ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31459 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
James et Gabriella ont un peu bu, et décident de s'éclipser pour aller faire des trucs coquins. Ils ne tardent pas à trouver une chambre libre, étonnant, mais parfait. Ils commencent leurs affaires mais très vite ils entendent du bruit dans le placard. James va voir ce qu'il se passe, et là, il tombe sur Marius, Aaron et Brett baillonnés, avec aucun souvenir de ce qui leur est arrivé. Evidemment, la porte de la chambre est condamnée, sinon c'est pas drôle...!
NB ; Pas d'ordre de passage, et privilégiez les RP courts pour l'avancement rapide. Le destin pourra intervenir absolument quand il le voudra pour pimenter ou orienter le sujet.
La soirée avait si bien commencé, mais elle était destinée à déraper. Cependant, jamais elle avait pensé que ça serait de cette manière. L'Anglaise était belle à croquer dans son déguisement de chasseuse, minutieusement choisi pour l'occasion. Quelle idée de venir à cette soirée ? Gaby savait très bien qu' Halloween n'était pas fait pour elle. Les fantômes, zombis, psychopathes… Les manoirs hantés. Alors pourquoi était-elle ici ? Dans le genre, je suis une experte pour me mettre dans le pétrin, la brune était une experte. Gabriella avait trop bu, beaucoup trop bu. Pourtant, elle savait aussi que l'alcool n'était pas son meilleur allié. Lui faisant le plus souvent perdre ses esprits et faire des bêtises. Mais cette fois-ci, sa bêtise avait un goût délicieusement dangereux. Ses lèvres contre les siennes lui faisaient encore plus perdre pied. Ce soir, Gaby était dans une autre dimension. Dans un espace-temps où tout ce qui s'était passé n'avait aucune importance. Alors soit, Gabriella laissa parler son cœur. Sa conscience bien trop perdue dans la brume des vapeurs d'alcool. L'anglaise l'amena à l'étage, dans un couloir sombre à l’abri des regards. Le plaquant contre une porte pour continuer leurs ébats. C'était franchement ridiculement n'importe quoi de retomber si facilement dans les bras de cet homme. James Evans. Cette fichue chimère, son talon d'Achille qui avait le don pour lui faire rompre toutes ses promesses. Marius allait certainement la tuer s'il était amené à l'apprendre. Mais à cette heure-ci et dans son état, rien n'importait plus que de sentir sa peau contre la sienne. La brune finit par actionner la poignée pour y découvrir une chambre dont la décoration n'était plus du tout à jour, voire carrément rétro, limite inquiétante. Mais Gabriella n'y prêta même pas attention, tellement envoûtée par le mannequin. Elle ne quittait pas ses lèvres, tout en le guidant jusqu'à l'extrémité du lit. « Vous me faites faire vraiment n'importe quoi Monsieur Evans...» Gaby le dévorait du regard avec une lueur de malice qui laissait présager ce qu'elle avait en tête. Elle l'obligea à s’asseoir au rebord du lit afin de s'installer en califourchon sur lui. L'embrassant avec toujours plus d'intensité, le débarrassant de ce qui lui servait de haut avant de le faire basculer en arrière. Son rire retentit dans la chambre jusqu'à ce qu'elle s'empare de ses lèvres à nouveau. Tout en laissant ses mains s'égarer sur la moindre parcelle de son corps. Le sien brûlait de désir pour le français. Frissonnant de désir lorsque les mains de cet homme touchaient sa peau. Elle se laissait totalement happer par cette ambiance plus qu'intense. Mais un bruit vint refroidir l'atmosphère. Ça venait du placard. La jeune femme releva sa tête en direction du meuble en question. La peur se lisait sur son visage. « Tu… T'as entendu la même chose que moi ? » Pourquoi fallait-il qu'une chose vienne encore tout gâcher ? L'armoire bougea à nouveau. Gabriella recula par réflexe, ce qui la fit presque tomber du lit. L'anglaise commençait vraiment à être effrayée. « James… J'ai… J'ai peur ! » Gaby était loin d'être courageuse dans ce genre de situation. Elle se rapprocha à nouveau du français, cherchant refuge au creux de son épaule.
Le carton d'invitation que j'avais trouvé dans ma boîte aux lettres m'avait tracassé plusieurs jours. Qui l'avait envoyé ? Devrais-je y aller ? Qui était invité ? Je m'étais posé des tas de questions, pour finalement comprendre que je n'aurais des réponses qu'en me rendant à ladite soirée, dans ce fameux manoir. C'était la curiosité qui me poussait à y aller, et non pas l'envie de faire la fête. Depuis que Gabriella ne me parle plus, depuis que Jamie ne me parle plus, je n'ai plus vraiment le goût de vivre. Mais j'ai toujours adoré fêter Halloween, alors j'espère au fond de moi que cette soirée saura me changer les idées, au moins le temps d'une nuit. Pour m'y rendre, je décide de me procurer le costume d'Hannibal Lecteur jeune. Ce personnage m'a toujours fasciné. J'aime son raffinement, son bon goût, son esprit brillant et malsain. Et peut-être que dans son costume, je me sentirais un peu moins James Evans. Arrivé au manoir, je reprends mes bonnes vieilles habitudes. Direction le bar pour y goûter les alcools qui s'y trouvent, notamment le whisky. Les verres s'enchaînent sans que je ne bouge de ma place. Mon regard parcourt la pièce tout au long de la soirée, je ne reconnais personne. Ou alors des gens que je ne veux pas voir, alors je reste seul. Jusqu'à ce qu'elle entre dans mon champ de vision. Elle ne semble pas à sa place, ni au mieux de sa forme. Je reste plusieurs minutes à l'observer de loin, me réjouissant de pouvoir enfin la revoir. Et finalement, l'alcool aidant, je me décide de passer à l'action. Je dois lui parler, je dois entendre sa voix, je dois l'avoir près de moi. Mon arrivée la surprend mais très rapidement je parviens à la mettre à l'aise. L'alcool semble lui faire oublier à quel point elle m'en veut, ou alors fait-il ressortir quelque chose de bien plus fort et enfoui en elle ? Je ne sais pas, mais je ne me prive pas d'abuser de sa condition pour essayer de savoir ce qu'il en est. Peut-être que cette soirée m'offrira un motif d'espoir, je l'espère en tout cas.
Les événements s'enchaînent à une vitesse folle, et Gabriella finit par m'amener à l'étage pour trouver un peu plus d'intimité. Ses lèvres m'avaient manqué, son souffle aussi, son odeur, sa voix, sa façon d'embrasser, sa façon de me toucher... Le moindre contact me fait perdre pied, chaque baiser qu'elle me donne insuffle à nouveau la vie en moi. Dans ses bras je me sens renaître, je me sens entier. Pour prolonger ce sentiment un peu plus longtemps, je ne cesse de l'enlacer, la caresser, l'embrasser. Mes lèvres trouvent toujours le chemin des siennes, ou bien de son cou. Chaque baiser que je lui donne a le goût du dernier, je fais comme si c'était la dernière fois. Mais plus nous sommes ensemble, moins je l'espère. Nous rentrons dans la première pièce que nous trouvons. La chance est de notre côté, il s'agit d'une chambre. Je referme la porte derrière nous avant que l'anglaise ne m'entraîne en direction du lit, nos langues se plaisant toujours à danser l'une avec l'autre. Sa remarque m'arrache un sourire en coin, aguicheur. Je m'assois au bord du lit sans la lâcher du regard, anticipant la suite des événements avec une excitation mal dissimulée. Vous me rendez fou, Mademoiselle Rhodes... Cet aveu est murmuré contre ses lèvres que je m'empresse de capturer à nouveau. Pris dans l'élan de nos ébats, dans le plaisir de la retrouver, je ne fais pas attention à ce que je dis. En quelques secondes, je me retrouve torse nu. Mes mains glissent le long du dos de la libraire pour saisir ses fesses avec envie, mes doigts s'enfonçant dans sa chair sans retenue. Faisant honneur au cannibale que je suis ce soir, je dévore la jeune femme comme si elle était le mets le plus délicieux au monde. Jusqu'à ce qu'un bruit vienne nous détacher l'un de l'autre, gâchant ce merveilleux moment. Je jette un coup d’œil dans la direction d'où il vient, et remarque alors ce placard que je n'avais pas encore vu - bien trop concentré par les lèvres de la brune. Silencieusement, j'acquiesce à la question de Gabriella. Oui, j'ai entendu. Le bruit recommence, l'armoire se met à bouger. Je déglutis et enroule un bras autour d'elle pour la serrer contre moi et la rassurer. N'aie pas peur, il ne t'arrivera rien tant que je suis là Gaby... lui promis-je en relevant son visage. Je vais voir ce que c'est, ne bouge pas d'accord ? Et après avoir déposé un baiser sur son front, je me sépare d'elle pour me lever. Sans perdre du temps, je me dirige vers l'armoire qui refait encore des siennes. Mon rythme cardiaque est légèrement plus élevé, mais je ne laisse pas la peur m'envahir. Je ne peux pas perdre la face devant Gaby, et surtout ça ne peut pas être grand chose. Sûrement une blague du propriétaire des lieux. Posant la main sur la poignée du meuble, je prends une inspiration et jette un dernier regard en direction de la brune avant de l'ouvrir. Et je tombe sur Aaron, Marius et un inconnu, bâillonnés devant moi. Merde ! jurais-je sous le coup de la surprise. Sans plus attendre, je m'empresse de les détacher, en commençant par Aaron bien évidemment. Mais qu'est-ce que vous foutez-là ? C'est la première question qui me traverse l'esprit. Pourquoi sont-ils enfermés dans une armoire ? Vous allez bien au moins ? finis-je quand même par demander. Ma question s'adressant aussi à Marius, que je regarde et détache à ce moment-là.
Il fait si sombre là-dedans -où que je sois. Si sombre que je ne saurais dire si mes yeux sont encore clos. Il me semble pourtant avoir ouvert les yeux. Je n'en sais trop rien. Peut-être que je suis toujours inconscient, en réalité. Ma tête est lourde, si lourde. Elle tombe vers l'avant sans que je puisse la redresser. Elle n'est qu'une masse informe contenant du brouillard. Je remets mon nom, et la date, rien de plus. Du reste, tout est sombre, tout est néant. Je ne sais pas où je suis, comment j'y suis arrivé, et encore moins pourquoi tout mon corps m'est si douloureux. Mes membres sont aussi engourdis que mon cerveau. Sans cet état de semi-conscience, je cherche à retrouver quelques sensations, retrouver mon corps. Je dois réunir d'immenses efforts pour bouger ne serait-ce que d'un millimètre. C'est minute après minute que je reprends peu à peu mes esprits. Mes yeux sont bien ouverts, mais je n'y vois rien. L'air est sec, mes poumons semblent se remplir d'un peu plus de poussière à chaque inspiration. Ma bouche est sèche. Mais surtout, couverte d'un bâillon qui se glisse entre mes dents pour mieux m'empêcher de parler. Ou d'hurler ? Je parviens à mouvoir mes jambes. Mes pieds tombent sur une masse molle. Au bruit qu'elle émet lorsque mon talon la frappe légèrement, cette masse est un homme. Je ne suis donc pas seul dans cette obscurité non identifiée. Cette sorte de boîte. Soudain, un rai de lumière traverse l'un des coins de la boîte. Une armoire. Je peux mieux distinguer les deux personnes avec moi. Marius. Un inconnu. « Ma'ius, 'éveille 'oi ! » je tente d'articuler malgré le bâillon, lui donnant quelques coups pour le sortir de sa léthargie. S'il y a de la lumière, c'est qu'une personne est entrée dans la pièce. Sur le moment, je ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise nouvelle. Après tout, si nous sommes dans cet état, c'est qu'une personne ne nous voulant pas que du bien nous y a placés. Et c'est cette personne qui peut-être juste derrière les deux portes en bois. Je tends l'oreille. Il n'y a pas grand bruit là-dehors. Seulement des respirations. Foi de futur quinquagénaire, des souffles émis entre deux baisers échangés par des amants déterminés à faire leur affaire. C'est sans me sentir désolé de les interrompre que je commence à frapper l'une des parois de l'armoire avec mes pieds. Non, je ne compte pas hurler ''à l'aide'' avec le chiffon dans la bouche, j'ai encore trop de dignité pour cela. Alors je frappe encore, jusqu'à ce qu'on vienne ouvrir l'armoire. Stupéfait, je découvre James. Mes yeux se plissent face à ce soudain torrent de lumière. Je le laisse me libérer de mes entraves, lui aussi tout aussi surpris. « La partie de cache-cache a mal tourné. » j'ironise pour répondre à sa première question. Non, vraiment, je n'ai aucune idée de ce que je fiche ici. « Ca va. Je n'ai que l'impression de sortir d'un hachoir à viande. » Je parviens à me remettre sur mes jambes et sortir de l'armoire. Mon premier coup d'oeil vise à vérifier que je ne suis pas blessé sans le savoir ; tout ce que je constate, c'est que je suis déguisé. Puis je lève les yeux vers la créature qui accompagne James. Gabriella, ma chère voisine de palier. « Désolé de reporter votre… petite sauterie. »
C’était le noir complet. Du genre y avait rien en face de lui et c’était à se douter si Marius avait vraiment les yeux ouverts ou pas. Il n’avait pas la sensation de ressentir quelque chose, que ses membres ne l’obéissaient pas vraiment. Puis sa tête semblait être si lourde que … Marius avait drôlement la sensation d’avoir dormi pendant un bon moment, mais de façon forcée. Il soupira et referma les yeux, histoire de réfléchir et de réunir toutes les informations. Ses derniers souvenirs, sauf que c’était tout à fait flou. Bon au moins, il se rappelait de tout, sauf de l’endroit, ni l’heure, ni comment il était arrivé dans le noir. En bref, le professeur ne se rappelait pas comment il était là, dans le noir, peut-être dans le vide… Ah non oubliez, il pouvait sentir quelque chose à ses pieds, il ouvrit doucement les yeux et malgré tout il voyait quand même du noir. C’était pénible et ça l’agaçait. Ça faisait sûrement quelques minutes qu’il était comme ça et ça devrait suffire non ? Puis soudainement une faible lumière illuminait l’armoire. Ô miracle ! Mais ça le faisait refermer à nouveau les yeux pour quelques secondes, comme s’il venait de comprendre qu’il était enfermé dans une sorte de boite en bois assez vieux. Puis il les rouvrit quand il sentit les coups sur lui, une voix étouffée. Il allait rétorquer que oui, il était réveillé « ‘on ‘ang A’on ! » tenta-t-il de lâcher par la suite avant de comprendre qu’il avait un tissus à la bouche qui avait pour but de les empêcher de parler. Attendez ? Ils étaient kidnappés pour être dans l’armoire et pour servir de viande hachée pour des cannibales ? Non, mais… Peut-être qu’il avait un côté artiste qui faisait qu’il avait énormément d’imagination : mais fallait savoir s’arrêter ! En tout cas, Marius pouvait voir qu’il n’était pas seul, il y avait Aaron, mais un autre inconnu qu’il n’arrivait pas à mettre le nom. Il voulut parler, mais évita de le faire, ainsi que de faire du bruit parce que peut-être que c’était le kidnappeur. Le professeur bougea un peu la tête du mieux qu’il pouvait, pour essayer d’approcher l’oreille et de mieux entendre, mais ça ne servait à rien puisqu’il entendait des souffles, des baisers et .. Oh non … Il ne voudrait pas entendre cela. Apparemment Aaron eut la meilleure idée de frapper contre l’une des parois de l’armoire. Marius donna un autre coup de pied à l’autre paroi pour faire confirmer que oui y avait du bruit ! Il frappa jusqu’à ce que la lumière l’aveugle et le force à fermer les yeux. Puis quand il les rouvrit il vit James. Il laissa échapper un bruit étouffé comme s’il n’avait pas l’air d’en revenir de se retrouver à nouveau en face de lui.
Alors qu’il fut libéré à son tour, remerciant du regard James malgré tout. « … Franchement … On ne sait pas comment on a pu atterrir dans cet armoire. » il toussa un peu à cause de la poussière qu’il avait respirée. « Mais sinon ça va aussi… Etourdi. » Oui il l’était et surtout surpris par tout ce qui venait de se passer. « Vous aussi allez bien ? » demanda-t-il à l’inconnu, soucieux. Avant qu’il entende le mot sauterie. « Sauterie ? » Il tourna la tête vers la jeune femme, était-ce une autre femme que … « Gaby ? » puis il regarda James qui était torse nu, puis Gaby. Puis James et Gaby encore. Puis il soupira « … Oh… Vous êtes pas en train de plaisanter ? »
Autant je détestais Noël parce que ça me rappelait de très mauvais souvenirs autant je ne pourrai louper une fête d'Halloween pour rien au monde... J'aimais énormément les films d'horreurs, les sucreries et déconner alors forcément quand on approchait la fin octobre je ne pouvais être qu'impatient...
Quelques jours auparavant, j'avais reçu dans ma boite aux lettres un petit carton d'invitation, c'était assez intriguant et j'aimais ça mais je ne voyais pas cela comme quelque chose de suspect ou de dangereux.. Dans les grandes villes comme Brisbane il n'est pas rare de voir s'organiser de très gros événements où de nombreuses personnes sont invités et en tant que policier c'était peut-être un membre haut placé du conseil général qui avait décidé de marquer le coup pour cette année... J'avais donc prit soin de finir de bonne heure afin de récupérer mon costume de Freddy Kruger à la boutique de farces et attrape pour ensuite rentrer chez moi et utiliser le maquillage de circonstance... Quelques heures plus tard j'étais en route pour le lieux de cette soirée qui s'annonçait plus que prometteuse du moins en apparence mais juste après m'être garé sur le parking situé non loin du manoir : Le blackout !
Je ne savais pas ce qui s'était passé mais quand je repris mes esprits je ne savais pas où j'étais... Ma tête me faisait un mal de chien et visiblement je n'étais pas seul.. Des voix s'élèvent autour de moi, des soupirs également.... Heureusement la lumière ne tarde pas à faire son apparition... Comme mes compagnons de galère j'arrive à m'extirper de l'armoire et à enlever mon bâillon... ''C'est quoi ce bordel ?'' Je suis avec des gens que je connais pas et surtout je n'ai plus mon costume de Freddy... Je ne porte qu'un simple boxer noir avec fuck la police écrit sur les fesses.... Qui m'a déshabillé ? ''Vous êtes qui ?'' De part mon métier, je suis déjà tombé sur des situations étranges mais là c'est une grande première. Nous sommes 5 en tout, 4hommes une femme qui n'ont pas l'air très rassuré...
Qu'il était délicieux de retomber à nouveau dans ses bras. De sentir le poids de ses lèvres contre les siennes, ses mains s'emparer de son corps qui ne demandait qu'à répondre à sa demande. James faisait l'effet d'un aimant sur Gabriella. Attirée par lui comme jamais. Le français lui avait manqué, c'était certain. Jamais l'Anglaise pensait le croiser ici. Mais le mannequin la prit par surprise. Il fallait croire que c'était une habitude. Elle était heureuse de le revoir, malgré tout. Tout ce qu'il avait fait, toute sa haine envers lui. Beaucoup trop enivrée pour résister à l’irrésistible. Elle sentait bien que James essayait d'évaluer le niveau de graviter du pétrin dans lequel il s'était fourré. Savoir si sa chère Gaby lui en voulait toujours autant ou si le temps avait adouci sa renqueure. Et à vrai dire, tout cela l'amusait énormément. Certainement l'effet de l'alcool qui rendait ce petit jeux étrangement plaisant. Et s'il y a bien une personne qui aimait jouer, c'était l'Anglaise. Alors il lui fallut peu de temps pour le diriger vers l'étage. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Le plaquer contre cette porte, lui faire comprendre à travers ses baisers et sa fougue à quel point il lui avait manqué et au combien leurs corps étaient faits pour s'entendre. Voilà comment ce duo plus qu'endiablé se retrouva dans cette chambre.
L'intensité de leurs baisers allait Crescendo. Toujours plus intense. Gabriella en oubliait presque de respirer. Se demandant qu'est-ce qui lui faisait le plus perdre la tête. L'alcool ou James Evans ? Elle se mordilla la lèvre lorsque ce dernier avoua devenir fou à ses côtés. La brune se laissa totalement aller, emporter par ce flux de sentiments qui la rendait totalement incontrôlable. La tempête débordait d'amour et de désir. Gabriella ne se fit pas prier pour le mettre torse nue. Chose dont elle rêvait secrètement depuis ce fameux soir. La brune sentit son corps frémir sous le passage des mains expertes du mannequin. La pression qu'il exerça sur ses fesses lui fit pousser un gémissement de plaisir irrépressible. Il n'y avait que le français pour lui faire cet effet. Ses lèvres s'emparèrent de son cou jusqu'à son oreille afin de lui susurrer quelques paroles. « J'attendais ce moment depuis longtemps, bien trop longtemps. » L'Anglaise profitait de ce moment comme si c'était le dernier. Il y avait une osmose inexplicable entre eux. Mais un bruit vint briser la magie de ce moment tant attendu. Voilà que le placard gémissait aussi. Chose totalement improbable. James avait entendu la même chose. Ce qui ne rassura pas vraiment la jeune femme qui aurait préféré que cela sorte de son imagination. Le meuble se mit à bouger tout seul, chose encoure moins rassurante voire carrément flippante. Gabriella se redressa instinctivement, bien trop apeurée par cet étrange phénomène. Le bras de James vint entourer la brune complètement affolée. La peur se lisait sur son visage. Il lui promit que rien n'allait lui arriver, tout en déposant un baiser sur son front. Gaby aurait aimé lui faire une petite remarque sur ses soit disant promesses, mais l'heure n'était pas aux querelles. Elle acquiesça et resta complètement immobile, sur le qui-vive. Son cœur battait la chamade. Le français eut le courage d'ouvrir les portes du placard où se trouvait… Quoi ? Gabriella resta bouche bée.
Oh merde…
Son voisin, son meilleur ami et un mec (en slip !?) étaient ligotés. Elle s'attendait à tout sauf ça. A cet instant, la brune aurait préféré découvrir un fantôme, un cadavre, la reine d'Angleterre, voire le cadavre de la reine d'Angleterre dans ce fichu placard. Mais pas eux ! Mais non, il fallait que ce soit Aaron, ce voisin dont elle appréciait particulièrement la compagnie, de Marius qui allait certainement l'étrangler en la voyant avec James et de… Bah elle savait pas qui, mais elle remarqua qu'il était encore sous le choc. Un fuck la police sur ses fesses. Quel classe... L'Anglaise ne savait plus où se mettre. Cherchant le trou d'une petite sourie pour aller se cacher. Mais le regard que lui lança en premier son voisin la déstabilisa complètement. Sauterie… Il n'y avait qu'Aaron pour arriver à vous formulez une phrase à la fois si drôle et déstabilisante. Elle lui fit un sourire, rouge écarlate. Pourquoi faut-il que je me retrouve TOUJOURS dans des situations à la con ? Gaby voulait se cogner la tête contre un mur en imaginant ce qu'ils avaient entendu. Elle avait envie de frapper James aussi, juste parce que ça l'énervait qu'ils ne puissent jamais rien faire comme tout le monde. Fallait toujours que ça soit trop intense, que ça dérape, mais c'est quoi cette relation improbable ? «Gaby ? » Oh boy… Son Darcy. Elle lui fit un sourire crispée par ce sentiment de honte qu'elle ressentait, le saluant d'un signe de main. Pas taper... « Mius c'est pas ce que tu… Laisse tomber ! » Si c'était totalement, complètement invraisemblablement ce qu'il pensait. Il va me zigouiller… Me tuer et me donner comme plat de résistance à je ne sais quel psychopathe de cette soirée. Peut-être le mec en slip ou le mec en citrouille qui dansait la makaréna tout à l'heure dans le salon ? L'attention de la jeune femme se posa sur l'inconnu qui était en train de demander qu'ils étaient. « Mais toi qui es tu ? Monsieur je fuck la police en slip ! »
Gabriella Rhodes... L'anglaise ne quittait pas les pensées de James, et ce depuis que leurs regards s'étaient à nouveau croisés. Petit à petit, elle faisait tomber les barrières qu'il avait pris tant soin d'ériger. Elles étaient gigantesques, et nombreuses. Mais elles n'étaient rien face à Gabriella. Comme un château de carte face au vent, comme du sable au contact d'une vague, comme une maison s'effondrant au passage de la tornade. Et cela faisait peur au français, plus que peur même. Le genre de peur qui vous paralyse, avant de vous forcer à faire des choses complètement insensées. Comme par exemple fuir, ou faire fuir. Et c'était précisément ce qu'avait fait le français : il avait contraint la libraire à fuir loin de lui. Aujourd'hui, il regrettait amèrement ses actions. Mais cette soirée d'Halloween lui permettait de vérifier si elles étaient pardonnables ou si tout était perdu. Les lèvres de Gaby contre les siennes lui offraient un réconfort longtemps attendu, mais surtout un motif d'espoir. Peut-être qu'il y avait encore une chance pour lui, pour eux. Alors il se laissa aller, complètement. Lui donnant tous les baisers qu'il rêvait de lui offrir, la caressant sans se retenir. Très vite, ils se retrouvèrent dans une chambre, isolés de tous. C'était la brune qui avait pris l'initiative de les emmener ici, mais cela ne déplaisait pas au jeune trentenaire ; bien au contraire. Avec une excitation qu'il contenait difficilement, il embrassait et touchait Gabriella autant que possible. Son cou, sa mâchoire, ses hanches, sa nuque... Ses mains se baladaient sur elle comme un musicien découvrant son instrument. Par la ferveur de ses baisers, il essayait de lui faire comprendre un tas de choses. A quel point il regrettait tout ce qui s'était passé, à quel point elle lui manquait, à quel point il avait besoin d'elle. L'anglaise n'était pas insensible à ce qu'il lui faisait, d'après le gémissement incontrôlé qui venait de franchir ses lèvres. Mais elle n'était pas en reste non plus, se chargeant de le mettre torse nu, de l'embrasser comme elle ne l'avait jamais fait auparavant. Le français avait du mal à rester maître de lui-même sous tous les sentiments qu'elle parvenait à transmettre dans ses baisers. Et pas que, elle finissait même par le lui avouer à haute voix. « J'attendais ce moment depuis longtemps, bien trop longtemps. » Cette révélation produisit une prise de conscience chez James. Lui aussi, attendait ce moment depuis tellement longtemps... mais était-ce le moment opportun ? Ils étaient alcoolisés, Gabriella ne lui avait toujours pas pardonné, ils étaient dans un endroit inconnu... Peu à peu, il avait l'étrange sensation d'abuser d'elle, de la tromper. De se servir de son état pour obtenir ce qu'il voulait. Mais était-ce réellement ce dont il souhaitait ? Non, ça ne devait pas se passer ainsi. Mais l'alcool et l'excitation du moment ne l'aidaient pas à se contenir, ni à repousser la brune. Non, il ne parvenait pas à réfréner ses envies, à faire taire son désir. Son corps brûlait d'excitation contre celui de Gaby, il ne voulait pas se défaire de son étreinte, pas quitter le contact de sa peau. Mais encore une fois, ce fut le destin qui s'en mêla.
Un bruit, venant de la chambre. D'un placard plus précisément, situé dans un coin de la pièce. Jamais l'avait entendu mais avait souhaité l'ignoré, pas Gaby. Il s'empêcha de soupirer, il avait espéré que ce ne soit que le fruit de son imagination. Mais non, c'était bien réel et cela inquiétait la jeune femme. Il tenta de la rassurer, avant de se lever pour se diriger vers le meuble. Des bruits, encore. Comme des coups, et parfois même des... plaintes ? Il n'hésita pas vraiment, ne voulant pas paraître pour un lâche devant la femme de ses envies. Il ouvrit la porte du placard et tomba nez à nez avec trois individus : Aaron, Marius et un parfait inconnu. Celui-ci était d'ailleurs le seul presque nu, seulement vêtu d'un slip. Le natif de Paris se chargea de défaire les liens, commençant par Aaron qui lui avait été d'une grande aide il y a quelques temps. Puis Marius, avait qui les rapports étaient beaucoup moins amicaux. Et enfin l'inconnu, qui ne lui inspirait pas vraiment confiance. « La partie de cache-cache a mal tourné. » Aaron, dans toute sa splendeur. Ce qui fit sourire James, c'était une façon de comprendre que ça n'allait pas si mal que ça pour lui. « Désolé de reporter votre… petite sauterie. » Le français se rappela alors qu'il était torse nu, et que Gabriella se trouvait non loin d'eux. Il se contenta de sourire et de se passer la main dans les cheveux, gêné. Marius était le premier à nous dire qu'il ne savait pas comment il était arrivé là, mais lui aussi semblait aller bien. Il réagit aussi à la remarque d'Aaron, fixant tour à tour Gaby et James. Ce qui eut le don de faire rougir et bafouiller l'anglaise. Le parisien en profita pour s'éloigner quelques secondes, le temps de récupérer son haut au pied du lit et l'enfiler afin de ne pas rester torse nu plus longtemps. La situation était déjà assez inconfortable comme ça. C'est une grande fille, tu sais ? lança-t-il en direction de Marius alors qu'il revenait à la hauteur de tout le monde. Son ton n'était pas particulièrement mauvais, mais il commençait à trouver de plus en plus désagréable cette manie qu'avait l'ami de Gabriella de tout le temps les juger, faire la moral. Mais l'heure n'était pas à la bagarre, il y avait plus important à faire. Notamment découvrir l'identité de la dernière personne dans la pièce. Personne ne semblait le connaître, et ce devait être tout aussi inquiétant pour lui que pour nous. James se méfiait particulièrement de lui, pensant qu'il pouvait être à l'origine de cette blague de mauvais goût. Comme dans Saw, où le tueur se trouvait dans la pièce depuis le début. Gaby était la première à montrer les griffes, ne se privant pas de remarquer ce qui était écrit sur le sous-vêtement du jeune homme. James. lui répondit-il afin de l'encourager à dévoiler son identité. Pourquoi êtes-vous le seul dans cette tenue ? C'est votre déguisement ? Pourquoi pas, après tout.
Je me retrouvais dans le flou le plus complet et les personnes de mon entourage savaient très bien que je détestais ça... Et là au niveau de l'inconnu on pouvait clairement dire que j'en avais pour mon argent ! J'étais je ne sais où avec je ne sais qui dans des sous-vêtements qui ne m'appartenaient pas... On pouvait pas faire pire ! Pour moi c'était très clairement la quatrième dimension... Les personnes qui étaient autour de moi semblaient me connaître, j'étais clairement en position d'infériorité pour le coup. Étais-je tombé sur une famille de dingue qui souhaitait profiter de mon corps avant de me tuer ? Nous étions dans une chambre après tout... Tout un tas de scénario étaient en train de naître au sein de mon esprit. ''Non ce n'est pas mon déguisement, ce boxer n'est même pas à moi... D'autant plus que je suis flic alors la blague est de très mauvais goût !'' C'était peut-être une vengeance personnel d'une personne qui avait eu à affaire à moi... Faut dire qu'a force j'oubliais certains visages...
Bref pas le temps pour tergiverser des heures et des heures, je n'avais pas très envie de rester ici... ''Je m'appelle Brett et vous alors ?'' Autant se présenter même si ça ne changerai surement pas grand chose ! Mais au moins ces inconnus pourraient mettre un nom sur mon visage.. Contrairement à moi ! ''Bon on va pas rester là à se regarder ! Faut qu'on bouge...''
Quel étrange hasard, s'il en est. Autant de personnes qui se connaissent dans la même pièce. Et un intrus. Mais avant que l'attention se tourne vers l'homme en sous-vêtements, ce sont nos amants pris sur le fait qui surprennent l'assemblée. C'est que leur côté de la fête semblait bien engagé. Ce qui ne semble pas plaire à mon collègue, et ami de la jeune femme -seule représentante du gente féminine dans cette pièce. « Marius, pas sûr que ce soit le bon moment pour une crise de jalousie. » dis-je en posant une main sur son épaule, balayant rapidement la remarque désagréable de James. Il y a de l'électricité de l'air, entre ces deux là, mais l'heure n'est pas à la bataille. Mieux vaut calmer le jeu, et tenter de comprendre qui nous a mis dans la même pièce, et pourquoi. Gaby se demande enfin qui est l'inconnu qui se trouvait avec nous dans l'armoire. Et qui a visiblement perdu son déguisement en cours de route. « Personnellement, j'aime beaucoup cette petite touche d'ironie, malgré le manque de subtilité. » dis-je en haussant les épaule, toujours emprunt de cynisme, et laissant un rictus amusé animer le coin de ma bouche. J'ôte l'épais manteau en cuir qui me couvre -et dans lequel je meurs de chaud, voilà une aubaine- et le propose au policier. Pardon, au ''flic''. « Tenez, couvrez-vous. Vous ne voudriez pas vous montrer trop alléchant pour le cannibale qui a été interrompu en plein souper. » dis-je en posant le manteau sur ses épaules et en adressant un regard complice à James. Il faut lui accorder qu'il y a pire à déguster que la plantureuse Gabriella. « C'est étrange que vous soyez le seul a avoir été déshabillé. » je fais remarquer avant de me présenter. « Aaron. Je suis professeur. Marius, que voici, l'est aussi. La délicieuse Gabriella est ma voisine de palier. » D'ailleurs, je n'aurais jamais imaginé que la belle qui rongeait si bien James était la belle brune de l'autre côté du couloir de mon immeuble. « Qui se serait douté que le monde était si petit, hein ? » Ledit Brett, l'air impatienté par cette mésaventure, souhaite sortir d'ici le plus vite possible. Et dire qu'on s'amusait si bien. Mais je ne bouge pas d'un pouce, et croise les bras en l'observant fixement. « Nous nous connaissons tous ici, sauf vous. Ce qui mène à deux hypothèses. Soit vous êtes la personne visée par cette mauvaise blague, soit vous êtes celui qui nous jeté dans cette armoire, et dans pareil accoutrement pour vous couvrir. » Tiré par les cheveux, je l'accorde. Mais toute cette situation l'est. Pourquoi nous assommer et nous bâillonner pour nous laisser pourrir dans une armoire en attendant qu'un couple vienne faire son affaire dans la chambre ? Cela n'a aucun sens. « Vous comprenez le raisonnement, j'imagine, le ''flic''. »
Marius ne semblait pas vraiment revenir et il venait plus ou moins de comprendre ce qui venait de se passer qu’il avait émis une remarque. Que Gaby réagit aussi vite en disant que ce n’était pas ce qu’il croyait, c’était à ce moment là que Marius allait répondre que James intervint de suite en ajoutant sa phrase. Doucement, le professeur lança un regard vers ce mannequin avec un air de lui demander sérieusement ? Avant qu’Aaron n’intervienne. « Mais… » fit-il, se retenant e dire laissez moi parler. Mais ce n’était plus du tout logique puisqu’il parlait. « Je ne fais pas une crise de jalousie. » laissa-t-il échapper complètement désemparé avant de lever les yeux au ciel un moment donné face au contact de son collègue. « … Oh vous savez quoi, je vais laisser tomber. » soupira-t-il, montrant discrètement d’un signe du menton le jeune homme en boxer, avec le drôle d’intitulé fuck la police. Il ne le connaissait pas et les autres ne semblaient pas le connaître non plus. Ce fut Gaby qui demanda directement à ce jeune homme qui il était, avec une phrase qui manqua d’arracher un sourire au professeur. Puis il resta silencieux le temps de l’échange, fronçant petit à petit les sourcils comme s’il avait du mal à assimiler ce qui venait d’être dit. Le boxer n’était même pas à ce flic ? Pourquoi il était le seul d’ailleurs à avoir été victime d’une certaine blague de mauvais goût ? Aaron avait donné son manteau afin qu’il ne prenne pas froid non plus mais aussi pour éviter de rester ainsi aussi. Encore, James le connaissait, mais Gabriella le connaissait aussi et ils étaient voisins de palier ? Tout les quatre se connaissaient et c’était étrange tout de même. « Hmhm oui… Je pense pas vraiment au hasard. » avoua Marius qui parla pour la première fois, il y avait bien quelque chose qui clochait et il ne pouvait pas oublier qu’il avait été coincé dans une armoire baillionné et ligoté. Encore, s’ils avaient été réunis tout les quatre avec un inconnu, ce n’était pas pour rien. Puis il entendit son collègue intervenir et balancer deux options possibles alors que le flic voulait partir au plus vite, comme s’il voulait s’enfuir. « Aaron, tu oublies un détail. À moins qu’il ne soit aidé d’un complice, comment .. Bret aurait pu se ligoter tout seul ? » fit-il en hésitant sur son prénom. « D’un autre côté, ce qui est curieux, c’est que je ne me souviens pas comment on a atterri dans une armoire. J’ai un trou de mémoire et ça m’énerve de ne pas pouvoir mettre la main dessus, sur ce qui s’est réellement passé. » Le mieux oui, c’était de sortir de là, de comprendre la situation et de s’énerver auprès celui qui a fait cette mauvaise blague.