| (chanwar #6) the boys (scout) club |
| ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Sam 30 Sep 2023 - 12:30 | |
| Le membre ' Charlie Fawcett' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' : |
| | | | (#)Sam 11 Nov 2023 - 0:08 | |
| @Charlie Fawcett – Le (très) court passage d’Anwar chez les Scouts avait pour lui la même saveur que toutes les choses inconsciemment rattachées à sa courte période de vie dans son Pakistan natal : celle de la poussière et du renfermé. Il ne saurait pas vraiment l’expliquer, mais mêmes ses maigres souvenirs de cette époque lui paraissaient jaunis comme le seraient de vieilles photos de familles, du genre à avoir dormi tellement longtemps dans un carton au fond du grenier qu’elles semblaient appartenir à d’autres lorsque l’on remettait la main dessus des décennies plus tard. Ses souvenirs punjabis avaient eux aussi l’air d’appartenir à un autre que lui, et même le fait d’en évoquer un à voix-haute au détour d’une conversation lui donnait parfois l’impression de relater les tribulations d’un autre, qui n’aurait pas passé les trente-cinq dernières années de cette vie à s’en distancer autant que l’opportunité lui en était donnée. Mais qui d’autre, en réalité, se souciait autant de souvenirs qui sentaient la poussière ? Personne, aussi s’était-il contenté de continuer sa route, Charlie sur les talons, et leur attention déjà portée sur le bruit d’eau laissant à penser que le lit de la rivière déjà croisé par Anwar plus tôt dans la journée ne devait pas être bien loin. « On peut remonter le lit. » avait d’ailleurs à ce sujet suggéré la blonde, faute pour eux de pouvoir traverser dans l’immédiat sans être confrontés dans le meilleur des cas à la force du courant, et dans le pire des cas à un alligator ou une autre bête du même acabit. « T’as appris l’équilibre chez les Punjab Boy Scouts ? »Là, à quelques dizaines de mètres en avant, un tronc d’arbre couché en travers de la rivière donnait l’impression d’avoir toujours été dans cette position, victime précoce de la gravité et passerelle naturelle pour les randonneurs de tous bois. « Nope, mais j’ai le pied marin. » avait en tout cas répondu Anwar du tac-au-tac, gageant que ses escapades maritimes entretenaient bien mieux son équilibre que ne le faisait l’épreuve de la poutre incontournable pour obtenir le concours d’entrée dans la police, mais dont il cherchait toujours la réelle utilité vingt ans et quelques années plus tard. « Je vais passer en première. » Joignant le geste à la parole, Charlie lui était passée devant et s’était précautionneusement lancée sur le tronc d’arbre – bien plus précautionneusement que ne l’aurait fait Anwar, s’il fallait être honnête, pas réputé pour agir autrement qu’en fonçant tête baissée même lorsque cela avait tout de la mauvaise idée. « Tu sais quoi ? La prochaine fois je vais sauter de joie quand on va nous annoncer une journée de formation. » Ricanant quelques mètres en arrière, il s’était engagé sur le pont de fortune à son tour en utilisant ses bras tendus pour s’assurer le meilleur équilibre « Oh allez, on s’amuse bien … Mais je saurais te rappeler cette phrase la prochaine fois qu’il faut un volontaire pour la formation de mise à jour juridique. Pas de grand air, pas de rivière, pas de carte au trésor … juste des articles de lois. Plein d’articles de lois. » Trop d’articles de lois pour des gens de terrain et qui, s’ils avaient voulu être incollable dans le code de procédure pénale, auraient choisi la fac’ de droit plutôt que l’école de police. Alors à mi-chemin de rejoindre l’autre rive, son équipière s’était subitement retournée vers lui, manquant de lui faire perdre l’équilibre en le prenant par surprise et lui demandant « Donne-moi la carte. » d’un ton si décidé qu’il n’avait même pas eu la présence d’esprit de vouloir négocier, ne serait-ce que par taquinerie. Et grand mal lui en avait visiblement pris, puisque la seconde suivante la blonde laissait la carte lui échapper à la faveur d’un coup de vent qui semblait n’être passé par là que pour leur faire une frayeur. « T’es passée à ça de terminer le séjour en apéro pour crocodile, kiddo. » n’avait-il alors pas pu s’empêcher de prétendre en prenant un air grave, lui laissant le soin de ramasser l’objet n’ayant heureusement fugué qu’à quelques mètres, avant que tous les deux ne retrouvent enfin la terre ferme sur la rive inverse. « Alors ? » Revenant à la hauteur de Charlie, il s’était penché au-dessus de la carte par-dessus l’épaule de la jeune femme « J’sais pas toi mais je rêve d’un bain chaud et d’un café, alors j’espère au moins que ce truc était un raccourci. » Ils auraient pu longer la rive un bon moment si ce tronc d’arbre ne s’était pas retrouvé là, et Anwar refusait de croire que de l’avoir trouvé et emprunté ne puisse pas être récompensé d’une manière ou d’une autre. - Citation :
- WIN – et comment que c’est un raccourci, maintenant qu’ils y regardaient de plus près le point d’arrivée n’était situé qu’à quelques centaines de mètres, toujours tout droit.
SO CLOSE – traverser leur a sans aucun doute évité un sacré détour, mais de là à parler de raccourci … disons que cela ne les a pas éloigné du droit chemin plus que ce n’était déjà le cas.
FAIL – à mieux y regarder, ils auraient peut-être dû y réfléchir à deux fois avant de traverser, puisque le point d’arrivée se trouve en réalité sur la rive qu’ils viennent de quitter. Même Dora l’exploratrice semble plus capable qu’eux de lire une carte. |
| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Sam 11 Nov 2023 - 0:08 | |
| Le membre ' Anwar Zehri' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' : |
| | | | (#)Mer 22 Nov 2023 - 12:46 | |
| « Nope, mais j’ai le pied marin. » Ce qui n’est qu’à moitié rassurant, parce qu’elle l’imagine déjà s’armer de la même réponse lorsqu’il sera tombé à l’eau et trempé des pieds à la tête: il a le pied marin, tout roule. N’empêche que s’il attrape un rhume, c’est elle qui devra le supporter malgré tout dans les jours à venir et ce tableau qui ressemble à un des cercles de l’enfer et rien de moins. Désireuse de passer avant lui pour bien des raisons, elle passe le pont de fortune avec lenteur et délicatesse, ne pouvant pas se vanter d’avoir le pied marin de son côté. « Oh allez, on s’amuse bien … Mais je saurais te rappeler cette phrase la prochaine fois qu’il faut un volontaire pour la formation de mise à jour juridique. Pas de grand air, pas de rivière, pas de carte au trésor … juste des articles de lois. Plein d’articles de lois. » - « C’est bas. Même pour toi Zehri. Très bas. » Il vient de citer tout ce qu’elle déteste dans certains aspects de leur travail et il le sait très bien. N’empêche que penser au pire n’arrive pas totalement à lui faire oublier les marasmes dans lesquels ils se sont eux-mêmes avancés en tant qu’adultes capables de prendre des décisions en toute connaissance de cause. Et dire que certains ont sûrement terminé ce même exercice en un rien de temps, bon sang.
Dans l’espoir de terminer plus vite l’exercice, elle décide de prendre en main la carte, comme si un miracle allait soudainement apparaître entre eux. Si seulement. Il prend la forme d’un coup de vent qui manque de faire basculer leur précieuse carte dans la rivière mais elle y échappe, fort heureusement. De peu, mais quand même. « T’es passée à ça de terminer le séjour en apéro pour crocodile, kiddo. » Il prend une voix trop paternelle pour que Charlie puisse l’accepter pleinement, raison pour laquelle elle se contente de balayer ses mots d’un geste de la main: ce n’est pas arrivé, et c’est tout ce que l’histoire retiendra. Ca, et le fait qu’elle se retienne d’une blague ou d’une autre au sujet de ses bottes en peau de crocodile qui pourraient faire pâlir ceux qui sont encore vivants. « J’sais pas toi mais je rêve d’un bain chaud et d’un café, alors j’espère au moins que ce truc était un raccourci. » S’il était n’importe qui d’autre, elle en aurait profité pour oser lui faire remarquer qu’elle rêve de la même chose et qu’ils pourraient au moins partager ce fameux bain le moment venu mais elle respecte bien trop leur relation pour oser une remarque du genre. N’en reste pas moins qu’elle rêve aussi d’un foutu bain de son côté, ou de quoi que ce soit qui ne se résume plus à un stage de survie. Qu’ils soient décrétés morts, et l’histoire sera réglée, non ?
Qui plus est, elle n’a pas de bonne nouvelle à lui annoncer après avoir pris le temps de regarder la carte convenablement. Telle une enfant pris sur le fait, elle se pince les lèvres. « J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. » Elle a une mauvaise nouvelle, et une bonne qu’elle est encore en train de chercher. « Faudra qu’on traverse à nouveau de l’autre côté… plus tard. » Il y aura sûrement un autre pont de fortune à l’avenir, non ? En attendant, la route devant eux pour remonter le lit de la rivière est dégagée, alors autant en profiter autant que possible - et le laisser croire que son erreur de jugement n’en est pas totalement une. « La bonne, c’est que je me souviens avoir entendu parler de cafés chauds à l’arrivée, et sûrement pas pires que ceux du poste. » Parce qu’ils partent de loin, au poste, voilà pourquoi elle sait déjà qu’elle n’est pas en train de s’avancer de trop. Aussi, elle ne veut pas le laisser davantage réfléchir à la situation, raison pour laquelle elle l’enjoint déjà d’avancer en tapotant à deux reprises son dos, entre ses omoplates. « Allez en avant, pense à ton bain et à… ton perroquet. » Si tu ne le fais pas pour toi, alors fais-le pour Iris. Oh que c’est dramatique. |
| | | | (#)Mer 24 Jan 2024 - 9:22 | |
| @Charlie Fawcett – S’il y avait bien un point sur lequel Charlie et Anwar faisaient la paire, c’était cette sainte horreur de tout ce qui nécessitait de rester enchaîné derrière un bureau, de la paperasse juridique la plus obligatoire à la collecte d’informations (essentielle) dans diverses bases de données. Et l’on pouvait de prime abord être tenté de croire qu’il en allait de même pour tous les agents de police, la vérité n’aurait pas pu être plus fausse : certains n’avaient contrairement à eux que peu d’intérêt pour le terrain et se plaisaient bien même à résoudre des mystères et des enquêtes depuis le cadre familier d’un bureau, d’un laboratoire ou même d’une morgue. Charlie et Anwar, quant à eux, n’étaient pas faits de ce bois-là, et pour cette simple raison le fait qu’ils se soient tous les deux retrouvés sans le savoir dans le même stage de survie en pleine nature en était l’exemple le plus parlant. Pour autant, être des amateurs d’extérieur ne faisait pas forcément d’eux des flèches en la matière, et si le brun avait d’ores et déjà abandonné l’idée de franchir la ligne d’arrivée de la course d’orientation en compagnie de son acolyte initial, lequel était toujours aux abonnés absents et avait probablement continué de son côté, il semblait maintenant que franchir la ligne d’arrivée dans un temps raisonnable soit une option de moins en moins évidente : « J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. » Le nez à nouveau penché sur la carte des bois, Charlie avait adopté cet air dubitatif où le pincement de ses lèvres faisait se retrousser légèrement le bout de son nez, lui donnant un air plus candide qu’elle ne l’était en réalité. « Mon seuil de tolérance aux mauvaises nouvelles est assez limité, si t’avais pas encore remarqué. » Autrement dit, la bonne nouvelle avait plutôt intérêt à peser lourd dans la balance si elle espérait pouvoir équilibrer la mauvaise, dont Anwar ne doutait pas qu’elle s’en délesterait en premier comme on arrachait un pansement trop solidement attaché. « Faudra qu’on traverse à nouveau de l’autre côté … plus tard. » – « Attends, quoi ? » Faisant mine de ne rien entendre aux protestations, Charlie avait embrayé directement sur ce qu’elle considérait être la “bonne nouvelle” supposée palier à l’impression d’avoir le sens de l’orientation d’une souris de laboratoire. « La bonne, c’est que je me souviens avoir entendu parler de cafés chauds à l’arrivée, et sûrement pas pires que ceux du poste. » À son tour, Anwar avait affiché une moue dubitative et son nez s’était pincé comme pour retenir son habituelle tendance à bougonner à la moindre contrariété. « Ça serait jamais arrivé si on avait été en mer, comment tu veux qu’on se repère ici alors qu’on voit à peine le soleil à travers les arbres, de toute façon ? » Ce serait donc la faute des arbres pour aujourd’hui. Pas celle de Charlie, et encore moins la sienne, mais seulement celle des arbres et de conditions qui n’étaient idéalement réunies pour leur permettre d’avancer en paix. Mais soit, il ne leur restait de toute façon plus qu’à se remettre en route – et à prier pour tout de même arriver à destination avant que la nuit ne commence à tomber, car la tolérance d’Anwar à la forêt s’arrêtait là où voir plus loin que le bout de son nez ne serait plus possible. « Allez en avant, pense à ton bain et à … ton perroquet. » Un ricanement lui échappant alors, il avait secoué la tête et admis en jouant faussement le ton de la gravité « Oh, tu sais … à espérance de vie égale, y’a une chance sur deux que ça soit lui qui me survive, de toute façon. Dans quarante ans ou bien aujourd’hui parce qu’on se sera fait bouffer par un crocodile, ça va rien changer pour lui. » Marquant une pause dramatique, il avait néanmoins ajouté « Mais je lui ai pas fait de gratouille sur le crâne en partant ce matin, je m’en voudrais de pas rentrer. » En route mauvaise troupe, donc. - Citation :
- WIN – tout est bien qui finit bien, Charlie et Anwar parviennent à rattraper leur retard et à atteindre la ligne d’arrivée dans un temps raisonnable, et retrouvent même leurs binômes respectifs une fois arrivés à bon port. Tournée de café chaud pour tout le monde !
SO CLOSE – Charlie et Anwar sont en queue de peloton, leurs binômes respectifs les accueillent en ricanant et en jurant qu’ils ont failli prendre racine, mais l’important c’est d’être arrivés à destination pas vrai ?ue cela ne les a pas éloigné du droit chemin plus que ce n’était déjà le cas.
FAIL – Derniers. Charlie et Anwar sont les derniers arrivés, il ne reste même plus de café pour eux, et ils jurent d’un commun accord que PERSONNE n’entendra jamais parler de cette débâcle, même s’ils doivent pour cela creuser un trou pour y cacher les corps de leurs deux binômes, hilares. |
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