ÂGE : 35 ans (24.05.89) SURNOM : CeCe, plus ususel que Cecilia - Javotte lui sied plutôt bien STATUT : Célibataire. It's not about the money, money, money...mais si en fait. MÉTIER : Serveuse au rabais au DBD LOGEMENT : #406 montague road - west end. Glow up : le nouvel appart. Glow down : Finnley en colocataire. POSTS : 1155 POINTS : 100
TW IN RP : age gap, chantage ORIENTATION : J'aime tout le monde. RPs EN COURS : Danaë - Chris - Raelyn #2 - Finnley #3
Not your Barbie girl, I'm livin' in my own world. I ain't plastic, call me classic. You can't touch me there, you can't touch my body unless I say so, ain't your Barbie, no. @Heath Wilson
Je n’avais pas tapé dans le décolleté incendiaire pour une fois et avait plutôt opté pour une robe noire suffisamment fendue pour faire tourner les têtes de quinquagénaires en mal de contacts physiques et probablement nostalgiques à vomir de leur jeunesse passée. Rien derrière mon sourire enjôleur ne permettait de détecter le dédain que j’avais véritablement envie de laisser paraître. Le bras de Heath auquel je m’accrochais comme la parfaite poupée Barbie qu’il m’avait demandé d’être en était presque réconfortant au milieu d’un océan d’hommes riches se congratulant les uns les autres pour des actions pour lesquelles leurs secrétaires avaient probablement plus de mérite qu’eux. C’est dans un murmure grinçant que mon appel à l’aide s’était manifesté : « Qu’est-ce que je fiche là. » Le carnet d’adresses. Voilà ce que je fichais là. Je n’avais pas la moindre envie de me montrer en spectacle auprès de cette foule, mais Heath m’avait appâtée beaucoup trop facilement en me faisant miroiter les contacts que je pourrais me faire à cette soirée de l’entreprise familiale. Avais-je envie de travailler avec eux ou de faire appel à eux d’une quelconque manière que ce soit ? Pas le moins du monde. Etais-je malgré tout prête à le faire si cela me permettait de regagner le même statut qu’eux ? Evidemment. Il serait toujours temps de leur marcher dessus par la suite. Pour l’heure, je n’étais pas en mesure de me montrer difficile alors que j’étais revenue au bas de l’échelle. « Dis-moi, est-ce qu’il est prévu dans le contrat que je puisse l’ouvrir de temps en temps ou est-ce que je suis censée jouer la potiche silencieuse à ton bras toute la soirée ? » Quelle que soit l’option choisie, il savait que je finirai par l’ouvrir à un moment ou l’autre. Il connaissait mon caractère, et je connaissais le sien. Et à vrai dire on connaissait même bien plus que le caractère de l’un et de l’autre. Je ne sais pas à quel moment j’avais fait l’erreur de remettre le couvert avec lui entre le moment où il avait pris plaisir à me recroiser derrière le comptoir du death before decaf, et celui où il m’avait fièrement proposé son argent juste parce qu’il pouvait se permettre de le jeter par les fenêtres comme il le voulait. Mais les faits étaient là. Je passais bien plus de temps dans son lit que je n’osais l’admettre et la première dégoûtée par cette histoire, c’était moi. Son égo. Son dédain. Son insolence. Son indifférence pour tout ce qui ne le touchait pas de près, et encore. Ca n’était pas parce qu’on partageait toutes ces caractéristiques que je le détestais, mais parce qu’à cette liste s’ajoutaient sa réussite et un compte en banque bien fourni qui restaient aux abonnés absents chez moi. Un putain de vieux riche imbu de lui-même, voilà ce qu’il était. Mais est-ce que je prenais plaisir à pouvoir me montrer sous mon vrai jour avec lui ? A lui répondre sèchement si j’en avais envie ? A me lancer dans des joutes verbales sans fin juste pour le plaisir de se contredire mutuellement ? Oui. C’était un adversaire à la hauteur. Et en lui jetant un coup d’œil discret, je ne pouvais pas nier que la cinquantaine lui allait bien et que son charisme autant que son charme avaient très largement contribué à la faiblesse dont je faisais preuve avec lui et que je ne regrettais finalement qu’au matin. Le sugar daddy par excellence. On était un putain de cliché ambulant, même si je devais reconnaitre que j’aurais pu tomber sur bien pire. « J’ai un quelconque rôle à jouer ou est-ce que je suis vraiment là juste pour faire joli ? » La question était posée sérieusement cette fois-ci. Y avait-il au moins un quelconque défi à cette soirée ? J’étais une actrice hors-pair, pouvait-il au moins me donner l’occasion d’exercer mes talents ? « Et plus important encore comme question… » Je m’étais stoppée pour me mettre face à lui, posant mon regard dans le sien en laissant s’écouler quelques secondes silencieuses avant d’afficher à nouveau mon sourire de parade, mes mains se levant en direction de sa cravate pour en resserrer le nœud dans un geste délicat. N’étais-je pas la potiche la plus attentionnée qui soit ? « …où est l’alcool ? » Les questions. Les vraies.
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Hey homecoming queen
look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you.
Pas de vagues ce soir, s'il te plait. Cela avait été le message de Miles et sa seule demande pour la soirée en question et maintenant que tu te retrouves au milieu d'actionnaires et d'autres personnes coincées que tu as croisé en grandissant... tu te demandes de quoi ton petit frère avait peur. La soirée est déjà chiante au possible, tu as été obligé de faire un effort et de mettre un costume et si une autre personne te félicite sur la réussite de la compagnie, te dit qu'être médecin, c'est un passe-temps intéressant... tu ne sais pas ce que tu vas faire, mais ça sera une putain de vague, c'est certain. Ton regard tombe sur ton père, qui est là, à l'autre bout de la pièce, dans un fauteuil roulant, lui aussi dans un costume qui coûterait certainement des mois de salaires à quelqu'un de beaucoup moins important, et bien entendu, Charles Wilson est accompagné. Qui est la dame de la même tranche d'âge que ton père qui est prête à la suivre à l'autre bout du monde ? Tu n'en sais rien, Miles doit avoir la réponse, mais pas le temps d'aller capter l'attention de ton frère, Cece capte la tienne tout de suite. Avec une question plus que valide et elle a le droit à un sourire, ton regard clair soudainement beaucoup plus intéressé par la blonde. Qui est ta compagnie de la soirée et non, ce ne sont même pas tes exploits sous les draps qui ont réussi à la convaincre. "Hey tu sais ce qu'on dit : happy wife, happy life... mais oh, j'oubliais, on n'est pas mariés, sinon tu me détesterais déjà et tu ne serais pas là ce soir." Et ce n'est pas comme si cela avait été si difficile de la convaincre, Cecilia aux premiers abords, passe pour le cliché de la femme superficielle, intéressée et égocentrique, mais ce n'est pas tout ce qu'elle est. Prétendre être stupide devant toi ou que tout n'est pas prémédité ou encore calculé est insultant dans le fond, elle n'est pas là pour toi, mais bien pour elle. Personne ne peut vraiment dicter sa conduite à une femme comme elle, tu le sais depuis longtemps et c'est sûrement pour cela que tu apprécies sa compagnie. Oui, quelque chose cloche chez toi, ce n'est pas nouveau. Et quand elle se plante devant toi, bien déterminée à avoir l'attention qu'elle mérite, tu finis par avoir un léger rire. "Ah, je savais que je t'avais invitée pour une bonne raison..." Et elle passe certainement pour la partenaire la plus affectionnée du monde en s'occupant de ta cravate, juste une façade, c'est presque touchant et au lieu de répondre, tu lui offres ton bras la seconde suivante. Avec un regard qui veut dire que tu t'occupes de tout. Oui, tu la guides vers le bar plus que bien fourni et les employés qui sont là pour la soirée, et qu'elle pourra regarder de haut si elle le souhaite, vu qu'elle n'en fait pas partie ce soir. "Tu n'es pas juste là en tant que faire-valoir, promis, quoi que tu te débrouilles très, très, bien dans cette catégorie." Un compliment qu'elle appréciera et la seconde suivante tu as un geste de la main, vous êtes au bar et tu t'accoudes au comptoir, juste pour te rapprocher un peu plus d'elle et continuer votre petit jeu. "Tu es là pour me tenir compagnie, m'aider à emmerder mon père et… oh l'alcool est gratuit." Et oui, c'est bien parce que tu as vu quelqu'un se diriger vers vous que tu as dit cela et tu la laisses commander ce qu'elle veut, ce sera la même chose pour toi, tu n'es pas bien difficile quand il s'agit de ton choix de poison, du tout. "Ou alors, on prétend encore que tu es là pour te faire des connexions parce que tu as besoin d'une échelle sociale ou financière à grimper ?" Ce qui est sans doute le cas et peut-être que tu ne comprendras jamais sa position, et que tu devrais te montrer plus empathique, justement. Ou pas, que tu penses quand on vous apporte vos verres, ton épaule n'est décidément pas laquelle il faut pleurer. Du tout. "Si tu n'es pas sage, je te donnerai autre chose à grimper." Un autre sourire passe sur tes traits avant que tu ne t'empares d'un des verres que l'on vient de poser devant vous.
Cecilia Barker
la sans-un-sou
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Je l’observais du coin de l’œil scruter son père et je ne pouvais m’empêcher de me demander ce qui se passait dans sa tête à ce moment précis. Oh j’aurais pu le lui demander pour satisfaire ma curiosité…mais cela aurait signifié donner l’impression de m’intéresser à quelqu’un d’autre que moi et ça n’était pas ma priorité pour ce soir. Enfin c’était tout du moins ce dont j’essayais de me persuader alors que je n’étais toujours pas certaine à 100% des raisons qui m’avaient poussée à accepter son invitation. "Hey tu sais ce qu'on dit : happy wife, happy life... mais oh, j'oubliais, on n'est pas mariés, sinon tu me détesterais déjà et tu ne serais pas là ce soir. " La seule chose dont j’étais sûre, c’était qu’à nous deux on ne risquait pas de s’ennuyer. Je profitais de cette réplique pour hausser quelque peu le ton afin de m’assurer que les personnes autour de nous nous entendent distinctement. « Heath…tu es en train de me parler mariage ?? Est-ce que je dois m’attendre à une demande prochaine ? » Mon sourire était sans faille. La plus convaincante des actrices, la plus émue des futures mariées, non sans une demi-seconde où je sortais du caractère pour laisser une expression amusée et provocante m’échapper. On savait l’un comme l’autre qu’il avait raison et que Cecilia Wilson avait certes une sonorité intéressante, mais que cette histoire-là aurait fini en bain de sang. Non. Mieux valait être sans attache pour profiter pleinement des nuits passées ensemble et des discussions animées qui s’ensuivaient pour se contredire autant que possible. "Ah, je savais que je t'avais invitée pour une bonne raison... " Tête légèrement penchée sur le côté, à deux doigts de lui faire une petite révérence pour répondre à cette évidence. Evidemment qu’il avait bien fait. La question était plus de savoir s’il allait finir par le regretter. Ou plutôt à quel moment de la soirée il allait finir par le regretter. "Tu n'es pas juste là en tant que faire-valoir, promis, quoi que tu te débrouilles très, très, bien dans cette catégorie. " La superficialité de ce compliment me donnait à la fois envie de sourire et de lui décocher un doigt d’honneur bien mérité, mais il ne s’agissait pas de sortir complètement de mon rôle non plus. Alors pour l’heure j’acceptais d’être son joli faire-valoir en attendant de pouvoir prouver à quiconque serait intéressé que je valais plus que ça. "Tu es là pour me tenir compagnie, m'aider à emmerder mon père et… oh l'alcool est gratuit. " Je lui lançais un regard entendu en venant à mon tour m’appuyer sur le comptoir. Enfin, on parlait des choses sérieuses. Je commandais tout de suite deux verres de Martini et deux verres de Gin. Ne pas mélanger les alcools ? Pourquoi faire quand j’avais passé des années à prouver que je tenais parfaitement l’alcool durant les soirées mondaines les plus chiantes du monde. Il fallait bien trouver de quoi s’amuser non ? « Il y a un plan à appliquer pour emmerder ton père ou bien on peut laisser libre court à notre imagination ? » demandais-je tout en le regardant de façon appuyée, bien consciente qu’on n’était plus doués quand il s’agissait de se montrer créatifs l’un avec l’autre. "Ou alors, on prétend encore que tu es là pour te faire des connexions parce que tu as besoin d'une échelle sociale ou financière à grimper ? " Je n’avais pu m’empêcher de secouer la tête face à cette provocation gratuite et à laquelle il saurait qu’il y aurait des représailles. C’était comme ça qu’on fonctionnait après tout. « Je vois absolument pas ce qui m’empêche de tout faire à la fois. Je suis une femme multitâches tu sais. » Mon agilité à emmerder les gens tout en les enfumant afin d’arriver à mes fins, c’était bien là ma plus grande compétence. « Je peux par exemple aller chercher des "conseils" auprès de ton père et évincer au passage la femme qui sembler collée à lui ? On sait qui c’est ? Que pense-t-on de belle-maman ? » Non pas que ça m’intéresse réellement, mais des fois que l’information puisse m’être utile d’une quelconque manière que ce soit…"Si tu n'es pas sage, je te donnerai autre chose à grimper. " Un sourcil interrogatif levé suite à cette réflexion, je laisse quelques secondes de silence s’écouler avant de lever un premier verre dans sa direction pour l’entrechoquer délicatement au sien : « C’est une menace ou une promesse ça Wilson ? Watch me. » Et pour appuyer mes propos, je fais disparaitre au passage le contenu de mon Martini, repose le verre sur le comptoir et m’empare le plus naturellement du monde du verre de Gin, un sourire aux lèvres. Comme si ça nous ressemblait d’être sages quand on était ensemble.
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"Tu sais, pas besoin de pousser, ma simple présence doit lui faire les pieds." Tu le marmonnes dans ton verre, pas vraiment pour que Cece l'entende, mais parce que c'est la vérité. Alors quoi ? Tu l'entraines au milieu de ta situation de famille plus que compliquée et des disputes plus que fréquentes avec Charles Wilson premier du nom... Quelque chose comme ça. Et puis, tu ne connais aucune famille qui tient encore bien debout, où tout le monde s'adore et où on se serre la main, alors, vous n'êtes pas une anomalie, ton père et toi, ou même Miles et toi. Tu lèves ton verre alors qu'elle te dit être une femme multitâche et tu regrettes, totalement, d'avoir de l'alcool dans la bouche quand Cece reprend de nouveau la parole. Belle-maman. Ce qui impliquerait que ton père a tourné la page, et qu'il a remplacé ta mère, ce qui serait une insulte de plus à sa mémoire. Plus que les tromperies et l'indifférence de ce dernier. Tu manques de t'étouffer, tu manques seulement, rattrapé par ton bon sens et ton corps qui connait la marche à suivre quand il s'agit d'alcool. "... Est-ce que tu veux que je meure en m'étouffant dans mon verre ?" Que tu dis avant de prendre une profonde inspiration, un regard pour ta camarade de jeu de la soirée. Parce que c'est un jeu, pas vrai ? Ta remarque suivante et la réponse de la blonde le prouvent bien, c'est très certainement pour cela que tu apprécies autant la compagnie de Cecilia, parce qu'elle comprend comme toi que rien n'est à prendre à sérieux. Que tout est éphémère et temporaire, et bien entendu, avec de telles conditions, il vaut mieux aller à l'essentiel. Prendre ce que l'on veut et faire ce que l'on veut, sans se soucier des conséquences. Parce que rien n'a d'importance. "S'il te plait, ne dis plus jamais le mot belle-maman, et ouais, c'est tellement important que je demande gentiment." La demande est faite avec un haussement des sourcils et tu fais signe au barman de vous resservir, que vos verres restent pleins, ce sera mieux, autant pour elle que pour toi. "Ce sera une condition de plus... pour que je respecte ma promesse." Elle a le droit à un clin d'œil, alors que tu reprends sur un ton un peu plus léger. Elle n'est pas là pour entendre des années de querelles et problèmes familiaux, tu n'aurais pas la patience qu'il faut pour lui faire un résumé, et Cece s'en fout. Tu le sais, elle ferait semblant de t'écouter, tu serais convaincu parce qu'elle est une très bonne actrice et ça te donnera le sentiment de quoi ? D'être compris ? D'avoir trouvé une épaule sur laquelle pleurer ? How about no, il y a tellement de choses que vous pouvez faire à la place. Et tu es un narcissique, pas un masochiste, alors Cece n'aura pas le droit à tous tes secrets de famille. Pas tout de suite en tout cas, si tu as plus d'alcool dans le sang, peut-être que tu feras des confessions. "On commence fort avec l'alcool..." Que tu fais remarquer, vous êtes encore accoudés au bar et peu se sont joint à vous, les gens préfèrent faire la conversation, saluer ceux qu'ils connaissent, ça et aller serrer la main des différents investisseurs, celle de ton frère, celle de ton père. Ce n'est pas ton univers, et c'est encore plus apparent maintenant. Tu cesses d'observer tout ce petit monde, te tournant de nouveau vers la blonde, et ton verre, pour lui expliquer la suite de la soirée. "Miles va faire un discours, et ensuite mon père, et vu que je fais partie de la famille, techniquement, je suis censé être le premier qui monte sur le podium pour présenter tout le monde... regarde..." Ton index se lève, puis tu te penches vers la poche intérieure de ta veste, pour y dénicher des cartes, remplies pour toi et ton entrée en scène dans quelques instants. "On m'a même donné des lignes simples à lire tellement on ne me fait pas confiance." Ce qui est à la fois marrant et très insultant. Marrant de constater que les gens comprennent enfin qui tu es, que tu te fiches de tout ce petit bazar et de paraitre bien sous tout rapport aux yeux de parfaits inconnus. Et insultant de voir qu'on essaye de te donner un objectif simple et précis, comme si tu étais un gamin et non l'ainé. "Je pourrais t'envoyer à ma place, hmm ?" Tu proposes cela avec un autre sourire sur le visage, un autre regard pour Cece.
Cecilia Barker
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Je n’étais pas certaine d’avoir bien compris ce qu’il venait de dire, mais à son expression désabusée à moitié noyée dans son verre d’alcool, je me doutais que cela devait avoir un rapport avec son amour sans limite pour son père. Moi qui pensais détenir la palme des relations désespérantes, désespérées et borderline toxiques avec ma mère, je devais reconnaître que Heath et sa famille semblaient en tenir une bonne couche également. Un point commun de plus finalement. Dommage que lesdits points communs qu’on parvenait à se trouver ne soient rarement positifs. En revanche ils restaient fortement divertissants, et n’était-ce pas là le plus important finalement ? "... Est-ce que tu veux que je meure en m'étouffant dans mon verre ? " « Je dois répondre honnêtement à cette question ? » J’accompagne évidemment ma réponse d’un sourire provocateur en le laissant reprendre ses esprits, ne saisissant pas tout de suite quelle partie de mes propos avait bien pu le faire réagir de la sorte. A force de se lancer des piques à longueur de temps, je pensais sincèrement que plus rien ne pouvait l’atteindre. C’en était presque satisfaisant de constater qu’il était encore possible de le surprendre et de potentiellement le contrarier en creusant un peu pour taper juste. "S'il te plait, ne dis plus jamais le mot belle-maman, et ouais, c'est tellement important que je demande gentiment. " Mon haussement de sourcils s’accompagna d’un léger hochement de tête, assez surprise de découvrir que derrière sa carapace égocentrique et blindée de billets de banque (bien plus efficaces qu’un gilet pare-balles finalement vu la quantité de billets en question) se dissimulait vraisemblablement une trace de sentiment (il en était donc doté ??) envers sa mère. Loin de moi l’idée de m’intéresser à la vie de quiconque, encore moins quand il s’agissait d’une histoire familiale…mais peut-être que cette question mériterait un jour d’être creusée dans un moment d’égarement et d’ennui profond…on prenait le divertissement là où on le trouvait. "Ce sera une condition de plus... pour que je respecte ma promesse. " Ok. Si j’étais parfaitement honnête avec moi-même, j’étais maintenant suffisamment intriguée pour avoir envie d’en savoir un peu plus sur son histoire personnelle. Mais ça n’était pas le moment. Et je n’étais clairement pas prête à faire preuve d’un quelconque intérêt sur le plan personnel. Il aurait assimilé ça à une faiblesse et il en était hors de question. J’avais mes limites. Me, myself and I, voilà les seules personnes qui méritaient mon attention. « Mh…je te promets rien mais je vais voir ce que je peux faire dans ce cas… » Il semblait avoir besoin d’alcool autant que moi ce soir finalement. J’imagine que je pouvais bien faire un effort pour cette fois. "On commence fort avec l'alcool... " Je soulevais mon verre à nouveau rempli dans sa direction avant d’en boire une gorgée. « T’as peur de ne pas réussir à suivre Wilson ? J’ai de l’entraînement tu sais. Tu serais surpris de la quantité d’alcool que je peux assimiler tout en continuant de tenir une conversation parfaitement cohérente avec les gens les plus inintéressants de la planète. J’imagine que je suis au bon endroit pour faire briller cet incroyable talent aujourd’hui, non ? » J’avais juste parfois de légers problèmes pour déterminer quelle était ma limite avant que tout ne finisse par déraper. Mais ça n’était pas le genre de détails qu’il était nécessaire de partager après tout. "Miles va faire un discours, et ensuite mon père, et vu que je fais partie de la famille, techniquement, je suis censé être le premier qui monte sur le podium pour présenter tout le monde... regarde... " Ergh. Ca avait l’air rébarbatif au possible et mon expression ne cachait rien de mon ennui le plus total à l’idée de devoir être témoin de ça. Je fronçais néanmoins légèrement les sourcils en l’observant sortir des cartes de sa veste. "On m'a même donné des lignes simples à lire tellement on ne me fait pas confiance. " Sérieusement ? Mes doigts quittèrent mon verre (quel outrage) pour venir s’emparer avec curiosité d’une de ces fameuses cartes. Mes yeux scannèrent rapidement son contenu avant que je ne la lui rende, non sans soupirer au passage. « Ils ont cru que t’avais cinq ans ou quoi ? Tu vas laisser passer ça sans faire de vagues et te montrer comme la petite marionnette docile qu’ils attendent que tu sois ? » Mon ton était loin d’être insultant. Pour les gens qui me connaissaient moi et ma franchise sans filtre tout du moins. Et Heath m’avait suffisamment côtoyée pour ne lire dans mes propos que la sincère surprise que je ressentais à l’idée de le voir se plier de la sorte aux exigences de sa famille. "Je pourrais t'envoyer à ma place, hmm ? " Ha. Voilà le Heath je connaissais. Je l’observais quelques secondes pour tenter de détecter si son sourire et son regard trahissaient une nouvelle plaisanterie ou s’il y avait un semblant de sérieux dans cette proposition. « Option 1 : on twiste tes jolies petites cartes pour rendre le discours un peu plus divertissant. » A eux deux ils ne manqueraient certainement pas d’idées. « Option 2 : t’es suffisamment fou pour effectivement me laisser monter à ta place et admirer le spectacle. Tu seras pas déçu du déplacement. » Mon sourire en coin était témoin de mon excitation à l’idée de pouvoir réaliser l’une comme l’autre option. S’il voulait en revanche garder un semblant de relations cordiales avec sa famille, il allait falloir qu’il choisisse avec soin sa solution. « Option 3 : te dégonfler, me recadrer, et supporter le fait que je te rappellerai ce décadent moment jusqu’à la fin de tes jours…qui ne devraient de toutes façons plus trop tarder à arriver étant donné ton âge avancé… » Ca faisait bien cinq minutes que je ne lui avais pas lancé de pique. Il fallait bien que je me rattrape. Mon sourire se fit cette fois plus provocateur alors que je me penchais un peu plus vers lui pour l’inviter à se confesser quant à l’option qu’il allait choisir.
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Le moins que l'on puisse dire, c'est que toute cette petite soirée ne sera pas chiante, du tout même. C'est souvent le pire à ce genre de petites sauteries, tu te retrouves à devoir faire la conversation avec des gens qui n'ont que les chiffres et la croissance économique en tête et tu es certes assez intelligent pour comprendre tous les termes et répondre... mais tu ne souhaites pas le faire, parce que ça ne t'intéresse pas, parce que tu n'es qu'un faire-valoir ici, l'anomalie, l'ainé qui aurait dû hériter de tout ça, mais qui ne veut pas de la couronne trop lourde qui repose désormais sur la tête de Miles. Et c'est juste... ouais, chiant. Tu ne faisais déjà pas semblant plus jeune, maintenant que tu as pris de l'âge, c'est complètement exclu. Pourtant, le sourire que tu renvoies à la blonde par-dessus ton verre est des plus sincère, alors que Cece te rappelle que de vous deux, c'est elle qui tient le mieux à l'alcool. Oh chérie, que tu penses un peu amèrement, je n'en doutais pas une seule seconde."Absolument pas peur, mais je te prie de ne pas oublier mon âge, ma chère Cece... sauf si tu veux m'emmener toi-même aux urgences." Ce serait marrant, tu verrais certains de tes collègues, et tu pourrais commencer ta journée de boulot beaucoup plus tôt que d'habitude. Beaucoup plus tôt pour le coup, ça te fait bien rire alors que tu expliques à Cecilia comment le reste de la soirée va se passer. Comme si tu parlais à une demeurée, alors qu'il y a encore des années de cela, tout ceci, c'était son monde et elle aussi, elle connaissait la petite danse et l'hypocrisie qu'il faut connaitre quand on est ici. Dans un costume aussi cher et à siroter de l'alcool qui va être payé par papa. En grande partie du moins. Elle s'insurge pour toi la blonde, c'est adorable dans un sens, assez pour que le sourire s'élargisse, creusant un peu plus les traits de ton visage. "Tu vois... je savais qu'on s'entendait bien pour une bonne raison." Et pas juste parce que vous faites de la magie sous les couvertures, pas juste à cause de cela. "Tu veux savoir la vérité ?" Ce n'est pas une affaire d'État, voilà ce que tu te dis en reposant ton verre vide, n'importe qui peut facilement le deviner après cinq minutes de conversation avec toi et sans douter en connaissant un peu l'histoire de ta famille. "Je m'en fous de tout ça, la compagnie, le nom de famille, les sous... mais c'est important pour le frangin. Alors peut-être que je devrais faire un effort." Petit coup de tête en direction de Miles, quelqu'un vient de le faire rire, tu ne sais pas à propos de quoi, mais il n'a clairement pas besoin qu'on le protège. Cela fait depuis des années qu'il est à la tête de la compagnie, il ne s'est jamais plaint une seule fois, n'a jamais rechigné face à l'effort et n'a jamais exprimé le désir de faire autre chose de sa vie. L'ingrat, l'imbuvable et le connard, c'est toi bien entendu. Mais la jeune femme, ta plus one de la soirée, te présente toutes ces options comme si elle avait attendu toute sa vie qu'on lui fasse une offre aussi intéressante, comme si. "Nan, je rigole, je ne t'ai pas invité pour être raisonnable." Du tout, ça n'a jamais été ton style et ça aussi, c'est quelque chose qui est très bien documenté. "Tiens, je choisis l'option 2, vas-y à ma place." Ta-Da, tu as fait ton choix, tu fais glisser tes cartes sur le comptoir et tu la laisses s'en charger. Ton timing est le bon, il y a soudainement du mouvement et plus de bruit et tu réalises que les portes de l'auditorium viennent d'être ouvertes. Pour tous les invités et pour le moment officiel de la soirée. "En parlant de, ça commence, je crois qu'il faut qu'on passe dans l'autre salle." Tu hoches la tête et tu offres de nouveau ton bras à Cece, tu la guides parmi les gens ensuite, et quand vous croisez un serveur avec un plateau de canapé, il a le droit à un sourire."Est-ce que je peux avoir le plateau ? Merci." Tu demandes, pas réellement, le plateau est déjà dans ton autre main alors que vous allez vous plantez devant Miles. Tu lâches la jeune femme, assez pour fourrer deux canapés dans ton gosier. "Cece, Miles... pourquoi je fais les présentations, vous vous connaissez déjà." Tu devrais plutôt manger, boire avec l'estomac vide n'est pas recommandé, tu le sais, tu es médecin. "Cecilia... je vois qu'on est bien entouré, ça me fait plaisir de te voir." Miles est bien entendu poli et charmant, toujours, ce qui l'est moins c'est le regard qu'il t'adresse la seconde suivante. "T'es prêt ?" La question est pour toi, tu hoches la tête et il vous abandonne après un autre regard, il est attendu après tout. "Allons trouvons nos sièges, et ouais, on est devant."
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Not your Barbie girl, I'm livin' in my own world. I ain't plastic, call me classic. You can't touch me there, you can't touch my body unless I say so, ain't your Barbie, no. @Heath Wilson
" Absolument pas peur, mais je te prie de ne pas oublier mon âge, ma chère Cece... sauf si tu veux m'emmener toi-même aux urgences. " Je lui lance un regard entendu accompagné d’un sourire en coin qui signifie clairement que je ne serais pas totalement opposée à cette idée. D’abord parce que cela rendrait la soirée bien plus palpitante qu’elle ne l’était présentement, et ensuite parce que cela signifierait que j’avais gagné notre concours -qui n’en était pas (encore) officiellement un- d’alcooliques d’un soir. Mais le médecin avait parlé et il était vraisemblablement temps de réduire un peu la voilure sur les verres. Pour l’instant. Mais c’était mal me connaître que de penser que je ne parviendrai pas à rendre cette soirée plus excitante d’une façon ou d’une autre. " Tu veux savoir la vérité ? " J’étais en train de balayer la salle du regard à la recherche d’une nouvelle distraction quand sa question m’interpella suffisamment pour fixer à nouveau mon attention sur lui, un air interrogatif sur le visage. S’agissait-il là d’une grosse vérité ? D’un secret inavouable ? D’une information dont je pourrais me servir contre lui à l’avenir ? Probablement pas, il savait mieux que personne ce qu’il fallait ou non me dire, mais j’attendais tout de même la révélation avec un intérêt certain. " Je m'en fous de tout ça, la compagnie, le nom de famille, les sous... mais c'est important pour le frangin. Alors peut-être que je devrais faire un effort. " Mes sourcils se froncèrent imperceptiblement alors que je gardais le silence quelques secondes. Je n’étais pas vraiment habituée à le voir…attentionné ? Si l’on passait sur le fait qu’il venait d’appuyer son désintérêt pour tout ce à quoi j’aspirais personnellement, la partie sur son frère était presque touchante. " Nan, je rigole, je ne t'ai pas invité pour être raisonnable. " Mes lèvres s’étirèrent en un sourire entendu alors que je hochais doucement la tête face à cette affirmation. « Voilà qui te ressemble plus en effet. Je commençais presque à me demander si t’avais l’alcool triste. » A quel point est-ce que Miles allait pouvoir lui en vouloir si on faisait capoter leur petite soirée ? C’était une question que j’aurais pu poser directement à Heath pour éviter de provoquer des vagues un peu trop importantes…mais pourquoi spoiler cette information quand on pouvait faire ce qu’il fallait pour la découvrir de nous-mêmes finalement ? " Tiens, je choisis l'option 2, vas-y à ma place. " Et sans avoir la moindre idée de ce dont j’étais capable (je ne le savais que rarement moi-même à l’avance), il venait justement de me donner l’autorisation pour faire un peu bouger les lignes ce soir. « J’espère sincèrement que t’es pas du genre à avoir de regrets. » Ni à vouloir absolument garder de bonnes relations avec sa famille et leurs "amis", parce qu’il se pouvait que mes plans (non encore échafaudés) viennent mettre à mal tout ça. Mais c’était surfait de bien s’entendre avec sa famille finalement, non ? N’en étais-je pas la preuve vivante alors que je m’en sortais très bien avec un père dans une merdre financière aussi noire que la mienne et une mère qui avait coupé tout contact avec moi ? Un plaisir. " En parlant de, ça commence, je crois qu'il faut qu'on passe dans l'autre salle. " Je le suivais docilement, réfléchissant encore à ce qui allait suivre tout en l’observant s’emparer d’un plateau qui avait certainement vocation à éponger un peu l’alcool déjà ingurgité. Une idée somme toute plutôt censée et à laquelle je daignais me plier en prenant à mon tour un pauvre canapé qui ne suffirait pas à faire descendre un quelconque taux d’alcoolémie. Puis je cachais derrière un sourire poli à l’attention de Miles des idées pour la soirée auxquelles il n’aurait clairement pas adhéré. Je me fendis même d’un sobre : « Pareillement Miles. » non sans me demander à quel point il n’était pas lui-même aussi hypocrite dans sa politesse d’apparat. Comment cela pouvait-il lui faire plaisir de voir la blonde qui ne faisait qu’occuper son frère certaines nuits ? Mais il fallait lui reconnaître qu’il savait parfaitement donner le change. Tout comme moi qui m’installais au premier rang des festivités aux côtés de Heath, un sourire des plus innocents aux lèvres. Les gens aimaient à dire qu’ils m’auraient donné le bon dieu sans confession. Quelle grossière erreur ; mais j’appréciais l’intention. Mon regard se fixait une nouvelle fois sur Miles qui faisait signe à son frère qu’il était temps pour lui de monter sur scène pour lancer les hostilités et introduire les orateurs. J’eus à peine le temps de voir son regard décontenancé quand il réalisa que ça n’était pas son frère qui venait de se lever mais bel et bien la blonde inconnue au bataillon pour la majorité des invités. Je pris le temps des quelques courtes secondes qui me menaient jusqu’à l’estrade pour me rappeler que j’avais initialement accepté de l’accompagner en songeant que c’était l’occasion de me refaire un carnet d’adresses et des relations qui pourraient me servir…mais la tentation de faire un énième coup d’éclat était trop forte. Plus forte que tout le reste. Mettez ça sur le dos du job pourri que j’exerçais au quotidien qui ne m’apportait que frustration. Debout devant la salle, un sourire assuré aux lèvres en observant les quelques expressions perturbées assises en face de moi, je jubilais intérieurement tout en approchant mon visage du micro. Trop tard pour les regrets Heath. « Bonsoir à toutes et à tous et bienvenue. J’espère que vous passez un bon début de soirée. Je me permets de me présenter : Cecilia Barker. Vous vous demandez probablement ce que je fais là devant vous, et je vous avouerai que je me pose la même question. J’en viens même à me demander ce que je fais à cette soirée tout court étant donné que je ne suis pas certaine d’avoir bien compris en quoi elle consistait. Mais je pense pouvoir dire sans trop me tromper que cela doit avoir quelque chose à voir avec la réussite de la famille Wilson et au fait qu’on voit leurs visages sur tous nos écrans, et leurs publicités dans toute la ville. Il est toujours agréable de se réunir le temps d’une soirée pour applaudir un empire si prospère quand tant d’autres s’écroulent comme des châteaux de cartes de nos jours. N’hésitez pas à googler mon nom pour comprendre cette private joke surtout. » Oh wow. C’était donc ça d’entendre les mouches voler ? J’étais presque déçue que personne n’ait encore envoyé la sécurité pour me déloger de là. « Donc Charles… » A deux doigts de l’appeler beau-papa pour la blague. Mais il devait déjà fulminer que je me permette de l’appeler par son prénom. Quand bien même il aurait plutôt dû être ravi que je l’ai retenu. « Miles. Félicitations pour le succès qui a couronné tout ce que vous avez entrepris jusqu’à présent. Nous sommes ici ce soir pour nous rappeler à quel point il est important de se montrer à la hauteur de notre propre grandeur. En est témoin l’opulence dans laquelle nous déambulons allègrement depuis notre arrivée. De l’argent bien dépensé. Mais n’est-ce pas grandement mérité quand vous permettez à nos voitures de fouler le bitume en toute sécurité ? D’autres auraient certainement préféré des soirées caritatives pour des associations dans le besoin, ou encore des moments pour célébrer des métiers qui sauvent des vies jour après jour : les neurochirurgiens pour ne nommer qu’eux. » J’adresse un clin d’œil à l’attention de Heath tout en tendant ma main dans sa direction histoire de bien appuyer mes propos, non sans me demander au passage si la neurologie est bien sa spécialité. Qu’importe tant que j’ai l’opportunité d’attirer sur lui une attention qu’il n’a jamais demandée. « Mais les pneus sont une cause comme une autre j’imagine. Je vais donc cesser de monopoliser la parole pour laisser la place aux véritables héros de la soirée. Levons nos verres à leur santé. » Quelle riche idée j’avais eu de conserver un verre en main pour joindre le geste à la parole avant de retourner le plus naturellement du monde à ma place, me demandant si j’avais suffisamment forcé le trait pour que l’ironie soit perceptible. Après tout, on pouvait être riche et complètement con. Je ne sais pas si le public était à hauteur du discours ce soir, mais s’il avait assez logiquement décidé de ne pas applaudir ma prestation, les chuchotements s’élevaient à présent de plus en plus fort. Une victoire pour moi. J’attrapais la main de Heath en m’asseyant tout en tournant mon visage vers lui, un sourire provocant aux lèvres. Elle allait ressembler à quoi ma punition à présent ? Allait-il me faire sortir immédiatement ? Hausser la voix ? User de tous les jurons qu’il connaissait et décider de ne plus jamais m’adresser la parole ? C’était une possibilité j’imagine. Mais à défaut d’avoir conquis un quelconque carnet d’adresses ce soir, j’avais au moins passé un moment des plus divertissants. Et qu’est-ce que c’était putain de cathartique d’avoir pu dire tout ça quand j’avais par le passé été contrainte à faire bonne figure coûte que coûte lors de soirées similaires.
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Hey homecoming queen
look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you.
"Je suis deux fois divorcé, ça te dit absolument tout sur ma relation avec les regrets, Miss Barker." Ta propre réponse, murmuré directement à l'adresse de la blonde, te fait bien rire, et tu dois avouer que ouais... si tu étais du genre à regretter tes actions, tu vivrais bien différemment. Déjà, Cecilia ne serait pas là ce soir, peut-être que tu aurais emmené un de tes gamins, le plus âgé sûrement, pour lui montrer l'importance de la compagnie, lui dire qu'il fait partie de quelque chose de beaucoup plus grand que lui et qu'un jour il pourra en hériter. Ce qui n'est pas totalement vrai, tes parts de Wilson Tyres ? Tu les as donnés à Miles, ton petit frère n'a pas tout racheté, te laissant un maigre pourcentage, assez pour que les chèques arrivent tous les mois, assez pour qu'il y ait beaucoup de zéros sur les chèques et que tu n'oublies pas ton nom de famille et dans un sens ta place. Cela aurait pu être toi aux commandes, cela aurait pu être à toi que Charles premier du nom refile les clefs de l'empire, mais ça ne t'intéresse pas. Alors autant s'amuser et profiter vraiment de la soirée. Vous êtes au premier rang et tu suis ta cavalière de la soirée et c'est vers elle que tu te tournes quand ton petit frère te fait signe de monter sur scène. "Bonne chance." Oh non, tu ne te lèves pas pour si peu et tu es la seule personne à avoir un sourire rayonnant sur le visage alors que c'est Cecilia en personne, qui grimpe sur scène. Elle a toute l'assurance du monde et tu ne peux que respecter cela, comment ne pas se sentir investie d'une mission quasiment sacrée. Elle est proche du micro et... elle ne mâche pas ses mots. Ouais, on connait la famille, ouais, toute cette petite démonstration est complètement ridicule et stupide. Tu le sais, Cecilia le sait, toutes les personnes bien apprêtées le savent également. Cecila se tourne vers ton père et tu en fais de même pour lui adresser un clin d'œil. Oui, les années sont passées par là, mais tu vas continuer de se comporter comme son fils trop turbulent, pourquoi ? Parce que c'est putain de facile et c'est la meilleure chose que tu peux faire. Cecilia ne mâche pas ses mots et tu lèves ton verre avant de le vider d'un trait et de te concentrer sur ton les petits fours. Parce que vous n'êtes que des hommes blancs bien riches là pour en mettre plein la vue, ouais, tout le monde devrait avoir honte. Pas d'applaudissements, rien du tout, Cecilia quitte la scène alors que Miles la retrouve. Il est confus et il t'adresse un regard sans équivoque alors que tu hausses les épaules. "Hmm... merci, miss Barker pour cette charmante introduction... Les pneus en effet, je vais me permettre d'être un peu plus technique si ça ne vous dérange pas." Ton frère s'éclaircit la gorge alors que la blonde t'attrape la main. "Oh, Miles a perdu de sa superbe habituelle, rien que pour ça tu mérites quelques points supplémentaires." Plus que quelques points, elle vient de garantir que tu ne seras pas invité aux prochaines soirées pour... longtemps. Ce qui signifie une certaine paix garantie et absolument tout ce que tu voulais maintenant que tu y songes bien. Tu leur as déjà dit que tout ça ? Ce n'était pas pour toi, mais personne ne veut t'écouter, car apparemment, tout le monde a un rôle à remplir, tu as déjà dit que c'était tout un tas d'âneries en réalité. "Et tout ce petit monde va parler de tout ça pendant un bon moment, une mission plus que bien remplie Cece." C'est assez pour que tu te penches vers elle et que tu déposes un seul et unique baiser, juste là, juste au coin des lèvres de Cecilia. Tu te moques bien du monde et des gens qui sont encore en train de murmurer derrière et autour de vous, à tes yeux, voir la blonde dire son opinion tout haut... Il ne t'en faut pas plus pour avoir envie de l'entrainer vers une pièce vide. Ou avec un lit. Au choix. Tu ne songes pas tellement à la punir, enfin, ça dépend du point de vue maintenant que tu y penses bien. Tu prends ta décision tout aussi rapidement et la seconde suivante, tu te lèves, alors que Miles est en plein milieu de sa présentation (encore une fois, rien à faire) et tu fais signes à Cecilia d'en faire de même."Partons d'ici, histoire que je voie vraiment ce que tu caches sous ta robe."
Cecilia Barker
la sans-un-sou
ÂGE : 35 ans (24.05.89) SURNOM : CeCe, plus ususel que Cecilia - Javotte lui sied plutôt bien STATUT : Célibataire. It's not about the money, money, money...mais si en fait. MÉTIER : Serveuse au rabais au DBD LOGEMENT : #406 montague road - west end. Glow up : le nouvel appart. Glow down : Finnley en colocataire. POSTS : 1155 POINTS : 100
TW IN RP : age gap, chantage ORIENTATION : J'aime tout le monde. RPs EN COURS : Danaë - Chris - Raelyn #2 - Finnley #3
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"Je suis deux fois divorcé, ça te dit absolument tout sur ma relation avec les regrets, Miss Barker. " Je haussais un sourcil surpris dans sa direction, lui signifiant par la même occasion que le fait d’être deux fois divorcé était un beau score. J’avais beau en avoir rigolé un peu plus tôt dans la soirée, je me demandais bien à quelle occasion il avait pu penser que le mariage était une bonne idée…deux fois de suite qui plus est. Quelle idée de vouloir se lier officiellement à quelqu’un ; j’y voyais là plus d’inconvénients que d’avantages. Quels étaient-ils d’ailleurs ? Avoir quelqu’un sur qui compter à n’importe quel moment ? Ergh. Pourquoi faire quand on n’était jamais si bien servi que par soi-même. Heath et moi ne nous intéressions pas plus que cela à la vie de l’autre, mais occasionnellement j’en apprenais juste assez sur lui pour avoir une légère envie de lui poser des questions afin d’en savoir plus. Il serait toujours temps de remettre l’interrogatoire sur les raisons qui avaient bien pu le pousser à se marier deux fois à plus tard. Pour l’heure il était temps pour moi de briller par mon éloquente sincérité afin d’encenser l’hypocrisie ambiante qui régnait à cet événement. Si j’avais été la première à me pavaner de façon hypocrite par le passé pour des événements caritatifs et autres soirées mondaines et bien que j’essayais encore aujourd’hui de retrouver à nouveau ma place parmi ces gens que j’avais tendance à exécrer, je devais reconnaitre qu’il y avait quelque chose de cathartique de pouvoir leur faire comprendre de façon plus ou moins détournée que personne n’était dupe du petit jeu auquel chacun se prêtait. Si ça pouvait les mettre mal à l’aise l’espace de quelques secondes avant qu’ils ne reprennent tranquillement leur vie comme si rien ne s’était passé, alors c’était déjà ça de pris et ça suffirait à me faire passer une bonne soirée. Tout comme constater qu’ils affichaient tous des expressions extrêmement confuses, ne sachant soudainement plus comment réagir face à un tel discours, bien conscients que les sourires de façade ne feraient pas l’affaire. "Oh, Miles a perdu de sa superbe habituelle, rien que pour ça tu mérites quelques points supplémentaires. " J’étais presque désolée pour lui qui n’avait rien demandé et qui n’était résolument pas le premier à blâmer pour tous les faux-semblants de cet événement. Mais puisque cela semblait convenir à Heath et qu’il ne m’avait pas encore poussée précipitamment en dehors de la salle, j’en concluais que j’avais bien fait de ne faire aucune distinction et de tous les mettre dans le même panier. Un gain de temps considérable pour un résultat tout aussi jubilatoire. « Je gagne quoi avec mes points rappelle-moi ? » Je lui lançais un regard en coin entendu, parfaitement consciente des prix auxquels j’allais pouvoir prétendre avec lesdits points. Des prix qui nous contenteraient tous les deux en somme. "Et tout ce petit monde va parler de tout ça pendant un bon moment, une mission plus que bien remplie Cece. " Oh, c’était la cerise sur le gâteau ce baiser qu’il vint déposer au coin de mes lèvres. La touche finale pour vraiment faire grincer des dents autour de nous. De quoi me faire sourire un peu plus fort encore finalement. "Partons d'ici, histoire que je voie vraiment ce que tu caches sous ta robe. " Je suivis son élan et me levais à mon tour, sentant tous les regards qui pesaient présentement sur nous, à commencer par celui de l’orateur peu satisfait qu’après une telle entrée en matière il soit en plus interrompu par le départ d’un protagoniste plutôt important. J’étais toujours ravie de constater que Heath avait lui aussi ce sens de la mise en scène. Soigner son entrée et sa sortie, c’était important. « Enfin une invitation digne de ce nom. » Et qui me semblait pour l’heure bien plus intéressante que n’importe quel carnet d’adresses que je ne parviendrais de toutes façons plus à me construire ce soir. On avait beau se chercher et s’envoyer des piques à longueur de temps (et pleinement se satisfaire de cette dynamique), je devais reconnaître que partager ce genre de moments où l’on s’alliait pour faire vivre un enfer aux autres était grisant et il ne m’en fallait pas beaucoup plus pour répondre par la positive à son invitation, impatiente à l’idée de pouvoir me retrouver seule avec lui.
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