Tous s’enchaîne. Pour le meilleur, comme pour le pire. Ma sœur est enceinte, c’est officiel. Le père est un homme qui doit prendre sur lui comme pas possible pour ne pas me casser la gueule. Autrement dit, il me reste plusieurs mois pour arranger les choses. Mais si ma motivation est réelle, si mes attentions sont sincères, est-ce que Jackson envisage un jour de faire table rase du passé ? Rien n’est moins sûr. Ma vie personnelle également est mouvementée, à force de le déclarer célibataire et de butiner à droite à gauche, je commence à avoir quelques accroches et je sais, il va falloir que je fasse des choix, à un moment ou un autre, c’est inévitable. Et enfin, professionnellement, les choses se portent bien, ma carrière décolle de nouveau. L’album avance à vitesse grand V, la bande son pour Andrew aussi. Puis, je suis de plus en plus invité sur les plateaux télés ou encore dans différent show case.
Ce soir notamment. C’est une émission de télé réputée qui a demandé la présence. La visibilité est dingue alors forcément, je ne me suis pas fait prier. Tout ce passe à merveille, jusqu’au moment où je chante sur scène, une exclusivité d’un de mes morceaux à venir. Sourire aux lèvres, je sors du plateau, laissant le micro à un technicien que je remercie. Mais derrière l’euphorie, la joie, il y a finalement un pincement. Mon sourire s’efface quelques secondes, mon regard se porte sur mon téléphone. Puis, je secoue ma tête, là rangeant dans ma poche et poussant un long soupir. Ouais, encore une fois, je n’ai pas le courage d’appeler ou en tout cas envoyer un message à Marley. On ne s'est pas revu depuis qu’elle a débarqué dans mon appartement comme une furie. La soirée s'était terminé dans le calme, et voir Marley comme ça m’avait déchiré. Pourquoi ne pas l’avoir contacté depuis ? Tout ça, tous les problèmes, notre connerie en est une sacrée fondation. J’ai pensé qu’elle avait besoin de temps, qu’il était plus raisonnable de mettre des distances. Et plusieurs fois la métisse m’a manqué. Ne vous y méprenez pas, en tout bien tout honneur. J’apprécie la maquilleuse, je l’estime, je l’apprécie énormément. Nous avons passé tellement de bon moment, à rire, s’amuser, faire la fête. Une époque qui c’est révolu dernièrement et que je regrette. Mais encore une fois, j’abandonne l’idée à peine, elle est née.
Devant l’ascenseur, j’entre. Saluant vaguement la personne qui se trouve déjà dedans. Allant dans le fond de la cabine, spacieuse, je m’adosse. N’ayant qu’une hâte, rentrer chez moi et me reposer. Mais un bruit retentis puis un second. Les lumières clignotent quelques secondes avant de se stabiliser. C’est quoi ce merdier ? je finis par m’aventurer dans la cabine, avançant jusqu’au porte qui selfie scellé. Instinctivement, j'appuie sur le bouton pour les ouvrir, mais rien, absolument rien. Dans la foulée, je prends mon téléphone, et bien entendu, le réseau semble être aux abonnés absents. Vous avez du réseau ? Finalement, je viens appuyer sur le bouton pour signaler les urgences. Puis, je me retourne de nouveau. Marley ?! le monde est petit, dramatiquement petit. Je dois avouer être surpris. Pas de sa présence, ce genre de plateau télé fait souvent appelle à des maquilleuses. Non, c’est surtout que je n’ai pas reconnu la jolie métisse au premier coup d’œil, elle que j’aurai reconnu parmi mille. J’pense pas qu’on va rester coincé longtemps. Mais j’espère que tu n'es pas claustro’. oui, je fuis un peu son regard, la situation totalement imprévue, le gêne et le malaise présent. Je me sens presque coupable d’avoir pas donné de nouvelle tout ce temps. Ça va depuis le temps ? Je n'ai pas eu une minute, j’suis désolé. pas complètement faux. Loin d’être entièrement vrai. Sincère excuse ceci dit.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Marley avait le nez plongé dans son téléphone. Ses doigts pianotaient à toute vitesse tandis qu'elle inscrivait sur son calendrier les différents événements auxquels elle devait participer dans les semaines à venir. Elle venait d'avoir un rendez-vous avec un directeur artistique qui souhaitait l'engager pour sa prochaine publicité. Il s'agissait d'une grande marque de parfum. Le contrat était important et la maquilleuse avait passé presque deux heures dans un salon à exposer ses différentes idées en fonction de ce que la marque attendait. Après avoir dévoilé une partie de l'étendue de son travail, Lynch avait réussi à les convaincre qu'elle était celle qu'il leur fallait. Ravie, la demoiselle notait donc les différents rendez-vous qui l'attendait. La campagne allait être importante. Une grosse séance photo était prévue afin que le parfum apparaisse dans les magazines, une publicité allait être tournée afin de passer à la télévision et un court métrage allait être créé pour passer avant les films projetés au cinéma. Un travail colossal l'attendait mais ce n'était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Depuis quelques semaines Marley se plongeait à corps perdu dans son boulot. C'était la seule chose qu'elle maîtrisait un tant soit peu ces derniers temps. Depuis son agression, la jeune femme avait drastiquement changé ses habitudes. Elle ne traînait plus dans les bars, ne buvait presque plus d'alcool et adoptait une attitude plus que sérieuse et presque méfiante. Son apparence physique n'était quant à elle plus la même non plus. Finies les tenues courtes et échancrées, désormais la jeune femme se déplaçait en jean avec la plupart du temps un sweet. Il n'était plus question que ses formes avantageuses accrochent le regard de quiconque. Aujourd'hui ne faisait donc pas exception à la règle malgré son rendez-vous professionnel. Pour contrebalancer avec son look qui pouvait paraître trop décontracté et désinvolte la jeune femme avait fait un effort pour se maquiller avec raffinement et cela avait semblé fonctionner.
Perdue dans ses pensées, la jeune femme ne prit pas garde lorsqu'un homme entra dans l'ascenseur. Elle savait qu'une émission de télé était tournée à un autre étage et ne se formalisait donc pas de la présence de quelqu'un à ses côtés. La métisse qui avait pour habitude d'être désormais toujours sur ses gardes ne l'était pourtant pas à cet instant précis. Elle n'eut d'autre choix que de relever la tête lorsque les lumières se mirent à clignoter et qu'un puissant bruit retentit. Les sourcils froncés elle regardait autour d'elle alors que l'homme à ses côtés lui demanda : « Vous avez du réseau ? » Ce ne fut qu'à ce moment-là qu'elle percuta qu'il s'agissait de Malik. Son cœur loupa un battement et elle sentit le feu lui monter aux joues. Elle ne l'avait pas vu depuis la fameuse soirée à la fête foraine et n'avait d'ailleurs pris aucune nouvelle dès l'instant où elle avait quitté son appartement au petit matin. Malik sembla aussi surpris qu'elle puisqu'il s'exclama : « Marley ?! ». Elle lui fit un petit sourire en coin, aussi étonnée et gênée par la situation que lui. Plantée devant lui la jeune femme se sentait particulièrement embarrassée. La dernière fois qu'ils s'étaient vus, tout était parti en vrille dans sa vie et elle avait failli commettre une erreur irréparable en sautant sur le garçon. Heureusement pour elle et pour eux, Malik avait su mettre un terme à ce débordement et avait remballé bien soigneusement les pulsions et les envies de la jeune femme. « J’pense pas qu’on va rester coincé longtemps. Mais j’espère que tu n'es pas claustro’. » Lynch se pinça les lèvres tandis qu'elle passait nerveusement l'une de ses mains dans sa nuque. Quelques mois auparavant elle lui aurait sans doute dit que cela ne lui posait aucun problème et en aurait sans doute profité pour lui sauter dessus afin de profiter d'une bonne partie de jambes en l'air. Ce soir c'était pourtant différent : se retrouver enfermée dans un espace si étroit avec Malik l'angoissait plus qu'autre chose. Elle balbutia un peu maladroitement : « J'tavoue que j'suis pas fan des endroits confinés et aussi petits... ». Depuis son agression certains espaces la terrifiaient plus que d'autres : Les espaces petits et clos, les espaces sombres, les lieux qu'elle ne connaissait pas.
« Ça va depuis le temps ? Je n'ai pas eu une minute, j’suis désolé. » Elle lui adressa un petit sourire consciente que s'il n'avait pas pris de ses nouvelles ce n'était pas seulement à cause d'un manque de temps. Elle ne lui en tenait pas rigueur, elle non plus ne l'avait pas contacté. Elle hocha affirmativement la tête, tentant de cacher le trouble qu'elle ressentait et lui répondit : « Pas mal de boulot aussi, mais ça va. » Elle marqua une courte pause, rangea son téléphone dans son jean et lui demanda en retour : « Tu faisais partie des invités du show télévisé ? ». Elle ne voyait pas d'autres explications quant à sa présence dans le bâtiment. Intérieurement la jeune femme remerciait sa bonne étoile – ou ce qui l'en restait – de ne pas l'avoir faite travailler avec le rappeur. Si elle était gênée là alors qu'ils n'étaient que tous les deux, comment aurait-elle réagi en devant le maquiller ? « J'ai vu que ça marchait pour toi, je suis vraiment contente pour toi. Tu le mérites. » le félicita-t-elle avec un doux sourire.
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'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
La vie réserve bien des épreuves. Certaines plus dur que d’autres. Je suis loin de m’imaginer, une seul seconde, ce que la jolie métisse a pu vivre. Il faut dire que j’ai eu tendance à m’isoler ces derniers temps, c’est comme ça que je fonctionne quand j’écris, quand je crée. Et maintenant que ma carrière a pris un semblant d’ampleur, maintenant que je peut envisager d’enfin devenir chanteur, de ne vivre que de ça. Je refuse de laisser passé ma chance, pas une deuxième fois. Ça serai de trop, et je me connais, je ne m’en relèverai pas, c’est certain. Cette émission en est l’exemple typique, jamais je n’y aurai participé il y a quelques semaines de ça. Mais aujourd’hui, si, parce que c’est bon pour ma carrière. J’essaye de faire les choses bien, tellement que je suis à la recherche d’un agent, quelqu’un capable de m’épauler dans les choix à prendre qui ne concerne pas la musique.
Enfin, tous ça si on fini par sortir d’ici, de cette cabine d’ascenseur. Je suis pas spécialement claustrophobe, mais je suis pas fan d’être bloqué. Qu’il l’est même direz vous ? Moi non plus. Et j’ai même pas l’impression qu’on ai une pseudo issus. en bon superman que j’essaye d’être dans cette situation, j’essaye d’entré ouvrir les portes de la cabine. Ce qui se solde par un échec cuisant. Me servant des espèces de rampe, j’essaye de tâter le sommet de la cabine, mais à l’inverse des scènes que l’on peut voir dans les films, il ne semble pas y avoir de trappes donnant sur la sortie. Retrouvant la terre ferme, j’attrape mon téléphone pour activer le flash. Ça donne un peu plus de luminosité, c’est mieux que rien.
Une conversation forcée, c’est peut être pas plus mal. L’abcès qui c’est crée entre nous est logique, pourtant, j’espère qu’on finira par le crever à un moment ou un autre. J’apprécie Marley, ne plus la côtoyer du tout me ferai royalement chier. C’est ça. Petite interview et performance sur scène. J’ai jamais été trop fan de ce genre d’émission, mais si je veut que ça dure, faut je fasse des efforts. entre ça, les réseaux sociaux et les autres trucs du genre. Ça en deviens presque obligatoire. Merci. Merci beaucoup. C’est un peu grâce à vous, vous tous. Vous avez toujours cru en moi. Marley, ma sœur, entres autres. Elles ont toujours cru en mes capacités. Et c’est con, mais ça m’a permis de me maintenir, de ne jamais abandonner totalement mon rêve. Toujours en ville… J’avoue que parfois j’ai eu peur que ça ne sois pas le cas. cette idée, on l’a vaguement évoqué ce soir là. On en a discuter, partir. Marley la déjà fais par le passé. Elle aurai pu recommencer. J’ai pas choisi mes mots au hasard, peur c’est le bon mot. Ce n’est pas parce qu’on se parle pas tous les jours, voir même que c’est un silence radio depuis des semaines. Ça ne change rien au fait que si un jour elle a besoin, elle peut compter sur moi. Ca va ? question d’apparence simple. Mais nous étions tout deux dans de sale état lors de notre dernière rencontre. J’ose espérer que les choses évolue dans le bon sens pour la belle brune.
Gayle Danbury
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ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
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Pétrifiée dans un coin de la cabine, Marley tentait de toutes ses forces de paraître naturelle et à son aide. Heureusement pour elle, son excuse – qui n'en était pas vraiment une - de claustrophobie détourna l'attention de Malik. Comment aurait-elle pu lui expliquer que se retrouver dans une telle situation en sa compagnie lui retournait l'estomac ? Elle qui avait toujours eu l'habitude d'être très tactile avec le rappeur se retrouvait prostrée, incapable du moindre mouvement. Son cœur battait de plus en plus vite et Lynch ne parvenait même plus à savoir à cause de quoi cela était dû. Etait-ce de la gêne vis-à-vis de leur passé commun ? Etait-ce de l'angoisse à cause de l'enfermement ? Avait-elle peur qu'il l'agresse ? Pour ce dernier point, la métisse réfutait violemment. Jamais il ne pourrait lui faire le moindre mal. Le jeune homme bien trop préoccupé par la situation ne fit pas vraiment attention à l'état de nerfs dans lequel elle se trouvait. « Moi non plus. Et j’ai même pas l’impression qu’on ait une pseudo issue. » La maquilleuse se pinça les lèvres, regrettant amèrement de ne pas avoir de réseau. Elle fronça les sourcils lorsqu'elle le vit tenter d'ouvrir les portes et ne put s'empêcher de rire lorsqu'elle l'observa grimper afin de trouver une trappe au niveau du plafond. Amusée par le fait qu'il pensait réellement pouvoir sortir de cette manière, elle pouffa et marmonna : « Hé James Bond, c'est que dans les films que ça marche ça... » et elle lui adressa un petit sourire au moment où il alluma le flash de son téléphone. A défaut d'avoir trouver une solution pour les extirper de là, Malik avait eu le mérite de la détendre un peu.
Quitte à être coincés ici, les deux jeunes gens décidèrent de discuter un peu. A regrets Marley se rendit compte que la conversation était moins aisée et naturelle qu'elle l'avait toujours été. Elle ressentit un pincement au cœur, se maudissant d'avoir tout gâché. Elle l'écouta attentivement, acquiesçant d'un signe de tête lorsqu'il lui expliqua qu'il était obligé de faire des efforts et de se plier aux exigences du star system s'il voulait pouvoir exceller dans son domaine. Lorsqu'il lui dit que c'était en partie grâce à elle s'il en était arrivé là aujourd'hui, elle leva les yeux au ciel et d'un signe de main lui fit comprendre que c'était n'importe quoi. « T'avais pas besoin de nous. Du talent, t'en as toujours eu. » D'aussi loin qu'elle s'en souvenait le garçon avait toujours performé avec brio. C'était inné pour lui, cela coulait dans ses veines et la brune ne pouvait l'imaginer faire autre chose que de se produire sur scène. Sans crier gare, Malik la prit au dépourvu en lui faisant la remarque : « Toujours en ville… J’avoue que parfois j’ai eu peur que ça ne soit pas le cas. ». Elle sentit ses joues s'empourprer et bénit l'obscurité de l'ascenseur qui lui permettait de dissimuler une partie de son trouble. Jouant nerveusement avec le cordon de son sweet, la métisse ne savait pas quoi répondre. Elle n'eut pas vraiment l'occasion de cogiter davantage qu'il lui demanda : « Ca va ? ». Elle déglutit avec difficulté, cherchant à calmer son rythme cardiaque qui s'était une nouvelle fois emballé et balbutia : « Je... Oui, ça va. » Sa réponse n'avait rien de convaincante, elle en avait parfaitement conscience. Elle se racla la gorge et demanda : « Et toi ? ». Finalement elle s'assit dans un coin de l'ascenseur prenant appui contre la paroi. Elle ne savait pas combien de temps ils allaient restés coincés ici, autant se mettre aussi à l'aise que possible. Elle passa une main dans ses cheveux. « J'ai pensé à partir... Mais un ami m'a dit que ce n'était pas une bonne idée. » Un petit sourire complice glissa sur ses lèvres alors qu'elle se revoyait parfaitement dans le salon de Malik en train de le supplier de fuir avec lui. Après quelques secondes d'hésitation, Marley aborda le sujet qui la rongeait plus que tous les autres : « Au fait, toutes mes félicitations ! J'ai appris que tu allais être tonton... » Sa voix qui aurait dû laisser transparaître sa joie était dénuée de tout enthousiasme. Il allait être tonton parce que Louisa était enceinte de... Jackson. La situation n'avait rien de conventionnel, pire elle était presque désastreuse au vue des circonstances.
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Toutes mes excuses pour ce retard
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Loin de me douter de l’état de la jolie métisse. C’est peut être mieux ainsi, j’ai cette tendance à être dans le surplus de protection envers les personnes que j’apprécie. Alors que parfois, rien ne vaut un peu de tranquillité. Sortir d’ici me paraît être une priorité évidente. Ça permet d’échapper à toute potentiel gêne. Gêne car notre dernière rencontre aura été tumultueuse, pour autant, ça appartiens à passé. Je suis quelqu’un de très terre à terre, j’ai cette tendance à regarder devant plus que derrière. Même si faut admettre que c’est pas toujours facile. Les mots et le rire de Marley a le don de détendre l’atmosphère, je hausse d’ailleurs mes épaules en retrouvant là terre ferme. J’serai pas allé bien loin de toute façon. J’ai le vertige. ne pouvant m’empêcher de rire, ma peur de l’avion est sans doute dû à ça. Être aussi dans le ciel, non vraiment, c’est une torture pour moi.
Le bouton d’alarme, j’ai appuyé dessus, à plusieurs reprises d’ailleurs. J’ose espérer qu’il est fonctionnel, car c’est notre seul espoir de ne pas dépérir dans cette cabine d’ascenseur. Des gars qui ont du talent, y en a la pelle. Sans vous je serai partis en vrille. On le sait. avec ma tendance de sombrer aux moindres complications, c’est une vérité dont j’ai conscience. Avoir un bon entourage c’est primordial, je considère avoir de la chance de les avoir dans ma vie. Puis, profites en, je reste encore humble et je vous oublis pas. Attend que je devienne une superstar mondiale ! bien sûr, c’est une connerie. Peu importe ma notoriété, je sais que je changerai pas et que j’oublierai pas. Un conseil avisé si tu veut mon avis. Ça doit être un très bon ami. Brillant en tous cas. croisant le regard de la maquilleuse, j’ai ce sourire collé aux lèvres. Heureux de savoir que cette envie de départ semble avoir été délaissé. Moi, j’en sais rien en vrai. J’crois que j’aime trop m’accrocher aux mauvaises personnes. c’est dans un soupir que je prononce ces quelques mots, ayant bien évidemment quelqu’un en tête. Mais je ne m’étend pas plus que ça, relevant mon visage vers celui de Marley. T’sais, pas besoin de me mentir. Dis juste que tu veut pas en parler et ça suffira. bienveillant, pas besoin d’être psychologue pour entendre que ça va sonne affreusement faux. Puis bon, je la connais, un minimum, suffisamment pour savoir quand quelque chose cloche.
Un rire, jaune, nerveux, voilà ce qui échappe de mes lèvres devant sa remarque. Tu pense qu’ils vont te choisir comme marraine ? posant mon crâne contre la paroi derrière moi, je ne pensais pas que Marley sois déjà au courant. Putain, quel merde. Ma sœur va avoir un gosse et le père va préféré me savoir à l’autre bout du monde plutôt qu’auprès de mon neveu, ou ma nièce. faut pas se voiler la face, la situation s’annonce compliqué. On a eu une discussion avec Jackson après cette nouvelle. Y a pas eu de bagarre. Si je voulais être optimiste je dirai que c’est un progrès. La vérité c’est que je pense que rien ne redeviendra comme avant et que d’une manière ou d’une autre, ma sœur devra choisir l’un ou l’autre. Et je me connais, je m’effacerais de ce choix. Franchement, a toi je peut le dire. Mais j’te jure que l’espace d’un instant, j’ai cru qu’ils avaient fais ça contre nous. secouant le visage, presque amuser devant la théorie de complot. Mais, au final, j’ai réaliser que ça implique trop de chose pour être ça. faut bien reconnaître que la, on parle d’une vie, d’un enfant. J’ai bien vite réaliser que j’étais sans doute parano et rien d’autre. Tu l’as su comment ?
Hj. Tu rigole, c’est moi qui suis catastrophique en ce moment en terme d’activité
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ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
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« Des gars qui ont du talent, y en a la pelle. Sans vous je serai partis en vrille. On le sait. » Les lèvres de la métisse se pincèrent alors qu'elle se demandait où était la vérité dans ce qu'il lui disait. Indéniablement il n'était pas le seul à être talentueux. Il y en avait d'autres des rappeurs qui faisaient se lever les foules, elle n'en doutait pas. Elle se demandait juste s'il aurait réellement pu déraper ou non. Aurait-il pu sombrer dans l'alcool et la drogue, faire des conneries, foutre sa vie en l'air ? Tant de questions qui retournaient l'estomac de la jeune femme qui n'avait aucune envie de penser à cela plus longtemps. « Puis, profites-en, je reste encore humble et je vous oublie pas. Attends que je devienne une superstar mondiale ! » Cette fois-ci Marley pouffa alors que ses yeux se mirent à rouler sur eux-mêmes. « Avise-toi de prendre le melon et tu verras ce qui va t'arriver... » Une promesse qu'elle se ferait un plaisir de respecter. Qu'il s'avise de changer, de se comporter comme une diva et de les ignorer, Lynch saurait le remettre à sa place plus vite qu'il n'en fallait pour le dire. Elle espérait néanmoins que cela n'arriverait jamais et qu'elle n'aurait pas besoin de le rappeler à l'ordre. Connaissant Malik, elle avait bon espoir pour qu'un tel drame ne se produise jamais. Lorsqu'il s'envoya des fleurs concernant le fait qu'elle était toujours en ville et qu'elle avait su écouter ses conseils, Marley ne dit rien mais se contenta de sourire. Elle aurait pu l'envoyer balader, répliquer ou au moins le faire redescendre sur terre mais elle n'en eut pas envie. S'il était vrai que Malik n'avait pas aidé la brune à avoir un retour serein, il avait toujours été d'un très grand soutien. Ils avaient merdé ensemble mais il ne l'avait jamais lâchée. La facilité pour lui aurait été de l'encourager à partir, à fuir à nouveau. Loin de Brisbane, de lui, de Louisa et de Jackson, tout aurait sans doute été plus simple pour le rappeur mais au lieu de cela il avait fait en sorte qu'elle reste. Sans doute était-ce l'un des meilleurs conseils qu'on lui ait jamais donné. Il poursuivit en lui parlant d'une personne à laquelle il était attaché. La maquilleuse leva un sourcil, curieuse d'en apprendre plus mais il changea de sujet, peu désireux de s'attarder dessus. Elle hésita quelques instants mais le laissa prendre la fuite, notant mentalement dans sa tête d'aborder à nouveau la conversation plus tard. Avant d'avoir été amants, ils étaient deux amis proches, il n'était pas question que cela change. Elle espérait qu'il parviendrait à se confier à elle sans gêne et sans retenue. La manière dont Malik changea de sujet ne facilita pas la tâche à Marley puisqu'elle se retrouva en train de lui mentir piteusement sur son état mental actuel. « T’sais, pas besoin de me mentir. Dis juste que tu veux pas en parler et ça suffira. » Coupable elle baissa la tête, incapable de soutenir dans la pénombre ces yeux qui la connaissaient si bien. Non en effet elle n'allait pas bien, et oui, il avait raison, elle ne voulait pas lui en parler. Elle avait vu les ravages qu'avait fait la révélation de son agression auprès de Jackson, elle n'avait aucune envie de voir la même colère dans les yeux de Malik ou d'y lire une quelconque forme de pitié. Mieux valait qu'elle garde ça pour elle.
Au tour de la maquilleuse de changer de sujet et d'aborder celui qui lui rongeait l'esprit. Elle se doutait que cela ne devait pas être simple non plus du côté du garçon. Sa sœur allait devenir mère, et le père biologique n'était autre que celui qui lui avait cassé le nez et qui avait bien failli le tuer. Elle ne s'était pas trompée au vue du rire amer qu'il venait d'avoir : « Tu penses qu’ils vont te choisir comme marraine ? ». La mâchoire serrée la brune répondit : « Ouai, et tu seras le parrain à mes côtés. » L'annonce de la grossesse de Louisa avait bouleversé la maquilleuse qui avait cru vivre un cauchemar éveillé, et force était de constater que cela n'était pas mieux du côté de Malik qui se voyait déjà tenu à l'écart de son futur neveu ou de sa future nièce. Un soupir glissa hors des lèvres de Marley qui tenta de le rassurer : « Il finira par se calmer. Il est en colère, mais il ne t'empêchera jamais de voir l'enfant. » Jackson ne pardonnerait sans doute jamais à Malik ce qu'il avait fait mais elle le connaissait assez pour savoir que la famille comptait énormément pour lui et qu'il ne priverait pas son enfant d'avoir un oncle. Il y avait peu de chance qu'ils se retrouvent à faire de grandes fêtes tous ensemble mais Malik aurait toujours sa place dans cette famille. Lorsque le rappeur évoqua la possibilité qu'ils aient fait ça pour se venger d'eux, elle eut un hoquet de stupeur. Ces dernières semaines elle avait découvert des facettes de Jackson qu'elle ne connaissait pas comme sa capacité à manipuler pour mieux briser par la suite, mais avoir un enfant par pur esprit de vendetta était tout bonnement impossible. Heureusement Malik était revenu à la raison de lui-même. Lorsqu'il lui demanda comment elle avait appris la nouvelle, elle sentit son cœur s'emballer. Comment lui dire ? Comment lui expliquer que Jackson lui avait annoncé après avoir admis avoir tué l'homme qui l'avait agressée ? Comment pouvait-elle lui dire qu'ils avaient ensuite passer la nuit ensemble, renouant avec leur histoire passée alors qu'ils se savaient tous les deux coupables : Lui d'un meurtre, elle d'une complicité ? Marley se racla la gorge et finit par lui dire : « C'est lui qui me l'a dit. » Elle ne mentait pas, c'était bien Jackson qui lui avait fait cette révélation. « Je savais que c'était dans les projets, mais je t'avoue que je pensais pas que ça se ferait véritablement... » Au fond d'elle elle avait toujours eu l'espoir que l'un des deux fasse machine arrière mais cela n'était pas arrivé. « Je sais pas comment gérer tout ça. » Pas alors qu'elle avait renoué contact avec Jackson, pas alors qu'elle avait l'espoir qu'ils se redonnent une dernière chance.
Mais non ne t'en fais pas ! Tu me réponds quand tu peux
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Ça me touche cette vision presque idyllique que Marley peut avoir de moi. Mais, je me connais. Dois je lui rappeler dans quel état elle m’a retrouvé quand elle a débarquer chez moi comme un furie ? Je le sais, je me laisse facilement embarquer dans le vice. Sous bien des formes d’ailleurs. Je n’ai pas de point d’encrage alors quand les choses vont mal, je m’écroule. La célébrité, ça n’apporte pas que du bon, j’ai déjà échoué une première fois. Et alors que le succès pointe de nouveau le bout de son nez, j’ai cet échec dans un coin de la tête. J’espère ne pas faire deux fois la même erreur. Je tremble de peur. un sourire en coin. Pourtant, je ne doute pas que la jolie métisse tiendra cette promesse. Elle n’en aura pas besoin. Je fais de la musique par passion, tout le reste est secondaire à mes yeux. Éphémère même, je ne m’y attache pas, contrairement aux personne qui sont là depuis de le début, et qu’ils le seront toujours, en toute circonstance. Enfin, je l’espère. Et malgré les non dit, que ça sois moi qui survole simplement un sujet, ou Marley qui me cache ce qui la tracasse, ça n’a pas de réel importance. Parfois, certaine chose n’ont pas besoin d’être dites. Il y a un temps pour tout selon moi. Pour parler de certaine chose également. Il faut s’en sentir prêt, il faut avoir la conviction que c’est le bon moment. Si c’est pas le cas, parfois, le silence est d’or. Je n’en tiendrai jamais rigueur à Marley. Elle sait que je suis une oreille attentif, tout comme je sait qu’elle est présente si j’en ai besoin. A partir de la, il n’y a besoin de rien de plus. On a partagé et traverser de sacré épreuve, faut pas se leurrer, c’est le genre d’aventure qui peut aisément briser n’importe quelle amitié. Je ne pense pas m’avancer en disant que ça n’est pas le cas pour nous. Et c’est là le plus important selon moi.
Tres amusant. Mais j’en doute fortement. haussant les épaules, je relève simplement mon regard vers la maquilleuse. Précisant mes pensées. Je ne suis pas vraiment en odeur de sainteté. D’un côté. Ou de l’autre d’ailleurs. Jackson m’en veut, et si j’imagine que Marley a raison, qu’il me laissera voir l’enfant. Je ne suis même pas sûr d’avoir envie d’être cette source de conflit, que ma présence doivent se faire au détriment de l’absence du père. Quand à ma sœur, depuis cette histoire, j’avoue que les liens ne sont pas des plus soudés ou en tous cas, entretenu. Et j’en suis également responsable, je l’avoue aisément. Le fait est que j’accepte totalement la situation. Je mène ma barque sans tellement regarder autour de moi. Mais je me garde d’embêter Marley avec tout ça. Les choses avancent ? faut dire, qu’aux dernières nouvelle, les discussions semblait totalement rompu entre la maquilleuse et le futur père. Au grand regret de la métisse. Alors si le dialogue a été renouer au point qu’il se charge lui même de lui avouer cet événement. La brune a peut être cette chance de revenir dans la vie de celui qu’elle considère sans doute comme son âme sœur. C’est tout ce que je lui souhaite d’ailleurs. J’peut pas t’aider. J’imagine qu’il faut réussir à prendre du recul. Je veut dire, ça va chambouler les quotidiens. Mais techniquement parlant, ça n’influe pas sur la vie privé de Jackson. Il aura une place importante en tant que père. Mais l’enfant sera élevé par ma sœur et sa femme. j’avoue que rien qu’en y pensant je m’y perd. La situation n’a rien d’évidente, alors je préfère même pas imaginer dans quel merdier ça met Marley. Si après tous ça tu es encore dans sa vie. Alors la solution viendra par elle même. T’as pas à t’en faire. Des fois, il faut juste mettre le cerveau sur off. Ne pas se poser de question. Ne pas réfléchir et avancer. Ça peut paraître effrayant. Mais à l’arrivé, ça peut en valoir le coup. c’est peut être un peu dur ce que je balance. Mais c’est vrai, si après toutes ces épreuves, Jackson lui fais toujours cette place dans sa vie, alors elle n’a pas à s’inquiéter de cet événement qui arrive. Au contraire. Tout du moins, c’est ce que je pense. Je suis peut être un peu superstitieux sur les bords, et sans aucun doute, absolument pas objectif concernant Marley. Mais je suis convaincu qu’elle mérite son bonheur, que tôt ou tard elle y aura le droit. A partir de la, même si ça peut paraître aberrant, je suis certain que peu importe les épreuves, la finalité sera bonne. Reste à savoir à quel point les épreuves peuvent être complexe et difficile à traverser.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Lorsque Malik lui dit qu'il n'était en bons termes ni avec Jackson ni avec Louisa, Marley ressentit un pincement au cœur. C'était de sa faute si le rappeur se retrouvait ainsi coupé des autres. C'était à cause d'elle si c'était tendu entre Louisa et lui, si Jackson avait tiré une croix sur leur amitié. A bien y réfléchir c'était elle qui avait allumé Malik en premier, elle qui l'avait provoqué et chauffé dès qu'elle l'avait vu sur le plateau de tournage. Il n'avait rien demandé, n'avait eu aucun geste ambiguë jusqu'à ce qu'elle ne le titille et ne le provoque plus que de raison. Elle baissa la tête. Incapable de dire quoi que ce soit. Elle espérait simplement que tout rentrerait dans l'ordre, que Louisa parviendrait à passer outre cette histoire. La maquilleuse savait à quel point les Fleming étaient proches, à quel point ils s'aimaient et étaient importants l'un pour l'autre. Elle ne pouvait pas croire que sa liaison avec l'artiste avait tout ruiné. Si leurs liens restaient aussi distants et qu'ils ne parvenaient pas à retrouver leur complicité, si Louisa ne parvenait plus à faire confiance à Malik, jamais Lynch ne s'en remettrait, elle serait perpétuellement rongée par les regrets et les remords.
« Les choses avancent ? » La question la prit au dépourvu alors qu'elle accrochait son regard dans la pénombre. La lumière de leur téléphone créait une atmosphère un peu étrange et l'étroitesse des lieux n'aidait pas non plus. Marley déglutit avec difficulté. Elle ne savait pas quoi répondre ni même comment le formuler. Elle fronça légèrement les sourcils à la recherche des mots qui pourraient le plus coller avec la situation mais c'était presque peine perdue. « En un sens oui » finit-elle par murmurer. Le contact était renoué, ils avaient passé une nuit ensemble comme si rien d'autre qu'eux n'existait mais elle ne savait toujours pas de quoi leur relation en retournait. Etaient-ils en couple ? Etaient-ils amis ? C'était véritablement difficile de poser des mots sur leur histoire. La maquilleuse s'était promis de ne pas précipiter les choses, de ne pas se montrer trop insistante auprès de l'agent. Elle savait que ce dernier avait du mal à lui faire confiance à nouveau, le brusquer n'était donc pas une bonne idée.
Malik tenta de la rassurer concernant l'arrivée du futur bébé mais elle n'était pas vraiment convaincue par les arguments qu'il avançait. Le bébé serait élevé par Louisa et sa mère mais Marley savait que Jackson s'impliquerait dans sa vie. Elle ne serait d'ailleurs pas surprise d'apprendre que l'enfant passe des jours ou des semaines avec l'agent. Peut-être que Lou et Jax s'étaient mis d'accord pour une garde alternée ? Elle n'en avait pas la moindre idée. Lynch doutait néanmoins que son ancien compagnon parvienne à garder ses distances. Il voulait une famille et il était en train de l'obtenir, aussi particulière et originale soit-elle. Malik lui conseilla par la suite de se laisser porter, de voir où le vent la mènerait mais cela ne lui convenait qu'à moitié. Assise dans un coin de l'ascenseur, ses genoux repliés contre sa poitrine elle demanda : « Et quelle sera ma place au milieu de tout ça ? ». Ce n'était pas une pique, ni une attaque envers Jackson ou Louisa mais une véritable question. Qu'allait devenir Marley ? Serait-elle la belle-mère ? Cet enfant allait avoir deux mères et un père, il n'avait pas besoin qu'une autre personne se joigne à la petite fête. Un soupir lui échappa alors qu'elle collait l'arrière de son crâne contre la paroi de l'ascenseur.
Quelques secondes s'écoulèrent avant que Marley ne repense à ce qu'il lui avait dit un peu plus tôt. Un petit sourire s'inscrivit sur son visage alors qu'elle demandait : « Alors, c'est qui cette personne ? ». Curieuse de savoir où en était Malik dans sa vie personnelle, la jeune femme précisa la font de sa pensée : « La mauvaise à qui tu sembles t'accrocher ? » Ce n'était pas ses mots à elle mais bien les siens. Si la maquilleuse n'avait pas rebondi sur le moment, il était désormais temps de le faire. Elle ne savait pas combien de temps ils allaient rester coincés ici et elle n'avait aucune envie de parler en boucle de l'arrivée du futur enfant de Louisa et Jackson. Autant en profiter pour changer de sujet et rattraper le temps perdu. Elle hésita mais finit par murmurer : « Ne me dis pas qu'elle est en couple... ». Il n'y avait aucun jugement dans sa voix, simplement une pointe de crainte. Malik était un mec bien et Marley refusait de le voir souffrir. S'il fonçait tête baissée dans une relation avec une femme engagée, cela semblait voué à l'échec.
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Si je suis pessimiste sur l’avenir de mon amitié passé avec Jackson. Je suis plus optimiste concernant ma sœur, les liens du sang sont éternels et ça, peu importe les épreuves. Ça finira par rentrer dans l’ordre, d’une façon ou d’une autre. Et même en état actuel des choses, je répondrai présent pour Louisa si elle venait à en avoir besoin. Et je n’en voudrai jamais à Marley. Comme je l’ai toujours dit et répété, nous étions deux. Aucun a plus fauter que l’autre. J’ai toujours été prêt à prendre mes responsabilités, ce n’est pas aujourd’hui que ça changera. Je suis accroché à la maquilleuse, amicalement. La vie a fait qu’on a connu des obstacles mais pour moi, ça ne change rien. Peut être même, que d’une certaine manière, ça à renforcer certaine chose. Jusqu’à peu jetait encore un gosse irresponsable, ne réfléchissant pas à grand chose. Je me suis surpris à prendre certaine bonne décision dans l’intérêt d’une autre personne que moi. Même si je ne suis pas naïf, je me doute que si Marley et Jackson parviennent à se construire une nouvelle histoire, ma présence se fera évidemment discrète et dans le fond, c’est totalement normal. Je suis un optimiste de nature, le temps fera son œuvre, le temps permettra à certaine chose de rentrer dans l’ordre. J’en suis intimement convaincu.
Un sourire étire mes lèvres, mais je ne dit rien. Les choses ne sont plus au point mort et c’est peut être là le plus important. Si ça repart, ou en tous cas ça avance. Alors l’espoir est de mise. Et c’est forcément une bonne nouvelle. Tu la trouvera. Ça se fera. Naturellement. la situation est trop original, complexe, atypique pour réussir à planifier ou même qualifier qu’elle pourra être la place de jolie brune dans tout ça. Mais elle en aura une, c’est certain ça. De part son histoire avec Jackson, de part son amitié avec ma sœur. Je n’ai aucun doute là dessus. Y a pas a dire, ce bébé qui va arriver sera bien, très bien entourer.
Les mots de Marley me prennent de court. Relevant mon visage, je l’écoute sans répondre. Un simple rire nerveux s’échappe de mes lèvres quand elle conclu avec cette question fatidique. Non ! Non. Elle a personne. Enfin, je crois… ou alors il a été très bien caché. Mais je suis presque certain de son célibat, c’est déjà un bon point. Alors, la mauvaise, pour moi. Sans quoi, c’est une personne merveilleuse. D’une douceur, d’une bienveillance et d’une gentillesse incroyable. Bien que quelque peu piquante sur les bords. un portrait bien idyllique, objectif ? Peut être, en tous cas, honnête car c’est vraiment comme ça que je la vois. Mais on vie dans des mondes totalement opposés. On a pas le même âge aussi. Je suis même pas sûr qu’elle pourrai envisager quelque chose avec moi. et c’est la toute la problématique. Malgré quelque chose qui nous lie, et ça j’en suis certain d’une manière ou d’une autre. Nos mondes sont différents, peut être même que nos attentes le sont. Et je ne crois pas que ça serai viable. Enfin, ce ne sont que des suppositions. On a jamais eu ce genre de discussion à dire vrai. Même pas de véritable rencard. ma tête s’appuyant quelques secondes contre le mur derrière moi. Je finis par la redresser pour chercher le regard de Marley. Je ne suis même pas sûr de vouloir lui infliger les problèmes qui peuvent découler de ma vie. les strass et les paillettes c’est sympathique, c’est agréable. Mais ça peut vite devenir lassant, encore plus quand on n’est pas là dedans, qu’on a sa vie a des kilomètres de ça. Et même si je ne suis pas là plus grande star, j’ai espoir que mon nouvel album sois un succès et donc, me ramène sur le devant de la scène. C’est peut être pas plus mal comme ça. Ça fais vendre le côté cœur à prendre. Mes dms insta sont inondé, c’est le rêve de tout mecs non ? pas le mien en tous cas. Je vais pas jouer les bon samaritain, j’ai eu beaucoup d’aventure, je ne suis pas le dernier à profiter de la vie. Mais je rêve bien plus de vivre une histoire que d’avoir des tonnes de message.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Si Marley s'était retrouvée gênée en découvrant qu'elle était coincée dans l'ascenseur avec Malik, et si elle avait été perturbée par certaines de ses questions, la réciproque était vraie du côté du garçon. Lorsqu'elle le questionna sur cette mystérieuse jeune femme, elle le vit lever subitement la tête dans sa direction et l'entendit rire nerveusement. Elle aurait pu le taquiner ou se moquer de lui mais préféra ne rien dire. Elle se contenta de lui adresser un doux sourire afin de le mettre en confiance et de lui faire comprendre qu'elle était là pour l'écouter et non le juger. Après tout, avant d'avoir fauté en couchant l'un avec l'autre ils étaient surtout des amis proches qui n'avaient aucune peine à se confier à l'autre. Précipitamment Malik gomma les craintes de Marley : « Non ! Non. Elle a personne. Enfin, je crois… » Elle hocha légèrement la tête, rassurée par ce fait. Où était le problème dans ce cas-là ? Il devait bien y en avoir un si le garçon pensait que la personne était mauvaise. En silence la maquilleuse écouta le portrait parfait que dressait Malik. Elle semblait parfaitement correspondre aux attentes de son amie et semblait posséder la petite pointe de caractère qu'il lui fallait. Jusque là tout semblait idéal, elle ne comprenait donc pas ce qui bloquait tant le garçon. Etait-elle amoureuse d'un autre ? Faisait-elle partie d'une liste noire ? Celle sur laquelle étaient inscrites les filles qu'il ne fallait sous aucun prétexte toucher. Celle sur laquelle le nom de Marley avait été inscrit il y a de cela bien des années. Elle pencha la tête sur le côté, cherchant à sonder l'âme du rappeur. Etait-il tombé amoureux de la sœur d'un de ses amis ? De l'ex d'un de ses meilleurs potes ? « Mais on vit dans des mondes totalement opposés. On a pas le même âge aussi. Je suis même pas sûr qu’elle pourrait envisager quelque chose avec moi. » Les yeux de Marley roulèrent dans leur orbite alors qu'elle soupirait doucement. « L'âge n'a pas d'importance » murmura-t-elle. « Les mondes opposés non plus. » Bien sûr que cela entraînait parfois quelques difficultés à surmonter, bien sûr que cela pouvait rendre certaines situations un peu chaotiques mais lorsque les sentiments étaient là, tout était possible. « Enfin, ce ne sont que des suppositions. On a jamais eu ce genre de discussion à dire vrai. Même pas de véritable rencard. » Marley se redressa quelque peu, prête à lui dire de foncer, de tenter sa chance mais elle attendit qu'il ait fini de parler. Si elle commençait à lui donner des conseils – alors que sa vie amoureuse était un véritable chantier – elle avait peu que cela le braque et qu'il ne poursuive pas. « Je ne suis même pas sûr de vouloir lui infliger les problèmes qui peuvent découler de ma vie. » Elle comprenait de quoi il parlait et où il voulait en venir. Malik avait une certaine notoriété et les gens le reconnaissaient désormais dans la rue. Vivre à ses côtés pouvait sans doute être compliqué mais la maquilleuse trouvait dommage qu'il se mette volontairement des barrières et qu'il laisse peut-être passer sa chance de vivre une belle histoire d'amour. Lorsqu'il ironisa et parla du fait que son célibat lui permettait de vendre plus de disques et de recevoir plus de dm elle ne put s'empêcher de marmonner : « Arrête. » Parce qu'il n'était pas comme cela. Il ne l'avait jamais été. Malik faisait partie de ces hommes biens qui cherchaient l'amour, le vrai. Elle hésita quelques secondes puis finalement se leva. Elle s'approcha du garçon et s'assit à ses côtés. Le contact visuel était rompu mais pas celui physique puisqu'elle posa l'une de ses mains sur l'un de ses avant-bras. « C'est peut-être à elle de décider si c'est trop pour elle ou non. Tu ne penses pas ? » Elle ne connaissait pas cette jeune femme mais Malik semblait attacher à elle et Marley avait la sensation que cela devait être réciproque. Elle poursuivit alors : « Arrête de te mettre des barrières, laisse-toi porter. Tu serais peut-être surpris. » Il semblait penser que cette relation était vouée à l'échec alors qu'elle n'avait même pas commencer. « Parle-lui. Dis-lui ce que tu ressens. Explique-lui ce que cela implique d'avoir une relation avec toi. Elle saura mieux que toi si elle a les épaules pour gérer tout ça. » Ce serait bien trop bête de laisser filer une telle perle par peur de l'échec ou de lui faire du mal. L'ascenseur eut un nouveau soubresaut et les doigts de Marley s'agrippèrent un peu plus au bras de Malik. Agacée elle demanda : « Ils comptent nous laisser là toute la nuit ?! ». Si retrouver son ami lui faisait plaisir, elle aurait aimé que cela se passe dans d'autres circonstances et pas coincés dans une foutue boîte de conserve.
WIN : Comme par miracle les lumières se rallumèrent et l'ascenseur reprit sa route en direction du rez-de-chaussée.
SO CLOSE : Un nouveau soubresaut puis la lumière se ralluma enfin mais l'ascenseur ne bougea pas d'un poil. Au moins ils n'étaient plus dans le noir.
FAIL : Le noir était toujours total, l'ascenseur ne bougeait pas mais une odeur étrange commençait à envahir l'endroit. Une odeur de brûlé ?
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LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Si il y a bien une personne à qui j’en ai aucun mal à parler, sans retenu, sans crainte d’être juger. C’est bien Marley. On se connais trop bien, depuis trop d’année et on a traversé une sacré épreuve mine de rien. Mais j’ai toujours du mal, toujours cette difficulté à mettre des mots sur ce qui peut paraître ridicule, risible. Cette impression de ne pas être assez bien, de ne pas être à la hauteur. Cette manie que je peut avoir à ne pas me lancer dans une histoire parce que je ne pense pas la mérité. C’est une facette de moi que personne, ou presque ne connais. Je la cache, facilement derrière mon sourire et ma pseudo assurance. Alors oui, les mots de la brune me font du bien. J’apprécie sa proximité, mes doigts venant naturellement par dessus les siens, profitant du retour de cette complicité qu’on a pu avoir et que j’espérer sincèrement ne pas avoir perdu. C’est pas évident. Se jeter dans le vide sans filet. Avouer tout ça sans certitude. et pourtant, j’ai fais pire, je l’ai embrasser. Faut croire que parfois, il est plus facile de s’exprimer par des gestes, des actes, que des mots. Faudra que tu la rencontre. Ça me permettra d’avoir ton avis. je balance ça, comme ça, sans réel conviction. Si ce n’est celle de confirmer que l’importance de l’avis de Marley et de sa présence dans mon entourage reste inchangé et toujours aussi important. Pour tout te dire. C’est vers elle que je me suis tourner le soir.. le fameux soir ou Jackson ma confronter, m’a fais avouer ce que nous avions fait. Au de la de ça, n’est ce pas la, l’une des plus grandes preuves de l’attachement que j’ai à son égard ?
Mon visage se relève brusquement quand l’ascenseur fait des siennes. Sentant les doigts de Marley se resserrer contre ma peau. Je caresse le dessus de sa main avant un nouveau mouvement, qui cette fois ci nous rapporte la lumière. Alors, j’ai eu une journée chargé personnellement et j’ai pas eu le temps d’avaler quoi que ce soit. Et je suis exécrable quand j’ai faim. maintenant que la lumière est de retour, j’en profite pour adresser un sourire à la maquilleuse. Puis, avec le rétablissement de l’électricité, j’ai espoir que les boutons d’alarme fonctionne de nouveau. Alors, je m’éloigne de Marley quelques instants. Tambourinant sur le bouton d’appel à l’aide jusqu’à, enfin, avoir une tonalité. Ouai, allo ! Allô ! On est coincé dans votre ascenseur depuis un petit moment là. Ça s’rait sympa de faire quelque chose. alors que je m’apprête à revenir au côté de Marley. Je me tourne de nouveau vers le bouton et l’espèce de haut parleur. Si y a moyen de prévoir quelques choses à manger et à boire quand vous nous aurez sauver. Ça serai top. plutôt fier de ma connerie, quand je me tourne vers Marley, je hausse les épaules. Faut bien que je profite de la vie de star de temps en temps quand même !
Gayle Danbury
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ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
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Lorsque les doigts de Malik se posèrent sur ceux de la métisse, elle frissonna. Etait-ce le retour d'une proximité physique entre eux ? Etaient-ce les réminiscences de leur histoire passée, de leur nuit où ils n'avaient fait qu'un qui venaient à nouveau la hanter ? Etait-ce le fait qu'un homme la touche alors qu'elle s'était faite agresser quelques semaines plus tôt ? Marley l'ignorait mais n'eut pas le temps de se poser plus de question que Malik lui expliquait : « C’est pas évident. Se jeter dans le vide sans filet. Avouer tout ça sans certitude. » La brune hocha la tête et murmura : « Je sais. » Elle aussi avait eu bien du mal à vider son sac auprès de Jackson. Exposer ses sentiments n'était pas ce qu'elle préférait faire. D'ailleurs, il était rare que l'agent et elle se fassent de grandes déclarations, leurs gestes parlaient plus que leurs mots. « Faudra que tu la rencontres. Ça me permettra d’avoir ton avis. » Même s'il ne pouvait le voir, un doux sourire illuminait le visage de la maquilleuse. Ses doigts s'appuyèrent davantage sur son avant-bras et elle chuchota : « Si elle te plaît, elle me plaira aussi. » Elle imaginait mal Malik tomber sous le charme d'une femme qu'elle ne supporterait pas. Elle espérait ne pas se tromper parce qu'elle ne savait pas si elle serait capable de cacher ses véritables sentiments. Si la jeune fille en question ne lui plaisait pas, Lynch était presque certaine que son aversion à son égard se lirait sur son visage. « Pour tout te dire. C’est vers elle que je me suis tourné le soir.. » Cette fois-ci, ce furent les ongles de la brune qui se plantèrent dans la peau du garçon. Lorsqu'elle s'en rendit compte, elle lâcha sa prise. Se remémorer cette soirée était quelque chose qu'elle détestait. Le souvenir de la grande roue, de la manipulation dont Jackson avait fait preuve, de la crise d'angoisse qui s'en était suivie, serraient toujours le cœur et l'estomac de la jeune femme. Elle revoyait aussi très clairement le visage abîmé de Malik, se rappelait parfaitement de l'état dans lequel elle l'avait retrouvé quelques jours après. Elle ferma les yeux, cherchant à effacer de son esprit toutes ces images et se contenta de dire : « Elle compte donc beaucoup. » On ne se tourne pas vers n'importe qui après une telle mésaventure.
Soudainement l'ascenseur fit un bruit étrange et eut quelques soubresauts. Marley s'accrocha un peu plus à Malik mais se calma lorsqu'elle sentit qu'il lui caressait la main pour la rassurer. Lorsque la lumière se ralluma, un soupir de soulagement échappa à la maquilleuse. Tout allait enfin rentrer dans l'ordre, du moins elle l'espérait. Le rappeur lui dit qu'il avait passé une journée terrible et qu'il avait faim. Marley se mit à rire, se rendant néanmoins compte qu'elle aussi commençait à avoir un petit creux. Le jeune homme fut plus rapide et prit les devants en se levant pour appuyer sur le bouton d'urgence. Mal qui l'observait, n'avait de cesse de rire, surtout lorsqu'elle l'entendit réclamer de la nourriture et à boire. Il était irrécupérable, il n'en loupait jamais une. « Faut bien que je profite de la vie de star de temps en temps quand même ! » Elle leva les yeux au ciel mais finit par concéder : « Tu as bien raison. » Finalement elle se releva. Après quelques secondes d'hésitation, elle s'approcha de Malik et le prit dans ses bras sans prévenir. Sa tête nichée contre son torse, ses bras enroulés autour de son corps, Marley appréciait le moment présent. Entre ces parois, personne ne saurait jamais rien. Sans doute que cela serait leur dernière étreinte, sans doute qu'ils n'auraient plus l'occasion de se retrouver si proches alors elle en profitait. Ce geste était simple mais il voulait tout dire : il lui manquait, elle lui était reconnaissante pour tout ce qu'il avait fait pour elle, et elle l'aimait. Pas de cet amour qui fait que vous passerez le reste de votre vie ensemble, mais de cet amour qui laissait entendre qu'un lien puissant existait entre deux personnes. Son nez glissa jusque dans son cou, elle renifla son odeur, et alors que l'ascenseur se remettait enfin en marche elle se recula. Le doux sourire qu'elle avait au visage accompagna ces quelques mots : « Merci pour tout Malik. » Merci d'avoir toujours été là, merci de l'avoir rassurée dans cet ascenseur, merci d'être son amie. Elle se posta aux côtés du garçon, face aux portes et lorsque celles-ci s'ouvrirent, elle se précipita à l'extérieur et inspira un bon coup. Soulagée d'être enfin libre, elle leva les bras en l'air, jeta un coup d'oeil à Malik et lui dit : « La prochaine fois, tu peux être sûre que je prendrai les escaliers. Ca me fera faire du sport ! ». Et un nouveau rire glissa hors de ses lèvres.
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