| (Raelyn & Cristina) hold the dice your turn to roll |
| ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Lun 4 Sep - 19:30 | |
| (zone event → roaring twenties) Hold the dice your turn to roll Raelyn Blackwell & @Cristina Weatherton (juillet 2023) ☆ crédit/keetikagifs
Les joueurs d’un soir s’affairent en bas, ils jouent, ils perdent pour la plupart et, au moment de tout abandonner ils gagnent juste assez pour ressentir l’adrénaline suffisante pour rester vissés à leur table de jeu, espérant la ressentir encore. Finalement, c’est un business qui ressemble à s’y méprendre à celui qui vit dans les sous-sols du casino, sous les tables de poker, sous les machines à sous et sous tout ces idiots qui s’endettent et que, ce soir, rempliront mes poches plus que toute autre soirée de l’année. Le temps d’un soir, ils ressentent ce que tous les addicts ont ressenti un jour dans leur vie, l’euphorie, le sentiment d’avoir débloqué un nouveau stade de conscience et que les problèmes et pensées noires avec lesquels ils ont passé la porte y sont restés bloqués. Demain, ils reprendront tous autant qu’ils sont leur vie banale, morne et ennuyeuse et Amos et moi seront un peu plus riches que la veille, un peu plus puissants aussi.
Tout est une question de puissance, de statut, et c’est la raison pour laquelle, bien le dress code mentionne le port d’un masque de soirée obligatoire, que les vigiles refusent à l’entrée toute personne au visage nu, je me permets moi de m’exhiber à minois découvert. Parce que je le peux. Parce que j’en ai le pouvoir. Parce que personne ne me dicte ma conduite et certainement pas ici.
Les festivités m’amusent. Les quidams qui crient et s’extasient aux machines à sous pour 5$ d’empochés me laissent indifférente. Je n’ai quitté ma tour d’ivoire – mon bureau à l’étage – que pour respirer l’atmosphère effrénée du rez de chaussée de l’Octopus, pour ça, parce que j’excelle dans le contrôle, et pour commander un verre, aussi. J’ai pesté en découvrant que celle du bureau était vide – j’ai pesté contre moi-même puisque, de toute évidence, je suis la seule susceptible de l’avoir vidée – et je nous ai emmené, moi et mes jambes nues, nous mêler à foule. En demeurant à une distance raisonnable, bien sûr, personne de censé n’approche de toute façon les gens comme moi. Il faut croire que de mon aura émane un soupçon de quelque chose de… dangereux. Carly est tout l’inverse. Carly est solaire, affable, elle virevolte entre les tables pour pousser les inconscients à la consommation et sans doute le fait-elle aussi pour repérer son gagne-pain du soir. Un rire amusé me secoue la poitrine quand mon regard croise celui de la petite blonde et qu’elle m’adresse un clin d’œil, avant de se reconcentrer sur un gros poisson qui semble vraisemblablement décidé à lui apprendre à jouer au black-jack. Si seulement il se douter d’à quel point elle sait le faire, jouer.
Amos est à une table. Renfermé, un tempérament d’ours, mon époux s’illumine pourtant lorsqu’on lui distribue une main de poker. Il excelle dans la matière et il se permet même de perdre lorsqu’il considère que c’est plus intéressant pour lui que de gagner, lorsqu’il sent que le client en face reviendra dépenser le double grâce à cette putain d’euphorie puisque tout ici tourne autour de ça. J’envisage de le rejoindre, j’en prends même la direction lorsque mon regard se pose sur celui d’une petite brune qui a l’air plus agacée que jamais, une que je reconnais malgré le loup qui couvre une partie de son visage. Je dévie donc de la route me menant à mon amant – plus tard, il a l’air de s’amuser, de toute façon – et fais claquer mes talons jusqu’à Cristina. « Ton verre est vide. » Et il me semble incongru qu’il le reste. « Marche avec moi jusqu’au bar. On va remédier à ça. » Et ce soir, si je m’en tiens moi au scotch – le meilleur, celui qui sort de mes réserves personnelles – le bar sert tout un tas de cocktails sucrés dans le thème de la soirée. « Tu as l’air de quelqu’un qui a besoin d’aide pour enterrer un corps. » Elle me dira ce qu’il en retourne si elle le souhaite, je ne me formaliserais pas du contraire. C’est ainsi que les choses marchent avec Cristina.
raelyn porte ça parce qu’elle est zinzine et que ces "ressources" tombent trop bien pour pas être utilisées
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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mer 6 Déc - 14:45, édité 1 fois |
| | | | (#)Ven 8 Sep - 22:21 | |
| hold the dice, your turn to roll. Masquerade Ball, Octopus. Cristina Weatherton & @Raelyn Blackwell Elle flânait presque, Cristina, ou donnait l’impression tout du moins de se mouvoir tranquillement entre les machines à sous et les tables de jeu n’ayant jamais accueilli autant de monde en leur tour que ce soir. Elle avait repéré de nouveau sa silhouette au loin, les mains croisées devant lui et le visage concentré sur une partie de blackjack qui avait lieu devant ses yeux. C’était tant mieux qu’il les ait vides, ses mains. C’était suspect néanmoins, qu’il n’ait même pas fait mine de désirer un verre jusqu’à maintenant et s’il y avait quelque chose que Cristina détestait encore plus que la stupidité dont il avait fait preuve récemment, c’étaient bien les faux-semblants lorsque c’était entre eux que ceux-ci prenaient place. Il était de toute façon trop tard pour espérer endormir ses doutes, ceux-ci n’en étaient plus et son œil n’avait jamais été aussi aiguisé que depuis qu’ils avaient franchi, ensemble, les portes de l’Octopus. Ça n’était pas son habitude de surveiller quoique ce soient des agissements de James, pas plus qu’épier, chaperonner ou contrôler ne faisaient partie des leurs de manière générale et elle ne ressentait rien d’autre qu’une irritation froide à l'idée que c'était là à présent, qu'ils en étaient rendus. Il ne fallait pas qu’elle s’éveille, cette amertume, encore moins qu’ils ne l’attisent en un lieu comme celui-ci où rien ne saurait passer inaperçu. C’était sans doute la dernière chose qu’ils désiraient tous deux, l’ultime point sur lequel ils étaient parvenus à se mettre d’accord, tacitement, avant d’apparaître au bras l’un de l’autre malgré les dissensions récentes. Et c’était forte de cette conviction que Cristina avait fini par le laisser à ses occupations au fil de la soirée, vaquant sans peine aux siennes tant l’atmosphère environnante paraissait taillée pour lui plaire, la satisfaire.
« Ton verre est vide. » La voix reconnaissable de la maîtresse des lieux perça sans mal au travers des airs à la mode, que jouaient les orchestres de ces années-là, transposés juste à leurs côtés en rythmes nouveaux. Observant encore une seconde les musiciens s’agiter sur scène, l’exaltation à ce point marquée attirant toujours son regard carnassier, Cristina claqua sa langue sur son palais en même temps que les mots vinrent mordre ses lèvres délicatement rosées. « Et ma robe à tomber, c’est un œil de lynx que tu as là. » Un rictus de dérision rehaussa ses pommettes et, au travers de la finesse du voile serti de cristaux recouvrant le haut de son visage, elle battit tout de même des cils jusqu’à attraper le regard de Raelyn, presque sévère de son côté face au sérieux de la situation en question ; son verre était vide en effet, si elle croyait que ça l’amusait. « C’est à ça que tu t’amuses, du haut de ta tour ? Traquer mon désespoir ? » À l’évidence, Cristina aimait à jouer la surenchère, consciente à l’expérience que cela avait tendance à éloigner les timorés avec lesquels elle ne voulait rien avoir à faire autant que cela attirait les autres, plus intrépides. Raelyn avait prouvé être bien plus que ça encore et, leurs regards se croisant, Cristina ne dissimula le plaisir qu’elle avait à la voir par seul principe de ne pas accorder les choses trop facilement, trop rapidement. Rehaussant légèrement le menton et offrant aux lumières tamisées les angles les plus saillants de son visage subtilement revêtu, ce fut sans gêne, et avec un éclat d’amusement, qu’elle se permit en même temps de laisser traîner ses pupilles de part et d’autre du profil de son amie, ostensiblement laissé à nu ; si ce n’était pas une invitation à ce qu'on la dévisage, en même temps. Elle était magnétique, Raelyn, presqu’autant qu’elle n’était vaniteuse cela dit et n’avait ainsi pas besoin de s’entendre souligner que ses propres choix de mise en beauté avaient su, eux aussi, la mettre en valeur. « Marche avec moi jusqu’au bar. On va remédier à ça. » Sa langue venant traîner nonchalamment sur sa rangée de dents blanches, Cristina s’autorisa à emboiter son pas sans résister inutilement, précédant tout de même sa marche d’un souffle prétendument las. « Tu sais que j’allais le noter aussi, ton effort de présentation. Inutile de m’acheter. » Elle ne dirait pas non pour autant, Raelyn partageait son goût des plus grands crus ou autres malts estampillés d’exception et son instinct lui disait que les choses promettaient ici de prendre une tournure intéressante à en juger la cadence déterminée de son pas fendant la foule – la sienne – pour rejoindre l’un des bars, comble lui aussi.
« Tu as l’air de quelqu’un qui a besoin d’aide pour enterrer un corps. » « Mais pas n’importe lequel, celui-ci a des goûts de luxe, ça demande tout une préparation au préalable. » Raelyn comprendrait sans mal de qui elle parlait avec une telle tendresse, cette dernière n’étant pas donnée à tout le monde. Lui faire la peau, pourquoi pas, mais c’était bien mal la connaître que de penser qu’elle ne s’acharnerait pas ensuite à lui offrir un repos éternel à la hauteur de ce qu’il méritait, James. Les exigences seraient hautes et elle n’était pas certaine d’avoir suffisamment de temps à y accorder : c’était pour cela qu’elle n’était encore jamais passée à l’action, évidemment ; c’était sa version du jour, en tout cas. « C’est toi que j’appellerai en premier, si jamais. » Une lueur malicieuse fit briller son regard à ses mots, l’une de ses hanches moulées dans le tissu satiné de sa robe venant s’appuyer contre le comptoir alors que, déliant nonchalamment plusieurs de ses doigts gantés, elle lui laissa sous-entendre que, question poison, son choix serait aussi le sien. « J’aime ce que tu as fait de l’endroit. » Sentant quelque chose revenir nouer inconsciemment le creux de son estomac, Cristina avait pincé ses lèvres charnues l’une contre l’autre avant de se laisser aller à commenter, simplement et sans ironie aucune cette fois-ci. Comme pour appuyer son compliment, l’héritière pivota sur elle-même, tournant le dos au bar pour permettre à son regard de jauger une nouvelle fois la décoration des lieux, chaque détail paraissant soigneusement conçu pour évoquer le glamour d’une époque révolue mais au sein de laquelle elle avait toujours apprécié se perdre, au fil de ses propres goûts cinématographiques. « Dis-moi que tu nous as prévu un numéro de cabaret au milieu de tout ça. » Railleuse, il n’en demeurait pas moins qu’elle aurait été prête à payer pour voir Raelyn se prêter à ce jeu-là – et Dieu savait qu’elle en avait les moyens. |
| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Ven 15 Sep - 15:17 | |
| Hold the dice your turn to roll Raelyn Blackwell & @Cristina Weatherton (juillet 2023) ☆ crédit/keetikagifs
« Et ma robe à tomber, c’est un œil de lynx que tu as là. » Déjà, un sourire amusé étire mes lèvres. Exception parmi les représentantes de la gent féminine, Cristina possède un don rare : celui d’avoir assez d’esprit pour m’amuser et capter mon attention un peu plus de quelques secondes à peine. Elle se met en avant d’une remarque qui mettrait certainement beaucoup d’autres femmes mal à l’aise, peu habituées à un manque de modestie aussi affirmé et assumé que celui de la piquante brune, mais qui ne me fait même pas ciller. Parmi nous points communs compte un orgueil qui peine à trouver des limites. « J’ignorais que tu faisais partie de ces idiotes qui ont besoin de se l’entendre dire. » Idiotes, elles le sont en tout cas dans mon esprit, ces femmes qui manque de confiance en elle-même au point d’avoir besoin de la validation du monde extérieur pour une robe, une paire de chaussures, un petit ami ou même des choix de vie parfois cruciaux. Moi, je n’ai jamais eu besoin de personne pour me confirmer ce que je sais déjà. Je suis diablement séduisante dans ma robe – si tant est qu’on puisse qualifier ma tenue comme telle – je le sais et, si d’aventure j’avais besoin d’une preuve, je la trouverais dans les regards indiscrets et lubriques de certains hommes qui, de toute évidence, ignorent que je suis le genre de femmes dont il vaut mieux éviter de s’approcher. « C’est à ça que tu t’amuses, du haut de ta tour ? Traquer mon désespoir ? » - « Exactement. Traquer le désespoir tout court, c’est un délice, mais le tien me semblait presque plus assourdissant que celui de ceux qui sont en train de perdre une petite fortune sur mes tables de blackjack. » Et par extension, je suis donc en train de lui demander de rassasier ma curiosité.
« Tu sais que j’allais le noter aussi, ton effort de présentation. Inutile de m’acheter. » - « S’il te plait. » Pas à moi. Je suis certes assez riche pour dépenser mon argent comme s’il ne représentait rien, mais assez vaniteuse pour ne pas avoir besoin de le faire pour ça. « Ton masque est de bon goût, mais il ne dissimule pas ta consternation. C’est à cause d’elle et d’elle seule que je te proposer un verre. » Un verre qu’elle est assez riche elle aussi – à ne plus savoir qu’en faire à vrai dire – pour ne pas avoir besoin de mon inexistante charité.
« Mais pas n’importe lequel, celui-ci a des goûts de luxe, ça demande tout une préparation au préalable. » Je la guide jusqu’aux côtés du bar où un simple geste de la main au serveur me suffit pour que le serveur se dirige vers nous, oubliant tous les fêtards agglutinés pour commander leur verre et qui attendent certainement depuis quelques minutes : l’Octopus est plein à craquer, ce soir, l’événement est un véritable succès. « Si tu penses que cela me fait peur où que cela pourrait me freiner, tu m’insultes. » Si le meurtre fait effectivement parti du genre de services rendus par le Club, avec Cristina tout est en revanche question de sous-entendus. Jamais elle ne m’entendra confirmer que je prends part – et je fais même plus que ça – à toute activité illicite autrement que d’une façon qui pourrait tout à fait passer comme "spirituelle" et "pleine d’esprit face à un juré ou toute autre autorité. « C’est toi que j’appellerai en premier, si jamais. » - « Evidemment. » Le contraire serait surprenant. Elle évolue au sein d’un milieu dans lequel les gens ne sont peut-être pas plus honnêtes que dans mon univers, mais bien plus frileux à l’idée de se salir les mains. Nous savons toutes les deux que je n’ai pas le même genre de restriction. « Et qu’est-ce qu’il a fait encore pour s’attirer tes foudres ? » Elle ne s’en tirera pas à si bon compte avec moi, elle doit en être parfaitement consciente.
« J’aime ce que tu as fait de l’endroit. Dis-moi que tu nous as prévu un numéro de cabaret au milieu de tout ça. » - « Uniquement pour toi, dans un salon privé, un peu plus tard. » Je lève les yeux au ciel et papillonne des cils un instant, avant d’ajouter. « Je peux te faire appeler une danseuse, si c’est ce qui t’intéresse. Mais ça ne me rends pas moins curieuse quant à ce qui motive ce besoin de… Distraction. » Elle n’est pas sérieuse Cristina, évidemment. Mais moi, je suis compliquée à perde en divagations. Une fois le verre de la jeune femme rempli du même scotch que celui que je bois, et le mien d’une nouvelle rasade du breuvage ambré, je m’appuis contre le bar de ma main à plat pour faire face à Cristina.
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| | | | (#)Ven 22 Sep - 17:21 | |
| hold the dice, your turn to roll. Masquerade Ball, Octopus. Cristina Weatherton & @Raelyn Blackwell « J’ignorais que tu faisais partie de ces idiotes qui ont besoin de se l’entendre dire. » « Et moi qu’on jouait au jeu des évidences mais ça fait quand même un point partout. »
Elle aurait pu faire la remarque, Cristina, qu’elle n’avait pas attendu de se l’entendre dire en effet, préférant encore s’en charger d’elle-même, finissant de prouver ainsi que Raelyn avait raison à son sujet mais ça n’était plus une surprise depuis le temps, que les deux femmes possèdent à ce jour une perception aussi lucide l’une de l’autre. Ils n’étaient pas nombreux en ce lieu, ceux qui auraient osé l’aborder avec autant d’effronterie tant l’humeur de Cristina semblait menacer aux alentours, climat ombrageux se déplaçant au gré des tables sur lesquelles pesaient des menaces de tempête allant se concrétiser ailleurs, plus par chance que par miséricorde. Elle ferait un effort alors à ne pas se montrer trop revêche, appréciant la compagnie de la femme d’affaires bien plus qu’une autre pour se changer les idées et se tenir à la discipline sur laquelle James et elle s'étaient entendus pour ce soir, aux yeux de tout Brisbane ; au moins. C’était en tout cas l’impression que ça lui donnait à Cristina, celle de se retrouver propulsée en plein cœur d’une époque qu’elle aurait su apprécier à sa juste valeur sans l’ombre d’un doute, la prohibition battant son plein et l’alcool coulant à flots dans les lieux nocturnes clandestins. Les affaires auraient été bonnes, et Raelyn l’associée idéale, ça l’amusait en silence de penser à quel point les chances de chacun auraient été ténues s’il avait fallu résister à leur paire. « Exactement. Traquer le désespoir tout court, c’est un délice, mais le tien me semblait presque plus assourdissant que celui de ceux qui sont en train de perdre une petite fortune sur mes tables de blackjack. » Cristina ne s’aventurait que rarement dans ses propres casinos, espace de jeu qu’elle avait préféré offrir dans son entièreté à son plus jeune frère pour qu’il se fasse ses armes, mais elle ne put que rejoindre Raelyn à ses mots, ses lèvres s’étirant en un sourire en coin. Elle savait la satisfaction que c'était d’observer au loin les fortunés, surtout, affluer, attirés par l’opulence, l’élégance et le risque enivrant de tout perdre sur un coup de dés pipés ou non ; ça leur rappelait peut-être de bons souvenirs, truquée comme l’était déjà la partie qu’ils jouaient entre eux contre le reste du monde. « La maison est toujours gagnante ne fait jamais autant sens qu’ici avec vous deux aux manettes. » Et puisqu’elle ne manquait pas d’expérience en la matière, Cristina ne manquait pas d’ironiser, ajoutant à la suite : « Tu ne m’en voudras pas de passer mon tour ce soir, les bons comptes font les bons amis comme on dit. »
« S’il te plait. » « Tu sais que c’est le cas. » Elle se laissait entraîner sans plus se faire prier malgré les sarcasmes et les cils papillonnants des deux côtés ; ça prouvait bien qu’elle réservait ses forces pour ailleurs dans le fond, contrariée comme elle l’était rarement de ne pas être parvenue à identifier précisément les enjeux de la bataille à venir avec son époux. « Ton masque est de bon goût, mais il ne dissimule pas ta consternation. C’est à cause d’elle et d’elle seule que je te proposer un verre. » « T’as bon cœur, ne laisse jamais personne te dire le contraire. » Raelyn était curieuse surtout, mais rien qui ne soit susceptible de prendre Cristina de court. Elle chercherait ses mots sûrement, peu encline à déverser sur le comptoir les sentiments tiraillés qui la traversaient, oscillant entre colère froide et inquiétude fondée, la première découlant invariablement du fait qu’elle détestait se sentir infestée par la seconde. Mais elle était au moins persuadée que Raelyn se contenterait de ce qu’elle livrerait, capable comme elle était à en déduire l’essentiel du reste pour se faire une idée, lui épargnant la condescendance de sa compassion mais peut-être pas les jugements – elle n’en attendait pas moins d’elle. « Si tu penses que cela me fait peur où que cela pourrait me freiner, tu m’insultes. » Comme si cela faisait partie des travers de Cristina, de médire sur autrui ; elle s'empêcha d'en rire. N’en restait que son œil brilla d’une lueur plus sombre qu’à l’ordinaire et qu’au « Evidemment. » répliqué orgueilleusement par Raelyn, elle se contenta seulement de penser fortement au prétentieuse qu’elle n’aurait autrement pas mis longtemps à verbaliser, pour la forme. « Et qu’est-ce qu’il a fait encore pour s’attirer tes foudres ? » Un soupir exagéré permit une nouvelle fois à Cristina de gagner du temps, faisant mine de jeter un œil par-dessus son épaule comme pour se plaindre de la lenteur du serveur qui s’activait pourtant derrière le comptoir, la perle de sueur à la tempe presque visible depuis que la grande patronne en personne avait claqué des doigts. « Seigneur, t’attends vraiment que ça en fait, avoir matière pour casser du sucre sur son dos. » Le ton railleur, un air absent et une surdité soudaine, Cristina donnait de sa personne pour la faire languir, ou pour retarder l’instant des confidences qu’elle n’était pas certaine de vouloir laisser échapper.
« Uniquement pour toi, dans un salon privé, un peu plus tard. » Un rire silencieux remonta du creux de son ventre, plus amer qu’elle ne l’aurait souhaité. Elle aimerait bien pouvoir s’en rappeler un peu plus tard, pour venir quémander cette fausse promesse et lui faire rouler les yeux un peu plus haut encore. Mais un peu plus tard, elle aurait sûrement une conversation à poursuivre ailleurs et plus la moindre envie de se montrer aussi légère qu’elle s’y employait sur l’instant. « Je peux te faire appeler une danseuse, si c’est ce qui t’intéresse. Mais ça ne me rends pas moins curieuse quant à ce qui motive ce besoin de… Distraction. » Le verre glissant jusqu’à elle, elle s’en saisit sans trop y penser, sans trop conscientiser non plus, elle s’y refusait tant il était établi dans son esprit que ce qu’elle reprochait à James différait de cette situation. « La danseuse, elle posera moins de questions que toi ? » Certainement oui, mais elle s’ennuierait tout autant alors elle finit par hausser les épaules, pivotant de nouveau pour faire face à Raelyn sans plus donner l’impression de tourner le dos littéralement à un intérêt qui ne ferait que grandir à force de l’ignorer ainsi ; intérêt qu’elle ne négligeait pas par ailleurs, elle le pensait sincère. « Tu sais comment sont les couples mariés. Ça se dispute comme s’il n’y avait plus de lendemain et puis surprise, il y en a un et il faut tout raccommoder pour que ça puisse tenir le coup. » Le rictus amusé qui était venu courber le coin de ses lèvres à ces mots disparut quelque peu alors qu’elle humecta ces dernières pour finalement avancer : « Je n’aime pas jouer au flic, c’est tout. » Ironique venant de celle qui s’assurait au quotidien d’avoir mainmise sur chaque aspect de son entreprise. « Ou pas avec lui, et j’ai l’impression de ne plus avoir le choix. » Leurs yeux s’étaient rencontrés au-dessus du verre qu’elle avait levé à ses lèvres et arquant un sourcil, Cristina s’était corrigée avant que Raelyn ne s’y emploie elle-même. |
| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Jeu 28 Sep - 12:45 | |
| Hold the dice your turn to roll Raelyn Blackwell & @Cristina Weatherton (juillet 2023) ☆ crédit/keetikagifs
« La maison est toujours gagnante ne fait jamais autant sens qu’ici avec vous deux aux manettes. » - « C’est à se demander comment ils sont toujours aussi nombreux à se faire avoir. » Si je comprends les mécanismes de l’addiction – et je ne peux même pas prétendre être bien trop forte psychologiquement pour y échapper puisque j’y ai au contraire succombé à au moins deux reprises – je peine à concevoir comment, en 2023, les curieux qui se pressent aux portes du casino ignorent encore qu’ils n’ont aucune chance de l’emporter sur le long terme. Bien sûr, le hasard leur concèdera quelques victoires, juste de quoi les garder accrochés, mais ils seront perdants au bout du compte, alors quel intérêt ? Le plaisir du jeu ? Il s’entend uniquement lorsque l’on a les moyens et si c’est le cas de la majorité de nos clients réguliers, il n’est pas rare non plus que nous soyons obligé d’en mettre un ou deux à la porte et de les menacer pour les empêcher de revenir parce qu’ils ne sont pas ou plus solvable, ayant misé jusqu’à leurs derniers derniers. « Tu ne m’en voudras pas de passer mon tour ce soir, les bons comptes font les bons amis comme on dit. » - « Quelqu’un d’aussi riche que toi qui ne participe pas à l’économie du divertissement alors même qu’il est à l’honneur ce mois-ci en ville, c’est presque mesquin. » Bien sûr, je prétends être vexée ou choquée bien plus que je ne le suis réellement. Et puis, soyons honnête : le casino rapporte une petite fortune, mais aucun commerce honnête ne rapportera jamais autant que celui qui se cache dans ses tréfonds.
« T’as bon cœur, ne laisse jamais personne te dire le contraire. » J’esquisse un sourire amusé, presque bestial. Ô, Cristina. « Je suis surtout intéressée et peu honteuse de l’admettre. » Même si c’est divertissant de l’entendre me qualifier pratiquement de sainte femme, nous n’avons pas besoin de continuer à jour à ce jeu-là. C’est perdre un temps qui est aussi précieux pour elle que pour moi puisque, quand on joue à notre niveau, le temps est réellement de l’argent. Un privilège donc de notre part à toutes les deux d’en octroyer à l’autre au titre d’amie. De mon côté, rares sont les personnes pouvant se targuer de posséder ce titre, plus encore depuis que les frère Strange sont tombés en disgrâce. « Seigneur, t’attends vraiment que ça en fait, avoir matière pour casser du sucre sur son dos. » - « C’est une façon de voir les choses. » Je suis connue pour adorer l’odeur du sang. Mais dans ce cas précis, ce n’est pas ce qui explique ma sollicitude. Je n’ai rien contre son époux pour une raison assez simple : il me laisse parfaitement indifférente. De loin, il ne m’a jamais laissé une imagé impérissable et c’est avec elle que je me suis liée, pas sa moitié ou son singulier couple. Du reste, je me penche vers elle pour poursuivre sur un ton un peu plus bas, comme s’il s’agissait d’une confession. « Ou on peut se dire qu’à te pavaner sur mon territoire avec ce genre de visage sombre, c’est toi qui me tends la perche. » Et donc, qui a besoin d’extérioriser et de parler de je ne sais encore quoi à quelqu’un de confiance, et quelqu’un qui ne le jugera pas. Avec mes mœurs particuliers, ne suis-je pas la meilleure placée pour écouter le récit des dernières frasques de son époux ?
« La danseuse, elle posera moins de questions que toi ? » « Tout dépend combien tu la payes. »
Chacun doit gagner sa croûte, non ? Après tout, ces métiers-là vivent des pourboires et les danseuses et pousseuses à la consommation de l’Octopus, en majorité d’ancienne escorts du Club, offrent un éventail de prestations plutôt large à leur discrétion. Tant que rien de répréhensible n’a lieu entre les murs du casino, je ferme les yeux sans que cela ne me pose le moindre cas de conscience. « Mais il y a fort à parier qu’elle sera moins intéressante, et moins pertinente dans son analyse de ta situation. » Allez, parle, Cristina, ne me force pas à te tirer les vers du nez. Je ne rougis pas de ma prétention, ce n’est de toute évidence pas le genre de la maison. « Tu sais comment sont les couples mariés. Ça se dispute comme s’il n’y avait plus de lendemain et puis surprise, il y en a un et il faut tout raccommoder pour que ça puisse tenir le coup. » Interpellée par son amorce, je penche la tête sur le côté et plisse les yeux, pinçant légèrement les lèvres. Si je vois ce qu’elle veut dire par là, c’est intéressant comme vision du couple, mais c’est loin d’être la première fois que j’ai le loisir de constater que nous avis divergent sur ce point. James et Cristina, au-delà du fait qu’ils semblent former une équipe contre le reste du monde, ne pourraient pas être assortis de façon plus différente qu’Amos et moi. Lorsqu’on pose les yeux sur le couple que je forme avec ma moitié, la passion qui nous anime semble presque palpable. « Mais encore ? » C’est un peu maigre, et Cristina a l’étoffe de ces femmes qui ne se laissent pas déstabiliser par une simple dispute, aussi violente soit-elle. « Je n’aime pas jouer au flic, c’est tout. » Un sourire étire mes lèvres, et elle se corrige avant que j’ai le temps de lui envoyer un "à d’autres" qu’elle aurait mérité. « Ou pas avec lui, et j’ai l’impression de ne plus avoir le choix. » - « Qu’il ne te laisse plus le choix, donc. » La nuance est légère, mais sous-entend que le comportement de James est problématique, et pas l’interprétation de Cristina. « Qu’est-ce qu’il a fait ? Ou qu’est-ce qu’il ne fait plus ? » Le fait que la brune et son époux ont acté une union libre n’est pas un secret d’état ou, en tout cas, elle n’en a pas fait un avec moi.
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| | | | (#)Jeu 5 Oct - 21:23 | |
| hold the dice, your turn to roll. Masquerade Ball, Octopus. Cristina Weatherton & @Raelyn Blackwell « C’est à se demander comment ils sont toujours aussi nombreux à se faire avoir. » L’être humain était doté de toutes sortes de faiblesses qu’elle ne ferait pas l’affront à Raelyn de rappeler, cette dernière n’ayant absolument pas besoin d’elle pour cela, c’était au moins là une des certitudes qui avait su rapprocher les deux femmes d’affaires. Elle en tenait d'ailleurs une, de ses dites faiblesses, entre deux de ses doigts, son verre vide comme excuse toute trouvée pour se laisser entraîner à le réapprovisionner, comme bon nombre d’autres l’avaient fait avant elle et le feraient encore tout au long de la soirée. Ça n’était pas pour rien que les bars étaient aussi près des tables de jeux, légère incitation à l’ivresse qui, au gré des heures, permettait aux masques de tomber, les joueurs entrant ainsi en pleine possession de leurs défauts. Passé le nombre de deux, les scènes en société avaient cette tendance à en révéler l’un des plus conséquents : l'orgueil. La compétition d’ego lancée, la surenchère ne permettait plus à quiconque ou presque de demeurer raisonnables. L’œil de Cristina brilla vaguement alors que, passant à côté d’un groupe attroupé autour de la roulette, des éclats de voix suggérant le coup gagnant semblèrent appuyer ses pensées. « Quelqu’un d’aussi riche que toi qui ne participe pas à l’économie du divertissement alors même qu’il est à l’honneur ce mois-ci en ville, c’est presque mesquin. » « Si c’est presque, c’est que j’ai encore de la marge, faut pas me dire des choses comme ça. » Au risque de la voir en profiter pour forcer le trait, atteindre son plein potentiel et remettre l’église au milieu du village.
« Je suis surtout intéressée et peu honteuse de l’admettre. » que Raelyn ne put s’empêcher de rectifier et Cristina d’en laisser échapper un rire presque sulfureux qu’elle serait la seule à entendre tant elle le rendit vaporeux. « Je préfère ma version, tout le monde connaît déjà la tienne. » La sienne au moins, vantant sa générosité désintéressée, avait le mérite de surprendre en plus de faire rire grassement tous ceux qui connaissaient Raelyn même un tant soit peu – il n’y avait pas besoin de faire partie de son cercle proche pour apprécier l’ironie de l’affirmation. Cristina en plaisantait, c’était certain, mais elle savait au moins qu’auprès d’elle, c’était pour autre chose que Raelyn tentait de percer à jour ce qu’elle cachait – mal – derrière son voile. Autre chose en tout cas que la curiosité mal placée, les potins et la médisance qu’elle aurait sentis suinter de bons nombres d’autres charmants sourires et exquises mises en beauté les entourant ce soir. Elle les lui reprocha donc pour la forme uniquement, plissant les yeux à la voir se pencher tout près d’elle pour murmurer : « C’est une façon de voir les choses. Ou on peut se dire qu’à te pavaner sur mon territoire avec ce genre de visage sombre, c’est toi qui me tends la perche. » « Et depuis quand il me suffit de la tendre pour que t’accoures t’en saisir ? C’est fini le temps où tu jouais la difficile ? » En vérité, il n’avait pas fallu très longtemps pour qu’entre les deux femmes, les parités sachent se reconnaître. Le contexte dans lequel elles s’étaient rapprochées aidait sûrement – la salle d’attente d’une clinique privée avait au moins le mérite d’être original – mais là encore, Cristina s’était permise d’en douter, connaissant trop bien sa propension habituelle à voler dans les plumes de ceux se rapprochant trop à son goût de ses fêlures. Des femmes traversant ce qu’elle traversait à l’époque, elle en avait croisées des dizaines, c’était l’endroit qui voulait ça. Et il n’y avait bien eu qu’avec Raelyn qu’elle avait accepté l’échange.
« Tout dépend combien tu la payes. » « Ah, c’est là que je passe de presque mesquine à carrément radine. »
La plaisanterie prendrait fin ici pour Cristina qui ne voulait pas autre chose, pour commencer, que de simplement railler à s’imaginer la propriétaire des lieux monter sur scène pour reproduire sous leurs yeux ébahis le numéro de Velma de Chicago : couleur de cheveux mises à part, tout collait parfaitement si on lui demandait son avis. Elle était bien du genre à commettre des crimes passionnels, Raelyn ; ou des crimes tout court d'ailleurs.
« Mais il y a fort à parier qu’elle sera moins intéressante, et moins pertinente dans son analyse de ta situation. » Elle haussa les sourcils au-dessus de son verre en haussant distraitement les épaules, une manière comme une autre de lui accorder ce point qu’elle n’avait pas à cœur de réfuter. Une analyse pertinente l’arrangerait bien, ça lui faisait mal de l’admettre. Et les personnes auxquelles Cristina se permettrait de partager quoique ce soit de la situation de James se comptaient sur les doigts d’une seule de ses mains, et encore, si on en venait à lui en couper. Il y avait donc Raelyn au moins, qui s’en moquerait bien pour commencer et qui ne jugerait pas pour avoir connu la situation, en dix fois pire – oh qu’elle espérait que ça l’était dix fois moins en effet, du côté de James. « Mais encore ? » C’était une amorce pour planter un décor qui n’était même pas le leur, bien entendu que cela n’allait pas suffire à Raelyn. Consentant à approcher davantage le cœur du sujet, Cristina dut admettre que ça lui brûlait déjà la gorge sans qu’elle ne puisse blâmer la rasade de scotch qui ne tarda pas à suivre. Confier des erreurs qui n'étaient même pas les siennes mais celles de son époux, voilà ce qui lui faisait certainement cet effet lorsque les siens, de manquements, elle les aurait déjà sans doute livrés sans y mettre tous ces filtres à l’égard de Raelyn ; cela avait rarement fonctionné comme ça entre elles. « Qu’il ne te laisse plus le choix, donc. » « Ou qu’il ne l’a plus non plus. » Et pour le couple qu’ils formaient ensemble et qui ne supportait pas d’être mis en échec, c’était une nuance supplémentaire qu’elle souligna amèrement. « Ce serait peut-être ça le pire, il m’a mal habituée. » James était rigoureux, orgueilleux, ne laissait pas grand-chose au hasard et, à ces similitudes qu’ils partageaient déjà, elle ajouterait qu’ils faisaient toujours en sorte d’avoir le luxe du choix, d’ordinaire. « Qu’est-ce qu’il a fait ? Ou qu’est-ce qu’il ne fait plus ? » « Ça. » Qu’elle résuma en reposant son verre sur le comptoir, son menton désignant le liquide ambré s’agitant à peine sous l’impulsion de son geste tranquille, avant que ses prunelles vertes ne se posent sur le verre de Raelyn pour compléter. « Et puis j’imagine qu’il prendrait le tien aussi. Et va savoir combien d’autres encore si plus personne n’est là pour l’arrêter dernièrement. » En maîtrise donc, Cristina, et impassible à l’exception de sa jugulaire qu’elle sentit se contracter, juste en arrière de sa mâchoire inférieure. |
| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Dim 8 Oct - 12:47 | |
| Hold the dice your turn to roll Raelyn Blackwell & @Cristina Weatherton (juillet 2023) ☆ crédit/keetikagifs
Je ne déguise pas mes motivations, je ne le fais que lorsque je cherche à obtenir quelque chose. Le reste du temps, je ne suis pas le genre de personne qui porte des déguisements, qui porte un masque, et ce soir en est la parfaite illustration : même lorsque j’impose cette part de mystère à mes invités – ou clients – je m’octroie le droit de continuer à évoluer en pleine lumière. Tout le monde connait donc ma version, et je ne cherche pas une seule seconde à la chercher. « Et depuis quand il me suffit de la tendre pour que t’accoures t’en saisir ? C’est fini le temps où tu jouais la difficile ? » - « Que veux-tu que je te dise : l’odeur du sang est mon péché mignon. » Et j’accoure lorsque je la sens sans rougir. « Depuis quand on doit se justifier chez soi ? » Je lève un sourcil interrogateur mais non sans esquisser un sourire dans le même temps. Si je m’étais sentie forcée de me justifier à quel que moment que ce soit, nous n’en serions pas là, elle et moi : Cristina ferait partie des persona non grata.
Plutôt que de se concentrer sur mes motivations à l’approcher, la piquante brune ferait mieux de se concentrer sur ses problèmes et ce qui cause sa mine grave. Je n’ai pas l’intention de lâcher le morceau et plus vite elle passera à table, plus vite ce moment certainement désagréable serait passé. Avouer ses états d’âmes, je peux concevoir qu’il s’agisse d’un pansement difficile à arracher. Mais elle ne l’aurait pas évoqué et m’aurait plutôt envoyée paître si elle n’avait pas l’intention de finir par m’en parler. Je ne suis ni douce ni empathique : si elle cherche quelqu’un qui lui frotte le dos avec patience en attendant qu’elle soit prête, elle est au mauvais endroit ; moi, je vais finir par perdre tout intérêt pour ses problèmes si le temps me semble trop long. « Ah, c’est là que je passe de presque mesquine à carrément radine. » - « Je te rassure : elles ne me dévoilent pas ce qu’on leur glisse dans la poche - » Ou ailleurs. « - pour quelques extras. Ce ne sont pas mes affaires. » Ce n’est plus le cas depuis le Club a arrêté ses affaires de prostitution. L’argent qu’elles se font lorsqu’elles dépassent leur prérogative va directement dans leur poche : qu’est-ce qu’on ne ferait pas, par amour.
« Ou qu’il ne l’a plus non plus. Ce serait peut-être ça le pire, il m’a mal habituée. » Toute cette affaire est encore bien trouble pour moi. Je fronce les sourcils, les ongles tintant sur les rebords de mon verre, curieuse malgré tout. Les quelques premières confidences de la brune me laissent penser que mes premières suppositions – elles étaient toutes basées sur ma propre jalousie et possessivité bien plus que sur ce que je sais du tempérament de Cristina et de son mariage que je ne comprends pas – sont totalement à côté de la plaque. Plutôt que de jouer aux devinettes, je la laisse continuer, la tête penchée sur le côté. « Ça. » Elle désigne son verre qu’elle pose entre nous deux et tout s’éclaire. Je suis surprise que ce soit sur ce terrain là que son époux se soit aventuré, que ce soit ça la source de la colère de la jeune femme. Et je comprends peut-être un peu mieux pourquoi c’est moi qu’elle a choisie pour venir vider son sac. « Et puis j’imagine qu’il prendrait le tien aussi. Et va savoir combien d’autres encore si plus personne n’est là pour l’arrêter dernièrement. » Je laisse échapper un rire bref et plus sarcastique qu’amusé, avant de faire claquer ma langue sur mon palais. « S’il prenait mon verre, c’est la dernière chose qu’il ferait avant de perdre sa main. » Je n’ai jamais prétendu que j’allais écouter et répondre avec empathie et bienveillance. Cette remarque, c’est ma façon de dédramatiser la situation et de faire comprendre à Cristina – à ma façon tordue – que le monde n’est pas en train de s’écrouler sur sa tête. « Tu m’as fait peur. J’ai cru que j’allais devoir écouter ses histoires de coucheries en prétendant en avoir quelque chose à faire. » Si je m’intéresse aux frustrations et aux états d’âme de la seule femme que l’on pourrait qualifier pour moi d’amie, les racontars sur son époux ne m’intéressent pas. Je ne suis pas câblée pour comprendre ce genre de couple, ensemble pour les apparences uniquement. Une femme forte n’a pas besoin d’homme à son bras, j’ai choisi de lier mon destin à Amos, pourquoi Cristina s’encombre-t-elle d’un époux si ce qui les unit n’est ni passionnel ni exclusif ? Par désir de se plier aux conventions ? Cela me dépasse. « Ça dure depuis quand ? » Il ne sera pas dit que je ne suis que moqueries et piques cinglantes. Ma façon de réagir, c’est ma façon de lui montrer que je me sens concernée par ce qu’elle ressent. Je l’ai vécue, cette inquiétude dévorante. « Et c’est grave à quel point ? Il te l’a caché ? » S’il y a bien une chose que je crois avoir comprise quant à son "couple", c’est qu’ils sont honnêtes l’un envers l’autre. La grande Cristina Weatherton, autant dans le contrôle que je le suis et plus encore pour certains aspects de son existence, doit certainement avoir bien du mal à cerner le concept d’addiction.
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| | | | | | | | (Raelyn & Cristina) hold the dice your turn to roll |
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