| (jolie #10) i'll still keep the party running not one hair out of place |
| ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Mer 21 Juin 2023 - 9:01 | |
| i'll still keep the party running not one hair out of place @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
- tw: auto-médication -
Jo sentit ses yeux se fermer plus qu’elle ne décida de le faire de son plein gré. C’était le désavantage de se faire dorloter comme elle l’était depuis qu’on lui avait offert sa victoire sur un plateau serti de diamants ; elle avait parfois la sensation de vivre dans une bulle agréable sous laquelle elle était percluse confortablement, la tête dans le coton. Les maquilleurs s’affairaient autour d’elle en ne laissant rien au hasard, les coiffeurs se joignant à la partie pour compléter le tableau et ainsi lui laisser l’impression d’être une poupée grandeur nature entre leurs mains habiles. Ce n’était pas déplaisant. Jo aimait l’attention au point de trouver ça même franchement agréable d’être traitée de cette façon, s’en remettant à l’expertise de ceux qui savaient quoi faire sans pour autant les laisser maîtres de la situation, ayant toujours son mot à dire pour garder la mainmise sur ce qu’elle renvoyait et pour faire entendre ses choix plus ou moins agréablement. Moins que plus en vérité. Mais c’était son image, c’était elle qui décidait.
Lorsqu’elle était éveillée en tout cas, ce qui était loin d’être le cas sur l’instant, s’assoupissant sans le vouloir, au prise d’un épuisement relatif c’était vrai, ses journées paraissant sans fin depuis le mois de mars dernier, ses voyages la faisant évoluer en décalé, mais davantage trahie par sa consommation contrôlée de tranquillisants qui avaient tendance à la rendre amorphe quand elle n’était pas active comme maintenant. C’était ça la sensation d’évoluer dans du coton de toute évidence, et ce n’était pas désagréable non plus, plutôt nécessaire selon ses propres termes. Ça ne semblait déranger personne dans son entourage professionnel direct, son équipe étant même plutôt d’accord sur le principe, la laissant préférer amenuiser son caractère de cette façon au lieu d’apprendre à la boucler. C’était plus facile, et c’était lors des évènements les plus fréquentés qu’elle se laissait aller à médicamenter très légèrement son tempérament pour ne pas faire de vague et pour rester dans un périmètre de choses acceptables à dire sans déblatérer plus que de raison sur son ressenti depuis sa victoire, sur ce que ça lui inspirait. Ça lui permettait de sourire sans trop se forcer, et comme elle l’avait dit à Midas sans avoir eu la foi de lui mentir lorsqu’il l’avait senti ailleurs, c’était entièrement supervisé ; et puis ce n’était pas de la coke, c’était comme ça qu’elle se déculpabilisait d’avoir de temps à autre besoin d’évoluer hors de ses pensées pour mieux profiter du moment, même si elle le voyait défiler devant ses yeux sans avoir véritablement l’impression d’en faire partie au fond.
La morsure d’une brûlure tout contre sa nuque la fit se réveiller en sursaut sur sa chaise et jeter un regard noir par-dessus son épaule à la coiffeuse qui venait d’entamer sa peau avec le fer à boucler qu’elle avait manié maladroitement en la coiffant. Charlie sortit juste à ce moment-là de la salle de bain, et c’était tant mieux, puisque ça évita à Jo de devoir faire un esclandre, l’image que lui renvoya la blonde la faisant sourire plus niaisement qu’elle l’aurait voulu au demeurant "Je te l’avait dit qu’il t’irait mieux qu’à moi. Je suis trop petite pour porter ce genre de trucs." Même si le costume rose Barbie Valentino faisait partie du trousseau qu’on lui avait proposé pour l’événement auquel elle participait cette soirée-là lui plaisait plus que le reste, Jo s’était rendu à l’évidence en un clin d'oeil : Charlie porterait mieux le costume qu’elle. La preuve, elle l’avait sous les yeux. La couleur flattait son teint de porcelaine et le vénitien de ses cheveux lâchés sur ses épaules "T’es magnifique." lui assura-t-elle sans rougir d’être élogieuse pour une fois, ne se cachant pas derrière de l’amour-vache pour lui faire ce compliment. Clignant des yeux pour se les remettre en face des trous, Jo lui demanda juste après en redressant le menton, les strass de son maquillage faisant briller ses yeux rapetissés par sa micro-sieste "T’aimes bien ?" i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Lun 26 Juin 2023 - 15:52 | |
| (sur la route)
Dès qu’elle se retrouve de nouveau à passer du temps avec Jo, entre ses équipes et les vêtements hors de prix, quand il n’est pas question de refaire un moulage de ses oreilles pour son nouvel équipement de scène, Charlie en vient toujours à se demander comment elles en sont arrivées là. Elle a besoin d’une seconde pour retracer leur amitié (ish) à la vitesse de la lumière et se demander comment elles finissent toujours par se retrouver, entre les insultes et tout le reste. Elle se demande aussi comment la chanteuse arrive à lui ouvrir aussi facilement les portes de son monde, Charlie se montrant incapable de s’y attacher plus que de raison bien qu’elle sache en reconnaître les avantages lorsqu’il s’agit de quelques heures à peine. On pourrait croire qu’elle est intéressée seulement si on ne la connaît pas, parce que ça aurait été mal la connaître que de penser qu’elle ait accepté l’invitation à l’avant première de Barbie avec la bouche en coeur et les yeux plein d’étoiles: elle a râlé, s’est plainte, a tenté de négocier pour plutôt demander à Jo de leur trouver une soirée pour Oppenheimer à la place - quitte à avoir un accès privilégié aux portes du paradis, autant en profiter. Mais non c’est non, et la blonde pense sans mal que cette décision dépassait la petite diva, que les caméras ont bien plus hâte de voir habillée de rose et presque aussi grande que les personnes normales sur ses hauts talons plutôt qu’en train d’assister à un film sombre sur la bombe nucléaire. Mais Charlie pourrait le lui dire: la seule vraie bombe, c’est elle (elle étant Jo, mais cela peut aussi désigner la blonde, évidemment).
En sortant de la chambre faisant office de cabine d’essayage, Charlie lustre son costume moulant en en épousant les contours du bout de ses doigts, comme si elle ne faisait déjà pas qu’un avec sa peau. "Je te l’avait dit qu’il t’irait mieux qu’à moi. Je suis trop petite pour porter ce genre de trucs." - “Mais tout me va, tu ne prenais pas beaucoup de risques en disant ça.” Quoique tout va aussi à Jo, surtout les robes de coûtiers sorties des placards spécifiquement pour elle, à la seule différence qu’elle accuse une dizaine de centimètres de différence avec les mannequins types alors qu’elle en a pourtant la taille de guêpe. Face aux paroles de Jo et à son assurance surjouée, Charlie sourit pourtant, heureuse de l’entendre dire que le vêtement lui convient bel et bien."T’es magnifique. T’aimes bien ?" Ses lèvres dessinent un demi-cercle un peu plus appuyé, heureuse de l’entendre la complimenter autant qu’elle l’est de passer un peu de temps auprès d’elle, malgré le voyage express demandé jusqu’à Sydney pour cet événement. “Ca passe.” Elle surjoue, mime d’accepter de se contenter du Valentino parce qu’elle est une femme au grand coeur, et s’approche de Jo pour l’embrasser contre la joue après avoir verifié que son teint n’avait pas encore été fait. Son regard accroche la plaie contre sa nuque, le réflexe humain veut qu’elle en tâte doucement le contour du bout de son index pour s’assurer de la véracité de son existence. “Tu veux un peu de crème ?” Elle ne commente pas le silence de Jo au sujet de la brûlure, tout comme elle ne commente pas que personne ne soit mort pour cette faute. Déjà, elle enlève sa main de là, bien consciente qu’elle ne peut pas grand chose pour elle.
La blonde recule de quelques pas et s’adosse contre le canapé de la pièce, ses mains reposées contre le dossier et son regard sur Jo. “J’aime bien. Ca pardonne toutes ces stars à qui tu m’as toujours pas présentée.” Elle annonce avec l’éternel même sourire amusé, certaine qu’elle aurait toute sa place au bras d’un grand acteur qu’elle verait pourtant une fois toutes les deux semaines pendant les bons jours, et en fermant les yeux sur l’impact carbone de son incapacité à faire face au silence de son appartement. “Tu sais ce que tu veux mettre, toi ?” Du rose, évidemment, mais sous quelle forme ? Charlie n’attend que de voir les essayages de son amie en retour, sans doute impatiente de jalouser son incapacité à être autre chose que magnifique, peu importe ce qu’elle porte. “Peut-être que grâce à toi Valentino vont me demander d’être mannequin pour eux. Et je devrai refuser, parce qu’en retour les méchants ne prennent pas de vacances, évidemment.” Surtout parce qu’elle accepterait bien mal d’être une petite poupée pour qui que ce soit, peu importe le nombre de strass et paillettes allant avec. Mais aussi parce que son métier est important pour elle, oui, ce qui ne l’empêche pas d’être heureuse pour Jo et le train de vie qu’elle mène enfin, loin de ce qu’elle a connu d’elle au début de leur amitié. “Tu peux toujours faire une sieste en étant maquillée, en vrai. En dormant comme un pharaon.” Il y a plus agréable comme position pour dormir, c’est un fait, mais à en juger par les petits yeux de Jo, le confort n’est sûrement plus sa priorité face à la fatigue, alors Charlie propose tout de même. Au fond, pourtant, elle sait que chaque seconde est comptée et que le programme de l’après-midi autant que celui de la soirée ne comprend aucun créneau dodo. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Mar 27 Juin 2023 - 9:13 | |
| i'll still keep the party running not one hair out of place @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
"Nan, je suis une dure à cuire." Jo repoussait déjà la pseudo-inquiétude de Charlie avec un froncement de nez, remplaçant les doigts de la blonde par les siens pour toucher la brûlure qu’elle venait de gagner à un endroit qui ferait se demander à la presse si ce n’était pas le résultat d’une nuit torride avec elle ne savait quelle aventure on lui prêtait exactement en ce moment. C’est cette pensée qui lui fit demander à la maquilleuse dont la vitesse d’exécution était magistrale "On peut cach — merci." Par contre, à la coiffeuse qui l’avait brûlée, Jo lança de nouveau un regard où se dessinait le plan qu’elle prévoyait pour lui arracher les tripes histoire de s’en faire un collier, et qui disait en même temps tu me touches plus, bitch. Là encore, sans même avoir besoin d’ouvrir la bouche, son voeu fût exaucé pour lui permettre juste après de se replacer dans le bon sens de la discussion.
L’apparition de Charlie dans son joli costume rose redistribua directement le sens de ses priorités à défaut de lui remettre la tête à l’endroit, la fatigue qu’elle ressentait entre autre la rendant presque inapte à garder les yeux ouverts. Elle s’y efforça cependant, laissant un léger rire lui échapper quand la blonde parla des célébrités qu’elle ne lui avait toujours pas présentées. Levant les yeux vers la maquilleuse qui s’appliqua à entamer le maquillage de ses paupières, Jo répondit à Charlie "T’as qu’à me faire une liste de celles que t’as envie de rencontrer. On pourra faire comme Tom Cruise quand il se cherchait une femme à lobotomiser dans sa secte." Elle lui organiserait des dates fastueux et elle serait derrière un coin de mur à veiller au grain — puisque Charlie avait visiblement une passion évidente pour le polar, elle ajouta même en rouvrant les yeux pour les grossir, s’imaginant l’espionne surveillant le moindre de ses prétendants célèbres avec les intentions d’une maman-poule "Je demanderais une oreillette à mon agent de sécurité, je te soufflerais quoi dire et comment agir pour finir sur leur testament. Vise plutôt des vieilles gloires du coup, ils mettront plus très longtemps à crever pour que tu profites du pactole et que tu mènes la grande vie." Ce serait toujours mieux que de se taper le premier qui passe. Mais ça elle ne le dit pas Jo, opinant du chef à la question suivante de la jeune femme "J’ai essayé la Jacquemus. La fuchsia en satin." Du menton, elle désigna la robe en question, étendue sur un cintre accroché nonchalamment au miroir à pied installé dans un coin de la suite. Ses lèvres s’ouvrirent pour que la maquilleuse les dessine, et Jo articula comme elle l’avait fait des centaines de fois, devenant ventriloque pour continuer sa conversation sans donner l’impression d’être gênée par l’idée que quelqu’un lui peinturlurait le visage "Elle est courte, mais je vais quand même devoir porter des talons pour pas avoir l’air trop petite à côté de toi sur les photos — tu sais qu’on va se demander qui t’es exactement ?" lui demanda-t-elle avec amusement, son expression se calant assez bien sur les paroles de la jeune femme qui surjouait soudain la prétention. Un rire lui échappa "Et peut-être que grâce à ça t’aurais l’opportunité de choisir les événements où te rendre. Imagine le nombre de films chiants que tu pourrais voir en devenant l’égérie d'une marque comme Valentino." lui offrant une grimace au travers des doigts de fée de sa maquilleuse, Jo la taquina sur le scandale qu’elle lui avait fait lorsqu’elle avait appris que c’était à la première du film Barbie qu’elle l’invitait. Jo n’avait pas eu la patience de lui expliquer que c’était une question de réseau, de production et de promotion, et que si elle pouvait refuser d’y aller, Jo n'avait en vérité pas tellement son mot à dire sur le principe si elle choisissait de s’y rendre. La bande-originale du film était produite par son label, elle était la dernière artiste a l'avoir rejointe, elle n’était pas là pour se vendre, elle était là pour faire monter l’anticipation et faire engranger des des clics, des articles. Et donc des revenus. Son album n’était même pas encore enregistré que sa sortie était attendue, tout comme son apparition à cet événement qui collait plutôt bien au personnage qu’elle était selon son équipe de communication qui se réjouissait qu’elle ait décidé d’y aller.
Pressant ses lèvres l’une sur l’autre pour étaler uniformément son gloss, Jo releva la tête vers Charlie "Aw, est-ce que tu t’inquiètes pour moi ?" Elle prit une moue faussement triste, ses lèvres fraîchement peintes marquant un demi-cercle vers le bas, sa lèvre inférieure devenant boudeuse lorsque, libérée de sa maquilleuse, elle se leva en replaçant correctement les épaules moelleux de son peignoir pour que ce dernier ne s’ouvre pas "Personne s’inquiète jamais vraiment pour moi, c’est plutôt sympa." ajouta-t-elle en venant se poser près de Charlie pour, battant des cils, lui adresser un sourire qu’elle espérait assez convaincant pour chasser la fatigue qu’elle lui soupçonnait d’accuser— à raison d’ailleurs, mais il n’y avait pas que ça. Le temps d’une seconde, elle trouva ça triste d’être obligée d’avouer que personne ne s’inquiétait vraiment pour elle, mais comme tout ce qui impliquait d’être un peu morose, Jo le repoussa avec force pour dire à la blonde "J’ai pas eu le temps de récupérer vraiment de mon voyage à L.A." Parce qu’elle n’avait pas pris le temps de se soucier de son jet lag, et qu’elle avait couru chez Midas pour travailler sur leur chanson — elle ne rentrerait pas dans les détails, mais ce serait son excuse toute trouvée, celle sur laquelle elle passa vite pour tendre sa nuque dans sa direction, baissant de nouveau un peu son peignoir sur ses épaules pour mieux désigner la brûlure que sa maquilleuse avait cachée en suivant la courbe de son cou du bout des doigts et en lui demandant, faisant mine de rien "Est-ce qu’on dirait un suçon ? J’ai déjà une réputation de salope, j’ai pas envie qu’on titre cette Barbie exhibe ses suçons à la première de l’année." Ce serait certainement pas le pire qu’on pourrait dire à son sujet, mais c’était sa façon de reprendre la main et de passer au-dessus de l’envie qu’elle avait d’avouer à Charlie qu’elle était effectivement un peu épuise, et pas que physiquement. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Jeu 29 Juin 2023 - 16:07 | |
| "T’as qu’à me faire une liste de celles que t’as envie de rencontrer. On pourra faire comme Tom Cruise quand il se cherchait une femme à lobotomiser dans sa secte." “Déjà, tu peux être sûre qu’il est pas dans la liste.”
Elle a à cœur de rencontrer une partie d’Hollywood, mais pas nécessairement les plus fous d’entre eux. Et puis, disons le clairement: elle est surtout intéressée à l’idée de lancer des reproches à Jo et à lui souligner à quel point elle n’est pas une amie aussi incroyable que ça, elle qui est pourtant belle, riche et incroyablement connue. Charlie dirait à qui veut bien l’entendre qu’elle la connaissait avant tout ça, sans pour autant vouloir préciser ce à quoi ressemblait la vie de Jo en ce temps. Les choses changent pour le meilleur, parfois, et elle et ses voyages autour du monde en sont la preuve - jusqu’à ce que quelqu’un traque son jet privé et dise qu’elle pollue autant en un mois qu’une ville entière d’Indonésie pendant 10 ans, mais peu importe. "Je demanderais une oreillette à mon agent de sécurité, je te soufflerais quoi dire et comment agir pour finir sur leur testament. [...]" - “J’ai mieux à faire que de courir après leur argent.” Elle reprend sans être vexée par les mots de Jo et ce qu’elle ne prend même pas la peine de sous-entendre, à savoir que Charlie serait absolument prête à tout pour s’afficher auprès d’une personne connue. Ça l’amuserait sans doute un instant, et elle s’en lasserait dès la seconde suivante, comme pour tout le reste. Ce n’est pas parce que son petit-ami a une page Wikipedia longue comme le monde qu’elle ne pourrait pas le larguer et aller voir ailleurs, fortune ou pas.
Jo désigne la robe qu’elle portera à son tour, le couleur brillante associée au nom d’une grande marque que même Charlie et son désintérêt pour le monde de la mode connaît. Elle connaît plus le mariage de son créateur que ce qu’ils font en termes de vêtements, mais c’est sûrement un point d’entrée comme un autre. “Elle te plaît ?” Elle se moque qu’elle soit courte et qu’elle doive porter des talons: Jo dit l’avoir essayée, pas adoptée, et c’est tout ce que Charlie arrive à entendre en cet instant. “Ca sera l’occasion ou jamais de dire que je suis ta copine et que tu m’as protégée des médias tout ce temps.” Elle énonce le plus joli des mensonges, souriante et heureuse. Elle aime jouer d’une idée qui n’ira justement jamais plus loin que ce stade, leur pathétique et dernière embrassade dans les toilettes du poste de police n’ayant pas à être portée à la connaissance des journalistes. Charlie leur fait face lorsqu’ils cherchent à en savoir plus sur un meurtre ; elle peut très bien garder le silence si jamais ils cherchent à savoir comment elle s’est retrouvée à être l’invitée de la brûlante Jo Carter. “Je compte pas parler aux médias. Et Twitter parlera, comme toujours.” Elle ne cherche pas non plus à se cacher, alors elle hausse les épaules, parlant cette fois-ci avec un sérieux nouveau. Malgré les apparences, elle sait se montrer professionnelle et discrète. Son métier est bien assez stressant et exigeant à lui seul pour qu’elle n’envisage pas sérieusement de faire un pas dans le monde de la musique ou de la mode, où tout le monde prend les décisions d’en haut, que cela plaise ou non à la plèbe d’en bas.
Rapidement, l’attention vacillante de la blonde se pose sur un autre sujet, à savoir celui du bien être de Jo et surtout de sa capacité à tenir la cadence. Et ce n’est pas son amie qu’elle estime être trop faible, mais bien son label à qui elle reproche les exigences qu’ils laissent reposer sur la brune. "Aw, est-ce que tu t’inquiètes pour moi ?" - “Je m’en fais pour les photos. Je m’affiche pas avec quelqu’un autrement que parfaite.” Evidemment qu’elle s’en fait pour elle, et c’est assez évident pour que Charlie ne prenne pas la peine de répondre à la question au premier degré. "Personne s’inquiète jamais vraiment pour moi, c’est plutôt sympa." Jo se rapproche pour continuer à jouer la comédie, mais la proximité de leurs visages prouve seulement un peu plus à la blonde à quel point ses cernes sont habilement cachés sous de multiples couches de maquillage et d’anti-cernes. Au fond, elle se dit que Midas s’en fait aussi pour elle, mais que Jo ne lui laisse pas l’opportunité d’en parler de trop. "J’ai pas eu le temps de récupérer vraiment de mon voyage à L.A." - “Qu’est-ce que tu as fait là-bas ?” Non pas qu’elle ne sache pas les grandes lignes de sa vie de star, évidemment, mais elle demande surtout à quel point le rythme avait pu être intense pour elle.
Aussi habilement que possible, la starlette change déjà de sujet de discussion, jeu auquel Charlie se laisse prendre sans pour autant abandonner ses soucis principaux. "Est-ce qu’on dirait un suçon ? J’ai déjà une réputation de salope, j’ai pas envie qu’on titre cette Barbie exhibe ses suçons à la première de l’année." Elle observe la blessure de plus près et la contourne du bout de ses doigts. “Carrément.” Cela a tout pour ressembler à un suçon, raison pour laquelle Charlie prend les devants et décide de s’improviser maquilleuse à son tour, jugeant que se contenter des cheveux pour cacher la marque est bien trop risqué. De la tête, elle cherche le sac personnel de Jo, celui où elle sait trouver son rouge à lèvres préférés et son fond de teint adapté, quand elle ne se fait pas dorloter par des professionnels. Elle se relève sans un mot et fouille rapidement à l’intérieur, ne pouvant penser autre chose que le sac mériterait un immense tri à la Kondo et rien de moins. “C’est quoi ?” qu’elle demande pourtant, sortant du sac une boîte de cachets plutôt que l’étui à fond de teint. Ses sourcils froncés marquent son incompréhension alors qu’elle aimerait simplement entendre qu’elle fait la maligne à mettre sa pilule dans un autre contenant, ou n’importe quelle excuse à la con. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Sam 1 Juil 2023 - 19:44 | |
| i'll still keep the party running not one hair out of place @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
L’avantage des tranquillisants, c’était que ça fonctionnait tellement bien sur Jo qu’elle s’amendait de son besoin compulsif de monter sur ses grands chevaux. C’était le but, aussi défendre ses pensées face à une Charlie qui s’offusquait qu’elle puisse la catégoriser de femme intéressée, ça lui vint plus naturellement que d’ordinaire. On lui avait assez dit que son sarcasme était une tare, que sa dureté était un handicap ; à défaut de la régler par elle-même, pas tellement du genre à vouloir travailler sur ses défauts, les caressant même dans le sens du poil pour en faire un stéréotype commode qui lui permettait d’être ni trop accessible ni trop sujette à ses émotions dans le sens premier du terme, elle trouvait l’aide apportée par ce qu’elle gardait dans son sac assez efficace pour laisser couler et ne pas lui rappeler que jusqu’à preuve du contraire, elle avait encore le droit de plaisanter.
"Ouais, elle est jolie." La robe. Elle répondait à sa charte stricte en la matière : courte, décolletée, colorée. Il y avait un bonus cette fois, elle était aussi satinée, et ça ne tarderait pas à faire parler d’elle, le brillant de la matière relevant le brun presque noir de ses cheveux et le hâle de sa peau sublimée par une application minutieuse d’une huile pailletée "Sur moi elle sera splendide." Par contre, rien n’adoucirait jamais son talent irréfutable pour se la raconter "Je pourrais essayer de leur raconter ce genre de bobard, mais on sait toi et moi qu’ils m’accuseraient de vouloir protéger quelqu’un d’autre." Peut-être pas de le protéger lui, plutôt de protéger ce qu’il s’était passé entre eux et qui réussissaient encore à générer des clics. Pour l’heure, Jo ne savait pas comment elle présenterait Charlie si on lui posait des questions à son sujet. Amie, ce serait un bon début, encore qu’elles n’avaient pas toujours été en bon terme. Mais il y avait des légendes qui disaient que c’était ça les vrais amis ; qu’il y avait parfois des tempêtes, les éclaircies valaient tout de même le coup de se prendre une rafale de plusieurs kilomètres-heures dans la gueule, ou une connerie de ce genre qui finissait sur un poster accroché dans le cabinet d’un psy. Du reste, personne n’avait besoin de savoir qu’elles avaient échangé leur salive plus souvent qu’une ou deux fois. À ce stade, c’était davantage une anecdote qu’un fait d’une importance capitale qui avait vocation à se reproduire. Ça ne se reproduirait pas "Trop hâte de voir le résultats des polls qui te placeront en concurrence avec mes pseudos-prétendants. Si tu me laisses te faire ton liner, t’as des chances de finir première sur le podium." Même pas en rêve, tout le monde savait qui avait cette place de choix dans le petit coeur palpitant de l’adolescente travaillée par ses hormones qu’était le public, et il avait moins de poitrine que Charlie.
Posant ses fesses sur le dossier du sofa installé dans la suite réquisitionnée pour elle en vue de tout ce cirque, Jo tourna la tête vers la blonde pour se rendre compte qu’elle s’inquiétait pour elle. Faute de savoir où la situer dans le spectre de ses proches, elle pouvait au moins se dire que c’était sincère venant d’elle. Encore qu’elle n’était jamais sûre, c’était difficile pour Jo de savoir ce genre de choses, surtout depuis l’histoire avec Laurie. Elle était un aimant à opportunistes, et si elle connaissait assez bien Charlie maintenant et qu’elle n’était en rien similaire à l’autre cas social des réseaux sociaux qu’était son ancienne amie d’enfance, elle ne pouvait pas non plus parier sur la certitude qu’elle ne lui nuirait jamais. Elles avaient un passif, mine de rien. "Je réussis même à être parfaite dans ce peignoir hideux qu’est-ce que tu me racontes." qu’elle lui fit en s’offusquant à moitié pour de faux, arquant un sourcil parfaitement dessiné en prenant une légère inspiration pour accuser un semblant de fatigue qui la fit se tenir un peu moins droite en lui répondant à propos de L.A. "Un shoot avec Micah Tomlinson, des rencontres avec des directeurs artistiques, chefs de projets, labels managers, ingés sons, musiciens et auteurs-compositeurs… j’ai réussi à caler une heure pour aller à l’observatoire Griffith, mais c’était trop court pour refaire le moment de La La Land où Sebastian emmène Mia dans les étoiles." Fronçant adorablement le haut de son nez en le disant, elle redevint juste un peu sérieuse au travers de l’écran de fumée qu’était son Xanax, et lui assura sans rougir un instant, paraissant même assez convaincante pour qu’elle-même réussisse à y croire. Serrant le bras de Charlie avec ses doigts, elle la secoua sensiblement en parlant "Ça fait partie du jeu de pas avoir beaucoup de temps pour soi. Je vais bien, je vais trouver mon rythme." Sûrement pas avec ce que prévoyait son label pour les prochains mois ; entre préparation vocale, camp d’écriture et enfin enregistrement, elle ne serait peut-être plus autant sur les routes que maintenant, mais personne autour d’elle ne comptait qu’elle se repose sur ses lauriers.
Elle la première, elle avait des choses à se prouver — à prouver tout court "Putain pour de vrai ? Elle fout quoi ma maquilleuse, je lui ai demandé de s’en occuper. Faut que personne se dise ça." Que Jo Carter se trimballait avec des suçons plus gros qu’une pièce de monnaie ; Kylie Jenner l’avait déjà fait qui plus est, inutile de se coltiner l’étiquette de copieuse par-dessus le marché, inutile aussi de récolter les graines de la rumeur quand Midas lui demanderait si ce qu’on disait était vrai pour mieux rendre Micah responsable de cette connerie — parce que c’était évident que ce serait lui qu’il pointerait du doigt pas si subtilement que ça. Touchant sa brûlure du bout de ses doigts, ne descendant de son perchoir que pour s’approcher de Charlie qui était déjà partie à l’assaut de son maquillage personnel, elle s’arrêta nette quand elle se retourna dans sa direction pour lui montrer la plaquette de Xanax fourrée dans son sac "Ma pilule." Premier réflexe, seul mensonge qui lui vint à l’esprit et qui ne prendrait pas tant elle le prononça d’une voix blanche, indigne des trésors de nuances qui la rendait unique en son genre. Charlie était une femme, elle avait eu des plaquettes de pilules dans les mains autant que Jo en avait eu dans les siennes. C’était évident que là, il ne s’agissait pas de ça et qu’elle le savait déjà au point que soudainement, son regard se fichant dans le sien un instant de trop, sa brûlure devint le moindre de ses soucis, et qu’elle lui fit avec l’air de ne pas y toucher, lui souriant en réduisant l’espace qui les séparait pour lui prendre son sac et ses médocs des mains "Tu veux m’aider à m’habiller ? Si j’étais toi, je sauterais sur l’occasion. C’est la seule chance que t’auras de me voir toute nue." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Mar 4 Juil 2023 - 12:45 | |
| Elle est fascinante, la vie des stars. Tout chez eux devient un sujet à débat, le moindre regard est interprété comme une déclaration de guerre ou un amour interdit. Une personne à ses côtés, et les rumeurs quoi que Jo serait une sacrée salope se confirment, même si elle a toujours gardé sa culotte devant Charlie au plus grand dam de cette dernière. L’idée d’un sondage l’amuse un instant ; celui d’après elle se souvient qu’elle reste néanmoins dans la police et qu’elle n’a absolument rien à y gagner à voir son visage affiché dans les médias autrement qu’en arrière plan d’une photo de paparazzi. Quand bien même elle aurait adoré savoir où se tient sa place sur ce podium où le seul et unique vainqueur a un nom masculin, mais dont elles ne peuvent pas parler parce que Jo reste Jo et que la vie de Midas ne doit pas être de tout repos. “Je signe pas pour les polls, mais tu m’as au sujet du liner.” Parce que quand même, elle veut apparaître sous son meilleur jour, il ne faut pas déconner non plus.
"Je réussis même à être parfaite dans ce peignoir hideux qu’est-ce que tu me racontes." Evidemment. Jo est toujours parfaite, peu importe la tenue qu’elle a, même un affreux peignoir sans forme et qui coûte pourtant une petite fortune, Charlie n’en doute pas. Elle aime son amie pour son caractère, et elle l’aime d’autant plus parce qu’elle n’a pas à penser son temps à tenter de la rassurer quant à son apparence et tout ce qui s’ensuit. Jo sait ce qu’elle vaut, elle l’a toujours su, et le fait qu’elle puisse aujourd’hui lui raconter une escapade à Los Angeles auprès des noms les plus connus du show business est tout ce qu’elle mérite. “T’as aimé ?” Non pas qu’elle s’en moque des rencontres artistiques et tout ce qui s’ensuit, mais elle reste une personne naïve qui pense que les expériences se résument de façon binaire: a aimé, n’a pas aimé. Et Jo, elle, elle raconte plein de détails, mais elle ne précise pas ce point, même si Charlie veut croire que la réponse est positive: qui n’aimerait pas vivre la vie de star ? "Ça fait partie du jeu de pas avoir beaucoup de temps pour soi. Je vais bien, je vais trouver mon rythme." La précision ne la convainc pas totalement mais elle veut y croire, parce qu’après tout Jo n’est pas dans le tort. Sa vie a complètement changé en peu de temps, il est normal qu’elle ait besoin de davantage de temps pour s’y adapter. La seule chose qui reste naturel chez elle, c’est s’énerver envers le premier venu, ce qui fait aujourd’hui bien du tort à sa maquilleuse - quand bien même seule la coiffeuse a misérablement raté son coup, mais Charlie n’a pas à coeur de s’en mêler.
Dans un élan de bonne volonté, la blonde n’hésite pas à faire du sac de Jo sa propriété pour s’en approprier le contenu, à la recherche du maquillage adéquat pour tenter de couvrir son faux suçon contre le cou. Cependant, ce n’est pas ce qu’elle y trouve en premier lieu, tel que le démontre la boîte de médicaments qu’elle relève déjà face à la chanteuse. "Ma pilule." La blonde manque de souffler d’agacement. “Te fous pas de ma gueule.” De tous les mensonges qu’elle aurait pu trouver, celui-ci est sûrement l’un des plus maladroits et qui traduit sans doute qu’elle a été prise de court par la question. "Tu veux m’aider à m’habiller ? Si j’étais toi, je sauterais sur l’occasion. C’est la seule chance que t’auras de me voir toute nue." Démontrant ce qu’elle en pense avant même d’ouvrir à nouveau la bouche, Charlie croise ses bras contre son torse, sa moue terminant d’achever le cliché de la jeune femme peu convaincue. “Tu peux même plus faire partie du club des 27, fais pas ton intéressante.” Elle ajoute tout de même, mine de rien, quoique sans délicatesse aucune. La voir toute nue est déjà le cadet de ses soucis, bien que la redondance de la blague ait une place importante entre elles désormais. “Tu te la joues Whitney Houston ?” Ou toutes les autres stars ayant succombé à une drogue ou une autre, la liste est longue, son favori est au choix. “Je vais t’aider à t’habiller.” qu’elle ajoute néanmoins, sa voix de policière usitée sans qu’elle ne s’en rende compte. Elle veut une réponse, mais elle ne veut pas que Jo prenne du retard sur son planning serré non plus. Et puis, elle peut toujours lui répondre peu importe la façon dont elle est habillée ou non. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Mar 4 Juil 2023 - 15:55 | |
| i'll still keep the party running not one hair out of place @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
Charlie se montrait curieuse en toutes circonstances, c’était un bon point à lui donner tant ça donnait l’occasion à Jo de se faire un peu mousser, même si elle n’avait clairement jamais eu besoin de faire partie de la liste des espoirs à suivre pour trouver de l’entrain à parler d’elle et de ce qu’elle méritait ou non. Sa question la laissa pourtant un instant songeuse, pas parce qu’elle tenait à remettre en cause le séjour qu’elle avait fait à Los Angeles et qu’elle avait beaucoup aimé c’était vrai, mais qu’elle aurait davantage apprécié si elle ne l’avait pas fait toute seule ; ou plus ou moins toute seule, la présence de Micah n’étant en réalité que le résultat de projet qu’on avait pour eux, et pas parce qu’elle avait souhaité qu’il soit là. La nuancé existait bel et bien, qu’importait ce qu’on racontait à ce sujet. Se rendant compte qu’elle prenait peut-être un peu de temps pour répondre, Jo finit par dire à Charlie, opinant du chef en même temps "Ouais, je crois." Et elle n’expliciterait pas, ne lui avouerait pas que ça avait été curieux de se retrouver dans des bureaux toute seule, sans Midas, à causer carrière et projets sur le long terme. Ça c’était le genre de chose qu’elle n’avait pas envie de partager, elle l’avait déjà assez fait avec Megan, gardant encore la sensation de lui avoir parlé en code, et d’avoir davantage creusé sa propre confusion à propos de toute cette histoire de tricherie.
D’où sa fatigue, d’où son besoin de contrôler un minimum ses paroles étant donné qu’elle était une putain de bombe à retardement qui serait bien capable de vriller à un moment inopportun pour dire à la cantonade mais les gars, tout ça c’est du flan. C’était contrôlé, c’était tout ce qu’il fallait retenir, même si Charlie n’apprécierait sûrement pas qu’elle le lui dise, surtout pas après qu’elle eut mis la main sur ses cachets et qu’elle les lui brandit sous le nez. Étonnamment, elle ne moufta même pas quand elle lui demanda d’arrêter de se foutre de sa gueule, elle se contenta de faire comme si de rien n’était, et lui prit ses possessions des mains pour les soustraire de leur vue respective, pas très à l’aise au fond de devoir faire un aveu détourné au sujet de quelque chose dont elle avait besoin pour fonctionner un peu mieux, la sensation de ne plus être elle-même avec ou sans se faisant ressentir de toute façon. Elle roula des yeux, entendant la blonde en faire toute une histoire. Jo dut prendre une profonde inspiration pour ne pas lui dire de la fermer "Tout de suite les grands mots. Me fais pas une Midas." Me fais pas une Midas, une expression qui soulignait que lui aussi, il lui avait fait la leçon à ce sujet tout en étant l'une des causes majeures du premier Xanax qu’on lui avait fourré sur la langue — quelle ironie "Je me la joue personne, arrête tes conneries. Je suis juste lucide et responsable en admettant avoir besoin d’un petit peu d’aide pour supporter tout ce qui m’arrive. Si je pétais les plombs ou si je me mettais à chialer en plein interview, vous me conseillerez tous de faire quelque chose : je le fais, lâchez-moi maintenant." Et elle l’accordait au pluriel sans même y penser, reprenant dans un rire qu’elle laissa filer en délaissant enfin son sac, se retournant vers Charlie. Ses bras s’écartèrent, ses mains désignant rien en particulier, mais remuant devant son nez "C’est pas du crack, putain. C’est du Xanax, et ça m’a été prescrit par un médecin." Plus ou moins. Son agent et son attaché de presse n’étaient pas médecins, son assistante encore moins, mais elle leur faisait confiance à ce sujet. On lui demandait de lâcher du lest, de faire confiance, alors elle le faisait "Je suis pas conne non plus, je me bourre pas de médicaments sans savoir ce que je risque. Vous me prenez vraiment pour l’idiote du village, ça me gonfle." C’était certainement déstabilisant de se rendre compte que la si dure, la si solide Josephine avait besoin d’une soupape pour décompresser, mais ça ce n’était pas son problème ; encore que c’était tout de même de sa faute si tout le monde pensait qu’elle avait les épaules pour tout affronter — pas de garder des secrets visiblement. Secouant la tête, elle sentit sa gorge se rétracter, lui faisait camper sur l’idée que c’était exactement pour ça qu’elle avait besoin de ce que Charlie avait trouvé "C’est bon, je peux m’habiller toute seule." Si c’était pour recevoir une salve de regards fixes et de réprimandes en même temps, elle pouvait l’enfiler toute seule sa robe. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Jeu 6 Juil 2023 - 20:33 | |
| "Tout de suite les grands mots. Me fais pas une Midas." “Non, t’avise pas de me mettre au milieu de tes histoires de coeur, Josephine.”
Cœur, cul, elle ne sait jamais trop où ils en sont et à quel moment, mais tout ce qu’elle sait c’est qu’elle ne veut pas être associée à Midas d’une façon ou d’une autre lorsque cela vient de la bouche de Jo. Il n’y aura sûrement jamais rien de bon à en tirer, surtout alors qu’elle vient sûrement de faire à son tour l’aveu que le chanteur s’est déjà inquiété pour elle et qu’elle l’a sans doute renvoyé manu militari parce que c’est ce qu’elle fait de mieux. “On te conseillerait tous de prendre une pause, pas un medoc.” Elle n’est d’accord qu’avec une maigre partie de mots de la chanteuse et, de toute évidence, il y a fort à parier que cela ne lui plaise pas et lui suffise tout aussi peu. Les médicaments ne sont pas la réponse, elle le constate bien trop chaque jour à son travail, à travers des façons directes ou détournées. Personne ne gagne à s’imaginer médecin. Jamais. Elle va à l’avant première de Barbie, mais est-ce qu’elle n’aurait pas dû le troquer pour Elvis, un an plus tôt à peine ? Charlie se le demande sincèrement. “Tu me dis ça comme si tu m’annonçais prendre un Doliprane. Tu te rends compte de la force de cette merde ?” Elle n’en prend pas qu’un seul, et elle le prend tout aussi peu aux intervalles conseillées. Jo est têtue et elle a surtout un problème (jamais Charlie n’aurait qualifié son caractère ainsi) bien trop important à régler pour qu’une dose règlementaire suffise. Elle est anesthesiée à dose de cheval, et ses réponses des heures et jours précédents font davantage de sens désormais.
“On te prend pas pour l’idiote du village, on tient à toi. Je sais que ça a du mal à être accepté dans ta petite tête, mais fais toi y.” Ils veulent le meilleur pour elle, ou c’est du moins ce que Charlie veut croire du reste de l’entourage de Jo qu’elle ne connaît pas. Il y a au moins Midas, il y a au moins Megan. Ils ne sont pas parfaits, aucun des deux, mais ils savent faire leur part des choses et accepter l’éternelle irritabilité de Jo, même quand ils font du mieux qu’ils peuvent pour une personne qui a souvent du mal à le leur rendre. Charlie s’ajoute au lot, ne demandant pas des remerciements interminables, simplement que la brune accepte d’ouvrir les yeux sur la situation. Elle s’habille toute seule, mais la blonde n’abandonne pas le sujet pour autant - elle est têtue, elle aussi. “T’as dit que c’était pour les interviews ? Donc t’en prends que dans ces moments là, tu me le confirmes ?” Mais déjà Charlie s’attend à une réponse négative, certaine que Jo est déjà apaisée par le médicament à l’instant même où elles parlent, loin de tous journalistes et autres caméras. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Sam 8 Juil 2023 - 8:39 | |
| i'll still keep the party running not one hair out of place @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
Jo aurait pu lui rire à la gueule quand Charlie lui dit de ne pas la mêler à ses histoires de coeur. Elle laissa un sourire venimeux filer d’ailleurs, ses yeux superbement maquillés marquant un mouvement vers le plafond, sa tête se secouant en même temps que le bout de sa langue vint creuser dans une dent du fond. Elle devait redescendre d’un étage, ils n’avaient parlé d’elle qu’une seule fois avec Midas, et à partir de là, le chapitre avait été clos. Sa rancoeur, Jo l’avait réservée à nul autre que Charlie parce qu’elle avait cru qu’elle était son amie, que ce genre de bassesse, elle les gardait pour ceux pour qui elle avait moins d’affection, le sentiment de trahison devenant réel à l’instant où elle avait confronté Midas à toute cette histoire, réalisant par la même qu’elle n’avait rien inventé pour la faire réagir, qu’il s’était en effet bien passé quelque chose entre eux sans qu’elle ne sache le quantifier, mais elle ne préférait même pas le faire. À défaut de juger la blonde seule responsable de ce qu’il s’était passé entre eux, pas assez idiote pour ne pas savoir qu’il fallait être deux pour jouer aux Lego, consciente aussi que ça ne la regardait pas de toute façon, elle était toujours convaincue de ne pas avoir eu tort en la soupçonnant d’avoir voulu lui faire de la peine quand elle s’était pointé pour lui raconter ses exploits, alors elle avait boudé longtemps, mais c’était tout maintenant — elle pouvait au moins croire Midas quand il lui avait dit que ça n’avait pas compté pour grand-chose. Quant à l’idée qu’elle ne veuille pas prendre part à tout ça, c’était nouveau tiens, ça aussi elle aurait bien pu le lui dire, lui mettant sous le nez le fait avéré que c’était elle qui lui avait parlé de Midas la première à l’époque, et pas le contraire, de fait jouer les médiatrices maintenant en s’estimant hors du champ, en s’offusquant presque qu’elle puisse citer le nom de Midas, innocente petite Charlie qui ne répondait qu’à des besoins primaires, c’était quand même le truc le plus culotté qu’elle l’avait jamais entendue dire.
Mais elle était à quelques mètres au-dessus du sol Jo, et pour une fois pas fanatique du fait de vouloir envenimer une situation qui ne tournait déjà pas à son avantage, elle laissa couler, même si ça la gonflait profondément, gonflée davantage par la casquette que l’inspectrice venait brusquement de revêtir et qui consistait à quoi, lui faire passer un interrogatoire ? Elles n’étaient pas dans NCIS, et Jo n’avait rien d’un Marine, alors qu’elle ferme sa gueule, voilà ce qu’elle pensa sans le dire "Je te dis ça parce que tu t’es permise de fouiller dans mes affaires. Sans ça, t’aurais même pas eu le courage de me demander pourquoi j’étais si calme. Ça avait pas trop l’air de te déplaire non plus." Et si elle avait eu la force de mettre en avant son esprit de contradiction digne d’une gosse de cinq ans shootée au sucre, elle lui aurait craché que Midas, lui, il s’était rendu compte de ça une poignée de minutes seulement après le début d’une discussion, et qu’il n’avait pas attendu une seconde de plus pour lui demander si elle avait pris quelque chose. Inspectrice la morale peut-être, mais elle avait des progrès à faire avant de s’auto-proclamer Sherlock Holmes.
Ça n’avait rien de réconfortant comme pensée cependant, au contraire ça lui sera le coeur de penser qu’en effet, il pouvait s’inquiéter pour elle, sans doute possible plus que Charlie qu’elle avait envie de renvoyer de là où elle venait. Elle ne répondit pas quand ses pensées se calèrent sans anticipation sur ce qu’elle lui disait à propos de l’idée qu’ils s’inquiétaient pour elle, retirant rageusement son peignoir, ne s’encombrant d’aucune pudeur pour enfiler sa robe, et lui tourner le dos en regrettant de ne pas être capable de ne pas l’entendre. Ça lui fit monter les larmes aux yeux, et c’était exclu de se mettre à chialer maintenant, alors qu’elle était à une heure d’une apparition publique, que son maquillage était splendide, qu’elle l’était pas extension, et qu’elle devait finir de se préparer pour briller et faire parler d’elle en évoluant devant les caméras sans donner l’impression de n’être autre chose que faite pour ça. Elle se concentra sur le drapé de la robe qu’elle sécurisa en en remontant les bretelles sur ses épaules, les retouches faites pour elle épousant la ligne parfaite de sa silhouette galbée par le tissu satiné, et fit alterner le poids de ses jambes pour en descendre le jupon à mi-cuisse pendant qu’elle se juchait sur la pointe des pieds pour vérifier l’effet lorsqu’elle serait surélevée par ses talons. Gardant la position, elle rehaussa la ligne de son décolleté en donnant l’impression de ne plus être là, tachant de se déconnecter suffisamment du bourbier dans lequel elle était pour ne pas se sentir obligée de rendre des comptes à Charlie qui insista pourtant.
Jo descendit de son perchoir, et plaça ses mèches fraîchement bouclées sur ses épaules. Elle en admira le rendu qui ne lui plaisait pas, lui permettant de trouver une porte de sortie pour ne pas répondre tout de suite à la blonde en annonçant sans délai "Je veux que mes cheveux soient lisses." Et elle s’en chargerait seule, c’est l’énergie qui se dégagea de la vrille qu’elle fit pour lui échapper, se dirigeant vers le vanity de la coiffeuse qui l’avait brûlée tout à l’heure. Elle brancha l’appareil sans plus de cérémonie, sentant la chaleur des plaques se répandre sur sa paume lorsqu’elle posa sa main juste par-dessus en même temps qu’elle sentait l’attention de Charlie posée sur elle. Jo ne la regarda pas, elle émit juste un rire de poitrine, du genre moqueur, mais manquant de conviction "T’es pas obligée de jouer à la flic avec moi, je fais rien d’illégal." Et ça n’avait pas vocation à le devenir ni même à devenir autre chose qu’une aide apportée pendant un temps donnée ; celui qui lui fallait pour avaler une plus grosse pilule que les petits comprimés qu’elle prenait déjà de temps en temps — seulement de temps en temps. Sa réponse, c’était peut-être un aveu qu’elle n’en prenait pas que pour ses interviews, et ça l’agaça tellement de la pousser à se faire des idées comme ça qu’elle finit par changer son fusil d’épaule, et par lui faire, ses épaules se haussant avec un agacement visible dans la façon dont elle se tendit, ses yeux lançant des éclairs dans sa direction "J’en prends pour réussir à répondre aux questions à propos de lui sans pleurer et pour éviter de parler trop vite quand on me demande comment je gère ma victoire, ça te va comme justificatif, ou je dois aussi signer un procès verbal ?" Pardon, si je me fais pas tringler par le premier ou la première qui passe pour me remettre les idées en place, moi, c’est ce qu’elle pensa ajouter, mais elle la ferma pour mieux empoigner le lisseur qui était à bonne température, le petit son qui s’en dégagea la mettant sur la piste, mais pas par le manche ; directement par les plaques, ce qui la brûla de nouveau, et lui fit lâcher l’appareil sans ménagement en poussant un juron à la hauteur de la douleur qu’elle ressentit en plein milieu de la paume qui venait de se prendre une décharge de 230° à pleine poignée. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Lun 17 Juil 2023 - 13:24 | |
| "Je te dis ça parce que tu t’es permise de fouiller dans mes affaires. Sans ça, t’aurais même pas eu le courage de me demander pourquoi j’étais si calme. Ça avait pas trop l’air de te déplaire non plus." “J’ai pas fouillé dans tes affaires. Tu l’as vu toi-même, je cherchais autre chose. Quitte à faire de la merde, essaie au moins de le faire discrètement et de ranger derrière toi.”
La balle est renvoyée aussi rapidement qu’elle a été reçue, Charlie jugeant injuste de recevoir un reproche qui n’aurait jamais dû en être un. Elle ne cherchait rien en particulier en fouillant le sac de Jo, ou du moins rien de cet acabit. Elle n’aurait jamais pu ni dû trouver des foutus cachets dans son sac, comme si de rien n’était. La vérité, c’est qu’elle est surtout vexée de la suite de ses propos et de sa propre incapacité à se rendre compte que son amie ne va pas bien et qu’elle est tout sauf dans son état normal. Charlie enrage en silence, Jo étant trop occupée à ressembler à une Barbie de son temps pour pouvoir mener à bien une discussion qui mérite de se passer loin des cabines d’essayage. "Je veux que mes cheveux soient lisses." La blonde ne réagit pas à son annonce. Elle a l’impression qu’elles vivent dans deux mondes parallèles, ce genre de scène dans les films où deux personnages essaient de communiquer mais ne peuvent réellement pas s’entendre. Dans le cas précis, la nuance existe seulement sur le point où Jo refuse de l’écouter ; là où l’inverse est sûrement tout aussi vrai. L’inspectrice croise les bras et regarde la star jouer à la star et se lisser les cheveux sans même demander à son armée d’assistants de le faire.
"T’es pas obligée de jouer à la flic avec moi, je fais rien d’illégal." De ça, elle doute sincèrement. L’argument du médecin est simple à prononcer mais il le serait tout autant à vérifier, alors que Charlie doute qu’elle ait effectivement le droit à autant de pilules. Et quand bien même, là n’est pas le sujet. Elle ne joue pas à la flic, elle joue simplement à l’amie, aussi invraisemblable que cela puisse parfois paraître. Il n’y a pourtant rien dans les mots ou dans l’attitude de Jo qui puisse la pousser à arrêter de continuer de gratter à la surface. Elle veut savoir, coûte que coûte, et le fait que la réponse tourne autour de Midas n’a rien pour la rassurer. Charlie ne doute pas qu’il soit quelqu’un de bien, mais elle doute qu’ils soient faits l’un pour l’autre tant leurs caractères divergent. “T’es fichue si ça s’apprend un jour, tu le sais ça ?” La presse la réduira en miettes et, pour le coup, peut-être qu’elle en aura même la police au cul, pour ce que ça vaut. La suite de ses arguments est interrompue par le cri de surprise qu’elle prononce ; ou qu’elle entend Jo prononcer, peu importe. Elle a un mouvement de recul sur le coup de la surprise mais ses réflexes la font aussi gommer la distance entre elles deux, prenant le poignet de Jo dans sa main pour la rapprocher sans ménagement de l’évier le plus près, l’eau froide coulant à foison. Elle s’inquiétera du réchauffement climatique et du manque d’eau plus tard. “Nom de Dieu, Jo.” Souffle-t-elle, avec bien moins de colère que de tristesse. Pour ce que ça vaut, elle est déjà certaine que la cause de son inattention n’est pas due à leur dispute mais bien à ce qu’elle prend grâce à son médecin. “Fais moi voir.” Le ton est un cran en dessous, il est doux et elle en oublierait presque leur dispute en cours. Le bout de ses doigts filiformes s’arrange pour qu’elle tourne la paume de sa main en sa direction pour qu’elle puisse en jauger les dégâts et leur importance. Et déjà, Charlie grimace. Elle va avoir mal, et elle va avoir de la peine à cacher ça au moment du photocall. “Je suis pas médecin, je sais, mais t’es sûre de toi sur ce coup là ?” Elle comprend sa peine, elle l’entend sans mal, mais est-ce que ses cachets valent la peine de n’être plus que l’ombre d’elle-même ? A nouveau, la blonde souffle. “T’as déjà eu d’autres effets secondaires ?” A quel point elle peut les vivre plutôt que d’avoir une fichue conversation avec Midas pour avouer qu’elle a un peu trop bien joué à la conne, et une autre avec son agent pour demander de ralentir ? |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Lun 17 Juil 2023 - 16:40 | |
| i'll still keep the party running not one hair out of place @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
À un autre moment sûrement que Jo aurait singé Charlie, et qu’elle aurait terminé par l’appeler maman. Elle commençait à la courir à se comporter comme sa daronne sous le prétexte qu’elle avait un insigne, peut-être même une arme, pour ce qu’elle en avait à foutre de toute façon : elle n’avait tué personne, ça devait suffire comme motif pour qu’elle lui foute la paix. Sauf qu’elle n’était pas en position de fanfaronner et que pour une fois, elle en était bien consciente, alors se cachant commodément derrière le nuage de coton formé par ses médicaments, elle la contourna pour se diriger ailleurs, là où elle pourrait se retrouver face à son propre reflet plutôt que face à la mine déconfite d’une amie qui s’inquiétait pour elle. Certainement, mais avec quatre trains de retard.
"Tu surréagis, c’est n’importe quoi." Et en matière de surréaction, Jo en connaissait un rayon, du coup elle pouvait au moins se permettre de le lui dire sans trouver ça trop exagéré justement "Tous les anxieux et les dépressifs qui se font soigner finissent pas derrière les barreaux pour avoir pris du Xanax. Je suis pas Einstein, mais prends-moi pas pour une conne non plus." se défendit-elle, ne tenant pas à s’arrêter davantage sur le jugement qu’elle pouvait lire dans les yeux de la jeune femme qu’elle finit pourtant par regarder de nouveau, secouant la tête en se prenant ses mots en pleine figure. T’es fichue si ça s’apprend un jour "Ouais, à choisir je préfère qu’on se dise que je suis un stéréotype qu’on commence à me traiter comme une putain de fraude qui a volé un truc qu’on lui a pas donné le choix d’accepter." La peste ou le choléra, Jo avait choisi sans même s’en rendre compte, se rendant encore moins compte que ce qu’elle tenait tant à éviter était en train de se produire parce que Charlie n’était pas foutue de s’occuper de ses miches.
Ça l’énervait, bien sûr que ça l’énervait, d’être prise pour une débile alors qu’elle était dans son droit le plus strict de choisir comment apaiser un peu les derniers mois qu’elle avait passé sur les routes, qu’elle avait passé aussi à devoir jouer la comédie à tout bout de champ et à accuser les retombées de quelque chose qu’elle avait à peine vu venir. Tu l’as voulu, voilà ce qu’elle se répétait en désespoir de cause, n’ignorant pas qu’à des moments, elle pouvait se comporter comme la pire des ingrates, et que c’était ce qu’on l’accuserait d’être si on venait à découvrir le secret derrière la vidéo de sa dispute avec Midas.
La main qu’elle venait de brûler se mit à trembler sous le coup de la douleur ressentit, et la manière dont elle attrapa son propre poignet était assez ferme pour qu’elle ressente le sang stagner à cet endroit. Charlie prit la relève, elle ne se déroba pas. Elle serra les dents en sentant l’eau froide couler sur sa paume, et refoula un autre juron qui se perdit au travers de mots de la blonde "C’est qu’une brûlure." La deuxième en moins de trois quart d’heure, ils en courraient d’autres des rumeurs si on la voyait balafrée de partout. Rien à foutre "J’ai pas décidé de prendre ces trucs." Elle ne s’était pas réveillée un matin en se disant pourquoi pas, et ça elle voulait que Charlie le sache sans pour autant rentrer dans les détails "On m’en a refilé un le soir de la finale et je l’ai pris sans réfléchir. Je me suis rendue compte de rien, quand je suis revenue à moi, tout était déjà terminé. J’ai continué parce que c’était trop d’un coup Charlie, j’ai pas dormi une seule nuit complète depuis le mois de mars." Et pas seulement parce qu’elle était occupée, c’était sous-entendu "Je réussissais à gérer avant L.A, ça allait et je suis restée plusieurs semaines sans en avoir besoin. Mais j’ai revu Midas juste avant de partir, et ça a été horrible." Par sa faute cette fois. Ils pouvaient se partager plus ou moins équitablement les fautes maintenant.
"J’ai des migraines, c’est tout." C’était déjà pas mal à côté de l’impression qu’elle donnait d’avoir atterri sur la Lune. Retirant sa main de sous le jet d’eau, Jo releva la tête en même temps pour affronter le regard de Charlie cette fois, et enchaîner presque d’une traite, une épaule se haussant pour dégager ses cheveux de là. La succession des choses lui avait donné autant chaud que la brûlure qu’elle sentait palpiter dans le creux de sa main qu’elle tenait repliée contre son abdomen "J’avais juste besoin de rien ressentir parfois. Je veux pas devenir le cliché de la starlette qui tient à peine debout sur le tapis rouge, je vaux mieux que ça, c’est même pas la question." Vraiment, ce n’était pas dans ses intentions, c’était juste la facilité qui lui avait été porté sur un plateau et qu’on ne lui avait plus refusé ensuite. Elle était seule Jo, complètement seule avec son secret et celui de Midas depuis des semaines et des semaines. Comme parler de tout ça avec lui finissait toujours par une dispute, qu’est-ce qu’elle pouvait faire en vérité ? Elle était fatiguée d’y penser constamment, elle l’était encore plus de se placer dans la position de la coupable quand tout ça n’était même pas sa faute, n’en déplaise au principal concerné qui était convaincu que ça lui plaisait de lui faire payer ses mensonges — peut-être un peu, mais pas tant que ça au fond, sinon elle ne vivrait pas aussi mal la situation. Elle prit une très profonde inspiration, et aidée par ses médicaments, elle trouva la volonté de ne pas se mettre à pleurer quand elle ajouta juste, sa tête se secouant doucement, et ses yeux dérivant de ceux de Charlie pour se poser sur le plafond de la salle de bain qu’elles avaient rejointe avant de se fermer, ses reins s’appuyant d’eux-mêmes contre le lavabo "J’ai juste besoin d’une putain de journée sans bruit, sans drame, sans rien, c’est trop demandé ?" Là, on atteignait un certain degré de détresse quand Jo Carter aspirait à la tranquillité, elle qui était branchée sur 100 000 volts, et qui démarrait au quart de tour. Plus que tout le reste, c’était ça qu’il fallait prendre comme un signal d’alarme. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Sam 29 Juil 2023 - 18:58 | |
| Jo fait n’importe quoi, Jo dit n’importe quoi. Elle dit de Charlie qu’elle sur-réagit, Charlie pense d’elle qu’elle sous-réagit. Elle ne fait rien, elle ne dit rien face à tant de problèmes et de cas de conscience qui l’auraient fait rugir, hier encore. Maintenant, la blonde remonte dans le temps et pense à toutes ces fois où Jo n’a pas été Jo. Quand elle a laissé couler, quand elle n’a rien dit, quand elle ne s’est pas insurgée du moindre problème. Elle aurait dû se rendre compte que quelque chose avait changé et que cela n’allait pas, évidemment, mais elle a préféré ne rien voir, trop occupée par son propre quotidien. "Ouais, à choisir je préfère qu’on se dise que je suis un stéréotype qu’on commence à me traiter comme une putain de fraude qui a volé un truc qu’on lui a pas donné le choix d’accepter." - “De quoi tu parles ?” Elle s’agace, Charlie, parce qu’elle n’est pas loin de penser que Jo pourrait se montrer paranoïaque, parce qu’après tout cela pourrait faire partie des effets indésirables du Xanax sans qu’elle n’en sache rien. Pourquoi se serait-elle penchée sur l’utilisation prononcée de Xanax ? Elle n’y a jamais pensé, elle ne s’est jamais rien demandé à son sujet, et pourtant maintenant elle a envie de parcourir la Toile toute entière pour savoir jusqu’où Jo s’est mise dans la merde avec ses conneries et ce qui est sans doute le début d’une addiction.
"J’ai pas décidé de prendre ces trucs." Comment ça ? Comment peut-elle prendre un tel genre de médicament sans l’avoir décidé par elle-même en premier lieu ? Mais Jo explique. Elle continue, elle ajoute peu de détails mais ils suffisent à Charlie pour qu’elle se fasse une idée claire de la situation: ils sont tous fous. Fous et ignorants, fous et égoïstes. “Pourquoi t’as rien dit, Jo ?” Elle souffle et s’étrangle presque, prise de court face à la détresse d’une amie qu’elle n’a que très rarement eu l’occasion d’observer dans un tel état. Elle est forte et surtout elle est indépendante, Jo. Elle l’était, jusqu’à devoir compter sur un petit médicament de rien du tout pour s’assurer un peu de calme et un peu de sommeil dans un emploi du temps qui ne laisse pas de place à ce genre de moments. “Qu’est-ce qu’il s’est passé ?” Est-ce qu’elles doivent détester toutes les deux Midas, maintenant ? A quel point a-t-il encore été maladroit, celui-là ? Elle sait qu’il ne veut pas le mal de Jo, mais bon sang qu’il a du mal à le faire comprendre à son tour, parfois.
Elle la laisse retirer sa main de l’eau, non sans poser ses yeux sur le chemin tracé par cette dernière, dans l’espoir d’observer brièvement l’allure nouvelle de la brûlure contre sa paume. Il n’y a rien de joli là-dedans, rien que le maquillage puisse totalement masquer aussi. "J’ai des migraines, c’est tout." Ce n’est pas tout, non, et elles le savent toutes les deux. Charlie est certaine que son amie elle-même ne croit pas à son mensonge, raison pour laquelle elle ne prend même pas la peine d’y répondre à son tour. "J’ai juste besoin d’une putain de journée sans bruit, sans drame, sans rien, c’est trop demandé ?" Les mots de Jo sont d’autant plus touchants qu’ils sont rares, cette dernière n’ayant pas pour habitude de se confier d’aucune manière. Elle est discrète, aussi paradoxal que cela puisse être pour une star mondiale qui aime les paillettes et les tenues colorées. Cela n’a rien à voir, pourtant. “T’as besoin de calme et c’est moi que tu choisis d’inviter ? T’es vraiment tombée sur la tête, Carter.” Charlie parle avec un sourire compatissant et amusé. Elle est tombée sur la tête à bien des niveaux, Jo. “On peut se faire livrer des burgers. J’ai même pas vraiment envie de le voir, ce film.” Elles peuvent faire une pause ensemble. Elles peuvent faire une soirée sans bruit et se dire qu’à partir de maintenant, il n’y aura pas de drames non plus. Elles le peuvent, si jamais Jo le pense. Charlie n’aurait qu’à montrer son insigne pour qu’on ne les embête plus, non ? “Ca tournera mal si tu continues à ce rythme, Jo, et je sais que tu vas me détester pour te le dire.” Si elle continue d’être sur tous les fronts autant que si elle continue à prendre cette merde: ça tournera mal, et ça tournera sûrement bien plus vite qu’elle ne le pense. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Dim 30 Juil 2023 - 13:23 | |
| i'll still keep the party running not one hair out of place @Charlie Fawcett ☆ crédit/ssoveia
"Laisse tomber." C’était beaucoup trop tard. Charlie était avait le défaut d’être putain de pugnace, elle ne laisserait pas tomber. Le putain que Jo laissa filer, il était plein de frustration et de colère contre elle-même que même une molécule addictive comme le Xanax ne pouvait pas annihiler. Elle se mordit l’intérieur de la joue fort, au point d’en sentir un goût métallique qu’elle choisit d’ignorer, et puis elle se détourna de Charlie avec sa main maintenue contre contre abdomen et son envie de plus en plus pressante de lui dire de se tirer en plus d’aller se faire foutre. Mais ce serait injuste de s’énerver contre elle, Jo réussissait à se le dire avec assez de rationalité pour qu’elle sache que ça lui venait naturellement et que ce n’était pas les effets secondaires de sa prise excessive de médicaments
"Qu’est-ce que tu crois, qu’on la joue à la loyale dans ce genre de concours ? J’ai gagné parce que ça a été décidé sans qu’on me tienne au courant. Je l’ai appris moins de 24 heures avant d’être jetée dans la fosse aux lions." De but-en-blanc, comme si c’était au bord de ses lèvres depuis longtemps, elle laissa les choses couler Jo. Enfin. Elle ne retint même pas le petit rire qui lui échappa, son amertume étant assez visible pour que Charlie ne se dise pas qu’elle plaisantait avec ça quand elle ajouta "C’est pour ça que j’ai rien dit. J’étais sous le choc d’avoir été assez conne pour croire que c’était un principe honnête, et que si j’en étais arrivée jusque-là, c’était grâce à moi et pas grâce à quelqu’un d’autre, ou à ce que ça rapporterait à une putain chaîne de télé de miser sur moi sur la durée. Félicitations, bienvenue dans le monde du show-business." Elle ne parla pas Midas volontairement puisque Charlie avait été claire — elle préférait qu’il ne soit pas mis en travers de leur discussion — et que ça l’arrangeait dans le fond de la boucler à son sujet. Surtout là, parce qu’elle ne voulait pas salir son nom ; c’était peut-être la seule chose qui lui aurait fait du bien finalement, de piétiner un peu sa réputation, de se comporter comme toutes les amoureuses blessées en le faisant passer pour un connard de service qui ne la méritait pas, de l’écorcher assez fort pour qu’il se prenne un revers de bâton et prenne un nouveau profil dans les yeux de quelqu’un qui, si elle le connaissait qu’en surface, avait au moins émis une ou deux fois l’idée qu’il n’était pas un mauvais garçon. Et elle n’avait pas tort, d’où l’idée de ne même pas répondre à la question qu’elle lui posa au sujet du désastre qu’avait été leur dernière pseudo-conversation.
Elle secoua la tête Jo en réalisant que, dire ce qu’elle avait sur le coeur à ce propos, ça ne la soulageait pas, même pas un peu ; elle eut mal au ventre au contraire. Au cours des dernières semaines, il s’était ajouté tellement de questions que l’idée même d’avoir été le dindon de la farce, c’était presque devenu le cadet de ses soucis "Ouais, mais tu sais quoi, j’ai pas grand-monde à part toi en ce moment." Ça lui serra la gorge de le dire avec autant de nonchalance quand ça partait d’une vérité immuable : elle était entourée de partout, pourtant elle était atrocement seule depuis six mois "Meg est occupée avec Damon, mes parents sont des connards et ma grand-mère a pas besoin de se rendre compte qu’un truc tourne pas rond, alors désolée, mais t’étais un peu ma dernière option." Et si ça pouvait être un peu vexant d’un côté, ça voulait dire pas mal de choses d’un autre. Elle finit par regarder de nouveau sa main blessée, balaya sa rangée de dents du haut avec sa langue avant de laisser un léger rire lui échapper à la proposition de Charlie qui ne mesurait sans doute pas dans quel genre de milieu elle avait foutu les pieds "Je peux pas, c’est un boulot." Et aussi étrange que ça pouvait paraître, dans le cadre du boulot, Jo était plutôt docile depuis quelques temps — disons qu’elle avait besoin de prouver qu’elle pouvait l’être en tout cas, alors ça l’emmerdait une fois sur deux, mais elle faisait les choses dans les règles. Bêtement, elle souffla sur la brûlure qu’elle avait à l’intérieur de sa main et se redressa en entreprenant de reprendre là où elle s’était arrêtée tout à l’heure. Elle dégagea ses épaules de ses cheveux, s’apprêtant à tourner les talons pour rejoindre le coin où elle avait laissé tomber le lisseur brûlant, mais s’arrêta et se retourna vers elle quand Charlie reprit la parole. Elle lui adressa un regard fixe avant de tendre la main pour lui toucher la joue avec sa paume blessée, puis l’épaule du bout des doigts, et la prendre dans ses bras ensuite en s’approchant plus près tout en se hissant sur la pointe des pieds pour que leur grande différence de taille soit comblée le temps de quelques instants "Je te déteste déjà de toute façon, ça change pas grand-chose." Une dernière fois, elle la serra plus fort contre elle avant de se dégager pour lui prendre le visage en coupe, et lui dire avec une assurance qu’on ne pouvait pas lui enlever à Jo ; même si là, elle en prenait un petit coup dans l’aile "Je vais trouver un rythme. Je peux pas faire marche-arrière maintenant que j’ai eu tout ce que je voulais." Pas tout en l’occurence, mais passons sur le sujet. Elle eut un léger sourire qui se fana rapidement quand, après avoir lâché le visage de Charlie pour replacer ses cheveux blonds sur ses épaules, elle lui demanda presque tout bas "Tu raconteras à personne ce que je t’ai dit à propos de ma victoire ? Si ça s’ébruite, je saurais que ça vient de toi." Ce n’était pas une menace, encore moins une mise en garde. C’était juste pour qu’elle sache que, sans qu’elle ne le lui dise, elle s’était confiée à personne d’autre qu’elle à ce sujet, et que ça lui avait assez coûté pour qu’elle espère que son secret serait gardé. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Jeu 3 Aoû 2023 - 15:56 | |
| Et enfin, Charlie apprend. On lui présente la Boîte de Pandore qui desservir ses affres depuis si longtemps sur Jo et elle comprend les tenants et aboutissants de beaucoup d’autres choses. Elle comprend l’état de son amie, surtout, et c’est là évidemment le plus important, quand bien même une question demeure sur le bout de sa langue: est-ce qu’il sait ? Lui qui a aussi participé à ce concours, il le sait ? A-t-il pris part aux décisions ? A quel point le monde des jeux télévisés est-il fou, au juste ? La nouvelle a au moins le don de couper le clapet de la blonde, qui ne sait plus quoi dire, et surtout plus quoi faire. L’histoire a été réglée il y a longtemps et elle n’est même pas certaine que rendre le tout public serait une bonne chose, surtout pour Jo. Elle en pâtirait bien plus qu’autre chose, elle tomberait en disgrâce. Elle ne le mérite pas.
"Qu’est-ce que tu crois, qu’on la joue à la loyale dans ce genre de concours ? J’ai gagné parce que ça a été décidé sans qu’on me tienne au courant. Je l’ai appris moins de 24 heures avant d’être jetée dans la fosse aux lions." De but-en-blanc, comme si c’était au bord de ses lèvres depuis longtemps, elle laissa les choses couler Jo. Enfin. Elle ne retint même pas le petit rire qui lui échappa, son amertume étant assez visible pour que Charlie ne se dise pas qu’elle plaisantait avec ça quand elle ajouta "C’est pour ça que j’ai rien dit. J’étais sous le choc d’avoir été assez conne pour croire que c’était un principe honnête, et que si j’en étais arrivée jusque-là, c’était grâce à moi et pas grâce à quelqu’un d’autre, ou à ce que ça rapporterait à une putain chaîne de télé de miser sur moi sur la durée. Félicitations, bienvenue dans le monde du show-business." Elle ne parla pas Midas volontairement puisque Charlie avait été claire — elle préférait qu’il ne soit pas mis en travers de leur discussion — et que ça l’arrangeait dans le fond de la boucler à son sujet. Surtout là, parce qu’elle ne voulait pas salir son nom ; c’était peut-être la seule chose qui lui aurait fait du bien finalement, de piétiner un peu sa réputation, de se comporter comme toutes les amoureuses blessées en le faisant passer pour un connard de service qui ne la méritait pas, de l’écorcher assez fort pour qu’il se prenne un revers de bâton et prenne un nouveau profil dans les yeux de quelqu’un qui, si elle le connaissait qu’en surface, avait au moins émis une ou deux fois l’idée qu’il n’était pas un mauvais garçon. Et elle n’avait pas tort, d’où l’idée de ne même pas répondre à la question qu’elle lui posa au sujet du désastre qu’avait été leur dernière pseudo-conversation. "Ouais, mais tu sais quoi, j’ai pas grand-monde à part toi en ce moment." Et maintenant elle est muette comme une foutue carpe au cœur brisé. Elle n’écoute pas les autres explications signifiant comment elle a pu en venir à ne plus que pouvoir compter sur Charlie dans son quotidien, cette dernière n’en ayant certainement pas besoin pour la prendre dans ses bras sans lui demander son avis, ni celui de sa foutue coiffeuse, et encore tout aussi peu celui de la maquilleuse. “Je suis désolée.” Et elle va la détester pour avoir de l’empathie pour elle, mais peu importe. Elle l’est vraiment, désolée. Elle n’est que ça, d’ailleurs, incapable de penser à un autre sentiment pouvant habiter son coeur. La peine qu’elle ressent à l’égard de Jo prend absolument toute la place.
Après un instant, Jo lui rend son étreinte et la couple à la plus douce des mélodies pouvant venir de sa bouche. "Je te déteste déjà de toute façon, ça change pas grand-chose." La blonde rigole tristement et la serre un peu plus fort contre elle, le temps d’un instant seulement. Elles ont déjà partagé un baiser plein de larmes alors merde, elles peuvent au moins s’enlacer en étant un peu tristes. "Je vais trouver un rythme. Je peux pas faire marche-arrière maintenant que j’ai eu tout ce que je voulais." Et elle hoche la tête, Charlie. Elle n’y croit pas sur le moment mais elle veut y croire pour l’avenir, parce que cela signifierait que Jo irait mieux, parce que ça signifierait que tout rentrerait en ordre. Elle ne mérite pas moins. “Tu voulais vivre de la chanson. Pas tous les à côtés.” Personne ne pourrait anticiper à quoi ressemble la vie de star dans ses côtés les plus sombres, pas vrai ? Ce n’est pas parce qu’elle est aujourd’hui une personnalité publique qu’elle n’a pas le droit de se plaindre. Elle reste humaine, même avec toute sa capacité à être horripilante. "Tu raconteras à personne ce que je t’ai dit à propos de ma victoire ? Si ça s’ébruite, je saurais que ça vient de toi." Elle ne fait aucun faux suspens et, déjà, sa tête marque la négation. “Personne saura.” Malgré les apparences, elle sait garder un secret. Malgré les apparences, surtout, elle n’aurait pas tant de personnes que ça à qui se confier. L’histoire intéresserait sûrement Eddie, mais il a un fils dont il doit s’occuper et elle n’e veut pas l’embêter avec des histoires du genre. “Je te préviens Jo, à la seconde où on rentre du film, je t’assomme et tu dors.” Elles iront, c’est d’accord, mais elle veut la voir se reposer une fois son travail fait, parce qu’elle est déjà assurée que Jo sera encore moins à même de le faire une fois en dehors de la vigilance de Charlie. La blonde n’a pas à coeur de l’interroger sur le sujet Midas, si bien qu’elle ne le fait tout simplement pas et la serre brièvement dans ses bras, une fois de plus. “Tu fais chier.” Elle souffle, bien plus désolée qu’en colère. “Mais je suis là pour toi, ok ?” Malgré tout le reste, cela ne change pas. |
| | | | | | | | (jolie #10) i'll still keep the party running not one hair out of place |
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