faut le dire, sans cette communauté, sans trouver des gens sur la toile qui vivent les mêmes choses que toi, tu ne serais jamais sortie de ton patelin paumé. Tu n'aurais pas décidé de là pas, de chasser Lawrence pour faire véritablement apparaitre Laurie et... tu ne serais même pas là aujourd'hui. "Parfois, j'ai l'impression d'avoir ma propre armée privée, des gens qui sont là pour remonter le moral, pour me complimenter, pour me soutenir." Ce qui est un très bon sentiment et la raison pour laquelle tu passes autant de temps dans ta section de commentaires. Parce que tu es lâche, parce que tu as besoin de courage et qu'on t'en fournit quotidiennement. Ce qui est très simple dans le fond. "Et évidemment, il y a les trolls, ceux qui aiment me rappeler qu'on est une dizaine sur la plateforme à faire ça, que même avec mon opération je ne suis pas une vraie femme et que je ne serais jamais une vraie femme." Est-ce que tu as dit à Marley que tu étais trans ? Tu ne sais plus, depuis l'incident avec Winston, il te semble important de le rappeler à toutes les personnes que tu rencontres, histoire qu'on ne t'accuse pas d'être un monstre... encore une fois. "Et franchement ? Je leur dis merde." Vraiment, la haine peut aller loin, mais elle n'a jamais eu d'emprise sur toi, tu es ton propre juge et ça ne changera jamais. "J'aime l'attention, j'aime le maquillage, je combine les deux et si je peux motiver quelques personnes au passage..." Tu hausses les épaules, tu sembles complètement imbue de ta propre personne et dans un sens, tu l'es."Cela compte bien pour quelque chose, pas vrai ?"
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Si au début Marley s'était sentie hésitante en sachant que la caméra tournait, ce sentiment avait rapidement disparu. Ses réflexes de maquilleuse avaient pris le dessus et l'assurance dont elle avait toujours su faire preuve avait dominé ses angoisses. Elle pourrait maquiller les yeux fermés, elle en était persuadée. Elle avait donc fait son travail comme elle le devait sans se soucier véritablement du téléphone qui était fixé sur ses mains. Bien sûr elle n'avait pas oublié que tout était enregistré mais cela avait été moins inconfortable qu'elle ne l'avait imaginé. Lorsqu'elle eut terminé Laurie s'empressa de la féliciter : « Wow... tu es vraiment douée, c'est toi qui devrais te lancer dans tout ça et avoir ta propre marque et oui, c'est un compliment. » Marley esquissa un petit sourire. Créer une marque de maquillage faisait partie de ses rêves les plus fous mais elle n'en avait jamais parlé à personne. On la prendrait sans doute pour une cinglée. Pourtant l'idée était loin d'être absurde à ses yeux. Elle en avait marre de ne pas trouver de maquillage adapté aux peaux qui n'étaient pas blanches. Comme toujours, tout était fait en fonction de la peau des caucasiens, on ne pensait que trop peu aux autres. Quid des métisses, des asiatiques, de ceux qui avaient la peau si bronzée que certains trouvaient marrant de la comparée à du charbon ? Marley s'était toujours jurée que si un jour elle parvenait à créer sa marque, il y en aurait pour tout le monde, aucune discrimination. Elle se concentra néanmoins sur Laurie qui la regardait et souffla un discret : « Merci... ». Après quoi, elle s'installa sur un fauteuil et choisit de questionner un peu Laurie afin d'en savoir plus sur elle et sur ses motivations professionnelles. « Tu parles du maquillage ou ...? » Entre autre mais pas seulement. La maquilleuse précisa sa question, se tournant naturellement vers ce qu'elle ne connaissait pas et donc ne maîtrisait absolument pas : les réseaux sociaux. Elle espérait que cette conversation ne passerait pas pour un interrogatoire ou pour de la curiosité malsaine. Lynch s'interrogeait véritablement. Il s'agissait d'un monde à part pour elle, un monde dans lequel elle n'avait jamais mis le moindre orteil. « La partie la plus narcissique de moi, et c'est une grosse partie, te dirait que toute publicité est bonne à prendre et que du moment qu'on parle de moi, je suis satisfaite. Heureuse même. » Un sourire amusé glissa sur le visage de Marley qui était vraiment surprise par cette jeune femme. Elle avait l'air si sûre d'elle, si déterminée, rien ne semblait lui faire peur. Elle ne parvenait donc pas à s'expliquer le comportement qu'elle avait eu en fuyant le concours de maquilleurs durant lequel elles s'étaient rencontrées. Elle secoua doucement la tête, cherchant à se focaliser à nouveau sur l'instant présent. « Parfois, j'ai l'impression d'avoir ma propre armée privée, des gens qui sont là pour remonter le moral, pour me complimenter, pour me soutenir. » La maquilleuse fut tout à coup pensive. Elle comprenait parfaitement que ce sentiment pouvait être galvanisant. Se sentir entouré et soutenu était l'une des meilleures sensations qui soit, c'est pourquoi elle répondit doucement : « Je comprends parfaitement oui. » Là où cela était plus étrange aux yeux de Marley c'était que tous ces soutiens Laurie semblait les obtenir de la part d'inconnus. Etait-ce aussi impactant que lorsque cela venait de proches ? Peut-être que c'était même encore plus puissant, Lynch n'en avait pas la moindre idée. La jeune femme continua d'écouter avec attention Laurie mais ne put s'empêcher d'avoir un petit sursaut en entendant qu'elle était trans. Ses yeux s'écarquillèrent légèrement de surprise mais cela ne dura qu'une fraction de secondes. Marley ignorait ce fait, cela ne changeait strictement rien concernant son point de vue sur la jeune femme, qu'elle soit trans ou non ne la regardait de toutes manières pas. Elle eut un long soupir avant de marmonner : « Je crois que c'est ça que j'aime pas avec les réseaux. Sous couvert d'anonymat des gens te jugent, se croient bien placés pour te donner des conseils, pour te critiquer. Ce genre d'attaque, sur le fait que tu n'es pas une vraie femme, ça me filerait la gerbe. » Elle se tourna et servit deux grands verres d'eau. Elle en tendit un à Laurie tandis que ses lèvres trempaient dans le sien. « Et franchement ? Je leur dis merde. » Marley fit un petit sourire alors qu'elle se faisait la réflexion que Laurie était vraiment une femme forte. Elle avait beau avoir de son côté un très fort caractère et se moquer de ce que les gens pouvaient penser d'elle, elle savait pertinemment qu'elle ne supporterait pas de lire de telles choses sur son compte, surtout venant de la part d'inconnus. Laurie poursuivit et acheva en demandant : « Cela compte bien pour quelque chose, pas vrai ? » La maquilleuse posa son verre sur la table basse qui se trouvait à côté d'elle et après un moment de silence admit à la jeune femme : « Je pense que notre société a besoin de davantage de femmes comme toi. » Cela pouvait passer pour de la flagornerie mais cela n'en était pas. Marley était sincère dans ses propos, elle poursuivit donc : « Je trouve ça bien que tu t'exprimes sur les réseaux, que tu fasses ce qui te plaît sans te soucier de ceux que ça pourrait déranger. Je pense que c'est une bonne chose que tu aies de la visibilité. » Marley ne parlait pas que du fait qu'elle soit trans, elle parlait surtout du fait qu'elle était une femme de pouvoir, qui savait ce qu'elle voulait et qui se donnait les moyens de l'obtenir. Quoi de plus motivant que ça ? Lynch jeta un coup d'oeil à sa montre et montrant d'un signe de tête son téléphone demanda : « Tu me montres un peu comment tu fais tes montages vidéo ? Il nous reste encore du temps. » Elle ne voulait pas connaître tous ses secrets, elle était juste curieuse de savoir comment la vidéo qui venait d'être tournée allait être transformée et prête à être publiée.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
≈ ≈ ≈ {You know that I'm gon' be extra when that camera go "pop, pop, pop"} crédit/(karolinadeanwrites) ✰ w/ @Marley Lynch
Tu l'as déjà dit et tu le penses de tout cœur, tu n'es pas un exemple à suivre, du tout. Tu fais des erreurs, tu joues les grandes alors que tu es perdue la plupart du temps. Et les limites entre la sincérité que tu donnes en ligne, aux autres, et ta propre sensibilité sont de plus en plus flous à chacun de tes postes, mais tout le monde semble y trouver son compte, alors pourquoi se plaindre ? Il y en a toujours qui reviennent, pour le maquillage, pour ta personnalité, pour tes élans vifs, pour les négatifs aussi, et c'est totalement égoïste, mais tu prends tout cela et c'est ce qui fait battre ton cœur la plupart du temps. Surtout depuis que tu as décidé de ne pas quitter Brisbane et de ne pas baisser les bras. "Tu sais, si tu décides de rejoindre Instagram ou n'importe quelle plateforme, tu n'es pas obligée de lire les commentaires... surtout si tu cherches juste une communauté de gens qui te comprennent." Parce que c'est cela que tu as trouvé, le maquillage, la communauté trans, ton opération, tout cela a été documenté, apprécié et approuvé par certains et même, par beaucoup, tu ne vois pas comment tu pourrais te défaire de tout cela maintenant. Marley n'a que des compliments pour toi et si tu la dévisages un peu pendant quelques secondes, c'est bien un sourire qui se pointe sur ton visage. Parce qu'elle te voit comme une femme, parce qu'elle n'a pas offert de commentaire particulier sur le fait que tu sois trans et c'est une bonne chose. Tu voudrais que ce soit juste une anecdote dans les conversations, tu en as marre de devoir être sur tes gardes et te méfier à ce sujet, cela ne devrait pas être le cas. "Attention, il ne faut pas me dire ça, sinon je vais prendre encore plus la grosse tête." Que tu conclues avec un sourire, parce que c'est la vérité, encore une fois. Marley a le droit à une version un peu plus honnête et douce de ta personne, ce qui t'étonne aussi. "Je n'ai pas mon ordi, mais j'ai quelques trucs sur mon téléphone, jte montre." Tu lui montres les programmes que tu as sur ton portable alors qu'elle te prépare, tu parles de Splace et de A color Story qui sont de très bonnes applications qui sont toujours ouvertes sur ton téléphone et très bien pour les débutants. Évidemment et de ton avis, Adobe Premiere Rush gagne quand il s'agit d'éditer et de monter des vidéos, et tu l'utilises dès que tu as accès à ton ordi. En général, tu édites les vidéos prises à la boutique, où tu mets en avant ton maquillage et les événements auquel on t'envoie, le reste, c'est fait sur le tas. Tu fais très souvent des directs et la plupart de tes abonnés adorent te voir dans ton élément et à la sauvage. Le temps d'expliquer tout ceci à Marley, on tape à la porte, parce qu'il est temps et que le photographe est prêt pour toi visiblement. "C'est parti, je suppose ?" Que tu marmonnes en te levant de la chaise, tu es… belle, il n'y a pas d'autres mots, Marley a réussi à rendre ton regard bleuté encore plus électrisant que d'ordinaire et tu te tournes vers elle avec un sourire. "Tu es putain de douée, vraiment, on devrait se faire un truc à l'occasion, comme ça jte présente à mes abonnés." Tu lui laisses l'option de refuser, pour l'heure, tu dois aller jouer les mannequins. "Tu restes ? On pourra aller prendre un café après et je te donnerais encore plus de détails barbants, ou alors, tu me dis ce qui te passe dans ta vie à toi." Parce que tu as monopolisé la conversation, tu le sais et tu n'as pas le temps d'entendre la réponse de Marley, que déjà, on te presse, tu suis sans faire plus de vagues, un regard en arrière pour l'autre jeune femme. On te parle vite les prochaines minutes et tu dois te changer avec une dizaine de personnes autour de toi, mais tu n'as rien de pudique et la première tenue est enfilée et approuvée par la styliste présente. Et te voilà devant l'objectif. Le flash crépite et si pendant quelques secondes, tu te figes, tu finis par prendre une profonde inspiration. Juste des photos, tu n'as qu'à imaginer que c'est pour tes abonnés et pas autre chose. Tu bouges la seconde suivante, essayant plusieurs poses et suivant les directives du photographe. C'est nouveau et ton cœur bat dans ta poitrine tout le long.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Laurie semblait comprendre ce qui freinait tant Marley vis-à-vis des réseaux sociaux. L'impact que pourraient avoir des commentaires négatifs de la part d'inconnus sur elle la rendait réticente. La mannequin lui expliqua alors qu'elle n'était pas obligée de lire ce qu'on pourrait dire sur elle. Un discret sourire glissa sur le visage de la maquilleuse qui avoua : « J'sais très bien que la tentation de tout lire serait trop forte... » Elle avait beau se croire hermétique à ce qu'on pouvait penser d'elle, elle savait que cela serait plus fort qu'elle. Ne pas aller lire des commentaires la concernant relèverait sans doute de la torture. Avant de se lancer dans cette voie du numérique et de la technologie, Lynch devait donc s'assurer d'avoir les épaules assez solides pour pouvoir tout encaisser.
La conversation devint plus intimiste, plus sérieuse et dénuée de toute superficialité lorsque Laurie lui dit qu'elle était trans. Evidemment la métisse avait été surprise en l'apprenant puisqu'elle ne s'en était pas doutée une seule seconde. L'effet de surprise n'avait duré que quelques secondes et avait rapidement été balayé par le fait qu'elle s'en fichait. Si Laurie était bien dans sa tête, bien dans son corps, bien avec celle qu'elle était, c'était tout ce qui comptait. Marley n'avait pas besoin d'en savoir plus, cela ne changeait en rien la relation qu'elles entretenaient. Elles se connaissaient depuis peu et sans doute que par le passé leur caractère explosif, leur côté fier, et leur impulsivité auraient pu les mettre en opposition mais ce n'était pas le cas aujourd'hui. Lynch était juste admirative de la force de caractère de la blonde. Sa détermination et le fait qu'elle garde toujours la tête haute l'impressionnait. Elle ne s'en priva d'ailleurs pas pour lui faire cet aveu. « Attention, il ne faut pas me dire ça, sinon je vais prendre encore plus la grosse tête. » Un rire délicat échappa à Marley qui leva les yeux au ciel, amusée par l'attitude de la jeune femme.
Finalement la curiosité de Marley l'obligea à questionner davantage Laurie sur sa façon de créer des vidéos. Elle sortit donc son téléphone et pendant que la métisse refaisait certains points de maquillage elle commença à lui parler de différents logiciels. Les noms s'enchaînaient et s'accumulaient. La maquilleuse était surprise de voir qu'il fallait autant de supports différents pour pouvoir créer du contenu efficace. Plus Laurie parlait plus elle sentait que les explications se bousculaient. « Il y a tellement de choses ! » lui dit-elle avec étonnement. Elle fit signe à Laurie qu'elle allait lui appliquer un rouge à lèvres sur la bouche et s'exécuta. Comme convenu, le rouge appliqué était léger. On ne le voyait presque pas, seuls les yeux de la mannequin ressortaient et illuminaient la pièce. A peine Marley avait-elle reposé son matériel que la porte s'ouvrit. Laurie se leva et en l'observant Marley constata qu'elle semblait un peu fébrile. C'était nouveau pour elle et cela pouvait être angoissant. C'est pourquoi Lynch n'hésita pas une seconde à répondre à ses compliments en lui disant : « Tu vas assurer. » Ce n'était même pas une phrase pour la rassurer ou la booster, c'était ce qu'elle pensait au fond d'elle. Il n'y avait pas l'ombre d'un doute que cela se passerait à merveilles pour la toute nouvelle mannequin.
Alors que Laurie allait franchir la porte, elle proposa à Marley de rester pour boire un café à la fin du shooting. La jeune femme jeta un coup d'oeil à sa montre. Elle avait encore deux heures devant elle avant de filer sur un autre plateau. « Je ne bouge pas », lança-t-elle à la volée. Lorsqu'elle fut seule, elle nettoya ses pinceaux, rangea ses différentes palettes tout en réfléchissant à cette histoire de réseaux sociaux. Elle restait vraiment sceptique et n'était pas certaine de se lancer un jour là-dedans. Mais qui sait ? Peut-être qu'elle changerait d'avis. Son matériel rangé, Marley se faufila sur le plateau. Elle resta à l'ombre dans les coulisses ne désirant gêner personne. Elle ne savait pas comment Laurie réagirait si elle voyait que sa maquilleuse était en train de l'observer. La séance se déroula à merveilles et la mannequin se montrait de plus en plus à l'aise. Au bout d'un certain temps le photographe annonça : « On a ce qu'il nous faut ! Tu as été parfaite ! ». Marley ne put s'empêcher d'applaudir alors qu'elle se rapprochait de Laurie. Elle glissa un bras sous le sien pour l'entraîner à nouveau dans la loge et sur le chemin lui dit émerveillée : « T'étais incroyable ! ». Le sourire éclatant de Marley prouvait qu'elle ne mentait pas. « Sincèrement, t'étais pleine d'assurance et éblouissante ! ». Elle aida Laurie à enlever ses vêtements et poursuivit : « T'es née pour être sous le feu des projecteurs. » Certaines personnes étaient faites pour attirer la lumière et Laurie faisait clairement partie de cette catégorie.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
≈ ≈ ≈ {You know that I'm gon' be extra when that camera go "pop, pop, pop"} crédit/(karolinadeanwrites) ✰ w/ @Marley Lynch
"Okay, regarde vers la gauche..." Le photographe a l'air enthousiaste et il a une bonne énergie. Tu te dis que c'est une bonne chose et tu réalises bien à quel point tu es chanceuse. Vraiment, tu ne prends rien de tout ça à la légère, comme tu l'as dit à Marley, tu as beau être grande, blonde, fine et pouvoir passer pour une simple femme et non une femme trans... tu n'as jamais pris les choses pour acquises. Tu lis chaque commentaire positif et négatif qui arrive sur ta page, que l'on t'envoie et qu'on prend la peine de t'envoyer, parce que, pour une raison qui t'échappe, les gens se retrouvent sur ta page. Soit pour admirer, soit pour se moquer ou jalouser et franchement ? Tu prends tout ça et tu t'en sers pour te lever le matin, pour repousser tes insécurités et tes angoisses au placard et te dire que tu n'es pas une perte de place. Tu es une très bonne actrice, c'est ce que peu de gens réalisent et sous les caméras, tu brilles, tu t'illumines. Tu ne l'expliques pas, il y a un déclic qui se fait dans ton cerveau et tu sais soudainement comment te tenir, comment sourire, comment faire pour attirer tous les regards. C'est la seule chose qu'on t'a appris à faire et ce n'est pas bien différent aujourd'hui, n'est-ce pas ? "Parfait, tiens la pose." Tu fais ce qu'on te dit et la séance photos continue. Tu remarques Marley quand tu dois changer de tenue et tu lui adresses un signe de la main. Tout va vite, les photos doivent être prises et prêtes rapidement histoire de passer à la prochaine mannequin, à une autre marque et à une autre collection. Tout avance vite dans le monde de la mode, tu le savais déjà dans une certaine mesure, cela ne t'étonne pas vraiment. C'est un tout et on ne peut pas avoir tout cela sans tout le léger chaos qui arrive avec. Tu changes de tenues, tu repasses devant la caméra et face au photographe, tu lâches un :"Oh j'ai une idée." avant de commencer à jouer avec la veste qu'on t'a mise sur les épaules. Tu n'as jamais compris pourquoi les mannequins étaient aussi figées et aussi robotiques sur les photos ou sur les vidéos. Et puis, il s'agit d'ASOS, pas une très grande marque, juste une qui est populaire et qui a des pris plus que bas et qui connait sa démographique. Et caméra ou pas, tu restes toujours toi. Ton enthousiaste semble être apprécié et partagé, si bien que lorsque tout ça touche à sa fin, tu demandes où est passé le temps. Il y a des applaudissements et tu as une petite révérence pour tout le monde, remerciant déjà le photographe, les stylistes, l'équipe en général. Tu te tournes vers Marley la seconde suivante, acceptant encore plus de compliments. "Tu le penses vraiment ?" Que tu es faite pour cela, que tu n'es pas une arriviste, pas quelqu'un de dérangé, qui prend la place de quelqu'un d'autre ou qui fait semblant. "Ce n'était pas trop nulle pour une première fois ?" Pourquoi c'est si important ? Tu ne le sais pas toi-même, la séance photo s'est bien passée, c'était cent pour cent toi et tu n'as pas à t'inquiéter de plus et tu fais signe à Marley alors que vous vous dirigez vers la pièce où elle t'a maquillée et où tu as abandonné ton sac. Tu le récupères, tu jettes un rapide coup d'œil à ton visage et tu décides qu'une couche de gloss supplémentaire fera l'affaire et que tu n'as vraiment pas besoin de plus. "Allons fêtez ça avec beaucoup de café et un vrai repas, faire tous ces mouvements-là avec un estomac vide ce n'est pas une bonne idée." Tu attrapes le bras de Marley l'instant suivant, alors que tu fais basculer ton sac sur ton épaule. "Je t'invite." Et non, ce n'est vraiment pas négociable, du tout même.
Accueil
(
