ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Diego Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Maritza voyait bien que son fils était agacé d'apprendre seulement maintenant qu'il était allergique aux prunes. Elle nota instantanément dans son esprit qu'en rentrant elle s'assurerait de savoir si Alejandro était au courant qu'il était allergique aux amandes. Il n'était pas question qu'une telle chose se reproduise. « On a même pas signé de décharges ou quoique ce soit, c’est pas très sérieux leur truc… » Le regard de la matriarche vrilla sur son fils alors qu'elle marmonnait : « Arrête tu vas nous porter la poisse. » A tous les coups ils allaient subir une nouvelle catastrophe. La mère leva les yeux en direction du ciel. Le ciel n'était pas noir, ce ne serait donc pas la foudre qui viendrait s'abattre sur eux. Quand elle y pensait, elle se rendait compte qu'ils n'avaient rien signé mais qu'ils n'avaient pas non plus de moyens pour contacter l'organisation en cas de problèmes. Comment devaient-ils faire s'ils se blessaient gravement ou se perdaient ? En parlant de se perdre, ce fut à ce moment-là que Diego se rendit compte qu'il avait tout perdu sur la route. La mexicaine qui tentait tant bien que mal de garder sa colère pour elle s'était montrée quelque peu sèche. Elle avait préféré continuer à avancer plutôt que de perdre davantage de temps à remonter les bretelles de son fils. C'était elle qui avait eu cette idée merdique de participer au camp de survie, c'était désormais à elle d'assumer. Elle marchait d'un pas déterminé sans savoir vraiment où elle se rendait. Peut-être les amenait-elle tout droit dans un piège, une crevasse ou une impasse. Qu'importe ils avançaient. Au bout d'un certain temps elle dut néanmoins se rendre à l'évidence qu'elle s'était trompée. La lassitude la gagnait et le désarroi prenait désormais le pas sur la colère. A bout de force, elle posa sa tête sur le torse de son fils. Elle avait besoin de réconfort, besoin de sentir qu'il était là pour elle et qu'il n'allait pas l'abandonner au milieu de nulle part ou lui en vouloir. Elle sentit les doigts de Diego glisser dans ses cheveux et se calma un peu. Lorsqu'elle eut retrouvé ses esprits, ils firent demi-tour et tentèrent de retrouver le chemin. Sa joie fut grande lorsqu'elle vit le rocher et elle ne put s'empêcher de lâcher un : « Putain le voilà ! ». Son vocabulaire s'était nettement détérioré depuis qu'elle se trouvait à ce stage mais elle s'en fichait. Il n'était plus temps de faire attention aux bonnes manières. « Tu sais ce qu’il va se passer si on y arrive vraiment pas ? » Du coin de l'oeil elle l'observa et marmonna : « Ils enverront des chiens renifleurs pour nous retrouver. Avec ton eau de Cologne ça ne devrait pas être trop difficile » et elle lui tira la langue. Cette petite pique n'empêcha pas son fils de se souvenir du prochain point de repère qu'ils devaient atteindre : Une grotte. Elle hocha la tête, cela lui revenait à elle aussi. Un sourire immense illumina son visage lorsqu'ils dépassèrent la fameuse grotte. Elle avait l'impression de revivre, son pas était plus léger et son énergie semblait être revenue. Elle se gratta la tête et lui dit : « Je crois qu'après on doit passer devant un arbre creusé, tu sais comme ça... » et elle avait commencé à s'agiter dans tous les sens pour lui mimer le fameux arbre. Devant l'air sceptique de Didi, elle soupira et en riant ajouta : « Laisse tomber, je te le montrerai quand je le verrai. »
Spoiler:
WIN : Quelques minutes leur suffirent pour qu'ils arrivent enfin devant ce fameux arbres au tronc creusé. « TADAM ! » explosa Mari en écartant les bras devant les chef-d'oeuvre qui se dressait devant eux. Plus qu'à longer la rivière et ils arriveraient à destination.
SO CLOSE : Au bout de longues minutes, Mari s'arrêta. Elle fronça les sourcils et pointa du doigt un arbre qui dépassait en hauteur d'un autre sentier. « Mince on n'est pas sur la bonne route, c'est celui-ci d'arbre.» Plutôt que de faire demi-tour, les deux décidèrent de couper à travers les broussailles. Ils n'étaient plus à quelques griffures près.
FAIL : Bon, le sens de l'orientation de Maritza était vraiment catastrophique. Il n'y avait aucun arbre à l'horizon, que des buissons. Elle soupira, se tourna vers Diego et d'un ton faussement amusé lui dit : « Devine quoi ? Je me suis encore trompée de chemin ! » Serait-il surpris ? Il y avait peu de chance, ils avaient si souvent fait demi-tour depuis le début...
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You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
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LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
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'dé action' :
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1787 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Il ne leur restait plus grand chose si ce n’était l’humour et cette solidarité qui avait toujours été la leur dans les épreuves. Et sur ce point, la mère et le fils pouvaient se targuer d’en avoir essuyé une longue liste alors même si Diego plaisantait, il savait qu’ils s’en sortiraient, d’une façon ou d’une autre. « Arrête tu vas nous porter la poisse. » Il avait haussé les épaules, ce n’était plus une question de chance lorsqu’elle était elle-même à l’initiative de ce stage qui devenait de plus en plus improbable à ses yeux. De tous les enfants, Diego était probablement celui à qui le stage réussissait le moins. Mais il avait l’avantage de cette complicité qui avait amené sa mère à se réfugier contre lui et, durant quelques secondes, les rôles s’étaient inversés. Et une fois les esprits apaisés, ils avaient pu reprendre le chemin et leur récompense n’avait pas tardé. « Putain le voilà ! » « Pardon ? » avait-il répondu avec une voix exagérée et un air faussement outré. Entendre sa mère jurer avait quelque chose de comique et il se devait de souligner ce point, parce qu’encore une fois, cela leur permettait de rire. De lâcher prise. Et pour que la matriarche s’autorise à parler ainsi, c’était qu’elle était réellement au bout de ses limites. Alors qu’ils se dirigeaient vers le prochain point remarquable, Diego s’était questionné sur ce qu’il adviendrait d’eux en cas d’échec. S’ils se perdaient et ne réussissaient pas les épreuves… Quelqu’un avait-il réellement préparé ce stage et songé à ce genre de dénouement ? « Ils enverront des chiens renifleurs pour nous retrouver. Avec ton eau de Cologne ça ne devrait pas être trop difficile » Il avait ri et s’était empressé de riposter. « J’adorerais voir ta tête si notre survie dépendait de sac à puces... » Les yeux de la mexicaine s’étaient plissé pour accentuer le regard noir qu’elle venait de lui lancer - elle n’avait sûrement pas pensé à cela. Mais malgré tout, ils avançaient, dépassant les obstacles les uns après les autres. « Je crois qu'après on doit passer devant un arbre creusé, tu sais comme ça... » Ses mains s’étaient jointes pour représenter une forme géométrique plus qu’approximative et il avait croisé les bras, lui offrant ce même air que lorsqu’elle se fatiguait à décrire tout un itinéraire alors qu’il était évident que Diego se contenterait de saisir l’adresse dans son GPS. « Laisse tomber, je te le montrerai quand je le verrai. » Il avait acquiesé et lui avait emboîté le pas et l’arbre avait été étrangement facile à trouver. « TADAM ! » Sa joie était communicative et il l’avait prise dans ses bras pour savourer ce moment. « Ne reste plus qu’à longer la rivière et on devrait retrouver le campement ! On a eu un début compliqué mais maintenant rien ne peut plus nous arrêter ! » avait-il lancé en continuant la marche, ignorant la douleur aux pieds et la soif qui devenait insupportable. Proche de la rivière, ils avaient bu un peu de son eau et avait continué à marcher avant de réaliser qu’ils allaient devoir la franchir à un moment ou à un autre s’ils ne voulaient pas dévier de leur chemin.
Spoiler:
WIN - Ils sautent tous les deux et atterissent de l’autre côté de la rivière, sans encombre, Diego aidant sa mère. SO CLOSE - Diego trébuche et mets un pied dans l’eau mais même s’il râle, ils réussissent à traverser. FAIL - Elle est un peu fraîche, non ?
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
LE DESTIN
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Étrangement l'ambiance était redevenue bon enfant. La crise de nerf qu'ils avaient tous les deux vécue semblait lointaine comme si tout se déroulait comme ils l'espéraient. En compagnie de Diego, Maritza avait tendance à retrouver rapidement le sourire, à plaisanter et à se sentir plus légère. Ainsi lorsqu'elle s'était mise à jurer – ce qui ne lui arrivait que très rarement – et qu'il avait pris un air scandalisé, la matriarche avait fait l'innocente, plaquant néanmoins une main contre sa bouche. Evidemment qu'elle aussi pouvait se montrer grossière, elle évitait simplement de le faire devant sa progéniture. Ils avaient poursuivi le chemin, chacun taquinant l'autre, que ce soit Maritza concernant le parfum que portait son fils ou bien ce dernier concernant l'amour – inexistant – qu'elle portait pour les chiens. Elle lui avait lancé un regard noir lorsqu'il avait parlé de « sac à puces » mais avait fini par lui tirer la langue. Il était vrai qu'être secourue par un chien serait le comble pour la mexicaine mais tant qu'elle se sortait vivante de ce bourbier dans lequel elle les avait mis, c'était l'essentiel.
Alors qu'ils franchissaient une à une les étapes de leur périple, la brune se mit en tête d'indiquer le prochain point à trouver à son fils. Comme toujours ce dernier fit mine de ne rien comprendre, du moins c'est ce que l'ego de Mari préférait penser. Elle le vit croiser les bras et la regarder avec un air interloqué comme si elle lui parlait une autre langue. Après avoir roulé des yeux, la Gutiérrez avait pris les devants. Sa joie avait rapidement contaminé Diego qui s'était jeté dans ses bras en se rendant compte qu'elle avait vu juste. Elle l'avait serré contre elle, fermant les yeux et appréciant ce moment d'ivresse passagère. « Ne reste plus qu’à longer la rivière et on devrait retrouver le campement ! On a eu un début compliqué mais maintenant rien ne peut plus nous arrêter ! » Elle avait hoché vigoureusement la tête, un sourire éclatant gravé sur le visage. Ils avaient fait le plus dur ! « On a survécu à bien pire que longer une rivière ! C'est dans nos cordes. » Et elle en était convaincue. Elle prit le temps de boire une longue gorgée d'eau et suivit son fils d'un pas guilleret. Sur une bonne lancée, la mère se mit à fredonner jusqu'au moment où elle vit Diego trébucher. Il enfonça l'un de ses pieds dans l'eau mais Maritza eut le réflexe de le rattraper avant qu'il ne tombe. Elle soupira et marmonna : « Tu veux vraiment pas finir cet atelier en un seul morceau... » Les prunes, et maintenant l'eau glaciale... Qu'essayait-il de faire ? Ils parvinrent néanmoins à longer l'eau mais Maritza s'arrêta avec un air dépité : « Ne me dis pas qu'on doit grimper ça... » Devant eux se dressait une sorte de petite colline dont la pente était bien trop abrupte pour elle. Jamais elle n'aurait assez d'énergie pour arriver en haut, jamais.
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Le stage avait le mérite de sortir Diego de ses pensées et d’oublier les problèmes quotidiens. En effet, il ne pouvait plus penser à rien à part à l’objectif du jour et aux différentes étapes qui devaient les ramener au campement. Plus ils avançaient, plus il s’était dit qu’il aurait été plus judicieux de rebrousser chemin à peine avaient-ils été déposés dans la forêt mais rien ne prouvait que la mère et le fils auraient réussi à retrouver le chemin emprunté par la jeep. Le constat était là, ils n’étaient absolument pas faits pour l’aventure. Pourtant, cela faisait partie de ces souvenirs qu’il chérirait, parce qu’il avait partagé quelque chose avec sa mère et qu’après coup, il en était persuadé, ils réussiraient à rire de tout ça. La preuve avec l’effusion de joie qui les avait gagnés en réalisant qu’ils avaient atteint l’arbre qu’ils cherchaient et que seule la rivière restait à être longée. « On a survécu à bien pire que longer une rivière ! C'est dans nos cordes. » Ils avaient finalement également du la travers, et c’était là que les problèmes avaient commencé. Diego avait mis son pied sur une pierre qui n’était pas totalement immergée et s’était assuré de sa stabilité avant de se mettre en équilibre dessus et de faire un pas de plus vers l’autre rive. Evidemment, le mexicain avait trébuché et sa mère avait tendu sa main juste à temps pour lui éviter de tomber complètement. A la place, son pied s’était retrouvé trempé. « Tu veux vraiment pas finir cet atelier en un seul morceau... » Cette fois, c’était à son tour de lui lancer un regard noir. « Comme si je le faisais exprès… » avait-il marmonné, parce qu’il n’avait pas envie que sa mère se braque. Le chemin était encore long. « Ne me dis pas qu'on doit grimper ça... » Exerçant un petit saut pour retrouver l’autre bord de la rivière, Diego avait levé les yeux pour constater de quoi parlait Maritza. Une pente, immense, qui ressemblait à une montagne recouverte d’herbe verte. Il avait perdu tous les supports, carte et boussole, mais se souvenait de l’énigme qui figurait en bas de page. « Sur la carte c’était écrit qu’il faudrait redoubler d’effort ou se surpasser pour arriver à bon port, un truc du genre. C’est forcément ça… » Il discuterait avec les organisateurs à l’arrivée parce qu’il était évident qu’après ce périple, personne ne pouvait avoir l’énergie d’un tel dépassement. Ou peut-être que le problème venait simplement d’eux et de ces innombrables détours qu’ils avaient fait avant de retrouver leur chemin. Alors ils avaient entamé l’ascension. « Heureusement qu’on a bu de l’eau ! » avait-il lancé, à bout de souffle. Après quelques minutes qui avaient semblé des heures, ils étaient arrivés en haut.
Spoiler:
WIN - Ils redescendent et constatent que si la montée était conséquente, la descente s’annonce bien plus simple. Ne reste plus qu’à aller au camp et se rafraîchir SO CLOSE - La pente est si raide qu’ils doivent élaborer un plan pour descendre - pourquoi les organisateurs n’ont pas prévu de matériel d’escalade ?! FAIL - « J’ai super mal au ventre… » Etait-il judicieux de boire de l’eau de rivière sans la filtrer ?
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Comme depuis le début de leur atelier orientation, Diego et Maritza passaient par toutes les émotions. La joie, le désespoir, la colère, l'agacement, la peur, tout se mélangeait et formait un cocktail plus qu'explosif. Chaque petit obstacle qu'ils devaient surmonter pouvait à tout moment les faire basculer dans l'euphorie ou bien dans la folie pure. Ainsi lorsque la matriarche se permit de faire une remarque à son fils concernant la cascade qu'il venait de faire – et surtout le fait qu'il avait failli finir à l'eau – Diego n'avait pas perdu de temps pour lui lancer un regard noir et marmonner : « Comme si je le faisais exprès... » La mexicaine s'était pincée les lèvres et n'avait rien dit de plus. Il était rare de voir Diego perdre patience et perdre son calme avec sa mère, au contraire, il avait tendance à toujours l'apaiser, à lui rendre la vie plus facile. S'il commençait à la fusiller du regard, c'était que l'heure était grave. Le Gutiérrez craquait. Ils finirent donc par traverser la rivière, chacun prenant bien garde à ne pas tomber à la renverse. Lorsqu'ils étaient arrivés à bon port, Mari avait découvert la pente qu'il devait grimper. Une envie de pleurer s'était mêlée à celle de hurler mais finalement elle avait réussi à se contrôler. « Sur la carte c’était écrit qu’il faudrait redoubler d’effort ou se surpasser pour arriver à bon port, un truc du genre. C’est forcément ça… » Elle ferma les yeux et inspira longuement. Pouvaient-ils véritablement faire confiance à ce genre de phrase ? Elle en doutait sincèrement. Tout ce stage n'était qu'un mensonge. Il était sensé être pour les débutants, ce qu'ils étaient, or, tout lui semblait insurmontable. Ils n'étaient pas dans randonneurs expérimentés et voilà qu'ils se retrouvaient à crapahuter à droite à gauche tout en prenant des risques inconsidérés. « De la publicité mensongère, voilà ce que c'est. » avait soupiré Maritza avant de capituler et de suivre son fils. L'ascension avait été difficile, chaque pas était plus douloureux que le précédent. La mère sentait chaque muscle de son corps tirer alors que de grosses goûtes de sueur glissait le long de sa colonne vertébrale. Elle n'en pouvait plus. Lorsqu'ils arrivèrent en haut, le souffle court, la brune acquiesça au commentaire de son fils concernant l'eau. Elle sortit par la même occasion la gourde qu'elle avait remplie un peu plus tôt, but une longue gorgée et la tendit à Diego. Finalement ils se mirent à redescendre la bute et ce fut avec un soulagement non dissimulé que Maritza dit à son fils : « Je crois qu'on arrive ! ». En effet, en tendant l'oreille, la mexicaine avait entendu des voix un peu plus loin. Cela faisait des heures qu'ils n'avaient pas croisé la moindre personne. Le fait d'entendre d'autres humains indiquait très clairement qu'ils se rapprochaient du camp. Quelques minutes leur suffirent pour rejoindre les formateurs. La mère prit sur elle pour ne pas insulter tout le monde avec des noms d'oiseaux, elle prit le badge annonçant qu'ils avaient réussi, se tourna vers Diego qu'elle serra fort contre son cœur et murmura à son oreille : « On l'a fait. On a réussi. » La fierté gonflait sa poitrine, à moins que cela ne soit l'amour qu'elle ressentait pour le garçon.
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