ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Ambrose aborde l’idée d’une journée auprès de Zoya avec beaucoup de retenue. Il l’apprécie, oui, mais il se souvient aussi parfaitement de la facilité avec laquelle tout a explosé entre eux. Il se souvient aussi de sa présence à ses côtés et d’à quel point il a toujours su l’apprécier, tout en se rendant compte que beaucoup de choses sont aujourd’hui différentes. Ses fiançailles ont été rendues publiques en ce jour, et peut-être bien qu’Ambrose a tout fait pour qu’elle le sache avant qu’ils se rencontrent, pour ne pas avoir à lui annoncer lui-même. Il ne veut pas avoir une discussion de la sorte avec la brune alors qu’ils tentent difficilement de sortir de plusieurs mois de silence et autres reproches qu’Ambrose a proféré à l’encontre du second Lewis quand il ne s’agissait pas de Zoya. De toute évidence, son lien avec la famille est voué à rester difficile, peu importe la nature exacte de ce dernier. Il en est le premier désolé, lui qui aimerait trouver un juste milieu à toutes choses et ne pas avoir à se battre éternellement pour tout et son contraire.
Il aimerait pouvoir simplement parler à Zoya, il aimerait pouvoir lui dire qu’il peut garder sa fille si jamais elle en a besoin. Il aimerait qu’elle soit plus terre à terre, aussi, et qu’elle lui prenne sans doute bien moins la tête. Il aimerait beaucoup de choses et il sait être exigeant, tout comme il a appris avec le temps que lui et Zoya ne sont finalement pas sur la même longueur d’onde, raison de plus pour lui de marcher sur des œufs en cet instant. Il veut apprendre à rester à ses côtés sans heurts ni tracas, mais cela demandera sûrement des efforts des deux côtés, parce qu’ils n’ont jamais réellement su s’appréhender sans tomber dans un excès ou un autre. Aujourd’hui, il veut croire cela possible, parce qu’ils ont assez grandi et vécu de choses pour se rendre compte de l’importance d’avoir des amis et des personnes de confiance à leurs côtés. “Salut.” Il murmure avec émotion lorsque la silhouette de la jeune femme se rapproche assez de lui pour qu’il puisse passer un bras autour de ses épaules et embrasser sa tempe. Une alliance marque désormais son mariage à venir sur la main qui se repose près de son épaule. “Je compte pas vraiment participer au bal, mais j’ai pensé que ça pourrait un peu nous changer les idées.” Qui plus est alors que la cause défendue leur tient au cœur, à tous les deux. Cela représente une pierre deux coups pour Ambrose, qui est soulagé qu’ils puissent se perdre au cœur de la foule compacte et colorée de la tête aux pieds. Lui a évidemment une tenue bien plus passe partout. “Tu n’as pas eu de mal à faire garder Chloe ?” Il s’inquiète déjà, tentant peu à peu de reprendre une place à ses côtés, sans trop savoir laquelle exactement. Il va sûrement devoir s’en trouver une nouvelle.
Juin 2023. Retrouver Ambrose aujourd’hui à une saveur particulière. Il faut dire que les deux se sont quittés en mauvais terme et que leur dernière rencontre semblait marquer le glas de leur relation, quelle qu’elle soit. Ils ont été amants, ils ont été ennemis, ont tenté de redevenir amis peut-être dans le but de construire un peu plus, en vain. Parce qu’ils sont redevenus de véritables inconnus, incompatibles et incapable de pouvoir passer du temps ensemble sans que tout ne se transforme en une chamaillerie qui prenait des propositions incommensurables. Cela était sûrement dû à leurs deux forts tempéraments, à cette indépendance qui est la leur et à leur indéniable côté borné respectif. Leurs idées bien arrêtées et leurs envies divergentes ne pouvaient que faire d’Ambrose et de Zoya un cocktail explosif et si certains peuvent être bon à mélanger, ce n’était pas leur cas. Cette distance inévitable qui s’est immiscée entre eux suite à ça n’a pas été des plus plaisantes pour autant, en tout cas, du côté de Zoya. Bien qu’elle fût convaincue de haïr définitivement le Constantine pour cet avis tranché qu’il pouvait avoir sur sa personne et sur son frère cadet, elle ne pouvait nier qu’un certain manque de sa présence s’était fait ressentir. Parce que, au-delà de tout ce qu’elle pouvait lui reprocher, les bons moments passés avec Rose existés et qu’au fond d’elle, elle aimerait au moins avoir la possibilité de le compter toujours à ses côtés, et si ce n’est amoureusement parlant, au moins amicalement.
Et peut-être que cette possibilité s’offre à eux aujourd’hui alors qu’elle a fait le premier pas en le contactant suite à cet article qu’elle a lu dans la presse. S’en est un autre qu’elle a lu quelques heures plus tard, un de ceux annoncé officiellement par Ambrose lui-même quant à ses fiançailles à venir. Dire que cela ne l’a pas atteint d’une certaine manière serait mentir, mais elle s’est fait la promesse de ne pas parler avec lui de sujet qui fâche, pas ce soir tout du moins. Cela fait des mois qu’ils ne se sont pas vus et en échangeant avec Ambrose par sms, elle a bien senti qu’il était celui qui avait besoin de soutien et pour se faire, elle a décidé que les maitres-mot seraient la joie et la bonne humeur. En arrivant donc au Queen’s ball où Ambrose lui a donné rendez-vous, et après l’avoir repéré de loin, Zoya se dirige vers lui, sourire aux lèvres, alors qu’une certaine appréhension subsiste tout de même en elle. “Salut.” le ton léger et similaire, elle le salue à son tour alors que son bras se positionne derrière son dos pour lui rendre cette étreinte furtive. Elle fait abstraction de cette bague qu’il porte à son annulaire, sûrement pour éviter de faire un commentaire là-dessus “Je compte pas vraiment participer au bal, mais j’ai pensé que ça pourrait un peu nous changer les idées.” Elle acquiesce silencieusement, alors que son regard parcourt brièvement la foule autour d’eux. Ils trouveront leur bonheur ici pour se faire, elle n’en doute pas une seule seconde « Avec autant de couleurs et de bonne humeur, je n’en doute pas. Et qui sait, peut-être qu’on finira par se laisser tenter » Par un peu de folie, ce qui semble manquer actuellement à la vie d’Ambrose dont le teint de son visage est bien terne comparé à tous ses éclats de couleurs et de joie qui les entoure. En tout cas, Zoya s’en donne l’objectif ce soir et si elle parvient ne serait-ce qu’à lui faire esquisser un semblant de sourire, alors elle s’estimera gagnante. “Tu n’as pas eu de mal à faire garder Chloe ?” La question la surprend, en partie, car elle reconnait bien là le côté soucieux du jeune homme, celui qu’elle a pu découvrir ce soir où il était venu à sa rescousse avec la petite. « Elle est entre de bonnes mains. J’ai la chance d’avoir un entourage qui serait prêt à se battre pour la garder ». En l’occurrence, ce soir, elle a eu le choix entre ses adorables voisins, son cousin et ses parents, cédant à ces derniers qui estimaient n’avoir pas vu leur petite fille depuis trop longtemps – elle est certaine qu’ils regretteront bien vite en retrouvant chez elle tous les mauvais côtés de leur fille. « Tiens d’ailleurs… et elle extirpe de son petit sac une feuille plié en quatre elle était en train de gribouiller ça et me l’a donné avant que je parte. Je suppose qu’elle veut que je fasse le messager entre vous deux. Bon courage pour le décrypter » qu’elle fait d’un air amusé, alors qu’elle tend la feuille à Ambrose, sourire aux lèvres. « Je pense que quelque part ça dit que tu lui manques ». Zoya lance un peu anodinement cette remarque, bien que son regard fuyant montre qu’une part d’elle s’exprime sûrement là à la place de sa fille. « On va prendre quelque chose à boire ? ». Ce qui pourrait les aider à se détendre autant l’un que l’autre et les aider à profiter un peu plus de la soirée, sans laisser planer cette gêne qui, avec toute la bonne volonté du monde, subsiste entre eux.
(c) ANAPHORE
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Il parle à Zoya d’une voix différente, maintenant. Il navigue entre deux eaux et marche toujours sur des œufs, mais il a à cœur de croire que ce n’est qu’un début maladroit pour ensuite mieux arriver à retrouver ce qu’ils avaient, ou au moins une partie. Il ne veut pas qu’ils reprennent là où ils ont tout laissé, peu importe ce que le tout signifie. Au contraire, Ambrose veut qu’ils arrivent à trouver une autre façon d’être heureux et de composer avec le caractère parfois difficile de chacun. Il veut croire qu’une telle possibilité existe, surtout. « Avec autant de couleurs et de bonne humeur, je n’en doute pas. Et qui sait, peut-être qu’on finira par se laisser tenter. » Il en doute, mais il ne veut pas le lui dire de cette façon ; pas alors que l’idée de se laisser tenter semble la rendre si heureuse. Un sourire léger se déporte brièvement en sa direction, avant qu’il ne le reprenne sans amertume. Ce monde de festivités convient bien plus à Zoya.
Rapidement, Ambrose ne sait faire autrement que s’interroger sur les aspects pratiques de cette soirée, ce qui est aussi une façon pour lui de s’assurer que tout se passe bien pour elle. « Elle est entre de bonnes mains. J’ai la chance d’avoir un entourage qui serait prêt à se battre pour la garder. » Ce dont il ne doute pas un seul instant, son sourire s’étirant un peu plus dans le temps cette fois-ci. Chloé n’a pas eu un début de vie difficile mais il pense sincèrement que tout rentre dans l’ordre maintenant et qu’elle ne gardera que de souvenirs de cette période. « Tiens d’ailleurs… elle était en train de gribouiller ça et me l’a donné avant que je parte. Je suppose qu’elle veut que je fasse le messager entre vous deux. Bon courage pour le décrypter. » Il jette un regard attendri sur la feuille qu’il attrape aussitôt, ses yeux parcourant les différentes couleurs et lignes difformes. Tout parent se doit de dire que le dessin est magnifique, et il n’en pense pas moins, quand bien même il serait mal avisé d’oser une hypothèse sur ce qu’il représente. “Tu pourras lui dire que je vais l’accrocher près de mon bureau.” Et qu’il est très joli, malgré l’absence de clarté de ce qu’il représente. Elle n’en pense pas moins. Il n’a pas de pièce de bureau à lui seul mais il a au moins un bureau en tant que tel, et c’est là qu’il l’affichera, quitte à ce qu’on lui demande sans doute s’il a un enfant ou un neveu. Il a techniquement un neveu, de toute façon.
« Je pense que quelque part ça dit que tu lui manques. » Ses yeux toujours posés sur la feuille, il répond machinalement et mécaniquement, tel un Monsieur Je Sais Tout parfaitement insupportable. “Les bébés ont une notion du temps différente. Elle se rend pas compte qu’on s’est pas vus depuis un moment.” Il minimise les faits parce que ça l’arrange bien, aussi, n’ayant jamais eu à coeur de faire une enfant la victime collatérale de l’incapacité qu’ont sa mère et son ami à s’entendre sur la durée. Il serre surtout les dents, conscient que Zoya parle aussi pour elle, et quand bien même le sentiment est partagé, Ambrose ne veut pas griller les étapes pour autant. « On va prendre quelque chose à boire ? » La tête du brun est hochée et leurs pas amenés en direction du stand le plus proche, où il se laisse tenter par un cocktail coloré et spécialement créé pour la Pride. “Tu as déjà participé à d’autres Pride ? Ici ou ailleurs ?” Après tout, elle a énormément voyagé, alors il se permet de demander avec une curiosité non feinte. Pour sa part, l’idée ne l’a jamais répugnée et loin de là, mais il était souvent bien trop pris par son travail pour en avoir le temps. “Je suis sûr que quand Chloe sera en âge, elle adorera l’idée. Le monde, la fête, je suis sûr que ça sera son truc.” Il ajoute dans un sourire en pensant à l’enfant éternellement heureuse, éternellement amusée. Elle sera à sa place dans un monde coloré, peu importe son orientation sexuelle. Pour ça, il n’a aucune crainte que Zoya lui inculquera qu’elle l’aimera toujours à la même hauteur, peu importe qui elle est.
Juin 2023. Il n’est pas question qu’ils abordent des sujets qui fâchent, ceux qui ont fait exploser ce semblant de relation indéfinie qui a pu être la leur. Le problème avec Ambrose et Zoya, c’est qu’il y a beaucoup de divergences, et ce sur pas mal de points, et c’est ce qui rend l’instant d’autant plus délicat. Passer sous silence certaines discussions semble être la meilleure des solutions, surtout quand le but de cette rencontre est de laisser tous leurs différents derrière eux. Cela ne résout en rien ce qui a pu être source de conflits à un moment ou à un autre – et peut-être que, finalement, il n’y a aucune solution qui puisse être apportée à cela – mais, au moins, ils se laissent la chance de renouer, alors que leur entente semblait être réduite à néant quelques mois plus tôt “Tu pourras lui dire que je vais l’accrocher près de mon bureau. » Il est question du dessin fait par Chloe, à destination ou non d’Ambrose, mais c’est ainsi que Zoya a décidé de l’interpréter. Elle sait en tout cas l’affection que porte le jeune politicien à sa fille et même si ce dessin n’est pas le plus beau du monde, elle sait qu’il lui fait plaisir, ne serait-ce que par la symbolique qu’il peut représenter. Qu’il lui accorde autant d’importance en lui choisissant une place de choix touche en contrepartie la jeune maman qui se chargera de parler à Chloe d’Ambrose dès qu’elle la retrouvera. “Les bébés ont une notion du temps différente. Elle se rend pas compte qu’on s’est pas vus depuis un moment.” Elle n’en sait rien Zoya, et elle ne cherche pas à le contredire, bien que ce qu’il souligne là est possiblement vraie et qu’il montre ainsi que ce n’est pas tant Chloe qui exprime un tel manque mais la jeune maman. Peu importe, Zoya n’a jamais été du genre à cacher ce qu’elle pouvait ressentir – elle le montre même parfois trop facilement et trop fortement – et si elle le fait par ce biais, c’est uniquement pour tempérer ses retrouvailles dont elle en ignore l’issue. « Il n’empêche qu’elle serait contente de te voir » et qu’il est le bienvenu s’il souhaite rendre une petite visite à la bambine.
La délicatesse de la situation pousse Zoya a proposé d’aller prendre un verre, le duo approchant du stand et commandant chacun un cocktail plus coloré l’un que l’autre “Tu as déjà participé à d’autres Pride ? Ici ou ailleurs ?” Sirotant sa boisson à la paille, elle délaisse celle-ci tout en hochant la tête « La chance avec le fait de parcourir le monde c’est que, bien souvent, je me trouvais dans un pays différent et que j’ai donc pu en faire plusieurs. Mais celle de Brisbane reste ma préférée parce qu’elle a une certaine symbolique. C’est la première que j’ai faite alors que j’étais ado » et c’est aussi celle qui la mise en confiance sur sa propre orientation sexuelle, assumant pleinement depuis sa bisexualité. “Je suis sûr que quand Chloe sera en âge, elle adorera l’idée. Le monde, la fête, je suis sûr que ça sera son truc.” « Tu penses ? » qu’elle l’interroge ironiquement, alors qu’elle se désigne et qu’elle ne doute pas une seule seconde que sa fille sera comme elle – déjà qu’elle prend de nombreux traits et pas les meilleurs de sa mère « De toute façon, dès qu’elle sera en âge de comprendre, je compte l’amener ici. Pour qu’elle comprenne, qu’elle sache que je serai toujours là pour la soutenir et être certaine aussi qu’elle soit tout aussi ouverte d’esprit et tolérante qu’on peut l’être dans la famille ». Parce que Zoya a la chance d’avoir des parents qui l’ont toujours soutenu sur absolument tous les plans, que ce soit professionnel ou personnel. Et c’est exactement ce qu’elle souhaite inculquer à sa fille. « Et toi ? C’est ta première ? ». Un petit groupe de personnes passent à côté d’eux au même moment, une d’elle entraînant Zoya quelques secondes pour la faire tournoyer sur elle-même, la photographe se laissant totalement emportée par l’instant. Lorsqu’ils s’éloignent, la jeune femme reprend une gorgée de son verre, sourire immense au bout des lèvres « C’est ce que j’aime ici. Cette légèreté, cette bonne humeur. Tu as eu une bonne idée de nous faire nous retrouver ici ». Elle espère que cette ambiance environnante finira par déteindre sur eux et qu’Ambrose acceptera de se laisser aller un peu car elle sait à quel point il en a besoin.
(c) ANAPHORE
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
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amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
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RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
« Il n’empêche qu’elle serait contente de te voir. » Il s’en doute bien, oui. Il trouve des excuses, il se dédouane, il tente de dire que la petite n’est pas si triste qu’on pourrait le penser. Pourtant, il se doute bien qu’elle serait heureuse de le voir, tout comme il le serait à son tour aussi. Simplement, tout n’est pas aussi facile et si voir Chloé n’est pas le problème, c’est tout ce qui entoure cette possible rencontre qui peut rapidement le devenir. La vérité, c’est qu’il n’a pas la force ni le courage de s’enliser à nouveau dans de telles histoires. Alors, plutôt que de prendre le risque de parler de la toute jeune enfant plus longtemps, il préfère axer la conversation sur Zoya en lui posant des questions qui l’intéressent réellement. « La chance avec le fait de parcourir le monde c’est que, bien souvent, je me trouvais dans un pays différent et que j’ai donc pu en faire plusieurs. Mais celle de Brisbane reste ma préférée parce qu’elle a une certaine symbolique. C’est la première que j’ai faite alors que j’étais ado. » Il esquisse un sourire sincère et sans doute un brin rêveur aussi, n’ayant jamais eu l’occasion de découvrir le monde. Il est bien allé une fois au Canada, mais le voyage retour s’est fait dans les larmes, alors il n’arrive pas à en garder une bonne image. Il l’envie un instant, elle et ses libertés, elle et ses rêves à qui elle peut laisser prendre vie dès qu’elle le veut. “Tu as prévu de repartir bientôt ?” Il questionne, il gratte, il cherche. Peut-être que Chloé sera de la partie maintenant qu’elle est en âge de voyager sans encombres. Elle n’en garderait sans doute aucun souvenir mais elle serait une enfant heureuse sur l’instant. Il souligne sont point de vue sur la question, voyant la jeune Chloé comme une personnalité dynamique et pleine d’entrain. Comme sa mère, en somme. « De toute façon, dès qu’elle sera en âge de comprendre, je compte l’amener ici. Pour qu’elle comprenne, qu’elle sache que je serai toujours là pour la soutenir et être certaine aussi qu’elle soit tout aussi ouverte d’esprit et tolérante qu’on peut l’être dans la famille. » Elle ajoute, au sujet de la Pride cette fois-ci. Ambrose sourit plus simplement, le sujet ayant bien moins vocation à le faire rêver. N’en reste pas moins qu’il n’a pas honte de sa sexualité, tout comme il n’a jamais eu de mal à l’évoquer dans une famille où James a fait son coming out bien avant lui. Personne ne l’a jugé, et tant mieux, parce qu’il ne sait pas s’il aurait eu la force de s’affirmer face à sa propre famille si cette dernière avait été contre lui. Fort heureusement, la question ne s’est jamais posée. “Je pense qu’elle grandira en le sachant pertinemment, tu sais.” Après avoir balayé l’assemblée du regard un instant, c’est sur Zoya qu’il repose ses prunelles. Il lui a déjà fait des reproches quant à sa façon d’élever Chloé, mais jamais il ne pourrait remettre en question son ouverture d’esprit et sa capacité à se montrer présente pour elle, quels que soient les choix de vie de sa fille.
« Et toi ? C’est ta première ? » Il ouvre la bouche pour répondre mais un inconnu fait danser la brune un instant, sous le regard amusé mais effacé d’Ambrose. Quelques secondes plus tard à peine, elle revient près de lui. « C’est ce que j’aime ici. Cette légèreté, cette bonne humeur. Tu as eu une bonne idée de nous faire nous retrouver ici. » Il se doutait justement que l’ambiance serait présente, autant qu’elle serait légère. Il en a besoin, Zoya aussi, et leur duo bien plus encore. Ils ont assez passé de temps à se disputer pour tout et son contraire. “J’ai souvenir que Weatherton avait collaboré avec une Pride. Et d’avoir observé ça le jour J. Mais sinon j’ai jamais défilé, ou quelque chose dans le genre.” Il a suivi James ; bien sûr qu’il a suivi James. Il n’est pas un adepte des grandes déclarations ou des grandes fêtes et n’a jamais ressenti le besoin de participer à la parade, préférant encore œuvrer dans son bureau. “Ça veut pas dire que j’en ai honte, hein.” Il précise rapidement, posant son regard dans celui de Zoya, pas même certain de lui avoir un jour confié aimer les hommes. Cela lui semble simplement naturel, le genre qui ne nécessite pas d’annonce. “Mais j’ai jamais connu d’histoire qui a fonctionné avec un homme. Ou avec une femme. Je me sens pas de parader et tout ce qui s’ensuit.” Il hausse les épaules et minimise un élan. Les déclarations d’amour et de fierté, ce n’est pas pour lui. Qui plus est, l’Australie est encore bien trop conservatrice pour le voir d’un bon œil et il n’est pas prêt à faire face à son jugement alors qu’il observe déjà Zoya avec une certaine fébrilité, pas certain de ce qu’elle pourrait en penser de son côté.
Juin 2023. “Tu as prévu de repartir bientôt ?” A la façon qu’elle a de conter ses différents périples, nombreux, autour du monde, Zoya laisse sous-entendre que ceux-ci font partie intégrante de sa vie. Ce fut le cas, par le passé, quand elle n’était pas encore mère mais, depuis l’arrivée de Chloe, partir à droite à gauche n’est plus aussi récurrent qu’il ne peut paraitre. Elle a pu retrouver le goût des voyages cependant quelques mois plus tôt en se rendant à la Fashion Week de Los Angeles, grâce à sa collaboration avec la maison Weatherton. Et ce goût retrouvé lui a cruellement manqué, au point qu’elle espère sincèrement pouvoir réitérer l’expérience, et ce, au plus vite « Je l’espère ? » qu’elle fait à retrouvant son regard, sourire aux lèvres « Mais je pense que l’occasion devrait se représenter assez rapidement avec James qui semble avoir la bougeotte lui aussi ». Et elle y trouvait son compte Zoya, surtout que le styliste était plus que satisfait de son travail et ne manquait pas de tarir d’éloges à ce sujet. « Mais je vais devoir négocier avec lui la venue de Chloe la prochaine fois ». Ce qui impliquerait quelques aménagements dans l’emploi du temps et la nécessité de la présence d’une baby-sitter sur place, au moins le temps qu’elle travaille. Une organisation sur laquelle elle est prête à se pencher si cela permet à James d’être convaincu. « Et si ce n’est avec James, je t’avoue que j’aimerai beaucoup partir en voyage avec elle, même si je ne sais encore où » parce que là aussi elle aimerait faire découvrir à sa fille la beauté du monde et tout ce qu’il a à offrir, et ça, le plus tôt possible, même si les souvenirs ne seront pas intarissables pour elle. Mais cela ne serait que le début d’une longue aventure qu’elles vivraient à deux. “Je pense qu’elle grandira en le sachant pertinemment, tu sais.” Qu’il lui dise lui réchauffe le cœur, recevant cette remarque comme un compliment de sa part où il lui montre qu’il croit un minimum en elle et ses capacités d’être une mère à la hauteur, soucieuse du bonheur et du bien être de sa fille.
“J’ai souvenir que Weatherton avait collaboré avec une Pride. Et d’avoir observé ça le jour J. Mais sinon j’ai jamais défilé, ou quelque chose dans le genre.” Elle acquiesce simplement alors qu’il lui partage son expérience concernant les Prides qui sont donc peu nombreuses de son côté. Ce qu’elle ne juge nullement et, au fond, étant ravie de l’accompagner à celle-ci. "Ça veut pas dire que j’en ai honte, hein.” – « Je n’en doute pas, Ambrose » Elle lui en veut encore, pour les mots et surtout les reproches qu’il lui a adressé mais, aujourd’hui, elle s’est fait la promesse d’en faire abstraction. Cela ne veut pas dire qu’elle en est moins sincère, croyant les mots du Constantine quand il dit n’avoir aucune honte avec son orientation sexuelle. Celle qu’elle découvre officiellement, le sujet n’ayant jamais été abordé entre eux avant ça et, en réalité, même si elle ne s’était jamais réellement posé la question, cela la touche qu’il lui dise aujourd’hui. “Mais j’ai jamais connu d’histoire qui a fonctionné avec un homme. Ou avec une femme. Je me sens pas de parader et tout ce qui s’ensuit.” – « Ca viendra. Peut-être que c’est ce qui te manque pour que tu acceptes justement de parader et d’en profiter ». Peut-être est-ce finalement ce dont Ambrose a besoin. De quelqu’un qui, à ses côtés, lui donnera assez de confiance pour qu’il accepte enfin de s’amuser, comme toutes ces personnes autour d’eux. Elle aimerait pouvoir lui donner cette impulsion aujourd’hui, elle aimerait sentir les épaules du Constantine bien plus légères mais c’est une bataille qu’elle n’ose mener quand elle sent que les choses sont encore bien trop fragiles entre eux. Sirotant son cocktail, elle s’autorise cependant à l’interroger davantage sur le sujet « Tu dis que tu as jamais connu d’histoire qui a fonctionné… mais tu as connu une histoire déjà avec quelqu’un… J’imagine que ça ne s’est pas fini de la meilleure des manières » Elle aurait de quoi dire à ce sujet, elle aussi, quand une à laisser des traces particulièrement indélébiles. Et peut-être que si elle s’autorisait à lui en parler, Ambrose comprendrait peut-être pourquoi ses reproches quelques mois plus tôt l’ont autant blessé et ont amené Zoya à se montrer aussi exécrable suite à ça avec lui.
(c) ANAPHORE
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
« Je l’espère ? » Sa réponse n’est pas directe et assurée, ce qui a tout pour surprendre Ambrose, habitué autrement en ce qui concerne la Lewis. Cela ne l’empêche pas pour autant de hocher la tête, ne pouvant qu’espérer à son tour qu’elle réalise ce qu’elle désire. Les voyages, ce n’est pas pour lui, mais il comprend l’attrait des autres pour cette idée. « Mais je pense que l’occasion devrait se représenter assez rapidement avec James qui semble avoir la bougeotte lui aussi. » James a la bougeotte uniquement pour son travail mais ce n’est sans doute qu’une nuance pour elle ; le genre qu’Ambrose ne juge pas utile d’imposer à leur discussion. Si elle espère voyager avec James alors il ne peut que le lui souhaiter. “Alors je te souhaite surtout du courage.” Il ajoute dans un sourire et un rire entendu: il lui faut au moins ça pour supporter James le temps d’un voyage, surtout si ce dernier a quelque chose à voir avec son travail, de près ou de loin. Et en retour, il pourrait souhaiter bien du courage à James aussi, pour des raisons différentes mais qui en reviennent finalement plus ou moins au même: ils sont insupportables, l’un comme l’autre. « Mais je vais devoir négocier avec lui la venue de Chloe la prochaine fois » Tout en connaissant la position difficile de son aîné au sujet de la parentalité, il offre à Zoya un simple sourire de circonstance pour qu’elle ne se doute de rien. James n’aura rien contre l’idée qu’elle emmène sa fille avec eux, mais la situation risque de devenir bien difficile si Chloe les retarde dans leur travail ou les dérange, ce qu’il n’acceptera jamais. Son travail passe avant tout, telle est la seule règle ultime. Du bout des lèvres, il lui souhaite bon courage à ce sujet, sans s’y attarder davantage. Cela concerne uniquement James et elle, il n’a pas son mot à dire et encore moins de commentaires à faire. « Et si ce n’est avec James, je t’avoue que j’aimerai beaucoup partir en voyage avec elle, même si je ne sais encore où. » Il allait lui poser la question mais se retient donc. Elle a sans doute le temps d’y réfléchir, après tout.
« Ça viendra. Peut-être que c’est ce qui te manque pour que tu acceptes justement de parader et d’en profiter. » Il n’est pas question que de lui. Il pense à l’opinion publique, il pense à ce que diront les gens. Et il ne le fait pas par peur du regard d’autrui, il le fait surtout en pensant à son avenir et à ce qui pourrait pousser certains à ne pas croire en lui, le jour venu. Ambrose ne veut pas que son orientation sexuelle joue en sa défaveur, tout comme ses idéaux le poussent à ne pas la nier pour autant. Il navigue entre deux eaux, certain que l’une des deux finira par le tuer le jour venu. « Tu dis que tu as jamais connu d’histoire qui a fonctionné… mais tu as connu une histoire déjà avec quelqu’un… J’imagine que ça ne s’est pas fini de la meilleure des manières. » Le brun affiche un sourire de façade, s’en voulant de s’être engagé sur un tel sujet, en particulier avec Zoya. Il n’a que très peu parlé de son histoire avec Ruben, pour ne pas dire pas, et même aujourd’hui alors que plusieurs années se sont écoulées, il ne sait pas s’il est vraiment prêt. “Je crois qu’on peut vraiment dire qu’il m’a brisé le cœur.” Le regard porté en direction du sol, il l’avoue tout en riant difficilement. Il ne le croit pas: il le sait. Ruben lui a brisé le cœur, et il le lui brisera sans doute à nouveau. “Il était ma première vraie histoire, je me suis beaucoup projeté à ses côtés, mais c’était pas réciproque.” Cela a brusquement cessé de l’être lorsque Ruben a appris son âge et que leur relation a aussitôt été étouffée dans l’oeuf. Mais bien assez de temps s’était écoulé pour qu’il tombe amoureux. “Il m’a jamais dit qu’il m’aimait et je le lui disais sûrement à chaque fois qu’on se voyait, ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille.” Il rigole à nouveau, toujours aussi tristement mais un peu plus calmement maintenant. Parler de tout ça face à Zoya est paradoxal alors qu’en retour, il ne lui a jamais partagé de tels mots et qu’elle aurait même tout pour penser qu’il en est pas capable, lui la statue de marbre. “J’imagine qu’on a tous connu une histoire du genre.” Il relève son regard en direction de la jeune femme, prêt à entendre la sienne si elle désire le lui partager. De son côté, il est surtout désolé que cette histoire soit la seule qu’il puisse raconter.
Juin 2023.“Alors je te souhaite surtout du courage.” Il est question d’un prochain voyage qu’elle réalisera sûrement aux côtés de James Weatherton, le cousin d’Ambrose. Il est bien placé pour connaitre le caractère du styliste et sa remarque ne manque pas de faire sourire Zoya qui ne peut qu’acquiescer et le remercier du soutien qui lui apporte. Elle ne doute pas qu’il en pense pas moins dans l’autre sens et qu’il serait capable de souhaiter le même courage à son cousin pour supporter la photographe, quand il la connait tout aussi bien pour avoir subi plus d’une fois ses éclats de colère.
Le sujet finit par se recentrer sur l’événement auquel ils assistent. Surtout, Zoya apprend qu’Ambrose est plus que concerné par la cause mais comprend aussi qu’il n’est pas totalement à l’aise avec. A ses yeux, il aurait besoin d’un petit coup de pouce, peut-être celui d’un être aimé qui l’aiderait à ne plus se cacher derrière ce masque qui est le sien. Elle préfère voir la chose dans ce sens et le lui dire, plutôt que lui partager avec plus d’honnêteté son opinion. Ce serait là un autre moyen de se mettre une balle dans le pied, et surtout dans leur relation, celle encore bien bancale. Elle s’est fait la promesse – et donc elle lui a faite à lui indirectement – qu’ils n’aborderaient pas de sujet qui fâche et qu’elle prendrait sur elle tout ce qui la contrarie le concernant. Son image, celle qu’il ne veut pas ternir et ses fiançailles appris le matin même. “Je crois qu’on peut vraiment dire qu’il m’a brisé le cœur.” Il accepte de se confier sur une histoire passée, celle qui semble l’avoir marqué plus que de raison. Celle peut-être qui permettrait à Zoya de comprendre pourquoi il est ainsi, aussi pudique avec ses sentiments. “Il était ma première vraie histoire, je me suis beaucoup projeté à ses côtés, mais c’était pas réciproque.” La Lewis s’y retrouve dans ce schéma mais elle n’en fait pas le commentaire, préférant écouter d’une oreille attentive Ambrose, ne souhaitant en rien gâcher ce moment où il accepte de se confier un peu à elle. “Il m’a jamais dit qu’il m’aimait et je le lui disais sûrement à chaque fois qu’on se voyait, ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille.” Il rit mais elle ne l’accompagne pas. Ça l’attriste et elle est incapable de le camoufler. Parce qu’elle apprend là qu’il est capable d’éprouver quelque chose, qu’il est capable surtout d’exprimer ses sentiments pour quelqu’un qu’il aime. Il la fait pour cet homme dont elle ignore l’identité et elle ne peut se demander s’il aurait été capable de faire de même avec elle ou est-ce que les traumatismes de cette histoire sont les raisons qui expliquent qu’il n’a jamais su lui montrer plus. « Je suis désolée qu’il t’es autant brisé le cœur. Il ne sait pas ce à côté de quoi il est passé » parce qu’il lui a montré plus d’amour qu’il n’en méritait sûrement et qu’il n’a pas pris conscience de la chance qu’il avait d’avoir une personne sûrement prête à tout pour lui. “J’imagine qu’on a tous connu une histoire du genre.” C’est à son tour. C’est à elle de lui partager son expérience et parce qu’elle veut être tout autant honnête que lui vient de le faire, elle acquiesce d’un signe de tête « Oui » qu’elle dit simplement alors que son regard se porte devant eux et qu’ils marchent l’un à côté de l’autre « J’étais folle amoureuse de lui, moi aussi. A un point où j’étais capable de tous les sacrifices pour lui. J’étais prête à mettre ma bougeotte sur pause, j’étais prête à mettre ma carrière entre parenthèses et m’installer durablement avec lui ». Ambrose la connait suffisamment pour savoir que ce n’est pas d’elle et donc comprendre que Zoya aimait Elijah plus que tout « Je pensais que c’était réciproque. Il m’aimait aussi. Du moins, c’est ce qu’il me disait. Mais lorsque je lui ai proposé qu’on s’installe ensemble, il m’a repoussé. Comme si je n’avais été qu’un passe-temps ou un amusement pour lui ». C’est ce qu’elle avait ressenti, plus que blesser dans son égo par Elijah et, la suite, elle n’a pas besoin de le préciser : elle a eu du mal à s’en relever. Elle laisse échapper un soupir « Ca laisse des traces ce genre d’histoires » Ca explique aussi beaucoup de choses et peut-être qu’Ambrose comprendra aussi pourquoi elle a été incapable de répondre positivement à sa volonté qu’elle change. Son regard trouve timidement le sien, alors qu’un sourire prend place sur ses lèvres « Je comprends mieux, maintenant ». Un peu. Ca n’explique pas tout, ça ne justifie pas tout, ça ne pardonne pas tout. Mais elle tient à lui signifier qu’elle a entendu son histoire et surtout les répercussions que celle-ci a eu sur lui.
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Ambrose Constantine
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ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
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amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
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RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Du bout des lèvres, Ambrose aborde le sujet de son histoire avec Ruben. Elle est vieille de plusieurs années mais il en revient toujours là, incapable de pleinement tourner la page et surtout incapable de l’oublier, comme le prouvent les récents rapprochements avec le brun. « Je suis désolée qu’il t’es autant brisé le cœur. Il ne sait pas ce à côté de quoi il est passé. » Il en sourit tristement, ne se jugeant pas à même de recevoir de tels propos, surtout de sa part. Il n’a rien fait pour mériter Ruben non plus, surtout parce qu’il a commencé leur relation en lui mettant, et il n’estime pas non plus que Zoya devrait être celle lui mettant du baume au coeur alors qu’il a conscience de ne jamais avoir été réellement présent pour elle en retour alors qu’il connaissait parfaitement la nature de ses sentiments à son égard.
Ainsi, lorsqu’elle lui parle à son tour d’une histoire en laquelle elle a cru sans pour autant pouvoir la finaliser, il ne sait faire autrement que penser en être à l’origine. Il a besoin de plus amples explications et de minutes supplémentaires pour comprendre qu’il ne s’agit pas de lui mais qu’elle porte bel et bien la tristesse d’une autre relation perdue, ce qu’il ne pouvait pas lui souhaiter. “C’était y’a longtemps ?” Il demande doucement, péniblement, incapable de savoir s’il veut vraiment connaître la réponse à cette question. Il n’a pas envie d’entendre que cette histoire est récente, tout comme il n’a pas le cœur à entendre qu’elle soit une vieille histoire qui continue de la ronger. “Je pensais pas que t’avais déjà imaginé te poser avec quelqu’un.” Il souffle doucement et avoue dans le même temps. Elle devait être particulièrement amoureuse de cet homme pour en avoir non seulement eu l’idée mais surtout pour le lui avoir proposé - et pour quels résultats. « Ça laisse des traces ce genre d’histoires. » Ce dont il ne doute pas un seul instant, ses confessions faisant écho à des discussions qu’ils ont déjà eu l’un et l’autre. Eux non plus n’ont pas su être sur la même longueur d’onde et bien qu’il ne soit pas désolé s’avoir statué son avis sur la situation sans se changer pour une autre, il est cependant parfaitement désolé de l’avoir blessée. Lui faire du mal n’avait jamais été le but escompté, hier ou ou aujourd’hui. « Je comprends mieux, maintenant. » Pourquoi il est qui il est. “Ça n’excuse rien.” Il reprend néanmoins. Cette histoire l’a blessé et lui a appris à se protéger, mais cela ne l’a pas fondamentalement transformé pour autant. La finalité entre eux aurait sûrement été la même, même s’il n’avait jamais connu Ruben. Ils ne pourront jamais réellement le savoir, mais il en a l’intime conviction. “Je suis désolé pour nous deux. Ce que j’ai pu te dire. Et de t’avoir blessée.” Il rencontre son regard avec franchise et simplicité. Elle mérite de les entendre, ces excuses.
Juin 2023.“C’était y’a longtemps ?” Ça parait être une éternité et une part d’elle garde toujours les séquelles de cette relation qui l’a abîmée d’une drôle de façon. Elle l’a sûrement rendue bien plus égoïste mais parce qu’elle refusait de revivre un échec comme celui-ci alors qu’elle était capable de tout donner pour l’être aimé. « Il y a cinq ans maintenant ». Son regard est ailleurs, sûrement perdu dans des pensées parasites, celle qui la replonge dans les souvenirs de cette relation passée. Peut-être Ambrose s’en rendra compte alors que soudainement l’expression sur son visage se ferme. Quelques instants à peine, alors qu’Ambrose reprend la parole “Je pensais pas que t’avais déjà imaginé te poser avec quelqu’un.” – « Surprenant, n’est-ce pas ? » qu’elle dit sur un ton léger et amusé, l’expression qu’elle retrouve connotant avec celle d’il y a quelque secondes « Ca ne veut pas dire que je ne le voudrais plus jamais. Mais je refuse que ça passe par des sacrifices ou par obligation de changer pour quelqu’un… surtout quand j’ai pu en voir le résultat ». Elijah ne lui a jamais demandé quoi que ce soit, il est vrai, cela a été son libre choix d’être capable d’autant de sacrifices pour lui, pour leur couple, pour leur amour qu’elle pensait réciproque et suffisamment fort pour aller plus loin. Alors, réitérer l’expérience n’est pas à l’ordre du jour et encore moins quand les changements sont demandés par quelqu’un d’autre. Bien sûr que sa relation avec Ambrose entre dans cette catégorie, mais elle ne cherche pas là à le blâmer. Elle cherche plus à lui expliquer le pourquoi elle s’est autant emporté quelques mois plus tôt quand il estimait qu’elle n’était pas faite pour lui car elle n’entrait pas dans le moule qui était le sien et donc à refuser de changer pour lui… éventuellement pour eux si la volonté était partagée d’aller plus loin ensemble. C’est pour cette raison qu’elle ajoute avec douceur que ce genre de passif laisse des traces, sur un ton qui se veut rassurant et bienveillant, pour ne pas accabler Rose de quoi que ce soit.
L’histoire qui lui a raconté à propos de son ex et lui met un peu plus en lumière les traumatismes qui sont les siens. Surtout, il aide Zoya à comprendre certains de ses comportements, bien qu’il ne semble pas partager le même avis “Ça n’excuse rien.” Elle ne le contredit pas toutefois, parce qu’elle ne veut pas entrer dans un débat avec lui et qu’ils se disputent à nouveau. Alors, elle garde pour elle que si, ça excuse pas mal de choses et se contente de garder un air neutre alors que leurs regards se croisent à nouveau “Je suis désolé pour nous deux. Ce que j’ai pu te dire. Et de t’avoir blessée.” Elle les attendait, ces excuses. Mais elle ne les espérait plus. Pourtant, c’est ce qu’il lui offre ici et ça la touche tout particulièrement au point qu’elle garde son regard ancré dans le sien sans mot dire quelques secondes. « Merci, Rose… ». Elle ne les rejette pas, elle les accepte et surtout le remercie parce que ça lui fait du bien de les entendre. Zoya ne va pas prétendre que cette relation qui a pu être la leur n’a pas manquée de la blesser en retour « Je suis désolée aussi que ça n’ait pas fonctionné entre nous ». Une manière de lui dire qu’elle tenait à lui et qu’elle n’a jamais joué avec ses sentiments, ce dont il semblait douter au vu de sa réaction quand il a appris son passif avec Edison. « Et si à mon tour, j’ai pu te blesser d’une quelconque manière…je m’en excuse aussi ». Elle n’a pas été tendre non plus, Zoya, consciente surtout que la supporter dans ses excès de colère n’est pas de tout repos et Ambrose en a connu de nombreux avec elle. « Malgré tout ça, j’aimerai beaucoup qu’on parvienne à être amis, toi et moi ». Elle espère que c’est quelque chose qu’il souhaite à son tour mais elle respecterai son choix si ce n’était pas le cas.
(c) ANAPHORE
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
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RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
« Surprenant, n’est-ce pas ? » Elle appuie un peu plus encore l’idée lorsque Ambrose lui annonce être étonné qu’elle se soit un jour imaginée mener une vie calme et posée avec un autre homme et cela le fait sourire doucement. Il trouve l’idée surprenante, oui, et peut-être qu’il l’aurait observée différemment s’il l’avait su capable d’une telle chose. Aujourd’hui la donne est différente et puisqu’elle semble encore souffrir de ce choix de vie qu’elle a tenté de faire, il pense surtout qu’elle n’est pas prête à envisager de se poser à nouveau avec quiconque. Au fond, il souhaite seulement la savoir heureuse. « Ça ne veut pas dire que je ne le voudrais plus jamais. Mais je refuse que ça passe par des sacrifices ou par obligation de changer pour quelqu’un… surtout quand j’ai pu en voir le résultat. » Bien malgré lui, il hoche la tête alors qu’elle pose des mots sur le fond de sa pensée. Il vaut mieux qu’elle soit heureuse, et ce peu importe la forme que cela doit prendre. « Je comprends. »” Il aurait voulu qu’elle change pour lui et pour son mode de vie (mais surtout son choix de carrière), et avec le recul il se rend compte qu’elle n’en aurait jamais été capable, du moins pas sans se perdre elle-même en route.
Conscient de ses erreurs, il finit par les accepter et surtout par lui demander pardon, parce qu’elle mérite depuis longtemps qu’il s’excuse pour avoir eu une telle attitude à son égard. Il a fait passer ses priorités avant celles de Zoya et a estimé que les siennes valaient forcément moins, ce qui était profondément injuste. « Merci, Rose… » Il force un sourire pour ne pas avoir à répondre. Il n’y a rien de plus à dire, de toute façon. « Je suis désolée aussi que ça n’ait pas fonctionné entre nous. Et si à mon tour, j’ai pu te blesser d’une quelconque manière… je m’en excuse aussi. » Le garçon hoche la tête sans savoir quoi faire de ses excuses, incapable de juger qu’il les mérite, mais incapable de les repousser au loin pour autant. « On a juste pas su s’y prendre de la bonne manière. » Il aurait au moins aimé qu’ils se rendent compte plus tôt de leur incapacité à s’entendre sur le plan amoureux ; cela leur aurait évité de nombreux problèmes et autres peines. « Malgré tout ça, j’aimerai beaucoup qu’on parvienne à être amis, toi et moi. » - « Moi aussi Zoya. »” Être ami avec elle, il n’a pas peur que ce soit impossible. Ce sera peut-être difficile, au début du moins, et ils devront apprendre à fonctionner de cette façon, mais il veut croire que c’est une idée parfaitement possible et réalisable. Après tout, il n’y a aucune raison du contraire. « J’espère que tu trouveras quelqu’un avec qui être heureuse. »” Elle est du genre à se retrouver parfaitement complétée uniquement auprès d’un autre et il ne la juge pas pour ça, parce qu’il est fait de la même manière ; il pense surtout qu’elle doit trouver la bonne personne pour la compléter et qu’elle existe forcément quelque part en ce monde.