ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Sergio Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Lorsque Sergio lui proposa de rentrer et par conséquent d'abandonner le stage de survie, Maritza n'eut même pas besoin de lui répondre. Son regard parla pour elle-même. Les sourcils froncés, les yeux presque noirs, la mexicaine refusait de s'avouer vaincue. Elle n'avait pas fait tout cela pour arrêter sur la dernière ligne droite, il en allait de sa dignité. Non, ils n'allaient pas lâcher l'affaire, non ils ne rentreraient pas chez eux, en tout cas pas avant d'avoir obtenu ce fichu diplôme. La matriarche était bien décidée à réussir même si au fond d'elle croissait une angoisse de plus en plus importante. Il fallait qu'elle fasse attention à ce qu'elle faisait, les dangers étaient nombreux autour d'eux et elle devait bien admettre que pour le moment, elle n'en évitait aucun. Elle suivit le conseil de son ancien compagnon, saisit un bâton et avança précautionneusement. Les mauvaises surprises avaient tendance à débarquer très rapidement ces derniers temps.
Un silence de plomb s'était abattu sur leur pseudo campement. Ils s’affairaient tous les deux à ramener les pierres nécessaires à l'élaboration de la cabane. La fatigue prenait le pas chez Maritza et la scène de l'attaque du serpent repassait en boucle dans sa tête. La brune avait bien du mal à effacer de sa mémoire ce qu'elle venait de vivre. Lorsqu'ils eurent assez de pierres, ils les disposèrent une à une de façon à pouvoir installer la structure. Dubitative, Mari exprima ses doutes quant à l'efficacité de ce qu'ils venaient d'entreprendre. Sergio analysa la situation et se montra plus confiant qu'elle. Il lui expliqua comment faire pour mettre les branches et elle obéit sans broncher. Après plusieurs minutes, la cinquantenaire remarqua que l'espace était plutôt petit. Ils tiendraient difficilement à deux, ou plutôt ils tiendraient mais jamais en gardant une distance convenable entre leur deux corps. A cette pensée la mexicaine frissonna. Incapable de déterminer s'il s'agissait d'un frisson de désir ou bien de crainte. « Tu crois qu'il y aura de la place pour Etna ? » demanda-t-elle pour lui faire remarquer que leur cabane était très exiguë. Sergio s'en était-il rendu compte ? Avait-il conscience qu'ils risquaient de dormir collés l'un à l'autre ?
Ils n'eurent pas vraiment le temps de s'attarder sur ce point qu'ils constatèrent rapidement que la structure ne tenait pas, les branches s'effondraient petit à petit. Un soupir de lassitude échappa à Maritza alors qu'elle voyait son ancien mari réfléchir tout en tentant de garder son calme. Sa patience l'étonnait, elle l'avait connu plus sanguin, plus précipité. « Peut-être que si on creuse des tranchées, le bois restera coincé au sol et on pourra le faire tenir au bout… ? » La femme de ménage haussa un sourcil quelque peu sceptique. Cela risquait de leur prendre un temps fou mais après tout elle n'avait aucune autre solution à proposer. Elle se gratta la tête et après quelques secondes proposa : « Si on mouille la terre avec l'eau de la rivière, ce sera peut-être plus simple de creuser ? » Cela risquait de faire un peu de boue mais au moins ils pourraient manipuler la terre pour planter les branches et par la suite recouvrir ces dernières.
WIN : A l'aide de sa gourde, Maritza versa de l'eau le long des lignes imaginées par Sergio. Lorsque la terre fut plus molle, elle tendit un bout de bois à l'homme, en prit un de son côté et annonça : « Ca devrait faire l'affaire pour creuser. » et ils se mirent à la tâche. Au bout de quelques minutes ils constatèrent que la technique – bien que spéciale – était efficace. Les tranchées étaient prêtes, désormais ils pouvaient planter leurs branches.
SO CLOSE : Maritza versa de l'eau le long des lignes imaginées par Sergio mais le sol absorbait tout. Après de nombreux allers-retours elle marmonna : « Bon, on n'obtiendra pas mieux. » Ils prirent chacun un bout de bois et commencèrent à creuser les tranchées. C'était chaotique des deux côtés et rien n'était vraiment régulier. Au bout de longues minutes, épuisée, elle osa demander : « Tu penses que ça suffira ? »
FAIL : L'idée de l'eau paraissait ingénieuse sur le papier mais en réalité c'était tout bonnement inefficace. La terre ne se ramollissait absolument pas. Mari prit un bout de bois pour creuser, mais il se brisa. Elle renouvela l'expérience trois fois mais dû se rendre à l'évidence. Ca ne marchait pas. Rageusement elle balança le bois plus loin puis finit par se mettre à genoux. A l'aide de ses ongles et de ses doigts elle commença à gratter la terre. « On n'a pas fini... Et en plus je suis déjà sale ! » se plaignit-elle en montrant ses mains noircies à Sergio. Cette histoire semblait sans fin.
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ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
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'dé action' :
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Évidemment que le plan ne se déroulait pas comme prévu. Depuis qu’ils étaient arrivés, tout se jouait dans la demi-mesure. Ce n’était pas une catastrophe, mais pas une grande réussite non plus. Ils avaient du feu et de l’eau, ce qui semblait déjà primordial. Ils avaient aussi Etna qui était désormais sur le qui-vive. Il se doutait que Maritza ne le dirait jamais à voix haute mais le concernant, il était convaincu que ramener sa chienne avait été la meilleure idée du week-end. Maintenant qu’ils avaient compris qu’il valait mieux la tenir loin des branches, en tout cas. Leur semblant de cabane peinait déjà assez à tenir debout. La brune avait raison, l’espace serait vraiment restreint. Et en même temps, la taille des branches permettait difficilement de faire plus large, même avec la meilleure volonté. Il tourna la tête vers le doberman. « Non, probablement pas. Mais elle est habituée à dormir dehors de temps à autres, ce n’est pas grave. » S’il était parfois gâteux avec sa chienne, il ne lui passait pas tout ; elle ne dormait pas dans son lit, et il l’avait prise pour monter la garde avant tout. Il serait bien plus serein à la savoir rôder autour de l’abri plutôt qu’entre eux deux, en prenant le risque de cogner dans une branche et de tout faire s’écrouler. Pour un peu qu’il y avait quelque chose à faire tomber car les pierres ne faisaient pas totalement l’affaire pour tenir les fondations en place. A part creuser la terre, le mexicain n’avait franchement pas de meilleure idée. Heureusement, ils étaient deux, et l’idée de Mari lui sauta aux yeux comme une évidence. Humidifier la terre, évidemment. « Bonne idée. » Il la laissa verser sa gourde, attendit que l’eau s’évapore, et en retenant son souffle, il planta le bâton que la brune lui tendait. Il fallut forcer un peu mais finalement, la terre céda, acceptant de se creuser. Ils purent enfin avoir leurs chères tranchées au bout de quelques minutes, Sergio reposa le bâton. « Je pense que ça devrait faire l’affaire. On retente ? » Il se positionna à nouveau d’un côté, attendant que Mari fasse de même. Puis, ils purent retenter ce jeu d’équilibre. Les premières branches furent les plus chaotiques mais les tranchées fonctionnaient à merveille. Une fois la structure posée, ils purent accumuler les épaisseurs jusqu’à vraiment se créer un toit. Précautionneusement, Sergio acheva l’abri en reposant les pierres juste pour maintenir les branches, et enfin, ils avaient quelque chose qui ressemblait à une cabane. « On s’en sort vraiment bien. » Il fit un pas en arrière pour admirer le résultat. « On devrait encore trouver du feuillage pour isoler le toit. » Il regarda autour de lui. Il commençait à se sentir lassé de tout ce bazar mais en comparaison, trouver des branches aux larges feuilles n’était vraiment pas la partie la plus simple. Alors il s’avança à travers les arbres, nez en l’air, cherchant son bonheur.
Win : Il ne fallut pas longtemps avant de trouver cet arbre qui semblait être tombé récemment. Les branches étaient extrêmement fournies, le bois juste assez sec pour que simplement tirer dessus suffise à casser le bois. « On devrait même en avoir assez pour un matelas de fortune. » commenta Sergio dans un sourire satisfait. Ils approchaient enfin du but.
Close : Pas encore, stp le dé, déconne pas
Fail : Les arbres n’étaient pas exactement ce qui manquait. Les arbres aux larges feuilles accessibles en revanche, c’était un peu plus compliqué. Alors Sergio posa son dévolu sur le premier arbre qui correspondait à ses critères. Il attrapa la branche sans trop réfléchir. Malheureusement, ses connaissances en faune et flore étaient limitées. Autrement, il aurait su que les feuilles qu’il venait d’attraper à pleines mains étaient urticaires. Rapidement, la sensation de démangeaison grimpa, rendant ses paumes tout simplement insupportables. Il se les frotta contre son pantalon, grimace sur le visage. « Ne touche pas, elles sont urticaires. » Et cela ne faisait qu’amplifier. « Je vais à la rivière. » D’un pas pressé il s’y dirigea pour aller plonger ses mains dans l’eau glacé. Quelle manière stupide de s’handicaper.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
LE DESTIN
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ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
« Non, probablement pas. Mais elle est habituée à dormir dehors de temps à autres, ce n’est pas grave. » Maritza se retint d'expliquer à Sergio qu'en réalité elle se fichait bien de savoir si la chienne dormirait dehors ou à l'abri. Ce n'était pas ça qui lui posait problème, c'était la proximité qu'elle allait à nouveau partager avec l'agent qui la perturbait. Ce n'était pas la première fois qu'ils se retrouveraient dans ce genre de situation mais cela faisait des années que cela n'était pas arrivé. L'état actuel de leur relation était si particulier que la mexicaine se sentait perdue. Quelques mois auparavant elle aurait pu jurer sur tout ce qu'elle avait de plus cher qu'il ne se passerait plus jamais rien entre Sergio et elle mais depuis qu'il était de retour sous son toit – et par conséquent dans sa vie – toutes ses certitudes vacillaient. L'attirance qu'elle ressentait pour son ancien époux était indéniable, la complicité qui avait par le passé existé semblait renaître un peu plus chaque jour, chaque sourire, geste tendre de l'homme faisait battre un peu plus vite son cœur, tous ces signes n'annonçaient rien de bon quant aux résolutions qu'elle avait prises, Mari ne pouvait pas le nier. Pourquoi avait-il fallu qu'elle choisisse cet atelier avec lui ? N'aurait-elle pas dû choisir autre chose ?
Lorsqu'elle lui proposa de creuser la terre, il lui affirma que c'était une bonne idée. La cinquantenaire fut rassurée de constater que c'était en effet le cas. Au bout de longues minutes de dur labeur, ils parvinrent à faire des tranchées qui ressemblaient à quelque chose. « Je pense que ça devrait faire l’affaire. On retente ? » Elle hocha la tête, priant pour que tout se passe pour le mieux. Après leurs précédentes tentatives, ils étaient devenus assez efficaces pour enfin parvenir à construire la structure de la cabane. Les branches s'emboîtaient mieux et la cabane semblait plutôt solide. Il fallait néanmoins prier pour qu'il n'y ait aucune intempérie durant la nuit. « On s’en sort vraiment bien. » Un sourire éclaira le visage de la brune qui ajouta : « Je n'en reviens pas. » Leur cabane ressemblait vraiment à une cabane. Elle n'était certes pas très grande mais au moins ils dormiraient à l'abri. Cela la rassurait quelque peu. « On devrait encore trouver du feuillage pour isoler le toit. » En silence elle le suivit à travers les bois, regardant tout autour d'elle ce qui pourrait convenir. Elle n'était pas particulièrement inquiète quant à ce point. Durant les jours qui avaient précédé, la mère avait repéré de nombreuses grandes feuilles qui pourraient faire l'affaire. Elle vit d'ailleurs ce qu'elle recherchait mais au moment où elle allait les montrer à Sergio elle vit ce dernier toucher une plante qu'il n'aurait même pas dû effleurer. Elle n'eut pas le temps de le mettre en garde qu'elle l'entendit : « Ne touche pas, elles sont urticaires. » Elle se mordit la langue pour ne pas rétorquer qu'elle était au courant et l'observa – impuissante – s'éloigner près de la rivière. Rapidement elle retrouva ses esprits et chercha sur le sol deux plantes bien distinctes : l'aloe vera ainsi que le lierre terrestre. Elle savait que ces plantes calmaient les démangeaisons de piqûres d'orties, peut-être seraient-elle aussi efficace dans cette situation. Au bout de quelques minutes, elle repéra un pied d'aloe vera et s'empressa d'en couper des morceaux. Elle retourna au plus vite vers Sergio dont les mains étaient encore plongées dans la rivière. « Donne-moi tes mains » demanda-t-elle avec douceur. Elle prit celle qui était la plus attaquée et commença à frotter avec délicatesse la plante sur sa peau. Elle accrocha le regard de Sergio et murmura : « Tu sens une différence ? ». Elle espérait sincèrement que cela fonctionnerait.
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Sergio avait hâte d’en finir avec cette cabane pour qu’ils puissent enfin se poser et espérer se détendre. Le sentiment d’urgence qu’il avait ressenti au début de l’après-midi en réalisant qu’ils devraient monter une cabane et réussir à faire un feu s’était dissipé. Quelque chose lui disait qu’ils n’étaient pas au bout de leurs peines, mais le mexicain se sentait prêt à affronter une nuit froide, un sol dur et des bestioles à partir du moment où Maritza était là. Il avait bien compris que l’atelier avait pour but de resserrer les liens entre les Gutiérrez mais pour l’heure, il n’était pas certain que cela soit la meilleure manière de communiquer et partager un bon moment. Malheureusement pour lui, l’allégresse provoquée par la construction de la cabane et par le sourire radieux de la brune n’avaient pas duré. C’était tristement ironique que ce soit dans l’étape la plus facile qu’il fasse cette erreur de débutant. Il ne fallut que quelques secondes avant que la sensation urticaire ne grimpe et lui fasse comprendre que la faune n’était pas l’unique chose dont se méfier, dans cette nature australienne. Il tenta de rester stoïque mais sa démarche trop pressée en direction de la rivière trahit immédiatement le côté insoutenable de la démangeaison. C’était comme si un million de fourmis s’étaient infiltrées sous la peau de ses paumes. L’eau froide soulagea quelque peu mais pas assez pour qu’il puisse retirer ses mains de là sans grimacer. Il ne s’y connaissait pas en plantes mais savait que c’était dû à de minuscules poils urticants qui s’étaient accrochés à sa peau. Dans le cas des orties par exemple, il savait que le vinaigre ou la menthe pouvaient aider. Il doutait cependant en trouver dans cette forêt, le faisant se sentir particulièrement stupide d’être handicapé par si peu. Au bout de quelques minutes, Maritza finit par le rejoindre. Elle avait les mains pleines de plantes qui, apparemment, n’étaient pas urticantes, elles. La brune avait l’air de parfaitement savoir quoi faire alors il la laissa docilement prendre ses mains entre les siennes. Il ne broncha pas, mettant tous ses efforts pour être patient et ne pas replonger directement ses mains dans l’eau. La proximité de son ex-femme eut au moins le don de le distraire. Elle était si proche qu’il pouvait sentir son parfum, voir tous les détails de son visage. Ça, ajouté à l’extrême délicatesse dont elle faisait preuve, suffisaient à lui faire oublier pendant un instant la démangeaison de ses mains. Elle était magnifique. Il ne lui fallait que croiser son regard pour se rappeler ce qui l’avait fait chavirer dès le jour où il avait posé les yeux sur elle dans leur rue à Acapulco.
Win : Quand il revint à la réalité, ses paumes ne démangeaient plus autant. La sève de l’aloe vera avait fait son affaire et le contact frais atténua grandement l’effet urticaire. « Oui. Merci. Je pense que je vais te laisser choisir quelles branches utiliser maintenant. » Il lui sourit doucement. L’effet était passé et malgré tout, il se refusa à bouger, à briser ce contact, ses prunelles fermement accrochées à celles de la brune. Il en oubliait l’existence de leur cabane et le reste de leurs responsabilités, subitement.
Close : Quand il revient à la réalité et baissa les yeux sur l’aloe vera, un sourire contrit étira ses lèvres. « Mari. Je crois que tu es supposée couper la feuille en deux pour extraire la sève. C’est ça, le remède miracle. » Il ne put retenir un léger rire. Vu la manière dont elle avait coupé les bouts, un peu de sève suintait, mais pas assez pour franchement le soulager. Dommage que ses connaissances végétales ne ressortent que pour dire à la brune qu’elle s’en sortait mal.
Fail : j’ai pas d’idée et franchement le dé ce serait pas cool.
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Les yeux plongés dans ceux de Sergio, Mari en oubliait presque ce qu'elle était en train de faire. La manière dont il la regardait la faisait chavirer et faisait battre son cœur un peu trop vite. Sans détacher son regard du sien, elle frottait méticuleusement les feuilles contre les mains douloureuses de son ancien compagnon. Ce ne fut que lorsqu'elle l'entendit dire : « Mari. Je crois que tu es supposée couper la feuille en deux pour extraire la sève. C’est ça, le remède miracle. » qu'elle sursauta et balbutia : « Quoi ? » Ses yeux se posèrent à leur tour sur les feuilles d'aloe vera qu'elle s'obstinait à frotter. Elle se mordit l'intérieur de la joue et murmura : « C'était pour voir si tu avais encore toutes tes facultés cérébrales... » elle lui tira la langue, admettant à demi-mot qu'elle avait en effet fait n'importe quoi puis coupe les feuilles en morceaux. Cette fois-ci la sève s'écoula tout comme l'odeur de la plante qui vint se glisser entre eux. La matriarche ne se fit pas avoir une deuxième fois, elle se concentra sur les mains de l'agent, refusant de croiser son regard qui avait tendant à bien trop la perturber. Au bout de quelques minutes elle arrêta et plongea avec délicatesse les mains de Sergio dans l'eau. Lorsqu'elle les ressortit, elle caressa du bout des doigts la peau de l'homme et satisfaite lui dit : « Je pense que ça devrait être bon cette fois. » Sa peau était encore un peu rouge et quelques piqûres subsistaient mais le plus dur semblait passer. Elle lâcha les mains du cinquantenaire et s'éloigna un peu de l'eau. Elle le regarda du coin de l'oeil et finit par lui dire : « Je vais m'occuper des feuilles, ce sera peut-être mieux... » et elle s'approcha des bois. Elle fut rassurée lorsqu'elle entendit qu'Etna était à ses côtés. Depuis l'attaque du serpent, la chienne ne semblait plus vouloir la lâcher d'une seule semelle. Si d'ordinaire cela aurait rendu dingue Mari, présentement elle était plus que ravie que l'animal agisse ainsi. Elle retrouva aisément l'arbre qu'elle avait repéré avant que Sergio ne touche la plante urticante et commença à arracher les feuilles. Au bout de longues minutes – beaucoup trop longues – elle décida de revenir sur leur campement les bras chargés de feuilles. Elle les déposa aux pieds de Sergio et lui demanda : « Tu penses que ce sera suffisant ? Sinon je peux y retourner. » Elle espérait sincèrement ne pas devoir remettre les pieds dans les bois, elle était purement et simplement épuisée.
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AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Il n’aurait jamais imaginé qu’ils se retrouveraient un jour dans une telle situation. C’était un ascenseur émotionnel pour Sergio qui se retrouvait à accepter chaque galère qui leur tomberait dessus chaque fois que Maritza se rapprochait de lui. Être si proche ne l’aidait pas à se concentrer, mais assez pour sentir uniquement la matière rêche de la feuille sur ses mains plutôt que la sève qui aurait dû le soulager. Il avait fini par l’avouer, ne pouvant retenir un sourire amusé. « Tu m’as l’air d’être celle qui est distraite pourtant. » Il ne nierait pas y être pour quelque chose à accrocher son regard à la première occasion. Et elle devait le savoir car il ne put l’y reprendre cette fois-ci. Maritza coupa enfin la feuille pour libérer la sève qu’elle étala sur ses paumes. La fraîcheur de l’aloe vera lui faisait du bien. Il laissa son ex-femme l’appliquer, perdant le fil du temps jusqu’à ce qu’elle décide enfin d’arrêter et de l’inciter à se rincer les mains dans l’eau fraîche. Ce n’était pas encore parfait, mais il n’avait plus envie de se les frotter jusqu’à s’arracher la peau. C’était un bon début. « Oui, je pense que je vais te laisser faire… maintenant que je t’ai montré exactement ce qu’il fallait éviter. » L’air offusqué sur le visage de la brune le fit rire et pendant quelques instants, il resta assis au bord de l’eau à la regarder s’éloigner, Etna sur les talons. L’animal semblait avoir compris que la forêt n’était pas exclusivement une aire de jeux et son rôle de chien de garde avait repris le dessus. C’était tant mieux. Sergio opta pour ne pas la suivre et plutôt retourner vers la cabane pour tester les fondations et s’assurer que les branches ne risquaient pas de leur tomber dessus durant la nuit. Il secoua, repositionna, força un peu, jusqu’à arriver au constat qu’à moins d’une tempête, ils devraient être tranquilles durant la nuit. Quand Mari revint vers lui avec les feuillages, il lui sourit doucement, juste content d’enfin toucher le bout. « Non, je pense qu’on a tout ce qu’il nous faut. Plus qu’à les mettre en place. » Et c’est ce qu’il fit, attrapant les branches pour les répartir sur le toit de la cabane de manière à limiter les courants d’air. Au bout de quelques minutes, leur abri de fortune semblait enfin avoir un toit décent. « J’imagine qu’on n’a plus qu’à essayer. » Précautionneusement, Sergio s’accroupit pour venir s’allonger dans la cabane.
Win : Ce n’était pas le grand luxe, l’isolation du vent n’était pas parfaite, le sol pas totalement lisse -quelle bonne idée avait-il eu d’apporter un tapis de sol-, mais la cabane ne s’écroulait pas et ils ne risquaient pas de mourir de froid durant la nuit. « Viens voir ! »
Close : L’espace n’était pas très large, quelques branches manquaient sous le toit, le sol était un peu plus caillouteux que ce qu’il aurait souhaité, mais la cabane tenait la route. « Je savais qu’on renoncerait au confort, mais je sens que la nuit va être longue. »
Fail : L’espace n’était pas très large, quelques branches manquaient sous le toit, le sol était un peu plus caillouteux que ce qu’il aurait souhaité, mais la cabane tenait la route. Sergio allait inviter Mari à le rejoindre mais ce fut Etna qui décida de venir prendre la place, s’allongeant de tout son long contre son maître, aboyant même sur Maritza lorsque celle-ci s’approcha. « File de là ! » L’animal décida de ne pas obéir, bien évidemment. L’homme fut donc obligé de se redresser pour la pousser hors de l’abri, ce qui lui fit avoir un mouvement maladroit sur l’une des branches. Un bout de l’abri s’écroula, le faisant se figer sur place. « Tu peux réparer ça tu penses ? »
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Sergio Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Lorsqu'elle était revenue, les bras chargés de feuilles, Maritza avait pu observer tout à loisir la silhouette de son ancien mari se dessiner à l'horizon. Penché sur leur cabane de fortune, il s'assurait que celle-ci tienne en place. Le regard de la mexicaine descendit le long de son corps, s'égarant sur ses bras musclés, sur son torse, bifurquant sur ses fesses. Elle sentit le feu lui monter aux joues et secoua la tête. Ce stage de survie la rendait bien trop fébrile quant à sa proximité avec Sergio. Tout ce qu'elle pensait avoir éteint et enterré remontait lentement mais sûrement à la surface. Le danger était tout proche, et il ne s'agissait pas de serpent cette fois-ci mais bien du Gutiérrez. Arrivée à proximité de lui, elle déposa toutes les feuilles à leurs pieds et fut soulagée de l'entendre dire : « Non, je pense qu’on a tout ce qu’il nous faut. Plus qu’à les mettre en place. » Elle aurait pu l'aider mais ne s'en sentait pas la force. Elle avait besoin de prendre une pause. Elle s'était donc assise et l'avait observé faire, caressant machinalement la tête d'Etna qui était venue s'installer à ses côtés. L'agent se montrait précis et rigoureux, s'assurant qu'aucun trou d'air ne vienne gâcher leur nuit qui risquait déjà bien d'être compliquée. « J’imagine qu’on n’a plus qu’à essayer. » Elle se pinça les lèvres et hocha la tête, quelque peu nerveuse. Il n'était pas question qu'elle entre la première là-dedans. Ils avaient eu tellement peu de chance depuis le début de cet atelier que la matriarche craignait de faire s'écrouler la cabane. Elle se releva et observa Sergio se mettre accroupi pour entrer dedans. Elle retint son souffle, attendant que tout s'effondre mais rien de tout cela ne se produisit. Au contraire, Sergio l'appelait même pour qu'elle le rejoigne. Elle sentit son estomac se nouer mais fut incapable de déterminer à quoi cela était dû. Etait-ce de la peur ? De l'excitation ? Elle n'en avait pas la moindre idée. Précautionneusement, elle se mit à genoux et entra à son tour. Lorsqu'elle fut à l'intérieur, elle fut soulagée de voir que tout tenait. Elle releva le visage et croisa le regard de son ancien compagnon. Ils étaient si proches que l'espace de quelques secondes elle fut déstabilisée. « Je... Bravo, c'est très réussi. » articula-t-elle péniblement. Une vague de chaleur la parcourut alors qu'elle sortait déjà pour reprendre sa respiration. Elle alla prendre leurs deux sacs et retourna à l'intérieur. Sergio avait pris un matelas et elle ne pouvait lui en être plus reconnaissante. Elle sortit le tout, tout en évitant soigneusement de le regarder et murmura : « Je suis si épuisée que je n'ai même pas la force de manger quoi que ce soit. » Ses muscles lui faisaient atrocement mal, chaque partie endolorie de son corps semblait se réveiller, c'était comme si elle se relâchait totalement après ce périple.
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Cry me a river♛
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Sergio n’aurait sans doute pas extrêmement bien réagi si la cabane n’avait pas tenu le coup. Pour être parfaitement honnête, entre les muscles endoloris à cause des chocs, la fatigue qui s’installait et le soleil qui ne tarderait pas à entamer sa descente, ils étaient à court de temps pour retenter une cabane ou trouver une solution digne d’un architecte pour faire tenir leur abri de fortune. Si le vent n’avait pas été si frais et s’il n’y avait pas eu l’incident du serpent, il aurait été tenté de dormir près du feu. Il fallait croire qu’il n’avait pas la fibre aventurière. Il préférait ne pas songer au fait que ce n’était que le début de cette aventure. Quoiqu’il en soit, le pire cas de figure ne serait pas d’actualité. Ils pourraient dormir au calme, dans un confort certes tout relatif mais supérieur à ce qui s’annonçait. Le sourire sur les lèvres du mexicain s’étira lorsque Maritza le rejoignit. Ils étaient à l’étroit, cela allait sans dire. Ils ne pourraient pas passer la nuit sans au moins se frôler. « Trente ans plus tôt, et on aurait adoré se retrouver dans une cabane rien que tous les deux. » La nostalgie lui échappa, comme un souvenir à côté duquel ils étaient passés. Ils ne rataient pas une occasion de se cacher du reste du monde à l’époque, que ce soit de leur famille, de leurs enfants, du reste de leurs proches. Les instants volés qui leur valaient des sourires complices par la suite. Et en tournant la tête, il réalisa pleinement combien ils étaient proches. Il put sentir son souffle contre son visage, l’odeur de son parfum, détailler chaque mèche de cheveu folle sur ce visage qu’il pourrait passer des heures à admirer. Leurs regards s’accrochèrent et celui du mexicain glissa sur les lèvres de son ex-femme, rien qu’une seconde. Ce fut incroyablement bref mais il crut que le temps s’était arrêté avant qu’elle ne s’échappe et ne le rappelle à la réalité. « C’est un travail d’équipe. » Il se redressa à son tour, suivit la brune des yeux mais arrêta à contre-cœur, trop conscient qu’il valait mieux éviter un coup de coude maladroit dans le bois. Il attendit que son ex-femme revienne avec leurs sacs pour défaire les sangles de son sac et dérouler le matelas qui était juste assez large pour couvrir l’intérieur de l’abri. La mousse ne vaudrait pas un matelas digne de ce nom, mais c’était déjà mieux que rien. Il sortit également l’une des couvertures de survie qu’il avait prévue. Ça ne prenait pas vraiment de place mais serait sans doute bien utile pour les accompagner durant la nuit. La remarque de Mari le fit légèrement rire. « Quand j’ai vu l’intitulé de l’atelier, j’imaginais qu’on finirait autour du feu à regarder le coucher du soleil… mais je suis d’accord, cette journée a été éprouvante. » Il jeta un œil à sa montre. « Il n’est que 17h. J’imagine qu’on peut se reposer avant un peu de décider de ce qu’on fait. » Sergio ne se fit pas prier pour s’allonger, soupirant de soulagement quand son dos toucha le sol. Il ferma les yeux quelques instants, mais il se retrouva rapidement incapable de prétendre que Mari n’était pas là, que l’une de ses mèches de cheveux ne lui chatouillait pas la joue. Il sentait la chaleur de son corps contre le sien et lorsqu’il tourna la tête, leurs regards se croisèrent de nouveau. Comme un peu plus tôt, il se surprit à oublier que le monde extérieur existait, ou que ces dernières années ne les avaient pas séparés. Une telle proximité ravivait de vieux réflexes et des désirs qui n’avaient jamais disparus. Elle ne cherchait pas à fuir comme un peu plus tôt, ne détournait pas le regard. Encore, les prunelles de l’agent glissèrent sur ces lèvres qui lui manquaient tant. Il ne devrait pas. C’était mettre les pieds sur un terrain glissant. Mais il n’avait jamais été réputé pour être raisonnable.
Win : Lentement, il se redressa sur le coude et se pencha sur la brune. Ses doigts s’emmêlèrent dans les mèches provocatrices et après un regard qui attendait une forme d’assentiment, il combla la distance qui les séparait pour venir l’embrasser tendrement.
Close : Lentement, il se redressa sur le coude et se pencha sur la brune. Ses doigts s’emmêlèrent dans les mèches provocatrices et après un regard qui attendait une forme d’assentiment, il se rapprocha doucement des lèvres de Mari. Il eut à peine la sensation de les effleurer que les aboiements furieux d’Etna le firent se redresser, sa main toujours contre la nuque de son ex-femme cependant. « Quoi encore. » souffla-t-il avec dépit.
Fail : Lentement, il se redressa sur le coude, incapable de résister plus longtemps à l’envie d’embrasser la brune. Malheureusement pour lui et dans cette position, sa blessure à l’épaule se rappela violemment à lui, le faisant retomber sur le dos dans un « Oh joder » plaintif.
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ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Lorsqu'elle était entrée une première fois dans l'abri, Maritza s'était sentie déstabilisée par la proximité avec Sergio. Cela faisait des années qu'ils n'avaient pas été aussi proches et elle ne savait pas comment réagir. La remarque qu'il fit : « Trente ans plus tôt, et on aurait adoré se retrouver dans une cabane rien que tous les deux. » ne l'aida en rien. Au contraire, elle avait senti ses joues s'empourprer quelque peu. Elle n'avait rien dit, se remémorant ce temps où tout était si doux et si simple. Ils ne se posaient aucune question, profitaient simplement de chaque instant passé ensemble. Leur tempérament de feu les avait souvent poussés à franchir les lignes de la décence pour basculer dans un monde de luxure et parfois même d'interdits. Avec Sergio, Maritza se sentait capable de tout. Vraiment tout. Ce fut ce qui lui traversa l'esprit lorsqu'il tourna la tête et qu'elle constata que son visage était tout proche du sien. Son cœur s'était mis à battre plus vite alors que ses lèvres s'étaient légèrement entrouvertes. Lorsqu'elle vit que le regard de Sergio avait quitté le sien pour glisser sur sa bouche, la mexicaine avait retrouvé ses esprits et en avait profité pour sortir de la tente. Qu'étaient-ils en train de faire ? Elle jouait avec le feu et en avait bien conscience. Elle aurait dû faire marche arrière, laisser tomber cet atelier pour rentrer chez elle et ne pas commettre une erreur qui pourrait lui être fatale mais au lieu de ça, elle était retournée dans l'abri quelques minutes plus tard avec leurs sacs, ignorant les mises en garde qui jaillissaient dans son esprit.
Elle évita soigneusement le regard de Sergio, fit attention à ne pas le toucher, et l'observa défaire leurs affaires. Lorsqu'il lui parla d'un feu de camp, elle sourit. L'idée était douce et tentante mais son corps souffrait trop pour le moment. Alors lorsqu'il lui proposa de se reposer un peu, elle accueillie l'idée avec soulagement. Sergio s'allongea sur le dos et après avoir hésité quelques secondes, la matriarche fit de même. Elle regardait la toiture au-dessus de leur tête, incapable de parler ou même de bouger. Elle sentait la chaleur qui émanait du corps de Sergio. L'endroit était si étroit qu'elle avait l'impression de pouvoir entendre sa respiration. Elle sentait son odeur, devinait ses muscles à travers ses vêtements, s'imaginait en train de lui attraper la main, se voyait déjà se blottir contre lui. Non, il fallait qu'elle chasse ses désirs qui venaient parasiter sa raison. La mexicaine n'avait néanmoins aucune force, ni même la volonté de mettre un frein à ce qui se passait dans sa tête mais surtout dans son cœur. Lentement elle tourna son visage et accrocha le regard de Sergio. Il était si beau. Si beau et si proche. Il lui manquait tellement. Il suffisait qu'elle s'avance de quelques centimètres pour le toucher, il suffisait qu'elle approche ses lèvres pour pouvoir l'embrasser. L'idée lui traversa l'esprit si fort que lorsqu'elle vit dans le regard de Sergio qu'il allait agir, elle ne put rien faire d'autre que d'esquisser un léger sourire.
L'agent se redressa sur un coude, passa une main dans ses cheveux et se rapprocha. Le regard de Mari brûlait de désir si bien qu'il comprit qu'il pouvait le faire. Lorsque ses lèvres entrèrent en contact avec les siennes, Maritza eut l'impression qu'un feu d'artifices explosait dans sa poitrine. Le baiser était d'une tendresse infinie mais il embrasa tout son corps. Ce simple contact lui avait tellement manqué... Sans jamais quitter ses lèvres, elle passa un bras autour de sa nuque et l'attira un peu plus jusqu'à elle de telle sorte à ce qu'il soit collé à son corps. Maritza perdait peu à peu la tête, elle perdait pied. C'était comme si embrasser Sergio lui donnait l'oxygène qui lui avait manqué depuis tant d'année. Sa langue chercha sa jumelle avec envie alors qu'elle commençait à haleter. Sa main glissa dans le dos de l'agent quand enfin elle sembla se réveiller de ce rêve qui n'aurait jamais dû se produire. Elle détacha sa bouche de la sienne, lui offrit un sourire et murmura tout contre ses lèvres : « C'est une énorme erreur. Tu le sais aussi bien que moi. » Elle recula son visage, en profita pour l'admirer tout en caressant sa joue et poursuivit : « Ca n'ira pas plus loin que ça Serg' ». Sa voix était douce, son regard tendre. Elle mourait d'envie de poursuivre leurs ébats, de ne pas s'arrêter à un simple baiser mais sa raison l'emportait sur tout le reste.
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