| (mine #19) i didn't see the news 'cause we were somewhere else |
| ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10983 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mar 8 Aoû 2023 - 19:25 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else @Midas Sterling ☆ crédit/harley
Si l’inquiétude de Jo ne s’était pas manifestée au beau milieu de la nuit, si elle n’avait pas eu besoin d’être réconfortée comme la fois où elle avait passé la nuit chez lui, peut-être qu’elle n’aurait même pas osé proposer à Midas de la rejoindre à Adelaide Hills. Difficile de le savoir, et puis franchement, ça n’avait plus tellement d’importance puisque, comme promis, il n’avait pas mis plus de 48 heures à traverser le pays pour venir voir de ses propres yeux qu’elle se débrouillait bien à la campagne. Certainement pas avec autant d’enthousiasme que la fermière lambda, mais l’intérêt de cette retraite presque loin de tout, ce n’était pas qu’elle finisse par vouloir devenir éleveuse de chèvres non plus, alors c’était sûrement une bonne chose qu’elle reste un tantinet elle-même "Vous sentez pas obligés de rentrer avec quelqu’un." Le ricanement qu’elle entendit en suivant de près sa brigade de musiciens qui, après le dîner préparé par l’un d’eux et qu'ils avaient pris dans le froid relatif de l'allée caillouteuse de la ferme, avaient décidé de prendre un quartier-libre, il voulait sûrement dire un tas de choses, mais surtout hypocrite quand on savait que la seule qui se permettait d’inviter quelqu’un pour l’heure, ce n’était personne d’autre qu’elle. Elle contra la rebuffade de l’un deux en le poussant sans ménagement sur le pas de la porte avec le genre de sourire faussement charmant qui la rendait limite adorable, mais pas trop non plus "Ou de rentrer tout court d’ailleurs." La lourde porte se referma quand elle la poussa du bout des doigts avant même qu’il puisse ajouter quelque chose de son côté. Si Jo avait été proche de ses frères, c’était le genre d’échange qu’elle aurait eu avec eux. Non qu’elle essayait de compenser quoi que ce soit, mais plus d’un mois passé confinée avec son équipe, et la complicité était bien installée. C’était plutôt bon signe, même si sur l’instant, ce n’était même pas dans le top cinq de ses préoccupations immédiates, se détournant du long corridor de la vieille annexe retapée en maison d'hôtes, pièce maîtresse de la ferme qui avait été réquisitionnée par le label pour maximiser les chances de leur nouvelle pouliche de recentrer son énergie histoire d’en faire des bonnes chansons.
Remontant la manche retombée de son épais gilet sur son épaule, elle retourna dans la cuisine où elle avait laissé Midas le temps d’escorter ses musiciens vers la sortie et annonça son retour en lui disant dans un murmure exagéré "Je leur ai donné la permission de minuit." La permission de rien du tout, elle était persuadée qu’aucun d’eux ne rentreraient avant l’aube dans tous les cas, même si certains d’entre eux étaient mariés et pères de famille. Elle s’en cognait de qui ils se tapaient, ce n’était pas ses oignons, et quand bien même elle ne disait jamais non à un ou deux ragots, éternelle fouineuse qui avait passé son adolescence à lire des magazines de filles, elle préférait ne pas savoir grand-chose de la vie de ceux avec qui elle travaillait ; manière pour elle de compartimenter, elle était douée pour ça. Du moins, c’était ce qu’elle aimait se raconter vu qu’elle avait passé trop de soirées avec Hicham à parler de la carrière qu’il avait construite, s’abreuvant de ses anecdotes, pour ne pas être capable d’admettre qu’elle le connaissait plutôt bien maintenant.
Contournant l’îlot central pour retrouver la tasse de thé qu’elle avait abandonné quelques minutes plus tôt, elle l’entoura d’une main, l’autre trouvant son propre visage, pendant qu’elle se plaçait en opposition à Midas. Lui faisant face, mais à distance de l’îlot sur lequel elle s’accouda, elle appuya sa joue contre sa paume ouverte pour l’observer une poignée de secondes en mâchouillant brièvement l’ongle de son petit doigt. Les paupières plissées d’abord, un sourire graduel fendit son visage quand elle lui confia en inclinant la tête sur le côté "Je comprends pourquoi t’aimes ce genre de délire." À défaut d’un meilleur terme, c’est celui qu’elle choisit pour reprendre leur conversation laissée en suspens avant le dîner ; quand elle lui avait fait visiter l’endroit, vu son regard briller face à l’environnement dans lequel il avait mis les pieds, s’être dit qu’il lui avait beaucoup trop manqué — avant de récolter les petites moqueries pas bien méchantes de Jo qui continua, se défendant presque lorsqu’elle se redressa "Je dis pas que passer mon temps à me geler les fesses dans une ferme loin de tout serait un mode de vie qui me conviendrait sur la durée. Je me lasse vite." Elle haussa les épaules, les laissant surélevées le temps de conclure, ses yeux aimantés par les siens "Mais je comprends pourquoi c’en est un pour toi." Se penchant de nouveau au bord du comptoir, elle ajouta l’air de rien, portant déjà sa tasse à ses lèvres pour dissimuler un sourire en coin "Si tu m’invites à passer du temps dans le ranch de ton oncle et ta tante, je dirais sûrement pas non." Le nez légèrement froncé, elle la prit enfin sa gorgée de thé, et ce tout en riant doucement, confrontée au culot qu’elle avait de s’inviter là où elle n’avait pas sa place compte tenu des circonstances. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 18/08/2022 | (#)Mer 9 Aoû 2023 - 3:21 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveiagifs
Pendant le dîner, j’ai été à la fois assez en retrait pour laisser Jo briller autant qu’elle le mérite et le fais naturellement, et également assez bavard pour laisser de la place à l’homme sociable et charmant que je suis en société. Ce n’est pas avec moi que l’on entretient des longues discussions à bâtons rompus concernant la politique étrangère australienne, notre implication militaire dans des conflits au travers le monde ou encore du cours de la bourse, mais lorsqu’il est question de musique, je suis assez passionné pour me fondre dans un groupe sans le moindre problème. Jo a monopolisé l’attention sans pour autant pouvoir être qualifiée d’égocentrique, mais simplement parce que tous les regards sont naturellement attirés par elle dès lors qu’elle se trouve dans une pièce. Elle est passionnante, vivante, et même si je sais que je devrais donner le change lorsque nous ne sommes pas seuls, je n’ai pas pu m’empêcher de la couver d’un regard presque amoureux – ou en tout cas avec les yeux qui brillent – pendant la quasi-totalité du repas en compagnie de son équipe. Les gens penseront ce qu’ils penseront : je n’ai jamais tenu à ce que notre histoire reste un secret, c’est elle qui a dicté les règles et je les ai appliquées sans pour autant avoir l’impression que je sacrifiais quoi que ce soit puisque j’avais à cœur de faire les choses à son rythme.
Aujourd’hui, j’ignore où nous en sommes et quelles sont les règles du jeu. J’ai encore le goût de son baiser sur ses lèvres, et je peux fermer les yeux et sentir la chaleur de son corps au travers de ses vêtements lorsqu’elle s’est allongée contre moi et y est resté toute la nuit. Pour autant, personne n’a parlé de couple, de recommencer ou de nouveau départ. Personne n’a parlé de pardon ou de page qui se tourne. Elle m’a invité ici et j’y vois un pas en avant, mais j’ignore si elle partage mes envies et attentes, au fond. Je me suis contenté de monter dans un avion affrété uniquement pour moi sans poser de question et en imposant cette nouvelle contrainte à mes équipes qui s’affairent sur la préparation de mon album pour pouvoir le sortir avant la fin du mois de septembre – dernière limite à l’éligibilité pour la plus grosse des cérémonies de remise de récompenses. Cassandra possède les accès à mes réseaux sociaux et tout un tas de photos inédites de moi : elle peut teaser et promouvoir sans que je sois physiquement présent à Brisbane. Du reste, je n’ai pas l’intention de rester tout le mois et les derniers filages pourront attendre mon retour : du moins, c’est ce que j’ai décidé.
« Je leur ai donné la permission de minuit. » Après avoir raccompagné ses musiciens, Jo retrouve ses droits dans la cuisine et s’accoude sur l’ilot central, son corps tourné dans ma direction. « Je comprends pourquoi t’aimes ce genre de délire. » Elle parle de la vie à la ferme tout en l’expérimentant malgré tout dans le plus grand des luxes. Tout le monde est à ses petits soins, et le tout ressemble plus à une retraite pour se ressourcer – et au final dans son cas à elle c’en est une, mais pour créer – qu’à une expérience de vie simple. Bien sûr, je ne partage pas cette pensée avec elle : voir Jo évoluer dans un univers malgré tout proche du mien ravit mon cœur. « Je dis pas que passer mon temps à me geler les fesses dans une ferme loin de tout serait un mode de vie qui me conviendrait sur la durée. Je me lasse vite. Mais je comprends pourquoi c’en est un pour toi. » - « C’est tranquille ce genre d’endroit. J’ai pas besoin d’un poste de sécurité à l’entrée pour que personne ne me fasse chier. » Et ça vaut à mon sens tout l’or du monde. Je n’ai pas sauté le pas par peur d’être incapable de faire machine arrière à vrai dire, par crainte que ce genre de choix ne m’éloigne du monde de la musique et du show business définitivement. J’ai besoin d’y resté rattaché pour écrire et composer. « Et ça, je pourrais pas m’en lasser. » J’éclate de rire en secouant la tête, avant de sortir mon paquet de cigarette de la poche arrière de mon jean : je me suis vêtu simplement pour l’occasion. Je tire une cigarette du paquet, la gardant entre mes mains pour l’instant, comme le garçon respectueux des règles que je suis. « Si tu m’invites à passer du temps dans le ranch de ton oncle et ta tante, je dirais sûrement pas non. » Elle fronce le nez en riant et je la trouve adorable.
« On sort prendre l’air ? » Ce genre de délire ne se vit pas entre quatre murs. Je coince ma cigarette entre me doigts et ce n’est qu’une fois à l’extérieur, accoudé contre la balustrade de la terrasse de la maison d’hôte, que je lui réponds. « Tu voudrais que je t’invite à passer du temps au ranch familial ? » On m’a toujours dit que j’y était comme chez moi et j’ai donc toujours considéré que c’était le cas. En revanche, je peine à imaginer Jo trouver grâce aux yeux de Maggie Taylor, et ça n’a rien à voir avec la chanteuse, de toute évidence. Mais au moins, contrairement à mes parents, ma tante me considère comme un modèle de réussite, je sais que c’est ce qui a tendance à agacer le plus jeune de mes cousins. « Tu dirais pas non ou tu en as envie ? » J’arrache ma cigarette de mes lèvres, expire l’air empoisonné qu’elles contiennent, avant de tourner la tête dans sa direction. « Parce que c’est seulement à à peine plus d’une heure de Brisbane. C’est loin d’être infaisable. » Et moi, j’en aurais envie. Mais elle découvrirait quelque chose de plus rustique – bien que confortable et chaleureux – que sa retraite.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10983 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mer 9 Aoû 2023 - 19:10 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else @Midas Sterling ☆ crédit/harley
"Les chevaux se foutent de savoir qui est Midas Sterling." Pas comme le reste du monde dont elle faisait partie de toute évidence. Ça revenait souvent dans son discours au chanteur, le besoin de prendre de la distance, et ce n’était pas bien difficile de savoir pourquoi. Elle se souvenait de conversations qui mettaient en avant l’idée qu’elle soit plus faite pour ça qu’il ne l’était, et elle ignorait pour l’heure si ça se vérifiait. Sa pseudo-victoire restait récente, son album n’était pas encore enregistré, donc pas encore sorti, et ses apparitions publiques étaient faites selon une stratégie bien précise, celle d’en donner assez pour faire monter l’anticipation autour de ses projets. Elle avait bien eu une ou deux expériences craignos avec les paparazzis, c’était bien pour ça que son père lui collait au train depuis un moment maintenant, mais rien de l’ordre de ce que Midas avait l’habitude de gérer. Il était plus attaché à sa tranquillité qu’elle ne l’était, sûrement parce qu’il n’avait pas besoin d’être le centre de l’attention quand elle, c’était à peu près tout ce qui la faisait frissonner de plaisir. Dans une certaine mesure en tout cas, quand on commençait à s’intéresser de trop près à celle qu’elle était, à son entourage proche aussi, elle avait tendance à devenir plus secrète.
Lui donnant son assentiment par un hm accompagné d’un hochement de tête lorsqu’il lui proposa de sortir prendre l’air, elle laissa sa tasse de thé derrière elle. S’estimant assez réchauffée, elle coinça le bas de ses cheveux dans le col de son gilet pour conserver une source de chaleur tout de même. Dissimulant ses doigts sous le bord de ses manches trop longues, elle se dirigea vers l’extérieur qu’elle alluma grâce à l’interrupteur qu’elle plaça sur l’éclairage le moins cru des réglages proposés pour enfin venir poser ses reins sur la balustrade, juste à côté de Midas qui rebondissait sur l’auto-invitation qu’elle avait lancé un instant plus tôt.
Elle passa vite sur son envie de le mettre en garde pour la énième fois des ravages de la cigarette sur sa voix, et focalisa son regard un instant de trop sur le brin de tabac qu’elle voyait sur sa lèvre inférieure pour l’y chasser une seconde après avec la pulpe de son pouce en lui répondant dans un demi-sourire, ses yeux remontant dans les siens "J’ai envie de passer du temps avec toi, tu pourrais même me proposer de faire un trip dans une yourte pour m’apprendre à faire chanter le bol tibétain, que je dirais sûrement oui aussi." Elle n’était pas gênée de l’avouer malgré le petit rire qu’elle laissa filer en resserrant le devant de son gilet sur son abdomen, ses bras se croisant dessus pour le maintenir en place et protéger sa peau exposée par le décolleté de sa robe. Ça continuait de placer le curseur sur un entre-deux un peu flou depuis la fois où elle s’était rendu sur sa propriété, c’est pour ça qu’elle ajouta "Je pense beaucoup à ce qui se passera bientôt quand ton album sortira, quand je rentrerai en studio pour enregistrer le mien et que tout s’enchaînera sans qu’on puisse plus vraiment se voir comme ça a été le cas toute cette année." Pas les derniers mois, mais ils s’étaient vus quand même deux ou trois fois. Chaque fois s’étant terminée plus douloureusement que la précédente, il ne lui en voudrait pas de ne pas le préciser.
L’ambiance était paisible, elle n’avait pas envie que ça change maintenant "Je veux qu’on profite des derniers temps plus calmes pour je sais pas, prendre une respiration avant d’être obligés de la retenir jusqu’à ce que tu partes en tournée, que je commence ma promo et que je vienne marcher sur tes plates-bandes parce que je vais pas te laisser une seule chance de rester l’enfant-chéri de l’Australie." Evidemment, il fallait qu’elle termine par une démonstration timide d’orgueil qui perdit certainement un peu de sa superbe quand elle ajouta, le bout de sa langue venant creuser une dent du fond avant ça "Je crois que ça m’angoisse un peu." Comme beaucoup trop de choses, mais c’était un choix de dire qu’elle croyait et que ce n’était qu’un peu à ce moment-là., Sentant quelque chose peser sur ses épaules, elle finit par les hausser en retrouvant un sourire qui, s’il n’était pas de façade, n’était franchement pas dépourvu de mélancolie non plus. Dans le même temps, elle toupilla sur elle même pour se mettre face à la balustrade qu’elle saisit avec ses mains pour se laisser pencher un avant le temps d’une courte seconde, ses pieds quittant et retrouvant le sol aussi vite "Alors ouais, à à peine une heure de Brisbane, ça reste possible à caler dans un emploi du temps." Et sa tête s’inclinant en arrière pour capter les yeux de Midas, elle compléta en se prenant un revers de conscience, s’apercevant au fond qu’elle lui donnait peut-être l’impression que c’était une obligation "Seulement si t’en as envie. C’est ton endroit, c’est pas obligé que ça devienne le mien." D’autant qu’ils n’avaient parlé de rien après le baiser passionné qu’ils avaient échangé ni après la nuit beaucoup plus sage qu’ils avaient passé tous les deux, alors il ne lui devait aucune faveur. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 18/08/2022 | (#)Lun 14 Aoû 2023 - 7:32 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveiagifs
Jo m’accompagne à l’extérieur, et sentir l’air sur mon visage m’apaise, comme c’est le cas à chaque fois que j’ai l’occasion de m’éloigner de la ville. Il y a quelque chose dans le parfum de la campagne qui a le pouvoir de vous donner l’impression que tous vos problèmes s’envolent d’un seul coup et si j’ai toujours su que j’étais particulièrement heureux dans ce genre d’environnement, je n’avais pas envisagé une seule seconde que Jo puisse elle aussi rechercher un peu de quiétude et de nature. L’éloignement auquel elle est contrainte en ce moment n’a pas l’air d’être une idée de sa part, pas plus qu’une décision, si bien que je suis surpris qu’elle envisage de retenter l’expérience à mes côtés et dans un cadre plus intimiste. Heureux, touché, mais surpris. « J’ai envie de passer du temps avec toi, tu pourrais même me proposer de faire un trip dans une yourte pour m’apprendre à faire chanter le bol tibétain, que je dirais sûrement oui aussi. » J’ignore si la brune se rend compte de la portée de sa déclaration. J’ignore même si elle l’a pensée comme telle mais quand on a la fierté de Joséphine Carter, ce genre de phrase en dit long. Elle dirait oui à tout ce que je pourrais proposer pour passer du temps avec lui, et mes oreilles rougissent de félicité. Doucement, je lui donne un coup d’épaule, tentant de garder son contrôle le frisson qui me parcourt lorsqu’elle caresse mes lèvres du bout des doigts. « J’ai envie de passer du temps avec toi aussi. » Et nous le passerons où elle le désire, mais de ma part à moi c’est bien moins percutant puisque c’est attendu : je suis un homme arrangeant. « Je pense beaucoup à ce qui se passera bientôt quand ton album sortira, quand je rentrerai en studio pour enregistrer le mien et que tout s’enchaînera sans qu’on puisse plus vraiment se voir comme ça a été le cas toute cette année. » - « Quand mon album sortira, je ferai toujours de la place pour toi. » Je n’ai jamais envisagé les choses autrement. Elle découvrira à ce moment là à quel point elle m’obsède : toutes les chansons parlent d’elle, de nous, ou de ce qui nous pourrions être dans des univers parallèles. Toutes ne sont qu’une façon différente d’exprimer la force de mes sentiments pour la chanteuse. « Je vais pas disparaître. Et je partirai pas en tournée avant l’année prochaine. » Je le lui ai déjà dit, et je tiens à le lui rappeler. « Si je suis à Sydney pour la promotion, et que tu me veux à Brisbane le soir, j’ai un jet, tu te rappelles ? » Et surtout, je ne lui dirai jamais non, pour quelque raison que ce soit. Que rien ne soit défini entre nous ne change rien à ce à quoi je suis prêt pour elle, parce que j’ai expérimenté ce que cela fait que de la perdre, et que je ne veux pas revivre ça. Sommes-nous à nouveau ensemble ? En a-t-elle envie ?
« Je veux qu’on profite des derniers temps plus calmes pour je sais pas, prendre une respiration avant d’être obligés de la retenir jusqu’à ce que tu partes en tournée, que je commence ma promo et que je vienne marcher sur tes plates-bandes parce que je vais pas te laisser une seule chance de rester l’enfant-chéri de l’Australie. » - « Je comprends. » Je ressens la même chose dans une moindre mesure et pour cause : je maîtrise un peu mieux qu’elle ce qui m’attend. Ces sept dernières années m’ont appris à jongler avec un emploi du temps qui me fait déplacer à travers le globe alors je ne m’inquiète pas, ou moins. Ce que je n’anticipe en revanche pas et qui risque de m’exploser à la gueule, c’est la frustration que je ressentirai si d’aventure je tombais de plusieurs marches dans son ordre de priorité et si elle, elle ne parvenait pas à me faire de temps. Elle n’ose pas dire non à son père, sa sécurité et ses équipes de façon générale, après tout. « Je crois que ça m’angoisse un peu. » Je hoche la tête, sentant la présence désagréable d’une boule dans ma gorge à mon tour, alors que je ne l’étais pas initialement, angoissé. « J’ai envie de croire que si on a envie de se voir, si ça compte pour nous, on s’en donnera les moyens. » Et si j’emploi un nous, je n’ai dans les faits pas réellement de doute en ce qui me concerne moi. Mais Jo va découvrir la célébrité, l’effervescence qui accompagne le début d’une carrière, qui suis-je pour lui reprocher d’avoir envie de le vivre de toute son âme et de saisir sa chance profiter de chaque moment ? « Je te promets de te faire du temps. » C’est étrange d’en être aux promesses quand nous n’avons pas mis de mot sur l’état actuel de notre relation. Quand nous n’avons pas reparlé du baiser, ni déterminé ce qu’il signifiait pour nous deux. Je sais ce que je veux moi, mais Elle ?
« Alors ouais, à à peine une heure de Brisbane, ça reste possible à caler dans un emploi du temps. » Je crois qu’en ce qui concerne le mien, elle a compris que j’étais prêt à lui tordre le cou au moindre de ses caprices : n’ai-je pas parcouru la moitié du pays pour venir l’y retrouver simplement parce qu’elle m’a réclamé ? « Seulement si t’en as envie. C’est ton endroit, c’est pas obligé que ça devienne le mien. » - « J’en ai envie, c’est pas ça la question. » Et il n’y a pas besoin d’en avoir, à vrai dire. « Je voulais juste être certain que t’étais pas en train de te forcer pour moi ou parce que t’estimais que j’en ai besoin. T’es parfaite à mes yeux, que tu aimes la campagne et les grands espaces ou pas. » Je tourne la tête dans sa direction, ma cigarette abandonnée entre mes doigts au profit d’une conversation bien plus intéressante, d’un instant privilégié bien plus important à mes yeux. « Mais ma mère est une femme charmante à côté de sa sœur. Tu ne pourras pas dire que je t’ai pas prévenue. » J’esquisse un sourire amusé, toujours plus incliné dans sa direction. « Je t’imagine pas sur un cheval. » Une lueur amusée au fond de l’œil, je tente de me plier à l’exercice.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10983 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mar 15 Aoû 2023 - 0:31 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else @Midas Sterling ☆ crédit/harley
Capricieuse par nature, ce n’était pas une solution de l’encourager à manifester qu’on réponde à ses désirs. Pas de chance, Midas était du type à s’en ficher. Elle l’avait appris à ses dépends, et prétendre qu’elle n’en jouait pas de temps en temps, ce serait la croire plus vertueuse qu’elle ne l’était. Jo savait que si elle émettait la moindre angoisse de la séparation, il la rassurerait. C’était ironique, ils n’étaient plus ensemble depuis des mois, la séparation était déjà consommée, mais elle ne l’expliquait pas : elle revenait toujours vers lui d’une façon ou d’une autre. Elle l’écouta, s’abreuvant de ce qu’il lui disait pour soulager ses préoccupations, apaisée par la conviction qu’il y avait dans sa voix lorsqu’il lui dit qu’il lui ferait toujours une place. Ça lui faisait du bien de l’entendre "Et puis on aura une chanson à promouvoir. Je ferai partie de tes bagages à un moment donné." Leur chanson sera un événement, son label surfera sur la vague de l’intérêt qu’on leur portait. Elle laissa une expiration contrôlée lui échapper en plus d’un petit sourire, sa tête se tournant pour de bon vers lui quand il mentionna son jet "Tu m’encourages pas à te laisser tranquille en me rappelant ce genre de détails."
Cette fois, c’est un très léger rire qui fila pendant que ses yeux se posèrent sur le panorama de la ferme plongée dans la pénombre "On devait couper tout contact avant de commencer à retravailler ensemble, et on a échoué." Principalement parce que c’était elle qui avait soulevé cette idée à la con, que Midas l’avait rejetée à raison, et qu’une fois à LA, il lui avait trop manqué pour qu’elle ne saute pas sur l’occasion parfaite de le féliciter pour sa chanson. La tête inclinée en arrière, elle lui adressa une oeillade rieuse " Donc c’est pas difficile de conclure qu’on a envie de se voir et que ça compte beaucoup pour nous." Elle le dit avec amusement, mais sans aucune dérision. Redevenant sérieuse rapidement, elle marqua une pause avant de reprendre "Tu sais quand je m’imaginais vivre tout ça, t’étais toujours avec moi." D’un tour, elle se retourna de nouveau pour poser ses reins contre la balustrade, et s’immisça entre deux de ses mots pour lui donner les siens. C’était la promesse qu’il lui faisait qui appela la réflexion qu’elle gardait comme un secret et qu’elle se sentait enfin prête à partager avec lui. Elle tendit les bras en arrière, suivant la longueur de la balustrade sur laquelle elle était appuyée, et serra ses mains autour pour garder un semblant d’équilibre, se sentant vaciller de l’intérieur. Un soupir fit vibrer sa poitrine "J’ai réalisé que j’ai beaucoup compté sur toi pendant le tournage. Ça doit être à cause de ça que tu t’es senti forcé de rattraper le coup à propos du concours et de ta victoire." Elle avait eu matière à se remettre en question Jo. Elle s’était aperçu que sa propension à s’appuyer sur lui sans en avoir l’air, ça avait dû titiller le côté grand seigneur qu’il avait. Elle le regarda pour mieux continuer, son menton se posant nonchalamment sur sa propre épaule qui s’était découverte quand son gilet s’était rouvert. Elle se sentait vulnérable sur l’instant. Mais après avoir autant pleuré devant lui ces derniers mois, elle n’était plus à ça près franchement "Je suis désolée si je t’ai donné l’impression d’attendre de toi que tu m’ouvres la porte de la réussite. Je me rends pas toujours compte que je suis trop exigeante et que je fais peser trop de choses sur les épaules de mon entourage. C’est pas une excuse, mais si j’avais été moins moi t’aurais jamais mis ta carrière en danger pour que je récupère ce que j’ai perdu. J’aurais pas dû t’en vouloir comme ça, c’est en partie ma faute." Affrontant son regard sans flancher, elle se sentit soudainement trop fragile, et laissa finalement un froncement de sourcils déranger ses traits quand elle ajouta, roulant des yeux contre elle-même pour ne plus les exposer à ceux de Midas "Pourquoi ça sonne toujours mieux quand je me récite ce genre de trucs dans la tête. J’ai l’impression d’être super dramatique pour rien, c’est gênant."
Pas autant que ça puisqu’elle comprit, l’entendant reprendre à sa suite qu’ils avaient les mêmes craintes au fond. Sur des sujets différents certes, restait que c’était similaire sur la forme et que capable de le rassurer sur le fait qu’elle ne se forçait à rien quand il était concerné, elle lui dit sans hésiter "Tu crois que je suis capable de me forcer si j’en ai pas envie ?" Elle lui lança un regard par-dessous qui voulait dire Sterling, tu me connais mieux que ça avant de s’arrêter plus longuement sur la manière dont il dépeignait sa tante "C’est ta façon de me dire que je ferais bien d’avoir peur ? Qu’est-ce qu’elle risque de me faire exactement ?" Certainement rien de plus que ce que son père lui avait déjà fait. C’était sur ça qu’elle basait son barème personnel de choses à supporter. Elle remonta les manches de son gilet sur ses épaules, sentant un frisson dut à le température la parcourir "Je mettrais des sous-vêtements et j’aurais la main moins lourde sur l’eye-liner si y a que ça pour te rassurer." De là à lui demander s’il avait peur qu’elle lui fasse honte, il n’y avait qu’un pas qu’elle ne franchirait pas. Il avait beau la trouver parfaite, elle était bien loin de l’être.
Le suivant des yeux quand il s’inclina un peu plus sur elle, sa main glissa sur la balustrade pour l’approcher de la hanche de Midas la plus éloignée d’elle sans pour autant la poser dessus, ayant appris de ses erreurs. Elle s’accorda quand même à réduire l’espace qui les séparait en s’avançant plus près de lui, le bas de son dos toujours contre la balustrade "T’es vraiment en train de te foutre de moi là ?" En prétendant ne pas l’imaginer sur un cheval. Sa main resta à sa place, battant une mesure qui empêcha aux fourmillements au bout de ses doigts de lui rappeler qu’elle avait envie de le toucher. Jo s’obligea à ne pas dépasser une limite qu’il avait défini, mais elle ne baissa pas le regard pour autant quand elle poursuivit en étant autant amusée que lui, bien que plus malicieuse dans le sens premier du terme "Je comprends pas pourquoi. Tu sais que je suis bonne cavalière pourtant." Chassez le naturel, il revient au galop — sans jeu de mots. Tendre la perche à Jo c’était risquer l’allusion sexuelle complètement assumée, une qui faisait briller son regard, qu’elle laissa aimanté au sien, d’une lueur plus franche que tout à l’heure, sa vulnérabilité ayant laissé la place à l’espièglerie maintenant décelable dans le timbre de sa voix "Tu veux qu’on fasse ça demain ?" Et elle précisa dans une fausse précipitation, murmurant tout en plissant les yeux, mais en se retenant difficilement d’approcher son visage du sien, gardant à l’esprit que son côté provocateur était relativement la chose qu'il lui reprochait le plus d’habitude "Je parle de faire du cheval." Bien sûr Jo. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 18/08/2022 | (#)Sam 19 Aoû 2023 - 8:50 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveiagifs
« Et puis on aura une chanson à promouvoir. Je ferai partie de tes bagages à un moment donné. » Comme s’il y avait la moindre chance que j’y vois un inconvénient. Je lui ai déjà dit qu’elle était la bienvenue quelle que soit la date, quelle que soit la durée ou le pays dans lequel je me trouve. Si cela ne tenait qu’à moi, Jo assurerait ma première partie, mais je n’ai pas songé à lui proposer par peur de donner l’impression que je la réduis à ça, alors qu’elle mérite bien plus que ça. « Tu m’encourages pas à te laisser tranquille en me rappelant ce genre de détails. » Je laisse échapper un grognement amusé, avant de secouer la tête. « Parce que j’ai jamais eu envie que tu me laisses tranquille. » Au contraire, il s’agissait de son idée, une idée concernant laquelle je me suis exprimé clairement en défaveur. Je n’ai jamais eu envie de couper le contact, pas en mars après la final du Revival, pas après le festival, pas plus après son petit manège lors de ce fichu gala de charité. Jo a toujours été la seule à estimer que c’était nécessaire tandis que de mon côté, j’ai accepté et subi plus que désiré cet éloignement. « On devait couper tout contact avant de commencer à retravailler ensemble, et on a échoué. » A nouveau… On, c’était elle et elle uniquement. « Donc c’est pas difficile de conclure qu’on a envie de se voir et que ça compte beaucoup pour nous. » - « J’ai toujours eu envie de te voir Jo. » Couper le contact avec elle m’a paru effrayant toutes les fois où elle l’a présenté comme une solution pour parvenir à sortir de la tempête. « J’ai jamais voulu couper le contact, ni avant de retravailler ensemble, ni jamais. » Je ne l’affirme pas comme un reproche, mais avec un doux sourire sur les lèvres.
« Tu sais quand je m’imaginais vivre tout ça, t’étais toujours avec moi. » Je tourne la tête vers elle, évitant soigneusement de souffler le moindre air toxique dans sa direction, ma cigarette entre mes doigts et lui plus loin possible de la chanteuse. J’ignore ce qu’englobe exactement tout ça, mais je peux affirmer sans trop me tromper que moi aussi, je m’imaginais à ses côtés de façon bien plus récurrente et avec un autre genre de proximité. « C’est pas impossible. » Une main accrochée à la rambarde, je pivote mon buste dans sa direction. « Je veux dire, c’est encore le début pour toi. » Il lui reste un immense chemin à parcourir, un chemin le long duquel je voudrais l’accompagner. Les prochains mois ne seront qu’effervescence, épuisement, euphorie et création. « Si je pouvais revivre les premiers mois, la création de mon premier album, j’hésiterais pas une seule seconde. » Malgré les circonstances qui ont gâché ces instants pour moi, je dirais oui sans hésitation. « J’ai réalisé que j’ai beaucoup compté sur toi pendant le tournage. Ça doit être à cause de ça que tu t’es senti forcé de rattraper le coup à propos du concours et de ta victoire. » Je secoue la tête, refusant en bloc qu’elle prenne la moindre responsabilité dans cette histoire. Cependant, je n’ai pas le temps répondre et de réfuter qu’elle enchaîne si rapidement qu’elle avait certainement toutes ces choses sur le cœur depuis un moment. « Je suis désolée si je t’ai donné l’impression d’attendre de toi que tu m’ouvres la porte de la réussite. Je me rends pas toujours compte que je suis trop exigeante et que je fais peser trop de choses sur les épaules de mon entourage. C’est pas une excuse, mais si j’avais été moins moi t’aurais jamais mis ta carrière en danger pour que je récupère ce que j’ai perdu. J’aurais pas dû t’en vouloir comme ça, c’est en partie ma faute. » Exigeante, Jo l’est et, parfois, je me demande si je suis à la hauteur. Mais ça n’a jamais été l’origine de nos problèmes de communication, de mes mensonges ou machineries. « Pourquoi ça sonne toujours mieux quand je me récite ce genre de trucs dans la tête. J’ai l’impression d’être super dramatique pour rien, c’est gênant. » - « Je sais ce que ça te coute de me dire tout ça… » Parce qu’elle est fière et qu’il lui arrive peu souvent de se remettre en question, ou en tout cas d’admettre qu’elle le fait. Sans outrepasser mes droits, je m’autorise toutefois de poser une main sur sa joue que je caresse du bout des doigts. « Mais je peux pas te laisser sous-entendre que t’y es pour quelque chose là-dedans. Pas les mensonges, pas les magouilles de l’émission. » Elle n’est pas parfaite Jo, il est parfois compliqué d’arriver à l’approcher et de s’en sentir aimé parce qu’elle est sauvage, revêche, vindicative et rancunière. Mais elle a beau être toutes ces choses, ce n’est en rien ce qui m’a forcé la main. « J’ai pas fait ça parce que tu te reposais trop sur moi. » La preuve en est, j’avais passé ce marché avec la production avant même que l’émission commence. « Je l’ai pas non plus fait parce que tu m’as donné l’impression que je devais le faire si je voulais te récupérer, ou que c’était d’une quelconque façon ce que tu attendais de moi. » Elle m’a parfois blessé, mais elle n’y est pour rien là-dedans. « La culpabilité m’a rongé pendant des années. Le sentiment d’injustice aussi. Tu méritais pas ce qu’ils t’ont fait - » Je me répugne à dire ce qu’on t’a fait, même si je ne me suis pas révolté contre la production à l’époque. « - et c’est à cause de tout ça que j’ai pris mes décisions. Comme un grand, pas à cause de toi. » Je ne suis pas un menteur ou un beau parleur. Jamais je ne dirai à Jo qu’elle est dépourvue du moindre défaut, mais je n’ai pas de problème non plus lorsqu’il s’agit de pointer du doigts ses plus belles qualités, et l’intégrité et l’authenticité en font partie.
« Tu crois que je suis capable de me forcer si j’en ai pas envie ? » Je crois qu’elle est capable de faire des compromis, même si elle aime prétendre le contraire. Plutôt que de répondre, je la laisse venir à moi en laissant échapper un léger rire. « C’est ta façon de me dire que je ferais bien d’avoir peur ? Qu’est-ce qu’elle risque de me faire exactement ? » - « Te faire rien. Mais elle a la langue bien pendue. » Je suis bien placé pour le savoir puisqu’elle répète tout à sa sœur, ma mère, qui elle aussi aime bien trop diffuser des ragots pour son propre bien. « Mais elle a certainement donné tout ce qu’elle avait pour qualifier la nouvelle femme de mon cousin, ceci-dit. » J’ai entendu passer un certain nombre de noms d’oiseaux et la bonne nouvelle dans tout ça, c’est qu’à côté de sa belle-fille, Jo lui apparaîtra certainement comme une jeune femme bonne à marier. Le niveau n’est pas bien haut : elle n’est pas recouverte de tatouages de la tête aux pieds et dégage une classe à l’ancienne. « Je mettrais des sous-vêtements et j’aurais la main moins lourde sur l’eye-liner si y a que ça pour te rassurer. » - « T’as rien besoin de changer. » Et parce qu’à trop faire de déclaration, je sais qu’elles peuvent perdre de leur valeur – et ce même si je pense à chaque fois ce que je dis, je précise avec bien plus de sérieux. « Je suis sérieux Jo. T’as pas besoin de changer quoi que ce soit pour leur plaire. Tu me plais bien assez à moi. » Gêné par cet aveu, je détourne mon regard un instant, comptant sur la faible luminosité pour qu’elle ne réalise pas que mes joues ont pris une teinte rosée.
« T’es vraiment en train de te foutre de moi là ? » « J’oserai pas. Pour qui tu me prends ? »
Jo aime trop jouer pour son propre bien, et pour le mien par la même occasion mais en cet instant je ne songe pas à le lui reprocher. Au contraire, je tente déjà d’imaginer la scène, à mille lieux d’imaginer que la chanteuse est déjà en train d’imaginer une toute autre direction pour cette conversation. « Je comprends pas pourquoi. Tu sais que je suis bonne cavalière pourtant. » Je suis naïf et parfois long à la détente, mais je ne suis pas complètement idiot pour autant. L’allusion de Jo ne passe pas inaperçue, elle me ravit autant qu’elle me perturbe et pour cause : nous n’avons rien défini nous concernant. « Tu veux qu’on fasse ça demain ? » - « Je suis un peu perdu là. » Je la provoque presque, la défie de faire un pas de plus sur le chemin des sous-entendus parce que j’ai besoin de l’entendre, que les choses redeviennent comme avant et qu’elle nous donne une seconde chance. « Je parle de faire du cheval. » Afin de m’assurer qu’elle ne s’enflamme pas – non pas que je le craigne réellement, mais j’ai à cœur de faire les choses dans le bon ordre – je la devance en attrapant sa main dans la mienne. Un geste sage pour contrer une initiative de sa part qui pourrait l’être un peu moins. « Faire quoi demain Jo ? » Elle n’a pas besoin de me faire un dessin quant à son sous-entendu. C’est tout ce que cela pourrait impliquer qui a besoin d’être éclairci. « T’en es où ? » Dans sa démarche de pardon, dans sa vie personnelle aussi : je n’ai pas oublié qu’elle était accompagnée lorsqu’elle est partie à Los Angeles. « On en est où ? »
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10983 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Dim 20 Aoû 2023 - 5:30 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else @Midas Sterling ☆ crédit/harley
"Je sais, c’était mon idée." Elle baissa un peu la tête pour que Midas ne remarque pas sa gêne. Elle avait fait ce qu’elle avait pu, mais elle s’y était prise comme un manche. Elle aurait voulu être capable de faire les choses autrement, d’être plus ouverte à l’idée que tout le monde faisait des erreurs. Elle qui revendiquait les siennes, s’excusant rarement, elle avait tendance à se montrer moins tolérante avec celles des autres, c’était à ajouter à la somme des choses qui la rendait désagréable. Elle s’en remettrait, seulement ça l’emmerdait d’avoir été si inapte, de s’être sentie pas assez construite pour supporter ce qu’elle avait pris comme une trahison.
"C’est pas trop tard ?" Elle détestait avoir des craintes de gamine turbulente qu’on largue sur le bas-côté de la route en espérant qu’elle soit ramassée par des gens qui la supporteraient davantage "T’aurais pas tort de m’envoyer balader en me disant que j’ai raté ma chance." Il ne le ferait pas. Elle le connaissait, elle ne doutait pas un seul instant qu’il puisse être aussi mesquin avec elle. Elle eut un léger rire, là encore pour combler la gêne qu’elle ressentait sur l’instant "C’est bizarre, j’ai jamais été aussi entourée, je me suis jamais sentie aussi seule et incomprise non plus." C’était le résultat de cinq mois de proximité avec quelqu’un qui lui avait offert le ciel et ses étoiles sans la trouver déméritante. C’était aussi celui de cinq autres mois à prendre conscience qu’il n’y avait que ce quelqu’un avec qui elle pouvait parler de ce qu’elle vivait. Elle avait des options Jo, Midas restait pourtant la seule qui avait de la valeur à ses yeux "Ça me manque de plus avoir ton point de vue sur l’industrie. Même si t’es cynique parfois, t’es celui qui m’a donné le plus de bons conseils toute cette année." Ce n’était pas qu’une question de sentiments, de proximité physique, et de couple dans son ensemble. Jo voyait Midas pour ce qu'il était, et au-delà da carrière et de ses récompenses, il était un bon mentor.
Elle le vit secouer la tête lorsqu’elle se lança dans son petit laïus. Elle ne lui laissa pas le temps de l’interrompre, elle avait des choses sur le coeur et voulait se donner les moyens d’aller jusqu’au bout sans laisser quoi que ce soit interférer. Elle avait besoin de remettre de l’ordre dans sa façon de penser, de libérer sa rancoeur devenue absurde, et ce pour une chose simple qu’elle partagea avec lui quand sa main trouva sa joue "J’aurais fait la même chose. Pas de la même façon, t’es plus délicat que moi, et j’aurais pas réussi à garder le secret aussi longtemps, mais j’y ai réfléchi." Elle s’était rendu malade. Quiconque la connaissant un peu savait que les cinq derniers mois, elle n’avait pas été elle-même "Je me suis mise à ta place pour comprendre, et je sais que si les rôles avaient été inversés à l’époque, j’aurais fait la même chose que toi aujourd’hui." Elle aurait fait en sorte que son talent soit reconnu, elle aurait voulu réparer. Il lui dirait certainement que c’était se faire du mal de prendre la situation sous cet angle, mais elle voulait le libérer de la culpabilité qu’il lui avait déjà dit ressentir avant ce soir. Qu’il le fasse de nouveau, ça lui serra le coeur. Aucun d’eux n’était responsable, ils restaient des pions qu’on avait placé stratégiquement sur un échiquier grandeur nature. Ils étaient un peu trop humains pour ne pas trouver ça confortable sur la durée, c’était la seule conclusion sur laquelle elle était prête à défendre son honneur et celui de Midas. Elle n’osa pas lui rendre sa caresse, elle appuya simplement sa joue contre sa paume, sa chaleur et son odeur formant un tout qui restaura quelque chose en elle "Si toi tu veux pas que je me rende coupable de ce que t’as fait, moi je veux pas que tu regrettes de l’avoir fait, même si ça a brisé quelque chose entre nous pendant quelques temps." Ce n’était pas irréparable. Elle n’essayait pas de comprendre et de pardonner pour faire beau Jo "Ce que je veux te dire, c’est que j’ai mis du temps, mais j’ai en partie compris pourquoi tu l’avais fait." En partie parce qu’il venait de démonter sa théorie à propos du rôle qu’elle avait tenu sans le vouloir dans sa prise de décision.
"Je suis terrifiée." La discussion devint plus légère, le ton de Jo aussi. Inutile de dire qu’elle n’était pas terrifiée, le prouvait le sourire insolent qui remonta sa pommette quand elle mima un frisson d’effroi face à la langue bien pendue de la tante de Midas "Ce sera pas la première fois qu’on me traitera de mauvaise graine." Les mamans et les tantes étaient les pires critiques. Elles tentaient de mettre de la dentelle autour de leurs opinions, mais Jo savait quel genre de vilaines pensées elle amenait. Ça ne la dérangeait pas, elle avait arrêté d’en avoir quelque chose à foutre quand elle s’était barrée de chez elle sans regret "Fais-moi penser à lui envoyer des fleurs pour la remercier d’avoir pris une balle pour l’équipe bien avant que je débarque." Elle ne le ferait pas, mais ça la fit sourire. Il parlait trop souvent de son cousin et de son épouse pour ne pas croire que ça ne le rassurait pas de compter sur leur expérience pour anticiper la sienne. En comparaison, il était tranquille avec Ava qui lui mangeait déjà dans la main. Quant à ses parents, ils ne comptaient pas "Je te rappellerais ce que tu viens de dire quand ma langue fourchera face à ta tante et que tu regretteras de m’avoir emmenée." À deux doigts de le taquiner sur son absence de neutralité la concernant, elle décida de ne pas appuyer dessus, remarquant qu’il détournait la tête.
Elle pinça les lèvres pour masquer un sourire qui devint plus espiègle au fur et à mesure "T’as autant peur que ça que je te touche ?" Une question qu’elle lui posa quand il attrapa sa main comme s’il voulait l’empêcher de faire quelque chose alors qu’elle battait seulement la mesure avec ses doigts contre la balustrade. Elle aurait pu lui dire que c’était lui qui semblait incapable de ne pas la toucher, mais elle se laissa surprendre par sa succession de questions. Ses reins se fondirent davantage contre le bois, sa peau défaite de l’épaisseur de son gilet réagit à la température du soir, et son regard se ficha résolument dans le sien — et plus lorsqu’elle prit sens qu’ils allaient avoir une conversation plus sérieuse et qu’être à plat ne lui conférait pas le bon angle pour le regarder comme elle l’entendait, c’est-à-dire sans avoir l’impression d'être minuscule. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour ne rien rater de ce qui passerait dans le regard de Midas, le bout de ses doigts suivant le galbe des siens pendant qu’elle hésitait à arguer qu’elle ne faisait que plaisanter. Elle resta coite le temps d’une seconde, électrisée par le contact de ses doigts contre ceux de Midas, et finit par arrêter d’hésiter, pas de le regarder "J’en suis là. À t’inviter dans un endroit dans lequel je suis censée être recluse pour travailler, mais tout ce que je réussis à faire, c’est penser à comment je pourrais te dire que je veux être avec toi sans passer pour une conne." Autant dire que là, c’était raté "Je pense qu’à toi, Midas." Ses yeux quittèrent brièvement les siens pour s’arrêter sur ses lèvres qu’elle fixa furtivement, se retenant d’être plus précise en ajoutant penser encore plus au baiser qu’ils avaient échangé l’autre fois "Même à L.A., j’ai pensé qu’à toi. J’ai pas arrêté de me dire que c’était avec toi que je voulais être, même si c’était que pour le boulot. J’ai pas osé te le dire parce qu’il s’était passé, tu sais." Il savait, et qu’elle avait décidé qu’ils devaient rester à distance. Elle ne reviendrait pas sur cet échec cuisant.
Inspirant profondément, elle descendit de son perchoir de fortune "Je peux te toucher ?" Que lui le fasse, c’était un bon indice qu’elle en avait l’autorisation en retour, mais elle voulait s’en assurer. Elle avait beaucoup regretté son attitude sur le rooftop, la manière dont il l’avait repoussé n’avait pas été sans égratigner son orgueil, remettant en perspective le fait qu’elle jouait souvent avec les limites sans penser à mal —les dégâts qu’elle causait, il restaient les mêmes. Alors après avoir eu l’assurance qu’elle n’outrepassait rien ici, elle lui lâcha la main seulement pour faire glisser les siennes en remontant le long de son torse, se rapprochant un peu plus de lui pour répondre enfin à sa seconde question "Si tu me laisses t’embrasser, je te montrerais." Où ils en étaient, ce qu’elle voulait. Elle ne baissa pas le regard "Et toi tu pourras me montrer de quoi tu voulais parler quand tu disais que si ça tenait qu’à toi, y aurait pas de juste ça." Elle faisait référence à la dernière fois qu’ils s’étaient embrassés, lorsqu’il avait volontairement calmé le jeu parce que tout restait flou entre eux. Ses mains terminèrent de longer son torse et s’arrêtèrent à bonne distance de la base de son cou pendant qu’elle murmurait presque "Ça tient qu’à toi là." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 18/08/2022 | (#)Jeu 24 Aoû 2023 - 5:12 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveiagifs
« C’est pas trop tard ? » Je cligne des paupières, surpris par sa question et pour cause : n’ai-je pas tout fait pour lui montrer que, aujourd’hui encore, lui courir après est un mode de fonctionnement à part entière pour moi ? Qu’être à ses côtés est ce que je souhaite, que c’est la raison pour laquelle moi aussi je participais à ce fichu revival qui n’avait rien d’autre qu’elle à m’apporter ? « T’aurais pas tort de m’envoyer balader en me disant que j’ai raté ma chance. » Je secoue la tête, désireux de repousser cette idée avant même qu’elle ne prenne racine et qu’elle créé un doute, une peur dans l’esprit de la jeune femme. « Y’a pas un monde où t’as raté ta chance Jo. » Pourquoi serais-je ici si c’était le cas ? Au beau milieu de nulle-part sans connaître qui que ce soit d’autre qu’elle ? Si je ne cherchais que le dépaysement, je n’avais pas besoin de traverser la moitié du pays pour ça, une semaine loin des regards à Kilcoy aurait suffi. « Que ce soit pour que je t’accompagne professionnellement… » Même si je n’ai pas la prétention de me considérer en tant que "mentor", pas la concernant en tout cas. « Ou pour quoi que ce soit d’autre. » Il n’y a qu’elle, à tous les niveaux.
« C’est bizarre, j’ai jamais été aussi entourée, je me suis jamais sentie aussi seule et incomprise non plus. » Le sourire qui se dessine sur mon visage est tout sauf porteur de joie. Il est presque triste, parce que je comprends tout à fait ce qu’elle dit, parce que ce sentiment je le partage, et je doute que nous soyons les seuls. Les fans, nos équipes de production, les assistants, managers, labels, nous sommes entourés en permanence et évoluons dans un brouhaha assourdissant mais, une fois de retour chez nous le soir, nous sommes seuls. Je le suis en tout cas, alors sa déclaration résonne en moi sans que je n’ai besoin de l’acquiescer, c’est écrit sur mon visage. « Ça me manque de plus avoir ton point de vue sur l’industrie. Même si t’es cynique parfois, t’es celui qui m’a donné le plus de bons conseils toute cette année. » - « Tu commences à comprendre que c’est plus la réalité que du cynisme, non ? » Je ne suis pas un pessimiste. En tant normal, je suis un garçon qui voit le verre à moitié plein et, concernant l’industrie musicale, j’ai plus le sentiment que je suis réaliste. « L’album, ça se passe comment ? Tu arrives à aller dans la direction que tu veux ? » Je le lui souhaite de tout mon cœur. Je ne suis pas assez égoïste pour désirer qu’elle connaisse le même sentiment d’injustice que moi, si les choses peuvent tourner en sa faveur et si elle peut réussir là où j’ai échoué, je serai soulagé et ravi. J’espère qu’elle me donnera tort, qu’elle réussira le tour de force de faire ployer l’industrie à sa volonté. « T’as assez talent pour réussir là où j’ai échoué. Les laisse pas te marcher dessus. » Le secret, je crois qu’il s’agit de faire des compromis, de céder du terrain sur les batailles qui ne valent pas la peine d’être mené pour en gagner sur les choses qui lui tiennent le plus à cœur.
« J’aurais fait la même chose. Pas de la même façon, t’es plus délicat que moi, et j’aurais pas réussi à garder le secret aussi longtemps, mais j’y ai réfléchi. » Surpris, j’ai écarquillé les yeux et tourné la tête dans sa direction. Sa déclaration me laisser muet autant qu’elle me bouleverse ; je crois qu’elle est la confirmation que j’attendais, celle qui dit que je n’ai pas complètement agi de façon dysfonctionnelle et fait les choses de travers. Celle qui confie que, malgré les défauts de mon plan, elle sait que je me suis battu pour une cause juste, pour elle et son talent, certainement pas parce que je pensais qu’elle n’en avait pas assez pour réussir seule. « Je me suis mise à ta place pour comprendre, et je sais que si les rôles avaient été inversés à l’époque, j’aurais fait la même chose que toi aujourd’hui. » Jo me libère d’une culpabilité dont j’estimais à peine l’ampleur. Bien sûr, elle ne guérira pas en un seul instant un syndrome de l’imposteur bien installé. Mais de savoir qu’elle estimait que mes décisions et actes ont été humains – puisqu’elle aurait agi de la même façon – fait briller mes yeux d’une émotion toute particulière. « Je… » Je ne sais pas quoi répondre tant elle me prend de court. « Si toi tu veux pas que je me rende coupable de ce que t’as fait, moi je veux pas que tu regrettes de l’avoir fait, même si ça a brisé quelque chose entre nous pendant quelques temps. Ce que je veux te dire, c’est que j’ai mis du temps, mais j’ai en partie compris pourquoi tu l’avais fait. » Je ferme les yeux, déglutis et, lorsque je les réouvre, ils lui adressent un merci silencieux. Je ne suis pas un homme de beaucoup de parole. Je chante mes sentiments bien mieux que je les avoue à voix haute mais pour elle, j’ai toujours été prêt à tous les efforts du monde. J’ai envie de l’embrasser, là, tout de suite, d’oublier que cela ne serait pas raisonnable puisque j’ignore où nous en sommes. « Je me suis posé la question. Je me suis demandé si décider de te laisser tranquille pendant toutes ces années, c’était pas une façon inconsciente de m’empêcher de tout te raconter… » Si, au fond, sous couvert de respecter ses sentiments, je n’ai pas plutôt obéi à mes angoisses. « J’ai mis que quelques mois à tout te dire. J’aurais pas pu te garder le secret pendant toutes ces années si on était restés en contact. » Peut-être que c’était lui, et moi par extension, que je protégeais. Je n’ai pas encore toutes les réponses à ces questions, mais si c’est le cas, je suis effaré d’être le grand responsable de ce gâchis. « Je suis désolé, Jo. » Je me suis déjà excusé plus de fois que la décence et le fierté ne l’autorisent, mais tant pis.
« Je suis terrifiée. Ce sera pas la première fois qu’on me traitera de mauvaise graine. » - « Comme c’est surprenant. » J’esquisse un sourire amusé. A mes yeux, Jo n’en est pas plus qu’elle n’est une mauvaise influence, mais je mentirais si je prétendais que c’est difficile d’imaginer pourquoi certains la perçoivent comme telle. « Fais-moi penser à lui envoyer des fleurs pour la remercier d’avoir pris une balle pour l’équipe bien avant que je débarque. » Je secoue la tête en laissant échapper un léger rire. « Je te rappellerais ce que tu viens de dire quand ma langue fourchera face à ta tante et que tu regretteras de m’avoir emmenée. » Je doute que cela puisse arriver. « T’es tout sauf une mauvaise graine, et je le pense. » Sous ses allures de belle-fille issue tout droit d’un cauchemar, Jo renferme tout un tas de qualités humaine insoupçonnées. « Et on s’en fout de ce qu’elle pense. Ce n’est même pas ma mère et, elle aussi je me moque de son opinion te concernant. » Dire que je me moque de son opinion tout court serait me prêter un émancipation plus importante que celle qui est.
« T’as autant peur que ça que je te touche ? » Je n’ai pas par qu’elle me touche, j’ai peur de l’effet que cela produirait sur moi. Des attentes non satisfaites, de l’état de nerf dans lequel elle me laisserait si d’aventure elle faisait machine arrière. Je ne réponds rien, je me contente de caresser le dos de sa main de mon pouce. « J’en suis là. À t’inviter dans un endroit dans lequel je suis censée être recluse pour travailler, mais tout ce que je réussis à faire, c’est penser à comment je pourrais te dire que je veux être avec toi sans passer pour une conne. » Je ne prends pas le risque de la couper. Suspendu à ses lèvres, je crains que la moindre intervention de ma part me sorte de ce rêve éveillé dans lequel j’ai l’impression d’être. Jo qui me dit qu’elle comprend. Jo qui me dit qu’elle aurait agi comme moi. Jo qui avoue qu’elle veut être avec moi. « Je pense qu’à toi, Midas. » Mon nom entre ses lèvres ne me paraît même plus si idiot. « Même à L.A., j’ai pensé qu’à toi. J’ai pas arrêté de me dire que c’était avec toi que je voulais être, même si c’était que pour le boulot. J’ai pas osé te le dire parce qu’il s’était passé, tu sais. » - « On est pas obligés de parler de L.A. » Pas si elle n’en a pas envie, pas alors que je suis plutôt pour faire l’autruche tant qu’on ne me met pas mes frustrations et mes angoisses sous le nez. « Tu veux être avec moi, ou tu veux être avec moi, pas juste ce soir, pour de vrai ? » Parce que si mon addiction – je le suis à elle – me pousserait à accepter des miettes d’elle sans que ma fierté ne s’en offusque, il s’agit d’une faiblesse que j’essaie de rectifier. Je n’ai pas à faire reposer sur elle le poids de mes sentiments à son égard si elle ne le désire pas, j’ai besoin de m’assurer que nous sommes de nouveau sur la même longueur d’onde. « Parce que je veux pas une moitié de toi. Je te veux toi. » Ça aussi je l’ai dit bien mieux en chanson. Elle le découvrira d’ici quelques semaines. Je ne lui reprocherai pas un pas en arrière, mais j’ai besoin de m’en protéger.
« Je peux te toucher ? Si tu me laisses t’embrasser, je te montrerais. » Elle glisse sa main hors de la mienne, et je la relâche sans protester. Muet, suspendu à ses lèvres, je hoche la tête maladroitement. Je retiens ma respiration. Lorsque ses mains remontent le long de mon torse, glissent sur mon t-shirt, un frisson me parcourt l’échine. « Et toi tu pourras me montrer de quoi tu voulais parler quand tu disais que si ça tenait qu’à toi, y aurait pas de juste ça. » Un jour, lorsqu’elle prendra réellement conscient de l’étendu de mon affection pour elle, de toutes les choses que je voudrais faire avec elle et personne d’autre, quand elle comprendra que je pourrais passer chaque heure de chaque journée avec elle et ne fréquenter plus qu’elle en étant parfaitement heureux, elle prendra peur. Ce soir, je me laisse emporter. « Ça tient qu’à toi là. » Elle me mènerait par le bout du nez si elle le désirait, Jo. Je suis faible face au contact de ses doigts sur ma peau, faible face à la chaleur de sa peau que je ressens malgré nos vêtements, faible face à mes sens qui s’enflamment alors qu’elle me fait miroiter ce que je désire depuis notre séparation, ce que j’ai toujours désiré. « Je te laisserais plus faire machine arrière, t’en as conscience ? » Bien sûr, rien ne saurait la forcer à rester à mes côtés si elle désirait le contraire. Mais je ne la laisserais plus partir sans me battre, je n’aurais pas la force d’accepter la distance qu’elle nous a imposée une fois de plus pour respecter ses sentiments. Pas deux fois. Je glisse une main dans sa nuque. Je n’ai besoin que d’une preuve qu’elle sait dans quoi elle s’engage – tout sauf un jeu – pour l’embrasser sans me soucier des éventuels regards et l’entrainer dans sa chambre à coucher.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10983 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Ven 25 Aoû 2023 - 0:19 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else @Midas Sterling ☆ crédit/harley
"Je commence à comprendre que je suis plus naïve que ce je pensais." Une réponse qu’elle lui accorda avec un sourire. La réalité était différente de ses fantasmes, et c’était douloureux de s’en apercevoir. Jo n’était pas naïve comme elle le suggérait, elle n’était juste pas assez manipulatrice pour s’imaginer qu’on puisse se servir des autres pour faire de l’argent. Elle était plus idéaliste que le laissait croire son côté brutalement terre-à-terre. Personne ne la fustigerait, elle était née dans les paillettes, et malgré des années de vache maigre, elle s’y était complus sans penser une seconde à ce que cachait leur éclat. Elle en avait une bonne idée aujourd’hui. À choisir, elle aurait préféré continué à vivre dans le déni pour profiter de l’expérience sans se demander quel serait le prochain coup-bas qu’elle essayerait. Peut-être concernerait-il son album que Midas mentionna. Elle soupira en basculant la tête en arrière, prenant un temps pour réfléchir à sa réponse "J’écris ce que je veux. J’imagine que c’est déjà un avantage qu’on donne pas à tout le monde." Pour autant son album serait calibré mainstream "J’apprends à faire des compromis. Ça me sert d’avoir échoué il y a sept ans, je suis un peu plus disposée à moins agir comme si je savais tout sur tout." Même si elle restait difficile et têtue, elle l’avait dit à June : elle était prête à faire ce qu’il fallait pour quelque chose de simple qu’elle avoua à Midas "Je veux que tu sois fier de moi. C’est bête, tu me demandes rien, mais c’est important pour moi que tu le sois alors si t’as d’autres conseils, je suis prête à les entendre." Il lui en donna un nouveau maintenant auquel elle adhéra en hochant la tête. Elle ne tairait jamais son besoin qu’il la guide et elle s’en foutait de passer pour une pauvre conne qui prétendait être indépendante quand elle passait son temps à quémander l’expertise de quelqu’un qui avait vécu la même chose qu’elle.
Il redevint silencieux lorsqu’elle se lança dans l’explication de ce à quoi elle avait longuement réfléchi au cours des cinq derniers mois. Dans son attitude, elle ressentit le soulagement, elle ressentit la gratitude d’avoir fait l’effort de vouloir le comprendre quand il savait qu’elle n’était pas souvent disposée à se lancer dans cet exercice. Il la remercia silencieusement, et ce qu’elle vit briller dans son regard, ça fit briller les siens sans qu’elle ne veuille rien ajouter pourtant, ne tenant pas à briser quelque chose en ajoutant quelque chose qui n’avait pas besoin d’être dit parce que c’était là, dans l’espace qui les séparait. Il y avait des moments où ça n’avait pas besoin d’être autre chose que simple, et ça l’était là. Elle lui pardonnait, il acceptait qu’elle le fasse, et la page pouvait se tourner sans nécessairement oublier que ça faisait partie de leur histoire, mais il fallait apprendre à composer avec, et Jo était prête à le faire plus que jamais. Elle n’était pas grande oratrice non plus malgré sa tendance reconnue à ne pas savoir la boucler, mais si elle l’avait été, elle lui aurait dit que c’était son privilège parce qu’elle l’aimait comme elle n’avait jamais aimé personne. Des trahisons moins graves que celle-ci, elle en avait connue d’autres, et elle n’avait pas fait dans le détail en supprimant de sa vie ceux qui les lui avait fait subir. Elle ne lui faisait pas une fleur en se montrant indulgente, il ne se rendait sûrement pas compte à quel point ça le rendait spécial qu’elle se soit échinée à mettre de côté ses mécanismes de défense en enfilant ses chaussures pour remonter ses pas et mieux se figurer du raisonnement qui avait été le sien jusqu’à sa prise de décision concernant sa victoire. Elle lui dirait un jour, quand elle aurait trouvé une façon moins niaise de le faire "Si t’as besoin de trouver des réponses à tout ça, je vais pas t’interdire de le faire, mais moi, je crois pas que j’y reviendrais sauf si on nous force à en parler." Ça l’angoissait, la possibilité que des précédents soient soulevés, que des infos soient glanées, et que des rumeurs soient mises sur pieds. C’est pour ça qu’après qu’il se soit excusé, elle lui dit en affrontant ses yeux "Je sais que tu l’es, c’est pas ta faute au fond." Elle s’enfonça dans sa tête une seconde avant de reprendre "Si l’info à propos de tout ça sort un jour où l’autre, je veux pas qu’on se défende chacun de notre côté. Je veux pas qu’on soit obligés de donner des versions différentes de ce qu’on a vécu, et je veux pas t’impliquer de loin ou de près aux négociations qu’il y a eu pour moi. Je veux qu’on fasse bloc." Il ne nierait pas, qu’au-delà de ce qu’ils étaient ou pas en tant que couple, ou ex-couple, ils formaient une bonne équipe. Ça, ça ne changerait pas, quoi qu’il arrive, et elle en était convaincue "Je te défendrai toujours." En d’autres termes, elle qui n’était franchement pas du genre à mentir, elle le ferait pour lui sans que ça ne pèse sur sa conscience. Elle voulait qu’il le sache.
Si leur conversation n’avait pas dérivé, Jo aurait taquiné Midas sur l’idée que se foutre de l’opinion de sa famille à son sujet, ça écornait son image de gendre idéal. Son attention fût détournée de sa malice pour se concentrer sur la friction de ses doigts entre les siens et la tension palpable qui régnait quand il lui demanda où est-ce qu’ils en étaient "On devrait en parler." Sans lui laisser le temps d’argumenter, Jo inclina la tête pour mieux capter le bleu de ses yeux "Parce que j’ai l’impression que tu te fais toute une idée de ce qui m’a amenée là-bas avec lui." Lui étant Micah qu’elle ne nomma pas. Elle n’y voyait pas d’intérêt, il savait de qui elle parlait "Il était inclus dans le package. C’était pas un voyage perso, c’était pour un shooting qu’on a fait et qui accompagnera une interview croisée qu'on a donné. Les types de la publication qui nous ont payés le voyage ont su qu'on se connaissait, ils ont voulu tirer le fil pour en faire un article qui paraîtra bientôt, c’est tout ce que c’était." Elle secoua la tête pour bien se faire comprendre "C’était pas ce que t’as imaginé. On était dans le même hôtel, on a pas dormi dans la même chambre, et il m’a montré la ville parce qu’il y a vécu longtemps. Je te le répète, si j’avais eu voix au chapitre, c’est avec toi que j’y serais allée." Elle prit une inspiration entre deux de ses phrases, répondit à la sienne en le suppliant presque de l’écouter comme il fallait. Elle ne disait pas souvent ce genre de choses Jo. Elle avait déjà l’impression d’être incapable d’être éloquente quand elle n’était pas derrière un micro, alors qu’il lui demande de préciser ce qu’elle voulait dire quand elle disait voulait être avec lui, ça affirmait l’idée qu’elle s’y prenait très mal. Ses doigts serrèrent les siens, ses sourcils se froncèrent presque douloureusement pendant que son regard ne quittait toujours pas celui de Midas "Je veux être avec toi ce soir, je veux être avec toi tout le temps." Elle lui demanderait si elle pouvait le toucher dans quelques secondes à peine ; ne pas le faire là, c’était une torture qui remua une frustration certaine en elle qui se mut dans le ton de sa voix "Je voulais être avec toi il y cinq mois, je voulais être avec toi il y a sept ans, et je voudrais être avec toi demain. Jusqu’à ce que tu décides que toi, tu veux plus de moi, je voudrais être avec toi." Ça ne pouvait pas être plus clair. Encore que ce qu’elle ajouta à sa suite, alors qu’il s’assurait qu’elle ne lui laisserait pas les miettes qu’elle était disposée à lui donner, elle fut encore plus limpide, un sourire lui échappant "Je sais. Je suis à toi, Midas." Il ne pourrait pas lui reprocher de faire dans le trait d’esprit. Tout était intelligible.
Comme le reste de ses paroles et de ses actions, ses mains trouvant son torse pour faire ce dont elle avait envie depuis de longues minutes, mais qu’elle ne fit pas sans son autorisation. Elle sentit le coeur de Midas vibrer sous ses doigts. Sa question la fit sourire, pas battre en retraite. Sa réponse, elle la lui donna en posant ses lèvres sur les siennes pour un baiser intense, le goût de sa cigarette s’associant au goût du gloss qu’elle avait sur les lèvres. Ce contact la déséquilibra au point que ses reins retrouvèrent la balustrade derrière elle. Elle ne le lâcha pas, elle l’emmena avec elle, leurs bouches scellées l’une à l’autre, se repoussant pour se retrouver, sans que Jo ne trouve ça nécessaire de reprendre son souffle, emportée par le moment. Elle ne manquait pas d’air au contraire, elle avait l’impression de recommencer à respirer correctement. Ses mains posées à la base de sa gorge glissèrent simultanément jusqu’à sa taille qu’elle guida en tirant doucement sur les passants de sa ceinture pour mieux accoler son bassin au sien, et l’un de ses genoux trouva ce qu’elle savait être une encoche parfaite pour elle, juste au creux de sa hanche. Elle approcha Midas d’elle encore plus, cherchant à le sentir au plus près, alors que cinq de ses doigts se glissèrent dans la poche arrière de son jean et que les cinq autres dépassèrent la barrière de son t-shirt pour caresser sa peau d’abord du bout des doigts, puis du bout de ses ongles. Elle ne comptait pas faire marche-arrière, elle n’en avait jamais eu l’intention. C’était les circonstances qui l’avaient fait fuir, pas un désir quelconque de rompre ce qu’il y avait entre eux à l’époque. Sans l’intervention de Cassie, tout serait resté tel quel, et c’était un fait immuable dont il n’avait pas le droit de douter, pas quand elle venait de lui dire toute ces choses en mettant sa fierté de côté. Elle fit quitter à son genou la hanche de Midas pour ancrés de nouveau ses deux pieds dans le sol, mais sa main resta sous son t-shirt, l’autre glissant de sa poche arrière pour la poser tout contre sa mâchoire et terminer leur baiser par une pression plus ferme qui la fit prendre une profonde inspiration une fois qu’elle rompit enfin leur étreinte pour lui demander, haletant à moitié, ce qui la força à murmurer alors que ses yeux restèrent fermés comme si elle faisait le point sur un moyen efficace de faire redescendre ses pulsions "Tu veux voir notre chambre ?" Notre chambre. Elle n’avait pas eu besoin de l’embrasser pour savoir qu’elle n’avait eu aucune putain d’intention de le faire dormir ailleurs que dans son lit. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 18/08/2022 | (#)Mer 30 Aoû 2023 - 5:39 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveiagifs
« J’écris ce que je veux. J’imagine que c’est déjà un avantage qu’on donne pas à tout le monde. » Je hoche la tête pour appuyer ses propos. En effet, elle jouit d’une chance que certaines ne possèdent même pas mais je ne suis pas complètement naïf du tout. En remportant l’émission, elle a gagné un album, mais pas une totale liberté en ce qui le concerne. Nul doute que son label doit lui coller au train pour obtenir ce que les têtes pensantes estiment comme "commercial". « J’apprends à faire des compromis. Ça me sert d’avoir échoué il y a sept ans, je suis un peu plus disposée à moins agir comme si je savais tout sur tout. » - « C’est bien de savoir se remettre en question. Mais faut pas que t’aies l’impression de subir leurs choix non plus. Quand on commence dans cette voie-là, c’est difficile de s’en sortir. » Et j’en connais un rayon. J’ai été trop docile pendant trop longtemps, à ce stade, faire ce que je voudrais faire moi constituerait un vrai revirement, un risque pour la carrière que j’ai construite. « Je veux que tu sois fier de moi. C’est bête, tu me demandes rien, mais c’est important pour moi que tu le sois alors si t’as d’autres conseils, je suis prête à les entendre. » J’esquisse un sourire. « Un conseil ? J’en ai un. » Le premier qui me vient à l’esprit. « Faut que toi tu sois fière de ton travail. Que ça te plaise à toi et te corresponde, malgré les compromis. » N’est-ce pas le principe d’ailleurs, de trouver un juste milieu ? « Et je suis déjà fier de toi. » Elle a pris des risques en participant à l’émission et en se jetant à nouveau à la merci du public et de la production. Les résultats de son album, bons ou mauvais, n’y changeront rien. « Mais ça me dérange pas de le répéter autant de fois qu’il faudra. » Pour qu’elle n’ait plus le moindre doute à ce sujet, je n’ai pas peur de radoter.
« Si t’as besoin de trouver des réponses à tout ça, je vais pas t’interdire de le faire, mais moi, je crois pas que j’y reviendrais sauf si on nous force à en parler. » A-t-elle pardonné, ou a-t-elle enterré le sujet ? Si j’étais certain qu’il s’agissait de la première option il y a quelques secondes, si j’en suis toujours ému et secoué, je me demande si cette remarque ne cache pas autre chose. Mais je choisis de faire confiance à Jo, de ne pas chercher des sous-entendus dans tout ce qu’elle dit. Après tout, peut-être est-ce simplement trop douloureux pour elle, de ressasser tout ça. « Je sais que tu l’es, c’est pas ta faute au fond. » - « Je suis pas un enfant tu sais. Je te demande de me pardonner, pas de me dédouaner de toutes mes erreurs. » Je m’exprime avec douceur et sans la moindre trace d’accusation. Ce serait un comble. Mais je suis sincère : je ne demande pas à Jo qu’elle change d’avis et m’innocente de tous mes crimes à son égard, simplement qu’elle comprenne que mes intentions n’ont jamais été de la blesser ou de la laisser seule, mais de bien faire. Je m’y suis simplement bien trop pris comme un manche. « Si l’info à propos de tout ça sort un jour où l’autre, je veux pas qu’on se défende chacun de notre côté. Je veux pas qu’on soit obligés de donner des versions différentes de ce qu’on a vécu, et je veux pas t’impliquer de loin ou de près aux négociations qu’il y a eu pour moi. Je veux qu’on fasse bloc. » Je pousse un soupir, autant touché qu’inquiet. J’ai beau penser qu’il n’y a pas la moindre chance que tout cela finisse par éclater, je n’aime pas l’idée que cela puisse déteindre sur Jo qui n’a été qu’une victime de tout ça. « Je te défendrai toujours. » - « Je sais. » Avec pudeur, j’attrape de façon fugace ses doigts entre les miens, avant de les relâcher. « Mais je veux pas que tu prennes un blâme que tu mérites pas, si ça devait arriver. » Nous nous retrouvons peu à peu. Est-ce réellement le bon moment pour envisager le pire ? « Mais on en discutera, si tu t’inquiètes. » Je ne chercherai pas à fuir le sujet. « On trouvera une version qui nous convient à tous les deux. On le fera quand on sera rentré à Brisbane, si tu veux. » Autrement dit : pour l’instant, j’ai d’autres priorités en tête : comme de savoir si son pardon marque aussi un nouveau départ dans notre relation, ou si celle-ci est vouée à rester enterrée pour de bon.
« On devrait en parler. Parce que j’ai l’impression que tu te fais toute une idée de ce qui m’a amenée là-bas avec lui. » - « Ce que je sais, c’est que t’es toujours associé à lui. » Bien sûr, une grande majorité de la presse à scandale s’intéresse à notre duo. Mais le nom de Tomlinson est bien trop souvent accolé au sien pour que je ne tique pas et ne soupçonne pas quelque chose. Après tout, ne dit-on pas qu’il n’y a pas de fumée sans feu ? « Il était inclus dans le package. C’était pas un voyage perso, c’était pour un shooting qu’on a fait et qui accompagnera une interview croisée qu'on a donné. Les types de la publication qui nous ont payés le voyage ont su qu'on se connaissait, ils ont voulu tirer le fil pour en faire un article qui paraîtra bientôt, c’est tout ce que c’était. » Je secoue la tête. « Jo, t’as pas de comptes à me rendre, on était séparés. » Et nous le sommes encore. Bien sûr, je ne le dis pas de gaîté de cœur : j’aurais préféré ne pas avoir à me poser de question. Et j’aurais préféré ne pas avoir le moindre doute à ce sujet non plus, mais je ne peux pas me montrer possessif, même si elle m’avait promis qu’elle essayait de me pardonner pour avancer avec moi. « C’était pas ce que t’as imaginé. On était dans le même hôtel, on a pas dormi dans la même chambre, et il m’a montré la ville parce qu’il y a vécu longtemps. Je te le répète, si j’avais eu voix au chapitre, c’est avec toi que j’y serais allée. » - « Jo… » Moi aussi, j’aurais voulu être avec elle. « T’es pas idiote. T’as repris le flirt sur les réseaux avec lui dès l’instant où toi et moi on s’est séparés. Tu peux pas t’inquiéter maintenant du genre de message que ça m’a envoyé. » Et elle ne peut pas non plus s’offusquer de ce j’ai imaginé. Mais je suis un homme gentil. Je suis certainement aussi un homme un peu bête, parce que j’ai envie de croire que c’est derrière nous et que si nous devons reprendre quelque chose elle et moi, elle saura rendre à ce bellâtre la place qui est la sienne. Je crois que ce serais plus facile à comprendre pour moi – mais pas à accepter – si je comprenais au moins ce qu’elle trouve à cet homme qui a l’allure d’une coquille vide. Elle fronce les sourcils, elle ne comprend certainement pas mon besoin de la voir préciser le fond de sa pensée mais tant pis : j’ai trop souffert de son excessivité. Pas assez pour lui en vouloir – je suis trop accroché à elle pour le faire – mais assez pour tenter maladroitement de me protéger. « Je veux être avec toi ce soir, je veux être avec toi tout le temps. » C’est doux à entendre. Je laisse mes mains glisser jusqu’aux siennes pour m’octroyer le plaisir de sentir sa peau sous la pulpe de mes doigts. Je devrais lui demander si elle veut être juste avec moi, mais je crains de briser la bulle dans laquelle elle nous a enfermé en se livrant plus qu’elle a l’habitude de le faire. « Je voulais être avec toi il y cinq mois, je voulais être avec toi il y a sept ans, et je voudrais être avec toi demain. Jusqu’à ce que tu décides que toi, tu veux plus de moi, je voudrais être avec toi. » Que ses mots sont délicieux à entendre. A-t-elle besoin d’entendre la réciproque ou est-elle pertinemment consciente que je l’ai attendue ? Que ces rumeurs n’étaient rien de plus que ça, des rumeurs ? « T’es la seule dont je rêve toutes les nuits. » C’est aussi simple que ça. En sept ans, elle n’a jamais été remplacée autrement que de façon éphémère.
« Je sais. Je suis à toi, Midas. » J’ai un frisson lorsqu’elle prononce ces mots. Et ils sont ceux que j’attendais pour foncer sur ses lèvres. Au diable la douceur, je glisse une main dans sa nuque et je l’embrasse avec passion et empressement. Elle n’est plus motivée par la jalousie uniquement et je ne suis plus son jouet, cette fois. J’ai besoin de me débarrasser de la désagréable impression de l’avoir été, et je le fais en la serrant contre moi un peu plus que nécessaire, un peu trop peut-être, en appuyant son corps contre la rambarde en bois du porche pour qu’elle ne puisse pas s’enfuir, même si elle le désirait. Je ne la laisse pas reprendre ses esprits, et nos lèvres ne se séparent que lorsqu’il devient nécessaire de respirer un peu d’air. « Tu veux voir notre chambre ? » Je hoche la tête mais, avant qu’elle ne disparaisse, je la retiens pas le poignet pour l’attirer contre mon torse, l’embrasser, et finalement chuchoter. « Est-ce qu’il faut qu’on soit discrets ? » Autrement dit, tient-elle a ce que ce qu’il se passe entre nous, ce qu’il va se passer ce soir, reste encore une fois le secret le plus mal gardé du show-business ? Je me contenterai de sa réponse, quelle qu’elle soit.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10983 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mer 30 Aoû 2023 - 16:07 | |
| i didn't see the news 'cause we were somewhere else @Midas Sterling ☆ crédit/harley
Jo hocha la tête, déjà trop consciente de ce que lui disait Midas à propos du fonctionnement de sa collaboration avec un label qui ne pensait qu’à l’argent. Quand on avait sa propension à l’emportement, toute forme d’autorité était difficile à envisager, alors la torture était réelle. Il fallait qu’elle prenne sur elle pourtant, c’était ce qu’elle avait retenu de ses échecs passés. Rien ne serait facile, ça ne l’était déjà pas aujourd’hui, mais quand la machine autour d’elle serait lancée, qu’elle deviendrait une marque plus qu’elle ne deviendrait une artiste, les choses se corseraient. Elle n’avait pas envie de l’anticiper. Curieusement, elle qui avait tendance à envisager les coups d’avance pour garder le contrôle, elle préférait ne pas penser à l’idée qu’elle se perdrait peut-être en route. Il fallait qu’elle se fasse confiance. D’habitude, elle n’en manquait pas de confiance, seulement sa victoire avait ébranlé quelque chose de ce côté-là malgré la promesse de Midas de ne pas avoir fomenté tout ça parce qu’il ne la croyait pas capable : il perdurait l’idée que peut-être, c’était le cas. Elle tourna la tête dans sa direction, s’en voulut un peu d’admettre qu’un de ses moteurs était son envie de le rendre fier d’elle sans pour autant lui expliquer que ça lui faisait peur qu’il puisse regretter d’avoir mis sa réputation en danger si jamais rien ne fonctionnait comme prévu. Elle fronça le nez quand elle l’entendit lui dire qu'il était déjà fier d’elle, qu’il pouvait le lui répéter autant de fois que nécessaire, et ça la touchait plus qu’elle n’était capable de le dire à voix haute, alors évidemment qu’elle se sentit obligée de verser dans la dérision "C’est vrai que j’ai besoin que ma tête gonfle encore un peu." Clairement pas. C’était son bouclier à Jo, l’humour "Je veux plus jamais t’entendre dire que je suis prétentieuse. Tu t’entends ? Tu m’incites pas à ne pas l’être." Qui pouvait se targuer de rendre fier Midas Sterling en dehors du cercle restreint de sa famille ? Le privilège était agréable à chérir, et c’est ce qu’elle fit malgré le bluff qu’elle mit en place le temps d’un instant.
"C’est pas ce que je fais." Le dédouaner de ses fautes. Il avait fait une connerie, ils étaient d’accords là-dessus, restait qu’il n’avait fait que suivre le courant dans lequel on l’avait jeté sans possibilité de le remonter sans prendre la tasse "Mais je suis sûre que si à l’époque, on t’avais pas impliqué dans ce genre de magouilles, t’aurais jamais eu l’idée tout seul de monter ce genre de coup aujourd’hui." Elle lui trouvait toutes les qualités du monde à Midas, Jo, mais elle devait admettre qu’il n’était pas un stratège d’exception. Elle l’avait cru, mais elle comprenait aujourd’hui qu’elle l’avait insulté en pensant qu’il était assez tordu pour profiter d’elle. S’ils l’avaient été tous les deux, stratèges, jamais leur relation n’aurait pris ce tournant, jamais ils ne se seraient attachés l’un à l’autre aussi fort, c’était la preuve irréfutable qu’ils n’étaient pas bons pour ce genre de jeu, autrement ils se seraient davantage tirés dans les pattes sans regretter un seul instant que l’un l’emporte sur l’autre. Encore maintenant, alors que Jo aurait eu toutes les raisons du monde de camper sur sa rancune, elle avait travaillé sur une manière de lui pardonner au point qu’elle redoutait le retour de bâton "C’est pour ça qu’on doit se défendre tous les deux. Je veux qu’aucun de nous subisse un lynchage qu’on aura pas mérité." Elle le sentait dans sa propre voix, la tension relative à la peur qu’on les accuse d’être des escroqueries ambulantes, et ça devait s’entendre puisque Midas lui proposa d’en reparler plus tard. Elle opina, pinçant les lèvres en regardant leur doigts entremêlés, resserrant les siens pour exercer une pression réconfortante contre ceux de Midas.
Elle n’aurait pas dû soulever le tapis qui dissimulait le sujet Micah, mais elle l’avait fait, et maintenant elle se disait qu’elle était quand même pas le couteau le plus affuté du tiroir quand elle s’y mettait. Midas prononça son nom par deux fois, preuve que le point qu’il voulait marquer était important. Elle releva la tête pour le regarder, un soupçon d’impatience passant dans son regard qu’elle posa sur lui avec la nonchalance qui était accolée à son insolence. Les paupières lourdes, le bout de sa langue fiché dans le fond de sa propre bouche, elle le jugea un peu d’être aussi primitif dans sa façon de voir les choses mais hey, elle n’était pas mieux dans le genre, à lui sauter dessus chaque fois qu’elle croyait perdre le bénéfice de son attention. Elle ne trouva pas grand-chose à lui dire en vérité. Dans le fond, ça l’agaçait que jamais, ils ne réussiraient à s’accorder sur cette question. Midas était persuadé d’une chose que Jo ne voyait pas comme lui ; à partir de là, c’était compliqué de se faire comprendre tant il semblait incapable de prendre en compte l’idée que tout n’avait pas vocation à avoir un sens. Elle secoua la tête, refoula un rire goguenard, et trouva la volonté de lui dire sérieusement "Tu peux pas me dire que j’avais pas de comptes à te rendre une seconde et me faire remarquer la seconde suivante que je flirtais avec lui sur les réseaux." Elle ne flirtait pas, pour commencer. Il sous-entendait quoi, que pour guérir de leur rupture, elle s’était jetée dans les bras de Micah ? Il n’avait vu que ce qu’il avait voulu voir Midas : il ne l’avait pas vu dévastée, malade et shootée aux anxiolytiques. Mais se servir de ça comme défense, ce serait pathétique, pas digne de l'affection qu’elle lui portait, alors elle laissa couler pour se concentrer sur l’essentiel.
Eux. Juste eux. Elle sentait grouiller ses lèvres du baiser qu’ils venaient d’échanger, et l’empressement à s’isoler la faisant se mouvoir pour rentrer, elle se laissa surprendre par la manière dont Midas la ramena à lui pour lui poser une question qui la fit sourire d’abord, répondre à son baiser ensuite, et enfin mettre des termes sur ce qu’il lui demandait "Ils rentreront pas avant demain matin, on a besoin de s’inquiéter de rien." Elle approcha son visage du sien, sa main libre passant dans les cheveux qu’il avait sur la nuque. Elle se cala sur son murmure, malicieuse "On peut même faire l’amour dans toutes les pièces de la maison sans que ça dérange personne." Elle savait Jo, que ce n’était pas tant l’idée d’être surpris qui inquiétait Midas, mais elle n’avait pas envie d’alourdir quoi que ce soit en se lançant de longs discours. Un léger rire s’échappa de ses lèvres qui s’écrasèrent doucement contre les siennes pour lui donner plusieurs baisers consécutifs, ses yeux restant fixés dans les siens quand, se redressant à nouveau, séparant leurs lèvres de quelques millimètres à peine, elle ajouta "On parlera de tout ça demain, d’accord ?" De ce qu’ils étaient, de la manière dont ils envisageraient les choses en dehors de cette maison. Son nez venant bondir contre celui de Midas, l’expression de son visage était teintée d’une lueur taquine mêlée au ravissement de retrouver des habitudes, des sensations qui généraient une excitation particulière, une anticipation agréable qui lui fit lui avouer plus bas encore "Là, j’ai plus vraiment envie de parler." Et elle ne lui ferait pas l’affront d’expliciter. Elle attrapa sa main pour le faire avancer à sa suite quand, tournée vers lui et marchant à reculons, elle lui demanda avec une espièglerie un peu surjouée, mais complètement assumée "Alors, tu veux commencer par quelle pièce ?" i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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