(amen #10) it's not a one-night stand if it turns into two
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
(st vincent's) Il n’est pas fier de la façon dont s’est terminée sa sortie en nature dans le cadre d’un stage de survie, en témoigne sa démarche déséquilibrée et les grognements qu’il pousse dès qu’il a le malheur d’appuyer un peu de trop sur sa cheville blessée. Le pire dans tout ça, c’est qu’il ne s’est même pas blessé lui-même mais que le résultat final a largement été aidé par le coup de pied d’Angus porté contre son pied. Il lui en veut à une maigre hauteur seulement, parce que la vérité c’est qu’il pense apprécier ce garçon et qu’il est simplement désolé pour lui d’être devenu l’ami d’un homme tel que Cameron. Mais quand même, il aurait pu se passer de le blesser, surtout alors qu’ils faisaient littéralement partie de la même équipe.
Comme Ruben le lui a demandé, il a envoyé un message quelques minutes avant d’arriver devant l’hôpital. A en juger par l’heure avancée de la nuit, il est effectivement évident que personne n’aura à coeur de la laisser entrer. Il a un instant pensé passer par les urgences, mais son envie de voir Ruben ne vaut pas toute la paperasse et tout le dérangement inutile pour une cheville qui, de toute évidence, n’a rien d’une véritable urgence. Elle fait mal, mais tout ira mieux demain et au fond les deux hommes savent déjà qu’elle se contente d’être une excuse pour qu’ils se retrouvent. Jamais Ambrose n’a promis d’être raisonnable et il l’a fait en toute connaissance de causes: quand il s’agit de Ruben, il ne sait pas l’être.
« J’ai pas oublié le dîner. C’est dans mon sac à dos. Pour être discret, tu sais, tout ça. » Parce qu’il n’a pas besoin de poser la question pour savoir qu’il n’a pas vraiment le droit d’entrer dans l’hôpital en dehors des heures de visites normales, même s’il est invité par le Docteur Hartfield en personne. Si Ambrose a quelque peu tendance à le déifier, il n’en reste pas moins un membre du personnel hospitalier comme un autre, et absolument rien de plus malgré toutes ses années passées à étudier. « T’es sûr que je te dérange pas ? » Encore dans les couloirs blancs de l’hôpital, il le demande tout bas, ses mains accrochées aux sangles du sac à dos passant d’un côté et de l’autre de son torse. « T’es de garde ou quelque chose du genre ? » Parce que si non, il s’en voudrait de pousser Ruben à rester encore un peu plus à l’hôpital alors qu’il y passe déjà toutes ses journées. Surtout alors qu’ils pourraient aller chez Norman et y être parfaitement au calme. Néanmoins, il tente encore de garder le fond de ses pensées pour lui et se contente d’interroger Ruben du regard, ce dernier ayant déjà beaucoup de points à éclaircir face à un Ambrose qui s’était initialement contenté d’envoyer un message. Mais comme bon nombre de ses premiers messages, il a une fois de plus fini par obtenir ce qu’il voulait et, avec cela, un tête à tête avec Ruben et un peu de temps à ses côtés.
:
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
lieu: st vincent's hospital, toowong.(c): vicsdeangelis (gif), luleaby (codage).
***
Son regard n’arrêtait pas de faire des allers et retours entre les dossiers sur son bureau et son téléphone posé à quelques centimètres de là, attendant le message que Rose devait lui envoyer pour indiquer qu’il arrivait sur place. Pas qu’il avait envie de cacher que le jeune homme lui rendait visite à une heure tardive sur les lieux, mais simplement que le moins de scandale il pouvait faire, le mieux il se porterait - surtout que les agents de la sécurité pouvaient parfois se montrer un brin irritants envers les visiteurs tardifs, qu’importe leur motif et la personne qui les attendait à l’intérieur. Ben savait pertinemment que s’il montrait sa bouille à l’entrée au même moment où Ambrose arrivait de son côté, il n’y aurait aucune question de posée - et il savait également que ce serait plus simple pour tout le monde si ça se passait de cette façon là. Même si pour une fois il n’avait rien à cacher: il devait prêter conseils au jeune homme après qu’il se soit blessé pendant le weekend. Mais les rumeurs circulaient trop vite au sein du St Vincent et il n’avait pas besoin de la moindre rumeur sur son dos, Ruben. Alors, quand le message s’afficha sur son écran, il bondit tel un ressort de son siège pour se rendre à l’entrée du bâtiment.
« J’ai pas oublié le dîner. C’est dans mon sac à dos. Pour être discret, tu sais, tout ça. » Un fin sourire se glissa sur les lèvres alors qu’il guidait un Ambrose clopinant à travers les couloirs de l’hôpital pour l’amener jusque son bureau. « J’ai pas douté un seul instant que t’y avais pensé, t’en fais pas. » Il le savait assez intentionné pour qu’il ne manque pas ce genre d’élément dans le processus. « T’es sûr que je te dérange pas ? » Se stoppant finalement pour ouvrir la porte de son bureau après avoir terminé de déambuler, il remonta son regard vers celui d’Ambrose. « Tu me déranges jamais. » Et c’était la vérité. « T’es de garde ou quelque chose du genre ? » Il plissa brièvement le bout du nez. « Quelque-chose du genre. » Il poussa la porte du bureau, lui fit un geste du menton pour l’inciter à entrer. « Je suis d’astreinte pour la salle de réveil jusque vingt-trois heures, exactement. Ils me dérangeront pas, ils ont rien de prévu sur leur programme, mais c’est au cas où ils accueillent une urgence, qu’ils ait un médecin sous la main. » Techniquement donc, il travaillait jusque vingt-trois heures et ne pouvait quitter les lieux avant ce moment là. Mais ce n’était pas un frein à ce qu’il profite de la visite d’Ambrose - même si cette dernière n’était en rien de courtoisie.
Et pour ne pas que cette partie là de l’équation passe à la trappe, après avoir fermé la porte à leur suite, ce fut la table d’examen qu’il pointa du menton cette fois-ci. « D’abord, tu me montres ce que tu t’es fait, on voit le diner après. » Comme ça, il retirerait sa blouse et pourrait être un brin davantage juste Ben pour une partie de la soirée. « Un stage de survie, alors ? » Il dirigea un sourcil haussa et intrigué dans la direction d’Ambrose, s’affairant à tirer un drap sur la table d’auscultation pour qu’il puisse s’y installer. « T’as été piqué par quelle mouche pour avoir envie de faire un stage de survie, sérieux ? » Pas qu’il avait du mal à l’imaginer dans un tel environnement, mais la surprise dans son ton et sur les traits de son visage devrait suffire à faire comprendre à Rose que c’était le cas.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Ruben n’a pas douté, il ne dérange jamais, et oui, il est de garde ou quelque chose du genre. C’est tout ce qu’Ambrose voulait entendre, et c’est ce qui lui permet aussi de se frayer un chemin jusqu’à son bureau en étant un peu plus soulagé qu’au moment où il est entré dans l’hôpital. Il sait qu’il ne devrait pas être là et qu’il joue au con en outrepassant les limites, mais son envie de retrouver le chirurgien l’emporte aisément sur sa raison. Ils ont jusqu’à vingt-trois heures, et cette information aussi il la note avec soin dans un coin de sa tête, son regard brillant toujours posé sur le profil du brun. « D’abord, tu me montres ce que tu t’es fait, on voit le diner après. » La table est pointée du doigt et Ambrose accepte son sort sans moufter, se hissant dessus sans faire le moindre commentaire non plus. Déjà, il se baisse en avant pour défaire les lacets de la chaussure du pied incriminé. « T’es mignon quand tu donnes des ordres. » Il souffle et y ajoute un sourire amusé, n’ayant pas peur de dire tout haut ce qu’il pense tout bas lorsqu’il est en compagnie de Ruben. Et surtout quand ça le concerne directement.
« Un stage de survie, alors ? » « Pas super bien réussi. »
Mais oui, il s’est bel et bien lancé dans un stage de survie et il a longtemps pensé que cela pourrait être une bonne idée, jusqu’à faire équipe avec la sœur de Ruben en personne ainsi qu’une énergumène tel qu’Angus. « T’as été piqué par quelle mouche pour avoir envie de faire un stage de survie, sérieux ? » Il pourrait rapidement se retrouver vexé à l’idée que Ruben soit tant étonné que ça de son aventure en pleine nature. « J’ai rencontré des personnes cool. Tu penses que je suis pas capable de faire un truc de mes mains ? » Et la question est sérieuse. Il soutient son regard, dresse à peine ses sourcils et attend une réponse de la part de Ruben, curieux de savoir quel genre d’avis il a sur sa personne. « Je m’en sortais bien jusqu’à ce qu’on marche sur ma cheville. » Il s’en sortait terriblement et on a pas marché sur sa cheville, on l’a fait volontairement. Ce n’est pas une histoire qu’il cherche à aborder avec Ruben, pourtant, parce qu’il ne veut pas passer pour le gamin qui vient pleurer dans les bras de son aîné - qui ne pourrait de toute façon rien y changer. Ainsi, il reprend le cours normal de leur discussion. « C’est sûrement pas très grave, je dois juste éviter de m’appuyer dessus j’imagine. » Ce n’est pas une question, mais ses mots ne sont pas assurés non plus. Il n’y connaît rien, c’est une évidence, et il se contente de spéculer avec ce qui l’arrange bien. Dans le cas présent, il veut entendre qu’il sera à nouveau sur pieds bientôt et qu’il pourra faire comme si de rien n’était. « Ça t’aurait pas tenté, toi, un stage de survie ? » Il aurait pu y aller avec sa sœur, après tout, alors la question est légitime.
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
lieu: st vincent's hospital, toowong.(c): vicsdeangelis (gif), luleaby (codage).
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Ambrose obtempéra rapidement lorsque Ruben lui indiqua de s’installer sur la table d’examen. « T’es mignon quand tu donnes des ordres. » Il l’aperçut bien sur, le sourire amusé sur les lèvres du brun; il ne sut faire autrement qu’en avoir un de son côté également, secouant doucement sa tête un peu de gauche à droite. D’une main à la suite, il souleva doucement la jambe de Rose pour retirer pour de bon sa chaussure de l’autre. « Je peux t’en donner plus souvent, si c’est que ça. » S’il lui avouait le trouver mignon dans ces circonstances là, c’était parce-qu’il appréciait ça un minimum d’en recevoir non ? Au moins lorsque c’était lui aux commandes. Si cela lui faisait plaisir, Ben lui donnerait des ordres plus souvent: ce n’était pas dérangeant pour lui.
Le temps n’était pas à flirter de la sorte cependant, alors qu’il se concentrait pour de vrai et avec attention sur ce qui était arrivé au jeune homme. Il était venu pour un avis médical avant tout. « Pas super bien réussi. » Qu’il concéda concernant le stage de survie. « Je vais rapidement te croire je pense. » Surtout: il ne comprenait pas comment il s’était engagé dans une telle aventure. « J’ai rencontré des personnes cool. Tu penses que je suis pas capable de faire un truc de mes mains ? » Remontant son regard vers Rose, il fronça un brin les sourcils; si ce dernier n’avait pas un air autant sérieux sur le visage, il se serrait permis d’ajouter une touche d’humour ici - mais il ne la sentit pas la bienvenue. « Je doute pas que tu saches faire quelque-chose de tes mains Rose, je t’imaginais pas apprécier à ce point manger des baies et construire un abris. » N’était-ce pas de quoi était composé un stage de survie ? « Je m’en sortais bien jusqu’à ce qu’on marche sur ma cheville. » Le sérieux était de mise cette-fois ci dans la question de Ben qui suivit. « Comment ça on t’a marché sur la cheville ? » Il avait besoin de savoir pour connaitre la façon dont la blessure était arrivée à sa cheville.
« C’est sûrement pas très grave, je dois juste éviter de m’appuyer dessus j’imagine. » - « Hmhm. » Assez en tous cas pour qu’il lui mentionne sa cheville, alors qu’il aurait pu venir le voir sans aucune excuse. Ruben tira sur la chaussette pour la retirer. « Si ça fait mal, promets moi de pas pleurer. » Pourtant, ce fut avec douceur et délicatesse qu’il prit en mains la cheville blessée du brun pour vérifier si cette dernière était grave ou non, pour de vrai. « Ça t’aurait pas tenté, toi, un stage de survie ? » Apposant sa main contre la plante du pied d’Ambrose, il releva son regard un instant vers lui. « Moi ? En stage de survie ? » Il esquissa un petit sourire amusé avant d’appuyer lentement mais surement du plat de sa main. « Oh non, c’est vraiment pas le genre de chose qui me donne envie. » Il secoua quelque peu sa tête. « Je supporte pas la saleté, c’est pas pour rien que j’ai choisi la neuro en grande partie aussi tu sais. » Des enfants Hartfield, ce n’était pas celui qui avait hérité d’un esprit aventurier - loin de là. Il était même celui qui avait le moins profité du jardin et de la terre que ce dernier avait pourtant à offrir. Les seules fois où il avait du volontairement se salir, c’était lorsque Rhett avait daigné jouer au rugby avec lui, surement. Il aimait les aventures à sensations, mais celles qui lui permettaient de garder son petit confort tout de même. « Tu penses que j’aurais eu ma place en stage de survie, toi ? »
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
« Je peux t’en donner plus souvent, si c’est que ça. » « Ne pousse pas trop le bouchon. »
Il ne laisse pas Ruben aller plus loin dans ses propos, mais il ne nie pas non plus le fond de ces derniers. « Je doute pas que tu saches faire quelque-chose de tes mains Rose, je t’imaginais pas apprécier à ce point manger des baies et construire un abris. » Il hausse les épaules. Il n’a pas vocation à faire un métier manuel, certes, mais ce n’est pas pour autant que l’idée lui déplaît. Avoir grandi dans une certaine classe aisée auprès de Norman n’a pas fait de lui quelqu’un de précieux et il a à cœur de prouver le contraire, sans doute. « Comment ça on t’a marché sur la cheville ? » Le ton est radicalement différent, quasi paternaliste. Sans doute que cette attention portée sur sa personne touche Ambrose, peu habitué à la recevoir sous une forme aussi spontané. « Il a glissé. Le terrain était boueux. Range tes griffes. » Il ment éhontément, son regard plongé dans celui de Ruben. Qu’il décelle ou non son mensonge n’y change rien: il lui fait bien comprendre qu’il n’a pas envie que ce soit un sujet de discussion entre eux. Angus lui a bel et bien marché dessus, oui, mais il a passé l’âge qu’on vienne le défendre parce qu’il n’est pas capable de le faire seul. Surtout alors qu’il en est parfaitement capable, de toute façon. « Si ça fait mal, promets moi de pas pleurer. » - « Je me moucherai dans ta blouse. »
Alors qu’il pose un premier regard sur sa cheville malmené, Ambrose se permet de l’interroger sur sa possible présence à un stage de survie, ce que Ruben moque sans se retenir un seul instant. En retour, l’australien lui répond d’abord par un sourire amusé. Rares sont les moments où il avoue ne pas vouloir faire une tâche, et même avouer qu’il n’en a aucune envie et serait passablement mauvais - il le dit avec des mots différents, certes, mais ils restent les mêmes dans le fond. « Tu penses que j’aurais eu ma place en stage de survie, toi ? » Le brun hausse les épaules. A bien y repenser, non, en effet, ce n’est pas le genre de décor dans lequel il arrive à facilement imaginer Ruben.
Sans doute par réflexe anticipé et par même anticipation de la douleur, Ambrose retire rapidement son pied des mains du brun avant de se rendre compte de son geste et de s’en vouloir. « Désolé, c’est… réflexe. Je suis fatigué. » Et déjà, il tend à nouveau doucement sa jambe et se montre plus conciliant, incapable de mimer être au meilleur de sa forme dernièrement. Au contraire, le stage de survie est déjà le cadet de ses soucis et il se mord l’intérieur de la joue en même temps qu’il réfléchit. « Je t’ai déjà parlé de mon père ? » Il l’a fait, oui. Mais il l’a fait il y a des années déjà, et il ne sait pas si Ruben s’en souvient réellement, alors il mime l’ignorance en même temps que l’insouciance pour ne pas avoir à tomber de haut.
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
lieu: st vincent's hospital, toowong.(c): vicsdeangelis (gif), luleaby (codage).
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« Ne pousse pas trop le bouchon. » Il se contenta d’étirer un petit sourire amusé en guise de répartie.
Assez rapidement dans la foulée, Ambrose fut installé sur la table d’examens du bureau et le chirurgien en rien orthopédique lui donna un coup de main pour terminer de mettre sa cheville à nue. Rien qu’au premier coup d’oeil, il put voir que cette dernière avait été sollicitée d’une façon qui n’était pas naturelle pour elle, mais il lui faudrait réaliser une observation un peu plus précise pour connaitre l’étendue des dégâts. Et si ces derniers étaient trop importants, il aurait surtout besoin de demander l’avis d’un véritable expert. Pour le moment, il avait surtout besoin de savoir comment cette blessure était arrivée - et le ton qu’il employa dut trahir en partie l’idée qu’il n’appréciait pas particulièrement savoir que quelqu’un avait marché sur son pied, puisque c’était ce que sa première explication laissait savoir. En plus de ça, il était vrai que son ton était redevenu sérieux en une fraction de seconde mais il était surtout redevenu très professionnel, ce dont Ambrose n’avait pas l’habitude à ses côtés. « Il a glissé. Le terrain était boueux. Range tes griffes. » Remontant son regard dans celui du jeune homme, il pinça ses lèvres un instant. La question dérangeait Ambrose, mais sans qu’il explicite le pourquoi, Ben ne pourrait le deviner seul. Cependant, il y avait un quelque-chose dans le ton employé qui laissait bien comprendre qu’il n’avait pas envie que le sujet soit justement explicité; et pour une fois, Hartfield se plia à l’exercice. « Je te demande ça pour savoir ce qui est arrivé exactement à ta cheville. » Et il répondit sur un ton bien plus calme et apaisé qu’il ne l'avait fait jusque maintenant malgré lui, pour monter à Ambrose qu’il était face à un ami et non face à quelqu’un qui cherchait à lui tirer des informations qu’il ne désirait pas transmettre.
« Je me moucherai dans ta blouse. » - « Même pas en rêve. »
Mais peut-être effectivement que Ben allait devoir lui prêter un mouchoir, car lorsqu’il commença l’examen, une réaction quelque peu virulente se fit voir de la part de Rose. « Désolé, c’est… réflexe. Je suis fatigué. » Il vit bien que ce n’étiat là en rien quelque-chose de volontaire; et il s’était bien aperçu qu'il était fatigué à peine avait-il mis un pied dans le bureau, sous une lumière plus forte que celle trouvée à cette heure là dans les corridors de l’hôpital. Abaissant son regard sur ses mains tenant de nouveau la cheville d’Ambrose, manipulant cette dernière avec un peu plus de précaution, il laissa un nouvel instant passer, un nouveau silence se faire, avant de relever par accoups son regard vers lui. Il ne fallait pas être devin pour voir qu’il était de trop absorbé par ses pensées. « Tu peux me parler, tu sais. Si t’en as besoin. » Il ne savait pas de quoi, mais il ne saurait passer à côté de l’air préoccupé de Rose. Reposant son pied doucement sur la table, il se leva pour aller regarder s’il possédait encore des bandes adhésives dans son placard, quand Ambrose reprit la parole. « Je t’ai déjà parlé de mon père ? » Peut-être que les mains de Ruben se mirent à chercher un peu moins rapidement sur les étagères, pendant un instant. Il ne pouvait le voir, mais il pinça un instant les lèvres. « Tu m’en as déjà parlé, oui. » Avec plus ou moins de détails, puisqu’à l’époque Ambrose tentait de ne pas ajouter la moindre temporalité lorsqu’il était question de sa famille; c’était aussi ça qui lui avait permis de garder secret son âge si longtemps.
Poussant un carton, Ben finit par miraculeusement trouver ce qu’il cherchait; il fit le chemin inverse pour se retrouver de nouveau aux côtés d’Ambrose. « T’as des questions auxquelles tu voudrais que je réponde, peut-être ? » Posant la bande sur la table, il reprit le pied de Rose entre ses mains dans l’optique de bander la cheville - mais ne souleva pas de suite cette dernière de la table pour faire comprendre au jeune homme que sur sa liste de priorité, cela pouvait passer au second plan s’il le désirait. L’avantage de Ruben, c’était qu’il avait une excellente mémoire; il lui manquait surement des informations à son actif, mais il savait que le père du brun était dans le coma depuis des années - et ce n’était pas avec un visage de six pieds de long qu’il allait lui dire qu’il s’était réveillé.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
« Je te demande ça pour savoir ce qui est arrivé exactement à ta cheville. » « Il a glissé. Le terrain était boueux. »
Il répète les mêmes mots, un ton plus bas, un ton plus calme aussi. On lui a marché sur la cheville, il l’a déjà expliqué sans que ce ne soit un mensonge, et il n’y a malheureusement rien de plus à en dire quant à son état pour expliquer ce dernier. Les blagues ne sont que de courte durée alors qu’un réflexe le pousse à rapidement ramener sa jambe vers lui et retirer sa cheville d’entre les mains de Ruben, qui pourtant fait de son mieux pour se montrer aussi doux et avenant que possible. Aussitôt, Ambrose s’excuse et explique maladroitement un geste, dont il ne connaît pas exactement la raison lui-même. « Tu peux me parler, tu sais. Si t’en as besoin. » Le regard du médecin est posé sur sa cheville, alors Ambrose se permet de poser le sien sur le profil du Hartfield, ses dents nouées autour de sa lèvre inférieure. Il y a beaucoup de sujets qu’il voudrait aborder avec lui mais aucun qu’il se sente réellement capable d’amener par lui-même, encore trop inquiet quant au regard qu’il pourrait poser sur lui. Ainsi, il lui faut un moment de réflexion nécessaire avant d’oser échanger une question contre une autre et parler de son père. « Tu m’en as déjà parlé, oui. » Il se détache de l’instant et détaille plutôt les muscles de son bras tendu à la recherche de Dieu sait quoi. Tout lui rappelle ce qui aurait pu être entre eux et ce qui ne sera pas, jamais.
« T’as des questions auxquelles tu voudrais que je réponde, peut-être ? » Il y a de ça, oui. Mais s’il n’y avait que ça, peut-être que ce n’est pas à la porte de Ruben qu’il aurait cherché à toquer ce soir. Le brun se décale contre le mur et s’adosse près de ce dernier jusqu’à en sentir toute la fraîcheur contre son dos. Ses bras se croisent, son pouce emprisonne de la chair entre eux et son index. Il aurait envie de le prendre dans ses bras mais surtout qu’il le prenne dans les siens, mais il sait qu’il n’a pas le droit d’en exiger autant de sa part. Au lieu de ça, il fait de son mieux pour s’en tenir à l’histoire en elle-même. Les faits, uniquement les faits. « Les médecins disent que son état a empiré, récemment, et qu’il vaudrait mieux le débrancher maintenant. » Ils l’ont dit avec des mots doux, mais ils sont tout de même en train de lui demander d’accepter la mort pure et simple d’un père qu’il n’a jamais réellement connu. Et ça, Ambrose ne peut s’y résoudre. « C’est pas ta spécialité sans doute, mais… t’es le seul médecin en qui j’ai confiance. » Il avait confiance en lui à l’époque, assez confiance pour lui raconter cette partie de son histoire, et aujourd’hui c’est une autre casquette qu’il demande à Ruben de porter: non plus celle de confident, mais bel et bien celle de spécialiste, d’un homme qui a étudié le corps humain pendant une décennie. « Je me demandais si tu pouvais me donner ton avis. » Il sera le même que celui de tous les autres médecins, Ambrose le sait déjà. Mais il sait aussi qu’il a besoin d’une voix différente pour le lui dire. « Un avis sincère. » Ne lui fassent mentir ses yeux fatigués et embués. Il est en capacité d’entendre la vérité, il a simplement besoin des bonnes personnes pour la lui faire parvenir.
:
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
lieu: st vincent's hospital, toowong.(c): vicsdeangelis (gif), luleaby (codage).
***
« Il a glissé. Le terrain était boueux. » Serrant un brin les mâchoires, Ruben finit par reporter son attention sur la cheville du jeune homme. Il avait glissé, et il ne désirait pas lui donner plus de détails - pour une raison qu’il ne connaitrait pas, et pour laquelle maintenant Ben espérait qu’il ne manquerait pas d’informations pour que la blessure ait besoin d’être gérée. Cette dernière ne semblait effectivement pas être si pire, et une radiographie ne serait pas utile pour aujourd’hui. Alors, allant chercher dans l’armoire de quoi faire un bandage, il se permit tout de même de glisser à Ambrose qu’il pouvait lui parler s'il avait besoin. Pas uniquement de la façon dont sa cheville s’était retrouvée dans cet état, puisque cette discussion là avait été fermée avant même d’être ouverte, mais pour tout le reste aussi. Ce n’était pas parce-que les années se comptaient au pluriel depuis le temps où ils avaient l’habitude de discuter à coeur ouverte qu’il ne pouvait plus le faire désormais. Ruben restait Ruben, il resterait une oreille attentive si Rose avait besoin, cela ne changeait pas avec le temps écoulé.
Se réinstallant une fois le bandage terminé, il laissa son regard suivre les mouvements du brun sans intervenir davantage. La porte était ouverte, il saisissait l’occasion s’il en avait envie. Ruben connaissait l’histoire de son père dans les grandes lignes, assez en tous cas pour qu’il n’ait pas à la répéter aujourd’hui; et rien que cela pouvait déjà être un soulagement pour Rose. Il pouvait déverser ce qui alourdissait son coeur sans avoir besoin d’expliquer pourquoi il était plombé initialement. « Les médecins disent que son état a empiré, récemment, et qu’il vaudrait mieux le débrancher maintenant. » Oh. Effectivement, il avait bien quelque-chose de lourd sur le coeur - quelque-chose qui changea les traits de Ben d’un instant à l’autre alors que désormais le regard qu’il posait sur Ambrose était empli d’une empathie qu’il n'avait pas au quotidien normalement. « Ca fait longtemps qu’ils t’ont dit ça ? » Parce-qu’avec les patients se trouvant dans l’état de santé que possédait son père, dans ses souvenirs, ce n’était pas le genre d’annonce qui se devait d’être faite du jour au lendemain et dans la précipitation - c’était le genre de nouvelle qui prenait le temps de s’installer, et qui ne relevait ne rien de l’urgence.
« C’est pas ta spécialité sans doute, mais… t’es le seul médecin en qui j’ai confiance. Je me demandais si tu pouvais me donner ton avis. Un avis sincère. »
Il ressentait une peine - une peine sincère. Il voyait les yeux de Rose qui se parait d’un effet mouillé sous les émotions que cela pouvait lui provoquer. Pinçant ses lèvres, soupirant légèrement, Ruben se releva en repoussant le tabouret sur lequel il était assis jusqu’à alors. Tendant sa main pour le bras du jeune homme, il agrippa ce dernier pour qu’il les défasse de sur son torse et qu’il s’approche du bord de la table d’examen. Parce-que avant de répondre à la moindre de ses questions, il ne pouvait continuer dans le prendre dans ses bras - il n’attendit pas un seul instant de plus pour le faire. « Je suis désolé Rose. » Parce-qu’il connaissait la peine de perdre un être cher, et l’idée que cela puisse arriver n’arrangeait pas cette dernière. Peut-être que les médecins qui avaient parlé à Ambrose se trompaient, mais cela ne diminuaient pas ce que pouvait ressentir le garçon se faisant à l’idée de potentiellement perdre son père. Alors avant de répondre à ses questions, qui seraient bien plus techniques et ancrées dans la réalité que pouvait l’être le moment qu’ils partageaient là, Ruben resserra son étreinte encre un instant autour des épaules de Rose.
« Dans neurochirurgien, y’a neuro tu sais. » Il s’écarta lentement, pour baisser son regard et laisser ce dernier accrocher celui d’Ambrose. « Ce que je veux dire, c’est que j’ai largement assez de connaissances pour faire un bilan à ton papa, si tu veux. » Après tout, Ben venait bien de lui faire une consultation pour une cheville blessée alors que ce n’était absolument pas sa spécialité, simplement parce-qu’il lui avait demandé. Alor si cela concernait son domaine, il était on ne pouvait plus apte à le faire également. « Il faudrait que tu m’emmènes le voir pour que je suis puisse le faire, mais c’est dans mon domaine de compétences. » Il esquissa une petite moue qui se voulait rassurante. « Et bien sur que je le ferai, Rose. » Pour le jeune homme, la question ne se posait même pas: il ferait le déplacement sans y penser à deux fois. « Et tu sais très bien que ce sera un avis sincère. » Parce-qu’il avait beau voir la peine dans son regard, son cri du coeur dans le silence, Ruben n’était normalement pas un menteur - en tous cas, lorsque cela l’impliquait professionnellement, le mensonge ne faisait pas partie de ses habitudes et de ses façons de faire. Même si cela devait malheureusement être pour donner une mauvaise nouvelle à la suite au brun, il lui dirait la vérité coute que coute.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Ambrose observe son pied se retrouver bandé en même temps qu’il cherche les mots au sujet de son père. L’un après l’autre, il en vient à créer une histoire faisant un minimum de sens, ou tout du moins assez pour que Ruben comprenne une partie du problème. « Ca fait longtemps qu’ils t’ont dit ça ? » Le timbre de sa voix est bien plus doux sans que cela ne soit le fruit d’une quelconque stratégie: son empathie est aussi immense que véritable et Ambrose mentirait s’il disait que cela ne lui faisait pas chaud au cœur. Malgré les circonstances, Ruben reste présent pour lui. « Quelques semaines. » Il avoue bien malgré lui, avant de laisser son regard fuir contre le sol un instant. Sa prise se resserre autour du matelas et il déglutit avant de reprendre. « Ou mois. J’ai un peu perdu la notion du temps. » Et il n’est même pas le premier à qui les médecins ont parlé, alors peut-être que Malone gardait ce secret depuis plus longtemps encore.
Avant de lui répondre, Ruben prend le temps d’adoucir sa peine. Il dénoue les bras serrés du garçon et passe plutôt les siens autour des épaules contractées du jeune politicien, qui accepte de se laisser aller seulement lorsqu’il sent la chaleur du torse du médecin contre son visage. A ce moment-là seulement, il ferme les yeux et prend une large inspiration. « Je suis désolé Rose. » Et il l’est lui aussi, de venir l’importuner jusqu’à son lieu de travail pour lui raconter ses problèmes et en plus de ça lui demander ses services. Il aurait préféré savoir s’en tenir à l’embrasser et l’enlacer sans plus savoir s’arrêter, comme tous les autres soirs ayant précédé celui-ci. « Je peux rien y faire. J’aime pas ça. » Il se retrouve pleinement démuni face à la maladie, incapable d’aimer un homme qu’il aime pourtant profondément, et c’est un sentiment qu’il ne souhaite à personne de vivre. « Dans neurochirurgien, y’a neuro tu sais. » Et dans neuro il y a encore beaucoup d’autres choses dont Ambrose ignore tout, raison pour laquelle il ne voulait pas se faire trop d’espoirs quant à l’aide que pourrait être celle de son ami dans toute cette histoire. Il a opté pour la version lui empêchant une énième déception, quitte à ne se faire aucune idée. Malgré tout, il se recule doucement de lui, assez pour relever son regard en direction du sien. « Ce que je veux dire, c’est que j’ai largement assez de connaissances pour faire un bilan à ton papa, si tu veux. » Bien malgré lui, le regard du plus jeune s’illumine. « C’est vrai ? » Il n’a pas hâte que ce moment arrive, mais il est au moins soulagé de savoir qu’il peut compter sur Ruben pour ce sujet si particulier.
« Il faudrait que tu m’emmènes le voir pour que je puisse le faire, mais c’est dans mon domaine de compétences. » Ambrose hoche vivement la tête, lui promettant d’accéder à sa requête sans le moindre délai. Bien sûr qu’il l’emmènera le voir. « Et bien sur que je le ferai, Rose. Et tu sais très bien que ce sera un avis sincère. » Le plus jeune esquisse enfin une moue à son tour, marquant ainsi son remerciement envers Ruben. Il aurait pu refuser pour un bon millier de raisons différentes, mais il ne l’a pas fait. « Merci. »” Souffle-t-il enfin, la paume de sa main reposée contre la hanche du médecin contre laquelle il continue de s’appuyer. « Ça compte beaucoup pour moi. » Il le savait sans doute déjà, mais il prend tout de même la peine de le formuler à voix haute. Tous ses talons d'Achille ont déjà été exposés au Hartfield, après tout, il n’est plus à ça près. « Je comptais d’abord manger avec toi et après en parler, peut-être, mais comme tu le vois mon plan a pas très bien fonctionné. » Il lui avoue dans un sourire maladroit et sans doute quelque peu désolé. Il voulait d’abord profiter de la soirée avec lui avant de parler de ses problèmes, mais puisqu’ils semblent avoir passé la seconde étape, ils peuvent sans doute reprendre du début à partir de maintenant. « On verra plus tard les détails. » Au sujet de son père. Il ne risque pas d’aller bien loin de toute façon, n’est-ce pas ?
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
lieu: st vincent's hospital, toowong.(c): vicsdeangelis (gif), luleaby (codage).
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« Quelques semaines. » Doucement, sans qu’il ne puisse le voir car Ambrose avait déjà reporté son regard ailleurs, Ben hocha la tête. « Ou mois. J’ai un peu perdu la notion du temps. » Donc ce n’était pas véritablement une nouvelle à proprement parlé: il le savait depuis quelques temps que les choses se dirigeaient dans cette direction. En revanche, il semblait avoir gardé cette information là pour lui depuis quelques temps déjà, à voir la façon dont en parler lui faisait autant de bien que de mal. C’était aussi pour toute cette partie là qu’il était désolé pour lui: il n’aurait pas du avoir à garder tout ça sur ses épaules. Ben savait que Rose avait une grande famille, mais il ne savait pas à quel point cela pouvait être un avantage ou un inconvénient dans cette situation. Tout ce qu’il retenait, c’était qu’il avait décidé de le mettre dans la confidence et ce n’était pas rien; et pour une fois, le médecin ne prit pas ça pour une remarque permettant de gonfler encore plus son propre égo, mais bien comme une marque de confiance qu’il pouvait chérir. Avant toutes choses, de toutes façons, il fit ce que son instinct lui soufflait de faire: il prit Ambrose dans ses bras, alors que la peine que lui infligeait cette situation semblait suinter à travers tous les pores de sa peau. Il n’imaginait que trop bien à travers quelles émotions son coeur passait à l’idée de mettre fin à la vie de son père. « Je peux rien y faire. J’aime pas ça. » - « Je sais. » Autant parce-qu’il connaissait Ambrose que parce-qu’il savait - d’autres circonstances, une histoire différente, mais il savait. « Je crois malheureusement que tu peux véritablement rien faire. » Ce n’était pas pour le contrarier qu’il lui disait ça, mais simplement pour lui confirmer qu’il était allé au bout de ses capacités. Et ce n’était pas grave: c’était plus compliqué de savoir renoncer lorsque nos capacités étaient limitées que de continuer à s’entêter pour rien.
Si Ambrose ne pouvait pas faire grand chose de plus, Ruben lui en revanche pouvait intervenir et apporter sa pierre à l’édifice. Le regard que le releva le jeune homme dans sa direction était empli d’une nouvelle nuance qu’il n’avait pas eu dans cette discussion jusque maintenant. « C’est vrai ? » Il tira une maigre moue à ses lèvres. « Je ferais pas de mauvaise blague sur ce type de sujet. » Et d’autant plus lorsqu’il s’agissait de travail, il n’ajoutait pas d’humour. Si Rose désirait un nouveau bilan neurologique pour son père, il obtempèrerait; il se doutait d’avance que la finalité de ce dernier ne serait pas bien plus positif que les autres qui avaient pu être faits avant, mais si cela lui tenait à coeur, il se déplacerait. « Merci. Ça compte beaucoup pour moi. » Ruben resserra quelque peu son étreinte autour du jeune homme. « Je sais. » Et c’était là une des raisons qui le poussait à accepter aussi: il savait à quel point cela pouvait le toucher - il ne lui en aurait pas parlé, et pas de cette sorte, si ça n’avait pas été le cas. « Je comptais d’abord manger avec toi et après en parler, peut-être, mais comme tu le vois mon plan a pas très bien fonctionné. » Le sourire de Rose était presque timide, celui de Ruben était plus rassurant et assuré, aussi. « Je peux attendre encore un peu pour diner tu sais. » Il n’irait pas jusqu’à dire à haute voix qu'il n’était pas prêt de mourir de faim, mais le moment n’était pas spécialement bien choisi pour ce type de remarque ou d’humour même. Ce qu’il glissait là à Rose, c’était qu’ils pouvaient discuter de bien des choses avant de passer à table s’il en ressentait le besoin. « On verra plus tard les détails. » Doucement, il hocha son minois, ne relâchant pas le regard de Constantine pour autant. « Tu connais le chemin de mon bureau maintenant en plus, si jamais. » S’il préférait ne pas aborder le sujet de nouveau pour ce soir, s’il n’avait pas envie d'ajouter une certaine fatalité à l’issue de leur soirée; parce-que l’idée avait été évoquée mais pas actée pour le moment, et c’était déjà un grand pas - lui donner une date ajoutait un certain concret à tout ça qu’Ambrose n'avait peut-être pas envie d’avoir pour ce soir. Et comme pour lui montrer qu’il n'était pas contre l’idée de passer à autre chose, surtout si c’était le souhait du brun, relevant une de ses mains pour glisser son index sous le menton de Rose, remontant ce dernier dans sa direction il déposa un baiser délicat sur ses lèvres. « Tu me montres ce que t’as apporté dans ton sac ? Et j’en profite pour regarder comment tu marches avec ta cheville bandée en même temps ? » Repartir sur d’autres sujets, revenir à des choses plus banales - comme il avait dit, ils verraient les détails plus tard: ils avaient le temps en guise d’allier, pour une fois.