ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
Lorsque tu te réveillas ce matin-là, tu te sentais lasse. Tu n'avais pas le goût d'aller travailler et le soleil qui était déjà bien présent ne te rendais pas la tâche facile. Tu décidas donc de faire ce que tu ne faisais jamais, c'est-à-dire envoyer un sms à Hassan, ton patron, pour lui dire que tu prenais ta journée. De toute manière, tu n'avais pas grand-chose à faire aujourd'hui, ayant réglé les dossiers les plus importants la veille. L'horaire pour le restant de la semaine de ton patron était déjà bien établie et il n'y avait rien qui ne pouvait pas attendre le lendemain. Rhett n'était déjà plus dans l'appartement. Tu te fis donc un café noir et allas t'asseoir sur le balcon pour le boire en fumant ta clope. L'air était déjà chaud et tu n'avais pas le goût de rester enfermé toute la journée. Après avoir terminé ta tasse, tu entras à l'intérieur et attrapa ton sac à main, une pomme et un couteau et sortis de l'appartement direction le fleuve. Cet endroit avait un effet apaisant sur toi. Tu adorais le son des vagues, l'odeur de l'eau saline, le bruit des oiseaux qui le survolaient. Toi qui étais souvent en train de faire mille et une chose en même temps, tu étais capable de te poser et de relaxer pendant des heures à cet endroit. Souvent, tu contemplais les enfants courir sur le quai, les parents derrière eux pour les rattraper. Tu écoutais le rire de ceux-ci retentir et ça te faisais sourire. Tu oubliais alors tous tes soucis et te laissais transporter par le moment présent. Arrivée sur place, tu allais au bout du quai, dans un endroit où il n'y avait encore personne et t'installa sur un banc en mettant à côté de toi un livre, ta pomme et ton couteau. Tu savais que tu devais mettre quelque chose dans ton estomac autre que ton café, mais décida d'allumer ta deuxième clope de la journée. Tu entendais ta mère te dire que ce n'était pas bon pour ta santé, que devais arrêter. Tu lui répondais souvent à la blague que c'était ton seul défaut, que tu ne pouvais pas arrêter puisque tu rendrais les autres jaloux de ta perfection. Tu gardais bien pour toi qu'en fait, ça jouait le rôle d'un coupe-faim pour toi et qu'avec ça, tu parvenais à réduire tes repas. Un coup terminé, tu attrapas ta pomme, décidé à l'avaler. Tu la mis dans ta main gauche et commença à te couper des morceaux que tu ingérais tranquillement en prenant soin de bien la mâcher. "Aoutch... Merde." Tu t'étais entaillé l'intérieur de la main avec ton couteau assez profondément. Tu fouillais d'une main dans ton sac à main pour te trouver quelque chose pour te faire un pansement. Bien sûr, tu n'avais rien sûr toi pour en faire un ! Tu attrapas donc une écharpe que tu avais et l'enroula autour de ta main. Le réflexe que tu as eût par la suite fût d'attraper ton portable. Il décrocha après trois sonneries. "Ben, c'est Ethel. Je me suis coupé la main, tu peux venir ?.. Je suis au quai du fleuve près de chez Rhett." Tu avais dit ton nom comme si c'était possible qu'il ne reconnaisse pas le son de ta voix. Ceci dit, tu avais parlé d'un ton un peu paniqué. Il fallait dire que ça faisait un mal de chien et tu voyais ton écharpe s'imbiber de ton sang tranquillement. Tu espérais qu'il puisse venir te rejoindre rapidement. Tu avais tendance à faire des chocs vagale et tu n'osais pas te lever pour aller chez Rhett ou chercher de l'aide chez un commerçant près du fleuve.
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« Ruben ? Ruben ? Oh, Hartfield ! » Il avait entendu la première ainsi que la seconde fois sans soucis, il avait cependant choisi de ne pas répondre. Et lorsqu’il avait été interpelé la troisième fois, il s’était contenté de lever un doigt dans le vide pour indiquer à son collègue qu’il était concentré sur quelque-chose et qu’il lui répondrait quand il pourrait - en somme, il le mettait en attente. Ruben passait trop de temps à s’exercer sur ce type de sutures en particulier, comme avait pu lui indiquer - demander, ordonner, plus de cet ordre là - Heath de le faire quelques jours plus tôt pour se laisser distraire par un idiot qui n’avait pas remarqué qu’il travaillait. Greg finit d’ailleurs par soupirer, voyant qu’il se devait d’attendre désormais; il tira finalement un tabouret pour observer Ben s’appliquer sur son exercice. « Ceux qui crachent sur ton dos devraient venir t’observer t’entraîner un peu plus souvent je pense… » Cette fois-ci, il s’était appliqué à parler à voix basse - et puisqu’il s’agissait là d’un compliment, cela évita d’agacer davantage Ruben qui reposa son fil et son aiguille sur le plateau. « Laisse ceux qui crachent sur mon dos où ils sont, j’ai pas besoin d’eux dans mes pattes, ils me gêneraient. »
Relevant finalement son regard de l’orange qu’il était en train de maltraiter avec talent, il afficha un peu sourire satisfait quand à son travail. Il n’arrivait toujours pas à réaliser ces sutures dans le temps imparti, mais elles étaient de plus en plus belles et c’était au moins une première victoire. « Je peux t’embêter pour quelque-chose maintenant ? » - « Tu le faisais déjà mais je t’en prie, continue. » - « Tu sais comme le dîner de charité est organisé tous les ans, et qu’il faut quelqu’une de garde pour assurer les urgenc… » Ruben n’écoutait déjà plus ce que Greg lui disait, la sonnerie de son téléphone l’ayant distrait de la conversation. Il regarda sa montre: Ethel. Il attrapa son téléphone pour décrocher, à peine deux sonneries entendues, sans prêter la moindre attention à son collègue qui s’indignait à ses côtés. « Ouais allo. » Il n’était jamais très rassuré lorsque c’était sa sœur qui l’appelait, s’attendant toujours à ce qu’une urgence d’ordre familial cette fois ci soit au goût du jour. « Ben, c'est Ethel. Je me suis coupé la main, tu peux venir ?.. Je suis au quai du fleuve près de chez Rhett. » Comme si sa sœur avait besoin de préciser qui elle était au téléphone lorsqu’elle l’appelait; même s’il n’en était pas venu à reconnaître sa voix, dont il avait mémorisé toutes les intonations possibles au fil des années, son prénom était écrit sur l’écran de son téléphone. « Partage moi ta position, je me dépêche j’arrive. Comprime en attendant si tu le fais pas déjà, et éloigne ce avec quoi tu t’aies fait mal de toi. » Parce-qu’il connaissait la maladresse de sa sœur et la façon dont elle serait apte à se refaire du mal involontairement avec le même objet deux fois d’affilé.
Déjà, il avait raccroché et était en train de sortir de la pièce. « T’as rien rangé et t’as pas écouté ce que j’avais à te dire ! » L’agacement de Greg se faisait entendre et ce qu’il n’avait pas compris depuis le début, c’était que ce n’était pas le bon moment pour embêter Ben. Ce dernier se tourna un instant vers l’autre jeune homme, une pointe de lassitude dans le regard. « J’ai réservé la salle toute la journée pour moi seul, je fais ce que je veux du matériel que j’utilise. » Il avait repris son petit air suffisant et autoritaire de celui qui n’avait pas le temps pour ce type de bêtises. « Et si c’est toi qui es de garde le soir du gala, c’est pas mon problème. Je profiterai pour toi si tu veux. » Et lui coupant ainsi le clapet sur la question, il ajouta une seule précision avant de passer la porte: « Je saurais si t’as touché à quoi que ce soit dans la salle pendant que je suis absent Greg, compte sur moi. » C'était sûrement pour tous ces éléments là qu’effectivement, certains crachaient sur le dos de Ben - mais c’était le cadet de ses soucis, car même s’il entendait pester Greg de l’autre côté de la porte il ne s’attardait pas sur ce qu’il pouvait dire: c’était de la jalousie, rien de plus.
Il finit par se dépêcher de passer au vestiaire pour changer de tenue et pour attraper ses clefs de voiture; il avait dit à Ethel qu’il se dépêchait d’arriver, il fallait au moins qu’il le fasse désormais. Car à voir le prénom de sa sœur s’afficher sur son écran, c’était en rien un soulagement qui l’avait envahi mais une boule de culpabilité qui s’était logée dans son cœur: cela faisait bien trop longtemps qu’il n'avait pas pris le temps de prendre de vraies nouvelles d’Ethel. Lui qui pendant un temps l’appelait tous les deux jours et ne pouvait s’empêcher de passer la visiter au moins deux à trois fois par semaine se rendait compte qu’il n’était que l’ombre du frère qu’il avait pu être pour elle. Et ce n’était pas pour lui plaire, la jeune femme faisant partie de la très courte liste de personnes qui avaient le droit à un vrai traitement de faveur de la part de Ben. Montant par la suite dans sa voiture, il fut au point géographique indiqué en moins d’un quart d’heure depuis l’hôpital - et promis, il était prudent sur la route. Heureusement pour lui et pour sa sœur, il avait toujours une petite mallette de secours dans sa voiture avec deux ou trois éléments pour palier à ce type d’urgences justement; il l’attrapa et finit le bout de chemin qui le séparait d’Ethel à pieds. Elle était toujours sur le banc lorsqu’il arriva à sa hauteur, un petit sourire compatissant mais en même temps avec une touche d’amusement dont il ne savait pas se défaire sur les lèvres; déjà, il déposait un baiser rapide sur sa joue avant de s’accroupir devant elle. « Je règle ça d’abord et on s’occupe des banalités après. » Parce qu’il savait prioriser les problèmes et les urgences, et que clairement le tissu qui démolissait de sang dans la main de sa sœur était ce sur quoi il se devait de se concentrer en premier lieu. Attrapant délicatement la paume de la brune, il commença à regarder à quoi il avait à faire. « T’as fait ça avec quoi, cette fois ? » Parce que bien sûr que non, ce n’était pas la première fois que ce type de problème survenait, il y était habitude à force.
:
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
Tu avais été immédiatement soulagé lorsque Ruben t'avais répondu. En composant son numéro de téléphone, il t'était venu à l'idée qu'il était peut-être en salle d'opération et qu'il n'avait pas son téléphone sur lui. Toi qui détestait déranger tes frères, tu n'avais pas vraiment d'autre choix cette fois-ci. Si ce n'était pas Ruben qui venait te porter main forte, tu allais devoir appeler les urgences. Tu détestais être aussi faible face à la vue du sang, mais tu ne pouvais rien y changer. « Ouais allo. » Tu n'étais pas sûre du ton de sa voix, s'il était content de t'entendre ou si au contraire, tu le dérangeais et qu'il voulait que tu lui mentionne la raison de ton appel rapidement. « Partage moi ta position, je me dépêche j’arrive. Comprime en attendant si tu le fais pas déjà, et éloigne ce avec quoi tu t’aies fait mal de toi. » Tu étais rassurée. Il s'en venait te trouver. Par chance que Ruben était médecin. C'était pratique pour toi avec le nombre de fois que tu étais tombée, que tu t'étais ouvert quelque chose... Il était surprenant que tu ne t'étais pas encore cassé un membre. Mais tu te doutais bien que cela ne tarderait pas. À croire qu' il était devenu médecin pour pouvoir te porter main forte. Parce qu'il fallait le dire, même si c'était toi la grande soeur, il devait s'occuper de toi beaucoup plus souvent que le contraire. En raccrochant ton téléphone, tu poussas le couteau par terre. Ruben avait raison. Tu étais capable de te recouper avec celui-ci. Et même par terre... Les chances qui tu piles dessus avec ton pied étaient quand même élevés. Tu appuyais le plus fort que tu pouvais sur ton foulard dans ta main pour tenter de contrôler le saignement comme avait mentionner ton frère. Ton regard fixais l'entrée du quai pour voir lorsqu'il serait là. Après une petite quinzaine de minute, tu le vis apparaître, approchant rapidement de toi. Tu lui fis un petit sourire forcé, le teint pâle. « Je règle ça d’abord et on s’occupe des banalités après. » Tu lui fis un petit signe de la tête, descendit ton regard sur ta main et détourna les yeux vers le fleuve. Tu réussis à retenir de peine et de misère un petit cri lorsqu'il enleva le bout de tissu de la paume de ta main, révélant ainsi la coupure d'environ six centimètres de long, dans le centre de celle-ci. Tu avais vraiment fait un beau travail. « T’as fait ça avec quoi, cette fois ? » Le ton moqueur de Ruben te détendit un peu. Tu pointas de ton autre main le couteau qui était au sol. Il avait une lame d'environ 8 centimètres de long, le bout pointu. La pomme que tu avais tenté de couper avec lui était par terre, deux morceaux manquant et avec du sang dessus également. « Je voulais manger ma pomme. Je crois que j'aurais mieux fait de croquer dedans finalement. » Tu terminas ta phrase avec un haussement d'épaule. Ton petit-déjeuner était maintenant fichu et tu ne t'en portais pas plus mal. Tu n'avais pas vraiment faim à vrai dire. Et tu espérais vraiment que Ruben n'aurait pas la merveilleuse idée de te proposer d'aller te chercher quelque chose d'autre à manger. Tu ne supporterais pas d'avoir à lui inventer une excuse pour refuser. Tu savais très bien qu'il comprendrait rapidement que tu lui mentais puisqu'il connaissait ton secret et qu'il lisait en toi mieux que n'importe qui. « J'espère que je ne t'ai pas déranger à l'hôpital ? » Même quand tu avais une bonne raison de les appeler, tu avais toujours peur de déranger tes proches. Pour les rares fois que tu demandais de l'aide. Tu faisais toujours un point d'honneur de te débrouiller toute seule.
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Même si techniquement, Ethel était née avant lui, Ruben avait toujours entre eux agi comme s'il était le plus âgé des deux; il était celui bien plus responsable, celui qui prenait soin des autres, celui qui avait un style de vie s’apparentant à quelque-chose de stable. Encore aujourd’hui, c’était de cette façon là qu’il comptait se comporter avec sa soeur - alors effectivement, peut-être qu’il empruntait un ton un brin paternaliste lorsqu’il prenait la parole désormais. C’était plus fort que lui: il ne saurait s’empêcher d’agir de la sorte même s’il essayait. Et tant que sa soeur ne s’en plaignait pas et ne montrait pas d’objections à ce qu’il agisse de la sorte, il continuerait de la sorte.
Finalement, ce fut de sa main libre qu’Ethel désigna l’objet qui avait fait des siennes sur son épiderme: un couteau de cuisine, rien de bien plus complexe, et peut-être que cela étira un brin davantage le sourire de Ruben. Ce n’était jamais des histoires farfelues qu’Ethel avait à raconter, c’était même souvent des situations on ne pouvait plus banales qui devenaient dangereuses pour elle. « Je voulais manger ma pomme. Je crois que j'aurais mieux fait de croquer dedans finalement. » Bien sur que cela étira un petit sourire sur les lèvres de Ruben: il n’était en rien étonné que ce soit de cette sorte là que les choses avaient tourné. « Fais moi penser à t’acheter une machine qui épluche les pommes toute seule à Noël. » Il ne le ferait pas, parce-qu’il y avait des chances que la blague soit un brin trop lourde lorsque tous les paramètres que la nourriture apportait à cette discussion étaient pris en compte. Mais l’idée était tout de même présente: il soulignait qu’il était prêt à l’aider pour que ce type d’incident ne se reproduise plus, là où il n’aimait en rien l’idée qu’elle puisse se mettre en danger si facilement. Concentrant son attention sur la plaie qui se trouvait dans le creux de la main d’Ethel, il retint un soupire - parce-que le but n’était pas de lui faire peur d’aucune sort, mais elle allait surement garder encore une sacrée cicatrice pendant quelques temps. Ben finit par plonger la main dans sa mallette, sans aucune crainte de son côté de se faire le moindre mal puisqu’il connaissait le contenu de cette dernière par coeur, et tout à l’intérieur était rangé avec une précision à faire peur. Déjà, il nettoyait la plaie avec du sérum physiologique pour y voir plus clair; elle commençait déjà à se refermer, elle était plus impressionnante qu’elle n’était grave.
« J'espère que je ne t'ai pas déranger à l'hôpital ? » Aux mots de sa soeur, les gestes de Ruben se firent un temps moins rapides, comme ralenti dans leur processus d’exécution car perturbé par ce qu’elle venait de dire. Et c’était le cas: il avait même un pincement au coeur en comprenant que sa soeur pouvait penser le déranger. Il pinça un brin les lèvres, attendit un instant supplémentaire tout en récupérer du désinfectant dans sa mallette avant de relever son regard vers Ethel. « Tu me déranges jamais. » Que ce soit à l’hôpital ou ailleurs, elle n’était pas Rhett: il ne lèverait jamais les yeux au ciel lorsque son nom s’affichait sur l’écran de son téléphone. Qu’importe le moment de la journée, ou de la nuit même où elle pourrait le solliciter, il répondrait par la positive sans hésiter un seul instant. Hésitant un instant, il fut contraint de ne pas soutenir le visage et le regard de son ainée plus longtemps car il se devait de se concentrer encore sur la plaie qu’elle lui avait présenté lorsqu’il était arrivé à ses côtés - et raison de sa présence ici initialement. « Je suis de repos techniquement aujourd’hui, alors t'as rien dérangé du tout. T’en fais pas. » Bien sur qu’elle s’en faisait et qu’elle continuerait de s’en faire chaque fois qu’il décrocherait le téléphone alors qu’il se trouvait entre les quatre murs de ce qui pourrait apparenté à une seconde maison pour lui. Si Ruben était un jour porté disparu, c’était presque à coup sur une fausse alerte: il se trouvait dans un bloc opératoire ou en salle de consultation du St Vincent à coup sur; depuis qu’il avait commencé ses études, il passait plus de temps là-bas que chez lui et ne s’en excusait pour rien au monde. A ses yeux, sa carrière était la chose la plus importante, et il n’hésitait pas à sacrifier beaucoup pour parvenir aux fins qu’il enviait et désirait depuis des années. « J’étais là-bas pour m’entrainer sur une méthode que je vais devoir maitriser pour une opération future et qui me donne du fil à retordre. Tu me fais prendre une pause, je devrais te remercier même. » Il esquissa un petit sourire alors qu’il terminait d’enrouler la petite bande autour de la main de sa soeur, afin de protéger la plaie maintenant qu’il avait terminé de la nettoyer. Elle n’aurait pas besoin de points de suture pour une fois, c’était plutôt une bonne nouvelle.
Soupirant longuement, il finit par se relever pour s’asseoir aux côtés de sa soeur sur le banc, tenant toujours sa main dans la sienne, la couvrant de sa seconde paume comme s’il possédait un pouvoir de guérisseur qui allait résoudre tous les maux d’un coup d’un seul. « Et vraiment, Ettie, tu me déranges jamais. » Le regard clair du plus jeune se perdit au delà du simple endroit où ils se tenaient, allant attraper les mouvements du courant de l’eau face à eux. Ruben ne se rappelait même pas la dernière fois qu’il avait pris le temps de prendre le temps, de se poser de la sorte; lui qui était tout le temps en train de courir à droite et à gauche, de cumuler les projets autant dans sa vie personnelle que dans sa vie professionnelle - ceux de la première catégorie n’étaient pas de ceux qu’il souhaitait partager, ni aujourd’hui ni dans les jours prochains. Alors il se pencha sur un sujet qu’il pouvait se permettre d’aborder sans trop de danger, de gravité. « Et même si je l’ai pas montré ces dernières semaines, tu sais que je suis toujours présent si t’as besoin de moi. » Un début d’une excuse, digne de Ben Hartfield: à demi-mots, c’était toujours plus facile de tout avouer. « Même si c’est juste pour une coupure à cause d’une pomme. » Et il tourna son visage avec un petit sourire attendri vers elle.
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Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
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TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
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Tu tentais toujours de t’organiser seule, mais il fallait que tu avoue que ce n'était pas ton plus grand talent. Tu avais toujours l’impression que tu avais des preuves à faire à tes proches parce que tu les exaspérait avec ta capacité à te mettre dans des situations dangereuses et pas possible malgré toi. Tu avais l’impression que même si tu avais trente-trois ans, tes proches agissaient encore comme si tu en avais seulement dix. Mais en même temps, tu avais l’impression de compter pour eux quand ils s’en faisaient pour toi. Tu avais souvent l’impression que tu avais des efforts à faire pour les voir, pour réunir ta famille, comme si eux, ils s’en foutaient de ne pas se voir pendant des semaines. Les voir venir à ton secours et s’occuper de toi te faisaient du bien. Mais tu ne pouvais t’enlever ce sentiment de culpabilité d’avoir besoin d’eux et de les déranger. “ Fais moi penser à t’acheter une machine qui épluche les pommes toute seule à Noël. ” Tu te mis à ricaner. Effectivement, ça pourrait être pratique, mais te connaissant, tu serais du genre à te faire mal en essayant de comprendre comment installer ta pomme sur la machine. C’était avec les choses les plus sécuritaires que tu arrivais le plus souvent à te blesser sérieusement. “ Tu le sais hein que si tu commence à m’acheter des alternatives à tout ce avec quoi je me blesse tu ne seras plus capable de payer ton loyer et moi je n’aurai pas la place nécessaire pour tout stocker ça ? ” Tu avais une bonne capacité d’auto-dérision quand même. De toute manière, ça en était ridicule le nombre de fois que tu réussissais à te mettre dans le pétrin toi-même. Il valait mieux en rire qu’en pleurer. « Tu me déranges jamais. » Tu avais bien senti que Ruben n’était pas content que tu lui demande si tu le dérangeais. Mais en même temps, il ne te donnait tellement pas de nouvelle de lui dernièrement que tu avais l’impression qu’effectivement, il n’avait pas de temps pour toi. Tu préférais donc t’informer s’il était pressé de repartir faire ce qu’il faisait avant ton appel ou s’il avait un peu de temps à t’accorder avant de partir. “ Je suis de repos techniquement aujourd’hui, alors t'as rien dérangé du tout. T’en fais pas. J’étais là-bas pour m’entrainer sur une méthode que je vais devoir maitriser pour une opération future et qui me donne du fil à retordre. Tu me fais prendre une pause, je devrais te remercier même. ” Les histoires d’hôpital de Ruben m'intéressaient toujours. Si tu n’avais pas été aussi maladroite, c’était probablement un domaine qui t'aurait intéressé. Mais juste de penser que tu pouvais avoir accès en tout temps à des outils comme des aiguilles et autres fournitures d’hôpital et tu savais que ça allait mal finir. De toute manière, tu n’avais pas pu poursuivre tes études puisque tu n’avais pas tout l’argent nécessaire ni la motivation nécessaire pour le faire. “ En fait Benny, techniquement je ne te fais pas prendre de pause puisque tu dois venir me soigner ” Tes paroles furent suivies par un haussement d’épaule. “ J’aurais bien essayé de me rendre à l’hôpital toute seule, mais tu me connais, je suis devenue étourdie quand j’ai vu du sang je me suis sentie faible et je me suis dis que ce n’était pas une bonne idée de prendre le risque de tomber dans le fleuve parce que j’aurais essayé de me lever. ” Cette idée semblait tirée par les cheveux, mais tu savais très bien que c’était le genre de chose qui pouvait très bien t’arriver et que ce ne serait même pas surprenant. “ Tu peux m’en dire plus sur la chirurgie que tu vas avoir à faire ? Ça m’intrigue de savoir ce que tu fais de tes journées et comment tu sauves les gens. Autre que moi bien sûr. ” Tu aimais faire parler tes frères d’eux. Tu n’aimais pas quand la conversation était trop dirigée vers toi-même. De toute manière, ça t’intéressait vraiment ce qu’ils avaient à te dire. “ « Et vraiment, Ettie, tu me déranges jamais. Et même si je l’ai pas montré ces dernières semaines, tu sais que je suis toujours présent si t’as besoin de moi. Même si c’est juste pour une coupure à cause d’une pomme. ” Un sourire se dessina sur ton visage lorsque tu entendis le petit surnom qu’il te donnait depuis que vous étiez petit. Tu avais l’impression que vous étiez encore chez vos parents. La chaleur de ses mains par-dessus les tiennes t'apaisait. Tu n’avais plus la chance d’avoir aussi souvent qu’avant cette proximité avec lui et lorsqu’il te la donnait sans que tu ais à le demander, tu en profitais autant que possible. Bon, il se moquait de toi, mais tu devais avouer que tu lui avais donné du matériel pour le faire. “ On pourrait essayer de se voir aussi sans que j’ai besoin de tes talents de médecin. Je sais que la dernière fois ça n’a pas été un succès, mais bon… ” La dernière partie de ta phrase, tu la rajouta en chuchotant. Tu ne savais pas si tu avais vraiment le goût de revenir sur ce fameux repas où vous étiez vous trois. Mais tu devais avouer que tu nourrissais encore le désir qu’un jour, vous allez pouvoir être tous ensemble sans que ça dégénère. Tu remarquas alors que le regard de ton frère s’était tourné vers l’eau du fleuve. “ On est bien ici hein ? J’essaie de venir me poser au moins une fois par deux jours. C’est tellement relaxant. ”
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
La petite blague sur l’idée d’acheter un éplucheur automatique à sa soeur pour Noël eut au moins le don de tirer un petit rire à cette dernière - c’était toujours mieux que rien, alors que pourtant cela n’était qu’à moitié une blague aux yeux de Ruben. « Tu le sais hein que si tu commence à m’acheter des alternatives à tout ce avec quoi je me blesse tu ne seras plus capable de payer ton loyer et moi je n’aurai pas la place nécessaire pour tout stocker ça ? » Ce fut cependant à son tour d’ajouter là un petit rire amusé, secouant quelque peu sa tête, plissant pour sur le bout de son nez. « Heureusement que je tiens pas une vraie liste oui, t’as raison. » Sinon effectivement, ils y seraient encore dans dix Noëls et aucun des deux ne réussirait à réellement s’en sortir - en terme de stockage, de budget, mille et une raisons étaient envisageables pour justifier ce manque d’investissement sur le long terme finalement.
« En fait Benny, techniquement je ne te fais pas prendre de pause puisque tu dois venir me soigner. » Faisant rouler ses lèvres l’une sur l’autre, il haussa les épaules. « C’est pas vraiment du travail, tu t’es ouvert le doigt: je sais gérer ça. » De toutes façons, aux yeux du jeune Hartfield, tout ce qui se rapportait à la médecine n’était pas vraiment du travail pour lui; il adorait tellement son domaine qu’il ne comptait jamais ses heures et ne se lassait jamais de devoir apprendre de nouvelles techniques, décrypter de nouveaux cas. Il était alors sincère lorsqu’il disait que prêter main forte à sa soeur, ce n’était pas une tâche apparentée au travail pour lui, parce-que cela ne représentait aucune charge supplémentaire apposée sur lui et ses compétences. « J’aurais bien essayé de me rendre à l’hôpital toute seule, mais tu me connais, je suis devenue étourdie quand j’ai vu du sang je me suis sentie faible et je me suis dis que ce n’était pas une bonne idée de prendre le risque de tomber dans le fleuve parce que j’aurais essayé de me lever. » - « Non non, t’as bien fait de rester ici. Je préfère venir à toi plutôt que t’essaies de faire l’inverse. » Il n’y avait pas le moindre reproche dans sa voix, mais plutôt une réelle inquiétude: Ethel décrivait elle-même très bien ce qui aurait pu se passer si elle avait tenté de pousser la situation plus loin. Alors que de son côté, cela ne représentait aucun dérangement pour Ben de venir jusque elle. Qui plus était, il avait surement été le pire des frères ces dernières semaines, alors il pouvait tenter de rattraper un peu le coup en répondant présent pour sa soeur.
« Tu peux m’en dire plus sur la chirurgie que tu vas avoir à faire ? Ça m’intrigue de savoir ce que tu fais de tes journées et comment tu sauves les gens. Autre que moi bien sûr. » Ralentissant ses gestes, il releva un regard en coin vers elle avant d’étirer un fin sourire un brin amusé. « Tu tombes pas dans les pommes alors, hein. » Il ne rentrerait pas dans les détails de toutes façons, mais c’était là une autre façon de sa part de souligner qu’il préférait mettre une couche de légèreté pour le moment sur leur discussion - bien que le cas du patient sur lequel il travaillait en ce moment ne soit en rien léger, justement. « C'est une chirurgie sur laquelle j’ai à peu près quatre-vingt-dix pour-cent de chance de me planter, je pense. » Cela annonçait la couleur, déjà. « Une tumeur mal placée, sur un cancer agressif. Et pour réussir à la retirer, va falloir que je mette le patient dans un état de mort cérébrale contrôlée. » Il résumait avec des façons simples, sans entrer dans les détails, parce-que ce n’était pas là une conversation adaptée à sa soeur s’il se mettait à décrire tout ça comme il le faisait avec ses collègues. « Je m’entraine à pratiquer l’extraction de la tumeur dans un temps imparti, et pour l’instant c’est mal parti. » Il ajouta un petit rire railleur, alors qu’il fermait en même temps le bandage qu’Ethel avait désormais sur la main. « Donc pour l’instant, si le patient vient sur ma table d’opération, je lui laisse aucune chance de survie et c’est pas le but de tout ça. Donc je m’entraine d’arrache pied pour que ça n’arrive pas. » Même si le pourcentage de chances de survie n’augmenterait pas, au moins il pourrait avoir la possibilité de réussir s’il se donnait les moyens d’y arriver.
Ruben avait fini par se relever et s’asseoir aux côtés de sa soeur sur le banc, sans pour autant lâcher ses mains qu’il gardait au creux de ses paumes. C’était là peut-être un contact anodin, mais étant donné qu’ils n’avaient que peu partagé de temps ensemble ces dernières semaines ce n’était pas rien - et pour ça, il s’en voulait Ben, ce qui n’était pas commun. « On pourrait essayer de se voir aussi sans que j’ai besoin de tes talents de médecin. Je sais que la dernière fois ça n’a pas été un succès, mais bon… » Il pinça ses lèvres, retenant un petit soupire. « Désolé pour ça, d’ailleurs. » Ben qui s’excusait sans avoir le couteau sous la gorge: événement à noter dans un calendrier. Quand c’était pour Ethel, les choses étaient vraiment vouées à être différentes. « Tu sais bien à quel point entre Rhett et moi, c’est toujours compliqué. » Et surtout que ce dernier avait des informations sur la vie intime de Ruben que le cadet ne souhaitait pas voir étaler aux yeux du rand public. Que Garrett soit au courant de ses activités extra-conjugales était déjà un problème en soi, mais il pouvait passer outre le regard qu’il portait sur lui; si sa soeur apprenait ça… Il ne voulait pas avoir à imaginer le regard qu’elle lui porterait, à partir de ce moment là. « Comme quoi, même avoir habité ensemble pendant longtemps ça a pas aidé. » A ce qu’ils s’entendent mieux; et il ne faisait malheureusement pas référence à la maigre période où les deux frères avaient partagé le toit familial, mais plutôt à celle qui avait pris fin en début d’année lorsque Ben était retourné vivre chez lui.
« On est bien ici hein ? J’essaie de venir me poser au moins une fois par deux jours. C’est tellement relaxant. » Ethel avait du remarquer que son regard à lui était parti se poser plus loin, en direction du fleuve et de l’apaisement que ce dernier pouvait apporter. Il esquissa un petit sourire. « Je profite pas assez de ce type de moments là. » De moments relaxants, de moments d’arrêt sur image aussi; il était toujours à mille à l’heure parce-qu’autrement, il avait l’impression de perdre son temps. « Ca se passe bien, chez Rhett, pour toi ? » Il avait fini par tourner son visage et son regard vers Ethel. Il se doutait bien qu’en grande partie, si elle passait autant de temps près du fleuve alors que Rhett habitait à deux pas d’ici, c’était parce-qu’elle passait encore une grande partie de son temps chez leur ainé. Et Ruben n’était pas idiot: il savait parfaitement qu’elle le surveillait.
:
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
Dans ta famille, tu étais la petite fille réservée. Tu étais celle qui faisait passer les autres en premier, qui ne voulait pas déranger tes frères ou tes parents. Tu étais un peu effacé, pourtant tu étais toujours au courant de tout et tu étais toujours présente pour aider n’importe quel membre des Hartfield qui en avait besoin. Et entre Garhett, le joueur de rugby légendaire et Ruben, le médecin qui sauvait des vies et qui faisait de la neurochirurgie, tu avais appris à ne pas prendre trop de place et ne pas attirer l’attention. Tu ne faisais rien d’aussi génial de ta vie donc tu ne voulais pas que les gens de votre entourage un peu plus éloignés puissent passer de commentaire sur le pourquoi que tu n’avais pas une vie aussi intéressante que tes frères. C’est donc comme cela que tu en est venu à avoir peur de les déranger avec ta vie peu palpitante. Tu répondais toujours présente pour eux et tu ne pouvais t’empêcher de t’excuser lorsque tu avais besoin d’eux. « C’est pas vraiment du travail, tu t’es ouvert le doigt: je sais gérer ça. » Tu devais lui accorder que ta blessure n’était rien à comparer de ce qu’il faisait comme métier. En fait, il avait probablement appris à faire ce type de pansement dans un cours de secouriste quelconque avant même de commencer sa médecine. « Non non, t’as bien fait de rester ici. Je préfère venir à toi plutôt que t’essaies de faire l’inverse. » À force de te faire répéter que tu ne le dérangeais pas, qu’il était content de venir t’aider, tu commençais à le croire. De toute manière, tu connaissais bien ton frère : s’il avait été agacé, tu le sentirais immédiatement dans sa voix. Autant tu étais attentionné envers tout le monde, même les gens que tu connaissais plus ou moins, autant tu savais que Ruben pouvait parfois se montrer hautain. Même si tu savais qu’il faisait des efforts pour ne pas laisser paraître ce côté de lui lorsque tu étais présente. Pendant que Ruben te soignait, tu ne pu t’empêcher de lui demander sur quoi il travaillait. Tu ne t’y connaissais pas en médecine, mais ton frère était capable de vulgariser ses journées pour que tu puisses comprendre. Il te connaissait également suffisamment pour savoir où arrêter les détails pour ne pas que tu perdes conscience. « Tu tombes pas dans les pommes alors, hein. » Tu ricanas. “Je te promets de faire mon possible. Si jamais ça arrive, assure toi seulement que je ne tombe pas dans l’eau s’il te plaît.” Te noyer après avoir demandé des précisions sur le boulot de ton frère n’aurait rien de très glorieux. « C'est une chirurgie sur laquelle j’ai à peu près quatre-vingt-dix pour-cent de chance de me planter, je pense. Une tumeur mal placée, sur un cancer agressif. [...] Donc pour l’instant, si le patient vient sur ma table d’opération, je lui laisse aucune chance de survie et c’est pas le but de tout ça. Donc je m’entraine d’arrache pied pour que ça n’arrive pas. » Plus que Ruben parlait, plus tu hésitais entre deux sentiments : être fière de lui, qu’il en soit arrivé aussi précis dans sa pratique et qu’il soit aussi passionné ou avoir peur qu’il se mette trop de pression et qu’il finisse par faire un épuisement professionnel. Tu décidas de lui faire part de tes pensées. “Je suis sûre que tu y arriveras. Tu es talentueux et tu mets les efforts qu’il faut pour réussir. J’aimerais juste que tu fasses attention à toi. Je ne voudrais pas que tu te mettes toi-même trop de pression sur tes épaules.” Puis, la conversation vers le fait que tu ne l’avais pas vu souvent dernièrement et que le dernier repas que tu avais organisé avec tes deux frères avait viré au drame. Toi qui rêvait d’une relation simple et harmonieuse avec eux, ce n’étais pas gagné. Tu avais eût comme espoir que le départ de Jackson allait rapprocher Rhett et Ruben, mais ça ne semblait pas être le cas. S’il y avait quelque chose, c’était encore plus tendu depuis que Ruben avait envoyé Rhett en Suisse. « Désolé pour ça, d’ailleurs. »Tu sais bien à quel point entre Rhett et moi, c’est toujours compliqué. Comme quoi, même avoir habité ensemble pendant longtemps ça a pas aidé. » Tu soupira. Au moins, tu n’avais pas tout perdu : Ruben s’était excusé. Par contre, tu aurais aimé que tes frères soient capables de le faire entre eux. Les deux étaient toutefois beaucoup trop orgueilleux pour qu’ils en soient capables. “Je sais qu’il n’est pas toujours facile et que vous êtes différents tous les deux. Et oui, il peut se montrer exaspérant… Mais on est tous les trois de la même famille… Qu’est-ce qui nous reste si on ne peut pas compter les uns sur les autres ?” C’était une réflexion que tu lançais comme ça puisque tu savais très bien que tu ne pourrais pas changer la relation entre tes deux frères aussi facilement que ça. Tu étais déjà chanceuse d’avoir une belle relation avec les deux, même si c’était plus facile avec Ruben quand même. « Ca se passe bien, chez Rhett, pour toi ? » Tu portas ton regard vers le fleuve et prit quelques instants pour y penser. Tu ne pouvais pas lui mentir, il te connaissait beaucoup trop et il savait lire en toi. “Ça va assez bien. Je m’organise pour ne pas qu’il ait de raison de me foutre à la porte. Il a l’air d'apprécier ma présence. Quoi que je sais qu’il aimerait avoir un peu plus d’intimité. Mais moi je ne suis pas prête à le laisser seule. Je ne lui fais pas encore assez confiance pour ne pas avoir un oeil dessus.” Tu préférais mettre ta vie sur pause pour pouvoir t’assurer qu’il ne retombe pas. Tu ne pouvais pas prendre la chance de perdre un deuxième frère.
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
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TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
La remarque de son frère fit rire Ethel, lorsqu’il lui demanda de ne pas tomber dans les pommes alors qu’il s’apprêtait à lui expliquer sur quoi il travaillait ces derniers temps - et ce qui lui prenait autant de son temps alors qu’il était supposé être de repos aujourd’hui. « Je te promets de faire mon possible. Si jamais ça arrive, assure toi seulement que je ne tombe pas dans l’eau s’il te plaît. » Il secoua quelque peu son visage. « Je te laisserai pas tomber, tu le sais en plus. » Autant au sens littéral de la chose que de façon générale: il avait beau se comporter comme un abruti assez régulièrement, il ne laisserait jamais sa soeur tomber. Beaucoup d’autres, mais pas elle. « Je suis sûre que tu y arriveras. Tu es talentueux et tu mets les efforts qu’il faut pour réussir. J’aimerais juste que tu fasses attention à toi. Je ne voudrais pas que tu te mettes toi-même trop de pression sur tes épaules. » Relevant son visage vers la jeune femme, Ruben lui adressa un petit clin d’oeil alors qu’il esquissa un petit sourire. « Je fais attention à moi, t’en fais pas pour ça. » Ils savaient tous deux parfaitement que ce n’était pas autant véridique que ce que laissaient supposer ses paroles. Il faisait attention à lui, mais il ne faisait pas attention au temps qu’il allouait au travail et aux conséquences que ce dernier pouvait avoir sur sa santé. Les cordonniers les plus mal chaussés, comme il était communément dit.
Et si d’ordinaire en revanche il faisait attention à sa soeur au moins à travers tout ce processus, ces derniers temps il avouait qu’il n’aurait pas gagné la médaille d’or du meilleur frère. Il imputait ce désagrément à d’autres, et à certaines circonstances bien sur, alors qu’ils savaient tous deux parfaitement en silence que c’était uniquement sa faute à lui si les choses se déroulaient cette façon. La seule chose qui pouvait être pointée du doigt car se trouvant être rare dans le comportent du chirurgien, c’était qu’il s’était excusé auprès d’Ethel; d’autres Hartfield n’auraient pas eu le droit à ce traitement de faveur. « Je sais qu’il n’est pas toujours facile et que vous êtes différents tous les deux. Et oui, il peut se montrer exaspérant… Mais on est tous les trois de la même famille… Qu’est-ce qui nous reste si on ne peut pas compter les uns sur les autres ? » Pinçant ses lèvres, il baissa le regard. Il savait parfaitement qu’elle avait raison, mais lorsqu’il s’agissait de Rhett, les choses étaient toujours plus compliquées qu’elles n’y paraissaient. « Je sais que je peux compter sur lui, tu sais. Mais tu l’as dit toi même à l’instant: il est exaspérant. » Et s’il avait pu, il aurait insufflé une dose d’humour à ces mots là - il ne s’en sentait pas capable en cet instant. « Comme je sais que je peux compter sur toi. Je sais que je peux d’ailleurs même plus compter sur toi que sur lui. » Un faible sourire étira ses lèvres alors qu’il finissait par s’asseoir aux côtés d’Ethel sur le banc. « Juste… Il sait appuyer sur les points qui m’exaspèrent pour me mettre hors de moi. » Et surtout désormais, il avait des informations en sa possession que Ruben aurait préféré ne jamais lui révéler.
Ce fut d’ailleurs pour ne pas s’éterniser sur ce point là, autant dans ses paroles que dans ses pensées, qu’il changeait rapidement de sujet et qu’il préféra prendre des nouvelles de sa soeur en lui demandant comme se passait la colocation chez leur frère; oh, il connaissait parfaitement le domaine en l’occurence. « Ça va assez bien. Je m’organise pour ne pas qu’il ait de raison de me foutre à la porte. Il a l’air d'apprécier ma présence. Quoi que je sais qu’il aimerait avoir un peu plus d’intimité. Mais moi je ne suis pas prête à le laisser seule. Je ne lui fais pas encore assez confiance pour ne pas avoir un oeil dessus. » Aux mots d’Ethel, il retint un soupire: même s’il n’était pas sur place, il savait ce que c’était que d’être dans l’attente de voir Garrett rechuter de nouveau. Il avait assisté aux dégâts de trop près, malheureusement, de son côté aussi. Alors avec douceur, il passa son bras par dessus les épaules de sa soeur pour l’attirer à lui et déposer un baiser sur sa tempe. « Je pense qu’il est content que ce soit toi chez lui. » Disons qu’à contrario, lorsque c’était Ben à sa place, il l’avait envoyé en cure de désintoxication à l’autre bout du monde et avait profité de l’absence de Rhett pour se servir de son appartement comme d’un lieu de rencontre avec sa maitresse. La comparaison était facile à faire. « Même s’il le dira surement pas: c’est Rhett, tu le connais. » Il était trop pudique pour exprimer ce type de pensées à haute voix. « Et s’il a réussi à me supporter pendant tout ce temps chez lui, il te mettra pas à la porte. On sait parfaitement que de nous deux, c’est toi qu’il préfère. » Et pour une fois, il n’y avait aucune marque de jalousie ou d’envie dans les mots de Ruben: pas lorsqu’il s’agissait de sa soeur et alors que leur ainé était peut-être la seule personne sur cette terre à faire une préférence allant dans le sens de la jeune femme entre les deux plus jeunes Hartfield.
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Ethel Hartfield
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ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
« Je te laisserai pas tomber, tu le sais en plus. » Un petit sourire apparut sur ton visage. Tu le savais que Ruben serait toujours-là pour toi, mais l’entendre te faisait toujours du bien. Même si parfois il ne te donnait pas signe de vie pendant de long moment, tu savais que si tu l’appelais il se débrouillerait pour se rendre disponible pour toi même s’il était très occupé. Et l’inverse était encore plus vrai. Tes frères savaient trop bien que tu t’occuperais toujours d’eux bien avant de t’occuper de toi. « Je fais attention à moi, t’en fais pas pour ça. » Tu connaissais toutefois beaucoup trop ton frère pour savoir qu’il s’occupait beaucoup plus de sa vie professionnelle que de sa vie personnelle. En même temps, tu voulais qu’il soit heureux et si ça passait par le travail, tu étais qui pour lui dire de ralentir ? Tu ne voulais pas qu’il s’épuise au boulot, mais tu avais aussi l’impression que s’il n’était pas à l’hôpital, il considérait perdre son temps. Tu jouais alors ton rôle de grande soeur le mieux que tu le pouvais en lui demandant de faire attention à lui et en gardant un oeil dessus. Tu connaissais assez Ruben pour être confiante que tu t’en rendrais compte qu’il commençait à ne pas bien aller. Puis, le sujet se dirigea vers la relation que tes deux frères avaient entre eux. Tu ne comprenais pas comment ils pouvaient être aussi difficile l’un envers l’autre alors que toi, tu étais si douce et attentionné envers eux. Tu étais là pour tenter de mettre l’équilibre dans votre fratrie, mais en même temps, tu trouvais parfois difficile d’avoir à tenter de recoller sans cesse les morceaux entre eux. Tu aurais aimé pouvoir demander des soirées à trois sans avoir peur que la soirée ne finisse avec une guerre entre les deux hommes. C’est pour cela que lorsque l’occasion se présentait, tu leur disais d’essayer de faire attention l’un à l’autre. « Je sais que je peux compter sur lui, tu sais. Mais tu l’as dit toi même à l’instant: il est exaspérant. Comme je sais que je peux compter sur toi. Je sais que je peux d’ailleurs même plus compter sur toi que sur lui. Juste… Il sait appuyer sur les points qui m’exaspèrent pour me mettre hors de moi. » Tu étais contente que Ruben t’avoue qu’il savait qu’il pouvait compter sur Garhett. Parce que même si la situation était plus souvent qu’autrement conflictuelle entre les deux hommes, la famille restait la famille et jamais un Hartfield en laisserait un autre dans le pétrin. “Vous êtes pareil tout en étant différent. Je suis sûre que toi aussi tu sais appuyer là où ça lui fait mal et que tu ne résiste pas à l’utiliser parfois. Mais je suis contente que tu saches que tu peux compter sur lui aussi. Enfin, je pense qu’il te la montrer en te laissant t’installer chez lui.” Ton but n’était pas de remuer le couteau dans la plaie en reparlant de l’épisode où ça avait été difficile avec Nina, ni de lui dire qu’il en devait une à Rhett. Tu voulais seulement donner un exemple d’un moment où il avait pu compter sur son frère aîné malgré leurs différents.
Lorsque Ruben vint se poser à côté de toi et qu’il passait un bras autour de tes épaules, tu posa ta tête contre son épaule. Tu détestais les contacts physique, à part ceux de ton frère cadet. Tu te sentais immédiatement rassuré et apaisé. Avec lui, tu n’avais pas peur qu’il remarque tes clavicules trop creusées, tes bras un peu trop maigres. Il était ton cadet, mais souvent, tu avais l’impression que c’était toi la cadette. « Je pense qu’il est content que ce soit toi chez lui. Même s’il le dira surement pas: c’est Rhett, tu le connais. Et s’il a réussi à me supporter pendant tout ce temps chez lui, il te mettra pas à la porte. On sait parfaitement que de nous deux, c’est toi qu’il préfère. » Tu fermas les yeux question de profiter de ce moment où tu avais l’impression que rien ne pourrait t’enlever ton frère. Tu le sentais là, pleinement avec toi. “Je ne doute pas que je suis plus facile à vivre que toi oui.” Tu laissa échapper un petit rire pour lui montrer que tu le taquinais, même si au fond, tu savais que c’était probablement la vérité. “Mais je dois dire que j’aime bien être avec lui aussi. Je sais que je ne serai jamais vraiment seule dans l’appartement. Et tu sais, je pense qu’on peut commencer à lui faire confiance. J’ai l’impression qu’il devient de plus en plus solide contre les rechutes. Et Evie est là. Il ne veut pas la décevoir, j’en suis sûre.” Tu profitas ensuite d’avoir mentionné le nom de la copine de Rhett pour s’informer de celle de Ruben. Ça faisait longtemps que tu n’avais pas vu Nina et même si tu étais moins proche d’elle que d’Evelyn, tu l’appréciais bien. Elle était seulement un peu moins chaleureuse et souvent, tu n’arrivais pas à la décoder. “Sinon, comment va Nina ?”
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« Vous êtes pareil tout en étant différent. Je suis sûre que toi aussi tu sais appuyer là où ça lui fait mal et que tu ne résiste pas à l’utiliser parfois. Mais je suis contente que tu saches que tu peux compter sur lui aussi. Enfin, je pense qu’il te la montrer en te laissant t’installer chez lui. » Aux paroles de sa soeur, Ben plissa le nez: bien sur qu’il savait pertinemment qu’il pouvait compter sur Rhett, même si leur relation était un brin trop souvent compliquée. Disons surtout qu’il savait que désormais, il pouvait compter sur lui - quelques années plus tôt, il n’aurait pas eu le même discours. Lorsque Rhett était parti en Angleterre, cela avait souligné aux yeux du plus jeune Hartfield qu’il était prêt à abandonner sa famille sans un regard en arrière - il était encore jeune à l’époque et l’amertume de celle réalisation était encore bien présence chez lui. Et puis, une seconde chose était malheureusement vraie dans ce que disait Ethel: il savait tout autant que son frère appuyer là où ça faisait mal. Ils avaient l’avantage et l’inconvénient de connaitre les défauts de l’autre, et de savoir en jouer quand le moment était venu. Après tout, Ruben avait bien envoyé Rhett en cure sans lui demander véritablement son avis en appuyant sur la plaie qui lui faisait le plus mal et ce depuis des années; ce n’était pas très fair-play, il devait l’accorder. « Il m’énerve souvent quand même tu sais. » Peut-être que cette dernière phrase fut prononcée avec une moue un brin plus malicieuse, soulignant ainsi en silence qu’il admettait qu’elle avait raison sans être apte à le dire à haute voix.
« Je ne doute pas que je suis plus facile à vivre que toi oui. » - « Eh ! » Elle ajouta un petit rire et bien sur qu’il secoua quelque peu sa tête, comme cette fois-ci pour bien souligner qu’il ne saurait s’accorder sur ces dires là. « Mais je dois dire que j’aime bien être avec lui aussi. Je sais que je ne serai jamais vraiment seule dans l’appartement. Et tu sais, je pense qu’on peut commencer à lui faire confiance. J’ai l’impression qu’il devient de plus en plus solide contre les rechutes. Et Evie est là. Il ne veut pas la décevoir, j’en suis sûre. » Peut-être par réflexe, peut-être avec cet instinct de vouloir protéger sa soeur, il frotta avec douceur son bras alors qu’il resserrait un brin son éteinte. « J’aimerais avoir autant foi en lui que tu arrives à le faire. » Parce-qu’à partir du moment où Garrett avait plongé une fois, Ruben savait qu’il pourrait recommencer à tout moment - et il ne s’était malheureusement pas trompé. Il n’avait plus confiance dans le comportement de son frère, en sachant qu’à tout moment il pouvait se ruiner la santé au point de passer trop proche de la mort. « Je sais qu’il veut pas décevoir Evelyn, mais c’est pas pour autant que ça me rassure tu sais. » Il pinça les lèvres un instant. « Et que ça me fait davantage croire qu’il va réussir cette fois. » Il avait toujours été le plus pessimiste de la famille quand il s’agissait de Rhett, de toutes façons; si Jackson était là et l’entendait, il lui aurait surement claqué l’arrière du crâne en lui demandant de reprendre ce qu’il venait de dire.
« Par contre je suis content si tu te sens bien là-bas. » Il déposa un baiser sur le dessus de son crâne. « T'as réussi à négocier un bail sans date limite de fin toi aussi, rassure moi ? » Il ajoutait là une touche d’humour, parce-qu’il savait qu’avec Ethel il pouvait se le permettre.
« Sinon, comment va Nina ? » Evelyn avait été mentionnée, il n’était même pas surpris que sa fiancée le soit dans la foulée également. Pas qu’il n’appréciait pas parler d’elle, mais disons que c’était toujours un sujet délicat - et il se devait d’agir comme si de rien n’était, c’était surement la partie la plus compliquée et complexe à garder intacte. « Elle va bien. » Aussi bien qu’il était possible d’aller avec un fiancé qui repoussait encore et encore la date de leur union sans être apte à avancer le moindre argument recevable pour agir de la sorte. « Très occupée par le boulot comme moi, avec un cas particulièrement prenant. » Ils avaient l’habitude d’être dans ce type de situations en revanche, et puis ils avaient réussi à passer la fin de leurs études ensemble alors lorsqu’ils s’agissaient du boulot, ils étaient on ne pouvait plus habitués. « Mais c’est la routine chez nous ça. »
Se décalant légèrement pour pouvoir poser de nouveau son regard sur le visage de sa soeur, la question qu’il posa ensuite, il le fit avec une voix rassurante et douce, un regard allant de paire avec cette attitude là. « Comment tu vas, toi ? » Vraiment; il n’en avait que peu à faire des airs de tout va bien qu’elle savait porter mieux que personne, il était vrai. Mais cela faisait longtemps que cela ne prenait plus avec son petit frère, et elle le savait.
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Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
La relation entre Ruben et Garhett avait toujours été difficile. Ce n’était pas mieux du temps que Jackson était vivant, ni du temps que vous viviez tous à la maison familiale à Kilcoy. Tu avais toujours pensé que la vie t’avait mis entre eux deux dans la fratrie pour calmer les ardeurs des garçons de la famille. Tu avais ton caractère qui était assez bien trempé lorsque tu le voulais. Tu ne te laissais pas marcher sur les pieds et tu n’avais pas peur de tes opinions. Mais en même temps, c'était une chance puisque tu avais grandi avec trois garçons. Par contre, tu étais comme ta mère : douce, toujours présente pour tout le monde et avec une soif de tenir la famille serrée et réunie le plus que tu le pouvais. Tu savais que tes frères te trouvaient parfois trop insistante lorsque tu demandais des réunions familiales, mais en même temps, tu savais que si tu ne t’occupais pas de vous réunir, ils ne le feraient pas. « J’aimerais avoir autant foi en lui que tu arrives à le faire. Je sais qu’il veut pas décevoir Evelyn, mais c’est pas pour autant que ça me rassure tu sais. » Tu soupira. Tu espérais quand même que Ruben n’était pas aussi pessimiste lorsqu’il traitait ses patients que lorsqu’il parlait de Rhett parce que tu savais que ça décourageait plus d’un malade. Tu ne pouvais pas croire que votre aîné se laisserait rechuter délibérément. Tu gardais un oeil dessus puisque tu savais que c’était une éventualité, mais tu avais l’impression profonde qu’il était sur la bonne voie. « Par contre je suis content si tu te sens bien là-bas. T'as réussi à négocier un bail sans date limite de fin toi aussi, rassure moi ? » Tu hochas de la tête. Tu n’aurais jamais cru qu’un jour tu habiterais avec ton frère alors que vous étiez tous les deux adultes, mais tu devais avouer que ça te rendais quand même bien service à toi aussi. Jamais tu ne l’avouerais, mais la solitude de ton appartement commençait à être dure à porter. Au moins chez Rhett tu savais que le ménage et la nourriture que tu faisais rendaient quelqu’un heureux. Tu ne le faisais pas que pour toi. “De toute manière, si je décide que ce n’est pas le moment pour moi de quitter l’appartement, il ne réussira pas à me convaincre. Tu sais que j’ai au moins la tête aussi dure que vous deux.” Après tout, un Hartfield était un Hartfield. Vous aviez quelques traits de personnalité en commun quand même tous les trois. « Elle va bien.Très occupée par le boulot comme moi, avec un cas particulièrement prenant. Mais c’est la routine chez nous ça. » C’était Ruben. Un homme de peu de mots. Il ne se penchait pas bien longtemps sur sa vie intime, même avec toi. Tu savais que s’il avait besoin, il se confierait à toi, mais tu avais peur qu’il garde également des informations pour lui pour ne pas que tu t'inquiètes de lui. Mais c' était ton petit frère. Peu importe ce qu’il faisait, où il était, tu t’inquiétais toujours pour lui. “Je ne sais pas comment vous faites. Je ne fais qu’environ trente-cinq heures par semaine au boulot et je suis exténuée. Tu crois que ça serait pratique si je vous cuisinais quelques repas à mettre dans votre congélateur pour vos journées plus occupées ?” Tu adorais cuisiner, mais tu détestais manger. Donc depuis que tu habitais chez Rhett, tu pouvais mettre ton talent à contribution pour le nourrir. Et tu te disais que tant qu’à en faire seulement de petites portions, tu pourrais en faire des plus grosses et aller en porter à Nina et Ruben. Ils n’habitaient pas très loin en plus.
Puis, tu sentis ton frère te repousser tranquillement, tu détourna les yeux du fleuve pour le regarder. Il te regardais d’une manière perçante et tu savais ce que ce regard voulais dire. « Comment tu vas, toi ? » Tu savais qu’il ne se contenterait pas d’une réponse à la va-vite. Tu savais qu’il serait capable de comprendre que tu ne lui disais pas tout de toute manière. Tu devais être franche. Tu tiras un peu sur ton sweatshirt au niveau de ton ventre et de ton cou pour cacher un peu plus tes clavicules. C’était ridicule de faire ça. Il comprendrait probablement que tu essayais de cacher ton corps, mais en même temps, c’était devenu une habitude pour toi et tu ne te rendais même plus compte que tu le faisais. “Je suis un peu exténuée dernièrement. J’ai l’impression de m’inquiéter pour tout le monde en permanence. Et l’hiver commence à me peser. J’ai hâte que la chaleur revienne. Mais ça va. Tu sais que ça fait déjà un peu plus d’un an et demi que je travail pour Hassan ?” Tu étais heureuse de lui annoncer que tu avais réussi à garder ton boulot depuis plus d’un an. C’était ton record. Et bien que tu savais que son travail à lui était beaucoup plus utile pour la communauté, tu aimais le tien. Par contre, ce que tu ne lui disais pas, c’était que tu commençais tranquillement à désespérer de trouver un petit ami, un homme pour partager ta vie, que ton deuil de Jackson n’était pas encore fait, que tu repoussais une visite chez vos parents pour ne pas prendre le volant et que ton anorexie avait refait surface avec puissance.
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Il n’avait pas confiance dans les agissements et les promesses que pouvait bien leur faire Garrett, mais ce n’était pas nouveau: depuis qu’il avait fait sa première overdose, Ruben l’avait à l’heure et remettait toutes ses paroles en cause. Il connaissait ce comportement on ne pouvait plus attribué aux toxicomanes, l’addiction prenant le pas sur le reste, et savait que si l’envie devenait bien trop présente leur frère serait capable d’aller très loin pour satisfaire ses envies. Au moins, à travers toute cette histoire, il y avait l’un de ses frère et soeur qui arrivait un minimum à croire en lui; Ethel et Ruben composait un bon équilibre. La chose qu’il ne pouvait pas reprocher à leur ainé, en tous cas, c’était qu’il leur ouvrait la porte de son appartement à l’un comme à l’autre avec une facilité déconcertante. Ben clamait haut et fort à qui voulait l’entendre qu’il avait été égoïste et les avait abandonné lorsqu’ils étaient plus petits, mais au moins il répondait à l’appel désormais. « De toute manière, si je décide que ce n’est pas le moment pour moi de quitter l’appartement, il ne réussira pas à me convaincre. Tu sais que j’ai au moins la tête aussi dure que vous deux. » Il ajouta là un petit rire, secouant quelque peu son visage. « Je sais, je sais. » Il plissa un brin les yeux vers elle. « Et si tu lui fais des petits yeux de chien battu, Rhett te mettra pas à la porte. » Il avait beaucoup de défauts - la liste était si longue que Ben ne s’aventurait pas à la faire -, mais il n’était pas égoïste au point de mettre leur soeur à la rue si ce n’était pas ce qu’elle souhaitait.
« Je ne sais pas comment vous faites. Je ne fais qu’environ trente-cinq heures par semaine au boulot et je suis exténuée. Tu crois que ça serait pratique si je vous cuisinais quelques repas à mettre dans votre congélateur pour vos journées plus occupées ? » Il ria un instant. « Trente-cinq heures, j’aurais le temps de m’ennuyer. » Il arrivait à ce que ce soit le cas parfois lorsqu’il n’était pas au travail et qu’il arrivait à avoir un peu de temps chez lui, alors s’il travaillait moins. « Et on fatigue pour de vrai aussi, tu sais, t’en fais pas. » Il ajouta un petit clin d’oeil. « Et moi je dirais pas non à des petits plats tout prêt faits maison, je pense pas que Nina serait contre l’idée non plus. Donc si t’as du temps à perdre et que t’as pitié de nous… » En haussant les épaules, il étira un petit sourire amusé: il ne dirait jamais non à Ethel, de façon générale, mais si en plus cela pouvait permettre qu’elle se concentre de temps à autres sur l’idée de préparer à manger, il n’allait jamais refuser. Il savait que ce n’était pas aussi simple et que ce n’était pas simplement en préparant de bons petits plats que cela empêcherait les phases plus importantes dans son anorexie, mais il avait toujours espoir que cela puisse au moins la tenter plus qu’à d’autres moments de manger presque correctement.
C’était d’ailleurs dans cette direction là qu’allait sa question, lorsqu’il lui demandait comment elle allait - véritablement, pas simplement la réponse qu’elle aurait donné à monsieur tout le monde au détour d’un verre en fin de journée. Et rien qu’à la façon dont elle se mit à tirer, surement inconsciemment, sur les bouts de son pull il savait que la réponse n’allait être que partiellement adéquate avec la réalité. Déjà, il mordait l’intérieur de sa joue pour ne pas faire de commentaire. « Je suis un peu exténuée dernièrement. J’ai l’impression de m’inquiéter pour tout le monde en permanence. Et l’hiver commence à me peser. J’ai hâte que la chaleur revienne. Mais ça va. Tu sais que ça fait déjà un peu plus d’un an et demi que je travail pour Hassan ? » Oh, tant de choses à relever dans cette réponse et pourtant tant qui serait acceptées s’il le faisait réellement. Laissant son regard accrocher le visage de sa soeur un instant de silence et peut-être un supplémentaire, Ruben finit par étirer un petit sourire encourageant. « Je sais oui. » Parce-qu’il n’avait peut-être pas été des plus présents ces derniers temps, mais il y avait certaines choses qu’il ne perdait pas de vue. « Et j’en déduis que ça te plait assez de bosser pour lui pour que ça fasse autant de temps que ça roule. » En vrai, il se trouvait ravi que ce soit le cas - il connaissait particulièrement bien le curriculum vitae de la jeune femme pour parler en connaissance de cause. « Pour le reste… » Ruben rentrait Ruben - mais il avait décidé de ne pas jouer au plus imbécile des frères aujourd’hui; il se contenta de sortir son téléphone portable pour taper sur l’écran. Quelques instants plus tard, Ethel avait une ordonnance dans sa boite mail. « Je t’ai prescrit des vitamines pour le reste de l’hiver et pour passer le printemps, s’il te plait prends les ? » Un sourcil haussé dans sa direction et un regard inquiet: il ne pousserait pas plus loin. Pas aujourd’hui en tous cas - elle en avait assez vu de toutes les couleurs.
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Ethel Hartfield
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« Et si tu lui fais des petits yeux de chien battu, Rhett te mettra pas à la porte. » Pour appuyer ses paroles, tu fis tes petits yeux de chien battu dont il parlait. Rhett était plus difficile à manipuler que Ruben, mais tu savais ses points faibles. Et effectivement, tu savais qu’il n’oserait pas te mettre à la porte d’autant plus que c’était lui qui t’avait demandé de venir habiter avec lui. Tu savais aussi qu’il appréciait ce que tu faisais dans le loft pour compenser ta présence. Tu aimais faire le ménage et tu te mettais souvent à contribution pour que son appartement reste propre. Tu lui faisais aussi souvent des petits plats pour être sûr qu’il mange de bon repas maison.
« Et on fatigue pour de vrai aussi, tu sais, t’en fais pas. Et moi je dirais pas non à des petits plats tout prêt faits maison, je pense pas que Nina serait contre l’idée non plus. Donc si t’as du temps à perdre et que t’as pitié de nous… » Tu savais que c’était un peu contradictoire pour toi de cuisiner avec ton trouble alimentaire, mais tu adorais le faire. Tu goûtais souvent par petite bouchée à tes plats donc ça augmentait un peu tes apports caloriques. Ce n’était vraiment pas assez pour dire que ça remplaçait un repas, mais tu te disais que c’était mieux que rien. Donc cuisiner pour Ruben et Nina te ferait plaisir. Tu aimais l’idée de savoir qu’ils n’avaient pas à s’occuper de se faire eux même des repas et qu’ils aient des plats déjà portionnés pour manger sur le pouce à l’hôpital. “ Je vais seulement augmenter les portions de ce que je cuisine déjà. Ça ne sera pas plus long pour moi et je vais pouvoir vous en apporter régulièrement. “ Tu avais déjà quelques idées qui te venaient en tête de repas que tu savais qui se congelait bien. Tu savais que ce n’était pas tous les aliments qui étaient bon un coup réchauffé donc tu allais faire attention que ce que tu cuisine reste de qualité.
Puis Ruben te demanda comment tu allais. Tu aurais dû te douter que la conversation se dirigerait vers ce sujet de conversation. Tu savais qu’il voulait savoir si tu mangeais, mais tu ne te sentais pas prête à lui en parler. Tu n’étais pas capable de dire à voix haute que tes anciens démons étaient revenus et que ta gorge se nouait lorsque venait le temps d’avaler de la nourriture. C’était difficile pour toi de lui avouer ta faiblesse alors qu’il était si fort et qu’il semblait ne pas avoir rien pour qui pouvait l’ébranler. Et tu savais que ta réponse ne lui plaisait pas. Tu ne lui mentais pas, tu ne faisais qu’éviter le sujet. Tu ne voulais pas en parler alors que d’autres gens pouvaient t’entendre. Et tu savais que ce n’était qu’une raison de plus que tu te trouvais. « Et j’en déduis que ça te plait assez de bosser pour lui pour que ça fasse autant de temps que ça roule. » Tu acquiesça. Tu appréciais vraiment ton travail avec Hassan. Tu ne connaissais pas en toi ton côté organisé avant de commencer et finalement, tu te surprends à être capable de jongler avec des horaires compliqués avec brio. “ Je m’entends super bien avec lui, il est accommodant et oui, j’aime beaucoup les tâches que j’ai à effectuer. “ Lorsque ton frère attrapa son téléphone, tu sentit un petit coup de stress monter. Tu ne savais pas trop ce qu’il allait faire et tu avais peur qu’il te sorte le nom d’un thérapeute ou quelque chose dans le genre alors que tu n’avais vraiment pas envie d’aller consulté qui que ce soit. « Je t’ai prescrit des vitamines pour le reste de l’hiver et pour passer le printemps, s’il te plait prends les ? » Tu te sentis soulagé. Ce n’était rien prendre des vitamines pour toi. En fait, tu te fis même la réflexion que c’était plutôt pratique puisque tu n’aurais pas à avoir peur de tomber en carence vu que tu ne mangeais pas beaucoup ces temps-ci. Tu fis signe que oui avec ta tête. “ Oui, je te promets d’aller les chercher et de les prendre assidûment. Merci. “ Ton regard se dirigea vers l’eau. Le fleuve était magnifique et te calmait. Par contre, tu devais reprendre le cour de ta vie pour la journée. Tu ne pouvais pas passer le restant de la journée assise là, à regarder les vagues. “ Merci vraiment d’être venu à ma rescousse. Je dois te laisser maintenant, j’ai quelques courses à faire pour Hassan justement. On essaie de se revoir bientôt. “ Tu déposa un petit bisou sur sa joue, attrapa tes choses et partit à pied pour rejoindre rapidement le centre-ville et aller faire les tâches que tu avais à faire pour ton boulot.
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.