| (Midas & Amos #4) I CANNOT BELIEVE IT'S TRUE |
| ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Mer 14 Fév - 11:29 | |
| I CANNOT BELIEVE IT'S TRUE Midas Sterling & @Amos Taylor ☆ crédit/hillsidepacks
« C’est vrai… Je plonge peu. Pourtant, il m’a semblé que Raelyn avait apprécié et c’est pas comme si j’avais pas tout ce qu’il fallait. » J’ai l’impression de mettre le doigts sur quelque chose puisqu’après m’avoir donné la réponse, mon cousin semble étrangement pensif. Certainement s’interroge-t-il sur le pourquoi, peut-être réalise-t-il seulement grâce à mes questions qu’il a cessé de plonger progressivement sans s’en rendre vraiment compte. Je ne le juge toutefois pas trop sévèrement : un sevrage, je suppose que cela demande beaucoup de temps et encore plus d’énergie. Peut-être a-t-il dirigé toute la sienne dans cette direction au détriment de ses passions, et de qui sait combien de choses d’autres. Le principal dans cette histoire, c’est que son couple ne semble pas avoir fait parties du lot ; c’est tout ce qui compte, non ? Je ne vois que les choses simples, la plupart du temps. « Je crois à toutes mes promesses. Mais, quand il est question de réfléchir complètement différent par rapport à ce qu’on est, parfois, on se loupe. Les femmes et leur besoin d’indépendance, je découvre. » Sarah n’était pas comme Raelyn, Sarah n'était pas comme Jo et elle n’est réellement comme aucune des femmes que j’ai pu fréquenter. L’ex-femme d’Amos me semble parfois appartenir à une autre génération ; elle a bien plus en commun avec nos mères qu’avec celles qui partagent nos vis respectives. Je ne juge pas mon cousin. Je ne lui dis même pas que, lorsqu’il est question de promesses, c’est de toutes ses forces qu’il faut essayer. Ce serait me vendre comme plus blanc que je ne le suis, je suis moi-même loin d’être un parfait modèle d’honnêteté. « Mais, J’aime ça chez elle. J’aime qu’elle n’ait pas besoin de moi ou pas comme la société l’entend en tout cas. » - « J’aimerais que Jo ait un peu plus besoin de moi, de temps en temps. » Mais de temps en temps seulement. La plupart du temps, j’aime sa fougue autant que j’aime son répondant. C’est de son foutu caractère dont je me passerais bien, de l’agressivité qui est souvent sa première réponse face à n’importe quelle situation. « Non, ce n’est pas tout à fait vrai. » Je cherche une meilleure formulation. Il n’est pas question d’égoïsme, Jo ne l’est pas même quand elle veut faire croire au monde entier qu’elle n’a pas grand-chose à offrir. « J’aimerais qu’elle apprenne à être plus nuancée et un peu moins montée sur des ressorts. » Pourquoi faut-il toujours que je tombe sous le charme de femmes qui n’ont pas la douceur et le bénéfice du doute en premier réflexe ? Concernant Jo, il s’agit de bien plus que d’un béguin.
« Tu veux que je te dise ? Je crois que tu ne devrais pas te prendre la tête. » Pourtant, je ne peux pas m’empêcher de me poser la question. De me demander si je suis tout ce que Jo cherche chez un homme. Je ne suis pas vindicatif. Je suis parfois soupe au lait, mais face à elle je perdrait haut la main ce concours là aussi. Je suis compréhensif et patient. Ne risque-t-elle pas de s’ennuyer ? A-t-elle au contraire besoin d’un homme à écraser ? Ce n’est pas ce que je veux devenir, mais au tout début d’une relation dont les deux parties ont des personnalités si éloignées, ces questions là se posent naturellement. « Ça dépend de notre tempérament, de nos expériences et d’elles, aussi. De ce qu’elles cherchent… Jo et Raelyn ont l’air d’avoir toutes les deux une sacrée personnalité, mais c’est ce que nous vivons qui nous façonnent. Qui aurait pu imaginer que le mec tranquille, marié à dix-huit piges, t’aurait balancé qu’il ne recule jamais devant un conflit ? » Je laisse un rire m’échapper alors qu’il mentionne à nouveau ce fait là et, une fois de plus, je peine à le comprendre puisqu’il s’agit d’un point sur lequel nous ne pourrions pas être plus différent. « Elle te dit quoi, elle ? Et tu en penses quoi, toi » - « Elle m’en dit trop rien puisque je ne pose pas de question. » Mais après tout, n’est-ce pas normal au début d’une relation ? « J’ai l’impression de l’avoir toujours connue, mais le fait est qu’on est pas ensemble depuis assez longtemps pour s’être posés ce genre de question. » A savoir, qu’attendons-nous l’un de l’autre.
« Vous ne risqueriez pas grand-chose avec nous. Tu pourras rester son vilain petit secret, mais je n’insisterai pas… » Et je l’en remercie d’un hochement de tête, conscient que je ne suis pas prêt à une présentation plus officielle de mon couple à ma famille, je n’ai jamais aimé tout le cérémonial autour de ça. « Elle connaît Olive ou elle s’entend avec Olive ? » - « La réponse est pas si facile. » Et du reste, la question m’amuse. Il ne connait pas la chanteuse, mais nul doute que grâce au portrait que j’en fait, il doit se douter que ma sœur et ma nouvelle compagne sont radicalement opposées. « Oli la connaît depuis ma première émission et elles avaient bien accroché à l’époque. Elles ont gardé contact pendant toutes ces années, contrairement à nous mais… » Mais quoi ? Jo est Jo ? « Je crois qu’elles ont eu un différend y’a pas si longtemps. Je me garde bien de m’en mêler. » Encore une fois, parce que cela pue le piège à plein nez et que je suis assez malin pour me tenir à l’écart de leur conflit sans même savoir dans quoi il prend réellement sa source. « Pour Posy, c’est normal. C’est une toute petite fille. Elle a une maman qui l’aime et j’imagine que ça ne doit pas être évident de trouver sa place dans ce genre de situation. » - « Elle est jalouse de Harls. » De mon ex, qui a le droit à un surnom autant qu’à une place dans ma famille et ce sera toujours le cas, quoi que la brune en dise. « Ce qui n’a pas le moindre sens. Ça fait des années qu’il se passe plus rien entre nous. C’est à peine s’il s’est vraiment déjà passé quelque chose. » Aux yeux des conventions, il s’est passé beaucoup puisqu’une enfant est née. Mais dans les faits, nous n’étions même plus ensemble au moment de sa naissance et l’idée de ne pas la garder n’a jamais constitué un choix ni même une question. Harleen était contre, et moi je n’avais pas mon mot à dire sur les décisions qu’elle a prises concernant son corps. Je n’ai pas vraiment eu le choix que d’assumer non plus : je suis tombé raide dingue de ma fille au moment où j’ai posé mes yeux sur elle pour la première fois.
« Pour ce qui est du reste des tiens, je suis pas en train de te parler d’un repas familial avec père et mère, porcelaine et rond de serviette à nos noms. Je te parle d’une soirée dans un casino… pas de quoi fouetter un chat. Et Micah n’y est pas en général. Elle n’aura pas à fréquenter un autre enfant. » Mon cousin revient à la charge, et je suis mal à l’aise à l’idée que, finalement, il décide d’insister. Je joue alors avec la couture de mon t-shirt, avant de croiser mes jambes pour que rien ne paraisse. « Tiens-moi au courant si tu te sens lui en toucher deux mots. J’en ferai de même de mon côté. » - « Je le ferai. Juste, pas tout de suite. » Sortir en public lorsque l’on est moi, je doute qu’Amos réalise ce que cela implique. Le casino est un lieu public, un lieu où nous pourrions être aperçus et photographiés à notre insu et sans même nous en rendre compte. « J’ai pas envie de t’imposer toute la logistique qui va avec, en plus de ça. » Des agents de sécurités, des consignes données pour nous laisser tranquilles. Même en faisant signer des accords de confidentialité au personnel, l’information fuiterait quelque part. « Mais en public… C’est compliqué. Et j’ai pas envie de devoir me retenir d’être vraiment avec elle quand je vous la présenterai. » M’empêcher de pouvoir glisser une main dans son dos, un baiser sur sa tempe ou toute autre marque d’affection.
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| | | | (#)Lun 26 Fév - 16:11 | |
| I CANNOT BELIEVE IT'S TRUE
Elle m’interpelle, la remarque de Midas et, pourtant, je balaie d’un revers invisible de la main toute introspection. Je n’ai pas envie d’apprendre de mes tergiversations qu’après avoir repris la plongée, je m’en suis éloigné parce que je ne me suis pas jugé assez fort pour être capable de remonter à la surface sans être submergé par une vague d’angoisse, celle d’échouer, de ne pas être à la hauteur des attentes de mon épouse, de ne pas être le père idéal pour ma fille, de lui ou de leur causer plus de mal que de bien. Ai-je envie d’y songer ? De l’envisager sérieusement ? De réaliser que j’aurais pu choisir la quiétude et le silence des abysses aux tumultes et aux difficultés de ma vie sur la terre ferme ? De saisir que j’aurais pu être le pleutre qui refuse d’embrasser ma condition, mais par courage justement, le courage de libérer les prunelles de mes yeux, de les préserver des épreuves qui auraient nui à leur bonheur. Cela étant, n’est-ce pas derrière moi aujourd’hui ? Serait-ce fou de m’imaginer enfiler une combinaison, de m’armer d’une bouteille et de repartir en quête des océans. Peut-être pourrais-je renouer avec ma passion pour d’autres raisons que le plaisir. Peut-être pourrais-je l’accompagner d’une cause plus noble pour racheter un morceau de ma conscience. Je n’ai pas tant de problème avec ce que je trempe dans des affaires illégales depuis mon arrivée à Brisbane. A cette époque, la fin justifiait les moyens et, aujourd’hui, je suis porté par l’amour et l’idéalisation de la mère de Micah. En revanche, je déteste mentir à mon cousin. Je n’aime pas qu’il s’imagine que tout l’argent rapporté par le casino est entièrement propre. Une partie l’est, c’est évident. Une autre est surtout lavée de tout soupçon parce qu’offrir un cadre sécurisé à mon épouse relevait de l’ordre de mes priorités. Je compterais mille raisons pour justifier cette obsession, mais ce n’est pas la question. Alors, je m’en reviens doucement à mon cousin qui m’observe religieusement. Il a eu la décence de ne pas interrompre le fil de mes pensées et je lui adresse un sourire avant de me pencher sur son histoire d’amour. D’une certaine manière, je la trouve intéressante pour ce qu’elle traduit en passion. D’une autre, quoique je n’envie pas la simplicité dont ses protagonistes semblent avoir besoin, je n’observe pas la situation d’un très bon œil. Est-ce parce que je n’aime pas qu’elle exige qu’ils se cachent ? Est-ce parce que j’ai l’impression que Jo tient systématiquement les rênes et qu’elle ne les confie jamais à Midas ? Est-ce plutôt parce que j’aimerais préserver mon cousin de tous maux ? De tout chagrin d’amour ? De la souffrance des chagrins d’amour comme s’il n’en avait jamais rencontré auparavant ? Me connaissant, et parce que je suis plus intelligent que ces cons de bien-pensant jugeant uniquement sur des bribes d’informations, je me soupçonne d’être plus précautionneux que rationnel. «Tu ne la changeras pas. Ce que tu peux faire, c’est l’accompagner à être ce qu’elle est, l’accepter comme ça, pour ne pas prendre le risque de moins l’aimer parce que tu l’aurais changée.» ai-je expliqué, inutilement, car Midas est un homme. Il sait tout ça. Il n’a rien de l’adolescent pour lequel nous ne souhaitons que des relations fructueuses, heureuses, sans risque et sans péril ? «Mais j’insiste, il ne faut pas t’oublier. Il faut pas tirer sur le ressort, si tu vois ce que je veux dire.»Mon trop-plein de bienveillance et d’affection m’arrache un nouveau sourire et motive ma tentative de les avoir un soir pour une partie de poker dans l’un des salons privés du casino.
Une autre pensée me traverse également l’esprit : suis-je moi aussi dans l’abnégation ? Dans ce dévouement tel que j’oublie mes besoins au profit de ceux de ma complice ? Est-ce normal que je sois incapable de trouver réponse à cette question ? Que ma seule certitude, c’est que je suis prêt à tous les sacrifices pour elle ? Est-ce bon d’aimer autant ? J’ai longtemps estimé que l’on n’adore jamais trop, mais si je redoute que cette relation n’explose au visage de mon protégé, dois-je craindre qu’elle soit aussi une grenade dégoupillée entre les miennes ? «N’importe qui serait jalouse de Harls, vous avez un enfant ensemble, ça lui donne un statut particulier. En ça, je ne peux que te conseiller d’éviter les Harls, les manifestations de souvenirs et l’indulgence à tout va… où tu ne les auras jamais les réponses à tes questions au sujet de ce que vous êtes.» Elle se méfiera : n’ai-je pas été jaloux d’un mort, moi ? «Et t’éviter de dire devant Jo que sa réaction n’a pas le moindre sens. Elle en a parce qu’elle a l’air passionnée. Très.» Trop. A l’image des artistes, comme la décrirait certainement l’imaginaire collectif. Au regard de ce que j’apprends, je ne suis davantage avancé sur ce qu’il convient de penser du refus de Midas : ils ont des problèmes de fond à régler avant de se dévoiler… mais, qu’en sera-t-il par rapport au monde ? Qu’en sera-t-il par rapport à la carrière de la chanteuse ? Je ne mentirai pas : je suis inquiet. Somme toute, je le dissimule avec ce stoïcisme raréfié au contact de Raelyn, mais qui ne disparaîtra jamais vraiment. J’y ai pensé : on ne se transforme pas. On bonifie, mais notre nature profonde demeure. «Ne te sers pas de moi comme excuse.» ai-je plaisanté, me levant du canapé. Une œillade sur ma montre m’a confirmé qu’il convenait de prendre congé. «Garde celle qu’en effet, ça n’aurait rien d’amusant d’avoir à se cacher devant un autre couple… même si personne ne pourrait vous voir. » ai-je conclu par un clin d’oeil avant de le saluer d’une étreinte et d’ajouter ces quelques mots : «J’entends. Je ne juge pas. Je pense même que je respecte. Mais, fais attention à toi, tu veux ? »
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