ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
what did the buffalo say to his son when he left for college ?:
AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
« Je te redirais ça le jour où je volerai de nouveau... Pour le moment, je suis bien plus à l’aise les pieds sur le plancher des vaches ! » La remarque lui arracha un petit rire: au moins, ici, il était vrai que les choses étaient plus concrètes. « En vrai, tu devrais tester une fois... le camping j’entends, si la nuit à la belle étoile te tente moyen ! » Faisant une petite grimace, il secoua sa tête un instant. « Très peu pour moi le camping. » Il ne ferait même pas semblant: ce n’était en rien quelque-chose qui le tentait, que de dormir dans un bout de tissu en plein air. Certes, l’Australie avait un climat plutôt correct pour ce genre d’escapade, mais ce n’était pas pour autant que c’était quelque-chose q’il avait envie de tester. Si elle semblait presque apprécier l’expérience de son côté, Meryl pourrait cependant renoncer à ce quotidien là si elle contactait sa soeur pour lui annoncer qu’elle était venue en Australie. « Je sais oui, c’est un peu stupide de ma part de ne pas y aller. » Son sourire était plus rassurant, bienveillant, en cet instant. « Chaque chose en son temps. » Ce serait plus simple pour elle d’y aller, de prendre contact mais il savait à quel point cela pouvait être une étape qui semblait insurmontable lorsque l’on était à sa place: il avait entre ses mains de son côté les coordonnées de sa véritable mère et ne l’avait pas contacté pour autant, alors ce n’était pas mieux.
« Sciences politiques rien que ça, tu m’étonnes que tu manques de temps... Et à quoi tu te destines au juste ?! » Damon plissa le bout de son nez, autant gêné qu’amusé en réalité de la question. « Rien du tout. Je compte en faire rien du tout, c’est ça l’ironie de la situation. » Parce-que ce n’était pas là son choix, et qu’il n’avait aucun réel intérêt pour le domaine; il était bon dans ce dernier parce-qu’il était un bon élève et qu’il avait appris à ne pas sortir du chemin qui lui était imposé, mais il ne portait aucun intérêt à la filière dans laquelle il apprenait et exerçait depuis sa sortie du lycée. Il y avait d’autres domaines qui l’intéressaient davantage, comme la peinture ou le dessin - qui apparemment n’était pas un domaine partagé avec Meryl, elle qui riait déjà d’avance de ses propres talents. « Deal ! Je peux même te montrer ça tout de suite, mais je ne veux pas que tu sois déçu si jamais je te fais de l’ombre. Je suis une professionnelle vois-tu ! » Pour ce faire, leurs pas les menèrent un peu plus loin sur le sable pour qu’elle puisse avoir un endroit où tracer dans ce dernier son fameux bonhomme bâton. Bien sur que cela arracha un rire à Damon tout du long. « Je me doute bien, mais ça n’en reste pas moins admirable... Je n’ai pas la patience pour ça ! Tadaaa ! Alors ?! Avoue que ça t’en bouche un coin, autant de talent dans ce corps ! » Posant ses mains sur ses hanches, il approuva d’un mouvement de tête. « Je saurais pas faire mieux. » C’était faux, bien sur, mais le moment et l’ambiance s’y apparentant étaient à ce type de remarque, à cette façon de voir les choses.
« Vingt quatre. Enfin, c’est pas grave, on n’est pas là pour parler de mes états d’âme. » Ils étaient là pour parler de tout et de rien, et effectivement ils avaient abordé la question de la famille de la jeune femme rapidement dans leur conversation et même depuis le début - si c’était un quelque-chose qu’elle voulait mettre de côté, il n’y voyait aucun inconvénient. Discuter de ses propres allers et retours entre les différents pays en comparaison n’aurait pas le même gout ni la même prétention, il le savait et était en réalité pour une fois un brin mal à l’aise - elle lui avait donné un aperçu de son quotidien qui n’avait rien à voir. A côté, il menait et avait mené la vie de prince et Damon n’étant pas prétentieux, il ne voulait pas qu’elle voit cela comme telle justement. « C’est vrai, s’en est désagréable au possible ! » Il lui jeta un petit regard en coin alors qu’elle était dans une théâtralité exagérée, il pouvait le voir. Il continua cependant son explication, conformément à ce qu’elle avait posé comme question. « Cool ! J’espère avoir la chance de pouvoir visiter le monde un jour ! Ca doit être une expérience assez folle ! » Le sourire de Damon était bien plus modeste, plus authentique aussi en cet instant. « C’est incroyable. Y’a toujours quelque-chose à voir et à apprendre. » A différentes échelles surement, lui faisant partie de ces personnes qui apprenaient en rentrant à l’hôtel le soir arrivé mais tout de même, il était persuadé qu’une grande partie de son ouverture d’esprit - qui manquait à ses parents - était due au fait qu’il avait souvent été ici et ailleurs, à toujours apprendre à s’adapter. « Et où est-ce que tu as préféré poser tes valises ?! Me dit pas San Diego, j’aurai du mal à te croire, même si c’est toujours mieux que Vegas. » Il eut un petit rire, secouant sa tête de gauche à droite. « Non, j’ai même jamais l’intention de retourner vivre aux Etats-Unis. J’ai mis les pieds là-bas pour les études et j’ai fini par en partir, alors bon. » Son regard, quelque peu nostalgique, se portant un instant vers l’horizon - au delà de la mer, de l’océan et de toutes les frontières s’y rattachant. « J’ai jamais été autant chez moi qu’en Italie. Faut croire que l’endroit où on nait a une saveur différente. » Parce-qu’il n’avait pas besoin d’être tout ce qu’il devait représenter ailleurs, lorsqu’il était là-bas; il pouvait se contenter d’être Cosimo et personne d’autre, cet enfant qui avait du grandir trop vite et qui avait intégré un monde d’adulte à un âge où faire des erreurs était le meilleur apprentissage.
Il haussa les épaules, reprit une certaine contenance avant de glisser dans mille et un souviens qui lui aurait surement gâché le reste de la soirée. « L’Australie c’est pas si mal, en vrai. Au moins y’a du vrai soleil ici. » Le petit rire était un peu forcé mais pas trop, car il pensait vraiment ses paroles. Il haussa un sourcil en regardant le verre de Meryl. « Je te ressers ? »
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Dernière édition par Damon Williams le Ven 9 Fév - 2:52, édité 1 fois
Début 2022. « Très peu pour moi le camping. » Le sourire qui ourle ses lèvres n’a rien de timide, et elle pourrait presque se mettre au défi de le convaincre si elle n’estimait pas la cause perdue. « Tu sais, dans de bonnes conditions, je t’assure que c’est le luxe ! Matelas cinq étoiles et sac de couchage qui l’est tout autant ! Et puis le petit café au soleil levant. Je t’assure que c’est des instants magiques et privilégiés. » Oui elle insiste, comme si elle pouvait réussir à le convaincre ! Elle vient même lui donner un léger coup d’épaule sans quitter son sourire. « Considère ça comme une expérience de vie dépaysante ! » L’américaine le charrie et s’en amuse, si elle avait grandi dans son confort de vie, peut-être qu’elle aurait tendance à penser la même chose, et elle sait surtout que ce genre d’aventure ne plait pas à tous, lui était sûrement plus à l’aise dans les soirées mondaines, là où de son côté elle passerait pour une simple roturière. Bien qu’elle s’estime douée pour sauver les apparences, elle ne ferait sûrement pas le poids face à une foule de gens en costards et belles tenues en tout genre ! « Chaque chose en son temps. » Elle hausse les épaules en pinçant ses lèvres. Il a raison bien sûr, mais elle n’est pas connue pour être raisonnable ces derniers temps et même si elle a promis au meilleur ami de Gabrielle de lui parler, elle n’a pas précisé quand, alors elle ne ruine pas sa promesse, si ?!
La blonde préfère détourner l’attention sur l’italien, et ça titille sa curiosité. « Rien du tout. Je compte en faire rien du tout, c’est ça l’ironie de la situation. » Elle porte son verre à ses lèvres amusée. « C’est hyper original comme choix de carrière ! Tu deviens un gars de plus en plus intéressant ! » Et elle dit ça le plus sérieusement du monde même si elle use d’humour et se couvre d’ironie. Autant que lorsqu’elle entreprend de montrer ses talents artistiques à un gars doué de ses dix doigts ! « Je saurais pas faire mieux. » Elle vient déposer ses mains contre ses hanches, un peu en mode wonder woman, plisse un peu les yeux en le fixant. « Quelque chose me dit que tu manques d’honnêteté sur ce coup ! Mais je comprends, tant de talent dans un si petit corps, ça impressionne !» Une fois encore, elle semble arrogante, pour autant elle ne pense pas un mot.
« C’est incroyable. Y’a toujours quelque-chose à voir et à apprendre. » « J’imagine oui, tu me donnes envie ! » Ca lui met des étoiles plein les yeux à Meryl et elle aimerait avoir la chance de découvrir le monde un jour aussi bien sur le plan culturel et que sur le reste. Elle n’est jamais partie très loin, prendre l’avion pour Brisbane aura été une sacrée aventure à elle seule et son baptême de l’air avait été du genre pas de géant pour une première et à l’heure actuelle elle n’était pas prête pour un nouveau tour en avion aussi long en tout cas ! « Non, j’ai même jamais l’intention de retourner vivre aux Etats-Unis. J’ai mis les pieds là-bas pour les études et j’ai fini par en partir, alors bon. J’ai jamais été autant chez moi qu’en Italie. Faut croire que l’endroit où on nait a une saveur différente. » Elle se plonge dans son discours, jusqu’à finalement baisser les yeux, une pointe de nostalgie pas forcément agréable, alors qu’elle songe à Vegas. C’est certain que ça n’a pas le glamour de l’Italie, du moins elle imagine, de l’Italie elle ne connaît que les clichés des gondoles de Venise, des monuments de Rome et de l’histoire de Romeo et Juliette, c’est peu pour se faire une idée, mais c’est toujours plus agréable que sa banlieue craignos de Vegas. « Ouais... une saveur différente. » Amère dans son cas et loin d’être enviable. Elle déteste Vegas, ne s’en est jamais cachée, tant rien ne lui rappelle de bonnes choses là-bas.
« L’Australie c’est pas si mal, en vrai. Au moins y’a du vrai soleil ici. » Elle acquiesce d’un signe de tête. « Ca me plait bien ici en tout cas ! J’ai l’impression d’être en vacances prolongées ! » Peut-être parce qu’à ce jour, c’est le cas ! Pas de responsabilité, pas de pression. « Je te ressers ? » Elle vient zieuter son verre, un petit sourire en coin. « Et comment ! J’ai la phobie des verres vides ! » C’est faux, mais elle trouve amusant l’idée qu’une telle phobie puisse exister.