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 (cover #3) late night talking

Arthur Coventry
Arthur Coventry
la chute d'Icare
la chute d'Icare
  En ligne
(cover #3) late night talking 9OYzxwd Présent
ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991)
STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal.
MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde...
LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall
(cover #3) late night talking SA0OH
POSTS : 7481 POINTS : 860

TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences.
CODE COULEUR : #0C4857
RPs EN COURS : (06) greta #16swann #17ken #3ottielenamurphy

(ua) bailinny

(cover #3) late night talking 2p8cd89p
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16

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swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.

― communications ―
gretaswannkendall

RPs TERMINÉS : (2024) swann #15greta #13greta #14ken #1swann #16greta #15kendall #2

(2023) greta #2swann #6swann #7eleonora #3mariage rowanngreta #3swann #9greta #4 (2016)greta #5greta #6swann #10corey #3noorswann #13 (2011)greta #9malone #2london gangemery #1mickey

(2022) rory #1murphy #2seth #3swann #3vivianeleonora #2swann #4greta #1 (2013)channingmalone #1swann #5

(2021) swann #1murphy #1maisiemartinseth #2eleonora #1swann #2

(flashback) greta #12 (fb)

(ua gothique) greta #7swann #11ruben #1itziar ruben #3corey #1greta #8ezra #1ezra #2ruben #4cesar #1tessaruben #6corey #2cesarruben #7itziar #2abecorey #4

(ua space) swann #12ruben #2ruben #5 (ua space)

(ua zombie) ruben #8tessaruben #9
AVATAR : françois civil.
CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub)
DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal)
PSEUDO : paindep.
INSCRIT LE : 19/11/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t40844-icarus-fall-arthur
https://www.30yearsstillyoung.com/t41639-arthur-icarus-fall
https://www.30yearsstillyoung.com/t42270-arthur-coventry

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Message(#)(cover #3) late night talking EmptySam 20 Mai 2023 - 11:31

Quelques-uns de ses stagiaires étaient venus faire les cent pas devant son bureau, enchaînant les allers-retours dans un brouhaha de chuchotements s’éloignant d’une quelconque discrétion. Autant dire que tout l’étage était désormais au courant que quelque chose se tramait sans avoir la moindre idée de ce qui pouvait bien avoir germé dans l’esprit de cette bande de jeunes qui en venait à terminer leur séjour au sein de la compagnie. Chacun commençait à se demander où leur marche les amenait et dans quel bureau ils allaient décider de verser leur adieu larmoyant ou la blague dont seuls des stagiaires de troisième année d’études pouvaient avoir l’idée après quelques expériences en bizutage. Arthur cherchait tant bien que mal de se concentrer sur l’email qu’il se devait de rédiger avant de quitter les lieux, ignorant la catastrophe qui paraissait prendre naissance dans son couloir, mais les bruits de pas feutrés et le chuchotement constant eurent raison de sa patience. « Soit vous avez quelque chose à me demander, soit je vous conseille de disparaître de mon champ de vision et vite ! » Il aimait à se jouer le patron intransigeant, celui qui se faisait craindre par ses pairs. Arthur n’avait pas eu le meilleur des départs entre ces murs, mais depuis qu’il avait pris la folle idée de remettre sa vie sur les rails, il se surprenait à apprécier la rigueur exigée par le poste que lui avait légué son père. Il lui manquait certains concepts, mais Arthur était né dans ce milieu et retrouvé sa peau de caméléon fut un jeu d’enfant qui le tint éloigné de son addiction. « C’était notre dernière journée aujourd’hui et… » Le premier s’était lancé sans jamais finir sa phrase, comme figée sur place par le regard impassible que leur jetait Arthur. Son camarade reprit la relève avec une assurance bien plus affirmée. « On a organisé une petite soirée au Sixteen Antlers pour dire au revoir, vous vous joignez à nous Monsieur C. ? » Conscient de leur âge rapproché, le stagiaire s’était souvent tenté à une certaine familiarité qu’Arthur avait trop souvent laissé glisser. « Ça ne méritait pas un tel raffut dans les couloirs vous savez, un email aurait suffi. » Ils avaient ri, Arthur n’avait en rien confirmé sa présence, mais cela avait semblé suffisant pour les deux jeunes hommes. Plus tard, le plus courageux des deux se sera tenté à une discussion bien plus approfondie, grattant les derniers espoirs de pouvoir décrocher une place au sein de l’entreprise. Arthur avait été intransigeant avec lui sur les dernières semaines, cela avait bien fini par payer. « A ce soir alors Monsieur Coventry. » Il avait insisté une seconde fois et Arthur s’était contenté de rire face à son entêtement.

Il n’était pas censé être là, piéger entre ses propres employés, une dizaine de verres d’alcool s’alignant sur la table face à lui. Toute logique l’aurait poussé à refuser l’invitation sous le prétexte de ne pas vouloir se mélanger à ceux qui devaient répondre à ses ordres, mais la curiosité l’avait emportée. Arthur voulait voir comment les uns et les autres agissaient en dehors du contexte professionnel. Chacun s’essayait à quelques paroles, sans jamais se débarrasser d’une certaine politesse coincée. La plupart paraissaient déçus d’avoir à se coltiner le patron en dehors des oreilles et chacun lui jetait un coup d’œil dès qu’une blague graveleuse se frayait un chemin jusqu’à leur table. Arthur se délectait de la situation en cherchant à se satisfaire de son verre de vin malgré la petite voix de l’addiction qui se frayait un chemin au milieu de ses pensées. A ses côtés, Maya semblait le surveiller comme le lait sur le feu, venant titiller une vieille colère qui lui donnait envie de fuir. Arthur se fit violence, participant à certaines conversations auprès de ceux qui avaient au moins le mérite d’avoir attrapé son intérêt. Trop rapidement son verre fut vite, Arthur était toujours coincé à cette table, emprisonner dans des conversations dont il ne trouvait aucun intérêt. Il n’était pas censé se trouver là, il avait promis à Swann de ne pas jouer avec le feu. Auparavant, il était capable de se contenter d’un verre, aujourd’hui il aurait terriblement besoin que cela s’accompagne d’un peu de cocaïne, son cerveau en avait fait l’addition, il ne connaissait plus que ce mélange rassurant. Sa jambe commençait à s’agiter sous la table, de manière effrénée, attirant l’attention des personnes les plus proches. « Ça va ? » Maya s’inquiétait, jouant avec ses nerfs, il n’avait pas besoin d’une baby-sitter, il pouvait se débrouiller seul, il allait gérer. « Je reviens. »

Une cigarette plus tard, l’envie de consommer était toujours quelque part dans l’ombre, à peine anesthésier par la nicotine. Il allait se tirer sans prévenir personne, ce n’est pas comme s’il avait des comptes à leur rendre. Il lui suffisait de traverser le bar dans l’autre sens, rien de plus. Arthur lâcha un soupir en glissant ses mains dans les poches de son costume, Maya avait ses clés de voiture et son portefeuille. Il avait glissé ses affaires dans le sac à main de la jeune femme en arrivant sur place, ne voulant les laisser traîner sur la table. Il allait devoir se traîner jusqu’à la table sans attirer l’attention des stagiaires qui semblait déterminer à vouloir trinquer avec lui. Pour cela, il devait repasser devant le bar et si son intention première flirtait avec l’idée de fuir cet endroit, il eut une seconde d’hésitation à l’idée de se commander un whisky. Alors que son esprit semblait tergiverser entre les options, son regard vint se poser sur une silhouette installée à l’opposé du bar, seule sur son tabouret, le regard perdu dans un verre presque vide. Cette femme ne paraissait pas simplement être seule, mais on aurait plutôt dit qu’elle cherchait à se rendre invisible et Arthur eu besoin d’une seconde supplémentaire pour comprendre pourquoi son regard s’était arrêté sur elle en particulier. Elle était belle certes, mais c’était bien plus que cela. Arthur venait de reconnaître Eleonora. Sa raison lui hurlait de ne pas prendre ce chemin, de retourner auprès de Maya, de trouver une excuse bidon et de filer de là, mais Arthur n’écoutait-il jamais sa propre raison ? Il avait fait quelques pas supplémentaires, mais son regard se trouva à nouveau attirer par la jeune femme qui lui paraissait être… Il lui fallut un temps avant de comprendre que Nora ne paraissait pas sage, mais plutôt qu’elle cherchait tellement à se faire oublier qu’il avait eu du mal à la reconnaître. Habituellement, elle était la plus bruyante du lot, celle qui ne pouvait passer inaperçue, mais c’est comme si toute sa joie de vivre avait disparu et Arthur n’arrivait pas à comprendre.

Il entendit un des stagiaires l’appeler, mais sans se soucier de ses collègues, Arthur se dirigea vers celle qu’il avait tant connue fut un temps. Il n’était même pas sûr de comment l’aborder, elle ne l’avait pas encore entendu s’approcher et d’aussi loin qu’il pouvait se souvenir Arthur ne l’avait jamais vu ainsi. « Nora… » Il savait parfaitement que ce n’était pas son véritable prénom, mais l’habitude restait, elle était Nora à ses yeux. L’attitude qu’il pouvait entretenir avec elle paraissait lointaine tant elle lui paraissait fragile. Avec n’importe qui d’autre Arthur se serait délecté d’une remarque acerbe, mais elle restait Nora, et Arthur avait su conserver une certaine affection envers elle qui l’amenait presque à s’inquiéter. « Qu’est-ce que tu fais là toute seule ? » Est-ce qu’elle avait des problèmes ? Il n’avait pas eu de ses nouvelles depuis qu’elle avait disparu de son appartement un beau matin, sans prévenir.

@eleonora parker :l: :l:




take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel




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Message(#)(cover #3) late night talking EmptySam 10 Juin 2023 - 12:51

C’est devenu une habitude. Une très mauvaise habitude. Tu n’as jamais été le genre à t’empêcher de sortir, tu as toujours apprécié te retrouver dans les bars, mais ce que tu fais en ce moment, ce n’est pas sortir pour le plaisir. Tu n’es pas là pour célébrer quoique ce soit, tu n’espères même pas trouver quelqu’un avec qui passer la nuit. Tu ne cherches pas la compagnie, au contraire. Ce soir, tu l’évites. Tu veux être toute seule avec le verre de whisky qui se vide trop vite et tes pensées qui tournent en rond. Tu veux boire jusqu’à oublier. Tu veux te noyer dans l’alcool jusqu’à ce que tu ne ressentes plus rien. Tu cherches le vide, tu veux te perdre dans le déni, celui que tu n’arrives pas à trouver tant tout semble te rappeler que rien ne va, que rien n’ira plus jamais. Mais plus tu enchaînes les verres, plus tu te sens mal, l’alcool n’ayant définitivement pas l’effet espéré. Tu t’en veux de ne pas avoir quelque chose de plus fort sur toi. Pas de poudre blanche, pas de cachet, pas même un joint à aller fumer derrière le bar. C’est probablement parce que tu ne t’es pas pointée au boulot depuis plusieurs jours et que tes maigres économies sont disparues dans les dizaines de verres que tu bois chaque soir dans les différents bars tous plus minables les uns des autres de cette ville maudite. Ville de malheur que tu rêves de quitter, mais de laquelle tu es prisonnière. Trop paumée pour aller ailleurs, trop effrayée pour quitter les quelques personnes que tu as encore, ceux que tu repousses mais dont tu as pourtant terriblement besoin en ce moment.

Ton cousin t’en voudrait de te voir dans un tel état, complètement intoxiquée pour une énième soirée de suite. Ça fait plusieurs jours qu’il t’envoie des messages et qu’il te texte à répétitions pour tenter d’avoir de tes nouvelles, mais tu ne lui offres qu’un silence qui se fait sans doute un peu plus inquiétant avec le temps qui passe. Tu ne lui feras pas le plaisir d’être obligé de venir te chercher au poste de police, pas ce soir du moins. L’alcool ne t’atteint pas de cette manière la, et l’absence d’autre substance te rend étrangement docile, malgré ce que le dernier homme qui a essayé de t’aborder peut bien croire. C’est doux quand on te connaît, de ne recevoir que des grognements comme avertissement à un flirt qui est non-désiré. Tu aurais cru que cet avertissement aurait suffit à quiconque voulant t’approcher dans ce bar, mais c’était sans compter ce nouveau groupe de gens qui s’était installé plus loin dans la pièce et dont tu n’avais pas pris connaissance, le nez bien trop loin dans ton verre. Tu es prête à sortir les crocs lorsque tu sens une nouvelle présence derrière toi, mais tu te retiens lorsque tu reconnais la voix qui s’élève au travers de la musique trop forte du bar, mais surtout lorsque tu reconnais le surnom qu’un seul homme utilise réellement. « Nora… » Tu ne t’attendais pas à croiser quelqu’un que tu connais ici ce soir, encore moins à croiser Arthur Coventry que tu n’avais pas vu depuis plusieurs semaines, et que tu n’avais certainement pas envie de voir ce soir. Pas dans cet état là, pas alors que tu avais clairement l’alcool triste et une allure qui laisse clairement à désirer. C’est quand la dernière fois que tu as pris le temps de regarder dans un miroir? Trop longtemps, sans aucun doute. Tu fais sans doute pitié à voir, les cheveux sales dans un chignon qui n’en a que le nom, les cernes creuses sur ton visage encore plus pâle qu’à l’ordinaire et tu te sens tellement molle que c’est à peine si tu tentes de te soutenir contre le comptoir du bar. « Qu’est-ce que tu fais là toute seule? » « Je dépense ma fortune, j’ai l’air de faire quoi? » que tu rétorques avec sarcasme sans même te retourner pour le regarder. Tu ne veux pas le voir, mais surtout tu ne veux pas qu’il te voit plus qu’il ne peut déjà le faire. Arthur te connaît assez - trop - pour voir au-delà de ton air d’indifférence qui a ce stade vraiment ne tromperait pas grand monde. « Y’a rien à voir Arthur, retourne auprès de tes petits amis. » Mais il ne t’écoute pas l’enfoiré, au contraire. Il décide de s’asseoir sur le siège à tes côtés et tu n’as pas besoin de relever les yeux vers lui pour sentir son regard insistant sur toi. « Si t’es pour rester le moins que tu puisses faire c’est au moins m’offrir un autre verre. Je suis à sec. » À sec et pathétique, mais franchement, what’s new?
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Arthur Coventry
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Message(#)(cover #3) late night talking EmptyLun 3 Juil 2023 - 22:14

Dans d’autres circonstances il ne l’aurait probablement même pas aperçue, elle qui avait pour habitude de se noyer dans la foule, laissant son corps voguer au rythme de la musique, incapable de rester assis sur un siège plus de quelques minutes. C’est comme si la lumière, pourtant tamisée, de la pièce était venue se concentrer sur ses frêles épaules. Nora paraissait vouloir se faire engloutir par le fond de son verre et Arthur eut bien du mal à reconnaître son ancien acolyte. Il ne pouvait se vanter d’avoir connu toutes les personnalités de la blonde, mais jamais il n’avait vu une telle tristesse se dégager d’elle. Le monde se voulait imperturbable, les corps dansant juste derrière son dos, l’animation du lieu continuant à engloutir toute l’attention, mais le regard d’Arthur restait planté sur cette silhouette si familière. Elle ne cherchait l’attention de personne et c’est ce qui le poussa à parcourir les quelques pas les séparant. Arthur se voulait presque inquiet, le sentiment se trouvant décupler dès l’instant où elle leva son regard céruléen sur le sien. Arthur eut l’impression d’oublier Nora pour découvrir Eleonora à sa place, celle qu’il n’avait jamais réellement fréquentée et qui se cachait derrière un sarcasme et quelques grammes de cocaïne. Leur regard se croisa une seconde seulement avant que le corps de la jeune femme se raidisse un peu plus sur place, les yeux résolument porter sur le mur d’en face. « Je dépense ma fortune, j’ai l’air de faire quoi? » Fortune qu’elle ne possède pas, il était bien au courant de cela désormais. Le sarcasme venait, une fois encore, couvrir son attitude étrange. Il avait connu la Nora bourrée, celle qui chantait à tue-tête pour un rien, celle qui riait trop fort après quelques lignes de trop. Il connaissait la Nora sexy, celle qui se faisait une place dans son lit. Arthur avait fréquenté la Nora actrice qui se prenait pour une autre, puis avait découvert celle qui perdait tout et qui se réfugiait parfois dans son antre, mais jamais il n’avait entendu cette tristesse dans le fond de sa voix. Une émotion qu’il était bien incapable de gérer chez lui et encore moins chez les autres. « Y'a rien à voir Arthur, retourne auprès de tes petits amis. » Bien sûr qu’elle voulait qu’il s’en aille, quand lui n’avait qu’une envie : connaître la fille derrière la carapace. « Toujours un plaisir de te retrouver. » Il pouvait également faire usage du sarcasme, elle n’était pas la seule experte dans ce domaine.

Tout dans l’attitude de Nora vouait à éloigner les autres, mais Arthur avait fermement l’intention de s’installer à ses côtés. Elle se mit à soupirer et Arthur en profita pour rapprocher son tabouret de bar. « Si t’es pour rester le moins que tu puisses faire c’est au moins m’offrir un autre verre. Je suis à sec. » Il ne devrait pas. Elle semblait avoir assez enquillé pour le reste de la soirée, mais Arthur préférait la savoir à ses côtés plutôt qu’à trainer la rue alors il fit signe au barman demandant la même chose pour la demoiselle et un verre d’eau pour lui-même. Il pouvait sentir le regard de Nora lui brûler la nuque après cette commande. « Tu me dis pourquoi tu parais à deux doigts de chialer toutes les larmes de ton corps, je t’explique pourquoi je tourne à l’eau. » C’était donnant-donnant et l’un comme l’autre savaient que le jeu du silence pouvait s’étirer indéfiniment.

S’en était rendu à ce point que seuls les glaçons dans le verre de Nora paraissaient vouloir entamer la conversation. Elle s’entêtait à fixer son regard partout sauf sur Arthur et à chaque seconde additionner il perdait un peu de sa patience. « T’as perdu ton job ? » Elle ne serait pas dans cet état pour si peu, il en avait parfaitement conscience. « Ton pote t’a encore mise à la rue ? » Il était prêt à lui proposer une fois encore de partager son toit, enfin son lit. Arthur était accueillant à ce point. Il n’avait obtenu aucune réaction de la part de la blonde, pas même un sursaut et il pensait pouvoir toucher bien plus juste avec ce qui s’en suivait. « Ta française à réaliser que tu lui mentais ? » Nora ment, tout le temps, avec un flegme qui pourrait en effrayer plus d’un. Arthur était tombé dans le piège, il y a bien longtemps et maintenant c’était quelqu’un d’autre qui avait le premier rôle dans le film de la Parker. Tout ce qu’il voulait, c’était d’obtenir la moindre réaction de la part de la blonde, quitte à la sortir de sa léthargie en la laissant pousser une gueulante. Arthur était bon à ce jeu, autant qu’elle sûrement.




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Message(#)(cover #3) late night talking EmptyMer 6 Sep 2023 - 6:42

« Toujours un plaisir de te retrouver. » C’est à peine si tu l’entends, le Coventry. Il ne t’a pas trouvé pendant une bonne soirée. Tu es d’une humeur massacrante et ce soir, l’alcool te rend maussade et tu n’as pas envie de discuter. Tu n’as rien de bon ni de beau à dire. Tout ton être n’est que noirceur et colère et si Arthur est habitué de voir le pire de toi, il n’a clairement jamais fait affaire avec cette version de Nora et tu aurais préféré que ça reste ainsi. Mais il ne bouge pas, Arthur. Tu aperçois sa silhouette dans ta vision périphérique et tu as beau offrir toute ta concentration au fond de ton verre, ça ne le fait pas plus disparaître. Tu es presque surprise lorsqu’il décide de répondre à ta requête, commandant un nouveau verre de whiskey pour toi alors qu’il se contente d’un verre d’eau pour lui-même. Tu n’as pas le temps de lui poser la question concernant le verre d’eau que déjà, il utilise ta curiosité contre toi. « Tu me dis pourquoi tu parais à deux doigts de chialer toutes les larmes de ton corps, je t’explique pourquoi je tourne à l’eau. » Il y a un grognement qui t’échappe, détestant le fait qu’il puisse comprendre si facilement ce que tu cherches à chercher aux yeux de tous. « J’ai l’air d’une nana qui passe son temps à chialer peut-être? » Non, mais ce serait mentir que de dire que là, tout de suite, si ce n’était pas de ta fierté qui te force à vouloir mordre Arthur pour te déranger, tu aurais bien envie oui, de te mettre en boule et pleurer toutes les larmes de ton corps. Pas que tu n’oserais un jour l’admettre au Coventry, toutefois. « T’as perdu ton job? » Tu hausses les épaules, indifférente. « Je sais pas, sûrement. J’ai pas mis les pieds au vignoble depuis des jours. » Tu serais vraiment surprise d’avoir toujours un boulot là-bas, d’ailleurs, mais c’est loin d’être le principal de tes soucis. « Ton pote t’a encore mise à la rue? » Tu fronces les sourcils. Il faut vraiment que tu arrêtes de te confier à Arthur quand tu finis entre ses draps, ça lui donne beaucoup trop d’amunitions contre toi dans des moments comme celui-ci. « Ta française à réaliser que tu lui mentais? » « Arrête de faire comme si tu me connaissais si bien Arthur. Tu sais rien de moi. » Et oui, peut-être bien que ça prouve exactement ce qu’il est en train d’avancer, comme quoi tu mens tout le temps et que ça finit par se retourner contre toi, mais ce n’est pas le cas. Ce n’est pas ça qui te pousse à boire ce soir, et tous les soirs avant ça et non, tu n’as pas envie de t’expliquer en long et en large avec Arthur Coventry. Mais tu sais que si tu ne lui dis rien, il ne te dira pas pourquoi il est soudainement à l’eau, lui qui est normalement le roi des excès. « Y’a des problèmes dans ma famille. Rien qui ne pourrait t’intéresser. » Ce n’est pas toute la vérité, mais ce n’est pas un mensonge non plus. C’est le mieux que tu puisses offrir au Coventry. Ce n’est pas un scandale, ce n’est pas une nouvelle juteuse qui choque et qui est partagée pour faire tendance. Non, c’est une putain de tragédie dans ta vie. Une perte qui s’annonce, le genre de perte à laquelle tu n’es pas prête à faire face, le genre qui te donne envie de repousser tout le monde avant que le monde en entier ne te lâche. « Depuis quand t’es à l’eau? Me dis pas que t’es sobre maintenant. Parce que t’es franchement plus marrant quand t’as de quoi dans le système. » Ce serait bien le revirement le plus surprenant de la soirée, et franchement, tu préfères encore te perdre dans ce genre de théories pendant quelques minutes que de continuer à t’apitoyer sur ton sort sous le regard curieux d’Arthur.
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Arthur Coventry
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LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall
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PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences.
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moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16

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swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.

― communications ―
gretaswannkendall

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(2023) greta #2swann #6swann #7eleonora #3mariage rowanngreta #3swann #9greta #4 (2016)greta #5greta #6swann #10corey #3noorswann #13 (2011)greta #9malone #2london gangemery #1mickey

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AVATAR : françois civil.
CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub)
DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal)
PSEUDO : paindep.
INSCRIT LE : 19/11/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t40844-icarus-fall-arthur
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Message(#)(cover #3) late night talking EmptySam 28 Oct 2023 - 10:57

C’est comme si elle craignait les rayons de lumière, assise sur son tabouret, tapis dans l’ombre, prête à disparaître dans un geste vif, invisible à l’œil nu. Nora ne paraît pas réellement être là, son teint blafard jurant avec sa tenue faite de noire. Elle grogne à en montrer les canines, lui laissant échapper un rire mal venu. « J’ai l’air d’une nana qui passe son temps à chialer peut-être? » Habituellement, non. Il ne l’aurait jamais classifié ainsi, pas quand elle s’était toujours démontrée comme une tête brûlée avec lui. Mais ce soir, dans ce bar, à se cacher derrière son verre, elle lui donnait l’impression de porter les misères de ce monde. « Ce soir t’en a tout l’air. » Même avec son air le plus froid, elle ne pouvait réellement dissimuler ses yeux rougis par un mélange de fatigue et de larmes. Il n’était pas du genre à faire attention aux détails, mais Arthur l’avait connu sous bien d’autres hospices. À ses yeux, Nora ne dégage qu’une énergie positive, associée à des souvenirs d’adolescents, pas un teint cireux la faisant s’approcher en tout point à l’un des membres de la famille Cullen. « Je sais pas, sûrement. J’ai pas mis les pieds au vignoble depuis des jours. » S’ils avaient leur folie en commun, il pensait qu’elle avait fini par quelque chose qui satisfaisait sa curiosité dans ce job d’appoint. Arthur en oublia ses collègues, son attention toute entière se dédiant à la blonde. Elle n’avait jamais été une grande bavarde, mais il possédait quelques avantages par rapport à une personne lambda. « Arrête de faire comme si tu me connaissais si bien Arthur. Tu sais rien de moi. » Il eut un rire amusé. « Si je prétends que si, tu vas me mordre jusqu’au sang ? » Oh, elle en serait capable. Il suffit de voir les regards assassins qu’elle ne cesse de jeter dans sa direction depuis qu’il a osé s’asseoir à ses côtés. Mais il la connaît encore assez pour savoir que sa curiosité finira par prendre le pas.

Elle se veut mystérieuse et intouchable Nora, mais elle reste celle qu’il avait connu, celle qui ose parfois ouvrir son cœur dans la sécurité de ses draps, quand le noir les englobe et que le temps semble avoir cessé de tourner à toute vitesse. « Y’a des problèmes dans ma famille. Rien qui ne pourrait t’intéresser. » Il se souvenait, pourtant, de tout ce qu’elle avait pu lui dire sur ses cousins, malgré les mensonges qu’elle avait distillés ci et là, notamment sur sa mère. Il était un connard parfois, mais il savait faire attention également. « Je suis désolé, Nora. » Il l’était, sincèrement. Il ne lui souhaitait aucun malheur, malgré toutes les horreurs qu’ils étaient capables de se balancer à la gueule. « Mais ça t’oblige à te transformer en une version dépressive de Dracula du coup ? » À vivre la nuit, se morfondant sur le sort qui est le sien, tout en s’arrosant d’alcool ? Et au milieu des blagues douteuses, il vint laisser sa main droite glisser sur sa cuisse. Pas dans un mouvement qui en appelait un autre, mais simplement pour serrer ses doigts juste là, lui rappeler sa présence. Un sourire et le moment étaient passés, comme s’il n’avait jamais existé. « Depuis quand t’es à l’eau? Me dis pas que t’es sobre maintenant. Parce que t’es franchement plus marrant quand t’as de quoi dans le système. » Elle allait être déçue la blonde. « Je suis plus ton favori du coup ? » Il tenta la moue de petit chien battu, mais c’était sûrement peine perdue. « Je touche plus à la poudre. Enfin, j’essaye. » Elle allait vite comprendre. « Et ce soir, je suis leur boss. » D’un signe de tête, il lui montra la table qu’il avait abandonnée pour se retrouver à côté d’elle. « Je dois montrer l’exemple tout ça, tu vois. » Oh elle allait se foutre de sa gueule, il le savait. « C’est plus aussi fun, mais ça n’empêche que je sais encore m’amuser Parker. » Il lui offrit un sourire qu’elle seule pouvait autant connaître. « Tu sais où crécher ce soir ? »




take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel




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Message(#)(cover #3) late night talking EmptyLun 30 Oct 2023 - 7:21

« Ce soir t’en a tout l’air. » Pour toute réponse, tu ne lui offres qu’un doigt d’honneur avant de replonger ton nez dans un verre qui est pratiquement vide. Pourtant, plus tu tentes d’ignorer la présence agaçante et indésirable d’Arthur, plus il semble décidé à s’imposer dans ta bulle. Il te pose des questions auxquelles tu n’as pas envie de répondre. Il insiste, ne comprend pas les nombreux messages que tu lui offres, autant par ton non-verbal que par tes réponses sèches et désintéressés. Pas même les couteaux dans tes yeux ne semblent faire valoir ton point à un Coventry qui a décidé d’être encore plus chieur qu’à l’habitude. « Si je prétends que si, tu vas me mordre jusqu’au sang? » « Pire encore. » que tu te contentes de répondre sur le même ton désintéressé. Le problème avec Arthur, c’est que tu n’as pas le luxe de prétendre qu’il ne te connaît pas, ou qu’il ne sait pas voir derrière ta façade. Il a toujours su comment s’y prendre, même quand tu te prenais pour une autre, en t’inventant une vie bien plus similaire à la sienne. Derrière les mensonges, Arthur avait su être important pour une Nora qui apprenait à vivre avec son deuil, qui devait gérer avec une perte qui semblait plus grande que le monde et l’idée de devoir repasser par-là te terrifiait au plus haut point. De toutes les choses sur lesquelles tu avais menti à Arthur, ta mère avait été un rare sujet où l’honnêteté avait prévalu et peut-être que c’est pour ça, que tu as une seconde d’hésitation. Un moment de faiblesse où tu serais presque tentée de lui vider ton sac, de lui parler de ta tante. Mais tu ne le fais pas, ta résistance et tes murs bien plus hauts que ta capacité à te montrer vulnérable. « Je suis désolé, Nora. » La sincérité dans la voix du Coventry vient fissurer tes barrières peu à peu, surtout lorsqu’il vient poser sa main contre ta cuisse dans un geste réconfortant, que tu voudrais rejeter mais dans lequel tu te perds, tes doigts venant machinalement se lier aux siens. « C’est ma tante. Elle est malade. » Les mots t’échappent tel un dégueulis de vérité que tu ne pouvais pas garder plus longtemps. « La même chose qui a tué ma mère. » Tes doigts pianotent contre ton verre vide, et dans une tentative de faire comme si tu ne venais pas de dire la pire chose possible, tu interceptes le barman et demande un nouveau verre, bien décider à faire de ta facture le problème du Coventry.

« Mais ça t’oblige à te transformer en une version dépressive de Dracula du coup? » Le commentaire t’arrache un rire cette fois-ci plutôt que de te faire sortir les crocs, contrairement à ce qu’il s’entête à te dire. « C’est quoi ton obsession avec les vampires ce soir? Un kink Twilight que tu viens de te découvrir? Tu vas te mettre du bronzer brillant pour bien jouer le rôle? » Tu n’aurais pas cru ça possible ce soir, mais la simple vision d’un Arthur brillant tel Edward Cullen arrive à te faire rire, d’un rire franc et incontrôlable, sans aucun doute aider par ta consommation d’alcool. Mais il ne partage pas ton high, le jeune homme, quand tu remarques que le verre devant lui n’est rien d’autre qu’un verre d’eau et qu’il ne semble pas impatient de se faire servir autre chose comme il l’est normalement. « Je suis plus ton favori du coup? » « T’as jamais été mon favori. » que tu mens avec une aisance, un semblant de sourire au coin des lèvres. Il est impossible de décrire le genre de relation qui existe entre Arthur et toi, mais à un moment ou un autre, sans trop comprendre comment ni pourquoi, il a su se faire une place dans la rare quantité de gens dont l’existence ne t’horripile pas complètement. « Je touche plus à la poudre. Enfin, j’essaye. » Un air de surprise s’installe sur ton visage. Tu ne t’attendais pas à ça ce soir. « Et ce soir, je suis leur boss. Je dois montrer l’exemple, tout ça. » « Ça t’a jamais arrêter, avant. » Quelque chose te dit qu’il y a plus derrière ce revirement de comportement qu’une simple envie de donner l’exemple à un groupe de losers dont Arthur s’est toujours moqué de l’opinion. La question flotte entre vous deux, sans que tu n’oses toutefois lui demander pourquoi maintenant. « C’est plus aussi fun, mais ça n’empêche que je sais encore comment m’amuser Parker. » Il y a dix minutes à peine, tu n’aurais pas hésité à le rembarrer, à lui faire comprendre que tu n’as pas du tout la tête à t’amuser ce soir. Mais maintenant, Arthur te semble plutôt être le genre de distraction que tu pourrais utiliser, ne serait-ce que le temps d’une nuit. « Tu sais où crécher ce soir? » « C’est une invitation? » Dieu sait que tu pourrais te laisser tenter, surtout après plusieurs jours à passer de divans en divans, à te perdre dans des appartements plus crasseux les uns des autres appartenant à des gens dont tu ne connais que les prénoms. « J’ai pas envie d’être toute seule. » Et il comprendra Arthur, que ce n’est pas quelque chose que tu sais admettre aisément.
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Arthur Coventry
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la chute d'Icare
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ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991)
STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal.
MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde...
LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall
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TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste
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Message(#)(cover #3) late night talking EmptyDim 5 Nov 2023 - 10:59

Il n’irait pas jusqu’à dire qu’ils avaient pour habitude de se confier l’un à l’autre, mais c’était arriver, à plusieurs reprises. Les moments sur l’oreiller où chacun se laissait aller à une vulnérabilité, parce qu’il était aisé de parler à quelqu’un que l’on connaît depuis des années. Alors Nora avait laissé échapper les informations sur sa famille, ce qui pouvait réellement l’atteindre, quand la plupart du temps, elle s’évertuait à jouer les sangs-froids, avec un cœur de pierre. « C’est ma tante. Elle est malade. » Et merde. « La même chose qui a tué ma mère. » Au rythme de ses doigts qui couraient sur le plateau du bar, ceux d’Arthur vinrent exercer une nouvelle pression sur sa cuisse. « Je suis désolé, Nora. » Il savait, à quel point elle avait eu mal en perdant sa mère. Elle n’avait pas besoin de lui dire à nouveau, il n’avait rien oublié de tout ce qu’elle avait su lui confier. Il imaginait seulement, ce que cela pouvait être pour elle, de traverser cette épreuve à nouveau. Il n’avait rien à dire, si ce n’est offrir sa présence pour lever un peu le voile qui était venu assombrir la tempête dans le fond de ses yeux.

« C’est quoi ton obsession avec les vampires ce soir? Un kink Twilight que tu viens de te découvrir? Tu vas te mettre du bronzer brillant pour bien jouer le rôle? » Il eut un rire amusé. Ce n’était pas grand-chose, mais au moins, il paraissait l’avoir sorti un peu de sa torpeur. Et Arthur allait clairement se glisser dans la faille pour obtenir un sourire de sa part. « Ce serait si étrange que ça ? Ma sœur m’a fait bouffer cette saga pendant des années à l’automne, je suis un vrai expert Nora. Bon… Objectivement, c’est une bonne grosse daube dans l’univers des films vampirique, on se l’accorde. Mais est-ce qu’y a pas un petit côté guilty pleasure. La référence vampire a toujours fait vendre. Rajoute un beau gosse qui brille au soleil et c’est le jackpot. Un buveur de sang médiocre qui n’effraye personne, mais qui jeter en émoi toutes les adolescentes. Je pari que toi aussi t’avais envie qu’un beau brun vienne te mordre dans le cou. Me lance pas sur le reste, je vais te soûler après, parce qu’il y a tellement de trucs qui vont pas en vrai. Un vampire médecin, sérieux ? Remarque, c’est une belle pub sur le self control. Par contre le Edward Cullen là ? Clairement un addict le mec, et un qui refuse de se faire soigner en plus. Par contre, j’aimais bien les méchants, un peu badass, un peu con aussi, mais des vampires qui tenaient leur réputation, ceux qui sont assoiffés de sang et qui sèment la terreur quoi. On donnera un point bonus pour la scène de baseball, rien que pour la musique. Go Muse. » Et alors qu’il déblatérait ses âneries, il l’aperçu, le fin sourire qui vint étirer les lèvres de la blonde. « J’ai une tête à apprécier Twilight Nora ?! » Et il finit par l’obtenir son éclat de rire. Cela n’avait rien de franc, c’était presque trop silencieux, mais c’était là, malgré tout.

« T’as jamais été mon favori. » Il mima se prendre un pieu en plein cœur, exagérant ses expressions faciles pour le côté dramatique. « Je suis blessé. » Il était en train de se transformer en clown personnel pour la blonde. Ça ne le dérangeait pas. Après tout, elle avait besoin de se changer les idées. « Ça t’a jamais arrêté, avant. » C’est vrai. Il n’avait aucune limite auparavant, mais les choses avaient changé dernièrement. « J’ai fait des promesses. » Un aveu à peine murmurer. « A des gens importants. » Il se devait de tenir pour Swann, et probablement pour ce qu’il était en train de reconstruire avec Greta. Il n’était sûr de rien, Arthur, mais il ne voulait plus laisser la poudre dicter sa vie. Et Nora devrait en faire de même, même si le parcours est complexe. « C’est une invitation? » - « Ca peut l’être. » Et pour une fois, il ne lui proposait pas dans l’idée de passer une nuit entre ces draps. Cela pouvait rester une option, il n’allait pas le cacher, le sexe avec Nora est toujours incroyable. Mais ce soir, elle semblait avoir juste besoin d’un cocon où elle pouvait se sentir bien, et être elle-même sans jugement. « J’ai pas envie d’être toute seule. » Il comprenait. « Alors, viens. On se casse. » Elle avait presque sa place chez lui, elle avait tellement squatter qu’il restait même un ou deux tee-shirts à elle chez lui. Se levant, il vint se planter face à elle, attrapant son menton entre ses doigts. « T’es toujours la bienvenue chez moi, Nora. » Ils ne sont pas du genre à se parler durant des heures, à échanger des messages à tous les jours pour prendre des nouvelles. Ils vont et viennent dans la vie de l’autre, mais il existe une constante qui ne changera jamais à ses yeux, Nora reste son amie. « N’importe quand, okay ? » Parce qu’il savait que parfois, elle ne savait pas où dormir, et lui, il a une chambre d’amis qui est toujours vide. « Je suppose que je vais vider mon compte en banque en payant ta note. » Une note d’humour, encore, juste pour la faire sourire.




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Message(#)(cover #3) late night talking EmptySam 16 Déc 2023 - 11:50

« Je suis désolé, Nora. » Tu le sais sincère, Arthur, et ça te fait du bien de l’entendre. Il ne cherche pas à te placarder avec des mots vides, des sympathies ou des conseils, des platitudes que tu ne veux pas entendre. De toutes les choses sur lesquelles tu avais menti à Arthur lorsque tu l’avais connu à Londres, tu avais toujours été honnête lorsque tu lui avais parlé de ta mère, de ton deuil qui était encore à vif lorsque tu foulais le sol anglais. Ce que tu apprécies d’Arthur, c’est qu’il n’a jamais été le genre à s’attarder sur tout ce qui est trop lourd, à tout ce qui fait mal. Si normalement un verre d’alcool ou une ligne de poudre feraient office de parfaite distraction, tu apprends ce soir à découvrir un Arthur Coventry sobre, qui a autant de mordant qu’à l’ordinaire, mais avec un sens de l’humour qui te surprend légèrement. Quand la discussion dérape sur Twilight, tu as l’impression d’être en train de rêver tout le monologue qu’il se tape avec une passion que tu ne lui reconnais pas. De toute évidence, les connaissances de l’anglais sur la saga sont plus poussées que les tiennes, peu importe ce qu’il pouvait en croire. Quand il arriva sur sa conclusion concernant la fameuse scène de baseball sous la soundtrack de Muse, tu ne peux t’empêcher d’éclater de rire. « J’ai une tête à apprécier Twilight Nora?! » « Un fan hardcore. » que tu répliques, heureuse pour cette distraction soudaine et pourtant tellement typique d’une interaction entre vous deux. Ce qui se joue ensuite, c’est pourtant quelque chose qui s’est joué des dizaines et des dizaines de fois entre vous. Quand le ton change, que les regards se font plus insistants. « Je suis blessé. » qu’il t’accuse alors que ton sourire trahit tout ce que tu peux être en train de lui dire. Et évidemment, tu ne peux t’empêcher de lui poser au moins une question sur ce revirement de situation, lui qui se tient à l’eau quand tu l’as si souvent connu dans les excès. « J’ai fait des promesses. A des gens importants. » Ça, étonnamment, tu pouvais le comprendre. Pour avoir vu d’autres gens près de toi se perdre dans leurs propres excès, tu pouvais comprendre la volonté de se tenir à carreau. Pas toi. Pas ce soir du moins, pas alors qu’autour de toi les corps morts des bières que tu avais consommé trahissait ton état. Mais peut-être plus tard. Bientôt. Si tu t’entoures comme il faut. Mais pour ce soir, la seule chose que tu sais, c’est que tu n’as pas envie de rester seule et Arthur, il te tend une main que tu n’as pas envie de refuser. « Alors, viens. On se casse. » Alors tu la prends, cette main tendue autant littéralement que figurativement. Tu tiens à peine sur tes deux jambes, et Arthur est étonnamment l’ancrage qui t’empêche de partir au vent. « T’es toujours la bienvenue chez moi, Nora. N’importe quand. » « Même si je repars pas tout de suite? » Tu avais squatté chez lui un bon nombre de fois dans les dernières semaines, mais tu n’avais jamais pensé à rendre la chose plus officielle. Mais une chose était certaine : tu ne pouvais pas retourner chez Albane. Il te donne son accord silencieusement, chose que tu apprécies d’autant plus. Ça a toujours été comme ça entre vous, à vous comprendre que par des gestes, des regards, des petites choses et des petites habitudes qui transgressaient tous les mensonges qui avaient pu être dit. « Je suppose que je vais vider mon compte en banque en payant ta note. » « Je te revaudrais ça. » D’une manière ou d’une autre, Dieu sait que ce n’est pas une note d’une centaine de dollars qui allait réellement faire mal au portefeuille du Coventry. Et sans un regard de plus pour le bar, les collègues du Coventry, vous quittez l’établissement pour vous rendre à l’appartement luxueux d’Arthur, là où tu te feras peu à peu ta propre place.
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